MINF112
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MINF112
SCIENTIFIQUE
UNIVERSITE ABDELHAMID IBN BADIS MOSTAGANEM
Thème
Présenté par :
- BELLOUMI ABDELKADER MOUNIR
- BENADJEMIA OMAR
- Mr HARTANI : examinateur
- Mr CHOUIEB : président
Depuis plus d’une décennie, les villes Algériennes font face à une forte croissance urbaine.
Ce phénomène est d’autant plus remarquable dans les villes du Nord-Algérien qui jouent un
rôle à la fois politique et économique.
En effet, les activités quotidiennes des ménages nécessitent un grand flux de déplacements
qui, mal maîtrisé engendre des problèmes de non satisfactions des habitants. Cela est dû au
fait en parti à la faiblesse du système de transport public de la ville.
Cet article défini une nouvelle approche de gestion technique, d’évaluation et de planification
du domaine de transport public, pour cela la nécessité d’un système d’information à
dimension spatial est primordiale, car il propose des solutions claire, complète, efficace et
aide à prendre des décisions.
Le présent travail a pour but de démontrer que les SIG peuvent constituer une solution pour
la gestion du transport public dans la région de MOSTAGANEM.
La représentation dans l'espace des éléments constituant la ville et des relations entre eux
s'appuie sur des systèmes d'information géographiques (SIG) chez tous les acteurs: conception
de l'aménagement et des transports, exploitants des différents modes de transport.
Les SIG sont devenus des outils majeurs pour la planification des systèmes de transport,
l'information multimodale des usagers des transports, la gestion des transports de personnes
en ville.
Les usagers seront capables de se servir des SIG qui utiliseront des données géolocalisées
pour guider leurs déplacements.
Les grands enjeux sont la qualité des données de base auxquelles peuvent avoir accès les
professionnels et le grand public, la diffusion des savoir faire en information géographique, la
normalisation, ...
Pour cela dans cet article on va s'intéressé sur des généralités sur les transports publics, une
description physique et les modes de transports publics existants dans la ville, puis une
formation de base sur la mise en place d'un SIG transport.
Objectifs :
Le SIG aide les entreprises de transports publics à prendre des décisions sûres et fondées à
partir d'informations réelles.
Dans le présent travail qui s’inscrit dans le cadre de notre projet de fin d’étude de Master, on
va comprendre comment le SIG peut être utilisé pour établir les distances réellement
parcourues à pied et non l'estimation de distance à vol d'oiseau. Cette technique peut
améliorer la précision des estimations sur les usagers et les niveaux de revenu en fonction de
l'accessibilité des routes, des parcours ou arrêts nouveaux ou existants, et de proposer une
solution complète pour la gestion efficace, du transport public dans la région de Mostaganem,
en réalisant un logiciel SIG qui permet de gérer la totalité des activités du transport public.
Le SIG peut être utilisé pour gérer et analyser certaines informations essentielles :
• Planification et analyse des itinéraires
• Répartition des bus et intervention d'urgence
• Planification et définition d'itinéraires des transports spécialisés
• Inventaire des arrêts de bus et des infrastructures
• Gestion des installations ferrées
• Maintenance des voies, du système d'alimentation électrique, des
communications et des signaux
• Reporting et analyse des accidents
• Analyse démographique et restructuration de trajet
• Analyse de la communauté des usagers et reporting associé
• Planification et modélisation des transports.
Liste des figures :
Introduction :
Dans l'environnement de mobilité difficile connue a la ville de Mostaganem, qui est un lieu de
concentration de population, d'activités et d'équipement de rayonnement régional, les
transports publics devraient offrir des solutions plus sécurisées et plus économiques, pour cela
dans ce chapitre on va s'intéressé sur des généralités sur les transports publics puis une
description physique de la ville.
I.1. Définition :
Le transport public de personne est un transport en commun, ou un transport collectif, qui
consiste à transporter plusieurs personnes sur un même trajet. La notion de transport public est
différente puisqu'il regroupe tous les transport qui sont organisés pour le compte d'un tiers.
Les taxis traditionnels sont un transport public mais pas un transport en commun. La nuance
reste cependant ténue puisqu'un taxi pourra par exemple être affrété dans le cadre d'un
transport à la demande et être alors considéré comme un service de transport en commun. Les
déplacements de personnes à travers l’espace caractérisent la circulation, qui veut dire
l'ensemble des déplacements dont l’intensité dans le temps et dans l’espace détermine le
trafic, qui est l'importance et la fréquence de la circulation, et les flux qui sont les
déplacements massifs de personnes.
1
Chapitre I : Transport public.
2
Chapitre I : Transport public.
3
Chapitre I : Transport public.
I.2.1.1. Relief :
Le relief de la Wilaya de Mostaganem s'individualise en 04 unités morphologiques
appartenant à deux (02) régions distinctes : le Plateau et le Dahra. [2]
• MAZAGRAN
Vallées • H/ MAMECHE
basses • STIDIA
de l'Ouest • AIN NOUISSY
• EL HACIANE
• FORNAKA
• MOSTAGANEM
• SAYADA
• KHEIR EDDINE
Plateau de • A/ TEDELES
Mostaganem • SOUR
• BOUGUIRAT
• MESRA
• SIRAT
• TOUAHRIA
• SOUAFLIAS
• MANSOURAH
• OUED EL KHEIR
• SAF SAF
• OULED MAALAH
• AIN BOUDINAR
Mont Dahra • NEKMARIA
• SIDI ALI
• TAZGAIT
• SIDIBELATAR
• BEN A/RAMDANE
• HADJADJ
• SIDI LAKHDAR
Vallées de l'Est • KHADRA
• ACHAACHA
• O/ BOUGHALEM
Tableau 1 : Les reliefs de la Wilaya de Mostaganem.
4
Chapitre I : Transport public.
DAIRA COMMUNES
MOSTAGANEM MOSTAGANEM
HASSI MAMECHE HASSI MAMECHE - STIDIA – MAZAGRAN
AIN TEDELES A/TEDELES - SOUR - S/BELATAR - O/EL KHEIR
BOUGUIRAT BOUGUIRAT - SIRAT - SAF SAF – SOUAFLIAS
SIDI ALI SIDI ALI - TAZGAIT - OULED MAALAH
ACHAACHA ACHAACHA - NEKMARIA - KHADRA - O/BOUGHALEM
AIN NOUISSY AIN NOUISSY - FORNAKA - EL HACIANE
MESRA MESRA -MANSOURAH-TOUAHRIA-AIN SIDI CHERIF
SIDI LAKHDAR SIDI LAKHDAR - HADJADJ - BEN A/RAMDANE
KHEIR EDDINE KHEIR EDDINE - SAYADA - AIN BOUDINAR
Tableau 2 : Découpage administrative de la Wilaya de Mostaganem.
I.2.2.Infrastructures routières :
La Wilaya de Mostaganem jouit d'un important réseau routier qui relie l'ensemble des
localités de la Wilaya. Sa consistance est comme suit : [3]
5
Chapitre I : Transport public.
Conclusion:
Au terme de ce chapitre, après la compréhension des principes de la gestion du transport
public et la description de l’aire d’étude, la suite est de répondre aux besoins souhaités dans
un système d’information géographique cohérant et performant.
6
Chapitre II : Les Systèmes d’Information Géographique.
Introduction:
Les systèmes d’information géographique sont des systèmes d’organisation et de gestion des
données géographiques permettant de produire, d’interroger, et de tirer des décisions afin
d’exploiter ou d’amélioré des prescriptives comme notre cas c’est d’apporté une gestion
efficace et fonctionnelle des transports publics.
II.1. Définition :
Un SIG est un système informatique permettant, à partir de diverses sources, de rassembler et
d'organiser, de gérer, d'analyser et de combiner, d'élaborer et de présenter des informations
localisées géographiquement, contribuant notamment à la gestion de l'espace. [11]
II.2. Propriétés :
Un SIG permet, à travers la manipulation de la base de données formée, de s’enquérir de toute
information utile par des méthodes simples et rapides, ainsi qu’à des requêtes composées.
Un SIG manipule deux types de données :
Données spatiales qui peuvent être représentées dans un plan par un point (point côté,
emplacement d’un puits, d’une école...), une ligne (rivière, route,...), une surface ou un
polygone (unité pédologique, parcelle, délégation,...)
Données descriptives, qualitatives ou quantitatives qui portent des informations concernant les
données spatiales : altitude, capacité, type de sol, nom de la délégation etc.…
Un SIG combine les possibilités de représentation graphique d’un logiciel de dessin assisté
par ordinateur (DAO) avec les capacités de manipulation de données d’un système de gestion
de base de données (SGBD). [12]
7
Chapitre II : Les Systèmes d’Information Géographique.
Données attributaires : décrivent un objet géographique : nom d'une route, type d'un
bâtiment, nombre d'habitants d'un immeuble, débit d'un fluide (gaz), tension d'une ligne de
transport d'énergie, type d'arbres autour d’une canalisation de transport des hydrocarbures.
Les attributs ne sont pas stricto sensu des informations géographiques, mais contribuent à
qualifier les objets.
Objets géographiques : Les entités géographiques peuvent être représentés en mode vectoriel
(format vecteur), par un point (unité de protection civile, unité des centres médicaux), par une
ligne (réseau routier, tracé d’une canalisation), et par un polygone pour des entités surfaciques
(villes, forêts…) Ces entités peuvent être aussi représentés en mode matriciel (format raster)
qu'il s’agit d’une image, d’un plan ou d’une photo numérisés et affichés dans le SIG en tant
qu'image. Dans un SIG, un système de coordonnées terrestres (sphérique ou projectif) permet
de référencer les objets dans l'espace et de positionner l'ensemble des objets les uns par
rapport aux autres. Les relations entre les objets peuvent être calculées et donner naissance à
des points d'intersection afin d'éviter la répétition d'objets superposés. Les objets sont
généralement organisés en couches, chaque couche rassemblant l'ensemble des informations
se rapportant à un même thème donné.
Métadonnées : un SIG manipule des données provenant de différentes sources. Celles ci sont,
aussi, accompagnées d'informations caractérisant la source elle-même, soit encore de données
sur les données. Ces dernières apportent, par exemple, des informations sur la nature des
données, le système de projection, l'étendue géographique, et la date de saisie. [14]
8
Chapitre II : Les Systèmes d’Information Géographique.
II.5.1. Abstraction :
Le SIG est utilisé pour réaliser des descriptions du territoire permettant d’obtenir
l’information nécessaire pour répondre à une problématique. Il contient cette information sous
plusieurs formes dont certaines sont des représentations d’éléments ou de phénomènes
existants. Ces représentations cherchent à reproduire le plus fidèlement possible la réalité
d’une manière compréhensible par les utilisateurs et utilisable informatiquement dans le but
de répondre à des objectifs donnés. Il est donc nécessaire de préciser les éléments sur lesquels
on doit disposer d’information et la nature de celle-ci. Un parallèle peut être établi avec la
représentation cartographique du territoire qui comprend des éléments choisis selon leur
nature et selon des spécifications données afin de rendre aux besoins des utilisateurs
identifiés. Leur dessin est effectué en représentant des règles sémiologiques destinées à faire
percevoir facilement un maximum d’information aux lecteurs de la carte. Les choix portent
sur la nature de l’information qui doit être accessible, sur les éléments du territoire qu’il faut
pouvoir identifier et séparer de leur contexte, sur la manière de les dessiner et sur les critères
ou sur les propriétés qui doivent être perceptibles. Ces choix sont effectués en fonction
d’objectifs à atteindre ou plus généralement en fonction des problématiques à résoudre. Le
monde réel est ainsi modélisé en fonction des besoins, ce qui permet de définir précisément le
contenu du système. [15]
II.5.2. Acquisition :
Les éléments que doit contenir le système sont connus dès que le modèle conceptuel est établi
et que sont précisées les informations géométriques et sémantiques nécessaires. Les données
doivent ensuite être intégrées et doivent répondre aux exigences de qualité induites par les
objectifs à atteindre. Ces données peuvent provenir de fournisseurs extérieurs, de
numérisation directe ou de traitements particuliers comme des images satellites par exemple.
Les données peuvent être de quatre types différents selon la géométrie qui leur est associée:
les données raster, les données vecteurs, les grilles ou MNT et les données sans géométrie.
Avant d’utiliser des données papier dans un SIG il est nécessaire de les convertir dans un
format informatique, cette étape s’appelle la digitalisation. S'il s'agit de transformer une image
9
Chapitre II : Les Systèmes d’Information Géographique.
constitué de pixels (raster) en une image comprenant des éléments vectoriels tels que des
surfaces, des points ou des lignes (vecteur), cette étape s'appelle la vectorisation. [13]
II.5.3. Archivage :
Le SIG rassemble de l’information afin de permettre son utilisation dans des applications
variées. Pour permettre un accès efficace aux différentes données des logiciels informatiques
ont été créés en utilisant les retours d’expériences des systèmes classiques et ceux des
systèmes de DAO. Les moteurs de bases de données sont utilisés pour gérer les objets comme
dans un système classique car la géométrie peut être perçue comme une propriété au même
titre que les attributs classiques tant que l’on ne cherche pas à l’utiliser dans des requêtes. Le
SIG possède des capacités de traitements spécifiques à la composante géométrique et offre
une palette d’outils permettant de travailler avec en particulier dans les calculs de proximité
ou dans les recherches basées sur des critères géométriques. Pour prendre en compte la
spécificité géographique plusieurs méthodes de gestion sont possibles autant au niveau
logique qu’au niveau physique. Au niveau logique, certains systèmes informatiques gèrent
simultanément les données géométriques et les données attributaires alors que d’autres
séparent ces deux types de données. Cela entraîne des conséquences car les possibilités de
traitements ne sont pas les mêmes. De plus au niveau physique, les bases de données peuvent
être réparties sur plusieurs sites, le lien étant réalisé par des serveurs. Les sources
d’informations peuvent être d’origines très diverses. Il est donc nécessaire de les harmoniser
afin de pouvoir les exploiter (c’est le cas des échelles, du niveau de détail, des
représentations….). [15]
II.5.4. Analyse :
Les données contenues dans un SIG décrivent un terrain, et donc permettent d’appréhender
les évènements potentiels pouvant survenir. L’utilisation des données dans la résolution de
problématiques variées valorisera d’avantage un système d’information. Les principales
possibilités offertes par la mise à disposition de renseignements géométriques et de
renseignements sémantiques concernent la mise en relation mutuelle d’objets localisés ayant
certaines propriétés. Les différentes relations que l’on peut mettre en œuvre concernent la
proximité (trouver les objets proches d’un autre), la topologie (objets jointifs, inclus,
partiellement inclus, exclus…) ou la forme (taille, type…). Comme les objets possèdent aussi
des attributs traduisant des propriétés autres que géométriques, les analyses faites dans les
systèmes d’information classiques, c’est à dire sans utiliser de fonction géométrique, peuvent
être réalisées. Il est ensuite naturel d’utiliser une combinaison entre les propriétés
géométriques et les propriétés sémantiques afin de réaliser une analyse complète. Ayant sous
la main un SIG et des données, l’utilisateur pourra commencer par poser des questions
simples. [15]
La plus utilisée et la plus intéressante dans les SIG est l’analyse spatiale :
L’intégration des données au travers des différentes couches d’information permet d’effectuer
une analyse spatiale rigoureuse. Cette analyse par croisement d’informations, si elle peut
s’effectuer visuellement nécessite souvent le croisement avec des informations
alphanumériques. [14]
10
Chapitre II : Les Systèmes d’Information Géographique.
II.5.5. Affichage :
Le propre des informations manipulées dans un SIG est qu’elles sont localisées et pour la
plupart dotées d’une géométrie. Elles décrivent un territoire qui peut ainsi être visualisé dans
sa totalité ou partiellement selon une échelle variable. Les moteurs informatiques fournissent
des outils extrêmement performants pour une visualisation rapide. Les sélections de certains
objets selon des critères variés permettent des approches thématiques visualisées par le SIG.
L’information visuelle occupe une place de plus en plus importante dans la société actuelle.
En particulier les SIG fournissent des outils permettant de visualiser très rapidement un
territoire de multiples façons selon des thématiques choisies et avec une échelle adaptée. La
disponibilité quasi instantanée des données dans un système de gestion permet la réutilisation
permanente des données. Cela est par exemple le cas d’un serveur INTERNET répondant aux
sollicitations d’utilisateurs de données géographiques. Les règles sémantiques de la
cartographie s’appliquent aussi aux produits dérivés d’un SIG. Pour de nombreuses opérations
géographiques, la finalité consiste à bien visualiser des cartes et des graphes. Une carte vaut
mieux qu’un long discours. Les cartes créées avec un SIG peuvent désormais facilement
intégrer des rapports, des vues 3D, des images photographiques et toutes sortes d’éléments
multimédia. [15]
La figure ci-dessous résume toutes les fonctionnalités d’un SIG.
11
Chapitre II : Les Systèmes d’Information Géographique.
II.6.1. Initialisation :
II.6.1.1. Réunir les conditions pour la réussite du projet :
Mise en place d’un organe de pilotage constitué d’élus, de chefs de service, qui aura pour
mission de désigner un chef de projet et de valider les différentes étapes du projet. Il est à
noter que ce type de projet doit être porté par des élus convaincus de l’intérêt de l’Information
Géographique. Désignation d’un responsable projet ayant des connaissances en information
géographique qui aura en charge la constitution d’un groupe de travail rassemblant des
techniciens manipulant de façon implicite de l’information géographique numérique ou non.
Sensibilisation, information, communication doivent entourer le projet. La sensibilisation des
élus est importante, tout comme l’information vers les techniciens, futurs utilisateurs, est
primordiale. Le SIG peut-être un élément déstabilisant car il peut introduire des redéfinitions
de poste, de nouvelles tâches, de nouveaux rapports. Ne pas oublier que la donnée
géographique a un coût, c’est un investissement conséquent pour une collectivité territoriale.
12
Chapitre II : Les Systèmes d’Information Géographique.
Cette phase doit-être un accompagnement auprès des acteurs, car si la donnée géographique
est simple à imaginer, elle est plus complexe à mettre en œuvre.
• Prise en compte des ressources humaines soit par ré-affectation de poste ou création.
Quatre niveaux de compétence sont admis (l’administrateur de données localisées, le
géomaticien expérimenté, l’opérateur géomatique, l’utilisateur).
• Prise en compte des formations à envisager.
• Prise en compte du type de donnée à acquérir et de sa disponibilité sur le marché.
• Prise en compte des solutions techniques en matière de matériel, de solution logiciel.
II.6.2. Réalisation :
Une fois le scénario choisi, reformuler le projet et décrire plus précisément celui-ci. La
rédaction du cahier des charges et du cahier des clauses techniques particulières doit permettre
au commanditaire de bien reformuler le projet et au futur fournisseur de construire le projet le
mieux adapté. [16]
13
Chapitre II : Les Systèmes d’Information Géographique.
La connaissance du réseau est un des éléments indispensable pour définir les politiques et les
stratégies routières en matière d'investissement, d'exploitation, de gestion ou d'entretien. [18]
Un système d'information géographique routière (SIGR) est utilisé aux fins suivantes :
• recueil et stockage des données relatives aux routes, de façon à ce que les données
provenant de sources différentes, et relatives au même point ou à la même section de
route, puissent être corrélées ou reliées.
• gestion de différentes données dépendant du type ou de l'objectif des informations
souhaitées.
• données doivent être accessibles à tous les utilisateurs pour toutes sortes d'objectifs.
Dans un second temps on fait une étude des règles topologique pour corriger les imprécisions
et les erreurs affectées au réseau la figure ci-dessous montre une correction effectuées sur le
14
Chapitre II : Les Systèmes d’Information Géographique.
réseau routier, à la fin on justifiera le choix d’un modèle pour déterminer les conditions
réelles de circulation et mieux gérer le transport public dans un réseau multimodal. [18]
Conclusion :
Au terme de ce chapitre, nous avons vu un aperçu général sur les systèmes à référence
spatiales. D’abord, nous avons survolé les concepts fondamentaux des SIG. Ensuite, les
fonctionnalités des systèmes d’informations géographiques afin de répondre aux différentes
demandes. Puis, comment mettre en œuvre un SIG et enfin, les systèmes d’information routier
et leurs données relatives.
15
Chapitre III : Organisation du réseau de voirie.
Introduction:
Ce chapitre vise à définir le système circulatoire, dans le cadre d’une planification
opérationnelle des déplacements motorisés et pédestres, en matière d’organisation spatiale et
leurs constitutions ainsi une gestion de desserte, la localisation des stations principales et le
découpage zonal de la ville de Mostaganem.
Les rues, boulevards et avenues, au même titre que les places, esplanades et même parkings
font tous partie d’une même famille : l’espace public.
Il s’agit d’un espace ouvert à tous, le plus souvent géré par la collectivité et qui joue une
multitude de rôles :
- lieu de transport : circulation automobile, déplacements piétons, support de réseaux
techniques,
- lieu de vie : détente, rencontre, loisirs,
- lieu d’activités : commerces, services …
L’espace public est donc un objet complexe. La définition de ses modalités d’aménagement
nécessite de prendre en compte ces multiples dimensions.
C’est en réponse à cet enjeu que l’hiérarchisation des réseaux de voirie a été imaginée.
Par une entrée circulatoire, l’hiérarchisation de réseau permet néanmoins une approche
globale de l’aménagement de l’espace public.
La démarche vise en effet à rendre cohérentes les fonctions dévolues à une voie en termes de
déplacements avec les aménagements mis en place, l’environnement de la voie et son niveau
de service.
La méthode se base sur la notion de « portée des déplacements », c’est-à-dire la nature des
trajets effectués au regard du territoire d’étude. On peut ainsi distinguer par exemple les
trafics internes, d’échange ou de transit par rapport à un territoire.
Le travail d’hiérarchisation permet d’établir une classification des voies et de définir des
préconisations d’aménagement pour chaque type de voie.
Cette hiérarchisation permet en outre, de disposer d’un outil de programmation des
aménagements et de gestion cohérente des espaces publics.
Enfin en permettant une meilleure lisibilité du réseau pour les usagers, la mise en place
d’aménagements adaptés est source d’améliorations en termes de sécurité routière.
16
Chapitre III : Organisation du réseau de voirie.
d’estimer une réserve de capacité. La charge, qui est la somme de tous les trafics entrant dans
le carrefour, permet de mesurer le « poids » ou l’importance de chaque carrefour dans le
réseau de l’aire d’étude.
III.5. Découpage interne de la zone d’étude :
Pour les besoins d’analyse de la demande en déplacements et de la différenciation des
diverses parties de l’aire d’étude celle-ci est découpée en 15 zones représentants les
principaux quartiers de l’aire d’étude. Le découpage a été établi sur la base de l’homogénéité
spacio-fonctionnelle des différents tissus urbains. La liste des secteurs et leur identification
sont illustrées par le tableau suivant :
6 Arsa2, Houria
8 Bettahar Habib
18
Chapitre III : Organisation du réseau de voirie.
III.6.1. Bus :
Dans la majorité des villes, les bus privés et de l'État possèdent des lignes qui desservent la
plupart des quartiers. Ainsi à Mostaganem l'Entreprise de Transport Urbain de
Mostaganem (ETUM) éprouve des difficultés face à la demande des citoyens.
L'entreprise dispose actuellement d'une flotte composée d'une tranche de dix (10) véhicules de
transport à usage collectif, elle desserte pour le moment le centre ville et ses proches
banlieues, en attendant l'extension de ses liaisons :
Numéros Départ Arrêts Terminus Distances
Ligne
Nouvelle Cité 5 Juillet, Central de Police, Centre Université
L01 Gare Ville, Tijdit, 800 lgts, 300 lgts, 348 Mostaganem- 8.7 KM
Routière lgts, Faculté de Médecine, 600 lgts Kharouba.
Nouvelle Cité 5 Juillet, Central de Police, Centre Faculté de
L02 Gare Ville, Ecole des Beaux Arts, Wilaya, Droit- 6.0 KM
Routière Daïra, Cité Administrative Salamandre.
Ancienne Cité 5 Juillet, Central de Police, Centre Cité
L03 Gare Ville, Ecole des Beaux Arts, Wilaya Medjahri. 5.1 KM
Routière
Cité Nouvelle Gare Routière, Cité 5 Juillet, Ancienne
L04 Debdaba Central de Police, Centre Ville, Ecole Gare 6.8 KM
des Beaux Arts, Wilaya Routière.
Usine Metidji, FN POSE, Ancienne
L05 Salamandre Gare Routière, Wilaya, Centre Ville, Cité Salem. 10.2 KM
Tijdit, 800 lgts, 300 lgts, Faculté de
Médecine, Cité Universitaire
Cité Administrative, Daïra, Wilaya,
L06 Salamandre Ecole des Beaux Arts, Centre Ville, Montplaisir. 6.1 KM
Cité Benanteur, Centre Commercial
Acil
Usine Metidji, FN POSE, Ancienne 8.4 KM
L07 Salamandre Gare Routière, Wilaya, Centre Ville, 544 lgts.
Tijdit, 800 lgts, Ecole des Mousses
Usine Metidji, FN POSE, Ancienne Université 10.7 KM
L08 Salamandre Gare Routière, Wilaya, Centre Ville, Mostaganem-
Tijdit, 800 lgts, 300 lgts, Faculté de Kharouba.
Médecine, 600 lgts
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Chapitre III : Organisation du réseau de voirie.
L10 Centre ville Ecole des Beaux Arts, Wilaya, FN Ouréa. 8.7 KM
POSE, 626 lgts, Poste, Annexe
Administrative
III.6.2. Taxi :
Tout véhicule automobile de cinq places au plus, y compris celle du chauffeur, muni
d’équipements spéciaux, dont le propriétaire ou l’exploitant est titulaire d’une autorisation de
stationnement sur la voie publique en attente de la clientèle, afin d’effectuer à la demande de
celle-ci et à titre onéreux, le transport particulier des personnes et de leurs bagages. La Wilaya
de Mostaganem possède les types de taxis suivants :
Urbains Inter Wilaya Intercommunal
Individuels Collectifs Symboles Communes
Taxi Collectif (Ligne : M) Ain Tadles,
Oued el Khir,
Ligne (01) Tijdit
A Sor, Sidi
Ligne (02) Cité 600 lgts Belaatar
Ligne (03) Cité 300 lgts Taxi entre Kheir ed Dine,
Mostaganem et Sayada, Ain
Ligne (04) El Hana les autres K Boudinar
wilaya (M).
Ligne (05) Cité 05 Juillet
Taxi
individuel Ligne (06) Cité Zahana Bougirat,
(M) Sirate,
Ligne (07) Cité Djebli
B Souaflia,
Ligne (08) Cité Chemouma Safsaf
Ligne (09) La Salamandre Mesra,
Mansoura,
Ligne (10) Cité Horria
E Touahria, Ain
Ligne (11) Ancienne gare (18 Février) Sidi Cherif
Ligne (12) Vide
S Sidi Ali, Ouled
Mallah,
Tazgait
Sidi Lakhdar,
Hadjadj, Abd
L el Malek
Ramdan
20
Chapitre III : Organisation du réseau de voirie.
Achacha,
Khadra, Ouled
C Boughalem,
Negmaria
H Hassi Mamech,
Stidia,
Mezaghren
Ain Nouici,
Fornaka, El
N Houssien
Tableau 6 : Types de Taxis dans la Wilaya de Mostaganem.
III.6.3. Tramway :
Le tramway de Mostaganem est un système de transport en commun actuellement en projet à
Mostaganem. Deux lignes sont prévues, la première de 13,2 km avec 21 stations et la
deuxième de 2,3 km avec 5 stations.
La première ligne devrait partir du nord à Kharouba en face de l'université avant de continuer
à la cité ALN et à Zirout Youcef, la ligne 1 du tramway devrait ensuite traverser le boulevard
Dahra et de desservir en correspondance avec la ligne 2 l'ancienne gare SNTF, puis en allant
plus au sud le tramway passera près du siège de la wilaya de Mostaganem pour arriver enfin
au quartier de Salamandre où le terminus s'effectuera en face du lycée Oukraf Mohamed. La
seconde ligne partira de l'ancienne gare SNTF (correspondance avec la première ligne)
et traversera l'avenue Benyahia Belkacem et la route de Relizane pour rejoindre la nouvelle
gare routière. [10]
21
Chapitre III : Organisation du réseau de voirie.
Conclusion :
Le chapitre ci-dessus représente une réflexion qui permet de proposer un schéma global de la
circulation automobile, parallèlement à la gestion de transport public ainsi la performance des
principaux carrefours et les acquisitions des données nécessaire pour la réalisation et
l’implémentation de notre application.
22
Chapitre IV : La conception du système.
Introduction :
Après avoir pris des généralités sur la gestion du transport public et connaissance sur la
structuration de la ville, puis les notions des systèmes d’information géographique et
l’acquisition des différentes données nécessaires. Ce chapitre porte sur la conception et
l’implémentation de l’application qui sera utile pour faire des analyses de l’existant et d’assurer
des gestions de certains instances.
Pour mettre en œuvre notre système d’information géographique qui consiste à gérer le transport
public dans la commune de Mostaganem, on est passé par les étapes suivantes :
Gestion Description
Transports La gestion des stations des trois modes de transport public existants (Bus, Taxi,
Tramway) et leur localisation.
Carrefours Le suivi de la charge des carrefours, l’analyse des réserves de capacité et la
classification des carrefours en (saturer, à la limite de saturation et non saturer).
Voies L’analyse du fonctionnement du réseau de voirie (constitution, hiérarchisation
des tronçons, limitation de vitesse de chaque tronçon et la durer de parcours).
Zones Le suivie du découpage interne de la zone d’étude qui permet la répartition de
trafic dans chaque zone.
Réseau de La localisation des stations, le cheminement des tronçons, le temps de parcours
Tramway et d’arrêt, ainsi le cout de déplacement.
Risques Un périmètre de sécurité représenté par un tampon (Buffer) autour des lignes de
Tramway.
Population La gestion des habitants dans chaque découpage de réseaux de Tramway et les
possibilités envisageables d’emplois.
Tableau 7 : Les différentes gestions de notre système.
IV.2. Les utilisateurs :
- Utilisateurs de la voirie :
o Permet les usagers de la voirie existante de prendre un ou plusieurs mode de
transport visant le cout :
En terme de temps.
En terme de distance.
23
Chapitre IV : La conception du système.
- Collectivité local :
o Direction de transport :
Gérer l’ensemble.
Affecter des lignes a un ensemble de véhicules de transport.
La gestion de nouvelle gare.
Gestion de la voirie.
o Entreprise de transport privé :
Localisation de client et lui affecter la plus proche véhicule.
Aider le taxieur à parcourir la route la plus courte.
24
Chapitre IV : La conception du système.
Notre système gère les informations par couches thématiques appartenant à un même thème et
ayant une relation topologique. Chaque couche représente une entité qui elle-même est
représentée par une table alphanumérique.
Les relations entre les différentes couches d’information seront définies dans le modèle
conceptuel de données (MCD).
25
Chapitre IV : La conception du système.
IV.5. Implémentation :
IV.5.1. Environnement matérielle et logiciel :
Pour la mise en œuvre de notre application, notre choix s’est porté sur l’environnement suivant :
26
Chapitre IV : La conception du système.
• Python 2.7.
ArcCatalog, ArcToolBox et ModelBuilder sont accessibles par des fenêtres que l’on peut ouvrir depuis
ArcMap.
On peut aussi utiliser comme éditeur de scripts, python qui est intégré à ArcMap. On peut écrire des
scripts à partir de python pour automatiser certaines tâches. On peut aussi utiliser des scripts existant.
ArcPy est un module python fourni avec ArcGis 10.1 Desktop.
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Chapitre IV : La conception du système.
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Chapitre IV : La conception du système.
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Chapitre IV : La conception du système.
Voici un exemple de requête qui montre la liaison entre deux modes de transports (ligne de bus-
Voie routier) on prenons en considération le terme de plus court chemin.
Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons présenté les outils utilisés pour l’implémentation de notre application en
exposant les différents composants et fonctionnalités permettant le développent d’une application
décisionnelle.
Nous avons, par la suite, abordé la conception de notre approche avec une étude de l’analyse des besoins,
ainsi de voir les fonctionnalités de notre modèle proposé, et des illustrations de différentes requêtes.
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Conclusion générale :
Au terme de cet article, après avoir décrit l’aire d’étude et la compréhension des principes de
gestion du transport public, la suite était de répondre aux besoins souhaités dans un système
d’information géographique cohérant et performant.
Nous avons vu un aperçu général sur les systèmes à référence spatiales et survolé les concepts
fondamentaux des SIG.
Puis, comment mettre en œuvre un SIG et enfin, les systèmes d’information routier et leurs
données relatives.
On va voir par la suite une manière de bien définir le système circulatoire, dans le cadre d’une
planification opérationnelle des déplacements motorisés et pédestres, en matière
d’organisation spatiale et leurs constitutions ainsi une gestion du transport multimodal, puis la
conception et l’implémentation de l’application qui sera utile pour faire des analyses de
l’existant et d’assurer des gestions de certains instances.
On peut aussi ajouter comme perspective à notre travail, une visualisation en trois dimensions
3D de notre SIG, ou par exemple l’intégration dans notre application une architecture client-
serveur sous un SIG réseau pour faciliter l’échange d’informations à distance, et pourquoi pas
l’autonomie de notre SIG par l’intégration d’un système intelligent.
Sommaire:
Résumé :
Introduction générale :
Objectifs :
Chapitre I : Transport public
Introduction : .............................................................................................................................. 1
I.1. Définition : ........................................................................................................................... 1
I.1.1. Modes de transport :.......................................................................................................... 1
I.1.1.1. Transport aérien : ........................................................................................................... 1
I.1.1.2. Transport maritime : ...................................................................................................... 1
I.1.1.3. Transport terrestre : ........................................................................................................ 2
I.1.1.3.1. Transport routier : ....................................................................................................... 2
I.1.1.3.2. Transport ferroviaire : ................................................................................................. 2
I.1.1.4. Transport multimodal : .................................................................................................. 2
I.1.2. Moyens de transport :........................................................................................................ 2
I.1.2.1. Voie aérienne : ............................................................................................................... 2
I.1.2.2. Voie maritime : .............................................................................................................. 2
I.1.2.3. Voie fluviale : ................................................................................................................ 3
I.1.2.4. Voie routière : ................................................................................................................ 3
I.1.2.5. Voie ferroviaire : ............................................................................................................ 3
I.1.3. Les performances techniques du transport :...................................................................... 3
I.2. Présentation de la Wilaya :................................................................................................... 3
I.2.1. Situation géographique : ................................................................................................... 3
I.2.1.1. Relief : ............................................................................................................................ 4
I.2.1.2. Découpage administratif : .............................................................................................. 4
I.2.2.Infrastructures routières : ................................................................................................... 5
Conclusion:................................................................................................................................. 6
Chapitre II : Les systèmes d'information géographique
Introduction: ............................................................................................................................... 7
II.1. Définition : .......................................................................................................................... 7
II.2. Propriétés : .......................................................................................................................... 7
II.3. Domaines d'application : .................................................................................................... 7
II.4. Les composants du SIG : .................................................................................................... 7
II.4.1. Les données : ................................................................................................................... 7
II.4.2. Les logiciels : ................................................................................................................... 8
II.4.3. Les matériels : .................................................................................................................. 8
II.4.4. Les savoir-faire : .............................................................................................................. 8
II.4.5. Les utilisateurs : ............................................................................................................... 9
II.5. Fonctionnalité d'un SIG : .................................................................................................... 9
II.5.1. Abstraction : .................................................................................................................... 9
II.5.2. Acquisition : .................................................................................................................... 9
II.5.3. Archivage : .................................................................................................................... 10
II.5.4. Analyse : ........................................................................................................................ 10
II.5.5. Affichage : ..................................................................................................................... 11
II.6. La mise en place d'un SIG : ..................................................... Erreur ! Signet non défini.
II.6.1. Initialisation : ....................................................................... Erreur ! Signet non défini.
II.6.1.1. Réunir les conditions pour la réussite du projet :.............. Erreur ! Signet non défini.
II.6.1.2. Etude préalable : ............................................................... Erreur ! Signet non défini.
II.6.2. Réalisation : ......................................................................... Erreur ! Signet non défini.
II.6.2.1. La phase d‘acquisition : .................................................... Erreur ! Signet non défini.
II.6.2.2. La mise en œuvre : ............................................................ Erreur ! Signet non défini.
II.7. Systèmes d’informations géographiques routières : ......................................................... 14
II.7.1. Données relatives aux SIGR : ....................................................................................... 14
II.7.2. Modélisation du réseau routier : ................................................................................... 14
Conclusion :…………………………………………………………………………………15
Introduction: ............................................................................................................................. 16
III.1. Hiérarchisation du réseau de voirie :……………………………………………………16
[16] Projet POTIMART - Phase 3 «Rapport d’études : Outils SIG Transport » «Analyse des
besoins » Version 1 (Décembre 2009)
[18] A. Enagnon B. YEBADOKPO « Optimisation du système d'entretien du réseau routier
du bénin : impacts spécifiques du PASR » UPIB et Université Catholique de Lille (2008).
[17] http://seig.ensg.ign.fr/fichchap.php?NOFICHE=FP1&NOCONT=CONT3&NOCHEM=
CHEMS001&NO consulté Décembre 2014.