François Bayrou commence fort et nous fait un aller-retour en Falcon ministériel, coûtant selon certains dans les 12000 euros, pour aller voter à Pau, dont il reste maire, une subvention de 25000 euros pour Mayotte qui en a, certes, bien besoin. Avec ce voyage surréaliste Bayrou, à peine nommé, pratique déjà l'art et la manière de jeter par les fenêtres l'argent qu'on n'a pas et qu'on doit emprunter, sans parler de l'empreinte carbone de ce vol…
A Mayotte dont les infrastructures et services, eau, électricité, santé, écoles, routes etc..., étaient prévus pour 200 000 habitants, la surpopulation migratoire en faisant doubler ce nombre a fragilisé l'île face au cyclone Chido qui a dévasté totalement les baraques en tôles du plus grand bidonville de France dans lesquelles se logeaient les arrivants venus chercher des allocations et des aides dans ce département français du bout du monde qui ne produit aucune richesse.....
Je suis bien d'accord avec Bruno Retailleau quand il déclare que « L’État est mobilisé depuis la première heure pour secourir les victimes et éviter que d’autres crises n’ajoutent encore au malheur mais il faut déjà penser au jour d’après. On ne pourra pas reconstruire Mayotte sans traiter, avec la plus grande détermination, la question migratoire »,
Bien entendu la gôchitude va brailler à je ne sais quoi comme elle le fait mécaniquement à chaque fois que quelqu'un prononce le mot immigration, ce qui fait monter tout aussi mécaniquement le Rassemblement national.
J'ai trouvé cette étonnante broderie chinoise en fils de soie. Un art de plus dans lequel ils excellent..