Mantes-La-Jolie

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Mantes-la-Jolie

La place de la République et l'hôtel de ville
La place de la République et l'hôtel de ville

Armoiries logo
Administration
Pays Région Département Yvelines
(sous-préfecture)
chef-lieu)
chef-lieu)
78361
78200
Maire
Mandat en cours
Michel Vialay
2008-2014
Site internet Mantes-la-Jolie.fr
Démographie
42 365 hab. (2006[1])
4 517 hab./km²
Mantais
Mantaises
Géographie
48° 59′ 27″ Nord
       1° 43′ 02″ Est
/ 48.9908333333, 1.71722222222
Altitudes mini. 17 m mmaxi. 41 m m
Superficie 9,38 km²

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Voir la carte administrative

Mantes-la-Jolie est une département des Yvelines et de la région arrondissement éponyme. C'est une ville moyenne industrielle, située sur la rive gauche de la Seine, à 53 km à l'ouest de Paris.

Les

Géographie

Articles connexes : Géographie des Yvelines.
Position de Mantes-la-Jolie dans les Yvelines
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Mantes-la-Jolie se trouve dans le nord des Yvelines, à 53 kilomètres à l'ouest de Paris, à 47 kilomètres au nord-ouest de Versailles, préfecture du département, et à 85 kilomètres au sud-est de Rouen. La ville est au centre dune agglomération qui compte près de 90 000 habitants. Mantes-la-Jolie est implantée au cœur de la vallée de la Seine, dans un méandre de la rive gauche du fleuve. Les communes limitrophes sont Rosny-sur-Seine à l'ouest, Mantes-la-Ville au sud-est. Elle est séparée par la Seine de Follainville-Dennemont au nord et Limay au nord-est. Sa superficie est de 938 hectares. Le territoire communal sétend sur environ 5,5 kilomètres en longueur dest en ouest et sur environ 1,5 kilomètre en largeur du nord au sud.

Hydrographie

Deux cours d'eau sont à remarquer : la Seine, qui longe la ville sur sa partie nord, et la Vaucouleurs qui, si elle ne passe plus dans la commune, avait un bras détourné, le « Mauru », qui alimentait les tanneries jusqu'au début du XXe siècle. Le territoire communal englobe lîle aux Dames, également appelée lîle de Limay, qui est traversé par le pont reliant Mantes-la-Jolie et Limay.

La ville comprend également deux lacs situés au bord de la Seine : le « lac des Pêcheurs » et le « lac de Gassicourt ». Le stade nautique international de Mantes-en-Yvelines est composé d'un bassin artificiel longeant la Seine. Il est connecté au fleuve par lintermédiaire dun bassin issu de lexploitation des sablières.

Par sa situation, la commune est très exposée aux risques d'grande crue de 1910. Ce risque a motivé la mise en place d'un plan de prévention des risques d'inondation (PPRI), entré en vigueur par arrêté préfectoral du 30 juin 2007 [2]. Il concerne 57 communes yvelinoises riveraines de la Seine et de l'Oise. Ce plan définit plusieurs zones auxquelles sont associées des règlementations particulières. Le long de la Seine, une bande de 25 mètres est classée en zone marron, ce qui signifie que toute construction y est proscrite afin de préserver les zones de grand écoulement du fleuve. À Mantes-la-Jolie, de vastes espaces situés dans les secteurs des lacs, du stade nautique et des berges de la Seine sont classés en zone verte, ce qui signifie que, dans ces espaces naturels non bâtis, toute urbanisation nouvelle est interdite, à lexception de la création déquipements publics et d'aménagements dintérêt général indispensables. À lest du « lac des Pêcheurs », un ancien secteur industriel en cours de renouvellement urbain est classé en zone bleue, ce qui signifie que, dans ce secteur déjà urbanisé, malgré les risques dinondation, les constructions nouvelles sont autorisées si des dispositifs de prévention sont mis en place[3],[4].

Toponymie et étymologie

Blason : Mi-parti, au premier d'azur à la fleur de lys d'or, au second d'or au chêne arraché de sinople englanté du champ.

Le nom de « Mantes » viendrait d'un mot gaulois, medunta, le relatinisations tardives. Ce nom évolua en français sous la forme Mante (avec nombre de variantes au Moyen Âge, dont Maante, avec une XVIIe siècle. Son nom devint sporadiquement Mantes-sur-Seine dès le XVIIe siècle, à l'époque du développement des services postaux, afin éviter toute confusion avec Nantes.

En 1930, suite à la fusion de la ville avec le village de Gassicourt situé à l'ouest, son nom devint Mantes-Gassicourt. La conservation du nom de Gassicourt dans le nom de la nouvelle ville fut lune des conditions de la fusion. Elle a pris son nom actuel en 1953, en reprenant le qualificatif « la jolie », déjà officieusement donné depuis longtemps. Ce qualificatif est souvent - plaisamment - attribué à Gabrielle d'Estrées, sa maîtresse, qui résidait à Mantes, le roi lui aurait écrit : « je viens à Mantes, ma jolie ». Mais une autre hypothèse est que ce qualificatif viendrait du site exceptionnel la ville a été bâtie : le cadre naturel de la vallée de la Seine.

Aujourdhui, il n'y a plus de lieux-dits à proprement parler, ceux-ci ayant été absorbés par le tissu urbain. Cependant, on les retrouve encore généralement dans la toponymie : les Bords de Seine, la Butte Verte, Chantecoq , les Hautes-Coquilles, les Basses-Coquilles, les Cordeliers, la Croix Ferrée, Les Garennes[5], les Martraits, Saint-Nicolas, le Val-Fourré.

Histoire

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Origines

Sur le site de Mantes, existait un port de pêche vers la fin du haut Moyen Âge, mais le nom de la ville, plutôt gallo-romain, pourrait lui prêter une fondation plus ancienne encore. Vers la fin de l'époque motte castrale fut établie sur ce site, afin de défendre l'accès à la Seine et la frontière avec le Vexin normand. Cest autour de ce noyau que la ville se développa.

Moyen Âge

Carrefour de voies fluviales et terrestres de première importance, aux frontières de lNormandie, Mantes apparut très tôt comme un lieu de commerce et déchanges, mais également comme un place forte stratégique. La ville subit d'importants dommages en 1087 lors de l'attaque de Vexin français. Depuis le Xe siècle, la ville comporte un château situé sur la motte castrale. Un édifice fortifié massif, la « tour de Ganne », lui fut adjointe. Avec les fortifications, la ville possédait alors un excellent dispositif de défense contre les envahisseurs. Conscients de lintérêt stratégique de Mantes, plusieurs rois Louis VI qui concéda ensuite à la ville le statut de 1110. Le roi Philippe Auguste y mourut le 14 1223. A la fin de lépoque médiévale, les fortifications primitives ont été renforcées et doublées progressivement par une enceinte plus étendue. La construction de la 1150, sacheva vers 1510.

XVIe siècle

En raison de son emplacement stratégique sur la Seine et à la frontière de la Normandie, Mantes représenta un enjeu majeur de la Anglais, mais aussi par Guerre de Cent Ans, Mantes retrouva une période de tranquillité. La construction au XVIe siècle de quelques ravelins (bastions fortifiés de forme triangulaire) rappelle que les Henri III et pendant les guerres de religion, Mantes fut partisane de la Ligue catholique, mais fut prise par Paris, qui eut lieu le 22 mars 1594. Par la suite, il vint régulièrement à Mantes passer d'agréables moments avec prieurés, de champs et de vignes, propriétés des seigneurs locaux.

XVIIe siècle

Vue de Mantes en 1650.

En 1610, le vieux pont fortifié, auquel étaient accolés moulins et pêcheries, reliait encore Limay à la grande « porte aux images » de la ville de Mantes. Plusieurs édifices, aujourdhui remaniés ou disparus, témoignent de limportance de la ville à cette époque, comme la citadelle ou « porte de Rosny », la tour de lhorloge, lXVIIIe siècle

Plan de Mantes au XVIIIe siècle.

La ville de Mantes déclina au XVIIIe siècle, en raison d'un dépeuplement progressif du à la proximité de Versailles, aux charges toujours plus lourdes représentées par le logement des troupes de passage, à la perte de la plupart des privilèges qui avaient été donnés à la ville par la charte de 1110, au désintérêt du roi pour une ville qui a perdu son importance stratégique et à la baisse des ventes du vin, première ressource de la ville. La plus grande partie des fortifications est démolie en 1739 sur lordre de Louis XV. Les maisons médiévales des bords de Seine sont remplacées progressivement par de riches hôtels particuliers, dont on peut trouver quelques vestiges dans lactuelle rue Baudin. Les premières fondations du nouveau pont, conçu par Ponts et Chaussées, pour améliorer la circulation vers Rouen font leur apparition en aval du vieux pont qui reste praticable pendant les travaux.

XIXe siècle

Gare de Mantes-sur-Seine.

À partir du XIXe siècle, la ville connut une expansion importante vers l'ouest, par l'annexion de territoires appartenant autrefois à Mantes-la-Ville. Louverture en 1843 de la ligne de Paris et Rouen et linstallation de nouvelles industries dans la région relance lattractivité de Mantes. Des résidences cossues commencèrent à être bâties dans les nouveaux quartiers. La ville se développe alors largement au-delà des limites du centre historique et de ses anciennes fortifications.

XXe siècle

La croissance de la ville saccélère en 1930 avec lannexion de lancien village voisin de Gassicourt. La Seconde Guerre mondiale laissera de nombreuses traces à Mantes. En août 1944, les combats de la Libération saccompagnent plusieurs vagues de bombardements qui firent plus de 450 morts. Celui du 30 mai 1944, particulièrement violent, détruisit le pont ainsi quune grande partie du cœur historique de la ville et ses hôtels du XVIe siècle. La ville a pour cela eu l'attribution de la zone à urbaniser en priorité (ZUP) est créée à Mantes-la-Jolie au début dans les Val-Fourré, sous la direction de larchitecte-urbaniste Raymond Lopez, en lieu et place de laérodrome.

Politique et administration

Sous-préfecture

Mantes a été l'une des sous-préfectures de l'ancien département de Seine-et-Oise à partir de 1800 et jusqu'à la création du département des Yvelines en 1968, sauf entre 1926 et 1943. Aujourd'hui, la ville est toujours l'une des trois sous-préfectures des Yvelines avec Saint-Germain-en-Laye et Rambouillet. Elle comporte un tribunal d'instance dont dépendent une grande partie des communes de l'canton. Elle appartient à la Mantes-la-Ville et de communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines (CAMY: une structure intercommunale qui regroupe aujourd'hui douze communes et qui compte près de 100.000 habitants.

L'hôtel de ville de Mantes-la-Jolie se situe dans le centre-ville historique. Dans le cadre d'une politique de proximité, la ville comprend également deux mairies-annexes qui sont implantées au cœur des quartiers de Gassicourt et du Val-Fourré.

Tendances politiques

Affichage électoral lors des élections européennes de 2009

Politiquement, Mantes-la-Jolie est orienté à droite depuis 1995. Après cinq mandats du maire centriste Pierre Bédier (UMP) a été élu maire successivement en 1995, puis au premier tour en 2001. Après son départ en 2002 pour exercer dautres fonctions, lancien 1er maire-adjoint Michel Sevin exerce la fonction de maire jusquau retour de Pierre Bédier en 2004. Un an plus tard, cest Michel Vialay, ancien maire-adjoint qui reprend la succession de Pierre Bédier. En 2008, Michel Vialay affronte le suffrage universel pour la première fois en prenant la tête de la liste de la majorité présidentielle. Il est élu au premier tour.

Le vote à droite de la commune est confirmé par les résultats des autres élections locales. La députée de la Cécile Dumoulin, suppléante de Pierre Bédier qui avait été réélu en 2007. Le conseiller général du Michel Vialay, élu lors dune élection partielle en 2009, pour succéder à Pierre Bédier.

Lors du référendum sur le traité constitutionnel pour lEurope du 29 mai 2005[6], les mantais ont majoritairement voté contre le texte, avec 56,46 % de Non et 43,54 % de Oui, avec un taux dabstention de 40,95 %. Ce résultat est proche de la moyenne nationale qui fut de 54,67 % de Non et 45,33 % de Oui.

Lors du premier tour de lélection présidentielle française de 2007[7], les mantais ont placé en tête Ségolène Royal avec 38,74 % des suffrages, suivie de Nicolas Sarkozy avec 25,83 %, puis de Jean-Marie Le Pen avec 7,78 %, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 5 %. Au second tour, les électeurs mantais ont voté à 59,58 % pour Ségolène Royal contre 40,42 % pour Nicolas Sarkozy. Pour cette élection présidentielle, le taux de participation a été assez élevé puisque 83,88 % des inscrits se sont exprimés. Ces résultats montrent quau niveau national, la ville de Mantes-la-Jolie semble plutôt ancrée à gauche.

Il faut noter que les électeurs de Mantes-la-Jolie ne votent pas de manière uniforme sur tout le territoire. Une analyse des résultats des élections passées montre que le centre-ville a tendance à être favorable aux partis de droite. Au Val-Fourré, plus populaire, les résultats de la gauche sont bien meilleurs que dans les deux autres quartiers, notamment aux élections nationales. Le cas du quartier résidentiel de Gassicourt est variable en fonction des scrutins.

Pour illustrer ce propos, on peut évoquer le second tour de lélection présidentielle de 2007[8], Ségolène Royal (PS) a obtenu 82,06 % des suffrages au Val-Fourré, 51,68 % à Gassicourt et 39,97 % au centre-ville. Cette tendance se retrouve dans les résultats de lélection municipale de 2008[9], la liste de Michel Vialay (UMP) a rassemblé 38,75 % des suffrages au Val-Fourré, 53,13 % à Gassicourt et 64.71 % au centre-ville.

Administration municipale

Hôtel de ville

Lors des élections municipales de 2008, le taux de participation pour le premier et unique tour, fut faible avec seulement 52,51 % de votants[10]. Sur les 19 729 inscrits sur listes électorales, 10 360 mantais se sont exprimés. Michel Vialay, à la tête d'une liste de la majorité présidentielle nommée Ensemble pour Mantes-la-Jolie, a été élu avec une majorité absolue de 51,78 %. Il fut suivi par la liste de gauche Pour réussir ensemble, rassemblant le PS, PRG et Décil avec à sa tête Guillaume Quévarec, qui a recueilli 37,26 % des suffrages. La liste communiste menée par Marc Jammet et nommée Pour changer vraiment se place troisième en ayant rassemblé 8,60 % des suffrages. Pour finir, la liste Lutte ouvrière, avec à sa tête Thierry Gonnot, n'a rassemblé que 2,36 % des suffrages, ce qui ne lui permet pas d'avoir d'élus au conseil municipal.

Conseil municipal

Le [11] est composé de quarante-trois membres, répartis de la manière suivante, à l'issue des élections municipales de 2008 :

Groupe Parti Effectif Statut
Ensemble pour Mantes-la-Jolie UMP - MoDem 34 Majorité
Pour réussir ensemble PS - PRG - DECIL 8 Opposition
Pour changer vraiment PC - PT - LCR 1 Opposition

Bureau municipal

Le bureau municipal de Mantes-la-Jolie[12]est composé du maire, de douze maires-adjoints et de trois conseillers municipaux délégués :

Fonction Attributions Nom Notes
Maire Michel Vialay Conseiller général (UMP) des er vice-président de la 1e adjointe au maire Relations universitaires - Culture - Patrimoine
Hôpital - Tourisme
Députée (UMP) des CAMY
2e adjoint au maire Habitat - Urbanisme - Foncier - Immobilier
Occupation du domaine public - Projet urbain - Fonds européens
Jean-Luc Santini Membre du bureau de la 3e adjointe au maire Administration générale - Assurances
État-civil - Élections - Cimetières
Accueil - Qualité de service
Mireille Merlin
4e adjoint au maire Jeunesse - Sport Daniel Pereau
5e adjointe au maire Fleurissement - Espaces verts - Propreté
Hygiène publique - Animaux dans la ville
Blandine Tholance
6e adjoint au maire Action sociale - Prévention Sidi El Haimer
7e adjointe au maire Vie scolaire - Petite enfance Fadoua Ghazouani Déléguée titulaire de la 8e adjoint au maire Environnement - Lutte contre les pollutions
Commerce - Artisanat
Arnaud Dalbis
9e adjointe au maire Relations internationales - Jumelage
Évènementiel - Animations - Action civique
Maïmouna Talla
10e adjointe au maire Transports Clotilde Kraus
11e adjoint au maire Sécurité - Prévention des risques
Mémoire - Commémorations patriotiques
Voirie - Éclairage public - Travaux dans les bâtiments
Bernard Moscodier
12e adjointe au maire Handicaps - Urgence sociale - Droits des femmes Atika Morillon
Conseiller municipal délégué Santé - Déplacements - Stationnement - Circulation El Arbi Abbi
Conseillère municipale déléguée Finances Micheline Aime
Conseillère municipale déléguée Séniors Lilyane Philippe
Conseillère municipale déléguée Logement Nadine Wadoux

Liste des maires

Cette liste recense les maires de la ville ayant exercé sous la Début du mandat Fin du mandat Nom Parti 1947 1977 PLE 1977 1995 Paul Picard PS 1995 2002 Pierre Bédier UMP 2002 2004 Michel Sevin UMP 2004 2005 Pierre Bédier UMP 2005 - Michel Vialay UMP

Relations internationales

En 2009, la ville de Mantes-la-Jolie est jumelée avec trois villes européennes :

Chaque année, une rencontre sur le thème du coopération décentralisée avec plusieurs collectivités des pays dorigine des habitants, notamment le Maroc et le Sénégal. Le but des ces opérations est daccompagner le développement de ces pays en mobilisant leurs ressortissants afin de conjuguer le développement du pays dorigine et celui du territoire.

La ville de Mantes-la-Jolie est pressentie pour accueillir prochainement un Maroc.

Voies de communication et transports

Déplacements doux

VéliMantes

En mai 2009, la municipalité donne le coup denvoi dun service de vélos en libre-service appelé « VéliMantes »[13] qui comprend, dans un premier temps, six stations réparties sur le territoire mantais. Des vélos taxis sont également disponibles.

Réseau routier

Mantes-la-Jolie est traversée dans la direction est-ouest par la route N13. Il s'agit de l'axe principal de la commune. L'autoroute A13 passe à proximité immédiate, ce qui met Mantes-la-Jolie à 55 km de Paris (vers l'est) et à 83 km de Rouen (vers l'ouest). Trois sorties desservent l'agglomération mantaise :

  • sortie 11 au kilomètre 47 : Mantes-Est
  • sortie 12 au kilomètre 49 : Mantes-Sud
  • sortie 13 au kilomètre 50 : Mantes-Ouest

Réseaux de bus et de cars

La (BUS) ? A B C D F G N P

La ville est également desservie par le réseau Rive Droite, géré par la ville voisine de Limay :

  • (BUS) ? 50 51 52 53 54

Le réseau Noctilien dessert les gares de Mantes-Station :

Plusieurs lignes de cars relient Mantes-la-Jolie à d'autres pôles importants de l'La Défense, via l'autoroute Cergy-Pontoise

  • Mantes-la-Jolie - Saint-Quentin-en-Yvelines

  • Réseaux ferroviaires

    Gare de Mantes-la-Jolie
    Gare de Mantes-la-Jolie

    Mantes-la-Jolie est un important carrefour ferroviaire et dispose de deux gares situées dans la zone 6 des transports en commun d'Île-de-France :

    Transilien

    Les gares de Mantes-la-Jolie et de Mantes-Station sont desservies par la ligne [T][J] du Transilien :

    Mantes-la-Jolie bénéficie ainsi de deux liaisons omnibus avec Poissy et en 1 heure et 15 minutes via [T][N] du Transilien :

    Mantes-la-Jolie bénéficie ainsi d'une liaison omnibus avec TER et Corail Intercités

    La gare de Mantes-la-Jolie est desservie par plusieurs lignes TER qui relient Haute et à la Paris-Saint-Lazare - Paris-Saint-Lazare - Paris-Saint-Lazare - Paris-Saint-Lazare - Paris-Saint-Lazare - Paris-Saint-Lazare en 35 minutes.

    TGV

    TGV en gare de Mantes-la-Jolie

    La gare de Mantes-la-Jolie est desservie quotidiennement par trois lignes TGV transversales contournant Paris :

    Projets

    Transport en commun en site propre

    Dans le cadre de la convention signée entre les villes de Mantes-la-Jolie et de Rosny-sur-Seine afin durbaniser le territoire des Garennes, un transport en commun en site propre (de type tramway ou bus à haut niveau de service) devrait relier la gare de Rosny-sur-Seine.

    RER E

    En juillet 2009, l'État confirme que la ligne du (RER)(E) sera prolongée jusqu'à la gare de Mantes-la-Jolie à l'horizon 2017, dans le cadre du projet du francilien. Un tunnel sera construit entre l'actuel terminus La Défense. Le futur prolongement de la ligne (RER)(E) sera ensuite à l'air libre de Nanterre à Mantes-la-Jolie, en reprenant les infrastructures ferroviaires existantes. Cette ligne devrait permettre aux Mantais de rejoindre TGV Paris - Le Havre

    Au cours d'un déplacement au Nicolas Sarkozy a confirmé sa volonté de construire une ligne TGV entre Paris et Mantes-la-Jolie et [14]. Ce projet permettra de mettre Paris, contre 2 heures actuellement. C'est l'option du tracé sud, via [15], qui aurait fait passer cette ligne à grande vitesse (LGV) via Urbanisme

    On distingue généralement quatre secteurs, ayant chacun une forme urbaine caractéristique. Ils sont le reflet de l'urbanisation de la ville d'est en ouest :


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