Dtu 65.9
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Dtu 65.9
Document : NF P52-304-1 (DTU 65.9) (mai 1993) : Travaux de bâtiment - Installations de transport de chaleur ou de froid et d'eau chaude sanitaire
entre productions de chaleur ou de froid et bâtiments - Partie 1 : Cahier des clauses techniques + Amendement A1 (octobre 2000) (Indice de
classement : P52-304-1)
NF P 52-304-1
Mai 1993
DTU 65.9
Travaux de bâtiment
Statut
Norme française homologuée par décision du Directeur Général de l'afnor le 5 avril 1993 pour prendre
effet le 5 mai 1993.
Norme reprenant le DTU 65.9 de mars 1986 sans modifications. L'annexe est donnée à titre informatif.
Correspondance
A la date de publication de la présente norme, il n'existe pas de norme ou de projet de norme européenne
ou internationale sur le sujet.
Analyse
La présente norme propose les clauses techniques à insérer dans un marché de travaux de canalisations
pour le transport de chaleur ou de froid et d'eau chaude sanitaire, et destinées à être placées soit dans le
sol, soit en élévation à l'air libre, soit en galerie technique.
Descripteurs
contrat, installation sanitaire, transport, chaleur, canalisation, canalisation d'eau, eau chaude, canalisation
enterrée, caniveau, bâtiment.
Modifications
Inclut l'amendement A1 d'octobre 2000 paru dans le Cahier 3293.
Sommaire
• Liste des auteurs
• Chapitre 1 objet
• Chapitre 2 domaine d'application
• Chapitre 3 règles d'établissement des réseaux
membres de la commission d'étude du DTU n° 65.9 rel atif aux installations de transport de chaleur ou de froid et d'eau
chaude sanitaire entre productions de chaleur ou de froid et bâtiments.
Animateur :
Union Technique Interprofessionnelle des Fédérations Nationales du Bâtiment et des Travaux Publics.
Groupe de rédaction :
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entre productions de chaleur ou de froid et bâtiments - Partie 1 : Cahier des clauses techniques + Amendement A1 (octobre 2000) (Indice de
classement : P52-304-1)
MM.
• CLAIN, Union Nationale du Génie Energétique et Climatique
• DESLANDRES, Union Technique Interprofessionnelle
• POTIER, Centre Scientifique et Technique du Bâtiment
Membres :
MM.
• ANGOT, représentant l'Union Nationale des Chambres Syndicales de Couverture et Plomberie de France
• CAMP et SEMIK, représentant le Syndicat National des Entreprises de Gestion d'Equipements Thermiques et de
Climatisation
• CAROFF, représentant le Bureau VERITAS
• CASSETTE et NARJOT, représentant l'Union Nationale du Génie Energétique et Climatique
• HRABOVSKY, représentant le Centre d'Assistance Technique et de Documentation (ITBTP-CATED)
• LE BELLAC, représentant l'Association des Ingénieurs de Chauffage et Ventilation de France
• MAMBOURG, représentant le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment.
Chapitre 1 objet
Le présent document a pour objet d'indiquer :
a les qualités des matériaux entrant dans la composition des réseaux de transport de chaleur ou de froid et d'eau chaude
sanitaire reliant la production de chaleur ou de froid aux bâtiments et les bâtiments entre eux,
b les conditions normales d'exécution, d'essai et de réception de ces ouvrages.
Les schémas illustrant ce document sont destinés à faciliter la compréhension du texte. Ils constituent des exemples indicatifs et
non limitatifs de réalisation des ouvrages auxquels ils se rapportent.
Le présent cahier des clauses techniques est applicable dans toutes les zones climatiques ou naturelles françaises, y compris en
climat tropical humide.Le domaine d'application couvre ainsi les départements de la Guadeloupe, de la Martinique, de la Guyane et
de la Réunion.
Les autres procédés tels que canalisations pré-isolées, canalisations sous gaine étanche ne sont pas traités dans le présent
DTU.
• arrêté du 15 janvier 1962 modifié les 19 février 1979, 30 septembre 1981 et 24 novembre 1982 sur les canalisations
d'usine ;
• arrêté du 23 juin 1978 , Titre II « Sous-stations » .
2 L'attention est attirée sur les valeurs des températures et des pressions qui peuvent être atteintes dans les canalisations du
fait des fluides transportés. Les variations de dimensions qui en résultent doivent être prises en compte ; le paragraphe 3.1.5
donne certaines prescriptions à ce sujet en ce qui concerne les caniveaux.
1
Figure 2 Caniveau repérage des dimensions intérieures minimales/exemple pour 2 canalisations suspendues
Les valeurs données dans le tableau correspondent à des écartements minimaux estimés nécessaires, entre autres, pour le travail
de mise en place des canalisations et de calorifugeage. La cote D' doit permettre à l'ouvrier de faire reposer son pied au fond du
caniveau.
Lorsque trois distances D' se font suite (présence de quatre canalisations), celle du milieu pourra être remplacée par une distance
D (cas de la fig. 1 ).
Dans le cas particulier des réseaux implantés dans un sol ne présentant pas de risque d'infiltration d'eau, cas explicitement écrit
dans les Documents Particuliers du Marché (DPM), les patins supportant les canalisations peuvent reposer directement sur des
plaques d'appuis scellées dans le radier sans interrompre le fil d'eau. Les distances minimales peuvent être réduites aux valeurs
suivantes (cf. fig. 3) :
Figure 3 Caniveau repérage des dimensions intérieures minimales/exemple pour 4 canalisations cas particulier des zones
1
présentant des risques de faibles infiltrations
L'attention est attirée sur les difficultés de réalisation du calorifugeage dans ce cas.
1 Pour le calcul, voir les « Règles BAEL 80» (Règles techniques de conception et de calcul des ouvrages et construction en
béton armé suivant la méthode des états limites).
2 La température de l'air à l'intérieur du caniveau pouvant être élevée (dans certains cas par exemple, de l'ordre de 70 °C), il y
a lieu d'en tenir compte pour le béton.
3 Une épaisseur minimale de 0,50 m de terrain sur les dalles de couverture en partie courante est souhaitable pour :
• limiter les déperditions calorifiques,
• réduire le risque de gel (en cas d'arrêt de l'installation),
• diminuer les effets de la chaleur sur la végétation.
1
Les formes intérieures et extérieures du caniveau et de la fouille ne sont données que pour la définition des cotes. A part cela, elles
n'ont aucun caractère d'obligation.
Les DPM précisent la nature des terrains environnants et leur utilisation définitive ou provisoire (charges roulantes, présence
d'autres ouvrages, etc.).
1 Pour les canalisations soumises à l'arrêté du 6 décembre 1982, se conformer aux prescriptions de l' annexe 2 de cet arrêté .
2 En particulier, les engins de chantier constituent des charges roulantes momentanées.
Les ouvrages divers (tels que points fixes) ne doivent pas interrompre la continuité de l'écoulement des eaux sur le radier du
caniveau, à moins que ce dernier ne comporte, juste à l'amont, un dispositif d'évacuation tel que ceux décrits ci-après.
L'eau collectée aux points bas du caniveau ainsi que l'eau des drains extérieurs éventuels sont recueillies dans des puisards placés
latéralement et évacués par gravité ou par relevage.
Dans le cas où il n'est pas possible d'éviter qu'une pénétration du caniveau dans un bâtiment ne constitue un point bas, les
précautions nécessaires à la collecte et à l'évacuation des eaux d'infiltration à l'intérieur du bâtiment sont prises (cf. fig. 7) .
Un dispositif adapté doit être prévu sur le raccordement à l'égout pour éviter la remontée accidentelle d'eau dans le caniveau à la
suite d'une mise en charge de l'égout. Il doit pouvoir être nettoyé et contrôlé.
Un clapet de non retour commandé par un dispositif sensible à la remontée d'eau tel qu'un flotteur est réputé satisfaire à ces
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conditions.
Pour permettre de respecter la pente minimale de 2 cm/m, le niveau du siphon peut, par dérogation, être remonté jusqu'à 0,30 m
sous le niveau du radier du caniveau, tout en conservant au puisard sa hauteur de 0,50 m (fig. 4 bis ) .
Figure 4 bis Schéma d'un dispositif d'évacuation par gravité/dérogation
Si, malgré cette dérogation, la pente ne peut pas être respectée, l'évacuation doit alors se faire par relevage.
La chambre de puisard est visitable et munie d'échelons.
Un puisard suffisamment profond est nécessaire pour :
• constituer une garde d'eau ;
• permettre l'utilisation éventuelle d'une pompe mobile en cas d'incident.
Le fonctionnement de cette dernière est commandé par un contrôleur de niveau. Les dimensions du puisard sont adaptées au
rythme de fonctionnement optimal de la pompe.
L'aspiration de la pompe est munie d'une crépine, le refoulement comporte un clapet de non-retour et une canalisation raccordée à
un égout ou à un puits perdu comme dans le cas précédent.
L'installation électrique doit être conforme à la norme NF C 15-100. En référence au chapitre 3.2 de cette norme , la chambre de
puisard constitue un environnement codifié AA6 (température ambiante comprise entre + 5 et + 60 °C) et AD 3 (eau pouvant tomber
en pluie dans une direction faisant avec la verticale un angle au plus égal à 60°). Par référence à la norme NF C 20-010 ,
l'enveloppe des matériels électriques doit avoir un indice de protection IP 33.
La chambre de puisard est visitable et munie d'échelons.
3.1.5 Dilatations
En vue de limiter les efforts dans les canalisations dus aux dilatations thermiques, le réseau doit comporter une succession
d'organes de dilatation, de points fixes et de guidage.
Les organes de dilatation sont :
• soit constitués par les changements de direction du réseau : coude, baïonnette ou « Z », « lyre », (« compensation naturelle
des dilatations »),
• soit réalisées par des organes spécifiques tels que compensateurs axiaux ou articulés.
Les dimensions intérieures du caniveau et les dispositifs de support et de guidage des canalisations doivent permettre le
débattement des canalisations.
La figure 6 donne des exemples de supports.
Figure 6a Exemples de dispositifs de support permettant le débattement des canalisations coupes verticales longitudinales
(correspondant aux coupes transversales des figures 1 et 2) /cas des canalisations supportées par en dessous position
2
correspondant au montage
Figure 6b Exemples de dispositifs de support permettant le débattement des canalisations coupes verticales longitudinales
2
(correspondant aux coupes transversales des figures 1 et 2) /cas des canalisations suspendues
2
Les cotes mentionnées sont les cotes minimales d'exécution indiquées au paragraphe 3.1.1 - Section transversale des caniveaux .
Les canalisations sont placées dans une gaine métallique étanche à l'intérieur de laquelle elles doivent pouvoir se dilater librement.
La gaine de protection est fabriquée en atelier. Elle doit être protégée extérieurement contre la corrosion. Son étanchéité in situ
doit pouvoir être vérifiée à tout moment par un essai.
Elle peut contenir une ou plusieurs canalisations qui ne doivent comporter ni piquage ni point singulier. Ses dimensions intérieures
et la conception des supports doivent permettre le débattement des canalisations lors des dilatations.
La gaine de protection doit déboucher dans un ouvrage convenablement drainé et à au moins 150 mm au-dessus du niveau
supérieur des eaux.
Une des extrémités du tronçon constitue un point bas et est équipée pour collecter et évacuer les eaux ayant pu pénétrer
accidentellement dans la gaine.
Lorsque la pénétration du caniveau dans le bâtiment ne peut être envisagée, il est admis d'interrompre ce dernier à condition
d'éviter les infiltrations dans le caniveau et dans le bâtiment.
Cette solution nécessite une coordination avec l'entreprise de gros oeuvre du bâtiment.
Chapitre 4 matériaux
4.1.1 Béton
Les éléments constituant le béton et leur dosage doivent être conformes aux prescriptions du DTU n° 2 1 .
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1 La nature et la classe du ciment doivent être appropriées aux conditions d'environnement du béton (milieux agressifs par
exemple) et à la nature des granulats.
2 Dans la plupart des cas, un dosage de 350 kg de ciment classe 45 par m³ de béton convient.
Lorsqu'elles sont nécessaires, les armatures sont déterminées pour conférer aux ouvrages la résistance mécanique prévue (cf. §
3.1.2 - Résistance mécanique des caniveaux) .
Leurs arêtes destinées à se faire face doivent comporter un dispositif destiné à recevoir un cordon en matériau plein plastique, par
exemple chanfrein ou feuillure ( cf. fig. 8 et § 5.5 ).
Figure 8 Coupe longitudinale des dalles de couvertures
Ce cordon a pour fonction de limiter les infiltrations par les assemblages entre dalles.
4.2 Canalisations
Les canalisations de transport de chaleur ou de froid sont en acier non galvanisé et conformes aux normes en vigueur les
concernant. Elles doivent satisfaire aux conditions d'utilisation et d'essai fixées dans les DPM.
La norme NF E 29-002 définit les pressions et températures pour la détermination, le calcul et les essais sous pression des
tuyauteries.
Les canalisations pour eau chaude sanitaire sont celles citées au DTU n° 60.1 et à ses additifs .
4.4 Accessoires
Les accessoires tels que robinetteries, compensateurs, etc., doivent être conformes aux normes les concernant et satisfaire aux
conditions d'utilisation et d'essai des canalisations.
4.5 Calorifuge
Le calorifuge et son revêtement extérieur doivent être adaptés à la nature des canalisations et à la température du fluide transporté.
Les principaux matériaux utilisés pour le revêtement extérieur sont le carton bitumé, les bandes en toile de jute ou toile de verre, les
enduits bitumineux.
Le revêtement extérieur a pour fonction de protéger le calorifuge des efforts mécaniques et de l'humidité.
La surface du radier doit être lisse pour permettre l'écoulement des eaux d'infiltration éventuelle et des charges entraînées.
Dans le cas de caniveau en éléments préfabriqués, ces derniers doivent reposer sur un radier en béton armé.
Les points fixes sont réalisés par ancrage des canalisations soit dans les parois du caniveau, si sa résistance mécanique le permet
(cf. § 3.1.2) , soit dans des massifs en béton capables de supporter à eux seuls les efforts auxquels ils sont soumis.
Les canalisations d'eau chaude sanitaire sont assemblées selon les prescriptions du DTU n° 60.1 et de ses additifs .
Les essais doivent être effectués avant calorifugeage des canalisations.
Lors de la pose des dalles de couverture, le cordon cité au paragraphe 4.1.3 est placé dans le dispositif prévu à la jonction entre
deux dalles (cf. fig. 8) . Dans le cas de chanfrein, le cordon est recouvert d'un solin de mortier ou d'une feuille d'étanchéité collée à
chaud.
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Un carton feutre bitumé peut être placé sur toute la longueur du caniveau et rabattu sur chacune des parois verticales sur une
hauteur minimale de 0,20 m.
5.6 Remblaiement
Le matériau de remblai est placé de chaque côté du caniveau par couches d'épaisseur moyenne 0,20 m jusqu'à la hauteur de la
dalle de couverture. Au-dessus de celle-ci, une couche de 0,10 m d'épaisseur moyenne est mise en place sur la largeur totale de la
fouille. La tranchée est ensuite remblayée par couches successives n'excédant pas 0,20 m, jusqu'au niveau précisé dans les DPM.
Toutes les couches sont compactées.
Chapitre 6 essais
L'essai est effectué par remplissage à froid et purge d'air. La pression d'essai (pression d'essai d'étanchéité PEE au sens de la
norme NF E 29-002 ) est égale à 1,5 fois la pression maximale en service (PMS selon NF E 20-002 ), cette pression PEE étant en
tout état de cause, au moins égale à 6 bars pour le transport de chaleur ou de froid et au moins égale à 10 bars pour le transport
d'eau chaude sanitaire.
Pour les appareils de robinetterie visés par la norme NF E 29-311 , il est rappelé que des fuites aux garnitures d'étanchéité sont
tolérées lorsque la pression d'essai est supérieure à 1,1 fois la pression maximale admissible (PMA) de l'appareil.
La mise en pression est obtenue à l'aide d'une pompe d'épreuve ou de tout autre dispositif équivalent.
La durée de l'essai est égale au temps nécessaire à l'inspection de la canalisation. L'examen visuel doit permettre de ne déceler
aucune fuite d'eau.
L'essai est effectué par tronçons. Les assemblages entre tronçons qui n'auraient pas pu être essayés avec ces derniers doivent
être laissés apparents pour un essai général ultérieur.
Règles BAEL
Règles techniques de conception et de calcul des ouvrages et constructions en béton armé, suivant la méthode des états limites,
er
dénommées, BAEL (fascicule 62, titre 1 , section I du CCTG).
2 Normes françaises
NF C 15-100
Installations électriques à basse tension - Règles (février 1981).
NF C 20-010
Règles communes aux matériels électriques - Classification des degrés de protection procurés par les enveloppes (avril 1977).
NF E 29-002
Tuyauteries - Pressions et températures - Définitions (octobre 1982).
NF E 29-311
Robinetteries - Essais, en usine, de tenue à la pression des appareils de robinetterie (juin 1982).
NF P 03-001
Marchés privés - Cahiers types - Cahiers des Clauses administratives générales applicables aux travaux de bâtiment faisant
l'objet de marchés privés (octobre 1984).
3 Textes réglementaires
Arrêté du 15 janvier 1962, modifié les 19 février 1979 et 30 septembre 1981, relatif aux canalisations d'usine.
Arrêté du 23 juin 1978 relatif aux installations fixes destinées au chauffage et à l'alimentation en eau chaude sanitaire des
bâtiments d'habitation, de bureaux ou recevant du public.
Arrêté du 6 décembre 1982 relatif à la réglementation technique des canalisations de transport de fluides sous pression autre que
les hydrocarbures et le gaz combustible modifié par l'arrêté du 20 février 1985. Liste des documents référencés
#1 - Règles BAEL 91 révisées 99 (DTU P18-702) (mars 1992) : Règles techniques de conception et de calcul des ouvrages et
constructions en béton armé suivant la méthode des états limites (Fascicule 62, titre 1 du CCTG Travaux section 1 : béton armé) +
Amendement A1 (CSTB février 2000 ISBN 2-86891-281-8)
#2 - NF P18-201 (DTU 21) (mars 2004) : Travaux de bâtiment - Exécution des ouvrages en béton - Cahier des clauses techniques
(Indice de classement : P18-201)
#3 - NF P40-201 (DTU 60.1) (mai 1993) : Plomberie sanitaire pour bâtiments à usage d'habitation - Cahier des charges +
Amendement A1 (janvier 1999); Amendement A2 (octobre 2000) (Indice de classement : P40-201 )
#4 - NF P40-201/ADD4 (DTU 60.1/ADD4) (février 1977, mai 1993) : Plomberie sanitaire pour bâtiments à usage d'habitation -
Installations de distribution d'eau en tubes d'acier à l'intérieur des bâtiments - Additif 4 (Indice de classement : P40-201)
#5 - NF P03-001 (décembre 2000) : Marchés privés - Cahiers types - Cahier des clauses administratives générales (CCAG)
applicable aux travaux de bâtiment faisant l'objet de marchés privés (Indice de classement : P03-001)