Académie De France à Rome

Antoine de Favray, a French High Baroque painter, arrived in Malta in 1744 after six years residence at the French Academy in Rome. His flamboyant portraits of knights and ladies in quaint costumes met immediate success. While his fascination for Oriental mores induced him in 1761 to sail for Constantinople on board the 'Corona Ottomana' on its restitution to the Sublime Porte. In the course of the next ten years, Favray became a celebrated Orientalist artist until he returned to Malta in 1771. The following two studies focus on Favray's activities in his first Maltese sojourn.

Charles de La Traverse hizo una carrera atípica; después de unos principios prometedores como pintor de historia se convirtió en «gentilhomme de compag-nie» del marqués de Ossun, embajador de Francia en Nápoles; siguió a su señor a Madrid y desde entonces fue empleado del cuerpo diplomático. De su estancia en España se conoce un abundante corpus de dibujos y que fue maestro de Luis Paret. Varios documentos inéditos publicados en este estudio revelan que a partir de 1777, La Traverse trabajó para el conde de Angiviller, «directeur général des Bâtiments du roi», en el enriquecimiento de la colección de la Corona francesa con vistas a la creación de un museo permanente en el palacio del Louvre. A pesar de las ambiciones del pintor, D'Angiviller prefirió la mediación de un profesional, Jean-Baptiste Lebrun, hecho que atestigua el nuevo papel desem-peñado por los marchantes parisinos.

Le grand prix de gravure en médailles fut institué en 1803. Pendant plus de cent soixante ans, quarante-cinq pensionnaires se sont succédé à la Villa Médicis dans le poste de médailleur. Comme ils n'ont pas encore fait l'objet d'une étude d'ensemble, on propose ici quelques jalons pour l'histoire de leur section. Les règlements successifs, ainsi que quelques témoignages, permettent de se faire une idée de leur formation à l'École des Beaux-Arts et des modalités du concours. Les archives et le « musée » conservés à la Villa Médicis montrent ce que furent leur documentation (bibliothèque, « médaillier ») et leur atelier (actuellement connu comme studiolo de Ferdinand de Médicis). La liste de leurs envois de Rome, établie entre autres grâce aux comptes rendus de l'Institut, révèle quels étaient les bons modèles pour les travaux scolaires : au XIXe siècle, il s'agissait de graver d'après les monnaies de Syracuse et de dessiner d'après Raphaël. L'inspiration est plus libre au XXe siècle, où l'on redécouvre la taille directe sur acier après la phase de la plaquette modelée. Après 1970, la gravure en médailles n'est plus pratiquée à la Villa Médicis.
Pensionnaires graveurs en médailles (dans l'ordre chronologique) : Nicolas Pierre Tiolier, Jacques Edouard Gatteaux, Henri François Brandt, Ursin Jules Vatinelle, Eugène André Oudiné, Jean Baptiste Eugène Farochon, André Vauthier, Louis Merley, Louis Félix Chabaud, Alphée Dubois, Jean Lagrange, Jules Clément Chaplain, Charles Jean Marie Degeorge, Emile Arthur Soldi, Jean Baptiste Daniel Dupuis, Louis Oscar Roty, Louis Alexandre Bottée, Henri Auguste Jules Patey, Henri Naudé, Charles Frédéric Victor Vernon, Charles Philippe Germain Aristide Pillet, Marie Alexandre Lucien Coudray, Georges Dupré, René Grégoire, Pierre Victor Dautel, Julien Louis Mérot, Paul Marcel Dammann, Raoul René Alphonse Bénard, André Henri Lavrillier, Gaston Albert Lavrillier, Pierre Louis Aristide Turin, Lucien Georges Bazor, Jean Joseph Georges Guiraud, Aleth Jeanne Antoinette Guzman, Louis Charles Muller, Albert Gaston Dejaeger, Raymond André Joly, Raymond Tschudin, Jules Ferdinand France, Michel Charpentier, Jacques Devigne, Emile Rousseau, Jean Asselbergs, Janine Boyer, Denis Jean Marie Philippe Mondineu.

Catalogo della mostra tenuta presso l'accademia di San Luca sui rapporti tra l'Accademia di San Luca e la Francia con diversi saggi che illustrano questo rapporto, in particolare riguardo all'architettura.
A cura di C. Brook, E. Camboni, G.P. Consoli, F. Moschini et S. Pasquali, Accademia nazionale di San Luca, Roma, 2016, p.53-64 (ISBN 978-88-97610-17-5).

Będąca owocem benedyktyńskiej pracy i umiejętności pokonywania niebagatelnych trudności organizacyjnych, źródłowa monografia Barbary Hryszko wprowadza do obiegu naukowego sylwetkę znaczącego artysty, dotąd niemal zupełnie zapomnianego, prawidłowo osadza go w kontekście historycznym, kulturowym i artystycznym, w sposób zasadniczy wzbogaca wiedzę na temat związanych z Polską malarzy dojrzałego baroku, a także […] dopełnia panoramę akademickiego malarstwa we Francji około roku 1700 i sztuki akademickiej w tym kraju oraz w środowisku rzymskim.
Prof. dr hab. Marcin Fabiański

Bardzo ważkie rezultaty przyniosła wnikliwa kwerenda archiwalna, która pozwoliła Pani Barbarze Hryszko odtworzyć wiernie i bardzo szczegółowo biografię Ubeleskiego oraz rozszerzyć wiedzę o jego dorobku. […] Autorka wykorzystała różnorodne i bardzo skuteczne metody identyfikacji dzieł Ubeleskiego, poddając m.in. wnikliwej analizie inskrypcje umieszczone na jego rysunkach. Wykazała się także dobrą znajomością metod badań nad malarstwem francuskim, atrybuując Ubeleskiemu kolejne dzieła na podstawie rycin, na których malarz ten występuje jako inwentor. […] Zgadzam się z atrybucjami i „antyatrybucjami” Pani Hryszko, a zarazem doceniam znaczny wysiłek włożony przez nią w przeszukanie wielu kolekcji, wyłowienie z nich dzieł Ubeleskiego, a także w uzasadnienie tych wyborów. […]
Książka wnosi wiele nowych informacji do badań nad malarstwem francuskim XVII wieku. Praca ta prezentuje bowiem we wszechstronny sposób sylwetkę paryskiego artysty „drugiego planu”, który odegrał z pewnością istotną rolę w utrzymaniu francuskiego malarstwa na „akademickich torach”. Na pochwałę zasługuje retoryczna wyrazistość wywodów Autorki, jasne stawianie tez i ich precyzyjne uzasadnianie. Praca jest zaopatrzona w bardzo bogaty aparat naukowy i starannie zilustrowana.
Prof. dr hab. Piotr Krasny

BÂTIR POUR NAPOLÉON. UNE ARCHITECTURE FRANCO-ITALIENNE sous la direction de Letizia Tedeschi (Archivio del Moderno, Università della Svizzera italiana), Jean-Philippe Garric (HiCSA, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) et Daniel Rabreau (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)

Ce volume paraît dans le cadre du projet de recherche La culture architectonique italienne et française à l'époque napoléonienne,

La collana interdisciplinare pubblica le ricerche di giovani studiosi promosse tramite borse di alti studi e premi dal Programma sull'Età e la Cultura del Barocco nelle discipline umanistiche, storia, letteratura, filosofia, musica, teatro, arte e architettura.

eine Faksimileausgabe bringt Licht in das wichtigste Lernstadium des Meisters», Belvedere, núm. 1, 1995, págs. 6-13. Mena, M.; Urrea, J. El Cuaderno italiano: 1770-1786. Los orígenes del arte de Goya, Madrid: Museo del Prado, 1994, págs. 87-98. Monterde, C.; Gallego, R. «Las páginas del Cuaderno italiano». En: Sureda, J. (coord.). Goya e Italia, cat. exp., 31 de mayo-15 de septiembre de 2008, Museo de Zaragoza, vol. 2, Madrid: Turner, 2008, págs. 99-107. Reuter, A. «Die Vielfalt spanischer Taccuini: Italien aus der Sicht Felipe Castros, José del Castillos und Francisco de Goya». En: Hille, N.; Müller, M.E.

Hugo Chapman, directeur du Department of Prints and Drawings, British Museum, Londres Claudia Conforti, professeur d'histoire de l'architecture, Università degli Studi di Roma Tor Vergata Philippe Costamagna, directeur du Palais Fesch-musée des Beaux-Arts et conservateur des musées de la ville d'Ajaccio Annick Lemoine, maître de conférence, université de Rennes 2 et directrice du musée Cognacq-Jay, Paris Stéphane Loire, conservateur en chef du département des Peintures, musée du Louvre, Paris

Maître Chef d'atelier aux beaux-arts (nombre de Prix de Rome sortis de l'atelier), etc. Roi, Empereur, Président de la République au moment où le pensionnaire entre à l'AFR Les ministères qui avaient l'institution en tutelle. selon les époques, la Maison du Roi,le Ministère de l'Instruction publique, de l'Éducation nationale, de la culture, etc. au moment où le pensionnaire entre à l'AFR Séjour à Rome Détails de la vie à Rome (copies, voyages, relations avec le Vatican, etc.) Date de départ de l'AFR. Parfois le pensionnaire obtient une prolongation, ou reste à Rome. Date départ Après Rome, le pensionnaire entame une carrière. Elles est détaillée en terme de poste, de séjour à l'étranger. Il dépend des institutions d'État, reçoit des commandes publiques,etc. Architecte DPLG, BCPN, etc. CARRIÈRE Médailles au Salon ; Légion d'honneur (chevalier, commandeur, grand officier) ; Médaille du mérite ; palmes académiques, décorations militaires, décorations étrangères,etc. Distinctions Sources manuscrites (extraits d'acte de naissance, de décès ; registres d'inscriptions, etc.) Ouvrages ayant servi à la collecte des données .Outre les ouvrages de référence, on a utilisé les catalogues, thèses, maîtrises, etc. Dictionnaires Les dictionnaires ayant servi à la collecte des données. Commentaires Commentaires sur divers événements politiques, artistiques, économiques, etc. ou sur des controverses à propos des dates, des activités professionnelles, etc.

Cette contribution se propose de mettre en relation la commande de cartons aux suc-cesseurs de Le Brun et la gestion institutionnelle du stock royal de tapisserie dévolu à l'Académie de France à Rome. L'une des fonctions initiales de l'Académie de France était précisément de faire copier les chefs-d'oeuvre de la peinture romaine à destination des Gobelins. À partir des années 1720, l'Académie de France à Rome, nouvellement installée dans les murs du Palazzo Mancini, entreprend la mise en valeur systématique de la production des Gobelins. Savamment assortie aux lambris par les menuisiers, les peintres et les doreurs, elle participe alors d'une réelle intégration symphonique du mobilier dans l'architecture, que vont relayer les peintres alors pensionnaires de l'institution durant les trois décennies suivantes. Après 1760, bien que la commande de cartons de tapisserie reste impor-tante, elle est mise au service d'attendus autres que la réflexion décorative. Abstract-In this paper I propose to connect the commissioning of tapestry cartoons to the successors of Le Brun and the institutional management of the royal stock of tapestry by the Académie de France in Rome. One of the original functions of the Académie de France was precisely to copy the masterpieces of Roman painting for the Gobelins manufacture. From the 1720's on, the Académie de France in Rome, newly housed in the Palazzo Mancini, began the systematic exposition of the Gobelins production. Carefully matched to the paneling by carpenters, painters and gilders, it was part of the symphonic integration of furniture in architecture that resident painters of the institution were to transmit for the next three decades. However, after 1760, although the number of commissions for tapestry cartons remained important, that medium was used for other purposes than that of finding new patterns of decoration.

En 1837, une terrible épidémie de choléra sévit à Rome, faisant des centaines de morts par jours. Les pensionnaires de l'Académie de France à Rome, à l'époque dirigée par Jean-Auguste-Dominique Ingres, se trouvent ainsi confinés entre les murs de la Villa Médicis. Nous avons reconstruit cette expérience singulière à partir des lettres et des souvenirs intimes où les artistes racontent cet épisode vécu entre crainte de l'épidémie, superstition, hypocondrie et insouciance paresseuse.

Alla pagina 172r ( ), l'ultima del suo Taccuino italiano 1 (1771-1788; Madrid, Museo Nacional del Prado), Francisco de Goya y Lucientes 2 annotò un succinto elenco delle opere che avrebbe avuto l'opportunità di vedere durante un viaggio per il nord dell'Italia e che fece, molto probabilmente, quando stava ritornando in Spagna nella primavera del 1771 3 . La maggior parte degli specialisti che si sono confrontati finora con il suddetto Taccuino concordano sull'attendibilità di quanto Goya ha scritto nell'ultima pagina 4 . Tuttavia, sorgono dei dubbi intorno alla verità del contenuto dell'ultima frase, in cui il giovane artista aragonese sostiene di aver visto a Venezia -la città che, come lui stesso afferma, gli piacque di più dopo Roma -molti originali di Gianlorenzo Bernini e di Alessandro Algardi ( ). Alcuni storici dell'arte ritengono, infatti, che questa affermazione sia, in realtà, un ricordo impreciso, per non dire sbagliato, del giovane pittore, e pensano che l'artista si stesse riferendo alla città eterna, dove effettivamente Bernini ed Algardi ebbero carriera attivissima e lasciarono la maggior parte delle loro opere 5 . Come cercheremo di dimostrare in questo testo, è molto probabile che Goya avesse visto anche a Venezia molti pezzi originali dei due scultori barocchi. Inoltre, la descrizione dell'ambiente in cui si trovavano queste opere ci consente di supporre che il percorso formativo del giovane artista all'interno di strutture accademiche non si fosse concluso a Roma, come si è pensato finora, ma a Venezia.

Directeur du musée d'Orsay (1994-2001), Président-directeur du musée du Louvre jusqu'en 2013, Président de la Cité internationale des arts et de l'Ensemble intercontemporain, Henri Loyrette est spécialiste de Degas, de Viollet-le-Duc, de Gustave Eiffel...

Nicolas Vleughels was a French painter, best known for his pivotal role as director of the Académie de France in Rome (1725-1737). His particular choices as head of that institution, and his way of encouraging his pensionnaires had a tremendous impact on the production of those young artists. However that impact is usually measured within the frame of French and Roman art but not in a broader perspective more in consonance with the international status of the institution. Through the analysis of the correspondence between Vleughels and the Public Works Minister in Paris, this article addresses the relationship of that charismatic man with the two Iberian crowns. On one hand, the article deals with the rather unknown and short-lived Portuguese Academy in Rome, whose connexion with the French Institution was more about rivalry and strategic positioning than a proper institutional relationship. On the other hand, the article also tackles the turbulent relationship between Vleughels and the Spanish pensionnaires, which almost resulted in a diplomatic crisis, even if the Spaniards were supposed to enjoy a particular status at the French Academy thanks to the political alliances between
the Spanish and French monarchs.

Charles de La Traverse hizo una carrera atípica; después de unos principios prometedores como pintor de historia se convirtió en «gentilhomme de compagnie» del marqués de Ossun, embajador de Francia en Nápoles; siguió a su señor a Madrid y desde entonces fue empleado del cuerpo diplomático. De su estancia en España se conoce un abundante corpus de dibujos y que fue maestro de Luis Paret. Varios documentos inéditos publicados en este estudio revelan que a partir de 1777, La Traverse trabajó para el conde de Angiviller, «directeur général des Bâtiments du roi», en el enriquecimiento de la colección de la Corona francesa con vistas a la creación de un museo permanente en el palacio del Louvre. A pesar de las ambiciones del pintor, D’Angiviller prefirió la mediación de un profesional, Jean-Baptiste Lebrun, hecho que atestigua el nuevo papel desempeñado por los marchantes parisinos.

Despite its small size, the Farnesina ai Baullari in Rome, formerly known as Palazzo Regis/Le Roy, was a durable paradigm of both the small Renaissance house. Reputed a masterpiece of early 16th century masters, it was appreciated, sketched and studied with continuity by French pensionnaires. In particular, their drawings from 1750 to 1850 show a number of different interventions – from simple adjustments to radical alterations – with respect to its actual form and are here analyzed to investigate the way the building was perceived and represented. In particular, the comparison between the drawings and the actual building, which has been subject of a recent survey, allows to discuss about the grades of graphical manipulations and to establish the evolution of the artists' gaze in relationship with their contingencies and the general ideas of modern architecture and city, as well.

link http://www.fondazione1563.it/it/pubblicazioni Alti Studi sull'Età e la Cultura del Barocco
Prefazione. Per la Copia di Stato tra Roma e Parigi, in V. Di Giuseppe Di Paolo, Il valore della copia nell’Accademia di Francia (1666-1699). Funzioni, modelli, destinazioni e pratiche, Fondazione 1563, Torino 2017, pp. IX-XIV, 9788899808082

Les Cahiers de l'École du Louvre Recherches en histoire de l'art, histoire des civilisations, archéologie, anthropologie et muséologie 11 | 2017 Cahiers 11 La constitution des collections du Muséum par l'appropriation : du rassemblement du mobilier de la Couronne dans la Grande Galerie aux saisies en Europe, à travers les actions d'Henri Reboul (1763-1839) The constitution of the collections of the Muséum by appropriation: from the assembly of the Mobilier de la Couronne in the Grande Galerie to the confiscations in Europe, through the prism of the acts of Henri Reboul (1763-1839

Français
Les travaux d’embellissement de l’abbatiale d’Anchin débutèrent en 1724 et furent achevés durant la décennie 1770. Les archives permettent de retracer les phases successives de cette transformation et révèlent les mécanismes d’une importante commande artistique dans le nord de la France, d’abord à Douai, puis à Lille et à Paris. Sous l’abbatiat du cardinal de Polignac, on procéda au pavement de l’église, au réaménagement du chœur liturgique avec de nouvelles stalles et un nouvel autel. Le pourtour du chœur fut orné d’une suite de tableaux peints par Dominique Joseph Van Oost. Bernard Joseph Wamps peignit le tableau d’autel. Le chantier fut achevé sous l’abbatiat du cardinal-duc d’York. On acheta alors des peintures religieuses pour le chœur, notamment à un certain « Prudhomme » que l’on se propose d’identifier avec le peintre Jérôme Preudhomme (ca. 1770-1800).

English
The eighteenth-century decoration of the choir of the abbey church of Anchin and new attributions to the painter Jérôme Preudhomme. The works of embellishment of the abbey church of Anchin began in 1724 and were ended in the 1770s. Archive studies allow us to reconstruct the successive phases of this transformation and reveal the proceedings of an important artistic command in the north of France, first in Douai, then in Lille and finally in Paris. Under the abbacy of the cardinal de Polignac, the works included the pavement of the church, the refitting of the liturgical choir with new stalls, and a new altar. The circumference of the choir was decorated with a group of paintings by Dominique Joseph Van Oost ; Bernard Joseph Wamps painted the altarpiece. Works came to an end under the abbacy of the cardinal-duke of York. After that, religious paintings were purchased for the choir from a certain « Prudhomme », whom we propose to identify with the painter Jérôme Preudhomme (fl. 1770-1800).