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Viry-Châtillon
Viry-Châtillon Administration Pays Région Département Arrondissement Canton chef-lieu) 91687 91170 Maire
Mandat en coursSimone Mathieu (PG)
2008-2014siège) Démographie 31 252 hab. (2006) 5 149 hab./km² Géographie 48° 40′ 17″ Nord
2° 22′ 30″ Est / 48.671342, 2.374973Altitudes mini. 32 m — maxi. 84 m Superficie 6,07 km² Viry-Châtillon (prononcé [viʁi ʃat̪ijɔ̃]
) est une Paris dans le Essonne et la région chef-lieu du communauté d'agglomération Les Lacs de l'Essonne.
Des domaines partagés transmis entre d'illustres familles, Viry-sur-Orge, le bourg agricole situé sur la route de Paris à 1790. Équipé au XIXe siècle d'une ligne de Villeneuve-Saint-Georges à Montargis, la commune accueilli en 1909 le premier aérodrome organisé du monde[1],[2]. S'il ne perdura pas au-delà de la première guerre mondiale, il permit la renommée de la commune, qui connut dès les lotissement de la plaine alluviale, porté par l'axe majeur que constituait la route nationale 7. Ce développement se poursuivi dans les grands ensembles de siège social de l'écurie de course automobile Renault F1 Team.
Ses [3].
Sommaire
Géographie
Situation
Position de Viry-Châtillon en Essonne.Occupation des sols en 2003 Type d'occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)Espace urbain construit 76,50 % 471,21 Espace urbain non construit 13,05 % 80,41 Espace rural 10,45 % 64,38 Source : [4] Viry-Châtillon est située dans la région département de l'agglomération parisienne, à la frontière des régions naturelles du Brie française. La commune occupe un territoire dont la forme prend approximativement celle d'un triangle rectangle duquel l'angle aigüe serait orienté au sud-ouest. Ce territoire occupe une superficie de six cent seize 2003 et seulement 10 % considérés comme lac. L'coordonnées géographiques 48°40'40" N et 02°22'33" E au point central de ce territoire[5]. La commune est implantée sur la rive gauche de la Seine qui alimente par un ruisseau le vaste Orge, cette dernière rejoint le fleuve à proximité du centre-ville. Ce réseau hydrographique a modelé le terrain, créant un plateau au sud du territoire de la vallée au nord. Cette vallée accueille plusieurs axes de transport majeurs qui traversent la commune du Nord au Sud, la ligne D du RER d'Île-de-France par la ligne Villeneuve-Saint-Georges - Montargis y dispose de la route nationale 7 et l'routes départementales suivant approximativement une orientation Est-Ouest, les RD 29, RD 77 et RD 445. L'urbanisation a suivi ces obstacles naturels et artificiels, le centre-ville est ainsi disposé dans la vallée, les zones d'activités commerciales et industrielles se sont implantées à proximité des voies routières, puis intervint le lotissement des coteaux par des pavillons à l'emplacement de l'ancien Port-Aviation, et enfin l'occupation du plateau avec la création dans les quartier d'habitat social de Grigny.
Sixième communes du département par sa population, Viry-Châtillon est située à vingt kilomètres au sud-est de Paris-point zéro des routes de France, sept kilomètres au nord-ouest d'Corbeil-Essonnes, onze kilomètres au sud-est de Palaiseau, trente-et-un kilomètres au nord-est d'Montlhéry, treize kilomètres au nord-est d'La Ferté-Alais, trente-et-un kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt et trente-et-un kilomètres au nord-est de chef-lieu du Val-de-Marne homonyme Hydrographie
La commune de Viry-Châtillon est implantée sur la rive gauche du Seine qui parcourt un kilomètre et quatre cent mètres à l'extrême Est du territoire. Une longue partie de la frontière avec les communes voisines de Savigny-sur-Orge puis rivière affluente l'Orge qui parcourt ainsi deux kilomètres et trois cent mètres sur le territoire communal. Approximativement au milieu de ce trajet, elle se sépare au niveau d'un étang alimenté par cette morte rivière occupe l'espace entre la route nationale 7 et la rue du Pont Godeau. Avenue des Castors, un bassin artificiel agrémente le parc de la résidence de la Haute Borne. Au Sud-Est, le ruisseau, est partagé entre la commune et sa voisine, Noues de Seine, soit un tiers des soixante-dix-sept hectares de l'ensemble aujourd'hui consacré à la base nautique[6]. En souterrain, la commune est traversée du Sud au Nord par l'Vanne et du Loing qui alimente Paris en réservoir de Montsouris.
Relief et géologie
Viry-Châtillon est implantée pour sa partie ouest en limite du plateau du vallée creusée par la Seine. Son territoire s'étage entre une altitude maximale fixée à quatre-vingt-quatre mètres sur le plateau à proximité de la Grande Borne[7] et une altitude minimale à trente-deux mètres au bord du fleuve[8]. Le territoire s'incline relativement rapidement vers le nord-est et la vallée de la Seine, formant un Marmont matérialise ce relief, l'altitude passant approximativement de quatre-vingt cinq mètres au niveau du moulin[9] à seulement quarante-trois mètres à proximité de l'hôtel de ville[10] à seulement un kilomètre de distance. Située à la frontière du Hurepoix, le sous-sol de Viry-Châtillon est caractéristique de celui du meulière, de limon, d'calcaire, l'érosion laissant apparaître ses divers étages sur le coteau.
Communes limitrophes
Le territoire de Viry-Châtillon est installé sur la rive gauche de la Seine, le fleuve marque ainsi la frontière naturelle avec la commune limitrophe de Pasteur, la route nationale 7 appelée avenue de la Orge marquent la frontière avec Savigny-sur-Orge. Au Sud-Ouest, sur le plateau, la rue Docteur Roux, l'avenue du Commandant Barré, la voie de Bouleaux et l'avenue du Pavillon matérialisent la frontière avec Morsang-sur-Orge, au Sud, une frontière passe dans le parc séparant la commune de sa voisine Grigny suit en parallèle l'avenue Victor Schoelcher, puis l'allée des Gâtinois, passant au milieu du lac de Viry-Châtillon.
Climat
Article détaillé : Île-de-France et bénéficie d'un température s'établit à 10,8°C, avec une moyenne maximale de 15,2°C et une moyenne minimale à 6,4°C. Les températures moyennes mensuelles extrêmes relevées sont de 24,5°C en janvier au minimum, mais les records enregistrés s'établissent à 38,2°C le 1er 1952 et -19,6°C le 17 1985. Du fait de la moindre Paris et sa degrés celsius se fait sentir, surtout en début de journée. L'nord de la Loire avec un total de 1 798 heures par an, une moyenne haute à deux cent quarante heures en juillet et basse à cinquante trois heures en décembre. Les précipitations sont également réparties sur l'année, avec un total annuel de 598,3 millimètres de pluie et une moyenne approximative de cinquante millimètres par mois.Données climatiques à Viry-Châtillon mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (0,7 1,0 2,8 4,8 8,3 11,1 13,0 12,8 10,4 7,2 3,5 1,7 6,4 Température moyenne (°C) 3,4 4,3 7,1 9,7 13,4 16,4 18,8 18,5 15,6 11,5 6,7 4,3 10,8 Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,6 11,4 14,6 18,6 21,8 24,5 24,2 20,8 15,8 9,9 6,8 15,2 Ensoleillement (59 89 134 176 203 221 240 228 183 133 79 53 1 798 Précipitations (mm) 47,6 42,5 44,4 45,6 53,7 51,0 52,2 48,5 55,6 51,6 54,1 51,5 598,3 Transports
Viry-Châtillon est aujourd'hui traversée par plusieurs grands axes de communication majeurs. Le Seine constitue le premier historiquement, elle est aujourd'hui utilisée pour le transport fluvial de marchandises. Relativement peu utilisés aujourd'hui, la commune dispose cependant de cinq cent mètres de quais adaptés aux péniches et route nationale 7 qui passe à l'est du territoire, entre le fleuve et les lacs dans une longue ligne droite de deux kilomètres qui prend l'appellation d'Avenue du autoroute A6 sur un kilomètre trois cent mètres. La commune dispose d'ailleurs sur son territoire d'un route nationale 445 devenue en 2006 la route départementale 445. Cette dernière traverse la commune dans un axe nord-est sud-ouest, sa fonction principale est d'assurer la liaison entre la route nationale 7 et la route nationale 104 dans la commune voisine de rocade ouest du quartier de routes départementales débutent leur tracé dans la commune à l'intersection avec la route nationale 7, vers le Nord, la route départementale 29 qui mènent à Villeneuve-le-Roi en suivant le cours du fleuve, et vers le Sud, la route départementale 77 qui rejoint l'importante route départementale 117 dans la commune voisine de Morsang-sur-Orge.
Autre axe important, suivant le tracé de la Seine et de la route nationale 7 à mi-chemin entre les deux, la commune est traversée par la ligne Villeneuve-Saint-Georges - Montargis utilisée par la ligne D du RER d'Île-de-France et dispose de la gare de Juvisy-sur-Orge dans la commune voisine. Cette desserte ferroviaire est complétée pour la continuité de service la nuit par la ligne de bus Noctilien N144[13] et la ligne N135[14]. En journée, la commune est reliée à plusieurs lignes de bus, dont la ligne de bus TICE 402[15] et plusieurs lignes du réseau de bus Daniel Meyer, le réseau urbain Passe Partout[16], les lignes DM3 vers [17], DM4 vers [18], DM5 vers Fleury-Mérogis[19], DM8 vers Thiais[20] et DM22 vers Savigny-sur-Orge[21].
Site du premier aérodrome organisé au monde, fermé après la première guerre mondiale, Viry-Châtillon est située à seulement six kilomètres au sud de l'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle.
Lieux-dits, écarts et quartiers
La commune qui organise des coteau et en partie par les voies de l'grand ensemble d'habitat social de parc industriel du [22]. L'ancien territoire occupé par l'aérodrome de Port-Aviation a été lotis pendant l'quartier pavillonnaire. Le centre-ville occupe l'espace entre le lac des Noues de Seine et la Morte Rivière d'Orge, tandis que la partie comprise entre ce cours d'eau et la Seine, à l'extrême nord du territoire correspond à l'ancienne commune de Châtillon, mêlant aujourd'hui pavillons, résidences de standing en bord de Seine et portuaires communes avec Grigny. Les quartiers de la Grande Borne[23] et le quartier de la Cilof[24] sont répertoriés comme zone urbaine sensible, la Grande Borne est en outre une zone franche urbaine[25]. Les quartiers des Coteaux de l'Orge[26] et du Plateau[27] sont prioritaires au titre de la rénovation urbaine.
Toponymie
Viry-Châtillon était auparavant composée de deux communes distinctes, Viry-sur-Orge et Châtillon-sur-Seine. Les deux avaient ainsi choisies de mentionner le nom du cours d'eau qui traversait leur territoire, l'Orge et la Seine. Le mot Châtillon est une évolution signifiant « petit latin Viriacum ou Veriacum signifiant le « domaine de Verus », un ancien propriétaire terrien [28].
Histoire
Les origines
Des silex taillés ont été mis au jour à proximité de l'actuelle centre-ville atteste d'une occupation humaine du lieu dès la Préhistoire. L'étymologie du lieu semble attribuer à un propriétaire terrien dénommé « Verus » l'édification d'une villa rustica 1093 avec la description du domaine de Vulgrain de Viry sous l'appellation Viriaco et Castellonio dans un acte du Longpont.
Moyen-âge et Renaissance
En 991 existait à Viry un 1118, le roi Louis VI le Gros héritant du domaine de Montlhéry, la seigneurie de Viry et le hameau de Chastillon dépendants furent rattachés au XIIIe siècle fut édifiée l'Saint-Denis.
En 1488, l'héritier du domaine, Richard de Saint-Marcy vendit une partie à son voisin, le seigneur de Savigny Étienne de Vesc, par ailleurs Charles VIII. Alors qu'il parvint à acquérir l'ensemble des terres, le domaine fut divisé et une partie revint en 1531 à Robert Piédefer, Châtelet. En 1586, Louis d'Agoust parvint à réunir les domaines de Viry, Chastillon, Orangis et Savigny.
En 1633, la paroisse de Viry s'équipa d'un 1674, le domaine du Piédefer fut enrichi d'une orangerie. En 1682, une ordonnance royale fixa les limites des domaines du royaume, celui de Viry était alors partagé entre les familles de Vins et d'Agoust. Résidait alors au château de Viry la famille Perrault.
Histoire moderne
Le 21 1789, le contrôleur des Finances du royaume Antoine de Sartine, pendu à Paris, Rue de la Verrerie, il devint l'une des premières victimes de la Révolution française. En 1790, Viry-sur-Orge et Châtillon-sur-Seine fusionnèrent pour former l'actuelle commune de Viry-Châtillon. Le 1er 1790 fut élu le premier maire de la nouvelle commune, Jacques-Louis Larue. En 1791, le dernier seigneur du lieu, Charles-Emmanuel de Vintimille vendit ses terres à Marie-Romain Hamelin, receveur général des Finances.
En 1809, la fille de 31 mars 1814, c'est sur la route de Paris à Viry-Châtillon que Napoléon Ier apprit la 1867, la ligne Villeneuve-Saint-Georges - Montargis fut mise en service, un port de commerce fut aménagé et commença l'activité d'extraction des meulières et du sable à l'emplacement actuel du lac. De septembre à novembre 1870, la commune fut occupée par l'armée allemande au cours de la 1882, les dominicaines de couvent, la chapelle Notre-Dame du Rosaire fut bénit le 3 octobre 1885. En 1885, la municipalité édifia une nouvelle mairie-école à proximité de la place du marché, inaugurée en 1888.
Histoire contemporaine
Le 23 mai 1909 fut organisé un meeting aérien sur ce qui allait devenir le premier aérodrome organisé du monde, Port-Aviation ainsi nommé par le ministre des Transports Louis Barthou, équipé d'une piste en ellipse de quatre kilomètres, de gradins pouvant accueillir sept mille personnes, de hangars et d'ateliers permanents. Le 4 1909, une exhibition de bienfaisance réunit près de dix mille personnes. Le 18 octobre 1909, Paris, pour lequel il reçut la médaille d'or de l'Aéro-Club de France[29]. Durant la première guerre mondiale, le terrain servi à la future Composante Air Royal Air Force britannique.
Endommagé, régulièrement inondé par les crues de la Seine, le terrain fut abandonné en 1919 et lotis à partir des [30]. En 1938 s'ouvrit la première maison de retraite à la place du couvent des dominicaines. Au sortir de la seconde guerre mondiale, la municipalité entreprit d'aménager le centre ville, le 27 1948 fut inauguré le parc André Leblanc et son théâtre de verdure. En 1958 fut fondé le Entente Sportive Viry-Châtillon. Suivi en 1959 le club nautique.
En 1960, l'1962, les services municipaux déménagèrent dans l'ancien château de la Tournelle, acquit en 1943. En 1964, la commune aménagea sur les rives du lac un important complexe nautique. En 1965, Maurice Novarina conçut et réalisa la cité des Coteaux de l'Orge. Le 22 1967, la commune devint canton de Viry-Châtillon[31], dont les limites furent modifiées le 7 1975[32]. En 1969, il équipa le quartier de l'église Notre-Dame-des-Cités. En 1971 démarra le Viry-Châtillon Essonne Hockey. En 1972, la municipalité autorisa l'implantation en bordure des Coteaux de l'Orge d'un moulin à vent voisin[33]. En 1989, la commune racheta le château des Marches pour y installer l'école communale de musique. En 1992, la commune acquit le domaine du Piédefer pour y installer le centre culturel municipal. En 1996, la commune entreprit l'aménagement du quartier de Châtillon avec la constitution d'une zone d'aménagement concerté.
Démographie
Évolution démographique
Aujourd'hui sixième commune du département en nombre d'habitants, Viry-Châtillon a longtemps été un village de pêcheurs et agriculteurs en bord de Seine pour ensuite connaître une croissance vertigineuse de sa démographie au XXe siècle. Alors qu'en 1790, les communes de Viry-sur-Orge et recensement des personnes organisé en 1793 dénombrait quatre-cent huit habitants dans la nouvelle commune, qui voyait cependant sa population chuter pour atteindre en 1821 son plus bas niveau avec seulement trois cent soixante-six résidents. Après un soubresaut en 1831 et une nouvelle chute en 1836, l'évolution fut constamment à la hausse dépassant les cinq cent personnes en 1846, les six cent habitants en 1866, portée par l'ouverture de la ligne Villeneuve-Saint-Georges - Montargis en 1867, avant un chute à cinq cent quarante-et-un habitants en 1872, consécutivement aux lourdes pertes de la 1886 et mille cinq cent quarante en 1901. L'industrialisation, l'ouverture de Port-Aviation en 1909 et la mode du pavillon de banlieue permit à la commune de poursuivre sa croissance, comptant plus de deux mille habitants en 1911, plus de cinq mille six cent en 1926 et déjà neuf mille deux cent trente-quatre habitants en 1936. Au sortir de la seconde guerre mondiale, l'baby boom puis l'afflux de réfugiés de la décolonisation vers la région capitale entraînèrent un important besoin de nouveaux logements et le lotissement de vastes territoires jadis agricoles. La commune connue alors un développement exponentiel de sa population, passant de dix mille habitants en 1954 à vingt-trois mille en 1962 et plus de trente-deux mille en 1975, pic démographique. Les 1982. Le dernier recensement intervenu en 2006 montre que les projets immobiliers récents lui permettent de renouer avec la croissance démographique, elle atteignait à cette date trente-et-un mille deux cent cinquante-deux habitants permanents. Avec 10,5 % de la population de nationalité étrangère en 2006, l'[34]. En 1999, parmi cette population étrangère, 3,3 % était Portugais, 1,4 % Algériens, 1,1 % Marocains, 0,6 % Tunisiens et Turcs et 0,2 % [35].
Histogramme
(élaboration graphique par Wikipédia)Pyramide des âges
L'analyse de la pyramide des âges de Viry-Châtillon établie en 2006 montre une relative similarité avec celle du département d'appartenance de la commune, avec cependant une légère moindre représentation des enfants nés depuis 1992 et des personnes nées entre 1947 et 1961 et à l'inverse une légère surreprésentation des habitants nés entre 1917 et 1946, correspondant approximativement aux anciens castelvirois installés lors des phases d'expansion démographique des 1970.
Administration et politique
Politique locale
La canton de Viry-Châtillon représenté par le PG), ce septième circonscription de l'Essonne représentée par le Françoise Briand (UMP). Le maire actuel est Simone Mathieu (PG), elle préside le union de la gauche et neuf pour l'opposition UMP. Elle est assistée par douze adjoints au maire[40]. La municipalité a en outre instauré cinq [41], un conseil des aînés[42], un conseil municipal des enfants[43] et un conseil municipal des jeunes. L'code 91 2 27 687[44].
En 2008, la commune disposait d'un budget de 42 030 000 [45], financés pour 45,71 % par les [46], avec des taux de taxes fixés à 21,58 % pour la taxe d'habitation, 21,58 % et 37,25 % pour la taxe foncière sur le bâti et le non-bâti et 22,95 % pour la taxe professionnelle fixée par l'[47], l'endettement municipal s'élevait la même année à 34 257 000 euros[48]. En 2007, la commune comptait 3 117 logements [49], soit 24,44 % du parc total de logements, la commune surpasse ainsi les préconisations de la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains.
La commune est membre fondateur avec sa voisine communauté d'agglomération Les Lacs de l'Essonne[50] qui dispose ainsi des compétences de aménagement du territoire, de politique de la Ville, de gestion du lac de Viry-Châtillon, de la patinoire, de la voirie, des ordures ménagères, de transport en commun. La commune adhère en outre au Syndicat mixte Orge-Yvette-Seine et l'[51], au Syndicat mixte pour la revalorisation et l'élimination des déchets et ordures ménagères[52] pour le traitement et la collecte des déchets ménagés et au Syndicat mixte Transport Essonne Centre pour l'organisation des transports en commun[53]. La commune, confrontée aux difficultés socio-économiques de ses habitants avait intégré le [54], remplacé ensuite par le [55]. L'organisation juridictionnelle rattache les justiciables castelvirois au tribunal d'instance de tribunaux de grande instance et de commerce et au Évry, tous rattachés à la [56].
Conseil municipal de Viry-Châtillon (mandature 2008-2014)[57] Liste Tendance Président Effectif Statut « Viry-Châtillon Solidaire ! » Union de la gauche Simone Mathieu 30 Majorité « Ainsi va la ville » UMP Jean-Marie Vilain 9 Opposition Maires de Viry-Châtillon
Trente-neuf maires se sont succédé à la tête de la commune de Viry-Châtillon depuis l'élection du premier en 1790 :
' Période Identité Parti Qualité 1790 1791 Jacques-Louis Larue 1791 1792 Pierre Nicolas Monprofit 1792 1795 Jacques Louis Emery 1795 1795 Jacques Charles Ferret 1795 1800 Jacques-Louis Larue 1800 1815 René Cristine Jérôme Botterel-Quintin 1815 1839 Jean-Baptiste Denis François 1839 1845 Louis-Benjamin Francoeur Mathématicien 1845 1848 Félix Capitaine 1848 1848 Jean-Baptiste Bruneau 1848 1849 Jean-Baptiste Bonifait 1849 1852 Jean-Baptiste Bruneau 1852 1857 Jean Aristide Meder 1857 1859 Charles Dominique Ernest Benoit 1859 1865 Théodore Dorothée Ferret 1865 1870 Joseph Henri Lamboi 1871 1875 Louis Pierre Charles Debondt Menuisier 1875 1882 François Charles Husson 1882 1884 Jean Louis Delarue 1884 1909 Maurice Sabatier 1909 1914 Anatole Tocque 1914 1916 Alexandre Eugène Maurice Piketty 1916 1919 François Rivet Premier adjoint faisant office 1919 1925 Adolphe Durand PRRRS 1925 1925 Édouard Schuler PCF 1925 1930 Lucien Boissé 1930 1930 Octave Gustave Marcellin Pouchain 1930 1935 Louis Alphonse Gersant 1935 1939 André Paul Gabriel Leblanc PCF 1939 1940 Gabriel Boucher Président de la délégation spéciale 1940 1941 Victor Augustin Brayer Président de la délégation spéciale 1941 1944 Henri Longuet 1944 1946 André Paul Gabriel Leblanc PCF 1946 1947 Pierre Pasanau PCF 1947 1953 Jean Verbeurgt PCF 1953 1989 Henri Longuet Conseiller général 1989 1995 Jacques Chastel UDF 1995 2006 PS 2006 en cours Simone Mathieu PG Toutes les données ne sont pas encore connues. Tendances et résultats politiques
Ancienne commune de la « Paris puis détenue par le 1953 à 1995, elle est depuis diriger par des membres de l'aile gauche du parti socialiste ayant rejoint le parti de gauche. L'analyse des derniers résultats électoraux intervenus dans la commune montre cette relative ambivalence de l'électorat et surtout une tendance à l'abstention assez marquée. Ainsi, en 2000 le référendum relatif au quinquennat présidentiel ne mobilisa que 30,50 % des électeurs, en 2001, les élections municipales et cantonales ont vu la victoire du maire et conseiller général sortant PS) mais avec seulement respectivement 58,82 % et 48,61 % de participation alors que ces scrutins locaux sont traditionnellement plus mobilisateurs. En 2002, lors de l'élection présidentielle, les électeurs castelvirois avaient dès le premier tour placé FN) en seconde position avec cependant seulement 68,92 % de participation, la « mobilisation » du second tour portant le taux de participation à 81,31 % l'avait ensuite fait chuter à 17,80 %. La même année, l'élection législative ne réunissait que 63,25 % des électeurs, le député sortant UMP) l'emportant d'une courte tête avec seulement 50,42 % dans la commune. En 2004, l'élection régionale vit la nette victoire dans la commune de PS) et l'élection européenne celle d'PS). En 2005, les castelvirois rejetèrent fortement le traité de Rome alors qu'ils avaient approuvés à 51,98 % le traité de Maastricht[59]. En 2007, lors du scrutin présidentiel et législatif, les électeurs basculèrent à nouveau vers les candidats de 2008, lors du scrutin municipal et cantonal, les taux de participation baissèrent encore pour atteindre seulement 44,44 % aux cantonales et 56,06 % aux municipales, voyant cependant les victoires des deux candidats investis par l'équipe sortante. En 2009 lors de l'élection européenne, nouveau renversement de tendance avec une très nette victoire du candidat Michel Barnier (UMP) près de sept points devant le second Europe Écologie), le candidat soutenu par la gauche locale, Patrick Le Hyaric (Parti socialiste[60] du MoDem[61] et de l'UMP[62] sont présentes dans la commune.
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :
- [63] 82,20 % pour RPR), 17,80 % pour FN), 81,31 % de participation.
- [64] 54,34 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 45,66 % pour Ségolène Royal (PS), 85,23 % de participation.
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :
- [65] 50,42 % pour UMP), 49,58 % pour PS), 63,25 % de participation.
- [66] 52,44 % pour UMP), 47,56 % pour Simone Mathieu (PS), 57,04 % de participation.
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :
- [67] 28,19 % pour PS), 15,77 % pour Patrick Gaubert (UMP), 42,24 % de participation.
- [68] 27,74 % pour Michel Barnier (UMP), 14,98 % pour Europe Écologie), 38,12 % de participation.
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :
Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2001 :[70] 53,53 % pour PS), 46,47 % pour Jean-Marie Vilain (UDF), 48,61 % de participation.
- [71] 55,77 % pour Paul Da Silva (PS), 44,23 % pour Jérôme Bérenger (UMP), 44,44 % de participation.
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :
- [72] 54,19 % pour PS) élu au premier tour, 45,81 % pour Catherine Bompard (UDF), 58,82 % de participation.
- PS) élue au premier tour, 46,32 % pour Jean-Marie Vilain (UMP), 56,06 % de participation.
Élections référendaires :
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel :[73] 74,20 % pour le Oui, 25,80 % pour le Non, 30,50 % de participation.
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe :[74] 57,89 % pour le Non, 42,11 % pour le Oui, 70,95 % de participation.
Enseignement
Les établissements scolaires de Viry-Châtillon sont tous rattachés à l'académie de Versailles. La commune accueille sur son territoire les Louise Michel, Victor Hugo, Alphonse Daudet, Charles Péguy, Minerve et Les écoles élémentaires René Descartes et Félix Esclangon et les Albert Camus, Érable[75]. La poursuite d'études vers le secondaire se font dans les Olivier de Serres, Félix Esclangon et des Sablons sur le territoire communal[76], les élèves doivent ensuite se rendre au lycées Marcel Pagnol d'Gaspard Monge ou Savigny-sur-Orge[77]. À cette offre publique s'ajoute l'privé [78]. En 2009, ce lycée été classé par le magazine baccalauréat toutes filières confondues de 98 % et 100 % pour les filières économique et social[79].
Hors périodes scolaires et pour les jeunes enfants, la commune a mis en place des Paul Éluard. Les structures Suzanne Lacore et crèche et Françoise Dolto, la crèche collective Olympe de Gouges, la crèche parentale « Mini-chatouilles Maxi-gribouilles » et le relais d'assistantes maternelles Madeleine Brès[80]. La [81].
Santé
Viry-Châtillon accueille la convalescence et rééducation fonctionnelle « Le Moulin de Viry » et la ORPEA qui dispose de cent soixante lits[82],[83], les maisons de retraite « Tiers Temps » et « Villa Pierre L'Ermite », l'résidences services seniors « Husson », « Le Coteau » et « La Forêt »[84] et l'[85]. Les urgences sont traitées par le Juvisy-sur-Orge. Quarante-sept médecins[86] et onze [87] exercent dans la commune, dix pharmacies sont installés sur son territoire[88].
Services publics
Outre les services municipaux, Viry-Châtillon compte diverses représentations du service public, dont trois agences caisse primaire d'assurance maladie[89] et une du Trésor public[90], un point information jeunesse[91], deux centres de protection maternelle et infantile[92],[93], une agence pôle emploi Anpe[94] et Assedic[95]. Un office notarial[96] est installé dans la commune. La sécurité est assurée par le bureau de police de Viry-Châtillon rattaché au commissariat de police de [97], la commune dispose sur son territoire d'un centre de secours principal[98].
Jumelages
Viry-Châtillon a développé des associations de [99]
Allemagne) depuis 1980 - de:Erftstadt (de) située à 395 kilomètres,
Wokingham (Royaume-Uni) depuis le 25 1988 - en:Wokingham (en) située à 381 kilomètres.
Vie quotidienne à Viry-Châtillon
Culture
La commune de Viry-Châtillon dispose de plusieurs lieux d'accès à la médiathèque installée dans l'espace culturel bibliothèque Montesquieu, l'espace culturel maisons des jeunes et de la culture Jean Mermoz et Maryse Bastié. Cette offre est complétée par le théâtre de verdure, le théâtre de L'Envol, animé par la [100] et par le cinéma Le Calypso totalisant cinq cent trente-huit places dans trois salles et classé « [101]. Une ludothèque et la maison de la musique Marc-Antoine Charpentier complètent l'offre d'éducation culturelle à destination des enfants[102]. Vingt-sept [103].
Sport
Le sport à Viry-Châtillon est encadré par l'école municipale des Sports pour les plus jeunes et l'office municipal des Sports pour les adultes. La commune dispose sur son territoire de plusieurs infrastructures permettant la pratique de diverses activités. La plus importante par sa taille est le parc des sports Henri Longuet, d'une capacité de 5 700 places qui dispose d'une piste d'athlétisme, d'un terrain de football et de courts de Tennis. À proximité se trouve la patinoire qui permet la pratique du patinage artistique, du hockey sur glace et la piscine des Lacs. S'ajoute la base nautique permettant la pratique du nautisme. Le stade rugby et du gymnases sont répartis sur le territoire, Du Bellay pour les sports collectif et le tennis de table, Albert Camus pour la karaté et la lutte, Léo Lagrange pour le Jules Verne pour le judo. La halle des sports est équipée pour l'patin à roulettes. Le salle d'armes est équipée pour l'associations animent la pratique sportive dans la commune[104]. Parmi celles-ci, plusieurs Entente Sportive Viry-Châtillon en football, fondé en 1958 qui évolue en [105] et le Viry-Châtillon Essonne Hockey en hockey sur glace, fondé en 1971 qui évolue en [106]. La commune partage aussi avec Évry le club d'athlétisme Viry Évry Nord Sud Essonne[107]. La commune a été ville-étape du Tour de France 1993.
Lieux de culte
La paroisse secteur pastoral de Savigny-Viry et au [108], elle dispose des Saint-Denis, chapelle du Saint-Esprit. Le culte protestant église évangélique libre et de l'association La Parole vivante[109]. L'ancien Horace de Choiseul-Praslin abrite aujourd'hui un couvent des [110]. Dans l'enceinte de la maison de retraite Pierre L'Ermite se trouve une chapelle dédiée au religieux Pierre l'Ermite[111].
Médias
La commune est située dans le bassin d'émission des France 3 Paris Île-de-France Centre, Téléssonne intégré à Télif. L'hebdomadaire station de radio Économie
Viry-Châtillon est principalement une commune résidentielle avec un espace limité consacré aux industries et aux commerces. La commune est intégrée par l'bassin d'emploi d'Orly qui regroupait en 2006 trente communes et 469 279 habitants, les castelvirois représentant 6,66 % de cette population. Dans cette zone d'emploi, 211 488 personnes avaient un emploi, en 2006, 7,2 % de la population était au chômage[112].Dans la commune, la population active était évaluée à 15 566 personnes, mais le taux de chômage était fixé à 9,6 %, la commune ne disposait d'ailleurs sur son territoire que de 8 513 emplois, une part importante de la population, 84,3 % exactement, est donc contrainte de se déplacer dans la région pour trouver un emploi. La commune ne dispose ainsi que de la zone d'activités industrielle du président Kennedy qui est occupée par notamment par le siège français de Renault F1 Team[113] et des abords de la route nationale 7 et de la Seine pour accueillir des enseignes de grande distribution. Deux E.Leclerc et dans le centre à l'enseigne 2007[114]. Pour remédier à ce relatif déficit de structures et d'emplois, l'intercommunalité a développé une pépinière d'entreprises et deux hôtels d'entreprises[115]. Installée sur le territoire, la chaufferie alimentant le quartier de La Grande Borne est classée au registre français des émissions polluantes pour ses rejets importants de [116]. La situation de la commune en bordure de l'autoroute et à proximité de centres urbains importants lui vaut de disposer en 2009 de quatre résidence secondaire. La démographie économique de la commune se distingue aussi par la répartition des catégories socioprofessionnelles, les cadres. De la même façon, les secteurs des services aux entreprises et de la construction se démarquent fortement dans la commune, ce dernier étant pourtant relativement sous-représenté dans la zone d'emploi et d'autant plus au niveau national. Les travailleurs apparaissent aussi en situation relativement précaire puisque seulement 83 % des hommes et 84 % des femmes salariés disposaient d'un emploi fixe. Cette situation entraîne une relative faiblesse du niveau de vie, le revenu net imposable moyen s'établissant en 2006 à 23 352 euros et 34,7 % de la population était non imposable. Près des deux tiers de la population vivaient en appartement et 46,6 % des habitants n'étaient que locataire, dont 27,9 % d'un logement social. Trois marchés se tiennent sous la Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006. Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d'entreprise Cadres et professions
intellectuelles supérieures Professions
intermédiaires Employés Ouvriers Viry-Châtillon 0,0 % 5,3 % 13,9 % 29,9 % 30,7 % 20,2 % Zone d'emploi d'Orly 0,1 % 4,6 % 15,2 % 27,8 % 30,3 % 22,1 % Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 % Répartition des emplois par secteurs d'activités en 2006. Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises Services aux
particuliers Viry-Châtillon 0,3 % 6,8 % 15,6 % 14,8 % 18,1 % 5,9 % Zone d'emploi d'Orly 0,5 % 8,1 % 7,2 % 15,0 % 14,3 % 6,3 % Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 % Sources : [117]Culture locale et patrimoine
Patrimoine environnemental
Un total de cinquante hectares de parcs et concours des villes et villages fleuris[118]. Dans le cadre de la préservation de l'environnement, le département a défini comme « bois du parc de Choiseul et du lycée Saint-Louis[119]. Au niveau local, la commune s'est engagée en 2003 dans une procédure de définition d'un Agenda 21[120] toujours en cours d'élaboration.
Patrimoine architectural
Le patrimoine église Saint-Denis est inscrite aux monuments historiques depuis le 16 1925[121], l'immeuble du XVIIe siècle abritant l'institution Saint-Clément est classé depuis le 22 mars 1983[122], les bornes révolutionnaires balisant l'ancienne route de Corbeil à Versailles, portant un marque de 22 mars 1934[123], et les bâtiments ornant les parcs du Pied de Fer du XVIIe siècle et de Choiseul permettent un classement au titre des jardins remarquables. L'hôtel de ville actuel occupe les locaux de l'ancien château Lacroix, construit en 1845[124]. L'actuelle maison des associations occupe la précédente mairie construite en 1888[125]. Un 1633 subsiste, alimenté par la source Saint-Denis[126], ainsi qu'un moulin à vent du XIXe siècle[127]. De l'ancien aérodrome de Port-Aviation, ne reste que le bâtiment qui abritait l'hôtel à colombages[128].
Personnalités
Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécut à Viry-Châtillon :
- Pierre Perrault (1611-1680), Claude Perrault (1613-1688), Nicolas Perrault (1624-1662), théologien y vécut.
- 1628-1703), Michel Poncet de La Rivière (1671-1730), académicien y vécut.
- 1715-1789), intendant des Finances et de la Marine s'y cacha.
- 1729-1801), ministre de la Marine y vécut.
- 1744-1808), Banque de France y est mort.
- Louis-Benjamin Francoeur (1773-1849), mathématicien en fut maire.
- 1774-1852), maréchal d'Empire y est né.
- 1813-1859), Gustave Aimard (1818-1883), Gustave Ernest Polonceau (1832-1900), École Centrale des Arts et Manufactures y est mort.
- 1837-1915), Ferdinand Ferber (1862-1909), Louis Blériot (1872-1936), Roland Garros (1888-1918), Adolphe Pégoud (1889-1915),
- Lucien Bossoutrot (1890-1958, homme politique y est mort.
- 1893-1975), actrice y est morte.
- 1907-1990), Bernard Placzek (1936- ), Jean-Claude Sozzi (1943- ), Jean-Maurice Mourat (1946- ), Jacques Jouet (1947- ), Oulipo y vécut.
- 1950- ), Françoise Briand (1951- ), François Tracanelli (1951- ), Michel-Édouard Leclerc (1952- ), Christophe de Carné de Carnavalet (1955- ), Joseph Mahmoud (1955- ), Christophe Desbouillons (1958- ), Jean-Marc Pilorget (1958- ), Pierre Lacroix (1959- ), Jean-Pierre Orts (1960- ), Taras Zytynsky (1962- ), Rudi Garcia (1964- ), Eric Lamoureux (1965- ), Laurent Lecomte (1965- ), Gabriel Amard (1967- ), Benoît Groulx (1968- ), Pierre Notte (1969- ), journaliste y enseigna.
- Patrick Rolland (1969- ), Alex Di Rocco (1970- ), Christophe Renard (1970- ), Moussa Dagnogo (1972- ), Olivier Guégan (1972- ), Ted Kelton Agasson (1973- ), Seyni N'Diaye (1973- ), Phil Groeneveld (1974- ), Martin Lepage (1974- ), Frédéric Borgnet (1976- ), Thierry Henry (1977- ), Francis Larivée (1977- ), Ghislain Bagnon (1978- ), Bertrand Danton (1979- ), Sébastien Dermigny (1981- ),
- Yann Lecompère (1981- ), Yann Vannienwenhove (1981- ), Jennifer Decker (1982- ), actrice y a étudié.
- Morlaye Cissé (1983- ), Romain Danton (1983- ), Ibrahim Diarra (1983- ), rugbyman y fut licencié.
- Mohamadou Diarra (1983- ), rugbyman y fut licencié.
- 1983- ), Kévin Ledoux (1983- ), Pierre-Édouard Bellemare (1985- ), Quentin Pépy (1987- ), Grégory Sertic (1989- ), Héraldique et logotype
Les armes de Viry-Châtillon se gueules au tours couvertes d'argent, ouvert du sable, accompagné de trois annelets d'or.[129]
La commune s'est en outre dotée d'un logotype rappelant son passé aéronautique.
Pour approfondir
Articles connexes
- Canton de Viry-Châtillon
- Entente Sportive Viry-Châtillon
- Viry-Châtillon Essonne Hockey
- Église Saint-Denis (Viry-Chatillon)
- Ensemble scolaire Notre-Dame Saint-Louis Saint-Clément
Liens externes
- (fr)Site officiel.
Bibliographie
- Jeannie Buisson, Viry-sur-Orge Et Châtillon-sur-Seine Au XVIIIe siècle, Amattéis, 1989 (ISBN 9782868490841)
- Jeannie Buisson, Viry-Châtillon Sous La Révolution Et L'Empire, Amattéis, 1992 (ISBN 9782868491176)
- Jeannie Buisson, Viry-Châtillon, 1815 - 1914-1918, Amattéis, 1995 (ISBN 9782868491565)
- Jeannie Buisson, Viry-Châtillon, de 1914 À Nos Jours, Amattéis, 1998 (ISBN 9782868491770)
- Collectif d'auteurs, Une ville et ses maires : Viry-Châtillon, Mairie de Viry-Châtillon, 2000
- Jeannie Buisson, Viry-Châtillon, de la Préhistoire à la Révolution, Amattéis, 2002 (ISBN 9782868492074)
- Jeannie Buisson, Des Aéroplanes Aux Lotissements Port-Aviation, Ccinia, 2009 (ISBN 9782915568158)
Sources
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- ↑ Célébrations du centenaire de Port-Aviation sur le site du ministère de la Culture. Consulté le 02/09/2009.
- ↑ gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 12/04/2009.
- ↑ Fiche communale d'occupation des sols sur le site de l'Iaurif. Consulté le 10/05/2009.
- ↑ Données géographiques communales sur le site lion1906.com Consulté le 29/08/2009.
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- ↑ Fiche de la borne géodésique du plateau de la Grande Borne à Viry-Châtillon sur le site de l'Ign. Consulté le 28/08/2009.
- ↑ Fiche de la borne géodésique du bord de Seine à Viry-Châtillon sur le site de l'Ign. Consulté le 28/08/2009.
- ↑ Fiche de la borne géodésique du moulin de Viry sur le site de l'Ign. Consulté le 28/08/2009.
- ↑ Fiche de la borne géodésique de l'hôtel de ville de Viry-Châtillon sur le site de l'Ign. Consulté le 28/08/2009.
- ↑ Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge sur le site de lameteo.org. Consulté le 9 août 2009.
- ↑ Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge sur infoclimat.fr. Consulté le 18 août 2009
- ↑ Fiche de la ligne N144 sur le site officiel du service Noctilien. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Fiche de la ligne N135 sur le site officiel du service Noctilien. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Fiche de la ligne de bus TICE 402 sur le site officiel de la compagnie. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Fiche de la ligne Passe Partout du réseau de bus Daniel Meyer sur le site officiel de la compagnie. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Fiche de la ligne DM3 du réseau de bus Daniel Meyer sur le site officiel de la compagnie. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Fiche de la ligne DM4 du réseau de bus Daniel Meyer sur le site officiel de la compagnie. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Fiche de la ligne DM5 du réseau de bus Daniel Meyer sur le site officiel de la compagnie. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Fiche de la ligne DM8 du réseau de bus Daniel Meyer sur le site officiel de la compagnie. Consulte le 29/08/2009.
- ↑ Fiche de la ligne DM22 du réseau de bus Daniel Meyer sur le site officiel de la compagnie. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Présentation du projet de réhabilitation des Coteaux de l'Orge sur le site officiel de la commune. Consulté le 28/08/2009.
- ↑ Fiche du quartier de la Grande Borne sur le site de la mission interministérielle à la Ville. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Fiche du quartier de la Cilof sur le site de la mission interministérielle à la Ville. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Fiche de la ZUF de la Grande Borne sur le site de la mission interministérielle à la Ville. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Fiche du quartier des Coteaux de l'Orge sur le site de la mission interministérielle à la Ville. Consulté le 29/08/2009.
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- ↑ Présentation des conseils de quartier sur le site officiel de la commune. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Présentation du conseil des aînés sur le site officiel de la commune. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Présentation du conseil municipal des enfants sur le site officiel de la commune. Consulté le 29/08/2009.
- ↑ Viry-Châtillon sur le site de l'Insee. Consulté le 19/09/2009.
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- ↑ Compte communal détaillé sur la base Alize du ministère des Finances. Consulté le 29/08/2009.
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- ↑ Coordonnées du Pôle Emploi sur le site des services publics en Essonne. Consulté le 30/08/2009.
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- ↑ Présentation des centres de loisirs et de la ludothèque sur le site officiel de la commune.
- ↑ Annuaire des associations culturelles sur le site officiel de la commune. Consulté le 30/08/2009.
- ↑ Présentation des associations et installations sportives sur le site officiel de la commune. Consulté le 30/08/2009.
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- ↑ Fiche de la chapelle Pierre L'Ermite sur le site topic-topos.com Consulté le 31/08/2009.
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- ↑ Données statistiques communales sur le site de l'Insee. Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Présentation des structures d'aide à l'entreprise sur le site officiel de la commune. Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Fiche de la chaufferie de la Grand Borne sur la base iREP du ministère de l'Écologie. Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.
- ↑ Palmarès départemental des villes et villages fleuris sur le site de l'association. Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Carte des ENS de Viry-Châtillon sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Présentation de l'Agenda 21 communal sur le site officiel de la commune. Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Fiche de l'église Saint-Denis sur la base Mérimée du ministère de la Culture. Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Fiche du bâtiment du collège Saint-Clément sur la base Mérimée du ministère de la Culture. Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Fiche des bornes à bonnet phrygien sur la base Mérimée du ministère de la Culture. Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Fiche de l'hôtel de ville sur le site topic-topos.com Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Fiche de l'ancienne mairie sur le site topic-topos.com Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Fiche du lavoir Saint-Denis sur le site topic-topos.com Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Fiche du moulin à vent de Viry sur le site topic-topos.com Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Fiche de l'hôtel de Port-Aviation sur le site topic-topos.com Consulté le 31/08/2009.
- ↑ Blasonnement sur le site de Gaso, la banque du blason. Consulté le 01/08/2009.
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