Philosophie Et Kabbale

Les philosophes parlent souvent de Dieu. C’est une de leurs obsessions les plus délicates. Ils en parlent chaque fois qu’ils sont ouvertement en quête d’un fondement à  la personne humaine. Ils en parlent en fait constamment. Soit qu’ils le nomment par commodité de langage ; soit qu’ils ne le nomment pas, pour ne pas risquer un engagement inutile devant qui ne comprendrait pas les attendus du langage.

Oggi vogliamo parlare di un progetto suggerito dal mio Chaver* Tim Farrington: La Teologia Quantistica. Nota:* Chaver, ebraico per compagno di studi, è colui che studia assieme a te, perché è meglio essere in due quando si studia la Kabbalah. (Se tu non capisci, capisce lui…)

Nessun popolo ha dedicato tempo e sforzo alla ricerca della Verità e di Dio più degli Ebrei. Sono loro che hanno inventato Dio, sono loro che hanno poi elaborato quella loro invenzione, scrivendo la Bibbia, partendo da un sogno del Patriarca Abramo. Sono loro che poi hanno scritto l'interpretazione della Bibbia, cioè il Talmud. Ed è nel Talmud che troviamo la chiave per spiegare il perché di tanti sforzi. Ecco cosa c'è scritto: "Se un uomo non ha mai pensato a queste quattro cose: cosa c'è in alto, cosa c'è in basso, cosa c'era prima del mondo, cosa ci sarà dopo? Sarebbe stato meglio se quell'uomo non fosse mai nato." (Talmud di Babilonia, Hagigah, 11.b)

Le lecteur de de langue française trouve aujourd’hui une belle et précise traduction commentée, dans la langue de Molière, de l’Introduction au Livre du Zohar. C’est une remarquable contribution …
Monsieur Franklin RAUSKY
Doyen de l’Institut Universitaire Élie Wiesel


Cette traduction atteste du travail remarquable d’une personnalité où s’inscrivent dans l’harmonie les richesses du lettré religieux, du pédagogue passionné, du manieur éclairé des mots hermétiques…
Monsieur le Rabbin Claude SULTAN
Professeur de Pensée Juive
du Séminaire Rabbinique de France

Loin d’être statique et figée dans le temps, la poésie libanaise d’expression française de Fouad Gabriel Naffah, Nadia Tuéni et Jad Hatem témoigne d’un dynamisme interne assurant sa transhistoricité, ainsi que sa portée universelle et hermétique qui nécessitent une étude ramifiée et transdisciplinaire. Régissant le lien entre le monde des archétypes et celui de la manifestation, le dynamisme de la roue cosmogonique s’exprime dans les œuvres des poètes précités en prenant diverses formes interconnectées. Cette étude constitue une tentative d’élucider le rôle essentiel de ce dynamisme au sein des chairs poétiques mises à l’étude. Effectivement, ce dynamisme s’avère la clé de la création poétique assurant en premier lieu un renouvellement cyclique, le dépassement du temps linéaire et la restitution de l’Unité Primordiale. Ce dynamisme éclaire en deuxième lieu le lien entre le « lieu primordial » et la Réalisation alchimico-mystique du Soi en passant par l’ancrage national intimement lié à l’universel. Le dynamisme de la roue cosmogonique élucide également chez chacun des poètes précités une métaphore dite essentielle. Le dynamisme de la roue cosmogonique se dresse finalement comme la voie vers le « poème matriciel », ainsi que le « poémythe » et le « Mercure poétique » chez chacun des poètes. Vivante, cette poésie sera toujours d’actualité. Ayant son propre Mercure, elle est vouée à l’Éternité.

Info tratte da Premessa: ovviamente il concetto fondante della Cabala è l'Albero delle Sephirot, ovvero delle Dieci Emanazioni, le Potenze Originarie, sorta di sfere che si appaiano, e ciascuna di queste coppie e combinazioni imprime un nuovo impulso alla creazione. Le Sephirot formano l'Uomo Primordiale, a somiglianza del quale è creato l'essere umano.

Language becomes communicable and thus common where there is no language that
claims to ordain all languages, an alpha (Aleph) language, a constitution as structure that organizes
the movement of all language in a definite and precise direction. The failure of language is its own
potentiality.

Pour la première fois, le LIVRE DU ZOHAR est proposé au monde francophone sous forme de deux cent trente extraits, dont chacun comprend deux parties...

For the first time, the BOOK OF THE ZOHAR is presented to the French-speaking world in the form of two hundred and thirty extracts, each of them comprises two parts...

Cette oeuvre posthume monumentale aborde, avec clarté et érudition, un aspect déroutant au regard de la théologie juive médiévale classique, puisqu’il s’agit de repenser l’unité divine, si l’on peut dire, dans sa structure intime, « bisexuée ». On y découvre que la bi-unité divine constitue une conception centrale et capitale de la cabale, et plus globalement encore, de la pensée juive la plus ancienne, quoique largement dissimulée. L’idée troublante a pu au cours de l’histoire prendre des formes diverses et contrastées, ce que Mopsik retrace par l’immense fresque qu’il en dresse. Nous tentons d'en souligner les traits saillants communs en guise d'hommage.

"Il y a longtemps que ma conscience m’interpelle et me harcèle de jour en jour pour que je sorte de ma réserve et que j’écrive un livre fondamental sur l’Âme du Judaïsme et de la Religion, ainsi que sur la connaissance de l’authentique Sagesse de la Kabbala". Rav Ashlag

What they have in common, and what they differ from ?
The Book of ZOHAR reveals that the TORAH consists of a BODY and a SOUL, i.e. an APPARENT DIMENSION and a HIDDEN DIMENSION. 
The apparent part of the TORAH concerns the stories which are contained therein as well as the MITZVOT that apply in the apparent reality of the world. ..

L'homme est un être inachevé, contrairement aux animaux qui ont une place déterminée, un aspect qui leur est propre et des dons particuliers. En termes modernes, il n'y a pas de "nature humaine", on ne naît pas homme, on le devient, aussi bien individuellement (ontogénèse) que collectivement (phylogénèse), l'homme se crée lui-même à travers la culture. On peut donc dire, sans trop craindre de déformer la pensée de Pic de la Mirandole, que Dieu n'a pas crée l'homme, mais qu'il a laissé à l'homme la liberté de "se créer" lui-même, d'être l'artisan de son propre devenir. L'homme s'accomplit dans l'action.

Este es un pequeño resumen del libro principal " Los 72 Nombres de Dios", aquí encuentras el nombre del ser celeste, su numero, su misión o mejor dicho las lecciones que tiene que ensenarte, el salmo para activarlo y las fechas para ser contactado.

ENG/
Nicknamed "The Learned Princess", Antonia von Württemberg (1613-1679) was celebrated for her erudition, piety, generosity and Wisdom. Granddaughter of Duke Frederick I of Württemberg, Grand Master of the Rosicrucian in Germany in the 16th century, and friend of Johann Valentin Andreae, she was passionate about mysticism, especially the Kabbalah.

Between 1659 and 1663, she had her famous altarpiece "Die Kabbalistische Lehrtafel", a singular and abundant work symbolizing the journey of the soul, executed. As an iconographic synthesis of the Jewish Kabbalah, with its Christian reinterpretations and 17th-century Rosicrucian teachings, this painting depicts Antonia herself, encouraging everyone to accomplish this spiritual journey.

This is the first time that a complete and detailed study of this triptych is offered in French. The authors unveil the hidden meanings of Antonia's journey in a mystical light, based on the princess' own sources. Among the many themes they decipher: the "secrets" of the Mystical Wedding, the four stages of Initiation in connection with the Sephirot Tree, a secret pre-kabbalistic doctrine, the mystery of the "motto A.V.O." of the princess, her particular technique of mystical prayer... An enriching journey that contains some of the fundamental principles of the teaching of the Rosicrucians and the Kabbalah.
FR/
Surnommée « La princesse savante », Antonia von Württemberg (1613-1679) fut célébrée pour son érudition, sa piété, sa générosité et sa Sagesse. Petite-fille du duc Fréderic 1er de Württemberg, Grand Maître de la Rose-Croix en Allemagne au XVIème siècle, et amie de Johann Valentin Andreae, elle se passionna pour le mysticisme, notamment la Kabbale.

Elle fit exécuter entre 1659 et 1663 son célèbre retable, « Die Kabbalistische Lehrtafel », œuvre singulière et foisonnante symbolisant le voyage de l’âme. Synthèse iconographique de la Kabbale juive, de ses réinterprétations chrétiennes et d’enseignements rosicruciens du XVIIème siècle, ce tableau met en scène Antonia elle-même, encourageant chacun à accomplir ce cheminement spirituel.

C’est la première fois qu’une étude complète et détaillée de ce triptyque est proposée en français. Les auteurs y dévoilent les sens cachés du voyage d’Antonia sous un éclairage mystique, à partir des sources mêmes de la princesse. Parmi les nombreux thèmes qu’ils décryptent : les « secrets » du Mariage mystique, les quatre étapes de l’Initiation en lien avec l’Arbre des Sephirot, une doctrine secrète pré-kabbalistique, le mystère du « motto A.V.O. » de la princesse, sa technique particulière de prière mystique… Un voyage enrichissant qui contient certains des principes fondamentaux de l’enseignement des Rose-Croix et de la Kabbale.

ENG/
Nicknamed "The Learned Princess", Antonia von Württemberg (1613-1679) was celebrated for her erudition, piety, generosity and Wisdom. Granddaughter of Duke Frederick I of Württemberg, Grand Master of the Rosicrucian in Germany in the 16th century, and friend of Johann Valentin Andreae, she was passionate about mysticism, especially the Kabbalah.

Between 1659 and 1663, she had her famous altarpiece "Die Kabbalistische Lehrtafel", a singular and abundant work symbolizing the journey of the soul, executed. As an iconographic synthesis of the Jewish Kabbalah, with its Christian reinterpretations and 17th-century Rosicrucian teachings, this painting depicts Antonia herself, encouraging everyone to accomplish this spiritual journey.

This is the first time that a complete and detailed study of this triptych is offered in French. The authors unveil the hidden meanings of Antonia's journey in a mystical light, based on the princess' own sources. Among the many themes they decipher: the "secrets" of the Mystical Wedding, the four stages of Initiation in connection with the Sephirot Tree, a secret pre-kabbalistic doctrine, the mystery of the "motto A.V.O." of the princess, her particular technique of mystical prayer... An enriching journey that contains some of the fundamental principles of the teaching of the Rosicrucians and the Kabbalah.
FR/
Surnommée « La princesse savante », Antonia von Württemberg (1613-1679) fut célébrée pour son érudition, sa piété, sa générosité et sa Sagesse. Petite-fille du duc Fréderic 1er de Württemberg, Grand Maître de la Rose-Croix en Allemagne au XVIème siècle, et amie de Johann Valentin Andreae, elle se passionna pour le mysticisme, notamment la Kabbale.

Elle fit exécuter entre 1659 et 1663 son célèbre retable, « Die Kabbalistische Lehrtafel », œuvre singulière et foisonnante symbolisant le voyage de l’âme. Synthèse iconographique de la Kabbale juive, de ses réinterprétations chrétiennes et d’enseignements rosicruciens du XVIIème siècle, ce tableau met en scène Antonia elle-même, encourageant chacun à accomplir ce cheminement spirituel.

C’est la première fois qu’une étude complète et détaillée de ce triptyque est proposée en français. Les auteurs y dévoilent les sens cachés du voyage d’Antonia sous un éclairage mystique, à partir des sources mêmes de la princesse. Parmi les nombreux thèmes qu’ils décryptent : les « secrets » du Mariage mystique, les quatre étapes de l’Initiation en lien avec l’Arbre des Sephirot, une doctrine secrète pré-kabbalistique, le mystère du « motto A.V.O. » de la princesse, sa technique particulière de prière mystique… Un voyage enrichissant qui contient certains des principes fondamentaux de l’enseignement des Rose-Croix et de la Kabbale.

Rabbi Moshé Hayim LUZZATTO Philosophe et kabbaliste 1707-1746 'L'esprit humain n'est pas capable de comprendre l'univers. Nous sommes comme un petit enfant qui entre dans une librairie qui est immense. Les murs sont couverts jusqu'au plafond de livres écrits dans de nombreuses langues différentes. Il est complètement perdu. Il ne comprend pas les langues dans lesquelles ils ont été écrits. Mais l'enfant perçoit qu'il y a un certain ordre dans la disposition des livres, un ordre mystérieux qu'il ne comprend pas mais qu'il entrevoit vaguement' [Albert Einstein]. Les ouvrages de Ramḥal répondent aux questions qui encore aujourd'hui habitent nos pensées. Est-ce que ce que nous faisons est utile et important en vue de hâter la Délivrance ? Comment pouvonsnous connaître le Plan du CRÉATEUR ? Quelle relation y at -il entre le monde physique et le Monde Spirituel ? Quel est le sens de la vie, et quel est son but ? Lire la suite www.lezohar.fr

A tentative critical edition of the Bahir, based on the main findings of the study "The Bahir as It Once Was: Transmission History as a Tool for Reconstructing and Reassessing the Text, Format, and Ideas of the Original Composition". The critical edition adopts the earliest retrievable text, as presented in its original format, and divided according to the aforementioned twofold division, of primary units and subunits.

Sefer ha-Bahir has been studied extensively, usually under the assumption that it is an early—if not the earliest—kabbalistic composition. The main theories about its dating, geographical origins, and conceptual-theological worldview run counter to the conception of it as a book with textual integrity. Scholars have discerned multiple layers in it, often attributed to varied source material, and have typically reached the conclusion that it is a poorly edited and fragmentary work. After the fashion of modern Bible scholarship, some studies even suggested to carving sentences into two and assigning each to different authors or sources.
  This study reexamines these theories, especially in light of new findings concerning the Bahir’s early textual and transmission history. Of paramount significance is the identification of the earliest known textual witness of the Bahir (Ms. Rome, Casanatense Library, MS 3086), which has tremendous implications for our understanding of the original text, format, and internal division of the work, as well as its early transmission and dissemination. Textual difficulties that gave rise to the dominant scholarly theories regarding multiple authorship, substandard editing, and discrete strata can now be plausibly explained away as the product of the book’s early transmission, rather than attesting to its earlier stages of consolidation.
  The first part of this article surveys the history of the prevalent notion of the Bahir as a work cobbled together over time, in different places, by various hands belonging to distinct schools, and how this notion resulted in artificial division of the book into textual units. This problematic division, in turn, heightened the sense of a fragmentary and poorly edited composition, resulting in complex theories regarding its multi-layered nature and conceptual incongruities.
  Part two of this study identifies for the first time the earliest textual witness of the Bahir (MS Rome 3086). The value of this overlooked manuscript is inestimable, as it preserves both errors in transcription and transmission and evidence of an older division within the work. A careful examination of the textual order preserved in this early witness reveals that glaring discontinuities in the prevalent version of the Bahir did not come from the cobbling together of diverse sources, but from work mishaps, like the accidental reversal of a folio, a mistake that came to plague every known copy of the book. The detection of signs of serious mishandling has enabled the drawing of a stemma of all the surviving witnesses of the Bahir, and their exhaustive assignment to two recensions total. This chapter then presents a reconstruction of the original form of the work, including its text, format, and internal division, and a new method of critically editing it.
  In part three of this article, I propose a twofold structural breakdown of the Bahir: primary midrashic units and their respective subunits. Historical philology and literary analysis are used to demarcate the boundaries of each homiletical unit, and various methodologies are suggested for isolating the thematic threads that join the various sections.
    The fourth part of the study shows how the proposed reconstruction of the Bahir sheds new light on its fundamental conceptual repertoire. The fifth and final section examines the literary structure of the reconstructed midrashic units as present in the completed work and in the earliest stages of its dissemination.
    An appendix to the study presents a tentative critical edition of the Bahir, based on the main findings of this study. The critical edition adopts the earliest retrievable text, as presented in its original format, and divided according to the aforementioned twofold division, of primary units and subunits.

Et il faut vraiment expliquer une fois pour toutes pourquoi la venue du Machiaḥ [le Sauveur] dépend de la transmission de l’étude de la Kabbalah au plus grand nombre, ce qui est si souvent rappelé dans le Zohar et dans tous les livres de Kabbalah. Mais la plupart des gens prennent cela pour de vaines paroles, au point qu’il est devenu impossible de le supporter. Ce sujet est expliqué dans le livre Tikkounei HaZohar, et voici ce qu’il dit :

MANNONI, DANS SON « Je sais bien, mais quand même 1 », abordait en psychanalyste la tendance au déni et le diffi cile rapport que le sujet entretient avec la réalité ; la croyance, elle, n'est pas un déni, elle ne suppose ni occultation ni souff rance ; c'est même l'une des formes les plus courantes d'adhésion à une idée, à une représentation. L'anthropologie de la connaissance nous apprend que sans croyance-sans confi ance en une conception dont on ne vérifi e pas soi-même la validité (par l'expérience ou le raisonnement)-il serait bien diffi cile aux hommes de progresser puisqu'il faut bien que l'élève s'appuie avec confi ance sur l'enseignement de ses maîtres pour un jour les dépasser. Mais cela suppose que le sujet soit capable de confi ance, que les tenants du savoir en soient dignes, moralement et intellectuellement, et qu'enfi n la raison intervienne pour valider les déductions faites à partir des croyances initiales. Ce double rapport à la confi ance et à la raison fait la fragilité de la croyance et suscite les soupçons de duperie et d'aveuglement-la croyance a ses spectres, ils ont pour nom crédulité, mensonge, superstition, folie. Chacun apprend donc à se méfi er de ses croyances comme à se défi er de celles des autres ; le refus de croire est aussi nécessaire que la décision de croire. Pour autant, et c'est là que la formule de Mannoni nous servira de guide, il est plus facile de corriger une erreur que de se défaire d'une croyance, cette dernière échappant par défi nition au contrôle de la raison et

Selon le Zohar, Rabbi Chim'one Ben Yohaï (Rashbi), qui a vécu à la fin du Ier siècle et au IIe siècle de l'ère actuelle,  aurait demandé à l'un de ses disciples, Rabbi Abba, de rédiger ce Livre. Pourtant, certains affirment que le Zohar a été écrit au cours de la seconde moitié du XIIIe siècle en Castille.
Qu'en est-il selon le Rav Yehouda Ashlag, qui a consacré une grande partie de sa vie à l'étude du Zohar?

The essay explores a side of Origen’s Renaissance mnemohistory. Starting from Pico della Mirandola’s account of the Kabbalah, in which Origen assumes a privileged role, to the end of Sixteenth century, when sometimes he would himself be considered among the Kabbalists, the article shows how this paradigm would a!ect the history of Renaissance philosophy.

L'Arbre des Sefirot peut être vu comme un graphe connexe. Partant des représentations qu'en donnent le prètre Jésuite Athanasius Kircher[9] et le Rabbin Moshe Cordovero[7], nous montrons qu'il en est ainsi et nous en établissons quelques propriétés. Le Sepher Yetzira (Livre de la Création) est un traité de cosmogonie et de cosmologie de la Tradition hébraïque, rédigé entre le IIIème et le VIème siècle [1-p.79]. Cet ouvrage hermétique aborde entre autres, les notions de combinaisons et permutations, qui sont des éléments de l'Analyse combinatoire qui va être élaborée au XVIIème siècle[8, 14, 15]. Nous pouvons, interpréter des passages du Sepher Yetzira comme décrivant des chaînes et cycles hamiltoniens. Ces éléments nous laissent penser que la Tradition hébraïque médievale et de la renaissance contient aussi en germe le concept de graphe, ceci bien avant l'article fondateur d'Euler en 1736 sur les ponts de Könisberg, à partir duquel l'étude des graphes allait devenir une branche des Mathématiques[4].

Info tratte da La Cabala (Kabala) è un'alterazione moderna della parola ebraica Kabbalah che significa "tradizione" ed è il nome dato alla dottrina esoterica degli Ebrai: si tratta di un insieme di tradizioni riguardanti l'interpretazione dell'Antico Testamento. Per alcuni la Cabala sarebbe di origine divina ed antica quanto il genere umano, dato che Raziel, l'Angelo dei Misteri, l'insegnò per ordine dell'Eterno ad Adamo, quando venne cacciato dall'Eden. Adamo la trasmise al figlio Seth e da Seth giunse a Mosè. Giuseppe pronipote di Abramo l'insegnò ai maghi d'Egitto. Mosè ritrovata la Cabala in Egitto la raccolse e la purificò. Ne velò la sostanza segreta nelle composizioni allegoriche del Sepher-Bereshit ed è così che fissata con la scrittura, si è conservata fino a noi.

Si Dieu sait que demain, je commettrai tel crime à telle heure, puis-je agir autrement que ce que Dieu aura prédit ? Si la réponse est positive, cela implique que Dieu Se sera trompé, ce qui compromet Sa perfection. Si la réponse est négative, cela implique que la volonté humaine est prédéterminée et donc non véritablement responsable. Puisque tant l’omniscience que le libre arbitre sont indispensables pour tenir à la fois la perfection divine et la responsabilité humaine, nombreux penseurs juifs – mais cela vaut aussi pour des philosophes et penseurs de tous bords – se sont efforcés de lever la contradiction. Dans mon ouvrage, je retrace l’histoire de ces tentatives depuis les premières formulations énigmatiques de la Bible, en passant par les sources antiques, talmudiques et médiévales, jusqu’aux constructions ou synthèses rabbiniques les plus récentes, sans oublier la Cabale.

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Le Livre du Zohar ouvre la voie vers de nouveaux horizons, et vers la connaissance de soi. Grâce au mérite du Rav Daniel Frisch (1935-2005), qui est considéré dans le monde comme un kabbaliste particulièrement éminent, nous disposons aujourd'hui d'un commentaire qui permet à chacun d'accéder au sens profond du Zohar. Pour la première fois, cette oeuvre importante est traduite en français et présentée au public francophone. Le présent ouvrage, le second de sa série, montre combien l'étude de la Tora et de la Kabbala est à même de transformer l'être humain et de le rendre meilleur. 'Le langage du Zohar contribue à élever l'Âme, même s'il arrive qu'un homme ne comprend pas toujours ce qu'il lit. C'est comme celui qui entre dans un magasin d'épices : bien qu'il n'ait rien acheté, il en ressort cependant avec un arôme agréable sur lui'.

Questa traduzione della seconda parte del saggio sulla Kabbalah di Mosè de Leon dimostra che le teorie sull'etere dei  Cabalisti Medievali precedevano di secoli la scienza moderna. Ma in un certo senso Moses de Leon e i Kabbalisti medievali, possono rivendicare una superiorità sulla teoria moderna. Poiché la dottrina cabalistica dell'etere non si limita alla materia, ma include l'"Intelligenza
dell'Universo” come una forza essenziale, con cui fare i conti. Sotto questo aspetto, sorprendentemente, essi si avvicinano al pensiero di Spinoza. David Bohm ed Einstein, sviluppatosi molti secoli dopo.

Les 72 Noms de Dieu, dont dérivent les 72 Génies de la Kabbale chrétienne et occultisante, ont toujours fait rêver les mages, magiciens et occultistes, modernes ou anciens. Le Shem ha-Mephorash dont la connaissance fut possible grâce aux commentaires du Rashi, se retrouve, dès la Renaissance, dans les oeuvres de Cornelius Agrippa, de Pic de la Mirandole et des autres philosophes de l'hermétisme. On retrouvera plus tard ces 72 Génies dans de nombreux grimoires et ouvrages de magie ou même de sorcellerie !

Le Livre du Zohar ouvre la voie vers de nouveaux horizons et vers la connaissance de soi.

Grâce au mérite de Rav Daniel Frisch (1935 - 2005), qui est considéré dans le monde comme un éminent kabbaliste, nous disposons aujourd'hui d'un commentaire qui permet à chacun d'accéder au sens profond du Zohar.

Pour la première fois, cette œuvre importante est traduite en français et présentée au public francophone. Le présent ouvrage, premier de sa série, montre combien l'étude de la Tora et de la Kabbala est à même de transformer l’être humain et le rendre meilleur.

« Le langage du Zohar est de nature à élever l’Âme, même si un homme ne comprend pas toujours ce qu’il lit. C’est comme quelqu’un qui entre dans un magasin de parfums : bien qu’il n’ait rien acheté, quoi qu’il en soit, il en ressort avec une agréable senteur de parfum ».
Rabbi Moshé Ḥayim de Sodilkov.

Theological Debates among the Masters of Niqqud in the Works of Joseph Gikatilla's "Disciples" Avishai Bar-Asher In the early 1270s, R. Joseph b. Abraham Gikatilla wrote a number of works dedicated to the secrets of the Tiberian Hebrew vowel points. In them, he developed an exegetical approach that derives theological meaning from the character of the vowel points, and the relevant theology is built on Aristotelian metaphysics and cosmology. Gikatilla's extant compositions on the subject include: (1) the so-called Sefer ha-Niqqud, of which both a long and short version are known (also preserved in Latin translation); (2) the third and final part of his popular Ginnat Egoz; and (3) a short, late revised version of Sefer ha-Niqqud titled Sha'ar ha-Niqqud which was reworked into the framework of theosophical Kabbalah.
      This article discusses a series of anonymous, short compositions on the vowel points written in the wake of Gikatilla's, beginning in the 1270s and continuing for a generation or two. The nameless authors drew on his work and further developed his approach, and in so doing interpreted each in their own way his conceptions of theology and metaphysics, language, and cosmology.

The first part of the article identifies these short tracts scattered among other anonymous treatises in manuscript, some new to scholarship and some having been discussed only in very general terms.
  The second part turns to the content of these works and analyzes their absorption and modification of Gikatilla's thought. At the heart of the discussion is a theological dispute among these authors about the very possibility of representing the transcendent deity and the sub-divine cosmological realm through the set of signs that are the Hebrew vowel points, particularly the ḥolem (or ḥolam). These writers ranged across time and space, so an examination of how they adapted Gikatilla's thought and one another's interpretations is crucial for drafting a more accurate reception history of Gikatilla's early writings. Notably, these "successors" of Gikatilla did not identify terminology or ideas from theosophical Kabbalah in his treatment of the vowel points. The theosophy of the sefirot rarely appears in these works, and when it does it is marginal and a glaringly late interpolation.
      The extensive investigation of these sources reveals an unknown stage in the dissemination and exposition of Gikatilla's early writings. It further informs the ongoing discussion about distinct conceptual stages in Gikatilla's intellectual biography, and helps to remap Gikatilla's connections with other kabbalists and kabbalistic works (Abulafia, de Léon, the Zohar, and others).


Editions of six of the works discussed in the article are included in appendices.

UPDATED: 22JUL22. This paper explores the esoteric meaning behind the order of the letters of the Hebrew alefbet. It focuses on the astrological correspondences attached to the Hebrew letters and the reason for their disjointed sequences. Further revisions of this document are possible. The document has a datestamp.