70 Fiches - E1E2E3
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70 Fiches - E1E2E3
Fiches de révision
(E1/E2/E3)
Fonctions dérivables.......................................................................................................................................... 11
Formule des dérivées et primitives..................................................................................................................... 11
Étude d’une fonction ......................................................................................................................................... 11
Coût marginal ................................................................................................................................................... 14
Équation de tangente ......................................................................................................................................... 14
Fonction Exponentielle...................................................................................................................................... 14
Fonction Logarithme népérien ........................................................................................................................... 15
Les probabilités ................................................................................................................................................. 15
Les suites .......................................................................................................................................................... 17
Les statistiques .................................................................................................................................................. 19
........................................................................................................................................... 22
Synthèse de documents
L’épreuve de culture générale représente un total de 60 points : 40 points pour la synthèse de
documents et 20 points pour l’écriture personnelle.
❖ Méthodologie
- Un alinéa (2 carreaux) doit être mis: au début l’introduction, à chaque début des deux grandes
parties et au début de la conclusion.
- Sauter 2 lignes entre: l’introduction et la 1ère partie, la 1ère et la 2ème partie et entre la 2ème
partie et la conclusion.
• A chaque fois qu’on cite un document pour la première fois il est bon de préciser l’auteur, la
date de publication en soulignant le titre et de résumer les idées principales de l’auteur.
• Vous devait être objectif et ne pas laisser paraitre votre avis mais seulement argumenter à
l’aide des documents du corpus et de l’avis des auteurs et des exemples de votre culture
générale liés à la problématique. Il ne faut donc ni utiliser le « je » ni le « nous ». Le but
étant de résumer des documents au travers des idées qui sont présentes dans ceux-ci.
• Il faut être synthétique avant tout. Une feuille double bien aérée et avec des idées claires et
concises et une structure bien lisible sera bien notée à l’inverse d’une copie trop longue et
brouillon dans la structure et les idées.
• Les 2 parties du plan doivent être de taille similaire.
La confrontation de documents
L’idéal est de faire un tableau en référençant les idées similaires trouvées dans chacun des
documents qui composent le corpus.
La problématique
Elle doit être fortement présente dans chacun des documents du corpus et dégager l’idée
générale du corpus.
La plan de la synthèse
Le plan se compose de 2 à 3 parties (le plus sûre reste de faire un plan en 2 parties de type
« Oui/Mais »).
Chaque partie se compose elle-même de 3 sous-parties au moins.
La moitié des sous-parties environ doit être illustrée par un exemple de cours (livre, film étudiés en
classe dans la problématique concernée).
✓En résumé
• Introduction (6 à 8 lignes)
• 2 grandes parties (1 page et demie par partie environ)
• Une transition entre les 2 parties
• 3 sous-parties par grandes parties (15-20 lignes environ par sous-partie)
• Chaque sous partie doit faire apparaitre au moins 2 exemples tirés des documents.
• 1 alinéa de 2 carreaux au début de l’introduction, de chacune des grandes parties et de la
conclusion.
• Ne pas donner son avis personnel mais ce servir uniquement des documents en restant
objectif !
• Conclusion (5 à 8 lignes)
>> Il faut être synthétique avant tout. Une feuille simple recto bien aérée et avec des idées claires
et concises et une structure bien lisible sera bien notée à l’inverse d’une copie trop longue et
brouillon dans la structure et les idées.
Déroulement de l’épreuve
>> 20 mn de préparation écrite (sur les documents)
>> 20 mn d’oral
• Résumé des documents avec: introduction / plan en 2 parties / conclusion (10mn)
• Question de l’examinateur sur le thème abordé et autres (10mn)
✓Un argument
At first sight / En premier lieu
On second thought / Dans un second temps
✓Un bilan
All in all – As a conclusion – All things consedered / En résumé – Pour conclure – Tout faits
considérés
La fonction f est dérivable si et seulement si le rapport admet une limite finie quand
h tend vers 0. Cette limite est notée f’(a) est appelée nombre dérivé en a.
On obtient :
Théorèmes
> Toute fonction polynôme est dérivable sur R
> Toute fonction rationnelle est dérivable sur son domaine de définition
✓1 er
cas: ∆ < 0 : Le polynôme n’a pas de racine.
X1 = (-b -√∆) / 2a
X2 = (-b +√∆) / 2a
-> Dans ce cas le polynôme peut se factoriser : ax² + bx + c => a(x-x1)(x-x²)
=> Dans tous les cas le polynôme est toujours du signe de a sauf à l’intérieur des racines :
x1 x2
Signe de a Signe de -a Signe de a
Pour le tableau de variation il faut indiquer toutes les valeurs pour lesquelles la fonction f(x) = 0
pour cela il faut factoriser l’équation dérivée si c’est une fonction simple ou alors faire le calcul
discriminant pour un polynôme du second degré.
x a xo b
f’(x) - 0 +
Lim f(x) Lim f(x)
Variation x -> a x -> b
de f(x)
f(xo)
-> f(xo) est appelé minimum de la fonction
Axel ROBIN – Aidebtscg.fr
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x a xo b
f’(x) - 0 +
f(xo)
Variation
de f(x)
Lim f(x) Lim f(x)
x -> a x -> b
-> f(xo) est appelé maximum de la fonction.
Exemple
Dresser le tableau de variations de la fonction f(x) = 2x^3 – 3x^2 + 6
-> On dérive f(x) : f’(x) = 3 × 2x^(3-1) – 2 × 3x^(2-1) = 6^2 – 6^x
Il faut factoriser pour avoir la dérivée sous forme de multiplication : f’(x) = 6x(x-1)
-> Pour vérifier si la factorisation est bonne il faut développer la factorisation pour vérifier si on
retombe sur l’équation de base de la dérivée : 6x × x + 6x × (-1) = 6x^2 – 6^x
Tableau de signe
Il faut indiquer toutes les valeurs pour lesquelles la fonction f(x) = 0
C’est une fonctio simple donc résolution d’équation simple des facteurs : 6x = 0 x=0 / x-1 = 0
x=1
=> Si c’était un polynome de seconde degré « y = ax² + bx + c » alors calcul du discriminant (voir
chap en dessus)
x -∞ 0 1 +∞
6x - 0 + +
(x-1) - - 0 +
f’(x) (-×-) = + 0 (+×-) = - 0 (+×+) = +
Tableau de variation
x -∞ 0 1 +∞
f’(x) + 0 - 0 +
6 +∞*1
Variation
de f(x)
-∞* 5
-> Cette fonction n’admet pas d’extremum.
Équation de tangente
L’équation de la tangente à la courbe représentative de la fonction f au point d’abscisse a est :
T : y = f’(a)(x-a) + f(a)
Fonction Exponentielle
Les probabilités
-> Lancé de dés : Ω = {1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6}
• Un lancer de dés est une expérience aléatoire.
• Ω est appelé univers : l’ensemble des résultats possibles dans une expérience aléatoire.
• Un évènement est une partie de l’univers.
• Un évènement élémentaire : évènement possédant un seul élément.
• Des évènements A et B sont disjoints ou incompatibles si et seulement A∩B = ᴓ
Probabilité conditionnelle
Soit P une probabilité sur Ω et soit A un évènement de probabilité non nulle, la probabilité sachant
que A est réalisé est l’application PA qui à tout évènement B associe le nombre PA(B) (= Proba de
B sachant A).
PA(B) = P(A∩B)/P(A)
Rmq : PA(B) se note aussi P(B\A)
Evènements indépendants
Les évènements A et B sont indépendants si :
P(A∩B) = P(A) × P(B)
Dénombrements
> Permutation
Exemple : 4 éléments a ; b ; c et d.
Sur la calculatrice :
Optn Proba x!
Une permutation des 4 éléments est un quadruplé ayant pour composant a,b,c et d. Ces
composants étant différents les uns des autres et utilisés qu’une seule fois.
Le nombre de permutations possibles est « 4! » (Factorielles) = 24.
=> De manière générale, le nobre de permutations de n éléments est :
n! = n × (n-1) × (n-2) × …. × 1
> Arrangement
On appelle arrangement de P éléments pris parmi n tout p-uplet d’éléments distincts d’un
ensemble à n éléments.
Le nombre d’arrangements de P éléments pris parmi n est :
=> Ce nombre d’arrangement peut être assimilé à 2 cas: Tirage successif sans remise / Tiercé.
Le nombre d’ensemble constitué de K éléments pris parmi n éléments est appelé nombre de
combinaison -> Ce nombre noté :
=> Les combinaisons peuvent être assimilées à un tirage sans remise et simultané (il n’y a pas
d’ordre dans le résultat).
Les suites
Pour les suites, la variable notée n ne prend que des valeurs entières.
-> La suite est appelée U ou (Un) ; V ou (Vn)..
Un s’appelle le terme général de la suite (Un).
Le premier terme de la suite (Un) est Uo.
• Si Up = Uo + pr
Up – Uq = r(p-q)
Sn = Uo × [1-q^(n+1)] / (1-q)]
• Si q = 1
Sn = (n+1) × Uo
• Si 0 < q < 1 : lim q^n = 0 on dit que (Un) est convergente et elle converge vers 0.
n -> +∞
=> Les théorèmes de limite sur les fonctions s’appliquent aussi aux suites.
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Les statistiques
Notions de base
Une enquête statistique porte sur un ensemble de personnes ou d’objets : population (constituée
d’individus).
Lorsque la population est impossible à étudier dans son ensemble, on étudie un échantillon.
L’enquête vise à mettre en évidence une certaine particularité de cette population : cette
particularité est appelée caractère ou variable.
Si le caractère est mesurable, il est dit quantitatif (on peut lui associer un nombre : taille, année de
naissance, âge) sinon il est qualitatif (couleur des yeux, région d’habitation..).
Un caractère peut être discret ou continu :
➢ Discret = Il peut prendre des valeurs « isolées » (nombre d’enfants)
➢ Continu = Il peut prendre toutes les valeurs d’un intervalle de nombres réels (somme
d’argent)
Les résultats sont mis en forme dans des tableaux et/ou des graphiques.
La moyenne
La médiane
Me est la valeur d’un caractère quantitatif qui partage l’effectif total de la population en deux
groupes égaux (= effectifs égaux ou de fréquences égales à 50%).
L’écart type
La fréquence
fi = ni/N
Centre de classe
[a ; b[ -> xi = (a+b)/2
Amplitude de classe
[a ; b[ -> b-a
Quartile
Notés Q1, Q2 et Q3 sont les trois valeurs de la variable qui partagent la listes des valeurs
ordonnées en quatre groupes de même effectif. Rq : Q2 = Me
Interquartile
C’est la différence entre les quartiles Q3 et Q1 noté : I = Q3-Q1
[Q1 ;Q3] contient la moitié des valeurs observées.
[Q1 ;Me] et [Me ;Q3] contient le quart des valeurs observées.
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Représentation graphique
Effectifs cumulés croissants -> On prend les bornes de droites de classes.
Effectifs cumulés décroissants ->On prend les bornes de gauche des classes.
Diagramme en bâton -> Chaque donnée est représentée par un bâton de hauteur correspondant
à l’effectif ou la fréquence.
Ajustement affine
Méthode de Mayer : La droite passe par G1 et G2, les deux points moyens des deux nuages
partiels d’importance équivalente. La droite (G1G2) est appelée droite de Mayer, elle passe par G.
Méthode des moindres carrés : C’est déterminer quelle droite est suceptible de remplacer « au
mieux » le nuage de points. C’est la droite d’ajustement de y par rapport à x ; on la note : Dy/x
Cette droite passe par le point G(moy x ; moy y) et a pour équation :
Loi Binomiale
On dit qu’une variable aléatoire X suit une loi binomiale de paramètres n et p si et seulement si :
on répète n fois de manières indépendantes la même expérience à 2 issues incompatibles :
Le succès de probabilité p
L’échec de probabilité q = 1- p
X étant le nombre de succès.
X suit B(n ; p)
=> Dans ce cas, pour tout entier k tel que 0 ≤ k ≤ n on a :
P(X = k) =
E(X) = np
σ (X) =
Somme de deux va
La monnaie
Monnaie fiduciaire : billets, pièces.
Monnaie scripturale : l’argent dans les banques et les autres organismes.
Fonctions de la monnaie : unité de compte, intermédiaire d’échange.
Stabilité de la monnaie : permet de mesurer la confiance en la monnaie et donc d’augmenter le
pouvoir d’achat ou le réduire.
Hausse de la confiance en la monnaie = hausse du pouvoir d’achat.
Perte de confiance en la monnaie = baisse du pouvoir d’achat.
Indicateurs du développement
- Produit intérieur brut (PIB)
- Indicateur de développement humain (IDH)
- Indicateur de pauvreté humain (IPH)
Les niveaux de développement
- Pays émergents (BRIC : Brésil, Russie, Inde, Chine)
- Pays en transition (ex-républiques de l’URSS)
- Pays en développement (Asie, Afrique, Amérique du Sud)
Le développement durable
Développement durable : vise à atteindre des objectifs de croissance tout en répondant aux
besoins des générations futures.
Le financement interne
Lorsque l’agent finance l’opération économique par ses propres ressources, on dit qu’il
s’autofinance (avec la partie non distribuée du bénéfice).
Le financement interne est mesuré par le taux d’autofinancement = E / FCBF (épargne /
investissement)
Le financement externe
> Direct
Les agents en besoin de financement vont émettre sur les marchés des titres de propriété
(actions, obligations, bon du trésor (état)) qui seront achetés par les agents en capacité de
financement.
Ces échanges se font sur les marchés de capitaux composés du marché monétaire (CT et MT) et
du marché financier (LT).
On parle de financement direct car les agents sont mis directement en relation.
✓ Pour les emprunteurs : réduire le coût de l’intermédiaire et pouvoir investir grâce à l’argent
emprunté.
✓ Pour le prêteur : cela lui permet un revenu futur.
> Indirect
Dans ce cas, les banques jouent un rôle d’intermédiaire et un rôle de transformation de l’épargne
des agents en capacité de financement en prêt pour ceux qui ont un besoin de financement.
✓ Permet de réduite les risques pour le prêteur.
=> Le financement externe (direct ou indirect) améliore l’efficacité de l’économie :
- Les prêteurs voient leur épargne rémunérée.
- Les emprunteurs peuvent réaliser leur investissement.
La capitalisation boursière
Le niveau du cours va permettre la détermination de la valeur d’un marché ou d’une entreprise.
Elle est mesurée par la capitalisation boursière (= produit du nombre des actions par le cours de
chaque actions).
Le financement monétaire
Lorsqu’une banque accorde un crédit à un agent, son compte est augmenté du montant du crédit
et en contrepartie il est endetté du montant du crédit.
Ainsi la banque a mis à sa disposition de la monnaie scripturale et donc a créé de la monnaie
(« les crédits font les dépôts »).
=> Lorsque le prêt a été remboursé en totalité il y a destruction monétaire.
Tous les indicateurs conjoncturels sont regroupés dans un document synthétique > La note de
conjoncture (horizon = court terme).
Les organismes
BCE = Banque Centrale Européenne
OCDE = Organisation de Coopération et de Développement Économique
FMI = Fond Monétaire International
Le carrée est dit « magique » car aucun pays ne peut atteindre les 4 objectif simultanément.
Politique de rigueur
Elle a pour objectif de lutter contre l’inflation et d’améliorer le solde de la balance commerciale.
La rigueur est:
• Salariale : freinage de la croissance des salaires
• Budgétaire : diminution des dépenses de l’état
• Monétaires : augmentation des taux d’intérêt des prêts pour limiter l’accès aux crédits
=> Une politique de « Stop and Go » combine relance et rigueur.
La politique budgétaire
Le budget de l’état est une loi de finance votée chaque année qui prévoit et autorise les
ressources de l’état (impôts et taxes) et les dépenses.
Lorsque les dépenses sont supérieures aux recettes, le budget est en déficit et l’état a recours à
la dette pour financer ce déficit.
Elle peut porter soit:
• Sur une relance par la demande (on se sert du déficit budgétaire)
• Sur la rigueur de l’économie (désendettement de l’état via la réduction des dépenses
publiques)
La politique monétaire
Elle cherche à contrôler la quantité de monnaie en circulation dans l’économie (= masse
monétaire).
Il existe 2 types de politique monétaire selon l’objectif poursuivi:
- Si l’objectif poursuivi est la baisse de l’inflation
On met en œuvre une politique monétaire restrictive ; une baisse de la quantité de monnaie en
circulation.
- Si l’objectif est de stimuler la croissance
On pratiquera une politique monétaire expansionniste ; une augmentation de la quantité de
monnaie en circulation.
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Les politiques structurelles
La stratégie Europe 2020 est centrée sur 3 axes :
- Une croissance intelligente développée à partir d’une économie fondée sur la croissance
et l’innovation.
- Une croissance durable grâce à l’utilisation de ressources plus vertes et plus compétitives.
- Encourager un fort taux d’emploi favorisant la cohésion sociale et territoriale.
Politique de la concurrence
Elle vise à assurer le bon fonctionnement des marchés ; Elle est centrée sur 4 axes :
- Le contrôle des ententes et la sanction des ententes illicites.
- L’interdiction des abus de position dominante.
- Le contrôle de concentration d’entreprises.
- Le contrôle des aides de l’Etat aux entreprises.
Politique sociale
5 grands domaines sont développés en matière d’Europe sociale
- La libre circulation des travailleurs et la coordination des régimes de sécurité sociale.
- La lutte contre toute forme de discrimination.
- L’égalité des chances.
- L’égalité des hommes et des femmes.
- Le droit du travail et garantie de la santé et de la sécurité sur le lieu de travail.
Politique de l’environnement
Elle repose sur 4 principes fondamentaux
- Principe de correction à la source : Prendre des mesures correctives à la source ou alors
réparer rapidement après un accident.
- Principe de prévention : Consiste à éviter ou réduire les dommages liés au risque.
- Principe de précaution : Prévoit des mesures provisoires et proportionnées aux
dommages envisagés.
- Principe du pollueur-payeur : L’entreprise devra supporter le cout de sa pollution.
La crise apparaît comme une étape obligatoire entre les phases d’expansion et de dépression
=> Processus de destruction créatrice : Les anciennes technologies sont remplacées par de
nouvelles)
Croissance endogène
La théorie de la croissance endogène met en évidence quatre facteurs qui influent sur le taux de
croissance d’une économie et produisent des externalités positives, justifiant l’intervention de
l’État :
- Accumulation du capital physique (Romer / 1986) : Permet à l’entreprise de produire plus et
d’accroître la productivité des entreprises concurrentes (effet d’apprentissage).
- Recherche développement (Barro/ 1990) : L’innovation constitue le facteur résiduel de la
croissance. Le caractère collectif des biens produits par la recherche développement justifie
l’intervention de l’État.
- Accumulation de capital humain (Lucas / 1988) : Stock de connaissances valorisables
économiquement et incorporées aux individus (qualification..). Le rôle de l’État est de favoriser par
exemple l’accès à l’éducation.
- Dépenses d’infrastructures publiques (Barro/ 1990) : Dépenses d’infrastructures en transport et
communication qui permettent d’augmenter la croissance en améliorant l’efficacité de la
production des entreprises privées.
Théorie d’Heckscher-Ohlin-Samuelson(HOS) : Pour eux, chaque pays doit se spécialiser dans les
productions en fonction des facteurs d’abondance qu’ils possèdent et ainsi exporter les produits
qui nécessitent ce facteur en abondance et importer ceux pour lesquels ils ne disposent pas de
facteurs de production en abondance.
Théorie de proportion de facteurs : Les pays vont se spécialiser en fonction du type de facteur de
production dont ils disposent. Par exemple les pays développés vont se focaliser sur le facteur
capital (hautes technologies par exemple) et les pays émergents sur le facteur travail (main
d’œuvre abondante et peu chère).
=> C’est pourquoi les biens publics relèvent de l’intérêt général, ils sont indispensables au bon
fonctionnement de la société (éducation, santé, éclairage public).
On se pourvoi en cassation
> La cour d’appel rend un arrêt de rejet (le demandeur à la cassation n’obtient pas gain de cause)
ou elle casse et annule l’arrêt qui a été rendu par la cour d’appel (le demandeur obtient gain de
cause)
=> Si la cour de cassation casse et annule l’arrêt rendu par la cour d’appel elle renvoie les parties
devant une autre cour d’appel
Les contrats
=> Liberté contractuelle fondement et pilier de l’économie capitaliste (avec le droit de propriété).
Éléments Ceux qui ne constituent pas les piliers de Ceux qui sont DETERMINANTS
concernés l’accord entre l’employeur et le salarié : dans la conclusion du contrat.
Ex : horaires de travail Ex : rémunération, durée,
qualification pro, horaires décalés..
Conséquences > Normalement le salarié ne peut pas > Normalement l’accord du salarié
refuser et le contrat se poursuit avec les est nécessaire : Information du
nouvelles conditions de travail. salarié et délai de réflexion +
avenant au contrat de travail signé.
> Si refus, le salarié commet une faute
grave qui constitue une cause réelle et > Si refus, le salarié ne commet pas
sérieuse de licenciement. de faute (qui pourrait justifier son
licenciement).
La démission
C’est la volonté unilatérale du salarié de mettre fin au CDI. Il n’est pas nécessaire de la justifier ni
d’obtenir l’accord de l’employeur.
La volonté du salarié doit être
- Non équivoque
- Libre (non exprimée sous la contrainte physique ou morale)
- Sérieuse (non exprimée sous l’emprise de la colère ou de l’émotion)
En cas de litige
L’acheteur français a une protection identique à celle accordée par le droit français pour tout achat
opéré sur un site européen. Le principe est celui de la liberté de choix applicable au contrat.
La protection du cyberconsommateur
La collecte de données à caractère personnel sur internet est soumise à la loi « informatique et
libertés » et aux recommandations de la CNIL (Commission Internationale Informatique et
Libertés)
Les droits d’accès, d’opposition et de rectification des utilisateurs doivent être applicables.
Des règles sont mises en place :
> La règle de l’opt-in (le consentement de la personne destinataire doit être clairement exprimé
avant de recevoir des mails)
=> Dans tous les cas, le destinataire doit toujours pouvoir s’opposer à l’utilisation de ses
coordonnées = C’est l’opt-out.
Une entreprise ne peut interdire de manière absolue l’utilisation d’internet à des fins autres que
professionnelles. C’est pourquoi il est toléré un usage raisonnable qui ne remet pas en cause la
productivité de l’entreprise.
Il faut que le temps d’utilisation des TIC à titre privé soit proportionné et raisonnable.
Le code du travail précise que « nul ne peut apporter au droit des personnes et aux libertés
individuelles et collectives de restrictions qui ne seraient pas justifiées par la nature de la tâche à
accomplir ni proportionné au but recherché ».
=> Le travail à distance doit être choisi volontairement par le salarié et l’employeur. Le fait de
refuser un poste en télétravail n’est pas un motif de licenciement. Le télétravailleur a le statut
juridique de salarié.
Exemple: L’employeur dont une machine explose et blesse un salarié n’a commis aucune faute. Il
est donc apparu nécessaire dans l’intérêt des victimes d’abandonner l’idée que seule la faute
engendre la responsabilité.
L’objectivisation de la responsabilité
Elle consiste à rendre responsable une personne sans qu’elle ait commis de faute personnelle.
L’employeur est responsable des accidents causés par les salariés.
-> Le salarié est fautif mais pas responsable et l’employeur est responsable mais pas fautif.
La collectivisation du risque
Cela consiste à mettre à la charge du plus grand nombre l’obligation de réparer le préjudice subi
par certaines victimes que l’auteur du dommage soit solvable ou pas, qu’il soit connu ou pas, les
victimes seront alors indemnisées.
L’obligation de sécurité
Dans le domaine contractuel, le principe est que le débiteur de l’obligation peut avoir une
obligation de sécurité.
La cour de cassation opère une distinction :
- Obligation de sécurité = obligation de résultat
=> Si le créancier a un rôle passif dans l’exécution du contrat. On peut rapprocher l’obligation
du débiteur au principe de prévention.
- Obligation de sécurité = obligation de moyen
=> Si le créancier a un rôle actif dans l’exécution du contrat. On peut alors rapprocher
l’obligation de sécurité au principe de précaution.
Le produit défectueux
Le terme produit peut être un bien de consommation, un bien d’équipement y compris
professionnel (produits agricoles, électricité), produits issus du corps (plasma, sang).
La défectuosité du produit signifie que le produit présente un aspect dangereux qui ne présenter
pas « la sécurité à laquelle on peut légitimement s’attendre »
La responsabilité du producteur est objective ; elle n’est pas fondée sur une faute.
La disparition de la responsabilité
Il existe plusieurs cas d’exonération de la responsabilité du producteur du fait des produits
défectueux :
- Le producteur n’a pas mis lui-même le produit en circulation.
- Le produit n’était pas destiné à être vendu ou distribué.
- L’état des techniques ne permettait pas de déceler le défaut du produit au moment où il a
été mis sur le marché (exonération pour risque de développement)
La responsabilité civile
> Il existe 2 types de responsabilité civile :
- La responsabilité civile contractuelle : Elle est engagée lorsqu’il y a mauvaise ou
inexécution d’un contrat.
- La responsabilité civile délictuelle : Elle correspond à un fait juridique volontaire.
=> Dans tous les cas, la mise en œuvre de la responsabilité nécessite 3 éléments :
- Un fait dommageable ou fait générateur (C’est l’action qui déclenche)
- Le dommage (le préjudice)
- Un lien de causalité (rapport de cause à effet entre le fait générateur et le dommage)
La sanction pénale
L’assurance ne doit pas déresponsabiliser ; C’est pourquoi lorsque l’auteur d’un sinistre a commis
en plus d préjudice subit une infraction, il ne pourra pas s’assurer contre la sanction pénale.
Manageur
Elle est mise en place dans les grandes entreprises pour trouver la meilleur allocation des
ressources à court terme.
Les propriétaires confient cette tâche à des dirigeants nommés manageurs.
> Face au problème d’allocation des ressources, le manageur vise à agir à court terme pour
accroître la rentabilité de l’entreprise.
=> L’entreprise est un ensemble d’acteurs (internes et externes) guidés par leur intérêt propre. Ils
peuvent ainsi constituer des contre-pouvoirs à l’entreprise et à ses dirigeants afin d’orienter leur
décision en fonction de leur intérêt.
La gouvernance d’entreprise : C’est l’ensemble des mécanismes qui permettent de réguler et de
contrôler le pouvoir des dirigeants.
Cyert et March
Ils ont travaillé sur les théories de la décision dans les organisations. Pour eux, l’organisation est
conçue comme une coalition d’individus qui ont des objectifs différents.
Les décisions prises sont le résultat de négociation entre les acteurs, chacun va donc chercher la
négociation (salariés via CE, actionnaires via CA).
Le modèle IMC
H.Simon analyse la décision à travers le processus dont le modèle est le modèle IMC (=
Intelegency Modelisation Choice)
- I / Il s’agit d’analyser l’environnement pour identifier les situations qui font appel à des
décisions.
- M / On envisage toutes les solutions possibles et leur conséquences.
- C / On sélectionne parmi l’ensemble des solutions en fonction des moyens disponibles,
des objectifs fixés mais aussi de l’expérience et de la connaissance du décideur.
La grille managériale
Blake et Mouton mettent en évidence une grille managériale et distingue 5 types de management
en fonction de 2 critères : l’intérêt porté aux hommes (y) et l’intérêt porté à la production (x).
9
Composantes de la performance
- L’efficacité : La réalisation des objectifs (définis et mesurables) fixés qui doivent être en
cohérence avec la finalité de l’entreprise.
- L’efficience : La capacité à atteindre les objectifs fixés en minimisant les moyens utilisés.
Critères de la performance
La mesure de la performance est l’évaluation quantitative et qualitative de l’activité :
- L’évaluation quantitative se fait surtout d’un point de vue financier
- La qualité peut se mesurer par la satisfaction des clients, la conformité des produits, la
mobilisation des salariés.
Les critères de performance intègrent plusieurs domaines (individuel/collectif ; local/global ; court
terme/long terme)
=> Tous ces critères sont regroupés dans un document appelé tableau de bord.
Les objectifs
La finalité se concrétise à travers les objectifs qui sont définis de manière quantitative et
qualitative. Ils sont la traduction de la finalité et permettent de fixer les résultats à atteindre.
Il y a :
- Les objectifs fondamentaux (ou stratégiques)
- Les objectifs secondaires (ou opérationnels)
> Ils doivent être cohérents entre eux et sont traduits en actions ou en opérations.
Bouygues
Styles de direction
Un style de direction correspond à une manière d’exercer le pouvoir, c’est-à-dire un style de
relation entre le dirigeant et ses subordonnés.
- Style autoritaire exploiteur : Caractérisé par la crainte, les menaces et les sanctions,
une communication interne descendante, distance entre dirigeants et subordonnés et
centralisation des décisions.
- Style autoritaire paternaliste : Caractérisé par des récompenses et des sanctions, une
attitude soumise des subordonnés, condescendance de la part du dirigeant.
- Style consultatif : Caractérisé par l’implication des employés dans les décisions, des
rapports de coopération et de confiance, une communication ascendante.
- Style participatif : (préconisé par Likert) Caractérisé par la participation du groupe à la
définition d’un objectif commun et la participation aux prises de décisions.
Le diagnostic complet
La matrice SWOT (FFOM)
Force Faiblesses / Opportunités Menaces
=> C’est un processus d’analyse interne et externe de l’entreprise. Il repose sur l’analyse des
Forces et des Faiblesses de l’entreprise et sur les Opportunités et Menaces de l’environnement.
=> C’est donc une synthèse du diagnostic interne de l’entreprise et externe de son environnement
avec la mise en évidence des points bénéfiques et néfastes sur les 2 diagnostics.
Vous pouvez présenter une liste pour utiliser cette matrice
=> Il faut prendre soin de renseigner des info clés (chiffrées ou non) du sujet dans la liste
Forces :
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Faiblesses :
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Opportunités :
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Menaces :
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Stratégie de spécialisation
L’entreprise développe son activité dans un seul métier donc l’ensemble des activité développées
est issu des mêmes compétences et d’un savoir-faire unique.
Selon lui, une entreprise qui opte pour la stratégie de spécialisation peut le faire de 3 façons
différentes :
- Par pénétration du marché : C’est lorsque l’entreprise offre des produits afin d’augmenter ses
parts de marché.
- Par développement du marché : L’entreprise développe son activité sur de nouveaux marchés.
- Par développement du produit : L’entreprise offre un produit innovant.
✓ Permet à l’entreprise de développer des avantages concurrentiels qui peuvent se traduire par
des économies d’échelle, un effet d’expérience, développement d’une image de spécialiste.
X Mais l’entreprise est dépendante d’un seul marché donc si le marché se retourne, l’entreprise
risque d’avoir de graves difficultés.
Stratégie de diversification
Elle consiste pour une entreprise à développer des activités qui n’ont rien à voir avec celle de
départ.
L’objectif premier est de créer des effets de synergie. L’entreprise pourra ainsi élargir son
portefeuille d’activité et donc répartir les risques.
Mais attention, pour qu’elle soit pérenne, l’activité diversifiée doit permettre un soutien de l’activité
principale.
Stratégie d’externalisation
Elle consiste pour une entreprise à se séparer de fonctions (Production) ou de servies pour les
confier à des entreprises extérieures. Quand il s’agit de production, on parlera de sous-traitance.
=> 2 types de sous-traitance
La sous-traitance de capacité : On sous traite pour faire face à une augmentation de la demande.
La sous-traitance de spécialité : On sous-traite car on ne maîtrise pas les compétences.
✓ L’entreprise pourra se recentrer son métier principal et se séparer des compétences qui ne lui
apportent aucune valeur. Permet aussi de réduire les coûts financiers et sociaux.
Stratégie de différenciation
Consiste pour une entreprise à proposer un produit aux caractéristiques différentes de celles des
produits des concurrents.
✓ Avantage concurrentiel = offre perçue comme unique par le client ce qui permet à l’entreprise
de lutter contre la concurrence en conservant des marges élevées.
Stratégie de focalisation
Consiste pour une entreprise à positionner ses produits sur une cible étroite de clientèle.
✓ Avantage concurrentiel = être présent sur un marché jugé trop étroit par ses concurrents
directs et offrir un produit mieux adapté.
✓Selon Porter il est possible pour une entreprise de mettre en œuvre en même temps
plusieurs stratégies de domaine.
La croissance externe
Consiste en l’acquisition ou la prise de contrôle d’entreprises concurrentes ou complémentaires
qui permettent d’élargir le périmètre d’activité de l’entreprise.
>> Les modalités juridiques de la croissance externe
- La fusion scission (A+B = C)
- La fusion absorption (A+B = A)
- La prise de participation (OPA)
✓ Permet d’entrer rapidement sur un nouveau marché déjà connu, de bénéficier de l’expérience
des entreprises acquise et d’acquérir une technologie qu’on ne maitrise pas. Les résultats
attendus sont donc rapides.
X
- Limite financière : seules les entreprises qui ont des ressources financières importantes
peuvent la mettre en œuvre.
- Limite organisationnelle : Donne souvent lieu à des licenciements pour éviter les doublons de
poste.
- Limite juridique : Lois pour lutter contre les abus de position dominante.
La croissance conjointe
Consiste en la mise en place d’accords ou de structures communes à 2 ou plusieurs entreprises.
Se traduit par des accords de partenariats temporaires ou par la création de joint-venture. Le but
est de mettre en commun des moyens humains, financiers, technologiques pour partager les
dépenses et donc réduire les coûts.
✓ Permet de dépasser les limites de la croissance interne (limites financières) et de la croissance
externe.
La structure fonctionnelle
Elle regroupe les activités de l’entreprise selon les fonctions. La coordination est assurée par le
sommet hiérarchique et donc le pouvoir est plutôt centralisé.
✓ Structure simple et efficace.
X Crée des difficultés de coordination entre les fonctions et surcharge la DG.
La structure divisionnelle
L’entreprise est divisée en marchés, produits, secteurs géographiques. On attribue à chaque
division les moyens nécessaires et notamment des ressources fonctionnelles.
✓ Le pouvoir est plutôt décentralisé, l’information circule mieux et elle est plus flexible puisqu’on
peut ajouter ou retirer une activité si on en a envie.
X Risque de divergence des divisions et de perte de contrôle du sommet, structure coûteuse.
La structure matricielle
C’est une synthèse des deux formes précédentes qui cherche à combiner les avantages
réciproques. La structure est donc divisée par fonction et marchés, zones géographiques.
✓ Elle est très flexible.
X Elle peut faire apparaitre des dualités et des conflits.
- Les entreprises offrent un seul produit -> stratégie de spécialisation -> structure fonctionnelle
- L’entreprise tend à se diversifier -> stratégie de diversification -> structure divisionnelle
- L’entreprise s’étend à l’international -> structure matricielle
Woodward
Il n’existe pas de structure modèle unique. Les firmes les plus performantes sont celles où
l’organisation correspond à leur type de technologie :
- Les entreprises à production unitaire : Se caractérisent par une collaboration étroite et des
ajustements mutuels entre les différentes fonctions -> structure organique.
- Les entreprises qui ont une production de masse : Il y a beaucoup de monde, il existe une
hiérarchie nombreuse qui dirige une main d’œuvre peu qualifiée -> structure formalisée.
Burns et Stalker
Ils vont montrer que la structure d’une entreprise carie en fonction de la stabilité de
l’environnement. Ils distinguent 2 types de structure :
Lawrence et Lorsch
> Ils établissent un lien étroit entre l’environnement et les variables organisationnelles. Ils mettent
en évidence :
- La différenciation : Correspond aux fonctions de l’organisation en départements spécialisés
ayant des objectifs et des décisions tactiques.
- L’intégration : Suite à la différenciation, l’intégration doit se faire pour maintenir l’unité et la
cohérence de l’organisation.
La résistance au changement
Les jeux des acteurs de Crozier
Pour lui, les acteurs vont résister au changement s’il remet en cause leur marge actuelle de liberté
et de pouvoir.
Ils mettent donc en place des stratégies individuelles ou de groupes pour maintenir leur situation.
Ainsi, les individus peuvent choisir de collaborer ou non, de partager ou non leur compétences.
-> Ils maitrisent donc des zones que les dirigeants ne maitrisent pas, ce que Crozier appelle les
zones d’incertitude.
Le modèle de Greiner
L’analyse de Greiner montre que l’évolution des structures est génératrice de crises. Grâce à un
changement de structure, la crise sera surmontée et alors on amorcera une nouvelle phase de
croissance.
-> Il ne s’applique pas à toutes les entreprises et n’aborde pas toutes les phases de croissance.
Le référentiel de compétences
Il vient compléter l’approche quantitative de la pyramide des âges et amène une analyse plus qualitative.
C’est un document qui présente la cartographie des métiers de l’entreprise de manière simple.
Le bilan social
C’est un document comptable émis en fin d’exercice comptable qui doit être établit dans toutes les
entreprises de plus de 300 salariés.
Il retrace les principaux indicateurs sociaux : La rémunération / L’emploi / L’hygiène et la sécurité / Les
conditions de travail / La formation.
La flexibilité
C’est la capacité de s’adapter aux modifications de l’environnement de manière rapide. Elle est
importante dans le domaine des ressources humaines car elle va permettre de faire face aux
aléas de la conjoncture comme les pics ou les creux.
➢ Flexibilité du contrat de travail: Recours aux CDD, aux temps partiels, à l’intérim.
>> Il est indispensable que la GPEC prévoie d’éviter les dérives comme l’utilisation excessive de
contrats précaires facteurs de démotivation pour le personnel.
➢ Flexibilité des rémunérations: Elle peut être l’individualisation des salaires, le mode de
rémunération tient compte de la performance individuelle et cela permet d’associer et de
motiver les salariés.
>> Cela peut s’accompagner de méthode d’évaluation arbitraire.