Racial-Vitalisme PDF v.2
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Racial-Vitalisme PDF v.2
DE BRETAGNE
RACIAL
VITALISME
2020
1
Je dédie ce livre à tous les abandonnés de la vie;
voici la vie !
2
SOMMAIRE
Partie 1 : Racial-Vitalisme
Chapitre I
Doctrine...............................................................7
Chapitre II
Le sang..............................................................85
Chapitre III
Le sol................................................................135
Chapitre IV
Le temps..........................................................187
Chapitre V
L’espace...........................................................231
Chapitre VI
Le mal..............................................................275
Chapitre VII
Le bien.............................................................319
3
AVANT-PROPOS
En raison des différents événements qui ont eu lieu
depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale jusqu'à nos
jours, cet ouvrage prend forme avec pour objectif de
transmettre une conscience politique rapidement,
efficacement et de manière compréhensible pour
sensibiliser l’humanité tout entière à la politique.
Cela par l'adoption d'une idéologie simple mais
efficiente dans l'objectif majeur que se donnent le livre;
celui de la théorisation pragmatique de l’émancipation
de l’humanité à travers le XXIe siècle et au-delà.
Ce pour quoi, ce livre met à disposition l’ensemble des
connaissances relatives à la politique, notamment sur
l’idéologie dont il est le manifeste.
Cette idéologie fait suite aux différents échecs des
mouvements sociaux du XXe siècle, dont le national-
socialisme durant la Seconde Guerre mondiale et le
marxisme-léninisme durant la guerre froide qui en
furent les éléments les plus aboutis. Ce qui eut pour
conséquence majeure l’assujettissement du monde
entier par l'oligarchie cosmopolite.
Cette idéologie : c'est le racial-vitalisme.
4
Partie 1 :
Racial-
Vitalisme
5
6
Chapitre I :
Doctrine
7
PHILOSOPHIE POLITIQUE
En premier lieu, comprendre les différentes dimensions de la
politique nécessite une introduction au concept politique.
Il est donc nécessaire de faire de la philosophie politique.
La politique vient du grec ancien politikos où il signifie
«civique», c'est-à-dire ce qui est propre aux affaires de la cité.
Elle est la science de l'organisation du pouvoir au sein des
sociétés humaines, par un État, ainsi que tous ce qui s'y rapporte.
L’État quant à lui est l'organisme politique auquel a été conférer
le pouvoir d'organiser un pays et son peuple ainsi que sa place
dans le monde.
La politique va alors s'organiser autour de trois grands axes; dont
deux pour la politique intérieure de la nation et un pour la
politique extérieure de la nation.
La politique intérieure englobe deux axes: d'une part le contrôle
des populations qui détermine la structuration de la société que
le peuple devra suivre; le racial.
D'autre part, le contrôle des richesses qui consiste à déterminer
la redistribution des différentes richesses que le pays possède; il
s'agit de l'économie.
La politique extérieure comprend un seul axe qui est celui du
contrôle des relations extérieures; la diplomatie.
En politique, la diplomatie est un jeu de théâtre qui consiste à
s'allier ou s'opposer à d'autres États dans le but de garantir les
différents intérêts de l’État et de sa nation.
8
Voici un compas politique en trois dimensions sur
lequel on peut observer les trois dimensions de la
politique.
9
Les trois dimensions de la politique:
10
Compas politique comprenant l'ensemble des
idéologies politiques.
11
1 Le mérite
12
2 La justice
13
3 L’égalité
14
4 La liberté
15
5 Les idéologies
16
Le
Communisme
17
Les rouges (Communisme):
théorisé par Karl Marx, juif d'Allemagne.
18
Nationalisme de Gauche:
Cas:
La première République française (1792-1804)
19
Léninisme:
Cas:
La république socialiste fédérative soviétique (RSFS) de Russie
(1917-1922)
20
Marxisme-Léninisme:
Cas:
L’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) ou
l’Union soviétique (1922-1991)
21
Maoïsme:
Cas :
La République populaire de Chine (1949-à nos jours)
22
D’autres courants du communisme peuvent également être cités,
ceux de tendance libertaire qui ont la spécificité de n’avoir jamais
été la doctrine d’une entité politique. Ce sont les courants de
pensée ayant constitué la Quatrième internationale (organisation
internationale des partis communistes). Les deux premières ont
étaient centrées sur le marxisme tandis que la troisième était
centrée sur le léninisme.
Trotskisme:
Luxemburgisme:
Gauche communiste:
23
ANALYSE:
24
Le
Socialisme
25
Les roses (Socialisme):
théorisé par Claude-Henri de Rouvroy de
Saint-Simon, Français.
26
Populisme de Gauche:
Cas :
Amérique latine (1804-à nos jours)
27
Social-Démocratie:
Cas :
La Cinquième République française (1958-à nos jours)
28
D’autres courants du socialisme peuvent également être cités, ce
sont les plus libertaires d’entre eux comme le socialisme
démocratique très présents en Europe et en Amérique latine
mais surtout dans les pays anglo-saxons sous la forme des
différents partis travaillistes qui y sont présents. Ainsi que le de
léonisme qui quant à lui n’a jamais accédé au pouvoir et est
également présent surtout dans les pays anglo-saxons. De par sa
vocation internationaliste, tout comme pour le communisme, il
existe également une internationale socialiste réunissant une
grande partie des partis socialistes du monde entier.
Socialisme-Démocratique:
De Léonisme:
29
ANALYSE:
30
L'
Écologisme
31
Les verts (Écologisme):
théorisé par Hans Jonas, juif d'Allemagne.
32
ANALYSE:
33
L'
Anarchisme
34
Les noirs (Anarchisme):
théorisé par Pierre-Joseph Proudhon, Fran-
çais.
35
À l’origine, le mouvement anarchiste aussi appelée libertaire, dé-
signait seulement une partie des militants au sein des mouve-
ments communistes qui étaient contre le principe d’État. C’est
après l’exclusion de plusieurs anarchistes lors de la première in-
ternationale qu’eut lieu la scission entre communiste et anarchis-
te. Les différents courants de l’anarchisme ont la particularité de
n’avoir jamais été la doctrine officielle d’un État contrairement à
toutes les autres idéologies politiques. Les seuls moments où
l’anarchisme a accédé à un quelconque pouvoir politique on
étaient de courtes expériences isolées. Les courants de
l’anarchisme vont de ceux à gauche à ceux qui sont à droite
économiquement, parmi eux on peut citer:
Anarcho-Communisme:
Anarcho-Collectivisme:
Anarcho-Syndicalisme:
36
Le drapeau bissecté en rouge (pour le
communisme) et en noir (pour
l’anarchisme) est un symbole majeur
des courants anarchistes de gauche et
de leur esprit révolutionnaire.
Anarcho-Mutualisme:
Anarcho-Individualisme:
Anarcho-Capitalisme:
37
ANALYSE:
38
Le
Libéralisme
39
Les jaunes (Libéralisme):
théorisé par John Locke, Anglais.
40
Social-Libéralisme:
Cas:
Les États-Unis d’Amérique (1783-à nos jours)
41
Néo-Libéralisme
Cas:
Le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord (1922
-à nos jours)
42
D’autres courants du libéralisme, les plus à droite
économiquement en l’occurrence et n’ayant jamais accédé au
pouvoir, peuvent également être cités. Ils ont la particularité
d’être surtout très présent dans les pays anglo-saxons.
Libertarianisme:
Paléo-Libertarianisme:
43
ANALYSE:
44
Le
Capitalisme
45
Les bleus (Capitalisme):
théorisé par Adam Smith, Écossais.
46
Conservatisme:
Cas:
L’Empire Britannique (1707-1997)
47
Populisme de Droite:
Cas:
L’État d’Israël (1948-à nos jours)
48
National-Conservatisme:
Cas:
La Cinquième République française (1958-à nos jours)
49
Néo-Conservatisme:
Cas:
Les États-Unis d’Amérique (1783-à nos jours)
50
Un dernier courant du capitalisme, le plus à droite racialement et
économiquement, n’ayant jamais accédé au pouvoir, peut aussi
être cité. Cependant, selon les critiques les plus radicales de
l’anticapitalisme, le capitalisme ainsi que le droit de propriété
sont des constructions postérieures à l’humanité. Ils sont issus
du surplus de matière apparut lors de la néolithisation, ce qui fait
suite au communisme primitif qui était l’organisation naturelle
de l’humanité durant 90% de son histoire. C’est par la
néolithisation avec l’introduction de l’élevage et de l’agriculture
qu’est née ce surplus de matière aliénant entraînant le début du
commerce, ainsi que tous les modèles d’organisations
inégalitaires et hiérarchiques rompant avec l’inertie du premier
mode d’organisation de l’humanité qu’étaient la tribu et le
communisme primitif localisé. Ainsi cette matière aliénante
aurait donné naissance au fétichisme de la marchandise qui est la
capacité de la marchandise d’obtenir une valeur par elle-même
en raison de la concupiscence des hommes, c’est-à-dire de leur
matérialisme. C’est suite à cette rupture avec l’unité organique de
l’être, que la marchandise aurait sans cesse muté pour
complexifier la société de l’avoir en subdivisant toujours plus la
communauté de l’être. Ce qui a abouti à la naissance au capital
(ceux qui possèdent les moyens de production) et au capitalisme
qui est sa théorisation consciente de lui-même, dont l’absolue
dépossession de l’homme aliéné (qui perd la possession de sa vie
en devenant esclave de ses conditions matérielles) aurait
vocation à devenir universelle en se répandant partout sur Terre.
Néo-Réactionnisme:
51
ANALYSE:
52
L'
Identitarisme
53
Les bruns (Identitarisme):
théorisé par Johann Gottlieb Fichte,
Allemand.
54
Populisme:
Cas:
L’État libre d’Irlande (1922-1937)
55
Nationalisme:
Cas:
L’empire du Japon (1868-1947)
56
Fascisme:
Cas:
Europe latine (1922-1975)
57
58
Historiquement, Adolf Hitler (20 avril 1889 - 30 avril 1945) était
un Allemand d’Autriche. Il était venue en Allemagne démarrer
une carrière d’artiste mais devint soldat dans l’armée allemande
durant la Première Guerre mondiale. C’est la défaite de l’Empire
allemand et la politique catastrophique de la république de
Weimar qui le poussa à fonder le parti NSDAP, puis à tenter un
putsch en Bavière qu’il échoua et le conduit à faire de la prison
durant laquelle il écrira Mein Kampf. Après des années de
campagne, suite à sa sortie de prison, c’est finalement le 30
janvier 1933 qu’il devient chancelier de l’Allemagne et à l’issue
des élections fédérales de mars 1933 que le NSDAP s’imposera
comme le principal parti puis le Parti unique de l’Allemagne.
59
Tout d'abord, pourquoi utiliser les termes de racial et vitalisme
pour qualifier l'idéologie dont cet ouvrage a pour but d'énoncer la
doctrine. Ces deux termes sont la contraction du mot racialisme,
à savoir la reconnaissance de l'existence des races, de leurs
caractéristiques, et du mot vitalisme d'un point de vue
économique qui est un concept philosophique ayant pour
principe l'utilisation de la volonté pour garantir la vie. Car selon
lui, le vivant n’est pas réductible à la matière seule, il dispose de
phénomènes vitaux (de nature spirituel) l’animant et qui lui sont
irréductibles. Ceci en référence au national-socialisme, dont cette
idéologie entend perpétuer la pensée raciale et économique, tout
en surpassant ses défauts.
60
Le racial-vitalisme se positionne comme n’étant pas qu’une
simple idéologie, mais comme la méthode scientifique
permettant d’organiser de manière fonctionnelle la politique.
Celle qui était la norme avant la naissance des idéologies. Car elle
remplissait correctement chacune des fonctions régaliennes de
l’État-nation, que ce soit par le contrôle de la sécurité interne et
externe des frontières, par le contrôle des politiques budgétaires
et monétaires, que ce soit par le contrôle de la justice et de ses
lois et enfin le contrôle de la culture nationale.
61
6 Conclusion générale sur les idéologies
62
Au-delà de l'idéologie, sachant que le racial-vitalisme qui est
l'organisation raisonnée et naturelle des États a déjà fait ses
preuves. Est-ce qu'un monde où toutes les nations seraient
correctement organisées politiquement signifierait la fin de
l'histoire, car il rendrait la guerre vaine ?
Non, c'est un retour de l'histoire à la grande différence que dans
un tel monde, il y aurait un ralentissement de l'histoire, car les
changements apportés par les guerres seraient moins nombreux,
car dus en grande partie aux petites erreurs politiques liées à la
vitesse de prise de décision.
63
Les différents types d'organisations:
64
Compas politique mondial.
65
L’individualisme est ce qui définit l’antisocial, c’est-à-dire la
volonté métapolitique de favoriser les intérêts de l’individu (ce
qui est particulier à tous les individus) en ayant une politique
intégralement libre-échangiste.
Le massisme est ce qui définit la gauche, c’est-à-dire la volonté
métapolitique de favoriser les intérêts de la masse (la partie
inférieure du corps social qui se compose des individus les moins
prééminents) en ayant une politique protectionniste
économiquement mais libre-échangiste racialement.
L’élitisme est ce qui définit la droite, c’est-à-dire la volonté de
favoriser les intérêts de l’élite (la partie supérieure du corps
social se composant des individus les plus prééminents) en ayant
une politique protectionniste racialement mais libre-échangiste
économiquement.
66
tandis qu’à l’inverse le marché est l’ensemble des individus qui
appartiennent à des organismes de défense des intérêts privés.
67
7 La métapolitique
68
richesses ce qui permettra de produire encore plus de richesses.
69
8 Sociologie politique
70
n’a pas de caractère symétrique.
Le critère secondaire est:
-Le caractère marital de la famille, qui s’observe selon les normes
de la famille concernant le groupe social où sera effectué le choix
du conjoint pour le mariage (l’alliance). Si le conjoint est choisi à
l’intérieur de la famille, alors le caractère marital de la famille est
endogamique, mais si le conjoint est choisi à l’extérieur de la
famille alors le caractère marital de la famille est exogamique.
71
Dans la typologie des systèmes familiaux, on classifie les types de
familles selon qu’elles soient exogames ou endogames.
72
- Méritoire quand la morale fait prévaloir le mérite.
- Autoritaire quand la morale fait prévaloir la justice.
- Égalitaire quand la morale fait prévaloir l’égalité.
- Libertaire quand la morale fait prévaloir la liberté.
73
9 Catégorie de la politique
74
75
76
77
L'autre est tout ce qui est en dehors de la nation, il désigne tous
les êtres qui ne font pas partie de l'être national, leurs additions
donnent le nombre total d'individus sur Terre; il s'agit de la
population mondiale.
Il désigne également tous les avoirs qui ne font pas partie de
l'avoir national dont la quantité dépend du territoire dont ils sont
issus, leurs additions donnent la surface totale de terre émergée
sur Terre.
Il existe différents types d'acteurs politiques composant l'autre;
les individus, les collectifs dont la nation, la nature
(l'environnement sur Terre), l'univers (l'environnement en
dehors de la Terre) et Dieu.
L'autre n'est pas un tout fixe, il est l'ensemble des autres entités
politiques qui varient au cours d'un temps d'évolution
civilisationnelle propre à un potentiel racial et selon l'espace
dans lesquelles elles se situent, qui va les conditionner
conformément à ses contraintes géographiques.
78
DIEU
Le septième facteur
Il existe une septième fonction de la politique ou plutôt un
septième facteur de la politique, il est sans doute le dernier car
l'action politique ne peut le contrôler totalement mais il est
néanmoins le facteur le plus important de la politique; il s'agit de
la volonté de Dieu qui en plus de désigner tout ce qui est en
dehors de la volonté humaine, est un tout où se conjuguent une
infinité de déterminants au-dessus de toute forme de volonté
humaine. Ainsi en parallèle d'une volonté humaine s'exprimant à
travers la politique afin de façonner et organiser son
environnement, il existe une force au-dessus de tout, face à
laquelle l'Homme tente d'agir au maximum pour qu'elle soit à
son avantage. À la différence de l'autre qui est une somme
d'acteur et de ressources tangibles, comme les autres nations ou
des territoires vierges laisser au libre cours de la nature, Dieu est
une force omnipotente, omnisciente, inextinguible en tant que
tel.
79
La matière désigne tout ce qui peut s'étendre dans l'espace et est
inscrit dans le temps, elle possède des propriétés non mentales
(des propriétés physiques), elle est reconnaissable à tout ce dont
on peut faire la description des différents caractères observables
que possède la matière.
Pour ce qui relève de la matière appartient à la temporalité il
s'agit de la description concrète du monde, dans son incarnation
matérielle.
80
À l'échelle collective, l'ensemble des individus compose un corps
social qui s’appelle le peuple, éléments constitutifs de la nation.
Il est l'être de la nation, soit ses ressources humaines, qui est
elle-même la moyenne des individus qui compose la dimension
physique, intellectuel et spirituel du collectif.
C'est ce peuple qui selon le degré d'accomplissement dans leurs
différentes dimensions de chaque individu qui le compose, va
organiser non seulement le peuple mais également le pays, c'est-
à-dire l'ensemble du territoire qui lui appartient et tous les avoirs
qu'il possède, soit ses ressources matérielles. C'est selon les
ressources à disposition que les individus pourront s'accomplir.
81
10 Nomenclature
AUTRE:
AVOIR:
82
ÊTRE:
83
84
Chapitre II :
Le Sang
85
Le Sang
Le sang qui coule dans les veines d'un individu est ce qui déter-
mine sa race, ses qualités héréditaires et symbolise le mieux la di-
mension raciale de la politique qui se doit de préserver, voire
d'améliorer le sang du peuple qu'il organise.
Le sang est un liquide organique composé à 44% de globules rou-
ges (érythrocytes) qui leur donnent sa couleur et transportent de
l'oxygène, à 0,04% de globules blancs (lymphocytes) chargés de
défendre l'organisme, à 0,96% de plaquettes (thrombocytes) qui
permettent au sang de se coaguler et à 55% de plasma qui est
la composante liquide du sang. Il circule à travers un organisme
grâce à des vaisseaux sanguins, en transportant les hormones et
les nutriments dont il a besoin ainsi qu'en évacuant ses déchets,
ce qui permet à l'organisme en question de se maintenir en vie.
86
BIOLOGIE POLITIQUE
La biologie a pour objet l'étude de la matière animée et est la
science du vivant. Dans le cadre de la politique, elle se focalise
donc sur l'étude de l’être collectif qui est un macro-organisme
vivant et notamment de sa race, car il s'agit du principal
déterminisme humain. Or sur le plan racial où il est question
d'organiser les individus, la politique a pour objectif d'assurer
l'existence de l'être collectif et le maintien de l'ordre.
Donc la biologie politique est le contrôle de la qualité raciale des
individus ainsi que l'être collectif qu'ils forment.
Les principes de la biologie politique reposent sur la mise en pla-
ce d'une politique raciale prompte à assurer l'existence de l'être
collectif et le maintien de l'ordre, grâce à l'étude de la race et des
différents déterminismes propres à une communauté.
Ainsi, elle se divise en trois parties:
I/Raciologie
Il s'agit d'une branche de l'anthropologie qui est une science con-
sacrée à l'étude de l'être humain selon tous ses aspects. La racio-
logie se spécifie dans l'étude des races humaines, leurs origines,
leurs comportements, ainsi que leurs différentes
caractéristiques. Elle étudie également dans une moindre mesure
leurs diminutifs comme les familles raciales et les ethnies.
II/Déterminismes
Les déterminismes sont l'ensemble des caractères identitaires
comprenant la race, ils vont influer sur le comportement et l'exi-
stence des individus et des communautés auxquelles ils appar-
tiennent.
III/Politique biologique
Il s'agit de la mise en place d'une politique raciale et des diffé-
rents moyens d'y parvenir, pour contrôler la communauté, pour
préserver, améliorer et transmettre son sang et sa race. Les politi-
ques biologiques s'appliquent en premier lieu par une
législation, une instruction puis par d'autres moyens d'action.
87
1 Les races existantes
88
Il existe différentes classifications des races mais la plus perti-
nente reste celle des races phénotypiques, bien qu’elle manque
de concision d'un point de vue génétique. Les races phénotypi-
ques sont des races humaines basées uniquement sur des critères
physiques héréditaires, notamment la couleur de peau. Ce sont
elles qui sont les plus couramment utilisées pour qualifier des
groupes ethniques, en faisant allusion à leur couleur de peau ain-
si qu’au phénotype généralement associé.
89
2 L’origine des races
90
ensoleillées du globe, tandis que dans les parties les moins
ensoleillées du globe, elle a favorisé les individus à peau claire.
Le gène MC1R est le gène codant pour la production de
mélanine, par les mélanocytes chez l'être humain. La mélanine
est un ensemble de pigment responsable de l’existence des
différentes couleurs présentes dans les phénotypes humains. Elle
se divise entre l’eumélanine (brun-noir) responsable des
phénotypes foncés et la phéomélanine (jaune-rouge) responsable
des phénotypes clairs.
Tous ces facteurs sont l’ensemble des espaces qui ont influencé
les différents environnements de chaque race. Il s’agit de l’espace
cosmique (l’environnement en dehors de la planète Terre) et de
la nature (l’environnement au sein de la planète Terre) qui se
divise entre la lithosphère qui est l’enveloppe rigide de la Terre,
puis de l’atmosphère qui est l’enveloppe gazeuse de la Terre.
91
3 L’espace
92
Le système Soleil-Terre-Lune est responsable des différents
climats existant, sur toutes les surfaces émergées à la surface du
globe terrestre. Cette disposition est également responsable de
l'apparition de la vie sur Terre, car il s'agit de la seule planète se
situant à une distance raisonnable du soleil. Ce qui va permettre
au soleil d'éclairer de manière optimale la Terre qui ne sera ni
trop froide, ni trop chaude, ce pour quoi elle est en mesure de
contenir la vie. Ainsi le soleil est le principal facteur responsable
de l'apparition des races et de ses différentes caractéristiques
morphologiques comme la couleur de peau, le bronzage dû aux
radiations du soleil. Les radiations en différentes quantités à la
surface du globe ont influencé le climat à la surface de la planète
Terre. Ce que l'on peut observer sur la carte ci-dessus.
93
4 La nature : l’atmosphère
L’atmosphère se compose de
cinq couches atmosphéri-
ques. La troposphère qui
contient l’immense partie de
la masse atmosphérique et la
majeure partie des phénomè-
nes météorologiques.
La stratosphère qui contient
la couche d’ozone.
La mésosphère qui contient
la couche de sodium.
Ces trois couches formes
l’homosphère car la composi-
tion de l’air est uniforme.
La thermosphère est la pre-
mière couche atmosphérique
se situant dans l’espace et
l’exosphère est la couche la
plus externe, elles forment
tous les deux l’hétérosphère
où la composition de l’air
Schéma de l’atmosphère. n’est pas uniforme.
94
L'ensemble des conditions atmosphériques qui sont responsables
de la sensation de chaud ou de froid, est ce que l'on désigne com-
munément sous le nom de température qui est une grandeur
physique. Cette température dépend directement des rayons so-
laires que la Terre reçoit à sa surface, mais aussi des rayons
qu'elle renvoie. Cela est possible grâce à l'existence d'une atmos-
phère terrestre qui protège la planète de l'ensemble des rayons
cosmiques qu'elle perçoit, ce qui est l'une des raisons spécifiques
à la Terre de l'apparition de la vie et de son développement sur
Terre. C'est cette température issue du rayonnement solaire que
reçoit la Terre, qui va agir directement dans l'élaboration des dif-
férents biotopes ou milieu biologique selon leurs températures.
95
5 La nature : la lithosphère
Le reste de la
structure inter-
ne de la Terre
comprend l’as-
thénosphère qui
est la partie duc-
tile (amovible)
du manteau su-
périeur.
Il repose sur la
mésosphère qui
est la partie rigi-
de du manteau
terrestre.
Elle repose sur
le noyau externe
(liquide) qui re-
pose lui-même
sur le noyau in-
terne (solide) de
la Terre.
96
L'ensemble des mouvements effectués par les plaques tectoni-
ques (15 plaques principales et 50 plaques mineures) qui consti-
tue la lithosphère, autrement appelé la dérive des continents, est
le dernier facteur ayant participé à l'élaboration de différents re-
liefs, comme les massifs montagneux et les volcans issus des
mouvements convergents des plaques, puis les différents océans
et fosses océaniques façonnées par les mouvements divergents
des plaques. Ces formations géologiques sont à l'origine de l'hété-
rogénéité des températures précédemment constatée, sur certai-
nes parties de la surface terrestre sur les deux cartes précédentes.
97
6 Les races et leurs particularismes
La différence de QE entre les races est liées aux climats froids exi-
stant à la périphérie des pôles; ce sont des zones tempérées aux-
quelles certaines populations ont dû s'adapter, en cultivant une
plus grande solidarité ou une plus grande férocité. Cependant
l'augmentation du QI chez ces populations pour les mêmes mo-
tifs, a permis une plus grande affirmation de l'individualité et en-
gendré une diminution du QE puisqu’en pareil cas, les rapports
sociaux deviennent moins nécessaires. C’est ce pour quoi les po-
pulations adaptées aux climats proches de l'équateur et n’ayant
pas eu besoin de modifier radicalement leur stratégie de survie,
n'ont pas vu l'apparition de tendance individualiste et ont un QE
plus élevée. En pratique, plus une population a un QE élevée,
plus elle est émotionnelle, elle est donc moins rationnelle par
conséquent.
98
La différence de taille (les donnés du tableau ne concernant que
celle des hommes puisque celle de toutes les femmes ne sont pas
disponibles), est liée quant à elle uniquement à la sélection natu-
relle dans les zones périphériques aux pôles, où le climat froid a
permis seulement aux personnes les plus robustes, notamment
les personnes de grande taille (ce qui réduit leurs chances de con-
tracter certaines maladies comme les maladies cardio-vasculai-
res) de survivre et de se reproduire en grand nombre. Cependant
chaque population a plus ou moins développé des attributs physi-
ques bénéfiques ou non, en s'adaptant aux différents biotopes
dans lesquels ils ont évolué.
En pratique, plus une population évolue dans les zones chaudes
de la surface du globe, plus elle a la peau foncée, une taille
moyenne moins élevée et un volume crânien moins élevé.
Tandis qu'à l'inverse, plus une population évolue dans les zones
froides ou tempérées de la surface du globe, plus elle a la peau
claire, une taille moyenne plus élevée et un volume crânien plus
élevé.
99
Avec cette division de l’humanité, le plus important particularis-
me des races reste la disparité entre le rapport QE/QI, plus un QI
est élevé par rapport au QE plus il est en mesure de rationaliser
l'émotion, à l'inverse plus le QE est élevé par rapport au QI plus il
est en mesure de déraisonner l'émotion. Il peut être constaté que
les populations avec un QI supérieur à 100 et vivant en climat
tempéré ou polaire ont une intelligence rationnelle plus impor-
tante, par conséquent elles ont plus de facilité dans l’obtention de
bien matériel et des problèmes humains plus importants. À l'in-
verse, les populations avec un QE plus important que leur QI ont
plus de facilité dans les relations humaines et des problèmes ma-
tériaux plus importants.
On peut constater des disparités entre les races sur le plan indivi-
duel, collectif, sexuel et physiologique grâce au tableau ci-contre.
De même qu'il est mentionné sur le tableau, les différences racia-
les entre Noirs, Blancs et Jaunes sont dus notamment à l'adop-
tion de stratégie reproductive différente. Les Noirs ont adopté la
stratégie de reproduction r tandis que les Blancs et les Jaunes ont
adopté la stratégie de reproduction k.
100
Ce tableau met en évidence les caractéristiques de chaque race, il
est constatable que selon la stratégie reproductive adoptée (r ou
k), les Noirs représentent l’extrême de la stratégie r d’une part,
tandis que les Jaunes représentent l’extrême de la stratégie k
d’autre part et les Blancs un stade intermédiaire entre eux deux.
101
102
103
7 Atlas des races
104
*Les études sur le quotient émotionnel n’étant pas encore
totalement aboutie, les données disponibles peuvent ne pas être
en adéquation avec la réalité, à l’heure où ce livre est écrit.
105
106
107
8 La race
108
La race doit être préservée en permettant à un maximum d'indi-
vidus humains de s'améliorer physiquement, intellectuellement
et spirituellement. Enfin, le plus important est de transmettre la
race, que deux individus de la même race se reproduisent, car se
reproduire, transmettre la vie et perpétuer ainsi le cycle de la vie;
c'est le sens de la vie. Ce pour quoi, il est nécessaire de permettre
à la fois, à tout le monde de se reproduire et aux meilleurs d'entre
eux de se reproduire au maximum, puis à leur descendance et
ainsi de suite. En parallèle, il convient d’éliminer tous les indivi-
dus inhumains qui portent la mort en eux, afin que l'être collectif
qu'est la race se perpétue. Une race peut s'étendre en voyant ses
effectifs augmenter où elle peut rétrécir en voyant ses effectifs di-
minuer. Mais il faut au préalable que ses effectifs humains aug-
mentent et qu'il ne diminue pas, tandis qu'au même moment ses
effectifs inhumains diminuent et n'augmentent pas.
109
9 L’ethnie
110
Dans l’ensemble, l’ethnie et la race sont avant tout des groupes
humains, or il existe divers groupes humains de toutes tailles qui
ont toutes pour composante de base l’individu.
L’individu est un être singulier formant une unité distincte et
indivisible, cet individu peut être humain ou non et est
déterminé par un déterminisme primordial comme la race, ainsi
que par plusieurs déterminismes secondaires dont la principale
est l’ethnie. L’individu peut se réunir avec d’autres individus et
former un groupe humain, voir une communauté quand les
individus en question ont des intérêts communs ou un être
collectif quand ils en constituent un de par une identité
commune, car ils ont les mêmes déterminismes.
Ces êtres collectifs variables en nombre d’individus comprennent
la famille qui peut compter environ une dizaine d’individus et la
famille élargie qu’est le clan qui peut compter environ une
centaine d’individus et s’organise autour d’un patriarche qui
dirige le clan. Au-delà de ces êtres collectifs, l’individu s’organise
politiquement à partir d’un lieu commun sédentaire ou nomade
que l’on nomme village. Ils sont en bande s’ils sont environ dix et
n’ont pas de chef, en tribu s’ils sont environ cent et disposent
d’un petit chef avec des pouvoirs limités, en chefferie s’ils sont
environ mille et disposent d’un chef avec un pouvoir effectif.
Toutes ces petites entités politiques ont pour caractéristiques
communes, la parenté de chacun de leurs membres.
Quand l’entité politique qu’ils forment s’étend sur plusieurs
villages et compte plus de mille individus (de plusieurs milliers à
plusieurs millions), ils forment une ethnie organisée par un État
dirigé par un chef d’État, car ils sont génétiquement apparentés
entre eux sur un espace donné que l’on nomme le pays.
Plusieurs ethnies peuvent avoir une origine commune et sont
donc membres d’un groupe racial qui compte environ plusieurs
millions d’individus. De même que plusieurs groupes raciaux
comme l’indique son nom, peuvent appartenir à une même race
qui compte environ un milliard d’individus et s’étend sur un
continent. Enfin chaque individu appartient à l’espèce humaine,
qui compte environ plusieurs milliards d’individus et qui
occupent toutes les surfaces émergées de la planète Terre.
111
10 Le genre
D'un point de
vue hormonal,
les hommes Dans une cellule
produisent de la familiale,
testostérone. l'homme a pour
rôle d'être le père
qui apporte les
ressources au
foyer.
112
Les deux genres présentent des différences génétiques, hormonal
et morphologique, cependant l'homme possède en général un
quotient intellectuel plus élevé, tandis que la femme possède en
général un quotient émotionnel plus élevé. Cependant les deux
sexes sont complémentaires, ils doivent tout les deux mûrir pour
former une famille et réaliser la reproduction des individus ou
alors ils régressent sans laisser de descendance.
113
11 La classe sociale
114
L'ensemble de ces trois
grandes classes et de leurs
sept sous-classes peut
également se diviser
uniquement en deux
catégories; entre les
possédants qui forment la
bourgeoisie, la classe des
plus riches qui possèdent
les moyens de production
qu'ils mettent à disposition
en échange d'un salaire, ce
sont les non-salariés.
Et entre les possédés
formant le prolétariat, qui
ne possèdent que leur force
de travail qu'ils louent en
échange d'un salaire, ce
sont des salariés.
115
12 Le statut
116
13 L’âge
117
14 La croyance
118
15 La santé
119
16 La connaissance
120
17 Les idéaux
121
18 Le domicile
122
19 Les études
123
20 Anthropologie politique
Tous les États ont une organisation différente selon des critères:
-Le mode de gouvernement désigne la forme d’une entité
politique qui détermine en quelle qualité le chef d’État dirige.
Il en existe cinq au total, ce sont la tribalité, l’empire, la
monarchie, la tyrannie et la république.
-Le régime politique est un mode d’organisation qualitatif des
entités politique. Il y a le régime politique de nombre pour
désigner quelle est la répartition territoriale des pouvoirs
politiques et le régime politique de nature pour désigner la
répartition institutionnelle des trois pouvoirs politiques.
-Le système politique est un mode d’organisation quantitatif des
entités politiques. Il y a le système politique de nombre pour
désigner la quantité d’individu ayant la possibilité de devenir le
chef d’État, puis le système politique de nature pour désigner la
qualité en laquelle, un groupe d’individus est au sommet de la
pyramide sociale d’une entité politique.
124
125
21 L’instruction
Légifération :
1 - Promulguer un système scolaire
2 - Modifier un système scolaire
3 - Abroger un système scolaire
4 - Promulguer un programme scolaire
5 - Modifier un programme scolaire
6 - Abroger un programme scolaire
Budget :
126
127
22 L’intérieur
Légifération :
1 - Promulguer un code civil
2 - Modifier un code civil
3 - Abroger un code civil
4 - Promulguer un code pénal
5 - Modifier un code pénal
6 - Abroger un code pénal
7 - Promulguer un système juridique
8 - Modifier un système juridique
9 - Abroger un système juridique
10 - Promulguer une organisation de la police
11 - Modifier une organisation de la police
12 - Abroger une organisation de la police
13 - Promulguer un système de santé
14 - Modifier un système de santé
15 - Abroger un système de santé
Budget :
128
129
23 La défense
Légifération :
1 - Promulguer une organisation de l’armée
-1a de l’armée de terre
-1b de l’armée de mer
-1c de l’armée de l’air
-1d des forces spéciales
2 - Modifier une organisation de l’armée
-2a de l’armée de terre
-2b de l’armée de mer
-2c de l’armée de l’air
-2d des forces spéciales
3 - Abroger une organisation de l’armée
-3a de l’armée de terre
-3b de l’armée de mer
-3c de l’armée de l’air
-3d des forces spéciales
Budget :
130
131
24 Politique biologique
132
Titre I: Définition de l’organisation politique d’une nation.
Elle doit définir le mode de gouvernement, le régime politique de
nature et de nombre ainsi que le système politique de nature et
de nombre qui seront mis en place pour décider de la répartition
des pouvoirs. Elle doit définir les institutions qui exercent le
pouvoir et le mode de désignation du souverain.
Titre II: Définition de la souveraineté nationale.
Elle doit garantir toutes les fonctions régaliennes de l’État, en
contrôlant la souveraineté intérieure avec des forces de l’ordre,
souveraineté militaire avec un corps militaire, souveraineté
instructive avec un corps enseignant, souveraineté monétaire et
budgétaire avec un corps administratif, souveraineté
diplomatique avec un corps diplomatique, puis la souveraineté
de l’État qui s’exerce par l’intermédiaire du souverain.
Titre III: Définition de l’identité du pays composant la nation.
Elle doit définir ses insignes comme son nom, son drapeau, ses
armoiries, sa devise, son hymne, sa fête nationale, son territoire
national avec sa capitale désignée et l’ensemble des subdivisions
territoriales qui vont le composer.
Titre IV: Définition de l’identité du peuple composant la nation.
Elle doit définir son identité spirituelle en instituant une religion
d’État. Elle doit définir son identité intellectuelle en instituant
une langue nationale principale, voire des langues officielles
secondaires selon le cas. Elle doit définir son identité physique
en instituant une ethnie officielle principale, voire des ethnies
officielles secondaires selon le cas dont la nation est le support.
Titre V: Définitions des droits et des devoirs.
Elle doit garantir le mérite, la justice, l’égalité et la liberté, en
trouvant un équilibre entre ces différentes valeurs politiques.
Titre VI: Définition de l’organisation économique d’une nation.
Elle doit définir le mode d’administration, le régime économique
de nature et de nombre et le système économique de nature et de
nombre qui seront mises en place.
Titre VII: Définition des garanties de la constitution.
Elle doit définir l’ensemble des dispositions qui permettant ou
pas de modifier ou d’abroger une partie de la constitution, ainsi
que l’ensemble des normes sur lesquelles elle prépondère.
133
134
Chapitre III :
Le Sol
135
Le Sol
Le sol qui jonche nos pieds est ce qui détermine notre richesse,
ses différentes qualités et les quantités de ce qu'il contient,
symbolisent le mieux la dimension économique de la politique
qui se doit de préserver, d'exploiter voire d'améliorer et de
transmettre les sols du pays qu'elle organise.
Le sol est une couche de terre composée en moyenne de
constituants organiques à 5% reparties entre matières
organiques libres qui pourvoie le sol en carbone, azote ainsi
qu'en phosphore, mais aussi aux végétaux, ce qui contribue à
leurs fertilisations, puis en matière organique liée comme
l'humus qui permet d'entreposer des nutriments dans le sol, la
minéralisation et la rétention d'eau comme c'est le cas pour
l'argile. De constituants minéraux (limon, sable et argile) à 45%
qui selon leur proportion présente dans le sol vont déterminer sa
texture et caractériser son comportement physique. D'eau et d'air
à 50% qui se divise en deux fractions; une fraction liquide qui
alimente en oxygène, en sels minéraux ainsi qu'en gaz le sol et
une fraction gazeuse qui représente chacune 25% sa composition.
136
ÉCONOMIE POLITIQUE
L'économie a pour objet l'étude des richesses et est la science des
biens matériels. Dans le cadre de la politique, elle se focalise
donc sur l’étude du produit intérieur brut qui est l’ensemble des
richesses d’une entité politique et notamment de sa monnaie.
Or sur le plan économique où il est question d'organiser les
biens, la politique a pour objectif de produire des richesses et de
répartir des richesses.
Donc l’économie politique est le contrôle de la quantité
économique des biens, ainsi que le produit intérieur brut qu'ils
composent.
Les principes de l'économie politique reposent sur la mise en
place d'une politique économique prompte à produire des
richesses et répartir les richesses, grâce à l'étude de l'économie et
des différents types de biens matériels qu'elle prend en compte.
Ainsi, elle se divise en trois parties:
I/Économie
Il s'agit d'une étude générale de l'économie qui est une science
étudiant l'ensemble des ressources, leurs valeurs, leurs
évolutions, leurs différents aspects et ses différentes catégories.
Elle étudie également dans une moindre mesure, les besoins
auxquelles les biens répondent.
II/Biens
Les biens sont l'ensemble des objets matériels et immatériels
comprenant la monnaie, qui vont influer sur le comportement et
l'existence des individus et des communautés auxquelles ils
appartiennent.
III/Politique économique
Il s'agit de la mise en place d'une politique économique et des
différents moyens d'y parvenir, pour contrôler la richesse, pour
préserver, augmenter et transmettre sa richesse et ses biens. Les
politiques économiques s'appliquent en premier lieu, par une
production, une monnaie puis par d'autres moyens d'action.
137
1 Les richesses existantes
138
Les principales richesses sont les ressources naturelles dont
découlent toutes les autres ressources, car c’est après leur
exploitation qu’elles peuvent subir une transformation et donner
d'autres types de ressources comme les ressources synthétiques
(créées par l’homme) et artificielles (modifiées par l’homme).
Les ressources naturelles, synthétiques et artificielles constituent
aux totaux quatorze grands types de richesses utilisables qui se
divisent selon leur durée d'existence; les biens.
Les biens ont d'abord une utilité vivrière, ensuite ils peuvent en
avoir d’autre comme édifier ou uniquement être échangé. Mais
avant d’être des biens, les ressources naturelles à l’état de nature
nécessitent d’abord d’être reconvertie en richesse, pour intégrer
un circuit économique selon leurs utilités.
Les ressources naturelles se divisent en trois catégories: les
ressources naturelles renouvelables qui sont en quantité infinie
dans leurs utilisations, les ressources naturelles matérielles qui
sont en quantité finie et les ressources naturelles vivantes qui en
théorie sont en quantité finie mais peuvent être en quantité
infinie avec l’intervention de l’homme.
139
2 L’exploitation
140
Les matières premières sont les ressources naturelles extraites
sous forme de bien non-finis prête à la transformation.
141
3 La transformation
142
Cette reconfiguration a donné naissance au travail qui a remplacé
les différentes fonctions que pouvaient jouer les hommes
auparavant. Le travail est l’alliance de la technique et du plaisir
au service d’un travailleur afin qu’il réalise une production.
La transformation complète de toute matière première en tout
type de bien, réorganise totalement le circuit économique des
économies vivrières qui entre dans la civilisation avec la création
d’États. Cette réorganisation entraîne la spécialisation du travail:
c’est-à-dire la délégation de toutes les compétences, pour que
tous bénéficient d’une production en plus grande quantité et de
plus grande qualité. La spécialisation du travail à pour
conséquence de réduire un peu l’autonomie des individus mais
elle entraîne aussi une amélioration sans précédente de leur
niveau de vie, permettant aux États d’accroitre leurs ressources
humaines et matérielles. Cependant, la nécessité de certaines
matières premières qui ne sont pas réparties de la même façon
sur Terre, entraine une interdépendance des États à une certaine
échelle géographique et la nécessité d’échanges commerciaux.
143
4 L’emploi
144
L’économie industrielle réorganise l’économie, notamment avec
l’apparition de l’emploi qui est une nouvelle forme de travail où
les travailleurs qui ne sont pas autosuffisants par eux-mêmes
peuvent échanger leur capacité de travail, en échange d’un
salaire versé par des capitalistes détenant les moyens de
production (les capitaux). La redistribution en échange d’un
salaire donne naissance au marché du travail qui repose sur la loi
de l’offre et la demande du travail, du niveau de qualification
(niveau d’étude) du travail qui peut se traduire par une demande
de capital humain (ensemble des aptitudes d’un individu) plus
élevé. Il s’adresse à la population en âge de travailler, détermine
les emplois par un arbitrage entre travail et loisir ou capital, la
pénibilité, puis le nombre d’heures du travail.
145
5 La production
146
L’exploitation, la
transformation et la
production industrielle
ont toutes des coûts de
production composés du
coût d’achat et des
charges de production.
Avec les coûts hors
production, il compose le
coût de revient total qui
est l’ensemble des
dépenses de la
production.
Cependant, le
bénéfice net n’est
obtenue qu’après
la division de la
valeur ajoutée
entre les impôts
sur la production,
le coût salarial
(cotisation sociale
patronale + salaire
brut (cotisations
sociales salariales
+salaire net)) et
l’EBE.
147
6 Le commerce
148
Si le pouvoir
d’achat des
consommateurs
augmente alors le
prix augmente.
Si la consommation
d’un bien diminue
alors le prix
diminue.
Si de nouveaux
concurrents
arrivent alors le
prix diminue.
Si la production
d’un bien diminue
alors le prix
augmente.
149
7 La consommation
150
Il en va de même pour les administrations que ce soit l’État qui
est le maître du circuit économique, ou d’autres associations.
L’État à chaque année un budget déterminé par les revenus qu’il
reçoit des taxes (ce sont les recettes) et qu’il investit dans les
différentes fonctions de la politique et les filières de l’économie
(ce sont les dépenses). L’ensemble des richesses qu’il produit par
année est appelée le PIB et le pouvoir d’achat de tous ses
ménages en devise comparer au reste du monde s’appelle le PPA.
151
8 La finance
152
Suite à l’autorisation de l’usure, l’instauration du système de
réserve fractionnaire permet aux banques et plus généralement
au conglomérat bancaire, d’émettre de la monnaie (de l’argent-
dette) correspondant seulement à une proportion (appelée
obligation de réserve fractionnaire) de sa valeur réelle.
Cette nouvelle
économie fait que
le PIB mondial suit
des phases
comportant des
crises et des
reprises dépendant
de la structuration
économique.
153
9 Macroéconomie et microéconomie
154
Schéma du cycle économique.
155
10 La monnaie
156
Carte des symboles monétaires par
régions économiques du monde.
157
11 L’immobilier
158
12 L’armement
159
13 L’intellectuel
160
14 Le culturel
161
15 Le ludique
Le ludique est le secteur qui inclut l’ensemble des jeux, des objets
divers dont l’utilisation entraîne une activité physique ou
mentale servant à divertir les individus.
Le ludique répond au besoin de s’entretenir pour conserver un
bon état psychique et physique, car il fournit des occupations aux
individus.
162
16 Le mobilier
163
17 Le transport
164
18 L’outillage
165
19 L’habillement
166
20 Le sanitaire
167
21 L’alimentaire
168
Pyramide alimentaire.
169
22 Les ressources naturelles
170
composent la biocapacité diminuent, ainsi la biocapacité totale
permettra une plus petite redistribution en hag/personne.
Dans le cas d’une empreinte écologique supérieure à la
biocapacité d’un espace sur une année, il y a une dette écologique
car l’empreinte écologique est déficitaire.
171
23 Les services
Les services sont le secteur qui inclut l’ensemble des services, des
prestations sous la forme de diverses compétences immatérielles
(voire inhumaine), contrairement aux biens qui peuvent être mis
à disposition à autrui en échange d’une rétribution.
Les services répondent au besoin de travailler pour subvenir à
ses besoins et remplir certains besoins d’autrui, car ils donnent
des emplois aux individus.
172
une étape précise dans le processus de redistribution de la
production et des compétences, cela entraîne la perte de la
technique. Et enfin avec le secteur quartenaire qui émerge depuis
peu, avec l’automatisation et la robotisation qui confie le travail à
des automates et à des robots qui effectue l’ensemble du
processus de production et de redistribution, cela entraîne la
perte du travailleur qui n’est plus qu’un agent d’entretien des
travailleurs inhumains faisant de lui, un acteur indirect du circuit
économique.
173
24 Anthropologie économique
174
175
25 Le travail
Légifération :
1 - Promulguer une réglementation du travail
2 - Modifier une réglementation du travail
3 - Abroger une réglementation du travail
4 - Promulguer une organisation monétaire
5 - Modifier une organisation monétaire
6 - Abroger une organisation monétaire
Budget :
176
177
26 Les finances
Légifération :
1 - Promulguer une organisation budgétaire
2 - Modifier une organisation budgétaire
3 - Abroger une organisation budgétaire
4 - Promulguer un système fiscal
5 - Modifier un système fiscal
6 - Abroger un système fiscal
7 - Promulguer une organisation du commerce
intérieur
8 - Modifier une organisation du commerce intérieur
9 - Abroger une organisation du commerce intérieur
10 - Promulguer un système administratif
11 - Modifier un système administratif
12 - Abroger un système administratif
Budget :
178
179
27 Les affaires étrangères
Légifération :
1 - Promulguer un bloc de conventionalité
2 - Modifier un bloc de conventionalité
3 - Abroger un bloc de conventionalité
4 - Promulguer une organisation du commerce
extérieur
5 - Modifier une organisation du commerce
extérieur
6 - Abroger une organisation du commerce extérieur
Budget :
180
181
28 Politique économique
182
Pour ce qui est d’un budget d’État, il doit comporter plusieurs
rubriques qui énoncent l’ensemble des dépenses dans les
différents domaines de la politique qu’une nation effectue:
I.Aides sociales et prélèvements.
Il doit comporter une proportion raisonnable de prestations
sociales qui permettent aux parties les plus pauvres de la
population de subsister, tout en restant inférieur aux salaires des
travailleurs pour ne pas inciter à l’oisiveté.
II.Dépense de l’instruction.
Il doit comporter l’ensemble des dépenses consacrer à
l’organisation de l’instruction au sein de la nation.
III.Dépense de l’intérieur.
Il doit comporter l’ensemble des dépenses consacrer à
l’organisation de la justice, de la sécurité et de la santé qui sont
les trois composantes de l’intérieur, au sein de la nation.
IV.Dépense de la défense.
Il doit comporter l’ensemble des dépenses consacrer à
l’organisation de la défense au sein de la nation.
V.Dépense du travail.
Il doit comporter l’ensemble des dépenses consacrer à
l’organisation du travail au sein de la nation.
VI.Dépense des finances.
Il doit comporter l’ensemble des dépenses consacrer à
l’organisation des finances, donc à l’imposition des sociétés
financières, des entreprises et des ménages dans les trois
secteurs d’activité de l’économie (agriculture, industrie et
service), au sein de la nation.
VII.Dépense de la diplomatie.
Il doit comporter l’ensemble des dépenses consacrer à
l’organisation de la diplomatie au sein de la nation.
VIII.Restant.
En cas de déficit budgétaire, il doit comporter toutes les dépenses
consacrer au service de la dette.
183
184
Partie 2 :
Le XXI e
Siècle
185
186
Chapitre IV :
Le Temps
187
Le Temps
Le temps est une des quatre dimensions du réel qui compose l’es-
pace-temps, il s’agit d’un milieu infini et homogène dans lequel
se succèdent une infinité d’évènements à un moment mesurable.
La restitution dans un ordre chronologique de tous ces évène-
ments dans une représentation du temps (t) s’appelle l’histoire.
L'histoire est la science de l'organisation chronologique du temps
et des événements. Elle fonctionne selon le principe suivant, il
s'agit d'une suite logique infinie d’événement qui se succède en
conséquence d’événements antérieurs, pour devenir les causes
des événements postérieurs. L’histoire se divise en grand temps,
eux-mêmes divisaient en époques, elles-mêmes divisaient en dif-
férentes périodes s'articulant de la manière suivante; des pério-
des politiques ou économiques qui évoluent en fonction des pé-
riodes économiques ou politiques qui à l'issue d’un événement
important vont marquer une rupture majeure dans le temps. Ain-
si à chacun de ces événements importants, l'humanité passe dans
une nouvelle période, puis dans une nouvelle époque quand la
convergence d’un événement politique et d’un évènement écono-
mique se produit au même moment et modifie dans sa globalité,
l'organisation raciale et économique du monde.
188
HISTORIOPOLITIQUE
L'historiopolitique est la science de l'organisation chronologique
des événements dans le cadre de la politique, il s'agit donc de l'or-
ganisation chronologique et de l’étude des évolutions biologique
et économique des différentes entités politiques à travers le
temps. Elle se différencie de l’histoire par sa recherche du pour-
quoi du comment ? s’est dérouler l’histoire, en expliquant les
phénomènes dont la résultante est la suite des évènements jus-
qu’à aujourd’hui. Là ou l’histoire se focalise sur comment se sont
dérouler les évènements, en écrivant le récit historique des faits.
L'historiopolitique va alors se diviser en deux grandes parties
complémentaires se conjuguant l'une et l'autre en permanence.
Pour ce faire, elle va reprendre les deux principales catégories sur
lesquelles porte la politique, à savoir l’Être et l’Avoir.
189
1 La Préhistoire
De -3300000 à -3300
190
La Préhistoire est une époque traditionnelle marquant la muta-
tion génétique donnant naissance à l’espèce humaine.
191
du bateau pour traverser les océans et s’établir sur de nouvelles
terres, de la croyance pour accompagner les morts dans leurs sé-
pultures et enfin de l’art pour représenter le monde ou pour créer
des meubles (vase, récipient...) en poterie. L’ensemble de ces in-
novations vers la fin du Paléolithique avait abouti à une première
explosion démographique, faisant passer la population d’hom-
mes préhistoriques de 500 000 à 4 millions. Mais elle prit fin
momentanément, avec le refroidissement accru de la Terre issue
de la dernière période glaciaire aussi appelée Glaciation de
Würm, qui avait débutait en -115000, pour atteindre son maxi-
mum glaciaire en -20000 marquant le passage à une nouvelle pé-
riode: le Mésolithique.
192
qu’impose leur mode de subsistance. C’est à partir de là que de
nouvelles stratégies d’autosuffisance alimentaire se sont mises en
place. Au lieu d’exploiter directement la nature et ses ressources,
les Hommes mettent en place une exploitation à long terme, en
commençant à domestiquer les animaux pour produire de la
nourriture. C’est la naissance de l’élevage avec la domestication
des loups qui deviendront des chiens, ils sont utilisés pour servir
d’auxiliaire aux Hommes pendant la chasse, tandis que les san-
gliers qui deviendront des cochons et les bovins sauvages qui de-
viendront des bovins domestiques sont utilisés comme réservoirs
de viande, venant compléter la nourriture fournie par les activi-
tés de chasse, de pêche et de cueille. Finalement, c’est avec la fin
de la dernière période glaciaire en -11700 et l’ensemencement de
graines issus des céréales et autres végétaux que l’Homme cueil-
lait auparavant, qui va donner naissance à l’agriculture et engen-
drer le début du processus de sédentarisation en -10000 dans le
monde entier, marquant le passage au Néolithique.
193
torale, remplaçant la chasse et la cueillette par l’élevage et l’agri-
culture participèrent également à la transformation de l’organisa-
tion politique des hommes. Ils étaient auparavant majoritaire-
ment organisés en bande et en tribu, maintenant ils s’organisent
en chefferie dans des villages de plusieurs milliers d’habitants,
c’est l’aboutissement de la tribu-État. Il s’agit d’une sociocratie
reposant sur le pouvoir de tous et sur sa représentation par le
chef de clan. L’évolution de ces sociétés avec la domestication du
cheval puis l’invention de la roue en -3500, améliorent considéra-
blement la capacité des hommes à se déplacer. Les tribus-États
les plus avancées et autonomes, puisque leur interdépendance
entre lieus d’exploitation et de consommation se fait sur leur ter-
ritoire exclusif, vont pouvoir dès lors commercer ou faire la guer-
re avec toutes les autres tribus pour s’accaparer de nouvelles res-
sources.
194
Carte du monde durant la Préhistoire.
195
2 L’Antiquité
De -3300 à 476
196
L’Antiquité est une époque traditionnelle marquant la naissance
de la civilisation traditionnelle avec la transcription du langage.
197
fait autour des plus anciennes. L’Empire hittite en Anatolie vers
-1350, plus au sud au Levant la Phénicie en -1200 et le Royaume
d’Israël en -1020 qui voit la naissance du judaïsme, la première
religion abrahamique. À l’Est d’eux, l’Assyrie avec pour capitale
Babylone s’était progressivement étendue depuis -2500 pour de-
venir un empire en -911. Ailleurs, les royaumes perses émerge
tandis que la Chine est unifiée par la dynastie Shang à partir de
-1570, puis par la dynastie Zhou en -1045. En Europe, la premiè-
re civilisation, celle des Minoéens voit le jour en -2700, mais des
catastrophes comme les séismes du volcan Santorin et la conquê-
te mycénienne précipitent sa fin en -1200. Sa fin fait place aux
siècles obscurs, une période de reconfiguration, où sont fondées
les premières cités-États grecques en -800.
198
-336 et -323 mais son empire fût dissous rapidement à cause des
problèmes de succession suite à sa mort. En Asie, d’autres grand
empire voient le jour comme l’Empire maurya en Inde et l’Empi-
re Han en Chine durant lequel sera établie la route de la soie, une
route commerciale reliant toute l’Eurasie à partir de -138. Mais
c’est finalement, l’Empire romain qui est parvenu à se maintenir
le plus longtemps, naît en -27 après que Rome fut une monarchie
puis une république durant laquelle elle conquit tout le pourtour
méditerranéen et la Gaule grâce à Jules César. Rome s’était impo-
sée comme une grande puissance maritime grâce au commerce, à
l’utilisation de la monnaie et à la construction d’infrastructures
dans tout son empire. C’est à ce moment que le Monde connut sa
première grande décadence à cause de la croyance animiste deve-
nue obsolète, car la loi du plus fort correspondait à une époque
où les hommes à l’état de nature devaient être fort pour survivre,
sa logique injuste entraîne du désordre social et empêche la pro-
gression raciale de l’Empire romain. C’est alors qu’après la nais-
sance du Bouddha en -563 en Inde, Jésus-Christ naît entre -5 et
l’an 0 marquant le début de notre ère. Il prêcha une loi du bien et
du mal, devenue le christianisme après sa crucifixion en -33. Ro-
me finira par accorder sa citoyenneté à tous les hommes libres
lors de l’Édit de Caracalla en 212, mais la prospérité économique
de la pax Romana et l’instabilité politique à cause des usurpa-
tions et économique à cause de l’usure, amorce le processus de
séparation de l’Empire romain en deux en -285.
199
Durant l’Antiquité, d’un point de vue racial, la population mon-
diale quadruple passant de 40 millions en -3300 à 188 millions
en l’an 1 grâce à la naissance de la civilisation qui a grandement
contribué à accélérer le progrès technique, donc à améliorer les
conditions de vie. Mais elle finit par se stabiliser sous le contre-
coup de la première grande décadence humaine empêchant l’ac-
croissement raciale, en passant seulement à 210 millions d’habi-
tants, à la veille de la chute de l’Empire romain en 476.
200
D’un point de vue économique, après le boom de la néolithisa-
tion, le boom de la civilisation avec l’accroissement du commerce
mondial notamment avec la route de la soie entre l’Orient et l’Oc-
cident ou l’exclusivité romaine du trafic maritime méditerranéen.
Le PIB mondial se propulse de 5.9 milliards de dollars en -3000,
jusqu’à 78.8 milliards de dollars en l’an 1 avant de se stabiliser
vers 88 milliards de dollars à la fin de l’Antiquité à cause des mi-
grations de barbares nomades issues des steppes d’Asie.
201
3 Le Moyen Âge
De 476 à 1492
202
Le Moyen Âge est une époque traditionnelle marquant l’aboutis-
sement de sa civilisation par l’institutionnalisation de la religion.
203
naves qui pillent toutes les côtes d’Europe, allant jusqu’à ravager
les villages en amont des fleuves qu’ils remontent. Les Vikings du
Suède établissent le Royaume des Rus de Kiev en Europe de
l’Est, ceux de Norvège coloniseront l’Islande, le Groenland, Ter-
re-Neuve puis l’Irlande et l’Écosse en y bâtissant des villages. Fi-
nalement, ceux du Danemark qui avait ravagé l’Empire Carolin-
gien créé par Charlemagne en 800 après sa conquête de l’Italie et
de la Germanie dans l’espoir de prolongé celui de Rome, parvin-
rent à obtenir la Normandie. C’est à ce moment que l’Âge féodal
débute avec l’édit de Quierzy en 877 instaurant le système féodo-
vassalique, un système de domination hiérarchique entre sei-
gneurs suzerains et vassaux en fonction de leur puissance. Il
aboutit à la création des premiers châteaux forts, puis à l’établis-
sement du Saint-Empire romain Germanique en 962 par Otton I.
204
exécuter les principaux représentants. Mais au début du XIIIème
siècle les nomades des steppes de Mongolie s’unissent sous le
commandement de Gengis Khan qui crée l’Empire mongol en
1206. Il entreprend par la suite de grande conquête, c’est le début
des invasions mongoles dans toute l’Eurasie. Ils envahiront la
Chine, une partie du nord de l’Inde, l’Asie Centrale, la Perse et le
Proche-Orient avant d’être finalement stoppé en Europe par les
Allemands qui les repoussent hors d’Europe avec l’aide des Hon-
grois et des Polonais. Ailleurs ils créent la dynastie Yuan en Chi-
ne, le khanat de Djaghataï en Asie Centrale, l’Ilkhanat en Perse et
au Nord-ouest de l’Inde, l’Empire Ottoman en Anatolie et la Hor-
de d’Or dans le sud de la Russie. C’est sur les champs de bataille
durant les guerres mongoles en Chine, qu’apparaît une maladie
très virulente sous le nom de peste noire.
205
Durant le Moyen Âge, d’un point de vue racial, la population
mondiale était resté stable jusqu’à la stabilité politique apportée
par la féodalité. Elle la fît croître jusqu’à 400 millions d’habitants
en 1250 mais les invasions mongoles et la peste noire firent des
centaines de millions de morts, la stabilisant au même niveau.
206
D’un point de vue économique, le PIB mondial avait augmenté
de manière stable jusqu’à la naissance du Saint-Empire. Elle aug-
menta jusqu’à 198 milliards de dollars en 1300 avant de décroître
pour les mêmes raisons, mais l’expansion du commerce au XVè-
me siècle, la fit augmenter jusqu’à 270 milliards de dollars.
207
4 La Renaissance
De 1492 à 1648
208
La Renaissance est une époque moderne marquant la naissance
de la civilisation moderne par l’invention des sciences modernes.
209
La Renaissance classique commence en 1521, avec la conquête es-
pagnole de l’Amérique centrale lors de l’invasion de l’Empire az-
tèque par Hernán Cortés, puis de l’Amérique du Sud avec l’inva-
sion de l’Empire inca par Francisco Pizarro en 1536. Le Portugal
quant à lui colonise toute la côte du Brésil. C’est le début de la
Première vague coloniale avec la réalisation du premier tour du
monde en bateau par Fernand de Magellan en 1521. Durant cette
vague coloniale, ce sont les pays catholiques latins d’Europe (Es-
pagne, Portugal et France) qui explorent et colonisent de nou-
veaux territoires à travers le monde. Jacques Cartier, un explora-
teur Breton, découvre le Canada en 1534 et proclame la souverai-
neté de la France sur la Nouvelle-France, c’est le début de l’Empi-
re coloniale français. En Espagne, l’Inquisition créée au XIIIème
siècle, s’intensifie avec le jugement des non-catholiques. C’est à
cette période que commence la révolution scientifique avec la pu-
blication de la théorie de l’héliocentrisme par Copernic en 1543.
C’est le début de la rationalisation des sociétés par la science.
Mais au même moment, les premières guerres de religion débu-
tent, en raison de la conversion massive des pays d’Europe du
nord au luthérianisme (Allemagne et Scandinavie), au calvinisme
(Pays-Bas, Suisse et Écosse) et à l’anglicanisme (Angleterre et
Pays de Galles). La fin du concile de Trente en 1563, les amplifie.
210
clarent leurs indépendances vis-à-vis de l’Empire espagnols en
1581. Ils s’ensuivirent une guerre de Quatre-Vingts Ans entre les
deux nations. Finalement, c’est après les expéditions d’Henry
Hudson en Amérique du Nord entre 1607 et 1611 que commence
la Seconde vague coloniale. Durant cette vague coloniale, les pays
protestants germaniques d’Europe (Angleterre, Provinces-Unies,
Danemark et Suède) rejoignent à leur tour les pays latins, dans
l’exploration et la colonisation du monde. La fondation de la colo-
nie anglaise de Jamestown, en Amérique du Nord en 1607 en est
le premier acte. Un peu plus tôt, une nouvelle croyance était née
en Écosse, la première à être moderne; la franc-maçonnerie.
211
Durant la Renaissance, d’un point de vue racial, la population
mondiale et en particulier celle des monarchies d’Europe, explo-
sa grâce au boom de la découverte du monde et à une meilleure
administration des nations induite par l’absolutisme. Première
doctrine politique, fondant la puissance des nations sur le gou-
vernement et la concentration de tous les pouvoirs par le seul
chef d’État. Elle évolua de 426 millions en 1500, jusqu’à 545 mil-
lions seulement un siècle et demi plus tard en 1648.
212
D’un point de vue économique, le début du mercantilisme, la pre-
mière doctrine économique fondant la richesse des nations en ac-
cumulant des réserves en métaux précieux comme l’or et l’argent,
fît exploser la valeur du PIB mondial en accompagnant l’Europe
dans la colonisation et le commerce transatlantique qui permi-
rent un fort progrès technique en Europe. Il passa de 274 mil-
liards de dollars en 1500, à environ 370 milliards de dollars en
1648, et cela en seulement un siècle et demi.
213
5 L’Ère rationnelle
De 1648 à 1815
214
L’Ère rationnelle est une époque moderne marquant la régula-
tion de la civilisation moderne avec l’invention de l’idéologie.
215
réalisent de grands progrès dans tous les domaines avec l’inven-
tion du sextant, du chemin de fer et des machines à vapeur. Les
pays européens deviennent des grandes puissances impériales,
dont la France est le plus puissant. Ils colonisèrent tout le conti-
nent américain, établirent des comptoirs sur les côtes d’Afrique,
d’Asie et d’Asie. C’est à ce moment que des contentieux coloniaux
apparaissent entre les Treize colonies britanniques et la Nouvel-
le-France. Elles s’étaient constituée après la création de la Nou-
velle-Angleterre par les puritains du Mayflower en 1620, puis
après l’invasion anglaise de la colonie hollandaise de la Nouvelle-
Amsterdam en 1664, que ces derniers avaient acquis pour un prix
dérisoire, ils la rebaptisèrent New York. Le contentieux éclate
dans la vallée de l’Ohio entre ces colonies fortement peuplées de
colons et d’esclaves avec la Nouvelle-France faiblement peuplée,
c’est le début de la guerre de Sept Ans.
216
La phase révolutionnaire commence en 1763, avec le traité de Pa-
ris qui met fin à la Guerre de Sept Ans. C’est à cause du commen-
cement de la Réorganisation politique qui débute avec la théori-
sation du capitalisme, puis le remplacement progressif du racial-
vitalisme archaïque par des idéologies rationalistes, portant la loi
de marché à la tête de l’organisation politique des États moder-
nes, que débute d’autres révolutions bourgeoises. Une dans les
Treize colonies entre 1776 et 1783, année où elles deviennent in-
dépendantes sous le nom des États-Unis. Une seconde en Fran-
ce, après le début de la crise révolutionnaire en 1788 à cause du
surendettement de la France durant la guerre d’indépendance
américaine. Lors de cette révolution, la bourgeoisie parisienne
chasse dû à la noblesse versaillaise du pouvoir pour proclamer la
république, il s’ensuivit une période d’instabilité politique, de cri-
se économique à cause de la création de monnaie papier et des
guerres avec les monarchies européennes. La prise de pouvoir de
Napoléon Bonaparte ramène la stabilité, mais les ambitions du
Royaume-Uni, le poussa à lui déclarer la guerre en 1803.
217
Durant l’Ère rationnelle, d’un point de vue racial, la population
mondiale continue de s’accroître avec la continuation de la révo-
lution scientifique sur fond d’émergence des premières démocra-
ties, des régimes électoraux où le peuple élit tout représentant.
La population mondiale augmente fortement en passant de 545
millions d’habitants en 1650, à 622 millions d’habitants en 1700,
puis à 814 millions d’habitants en 1750 et enfin à 900 millions
d’habitants en 1800 à la veille des guerres napoléoniennes.
218
D’un point de vue économique, le PIB mondiale commence à ex-
ploser grâce à l’invention des machines et aux innovations préfi-
gurant l’industrialisation. C’est aussi le début du libre-échangis-
me, avec la théorisation du libéralisme et du capitalisme, entraî-
nant le début de libre circulation mondiale des marchandises.
Le PIB mondiale augmente lui aussi, en passant de 370 milliards
$ en 1648, à 397 milliards $ en 1700, puis à environ 600 mil-
liards $ en 1800 à la veille de la révolution industrielle.
219
6 L’Ère industrielle
De 1815 à 1945
220
L’Ère industrielle est une époque moderne marquant l’aboutisse-
ment de la civilisation moderne avec l’invention de l’emploi.
221
révolution électrique avec la construction de centrale électrique,
de raffinerie puis d’usine sidérurgique, pharmaceutique et auto-
mobile lors de la rationalisation du travail. C’est durant l’indus-
trialisation que sont inventés le téléphone, la photographie, le
train, la voiture et l’avion qui révolutionne tous les deux le temps
de voyage. Elles permettent de même que les bateaux à vapeur,
l’immigration massive d’Européens vers les États-Unis, l’Améri-
que latine, la Sibérie, l’Algérie et les colonies britanniques (Cana-
da, Afrique du Sud, Australie et Nouvelle-Zélande). Hors d’Euro-
pe, les pays européens se partagent l’Afrique à la conférence de
Berlin en 1883 alors qu’en Asie, le Royaume-Uni précipite la chu-
te de l’Empire moghol avec la Révolte des cipayes en envahissant
l’Inde. Ils dominent économiquement la Perse et la Chine dont
l’empire s’effondre en 1912 après la révolution Xinhai. Le Japon
s’occidentalise avec la réforme Meiji, alors que les États-Unis qui
s’enrichissent fortement, après une guerre de sécession menés
par ses États du Sud, puis ils s’étendent à l’Ouest jusqu’en 1914.
222
La Première Guerre mondiale commence en 1914, sous le jeu des
alliances avec la Triple-Entente réunissant la France, la Russie et
le Royaume-Uni qui était la première puissance mondiale, face à
l’Autriche-Hongrie et l’Allemagne dont les prétentions économi-
ques et militaires gênent la bourgeoisie anglo-saxonne. Cette
guerre industrielle opposa les nations dans des tranchées. Mais
la perte de réalité du tsar entraîna la chute de l’Empire russe par
une révolution bolchévique en octobre 1917, elle fût initiée par les
divers peuples non russes de l’Empire, principalement les Juifs
ashkénazes qui s’étaient établis en Pologne-Lituanie au XIVème
siècle. Les Allemands finirent par perdre le 11 novembre 1918, à
cause de leur soutien à la révolution communiste qui se propagea
dans toute l’Europe. Elle fît 20 millions de morts dans le monde.
223
Durant l’Ère industrielle, d’un point de vue raciale, alors que les
républiques et les tyrannies se généralisent, les progrès de la mé-
decine augmentent fortement l’espérance de vie et amorce la
transition démographique de la population mondiale qui atteint
ses limites basses. La population mondiale augmente de manière
exponentielle en passant d’environ 1 milliard d’habitants en 1815,
à 1.263 milliards d’habitants en 1850, puis à 1.563 milliards d’ha-
bitants en 1900 et enfin à 2.300 milliards d’habitants en 1939.
224
D’un point de vue économique, c’est le grand boom de la révolu-
tion industrielle durant laquelle les limites basses du PIB, c’est-à-
dire de la totalité de la valeur intrinsèque, sont atteintes après
l’adoption de l’étalon or qui permet d’augmenter le niveau de vie.
Le PIB mondiale augmente lui aussi de façon exponentielle, en
passant de 741 milliards $ en 1820, à 1128 milliards $ en 1870,
puis à environ 2767 milliards $ en 1914 et enfin à 5000 milliards
$ en 1939 à la veille de la Seconde Guerre mondiale.
225
7 La Posthumanité
226
La Posthumanité est l’époque contemporaine, elle marque la dé-
générescence totale de la civilisation.
227
Depuis la Posthumanité, d’un point de vue raciale, alors que le
modèle judéo-protestant américain cherche à s’imposer partout
sur Terre, les progrès médicaux et technologiques ont fait explo-
ser la population mondiale qui a triplé depuis 1950. Le dépasse-
ment des ressources montre qu’elle a atteint ses limites hautes.
La population mondiale explose de façon exponentielle depuis le
baby-boom, en passant d’environ 2.5 milliards d’habitants en
1950, à 3 milliards d’habitants en 1960, puis à 6 milliards d’habi-
tants en 2000 et enfin à 7.777 milliards d’habitants en 2020.
228
D’un point de vue économique, c’est le grand boom de la finan-
ciarisation et de la virtualisation généralisée. L’adoption de l’éta-
lon change-or puis change-pétrole donnant le pouvoir aux ban-
ques, a abouti une augmentation totale du niveau de vie. Le sur-
endettement des États montre que le PIB a atteint ses limites
hautes. Le PIB mondiale augmente lui aussi de façon exponen-
tielle, en passant de 5.318 milliards $ en 1950, à 13.751 milliards
$ en 1970, puis à environ 36.806 milliards $ en 2000 et enfin à
6.666 milliards $ en 2010 à la veille de la pandémie de Covid-19.
229
230
Chapitre V :
L’Espace
231
L’Espace
L’espace est trois (longueur, largeur et hauteur) des quatre di-
mensions du réel qui composent l’espace-temps, il s’agit d’un mi-
lieu infini et homogène dans lequel se situent une infinité de
points avec des coordonnées mesurables. La restitution dans un
ordre géométrique de tous ces points dans une représentation
cartésienne de l’espace (x, y, z) s’appelle la géographie.
La géographie est la science de l'organisation géométrique de l’es-
pace et des lieux. Elle fonctionne selon le principe suivant, il
s'agit d'une suite coordonnée infinie de points qui se position-
nent en conséquence aux points antérieurs pour devenir les cau-
ses des points postérieurs. La géographie se divise en grands es-
paces, eux-mêmes divisaient en niveaux, eux-mêmes divisaient
en différentes subdivisions territoriales s'articulant de la manière
suivante; des espaces macroscopiques (plus grands que la na-
tion) naturels ou construits qui vont influencer de manière géné-
rale, des espaces mésoscopiques (la nation) eux-mêmes influen-
cer par les particularismes de leurs espaces microscopiques (plus
petits que la nation) naturels ou construits.
232
GÉOPOLITIQUE
La géopolitique est la science de l'organisation géométrique des
lieux dans le cadre de la politique, il s'agit donc de l'organisation
géométrique et de l’étude des organisations biologique et écono-
mique des différentes entités politiques à travers l’espace. Elle se
différencie de la géographie par sa recherche du pourquoi du
comment s’organise la géographie, en expliquant les phénomè-
nes dont la résultante et l’agencement des lieux aujourd’hui.
Là où la géographie se focalise sur comment s’organisent les
lieux, en décrivant l’agencement géographique des faits. La géo-
politique va alors se diviser en trois grandes parties complémen-
taires se conjuguant les unes et les autres en permanence. Pour
ce faire, elle va reprendre les trois dimensions qui constituent la
politique, à savoir le racial, l’économique et le diplomatique.
233
1 L’Europe
234
Sur le plan intellectuel, les populations d’Europe parlent des lan-
gues provenant de neuf familles linguistiques:
- Les langues germaniques (allemand, danois, suédois...)
- Les langues celtiques (irlandais, écossais, gallois, breton...)
- Les langues slaves (polonais, tchèque, croate, serbe, bulgare...)
- Les langues baltes (lituanien, letton)
- Les langues romanes (espagnol, portugais, français, italien...)
- Les langues helléniques (grec)
- La langue albanaise
- La langue basque
- Les langues finno-ougriennes (finlandais, estonien, hongrois)
235
De nos jours, l’Europe compte environ 479 millions d’habitants
dont 434 millions de blancs et 45 millions de non-blancs.
Racialement, elle est dans un mauvais état car sa population au-
tochtone est stable ou à tendance à décroître tandis que sa popu-
lation allogène augmente fortement. Suite à la Seconde Guerre
mondiale, la majorité des nations européennes se sont regrou-
pées progressivement au sein de l’Union européenne, il s’agit
d’une organisation politique et économique supranationale su-
pervisée à Bruxelles par l’Allemagne en raison de son poids politi-
que. Elle est issue de la Communauté économique européenne
créée en 1957 à l’issue du traité de Rome devenue l’UE en 1993
suite au traité de Maastricht. Elle compte 27 États membres.
236
L’Europe a un PIB de 20000 milliards $ environ, dont 18750 mil-
liards $ cumulés pour l’ensemble des États appartenant à l’Union
européenne. Économiquement, elle est dans un mauvais état car
bien que son PIB continue à augmenter artificiellement, son en-
dettement continue également à augmenter fortement.
Enfin l’Europe se divise entre les États qui sont alliés des États-
Unis car occupés par eux sous l’égide de l’Union européenne
pour la plupart et entre les États résistant à cette domination
qu’ils soient membres ou non de l’UE. La civilisation européenne
est actuellement menacée par les Anglo-saxons qui occupent
l’Europe spirituellement et politiquement et affaiblissent raciale-
ment et économiquement tous les États qui leur sont alliés.
237
2 L’Eurasie
238
239
3 L’Asie du Nord
240
Sur le plan intellectuel, les populations d’Asie du Nord parlent
des langues provenant de cinq familles linguistiques:
- Les langues altaïques (mongol, coréen, japonais, aïnou...)
- Les langues sino-tibétaines (chinois, tibétain, birman, karen...)
- Les langues hmong-mien (hmong, mien, bunu...)
- Les langues taï-kadai (taï, kam, hlaï...)
- Les langues austro-asiatiques (vietnamien, lao, khmer...)
241
De nos jours, l’Asie du Nord compte environ 1908 millions d’ha-
bitants dont la très grande majorité est autochtone aux États
d’Eurasie. Racialement, elle est dans un état moyen car sa popu-
lation autochtone est stable globalement (avec des tendances à
s’accroître ou a décroître localement) tandis que sa population al-
logène est très faible. Suite à la Seconde Guerre mondiale, la ma-
jorité des nations nord-asiatiques ont rejoint un des deux blocs
de la guerre froide, avec la Chine principale représentant des
communistes de l’Est d’une part puis le Japon et la Thaïlande
comme principaux représentants des capitalistes de l’Ouest d’au-
tre part. Après la chute de l’URSS, la divergence est devenue éco-
nomique et s’est faite entre la Chine qui a rejoint l’organisation
de coopération de Shanghai (une organisation économique d’Eu-
rasie) en 2001 puis les BRICS en 2009, tandis que les nations de
la péninsule indochinoise ont rejoint un à un l’ASEAN.
242
L’Asie du Nord a un PIB de 21457 milliards $ environ, dont
13407 milliards $ cumulés pour la seule Chine membre de l’OCS
et 838 milliards $ pour l’ensemble des pays appartenant à
l’ASEAN. Économiquement, elle est dans un bon état car bien
que son PIB continue à augmenter fortement, elle est moyenne-
ment endettée, voire très fortement pour le Japon, l’endettement
est relativement stable, mais continue à augmenter globalement.
Enfin l’Asie du Nord se divise entre les États issus du Bloc de
l’Ouest qui sont alliés des États-Unis comme le Japon, la Corée
du Sud, Taïwan et la Thaïlande. Puis entre tous les États résis-
tants à cette domination dont la Chine qui est le principal adver-
saire des États-Unis à l’échelle mondiale. La civilisation nord-
asiatique est actuellement prospère et continue à se développer
rapidement mais tous les États qui sont alliés des Anglo-saxons,
sont menacée par eux et l’influence de leur civilisation.
243
4 L’Asie du Sud
244
Sur le plan intellectuel, les populations d’Asie du Sud parlent des
langues provenant de quatre familles linguistiques:
- Les langues indo-aryennes (hindi, l’ourdou, bengali, pendjabi,
marathi, gujarati, bhodjpuri, odia, maïthili, sindhi, singhalais, né-
palais, assamais, cachemiri, romani...)
- Les langues dravidiennes (télougou, tamoul, kannada, gondi,
malayalam, toulou, kurukh...)
- Les langues austro-asiatiques (khasi, mundari, nicobari...)
- Les langues sino-tibétaines (garo, meitei, borok, mizo...)
245
De nos jours, l’Asie du Sud compte environ 1590 millions d’habi-
tants dont la très grande majorité est autochtone aux États d’Asie
du Sud. Racialement, elle est dans un état moyen car sa popula-
tion autochtone augmente jusqu’à la surpopulation bien que sa
natalité a tendance à diminuer tandis que sa population allogène
est très faible. Suite à la Seconde Guerre mondiale, toutes les na-
tions sud-asiatiques ont rejoint le mouvement des non-alignés
puis l’Association sud-asiatique pour la coopération régional crée
en 1985, il s’agit d’une association économique qui regroupe aus-
si le Pakistan, l’Afghanistan et le Bhoutan.
246
L’Asie du Sud a un PIB de 3127 milliards $ environ, dont 2716
milliards $ cumulés pour la seule Inde qui est aussi membre de
l’OCS. Économiquement, elle est dans un état moyen car bien
que son PIB continue à augmenter fortement, elle est moyenne-
ment endettée et elle est en voie de développement, l’endette-
ment est relativement stable mais continue à diminuer globale-
ment. Enfin l’Asie du Sud est une civilisation dont tous les États
sont à la fois des alliés des États-Unis et de la Chine, elle est ac-
tuellement prospère et continue à se développer mais elle est à la
fois menacée par l’influence des Anglo-saxons.
247
5 Le Moyen-Orient
248
Sur le plan intellectuel, les populations du Moyen-Orient parlent
des langues provenant de cinq familles linguistiques:
- Les langues sémitiques (arabe, hébreu, araméen...)
- Les langues berbères (kabyle, rifain, tamazight, touareg...)
- Les langues iraniennes (perse, kurde, pachto, tadjik...)
- Les langues turques (turc, azéri, turkmène, ouzbek...)
- La langue brahoui (dravidienne)
- Les langues caucasiennes (laze, adyguéen, druze...)
249
De nos jours, le Moyen-Orient compte environ 843 millions d’ha-
bitants dont la très grande majorité est autochtone aux États
d’Asie du Sud. Racialement, elle est dans un bon état car sa popu-
lation autochtone augmente fortement bien que sa natalité a ten-
dance à diminuer tandis que sa population allogène est très fai-
ble. Après la Seconde Guerre mondiale, la majorité des États
moyen-orientaux ont rejoint un des deux blocs. Par la suite plu-
sieurs organisations régionales furent créées comme le Conseil
de coopération du Golfe en 1981 et l’Union du Maghreb arabe en
1989. D’autres États rejoignent quand à eux l’OCS.
250
Le Moyen-Orient a un PIB de 4735 milliards $ environ, dont
1661 milliards $ cumulés pour l’ensemble des États appartenant
au CCG et 382,1 milliards $ cumulés pour l’ensemble des États
appartenant à l’UMA. Économiquement, il est dans un état
moyen car bien que son PIB continue à augmenter fortement,
elle est faiblement endettée et en voie de développement, l’endet-
tement est relativement stable mais continue à diminuer. Enfin
le Moyen-Orient se divise entre les États alliés des États-Unis,
comme Israël, la Turquie et les États arabes du Golfe et entre les
États alliés de l’OCS comme l’Iran, la Syrie et le Pakistan.
251
6 L’Amérique latine
252
253
7 L’Austronésie
254
255
8 La Mélanésie
256
257
9 L’Afrique
258
259
10 Les Anglo-saxons
260
Politiquement, le monde anglo-saxon est le lieu de naissance de
deux idéologies politiques (capitalisme et libéralisme). Il dispose
d’une économie financière et postindustrielle avec la prédomi-
nance du secteur tertiaire. Le monde anglo-saxon est la civilisa-
tion de la subversion politique judéo-allemande s’articulant avec
l’hégémonie (par la guerre, le commerce et la production cultu-
relle) anglo-protestante sur la sphère d’influence du Royaume-
Uni autrement appelée l’Anglosphère.
261
262
263
11 Le Monde
264
Géopolitiquement, d’un point de vue racial, on peut différencier
les États selon leurs situations en trois catégories :
- L’Occident politique qui regroupe les États-Unis et tous les
États alliées où sous domination politique des États-Unis. Ces
États ont pour caractéristiques d’être plus développés et d’être re-
lativement peuplés car ils ont débuté leurs transitions démogra-
phiques au XIXème siècle puis de l’avoir terminé au XXème siè-
cle. Ils représentent environ 16% de la population mondiale et
ont tendance à voir leur population autochtone stable où décroî-
tre tandis que leurs populations allogènes augmentent fortement.
- L’Orient politique qui comprend tous les États d’Eurasie et
d’Asie du Nord n’étant pas sous domination américaine. Ces
États ont pour caractéristiques d’être en voie de développement
et d’avoir émergé comme puissance secondaire car ils ont débuté
leurs transitions démographiques au début du XXème siècle et
l’ont terminé vers la fin du XXème siècle. Ils représentent envi-
ron 23% de la population mondiale et ont tendance à voir leur
population autochtone stable ou diminuer tandis que leur popu-
lation allogène est faible et n’augmente pas.
- Le Tiers-Monde qui se compose de tous les États sous-dévelop-
pés restants. Ces États ont pour caractéristiques d’avoir débuté
leur transition démographique tardivement au milieu du XXème
siècle, la plupart d’entre eux sont en train de la terminer.
265
Géopolitiquement, d’un point de vue économique, on peut diffé-
rencier les États selon leurs situations en cinq catégories :
- Les États riches, ils ont pour caractéristiques de regroupés tous
les États anciennement industrialisés se situant tous dans le
« Nord » économique de la Terre, ils ont PIB et un PPA (PIB par
parité d’achats) très élevés par rapport au reste du monde, ils
concentrent à eux seuls environ 65% du PIB mondial.
- Les BRICS (acronyme pour Brésil, Russie, Inde, Chine et Afri-
que du Sud en anglais), ils s’agit des États en voie de développe-
ment industrialisés qui ont su émerger en tant que puissances se-
condaires, ils concentrent environ 24% du PIB mondial.
- Les États en voie de développement, ils ont pour caractéristi-
ques de regroupés tous les États faiblement développés, ils sont à
la fois de grands producteurs et exportateurs de matières premiè-
res. Ils représentent environ 10% du PIB mondial.
- Les États les moins avancés, ils ont pour caractéristiques de re-
groupés tous les États les plus sous-développés au monde alors
qu’ils représentent une part importante de la population mondia-
le, ils représentent environ 1% du PIB mondial.
- Les États isolés, ils ont pour caractéristiques de regroupés tous
les pays faiblement peuplés (moins de 5 millions d’habitants),
n’appartenant à aucune des catégories précédentes et dont la
part dans l’économie mondiale est négligeable.
266
Géopolitiquement, d’un point de vue diplomatique, on peut diffé-
rencier les États selon leurs situations en deux catégories :
- L’alliance unilatérale, avec à leur tête la première puissance
mondiale que sont les États-Unis qui commandent de manière
unilatérale toutes les nations qu’ils occupent ou avec qui ils sont
alliés. Les États-Unis ont actuellement pour projet d’imposer
leur suprématie au monde, ce pour quoi ils participent à la désta-
bilisation ou à l’affaiblissement des États qui leur sont opposés.
Ils représentent environ 75% de part du PIB mondial dépenser
dans le domaine de la défense dont 38% pour les États-Unis qui
ont l’armée la plus puissante au monde. Le cumul de leurs effec-
tifs en hommes pour les pays ayant une part importante dans les
dépenses militaires mondiales est d’un total de 6100000 soldats.
- L’alliance multilatérale, avec à leur tête les puissances secondai-
res que sont la Chine, la Russie, l’Inde qui commandent de ma-
nière multilatérale avec toutes les nations qui leur sont alliées. Ils
ont pour but d’étendre et de consolider leurs sphères d’influences
mais aussi de rester indépendant vis-à-vis des États-Unis. Ils re-
présentent environ 25% de part du PIB mondial dépenser dans le
domaine de la défense et le cumul de leurs effectifs en homme
pour les pays ayant une part importante dans les dépenses mili-
taire mondiale est d’un total de 7300000 soldats.
267
Racialement, en 1950 la race plus nombreuse sur Terre était la
race blanche qui avait entamé la fin de sa transition démographi-
que dans les nations blanches, après la naissance de la généra-
tion des baby-boomers, il s’agit d’un processus durant lequel une
nation disposant d’une économie vivrière passe à une économie
financière et durant laquelle la population explose en raison de
l’amélioration considérable des conditions de vie apportée par le
progrès technique. Mais l’entrée dans la civilisation de l’avoir
avec l’exportation de la société de consommation depuis les
États-Unis et enfin les révolutions contre-culturelles libérales-li-
bertaires dans les années 60 puis anarchiste postmoderne depuis
la fin des années 2000. La natalité dans les nations de race blan-
che s’est effondrée et est maintenant sous le seuil de renouvelle
268
ment des générations, ce pour quoi le nombre de blancs est sta-
ble ou aura tendance à diminuer dans un avenir proche. Au mê-
me moment, les nations d’autres races ont vu leurs populations
explosées et sont maintenant entrain d’entamer la fin de leur pro-
cessus de transition démographique. Seules les nations de race
jaune sont en avance, notamment la Chine en raison de sa surpo-
pulation, ce pour quoi elle a institué une politique de réduction
de la natalité et que de manière générale, la natalité est égale-
ment sous le seuil de renouvellement des générations dans les
nations asiatiques. D’un autre côté, bien qu’elle entama sa transi-
tion démographique au même moment que la plupart des na-
tions non blanches, l’Afrique subsaharienne continue d’exploser
démographiquement jusqu’à atteindre la surpopulation.
269
Économiquement, tous les États accumulent des réserves d’or
dans le but de constituer un fonds de garantie, qui permettrait de
garantir la valeur des différentes devises en circulation dans le
monde. Pour des raisons historiques liées à la découverte de
l’Amérique, à l’exploration du monde en général ainsi qu’aux
deux guerres mondiales, les principaux détenteurs d’or en réser-
ve sont les pays du Nord développés ou les pays émergents. Seul
sept pays ont une réserve d’or supérieur à 1000 tonnes d’or: les
États-Unis avec 8133 tonnes, l’Allemagne avec 3364 tonnes, l’Ita-
lie avec 2451 tonnes, la France avec 2436 tonnes, la Russie avec
2299 tonnes, la Chine avec 1948 tonnes et la Suisse avec 1040
270
tonnes d’or. Dans certains cas, plusieurs institutions internatio-
nales dans le domaine économique ont des réserves d’or élevé,
voire supérieur à la plupart des États, comme le Fonds monétaire
international (FMI) qui est le détenteur de 2814 tonnes d’or, la
Banque centrale européenne (BCE) qui est le détenteur de 504
tonnes d’or et la Banque des règlements internationaux qui est le
détenteur de 104 tonnes d’or. Globalement, il est considéré
qu’environ 20% des réserves d’or mondiales sont détenues par
des banques centrales soit environ 34 735 tonnes d’or en 2020.
Depuis le début du XXème siècle, notamment en raison des guer-
res mondiales, ce sont les États-Unis qui accumulait le plus d’or.
271
Diplomatiquement, au niveau mondial, on peut constater que la
civilisation la plus puissante est celle des anglo-saxons en Occi-
dent, elle s’étend sur plusieurs continents avec les États-Unis
comme première puissance unilatéralement. Tandis que les prin
272
cipales puissances secondaires (démographiquement, économi-
quement et militairement) concurrentes des États-Unis qui émer-
gent ou ré-émergent, sont la Chine, l’Inde, la Russie et le Japon
qui se situent tous sur le continent asiatique, en Orient.
273
274
Chapitre VI :
Le Mal
275
Le Mal
Le mal est l’appellation donner au concept philosophique selon
lequel une pensée, une parole ou un acte serait néfaste et donc
contraire à une morale car il engendrerait de la souffrance sur le
plan physique, du fourvoiement sur le plan intellectuel et de l’ini-
quité sur le plan spirituel. Cependant la conception du mal voire
de la morale tout entière varie selon le point de vue, ainsi que
dans le domaine de la politique. Alors, y a-t-il une ou plusieurs
définitions acceptables du mal ? et quelle conception du mal
doit-il y avoir en politique ?
276
PROBLÉMATIQUE
La problématique est l’étude de l’ensemble des phénomènes qui
engendre le mal; les problèmes qui se pose en politique, que ce
soit dans sa dimension raciale, économique et diplomatique.
Pour ce faire, elle va nécessiter une analyse complète de tous les
phénomènes intervenant dans la création de ses problèmes, à
l’aide de toutes les disciplines auxiliaires de la politique afin de
tous les déterminer. Ainsi on retiendra cinq catégories de problé-
matiques :
277
1 PROBLÉMATIQUE BIOLOGIQUE
278
Donc le questionnement autour de l’organisation politique d’un
État est purement une question de forme et non de fond car le
plus important n’est pas quel type de gouvernement un État doit
adopter pour pouvoir gouverner correctement mais plutôt qu’elle
idées vont le lui permettre, c’est-à-dire quelle idéologie doit-il ad-
opter comme doctrine pour gouverner de manière fonctionnelle.
Ainsi on peut en conclure qu’il n’y a pas d’organisation politique
particulièrement plus fonctionnelle qu’une autre et qu’il s’agit
avant tout d’une problématique culturelle (ensemble des aspects
de l’Être et de l’Avoir propre à un ensemble géographique comme
une nation ou une civilisation). Donc que l’organisation politique
qui doit être adoptée par un État dépend principalement du con-
texte historique, géographique spécifique à chacune des nations
du monde entier, ainsi que des acteurs avec leurs idéologies en
jeu, selon que les mouvements auxquels ils appartiennent soient
bénéfiques ou non à l’organisation fonctionnelle de la nation par
l’État.
279
1. Problématique de l’instruction
En tout premier lieu, les jeunes doivent être éduqués avant l’ins-
truction par leurs parents qui ont le devoir de les socialiser. La
socialisation est le processus par lequel un individu apprend les
règles de bienséance de la société, afin d’être apte à vivre ainsi
qu’à être sociable avec les individus. Par la suite, ils doivent inté-
grer l’instruction au cours de leur enfance afin d’y être alphabéti-
sé, c’est-à-dire apprendre à lire, écrire et donc compter. Pour ce
faire cela nécessite un système scolaire organisant la scolarité.
Un système scolaire est une organisation de tous les acteurs hu-
mains (corps enseignants) et matériaux (ressources éducatives)
participant à la fonctionnalité de l’instruction dans un État ainsi
qu’une codification de tous les niveaux et degrés d’enseignement.
Ensuite, ils doivent également se cultiver (acquérir des connais-
sances) de manière générale (sur le plan physique, intellectuel et
spirituel) que ce soit hors du système scolaire ou dans celui-ci à
l’aide des différents programmes d’enseignement.
Un programme scolaire est l’ensemble des programmes d’études
adaptés à chaque niveaux, portant sur toutes les disciplines com-
posant les sciences de manière générale ou approfondie selon le
niveau, étant enseigné dans des établissements éducatifs durant
toute la scolarité et les études d’un élève.
Enfin au terme de leurs études, d’une part ils doivent acquérir
différents diplômes créés selon la codification du système sco-
laire, qui sont décernés par l’État et certifient les compétences du
diplômé. D’autre part, l’intégralité des jeunes et étudiants doi-
vent acquérir la conscience de leurs nations et oeuvrer pour elles.
280
L’instruction va donc rencontrer cinq problèmes participant à en-
traver son objectif d’assurer l’existence de l'être collectif:
a. La désocialisation
Il s’agit du phénomène par lequel un individu n’apprend pas ou
désapprend toutes les règles de bienséances nécessaires à la vie
en société et donc n’est plus apte à se comporter convenablement
en société et à se sociabiliser avec d’autres individus éduqués.
Elle se mesure avec le taux de désocialisation en %.
b. L’analphabétisme
Il s’agit du phénomène par lequel un individu n’apprend pas à li-
re, écrire et compter, ce qui le réduit dans sa capacité à se culti-
ver, à acquérir des diplômes et donc à exercer certains métiers.
Pour les individus qui avaient suivi une instruction leur permet-
tant de s’alphabétiser mais qui n’ont pas acquis les capacités de
lire, écrire ou compter, on parle d’illettrisme.
Il se mesure avec le taux d’analphabétisme en %.
c. La déculturation
Il s’agit du phénomène par lequel un individu perd des connais-
sances agrandissant ainsi son inculture, notamment toutes les
connaissances fondamentales à l’identité de son ethnie.
Il se mesure avec le taux de déculturation en %.
d. L’incompétence
Il s’agit du phénomène par lequel un individu est inapte à exercer
certains métiers, car il ne dispose pas des compétences nécessai-
res certifiées des diplômes car il ne les a pas acquises.
Il se mesure avec le taux de non diplômés en %.
e. L’inconscience
Il s’agit du phénomène par lequel un individu n’a pas conscience
de son appartenance nationale et donc de son appartenance eth-
no-raciale, ce pour quoi il n’agit pas dans les intérêts de sa nation
et des siens, il devient par conséquent un inhumain.
Il se mesure avec le taux d’inhumain en %.
281
2. Problématique de l’intérieur
282
L’intérieur va donc rencontrer quatre problèmes participant à en-
traver son objectif d’instaurer l’ordre:
a. La corruption
Il s’agit du phénomène par lequel un fonctionnaire au service de
l'État corrompt, altère sa fonction en n’effectuant pas correcte-
ment son métier dans le traitement de dossier, entraînant ainsi
des dysfonctionnements et une discréditation de l’État.
Elle se mesure avec le taux de traitements erronés en %.
b. L’insécurité
Il s’agit du phénomène par lequel le nombre total d’infraction
(contravention, délit, crime) de quelque nature que ce soit, explo-
se pour atteindre un seuil critique, dégrade le niveau de vie des
individus et les empêche de reproduire les ressources humaines
de la nation à cause des méfaits commis par les inhumains.
Elle se mesure avec le taux de criminalité par habitant en %.
c. L’incurie
Il s’agit du phénomène par lequel l’accès aux soins de santé, le ni-
veau d’hygiène et l’état sanitaire d’une nation en général se dé-
gradent, à cause d’une mauvaise gestion de la santé ou d’une ab-
sence de gestion entraînant ainsi une recrudescence des problè-
mes de santé, comme les maladies ou le nombre de morts.
Elle se mesure avec le taux de mortalité en % ou de manière plus
globale avec l’ensemble des indices mesurant la prévalence des
décès dont les causes sont liées à l’incurie.
d. La dénatalité
Il s’agit du phénomène par lequel le nombre de total de naissance
par rapport à la population totale diminue et devient insuffisant
en descendant en dessous du seuil critique du renouvellement
des générations qui est de 2,1 enfants par femme. Ainsi les res-
sources humaines d’une nation ne se reproduisent pas assez et
risquent de disparaître à cause de leur diminution en raison de
divers phénomènes biologiques les influençant.
Elle se mesure avec le taux d’avortements et de célibataires en %.
283
3. Problématique de la défense
284
a. L’inefficacité opérationnelle
Il s’agit du phénomène par lequel l’armée d’une nation est mal
organisée à cause de plusieurs facteurs comme l’obsolescence des
savoirs de son haut-commandement ou bien son manque d’effec-
tifs, de l’obsolescence de son matériel ou bien de son manque de
toutes sortes de matériel.
Elle se mesure avec le nombre de défaite militaire.
b. La méconnaissance
Il s’agit du phénomène par lequel les forces spéciales de l’armée
qui sont chargées du renseignement sont mal renseignés sur les
autres États à cause de mauvaise investigation, voire d’une ab-
sence d’investigation entraînant ainsi des défaillances dans le
commandement des armées et dans le fonctionnement de l’État,
car cet état de fait rend impossible de toute forme d’anticipation.
Elle se mesure avec le taux d’erreurs par investigations.
c. L’infiltration
Il s’agit du phénomène par lequel les forces spéciales de l’armée
qui sont chargées du renseignement ne parviennent pas à lutter
efficacement contre les forces spéciales des autres États aboutis-
sant à l’infiltration de ses forces étrangères au sein de la nation
ainsi qu’à la collecte d’informations dans divers secteurs par ces
derniers, enrayant la capacité opérationnelle de l’armée.
Elle se mesure avec le nombre d’espions infiltrés.
d. L’occupation
Il s’agit du phénomène par lequel un État étranger parvient après
un conflit militaire ou une infiltration généralisée, à occuper un
autre État politiquement. De ce fait, il fait primer ses intérêts po-
litiques au-dessus de ceux de la nation occupée entrainant ainsi
une répression de toute forme de résistance que les ressources
humaines propres à cette nation occupée pourraient manifester,
ainsi qu’un risque maximal de destruction de la nation.
Elle se mesure selon le fait qu’un État soit subordonné à un autre
d’un point de vue juridique au regard du droit international.
285
2 PROBLÉMATIQUE ÉCONOMIQUE
286
problèmes économiques ou non. Car le questionnement autour
de l’organisation économique d’un État n’est pas une question de
forme mais une question de fond, parce que le plus important
n’est pas quelle est l’idéologie qu’un État doit adopter pour pou-
voir gouverner correctement mais plutôt quelle organisation éco-
nomique va le lui permettre, c’est-à-dire quel type d’économie
doit-il adopter pour gouverner de manière fonctionnelle. Ainsi
on peut en conclure qu’il y des organisations économiques parti-
culièrement plus fonctionnelles qu’une autre et qu’il s’agit avant
tout d’une problématique structurelle (ensemble des aspects de
l’organisation l’Être et de l’Avoir par l’État propre à chaque na-
tion) et donc que l’organisation économique qui doit être adoptée
par un État dépende de leur efficacité, notamment de leurs habi-
lités à maintenir indépendante économiquement une nation ain-
si que du niveau d’évolution anthropologique de l’histoire. Ainsi
une économie financière est préférable pour des raisons d’évolu-
tions technologiques, tandis que le change fixe, une économie re-
présentative ainsi que l’étalon-or qui défendent des intérêts pu-
blics sont préférables, par rapport aux autres types d’organisa-
tions plus récentes qui ne défendent que des intérêts privés.
287
1. Problématique du travail
En tout premier lieu, les individus doivent avoir obtenu des qua-
lifications et des compétences après l’instruction, pour leur per-
mettre d’obtenir un emploi sur le marché du travail, dont le bon
fonctionnement nécessite d’être organisée par une réglementa-
tion du travail afin d’optimiser la productivité de l’économie.
Une réglementation du travail est une structuration de tous les
acteurs humains (main-d’oeuvre) et matériaux (ressources pro-
fessionelles) participant à la fonctionnalité du travail dans un
État sous la forme d’une réglementation regroupant l’ensemble
des textes normatifs relatif au travail à l’intérieur d’un État.
Par la suite, les individus pourront être autosuffisants selon leur
revenue et disposeront d’un pouvoir d’achat grâce à leurs reve-
nues qui leur permettront d’acheter telle quantité de bien et ser-
vice selon le niveau de stabilité des prix, s’ils augmentent, dimi-
nuent ou qu’ils ne varient pas. C’est à partir de cette stabilité que
pourra être évaluer le coût de la vie ainsi que le niveau de riches-
ses des individus. Afin de garantir la liquidité des capitaux exi-
stant dans l’économie réelle, l’État doit se doter d’une organisa-
tion monétaire afin de garantir cette matérialisation.
Une organisation monétaire est une structuration de tous les ac-
teurs humains et matériaux participant à la fonctionnalité de la
politique monétaire (d’émission de monnaie) d’un État sous la
forme d’un organisme public, ainsi qu’une codification de toutes
les catégories et degré de la politique monétaire qui forme l’une
des deux composantes de la politique conjecturelle.
Enfin c’est le niveau de productivité des travailleurs qui va déter-
miner le niveau de croissance des nations et leurs PIB.
288
Le travail va donc rencontrer quatre problèmes participant à en-
traver son objectif de produire des richesses:
a. Le chômage
Il s’agit du phénomène par lequel un individu reste sans activité
productive car il reste sans emploi ou perd son emploi. Un chô-
meur peut être actif s’il est dans le marché du travail à la recher-
che d’un emploi ou inactif dans le cas contraire.
Il se mesure avec le taux de chômage en %, ou de manière plus
globale avec le taux d’inactif sur une population au total en %.
b. L’inflation
Il s’agit du phénomène par lequel un individu voit son pouvoir
d’achat se réduire en raison de l’augmentation générale des prix
due à une dévaluation de la monnaie en raison de diverses politi-
ques monétaires (planche à billets, endettement).
Elle se mesure avec le taux d’inflation en %.
c. La pauvreté
Il s’agit du phénomène par lequel un individu voit ses ressources
matérielles, notamment financières s’amoindrir jusqu’à passer
en dessous d’un seuil critique de pauvreté qui peut être relatif ou
absolu, il s’établit par rapport au coût de la vie dans une nation.
Elle se mesure avec le taux de pauvreté en %, ou de manière plus
globale avec le PIB par habitant par PPA (parité de pouvoir
d’achat) qui est un bon indicateur du niveau de vie moyen d’une
nation, notamment si elle est pauvre.
d. La décroissance
Il s’agit du phénomène par lequel l’addition de la valeur de toutes
les richesses produite par une nation sur une année diminue par
rapport au PIB réalisée l’année précédente.
Ainsi les ressources matérielles d’une nation ne se reproduisent
pas assez et risquent de disparaître à cause de leur diminution en
raison de divers phénomènes économiques les influençant.
Elle se mesure avec le taux de croissance du PIB en %. Il est en
décroissance s’il est négatif.
289
2. Problématique des finances
Sachant que les finances ont pour but de redistribuer les riches-
ses, alors les problèmes des finances vont concerner tous les phé-
nomènes qui participent à ce que les richesses ne soient pas re-
distribuées. Pour redistribuer les richesses, les principaux critè-
res économiques des finances quant à la réussite de cet objectif
vont être le niveau de citoyenneté, le niveau d’autonomie, le ni-
veau d’agriculturation, le niveau d’industrialisation et le niveau
de tertiarisation.
290
Les finances vont donc rencontrer cinq problèmes participant à
entraver son objectif de répartir les richesses:
a. La fraude
Il s’agit du phénomène par lequel un individu contourne les rè-
gles du système fiscal en détournant illégalement ses revenues
devant être prélevé pour contribuer aux recettes de l’État.
Elle se mesure avec le taux de fraude en %.
b. L’assistanat
Il s’agit du phénomène par lequel un individu perçoit des aides
sociales afin de combler une absence de revenue.
Il se mesure avec le taux de percepteurs d’aide sociale en %.
c. La désagriculturation
Il s’agit du phénomène par lequel la part des travailleurs actifs
dans le secteur primaire (de l’agriculture) diminue, ainsi que l’en-
semble des acteurs humains et matériaux consacrée à lui.
Elle se mesure avec le taux de croissance du secteur primaire en
% (s’il est négatif), plus globalement avec la part d’actif dans ce
secteur en %, s’il est inférieur à son seuil de fonctionnalité.
d. La désindustrialisation
Il s’agit du phénomène par lequel la part des travailleurs actifs
dans le secteur secondaire (de l’industrie) diminue, ainsi que
l’ensemble des acteurs humains et matériaux consacrée à lui.
Elle se mesure avec le taux de croissance du secteur primaire en
% (s’il est négatif), plus globalement avec la part d’actif dans ce
secteur en %, s’il est inférieur à son seuil de fonctionnalité.
e. La détertiarisation
Il s’agit du phénomène par lequel la part des travailleurs actifs
dans le secteur tertiaire (des services) diminue, ainsi que l’en-
semble des acteurs humains et matériaux consacrée à lui.
Elle se mesure avec le taux de croissance du secteur primaire en
% (s’il est négatif), plus globalement avec la part d’actif dans ce
secteur en %, s’il est inférieur à son seuil de fonctionnalité.
291
3. Problématique des affaires étrangères
292
Les affaires étrangères vont donc rencontrer quatre problèmes
participant à entraver son objectif de dialoguer avec les autres
États:
a. Le déficit commercial
Il s’agit du phénomène par lequel la balance commerciale, c’est-
à-dire les résultats du commerce extérieur dans l’ensemble, font
que les exportations sont inférieures aux importations. Dans ce
cas ont dit que la balance commerciale est négative.
Il se mesure avec la valeur des exportations et des importations
en devise, si les exportations<importations.
b. La délocalisation
Il s’agit du phénomène par lequel l’étranger investit plus dans un
État et gagne une place importante dans son économie. Ainsi
l'État en question perd de sa productivité car ses capitaux ainsi
que ses emplois se délocalisent hors de ses frontières.
Elle se mesure avec le taux de croissance des investissements de
l’étranger dans la nation (s’il est positif).
c. Le désinvestissement
Il s’agit du phénomène par lequel l’État investit moins à l’étran-
ger et perd une place importante dans son économie. Ainsi l'État
en question perd de sa productivité car ses capitaux ainsi que ses
ressources naturelles ne sont pas investies à l’extérieur.
Elle se mesure avec le taux de croissance des investissements de
la nation à l’étranger (s’il est négatif).
d. L’endettement
Il s’agit du phénomène par lequel un État contracte des dettes en
empruntant de la monnaie à l’étranger qui parvient après un dé-
faut de paiement, à mettre en demeure cette État. De ce fait,
l’État fait faillite entrainant ainsi une récession et une confisca-
tion de ses ressources matérielles propres, aboutissant à un ris-
que maximal de destruction de la nation.
Elle se mesure selon le fait qu’un État soit le débiteur d’un autre,
d’un point de vue juridique au regard du droit international.
293
3 PROBLÉMATIQUE HISTORIOPOLITIQUE
294
Le troisième phénomène à prendre en compte est le mode d’orga-
nisation spirituelle, c’est-à-dire la façon dont est organiser la civi-
lisation ayant pour besoins de perpétuer l’identité des individus,
il varie entre la civilisation de l’Être et la civilisation de l’Avoir.
La civilisation de l’Être désigne une civilisation disposant d’une
économie vivrière ou industrielle organisée autour des qualités
propres de l’Être, dont l’élite gouverne par un moyen de puissan-
ce de l’Être et dont les principales problématiques sont d’ordre
matériel. Tandis que la civilisation de l’Avoir désigne une civilisa-
tion disposant d’une économie tertiaire organisée autour des
quantités de ressources de l’Avoir, dont les élites gouvernent par
un moyen de puissance de l’Avoir et dont les principales problé-
matiques sont d’ordre humain.
295
1. La monnaie
L’idée de monnaie est un problème, car son concept qui est celui
d’attribuer une valeur intrinsèque ou nominative à un objet (or,
argent, papier...) qui n’a pas d’utilité lui permettant de répondre
aux besoins primordiaux de l’humain, pour qu’il sert d’unité de
compte de la valeur des marchandises, de moyen d’échange des
ressources et de réserve de valeur, engendre lui-même divers pro-
blèmes. Il engendre en premier lieu, un problème intellectuel, car
sa propre existence récompense les efforts de tous ses acquéreurs
sans distinction de différences de faits, ce qui admet l’idée que
les individus qu’il soit humain ou inhumain notamment ou d’au-
tres cas semblables, seraient égaux qualitativement peu importe
qui ils soient et ce qu’ils ont fait. Donc ils seraient déshumanisés
puisque la monnaie n’est pas un étalon humain comme le droit
qui récompense les individus selon leurs qualités propres, mais
un étalon matériel qui récompense les individus selon leurs
quantités de travail propre. Ce qui engendre à son tour deux au-
tres problèmes, dont un physique, selon lequel elle permettrait
non seulement la survivance des inhumains, de leurs immorali-
tés, mais en plus de cela, elle leur permettrait d’acquérir du pou-
voir politique, voire de se constituer en une nouvelle élite. Enfin,
elle poserait un problème spirituel selon lequel l’intérêt d’acqué-
rir de la monnaie et toute la valeur matérielle qu’elle représente
puis incarne, prévaudrait sur la transcendance des liens moraux
entre les individus car leur valeur humaine qui n’est pas matéria-
lisée et donc non estimable, serait de ce fait moins importante,
car offrant beaucoup moins d’opportunité que celle de la mon-
naie. Pour conclure, la monnaie dans son essence pose un problè-
me anthropologique globale, car elle fait primer l’intérêt dans la
recherche du salut terrestre sur la transcendance dans la recher-
che du salut céleste, ainsi le caractère hautement satanique de la
monnaie fait d’elle un vecteur général d’inversion des valeurs.
296
2. La bourgeoisie
La bourgeoisie qui est née dans les bourgs du Moyen Âge et a pris
son essor en 1492 après la découverte de l’Amérique, est un pro-
blème historique, car il s’agit de l’élite gouvernante actuelle.
297
3. Les États-Unis
298
4. La Seconde Guerre mondiale
299
5 . La Posthumanité
300
plus moins importante de ces générations ont était déshumanisé,
en étant subverties au lieu d’être éduquée, dans l’idée fallacieuse
que le bien était le mal et que le mal était le bien, par la partie des
baby-boomers qui a été le plus endoctriné par les médias de mas-
se, l’arme de l’ingénierie sociale par excellence. Cela est le fruit
d’un long processus de pourrissement amorcée par le progrès
technique depuis les deux révolutions industrielles qui avaient
amorcé la transition d’une économie industrielle, composée prin-
cipalement de paysans et d’ouvriers avec une minorité de travail-
leurs tertiaire, principalement dans le fonctionnariat, le commer-
ce et les professions intellectuels. Vers une économie financière
avec une tertiarisation massive de l’emploi, se composant en ma-
jorité de travailleurs tertiaires avec une minorité de paysans et
d’ouvriers, conséquences directes des deux guerres mondiales en
ce qui concerne l’Occident politique. Le résultat a été la prise de
pouvoir des institutions financières, notamment du conglomérat
bancaire américain sur le monde, qui avec l’aide de tous les nou-
veaux moyens technologiques que le progrès avait mis à sa dispo-
sition façonna à son image et pour ses besoins, des générations
entières dont la première fût partiellement celle des baby-boo-
mers, puis de leurs descendants de manière généralisée.
301
4 PROBLÉMATIQUE GÉOPOLITIQUE
302
Pour les espaces géographiques d’échelle mésoscopiques, il n’y a
qu’une seule catégorie, celle de la nation. Cependant, il existe dif-
férentes catégories de nation selon leur nature.
303
Pour les espaces géographiques d’échelle macroscopiques qui
sont des espaces globaux plus importants en superficie et en po-
pulation que la nation, il y a quatre catégories d’espaces: le sous-
continent, la civilisation, le continent ainsi que le monde.
Le sous-continent est une subdivision macroscopique qui regrou-
pe plusieurs nations proches culturellement sur un même conti-
nent formant ainsi un espace cohérent, il s’agit d’un espace défini
sur des critères racio-économiques.
La civilisation est une subdivision macroscopique qui peut re-
groupe un ou plusieurs sous-continents proches formant un es-
pace cohérent, ainsi qu’une certaine proportion de la population
mondiale, il s’agit d’un espace défini sur des critères raciaux.
Le continent est une subdivision macroscopique qui regroupe
une ou plusieurs civilisations sur son espace ainsi qu’une certai-
ne proportion continue de la superficie mondiale, il s’agit d’un es-
pace défini sur des critères économiques.
Le monde est l’espace macroscopique le plus grand possible, il
s’agit d’un espace comprenant la planète Terre entière et toutes
les subdivisions géographiques possibles qu’elles soient d’échelle
microscopique, mésoscopique ou macroscopique.
304
Enfin, voici tous les types de biomes (ou d’écorégion) qui sont
des ensembles d’écosystème caractéristique d’une aire biogéogra-
phique, déterminé à partir de la faune et flore qui y prédomine.
Ce sont eux avec leurs caractéristiques et tous les types d’espaces
géomorphologiques (science de l’étude des reliefs et modèles na-
turels des planètes telluriques) qui participent à façonner le con-
texte géographique, donc économique propre à chaque ethnie s’y
étant adaptée ainsi que chaque nation.
L’île qui est une petite étendue de terre ferme émergée des eaux
isolées, car non rattachée à un continent.
L’isthme est une étroite bande de terre, qui rattache de grandes
étendues de terres plus vastes entre elles.
La presqu’île qui est partie saillante d’une côte, rattachée à une
étendue de terres plus vaste, par un isthme.
La péninsule est une presqu’île de grande taille, c’est-à-dire une
partie de terres émergées rattachée à une masse continentale uni-
quement par un de ses côtés.
Le continent est une vaste étendue de terres émergées des eaux,
qui est limitée par des océans.
305
1. Les États-Unis
a. Contexte historique
306
b. Situation raciale
c. Situation économique
Bien que les États-Unis aient réussi à recueillir les deux tiers des
réserves d’or mondiales en 1944, leur monnaie le dollar n’a cessé
d’être dévaluer depuis la Grande dépression, leur État n’a cessé
de s’endenter depuis les deux chocs pétroliers de 1973 et 1979,
pour atteindre le montant total de 82.3% du PIB des États-Unis.
Bien que les États-Unis sont connus des périodes d’endettement
plus fortes auparavant, une immense partie de leur industrie a
été délocalisés et leur agriculture représente peu dans leur écono-
mie car elle était devenue financière dès le début du XXème siè-
cle. De nos jours, les États-Unis sont gouvernés par Donald
Trump à la tête du parti républicain, avec une idéologie populiste
de droite. Lors de sa gouvernance, le chômage avait baissé jus-
qu’à 4,4% et le PIB des États-Unis à continuer de s’accroître.
307
2. La Pax Americana
308
Cette croyance, c’est celle du satanisme; une croyance qui souhai-
te l’arbitraire par la loi du plus nombreux (quantitativement),
donc par la loi du plus riche avec la promotion d’une antimorale
injuste et inégalitaire entre les individus contre toute forme de
communautarisme, cela en faisant la promotion de toute forme
de matérialisme, pour contrer toute forme de croyance spirituelle
pouvant remettre en question l’hégémonie américaine.
Les deux agents de l’universalisme matérialiste marchand améri-
cain vont entrer en action par le constructivisme spiritualiste et
l’essentialisme matérialiste, ce qui va à l’encontre de la direction
de l’histoire qui est la conjugaison entre l’essentialisme spiritua-
liste (création d’idée) et le constructivisme matérialiste (création
d’objet). Ainsi ce constructivisme spiritualiste va avoir but d’ex-
pliquer que toutes les réalités essentielles ne sont que des cons-
tructions variables et interchangeables, pour créer des individus
indifférenciés, il s’agit donc d’une destruction d’idée. Tandis que
l’essentialisme marchand va avoir but d’expliquer que toutes les
réalités construites sont des essences invariables et irremplaça-
bles, pour créer des richesses différenciables, il s’agit donc d’une
destruction d’objet. Ce qui se traduit par la création d’une rhéto-
rique subjectiviste chronocentrée sur le présent qui fait de l’indi-
vidualisme et des instincts primaires le bien et qui fait du com-
munautarisme et des réflexions avisées le mal. Cela a pour objec-
tif de détruire toutes les communautés du monde, en diabolisant
leurs élites productives à l’aide d’une démagogie pour que les éli-
tes parasitaires américaines récupèrent et annihilent toutes leurs
masses productives, notamment avec l’aide de masses parasitai-
res qui vont faire pression sur ces communautés. Ainsi, il ne de-
vra rester plus que masse productive parasités et des masses pa-
rasites donc des individus atomisés, suite à la destruction de tou-
tes les élites productives pour qu’il n’y est plus que l’élite parasite
américaine triomphante qui domine sur tous ces individus. Ils se-
ront condamnés à devenir des zombies en étant des esclaves-con-
sommateur, exploiter toute leur vie et cherchant refuge à leur né-
vrose dans l’achat de bien et de service. Pour conclure, l’hégémo-
nie américaine qui est universaliste amorale et moniste, c’est le
pouvoir antisocial du marché et de l’aliénation marchande.
309
5 APOCALYPSE
310
L’humanité a atteint le centre de son histoire avec la naissance
du Christ pouvant symbolisant ce centre, car ce sont les religions
avec leurs morales qui marquent l’aboutissement des civilisa-
tions traditionnelles qui étaient principalement organisées avec
des modes d’organisation de l’Être, ce qui marque la fin de la pro-
gression depuis l’esprit et le début de l’inversion de la tendance.
À partir de là, c’est le début de l’évolution vers la matière, de tout
ce qui possède des propriétés physiques, avec en premier lieu la
création de France, première nation étant une construction d’éli-
te universelle, donc elle repose sur la monnaie. Ensuite la nais-
sance de la bourgeoisie grâce à la monnaie qui est une élite s’ap-
puyant sur ce moyen de puissance, qui a effectué sa prise de pou-
voir progressive à partir de la découverte de l’Amérique. Puis la
naissance des croyances modernes qui sont des croyances injus-
tes qui prêchent la loi du plus nombreux. Puis la naissance des
idéologies politiques libérale et capitaliste, qui sont des idéolo-
gies centrées sur l’organisation économique des États. Puis la
naissance des États-Unis, seconde nation étant une construction,
plus précisément une multiconstruction de masse universelle,
donc elle repose sur la monnaie. Et enfin, l’accession au rang de
première puissance mondiale des États-Unis après la Seconde
Guerre mondiale marquant ainsi le début de la Posthumanité.
Ces processus marquent un nivellement par le bas de l’humanité
en passant d’un monde juste vers un monde injuste, avec une ci-
vilisation de quantité, des élites de quantité et des masses de
quantité, participant tous à une organisation politique tournée
vers le salut dans le monde terrestre. Pour la simple raison, que
contrairement à tous les processus ayant façonné les civilisations
traditionnelles tourner vers le monde céleste, avaient tous la ca-
ractéristique d’améliorer l’homme et ses qualités d’être, par l’ac-
quisition du mérite, de la justice et de l’égalité. Les processus ay-
ant façonné les civilisations modernes tourner vers le monde ter-
restre, ont tous la caractéristique de détériorer l’homme et ses
qualités d’être par l’équité, au profit de l’amélioration des quanti-
tés d’avoir par l’acquisition du libertarisme. C’est cette tendance
évolutive vers la matière qui a engendré la troisième grande déca-
dence de l’humanité qui a pour autre nom, l’Apocalypse.
311
L’Apocalypse est le nom du dernier livre de la Bible, racontant le
moment où arrivera la fin du monde, qui après avoir pris cons-
cience de la tendance évolutive vers la matière, n’est rien d’autre
que le moment ou l’inversion généralisée des valeurs (inversion
de la tendance évolutive depuis l’esprit vers celle de la matière),
entraînera l’acceptation du mal et son triomphe sur le bien.
Ce moment est arrivé, c’est celui de la Posthumanité avec le tri-
omphe des États-Unis et tout ce que cela implique.
312
démocratie. Car ce sont les armes du désarmement des nations,
de leur castration, de la destitution de leurs élites humaines, en
faisant croire par la flatterie, aux peuples peu cultivés de cette
époque, que les simples états de faits quantitatifs, qu’un souve-
rain détienne les trois pouvoirs politiques et que le peuple n’élit
pas ses représentants seraient mal. Cela sans se soucier de la
fonctionnalité de sa politique, alors qu’en réalité, ces arguments
démagogiques essaient de faire oublier que le souverain était l’in-
carnation de la souveraineté nationale, mandaté par Dieu pour
gouverner dans l’intérêt de tous, puisqu’ils auraient les compé-
tences pour le faire. Contrairement aux bourgeois et aux peuples
qui n’ayant pas les connaissances politiques nécessaires au dé-
part, voteraient toujours pour les intérêts privés des bourgeois
par les banques. Ces croyances ainsi que ces idéologies ont parti-
cipé à la prise de pouvoir de la bourgeoisie au Royaume-Uni, en
France, voire carrément à la naissance des États-Unis qui des
trois puissances bourgeoises, est celle qui est devenue la premiè-
re à être libérale. En concédant sa souveraineté, aux banques et
aux intérêts privées des inhumains de la bourgeoisie qui avaient
réussi à acquérir une puissance considérable dans ce pays, les
États-Unis ont été le nivellement par le bas des masses en deve-
nant la première nation posthumaine en 1913, laissant ses élites
bancaires diriger ses masses qui de base, n’étaient unis que par la
monnaie. Les puissances bourgeoises ainsi que tout ce qu’elles
véhiculaient, étaient les vecteurs du chaos racio-économiques et
de l’anarchie sur le long terme, car elles admettait qu’une majo-
rité d’individus vivent dans l’injustice et l’inégalité pendant
qu’une minorité vivrait dans le libertarisme à leurs détriments.
C’est dans ce contexte qu’après la Première Guerre mondiale,
l’humanité souhaita s’émanciper du monde capitaliste anglo-
américain avec l’adoption de régime fasciste ou communiste dans
la majorité des nations. Mais suite à la Seconde Guerre mondiale,
les États-Unis décidèrent de lancer le plan de domination de
leurs élites inhumaines, en faisant la guerre à tous ceux qui s’op-
poseraient à eux ainsi qu’en prenant le pouvoir sur Terre, en im-
posant leur monnaie comme étalon, ce qui a été le début du nivel-
lement par le bas de la civilisation moderne: la Posthumanité.
313
De nos jours, les États-Unis dominent le monde, ce qui fait que
leur élite inhumaine qui est l’hyperclasse, leurs masses inhumai-
nes que sont les baby-boomers, la génération XY et la génération
Z, ainsi que leur civilisation inhumaine, orienter vers le salut
dans le monde terrestre et promouvant l’injustice avec l’inégalité
envers une majorité d’individus au profit du libertarisme pour
une minorité, sont devenues les modèles dominants qu’ils veu-
lent imposer dans le monde entier, de gré ou de force. Depuis
1945, ils ont gagné la Guerre Froide en éradiquant la majorité des
États fascistes et communistes, principalement l’Union soviéti-
que. Maintenant, ils règnent unilatéralement sur le monde et ils
ont pu entamer leur plan de domination, en commençant à l’ap-
pliquer partout à travers le monde qui avec le krach de 2008,
marque véritablement le début de la troisième grande décadence
qui est celle de l’Apocalypse. Bienvenue en enfer sur Terre.
314
sobriquet. À partir de là, ce n’était qu’une question de temps
avant que la contradiction entre le caractère exclusif issue de la
culture anglo-saxonne protestante de ses fondateurs et le caractè-
re universaliste puritain lié à sa construction sur la monnaie, in-
vitant le reste du monde entier avec toutes ses cultures à vivre
dans le même pays, ne finisse par exploser.
C’est ce qui est arrivée en 1913, quand cette nation à cesser d’en
être une pour devenir l’État-monde ou l’ignoble fossoyeur des
peuples que l’on connaît suite à toute l’antipathie qu’elle pouvait
générer entre ses habitants, donnant ainsi naissance à l’élite de
taré qui la gouverne aujourd’hui et qui a fait d’elle le grand golem
de Satan. L’Amérique judéo-bancaire, le bastion de l’inhumanité
et de son élite messianique judéo-protestante, le grand persécu-
teur en chef du genre humain partout et tout le temps. Il est nor-
mal que le Royaume-Uni, éternelle victime de son insularité, qui
après s’être débarrassé de l’influence néfaste que la France a
exercée sur lui, afin de devenir la grande puissance bourgeoise de
l’Ère industrielle, devienne finalement la plus grande victime de
l’influence néfaste qu’exerce le monstre qu’il a créé en Amérique
du Nord. Il est normal que la France, pays de pharisiens par ex-
cellence, née de la contradiction entre un peuple nordique avec
une culture méditerranéenne, passe de la méritocratie universa-
liste que son royaume incarné, à la médiocratie égalitariste que
sa république incarne inversement, à partir du moment où les
bourgeois on put accéder au pouvoir. Le tout en étant toujours
resté la nation de riche privilégié injuste et inégalitaire qu’elle a
toujours été, tout en réalisant l’exploit d’être encore plus morali-
satrice en professant des valeurs qu’elle ne respecte pas. Alors
que son peuple en a fait une poubelle antifa du tiers-monde en
souhaitant être la caricature gauchiste des États-Unis, véritable
cour des miracles tant par sa folie que par sa puanteur, avec Ma-
rianne la plus grande putain de l’État profond américain.
315
Le projet de domination de l’hyperclasse est un projet mondialis-
te et transhumaniste consistant à dominer le monde et à asservir
l’humanité, notamment par son rachât à l’aide de fausse mon-
naie. C’est-à-dire un projet basé sur une doctrine visant l’unité
politique du monde et la détention de sa souveraineté par eux,
concernant le mondialisme, ainsi que sur une doctrine préconi-
sant d’augmenter les facultés de l’homme en le réduisant à une
machine grâce à la technologie, concernant le transhumanisme.
Cette hyperclasse s’appuie sur la monnaie par les banques et les
firmes qu’elle détient. Ce sont des bourgeois protestants anglo-
saxons ainsi que des Juifs ashkénazes, qui constitue l’État pro-
fond américain, une grande partie d'entre eux sont des pédocri-
minels satanistes. Elle se constitue aussi des bourgeois qui adhè-
rent à leur projet de domination à travers le monde. Ils s’organi-
sent en think tanks (le Conseil des Relations Étrangères, la Com-
mission trilatérale, le groupe Bilderberg, le Forum économique
mondiale etc.), afin de se réunir pour prendre les décisions politi-
ques à venir, à la place des États corrompus qu’ils contrôlent.
316
le libertarisme qui veut permettre aux individus de se comporter
n’importe comment, donc injustement et inégalitairement. À par-
tir de là, la nouvelle gauche libertaire et la nouvelle droite liber-
taire sont nées, une pure création de cette élite afin de créer une
opposition qui ne contesterait pas leur nouvel ordre mondial, ce-
lui de la pax americana gouvernée par la même hyperclasse. Cet-
te opposition ne contesterait jamais leur projet mondialiste,
transhumaniste et satanique, mais uniquement leur réelle oppo-
sition autoritaire en travestissant toujours la réalité, à l’aide de
tous les moyens financiers leur permettant de contrôler chaque
fonction des États qui leur sont subordonnés. Elles s’emploie-
raient à expliquer que tous les dysfonctionnements des sociétés
libérales-libertaires, ne seraient pas dus aux idéologies, ni aux
croyances qu’ils promeuvent et sont responsables du chaos racio-
économiques qu’elles génèrent. Mais que ce seraient de la faute
des oppositions autoritaires à leur projet mondialiste, car les
frontières morales qu’elles poseraient afin de garantir la viabilité
des sociétés seraient un frein au libertarisme d’une minorité d’in-
dividus, en entretenant l’illusion que ce libertarisme pourrait
profiter à tous les individus. Afin que tous les inhumains qu’ils
auront créés, tous les parasites individualistes constituant les
suppôts de Satan, contre leurs seuls vrais opposants autoritaires.
317
318
Chapitre VII :
Le Bien
319
Le Bien
Le bien est l’appellation donnée au concept philosophique selon
lequel une pensée, une parole ou un acte serait bénéfique et donc
favorable à une morale car il engendrerait du bonheur sur le plan
physique, du discernement sur le plan intellectuel et de la droitu-
re sur le plan spirituel. De même que pour le mal, la conception
du bien voire de la morale tout entière varie selon le point de vue,
ainsi que dans le domaine de la politique. Alors, y a-t-il une ou
plusieurs définitions acceptables du bien ? et quelle conception
du bien doit-il y avoir en politique ?
320
PROGRAMME
Le programme est l’étude de l’ensemble des phénomènes qui en-
gendre le bien; les solutions qui se posent en politique, que ce
soit dans sa dimension raciale, économique et diplomatique.
Pour ce faire, il va nécessiter une analyse complète de tous les
phénomènes intervenant dans la création de ses solutions, à l’ai-
de des disciplines auxiliaires de la politique afin de les détermi-
ner. Ainsi on retiendra quatre catégories de programmes :
321
1 PROGRAMME DE L’ÊTRE
322
Enfin, pour en revenir au programme de l’Être, la principale solu-
tion que permettrait le fait qu’il y est une reproduction des res-
sources humaines propres à une entité politique serait la substi-
tution de ses ressources spécifiques qui incarne le peuple spécifi-
que à une nation, par celles qui auraient été reproduite par la mê-
me nation. Le principal phénomène en biologie politique partici-
pant à cet état de fait s’appelle la parenté.
La parenté désigne le phénomène selon lequel, un individu dispo-
se d’une relation sociale privilégiée avec d’autres individus puis-
qu’ils sont unis par les liens du sang, c’est-à-dire qu’ils sont les
descendants d’un ancêtre commun appartenant à la même ethnie
composante le peuple spécifique d’une nation. Il s’agit d’une solu-
tion générale, c’est-à-dire la principale du programme de l’Être,
car la parenté est une solution à la fois en matière de qualité et de
quantité. Elle est une solution de qualité parce qu’elle permet le
renouvellement des générations au sein d’une ethnie en accor-
dant la nationalité d’une nation seulement à ses membres, car les
individus unis par les mêmes liens de parenté qui la composent,
perpétueront ces liens de parenté en se reproduisant avec des in-
dividus issus de la même ethnie, puisqu’ils auront une affinité na-
turelle entre eux, en raison des liens sociaux qui permettront de
privilégier ces individus entre eux. Par conséquent, ces généra-
tions seront remplacée par des individus ayant les mêmes carac-
téristiques physiques (taille moyenne et autres), intellectuelles
(QI) et spirituelles (QE) puisqu’ils auront la même appartenance
ethno-raciale. Ainsi les ressources humaines avec leurs propres
attributs se renouvellent, en reproduisant des individus identi-
ques biologiquement aux individus des générations précédentes,
permettant de ce fait de reproduire la nation. Elle est également
une solution de quantité car étant donner la nature identique des
individus reproduits issus des nouvelles générations vis-à-vis des
individus issus des anciennes générations, d’un point de vue bio-
logique il n’y a aucune restriction à cette reproduction d’individu
et peut donc être illimité, seules les ressources matérielles dispo-
nibles seront un frein à cette reproduction. Ainsi la parenté est
une solution globale car elle peut entraîner la création d’une na-
tion en faisant agrandir ou propager ses ressources humaines.
323
1. Programme de l’instruction
324
Pour le niveau de culture, l’État se doit de consacrer tout le pro-
gramme scolaire de l’instruction secondaire aux perfectionne-
ments des connaissances dans les différentes sciences; mathéma-
tiques, physique-chimie, biologie, science pratique, histoire, géo-
graphie, langues étrangères et philosophie. Cet apprentissage au-
ra pour finalité que les jeunes obtiennent un ou plusieurs diplô-
me de fin de scolarité certifiant une culturation. En dehors de
l’instruction, l’État doit avoir une politique neutre vis-à-vis des
productions culturelles privées tout en les soumettant à la loi
d’une part, puis en participant à l’édification d’un art (esthétique
et non conceptuel) d’État par le financement d’établissements ci-
viques et de monument. Il doit également participer au finance-
ment des lieux de culte de la religion d’État relatif à sa nation.
325
L’instruction va donc rencontrer cinq solutions participant à réa-
liser son objectif d’assurer l’existence de l'être collectif:
a. La socialisation
Il s’agit du phénomène par lequel un individu apprend ou réap-
prend toutes les règles de bienséances nécessaires à la vie en so-
ciété, donc il est apte à se comporter convenablement en société
ainsi qu’à se sociabiliser avec d’autres individus éduqués.
Elle se mesure avec le taux de socialisation en %.
b. L’alphabétisation
Il s’agit du phénomène par lequel un individu apprend à lire,
écrire et compter, ce qui le renforce dans sa capacité à se cultiver,
à acquérir des diplômes et donc à exercer certains métiers. Pour
les individus qui ont réussi à acquérir ses compétences relatives à
l’alphabétisation, elles vont pouvoir agrandir leur connaissance
en les perfectionnant dans diverses sciences.
Il se mesure avec le taux d’alphabétisation en %.
c. La culturation
Il s’agit du phénomène par lequel un individu acquiert des con-
naissances agrandissant ainsi sa culture, notamment toutes les
connaissances fondamentales à l’identité de son ethnie.
Il se mesure avec le taux de culturation en %.
d. L’apprentissage
Il s’agit du phénomène par lequel un individu est apte à exercer
certains métiers car il dispose des compétences nécessaires qui
ont été certifié par des diplômes qu’il a acquis.
Il se mesure avec le taux de diplômés en %
e. La conscientisation
Il s’agit du phénomène par lequel un individu acquiert conscien-
ce de son appartenance nationale et donc de son appartenance
ethno-raciale, ce pour quoi il agit dans les intérêts de sa nation et
des siens, il devient par conséquent un humain.
Il se mesure avec le taux d’humain en %.
326
2. Programme de l’intérieur
327
Le code civil réglementant le droit privé, doit garantir la dignité
de chaque individu faisant partie d’une ou plusieurs des ethnies
composant le peuple spécifique de la nation; c’est-à-dire qu’ils
auront les droits de combler tous leurs besoins humains dans le
respect et la fidélité de l’élite nationale moderne en place, de la
morale institutionnelle et des liens de parenté qui les unissent.
Le code pénal réglementant le droit public, doit sanctionner tou-
te infraction par une peine proportionnelle (en rétablissent l’éga-
lité des préjudices, ce qui passe par la restitution de ce qui aura
étaient pris par le condamné), incluant la peine de mort.
328
L’intérieur va donc rencontrer quatre solutions participant à réa-
liser son objectif d’instaurer l’ordre:
a. L’intégrité
Il s’agit du phénomène par lequel un fonctionnaire au service de
l'État assure, remplis sa fonction en effectuant correctement son
métier dans le traitement de dossier, entraînant ainsi le fonction-
nement de l’État et la garantie de son honorabilité.
Elle se mesure avec le taux de traitement de dossiers totaux en %.
b. La sécurité
Il s’agit du phénomène par lequel le nombre total d’infraction
(contravention, délit, crime) de quelque nature que ce soit, dimi-
nue drastiquement améliorant ainsi le niveau de vie des indivi-
dus et leur permet de reproduire les ressources humaines de la
nation grâce aux bienfaits de la sécurité assurer par l’État.
Elle se mesure avec le taux de criminalité par habitant en %.
d. La natalité
Il s’agit du phénomène par lequel le nombre de total de naissance
par rapport à la population totale augmente et devient suffisant
en passant au-dessus du seuil critique du renouvellement des gé-
nérations qui est de 2,1 (en indice de fécondité) enfants par fem-
me. Ainsi les ressources humaines d’une nation se reproduisent
suffisamment et ont la capacité de se répandre, en raison de di-
vers phénomènes biologiques les influençant.
Elle se mesure avec le taux de natalité et de nuptialité en %.
329
2 PROGRAMME DE L’AVOIR
330
Enfin, pour en revenir au programme de l’Avoir, la principale so-
lution que permettrait le fait qu’il y est une reproduction des res-
sources matérielles propres à une entité politique serait la substi-
tution de ses ressources spécifiques qui incarne le pays spécifique
à une nation, par celles qui auraient été reproduit par la même
nation. Le principal phénomène en économie politique partici-
pant à cet état de fait s’appelle la morale.
La morale désigne le phénomène selon lequel la religion passe du
domaine du profane à celui du sacré et acquiert une influence ré-
gulatrice chez les individus, en instaurant suite à son institution-
nalisation, tout un ensemble de règles d’éthique sociales, de nor-
me de conduite sur le bien et le mal s’appuyant sur la justice et
l’égalité, pour permettre la vie en société ainsi que la cohésion
d’un groupe. Il s’agit d’une solution générale, c’est-à-dire la prin-
cipale du programme de l’Avoir, car la morale est une solution
par nature. Par nature, c’est l’existence de régulation des moeurs
chez les individus qui va permettre leur cohésion ainsi que leur
perpétuation, donc celle de leurs matériaux et de leur nation.
Car la morale a pour principaux objectifs de réguler d’une part la
reproduction des ressources matérielles, d’autre part celle des
ressources humaines pour permettre de viabiliser une nation.
Elle cherche à réguler la reproduction des ressources matérielles,
en régulant la perception de la monnaie, en matière de bien et de
mal, car il est mal d’accumuler de la monnaie non nécessaire-
ment ainsi que de pratiquer l’usure parce que cela entraîne la
concentration des richesses par une minorité d’individus qui vi-
vraient gâtés, cela au détriment d’une majorité d’individu qui vi-
vrait dans la misère, entraînant un chaos économique.
Elle cherche à réguler la reproduction des ressources humaines,
en régulant la perception du droit, en matière de bien et de mal,
car il est mal d’avoir des droits au-dessus d’autrui, notamment de
pratiquer une sexualité déviante ainsi que de ne pas participer à
la perpétuation de la nation parce que cela gâterait une minorité
d’individus tandis qu’une majorité vivrait dans la misère, entraî-
nant un chaos racial. Ainsi la morale est une solution globale, car
elle peut entraîner la création d’une nation, en faisant agrandir
ou propager ses ressources matérielles.
331
1. Programme du travail
332
dus âgés de 18 à 60 ans (âge de la retraite), toutefois tout indivi-
du souhaitant travailler au-delà de cet âge aura le droit de le faire
autant qu’il le voudra s’il en fait la demande chaque année.
333
Le travail va donc rencontrer quatre solutions participant à réali-
ser son objectif de produire des richesses:
a. Le recrutement
Il s’agit du phénomène par lequel un individu possède une activi-
té productive, car il obtient emploi ou garde son emploi. Un tra-
vailleur peut apporter un excédent de richesse s’il travaille cor-
rectement ou un déficit de richesse dans le cas contraire.
Il se mesure avec le taux d’emploi en %, ou de manière plus glo-
bale avec le taux d’actif sur une population au total en %.
b. La déflation
Il s’agit du phénomène par lequel un individu voit son pouvoir
d’achat s’élever en raison de la diminution générale des prix dus
à une surévaluation de la monnaie en raison de diverses politi-
ques monétaires (croissance du PIB, plus de valeur ajoutée).
Elle se mesure avec le taux de déflation en %.
c. La richesse
Il s’agit du phénomène par lequel un individu voit ses ressources
matérielles, notamment financières s’agrandir jusqu’à passer en
dessus du seuil critique de pauvreté qui peut être relatif ou abso-
lu, voire de s’établir comme un des individus les plus fortunés.
Elle se mesure avec le taux de richesse en %, ou de manière plus
globale avec le PIB par habitant par PPA (parité de pouvoir
d’achat) qui est un bon indicateur du niveau de vie moyen dans
une nation, notamment si elle est riche.
d. La croissance
Il s’agit du phénomène par lequel l’addition de la valeur de toutes
les richesses produite par une nation sur une année, augmente
par rapport au PIB réalisée l’année précédente.
Ainsi les ressources matérielles d’une nation se reproduisent suf-
fisamment et peuvent se propager grâce à leur augmentation, en
raison de divers phénomènes économiques les influençant.
Elle se mesure avec le taux de croissance du PIB en %. Il est en
croissance s’il est positif.
334
2. Programme des finances
Sachant que les finances sont une des deux fonctions économi-
ques de l’Avoir qui a pour but de redistribuer les richesses, alors
les solutions des finances vont concerner tous les phénomènes
qui participent à la concrétisation de cette fonction. Enfin, il con-
vient de rappeler que les principaux critères économiques des fi-
nances quant à sa fonctionnalité sont le niveau de citoyenneté, le
niveau d’autonomie, le niveau d’agriculturation, le niveau d’in-
dustrialisation et le niveau de tertiarisation.
335
ont la capacité de subvenir à leurs besoins, ni aux chômeurs sans
emploi plus de deux ans qui ne font pas les démarches pour en
trouver, ni à tout individu commettant des infractions.
336
Les finances vont donc rencontrer cinq solutions participant à
réaliser son objectif de répartir les richesses:
a. La citoyenneté
Il s’agit du phénomène par lequel un individu respecte les règles
du système fiscal, en versant légalement ses revenues devant être
prélevé pour contribuer aux recettes de l’État.
Elle se mesure avec le taux de citoyenneté en %.
b. L’autonomisation
Il s’agit du phénomène par lequel un individu ne perçoit des ai-
des sociales, puisqu’il ne nécessite pas de revenues en plus.
Il se mesure avec le taux de non-percepteurs d’aide sociale en %.
c. L’agriculturation
Il s’agit du phénomène par lequel la part des travailleurs actifs
dans le secteur primaire (de l’agriculture) augmente, ainsi que
l’ensemble des acteurs humains et matériaux consacrée à lui.
Elle se mesure avec le taux de croissance du secteur primaire en
% (s’il est positif), plus globalement avec la part d’actif dans ce
secteur en %, s’il est supérieur à son seuil de fonctionnalité.
d. L’industrialisation
Il s’agit du phénomène par lequel la part des travailleurs actifs
dans le secteur secondaire (de l’industrie) augmente, ainsi que
l’ensemble des acteurs humains et matériaux consacrée à lui.
Elle se mesure avec le taux de croissance du secteur primaire en
% (s’il est positif), plus globalement avec la part d’actif dans ce
secteur en %, s’il est supérieur à son seuil de fonctionnalité.
e. La tertiarisation
Il s’agit du phénomène par lequel la part des travailleurs actifs
dans le secteur tertiaire (des services) augmente, ainsi que l’en-
semble des acteurs humains et matériaux consacrée à lui.
Elle se mesure avec le taux de croissance du secteur primaire en
% (s’il est positif), plus globalement avec la part d’actif dans ce
secteur en %, s’il est supérieur à son seuil de fonctionnalité.
337
3 PROGRAMME DE L’AUTRE
338
Enfin, pour en revenir au programme de l’Autre, la principale so-
lution que permettrait le fait qu’il y est une interaction des res-
sources nationales serait l’organisation de ses ressources spécifi-
ques incarnant le peuple et le pays spécifique à une nation, par
une partie de ce peuple avec les moyens qu’offre cette même na-
tion. Le principal phénomène en philosophie politique partici-
pant à cet état de fait s’appelle l’élite.
L’élite désigne le phénomène selon lequel un groupe composé
des individus les plus prééminents d’un peuple, acquiert la souve-
raineté de celui-ci grâce au moyen de puissance de la coercition
dans le cas d’une société traditionnelle. Depuis la modernité, une
élite moderne est quant à elle, une élite rationnelle s’appuyant
sur les sciences modernes, l’idéologie et l’appartenance sociopro-
fessionnelle pour disposer au mieux de son pouvoir temporel.
Il s’agit d’une solution générale, c’est-à-dire la principale du pro-
gramme de l’Autre, car l’élite est la solution de toute politique.
De toute politique, car une élite nationale moderne va permettre
de recueillir tous les individus les plus prééminents dans le do-
maine des sciences politiques pour constituer un État, ainsi que
tous les meilleurs individus sur le plan physique, intellectuel et
spirituelle qui vont composer cette minorité d’individus.
Parce que les principaux objectifs d’une élite nationale moderne
sont la centralisation des compétences, la centralisation du patri-
moine ainsi que l’optimisation de la politique nationale à travers
l’État. La centralisation des compétences, car le regroupement
d’un maximum d’individu disposant d’un maximum de compé-
tences qu’ils possèdent et ont perfectionné, permet de concentrer
eux les nouveaux savoirs avant leur démocratisation. La centrali-
sation du patrimoine car il est important que ce soit l’État avec
les individus les plus fortunés d’un peuple détiennent ou du
moins, conserve la majeure partie du patrimoine national dans
une logique pour éviter sa confiscation par des étrangers. L’opti-
misation politique d’une nation pour une meilleure efficience po-
litique, lui permettant d’atteindre à la fois la fonctionnalité et la
puissance. Ainsi l’élite est une solution globale car elle peut en-
traîner la création ainsi que la perpétuation d’une nation en fai-
sant agrandir ou propager ses ressources nationales.
339
1. Programme de la défense
340
décision ou action et disposer d’un avantage stratégique sur eux.
Pour ce faire, il doit attribuer cette mission à une délégation spé-
ciale du corps militaire (les renseignements de l’extérieur), qui
sera chargée d’effectuer du renseignement à l’extérieur des fron-
tières. Ces renseignements de l’extérieur seront donc obligés de
respecter les règles du droit international.
341
a. L’efficacité opérationnelle
Il s’agit du phénomène par lequel l’armée d’une nation est bien
organisée à cause de plusieurs facteurs comme la modernisation
des savoirs de son haut-commandement ou bien l’abondance de
ses effectifs, la modernisation de son matériel ou bien l’abondan-
ce de son matériel en toutes sortes.
Elle se mesure avec le nombre de victoires militaires.
b. Le renseignement
Il s’agit du phénomène par lequel les forces spéciales de l’armée
qui sont chargées du renseignement sont bien renseignés sur les
autres États grâce à leur bonne investigation permettant ainsi
une meilleure efficience du commandement des armées et dans
le fonctionnement de l’État. Car cet état de fait rend possible de
toute forme d’anticipation vis-à-vis d’autres États.
Elle se mesure avec le taux de réussite par investigations.
c. Le contre-espionnage
Il s’agit du phénomène par lequel les forces spéciales de l’armée
qui sont chargées du renseignement parviennent à lutter efficace-
ment contre les forces spéciales des autres États aboutissant à la
contre-infiltration de ses forces étrangères au sein de la nation.
Ce qui les empêche de collecter des informations dans divers sec-
teurs puis d’enrayer la capacité opérationnelle de l’armée.
Elle se mesure avec le nombre d’espions débusqués.
d. L’indépendance politique
Il s’agit du phénomène par lequel un État parvient en dehors
d’un contexte exceptionnel ou suite à un d’entre eux, comme un
conflit militaire ou une infiltration généralisée, à rester indépen-
dant politiquement. De ce fait, il fait primer ses intérêts politi-
ques entrainant ainsi une répression de toute forme d’attaque
étrangère, en protégeant ses ressources humaines propres, ce qui
aboutit à un risque minimal de destruction de la nation. Elle se
mesure selon le fait qu’un État soit reconnu indépendant par
d’autres, d’un point de vue juridique au regard du droit interna-
tional.
342
2. Programme des affaires étrangères
Sachant que les affaires étrangères sont une des deux fonctions
diplomatiques de l’Autre qui a pour but de dialoguer avec les au-
tres États, alors les solutions des affaires étrangères vont concer-
ner tous les phénomènes qui participent à la concrétisation de
cette fonction. Enfin, il convient de rappeler que les principaux
critères économiques des affaires étrangères quant à sa fonction-
nalité sont le niveau de balance commerciale, le niveau d’investis-
sement de l’étranger, le niveau d’investissement à l’étranger et le
niveau de contrôle économique total de la nation.
343
l’extérieur chargeait de faire appliquer le droit national à cet ef-
fet, qui stipulera l’obligation des entreprises créées par les natio-
naux de maintenir leur siège social à l’intérieur de la nation puis
d’employer en priorité des travailleurs nationaux et de s’approvi-
sionner prioritairement avec les ressources matérielles produites
à l’intérieur. Si une entreprise, ne respecte pas cela, elle sera dis-
soute et bannie du pays jusqu’à ce qu’elle respecte ces lois.
344
Les affaires étrangères vont donc rencontrer quatre solutions
participant à réaliser son objectif de dialoguer avec les autres
États:
a. L’excédent commercial
Il s’agit du phénomène par lequel la balance commerciale, c’est-
à-dire les résultats du commerce extérieur, dans l’ensemble font
que les exportations sont supérieures aux importations. Dans ce
cas, on dit que la balance commerciale est positive.
Il se mesure avec la valeur des exportations et des importations
en devise, si les exportations>importations.
b. La localisation
Il s’agit du phénomène par lequel l’étranger investit moins dans
un État et ne gagne pas une place importante dans son économie.
Ainsi l'État en question conserve sa productivité car ses capitaux
ainsi que ses emplois restent localiser dans ses frontières.
Elle se mesure avec le taux de croissance des investissements de
l’étranger dans la nation (s’il est négatif).
c. L’investissement
Il s’agit du phénomène par lequel l’État investit plus à l’étranger
et gagne une place importante dans son économie. Ainsi l'État en
question gagne en productivité car ses capitaux ainsi que ses res-
sources naturelles sont investies à l’extérieur.
Elle se mesure avec le taux de croissance des investissements de
la nation à l’étranger (s’il est positif).
d. Le remboursement
Il s’agit du phénomène par lequel un État rembourse ses dettes
en payant avec de la monnaie à l’étranger, qui après un règle-
ment des dettes, perd la redevabilité de cette État. De ce fait,
l’État continue de prospérer entrainant ainsi une production puis
le commerce de ses ressources matérielles propres, ce qui aboutit
à un risque minimal de destruction de la nation. Elle se mesure
selon le fait qu’un État ne soit pas le débiteur d’un autre, d’un
point de vue juridique au regard du droit international.
345
4 LE JOUR DU JUGEMENT DERNIER
346
Tout d’abord, voici le plan de bataille de la période politique ac-
tuel, à savoir la mondialisation; il comporte trois factions au to-
tal, dont deux appartiennent au même camp puisque la politique
est un conflit protéiforme. Il y a l’alliance unilatérale d’une part,
avec sa faction libérale régulière puis sa fausse opposition anar-
chiste, d’autre part il y a l’alliance multilatérale avec son unique
faction identitaire à qui se livre vient en aide pour qu’elle devien-
ne celle du racial-vitalisme et terrasse l’alliance unilatérale. Ce
qui passe par le refus de la dictature écologiste, de l’hégémonie
américaine puis de ses organismes de domination, le refus du
vaccin et pour l’instauration d’une contre-société.
347
L’oligarchie cosmopolite est le vecteur de la kakistocratie en rem-
plaçant des élites nationales modernes par des bourgeois appar-
tenant à la même hyperclasse qui la compose.
348
L’ingénierie
sociale est la
pratique de la
manipulation
psychologique
sur le compor-
tement d’un
ou plusieurs
individus.
349
C’est ainsi que l’oligarchie cosmopolite va pouvoir avoir recours à
l’ingénierie sociale depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale
pour diaboliser son opposition identitaire et socialiste qui cher-
chait à s’émanciper de son modèle capitaliste anglo-américain.
Pour cela, ils ont recours à la manipulation, en promouvant à l’ai-
de de tous les moyens financiers et matériels qu’ils ont à leur dis-
position, une rhétorique victimisant systématiquement sa fausse
opposition anarchiste regroupant à la fois les dégénérés qu’ils
créent parmi les faibles d’esprits des nations qu’ils souhaitent
corrompre et à la fois par les étrangers dont ils encouragent la ve-
nue, ce qu’ils font dans les nations blanches depuis 1945.
Cette rhétorique, expliquerait systématiquement que le manque
de morale des sociétés libérales-libertaires entraînant tout en en-
semble de dysfonctionnement et de comportement asociaux chez
les individus de cette nation devenue libéral-libertaire, ne serait
pas la faute du libéralisme, ni du libertarisme mais celle de son
opposition identitaire et socialiste. Car l’ordre que l’identitarisme
promeut, ainsi que tous les fondamentaux anthropologiques qu’il
souhaite préserver pour permettre la fonctionnalité politique des
nations ainsi que leur puissance, serait dès lors perçu comme un
frein au libertarisme injuste et inégalitaire des individus membre
de la faction anarchiste, à qui il aura été inculqué afin de détour-
ner toutes leurs frustrations dues aux sociétés libérales-libertai-
res pour en faire un soutien du libertarisme dans ces sociétés,
qu’il peut être pratiqué par tous et bénéficierait à tous alors qu’en
réalité, il n’en est rien et ce serait le contraire qui aurait lieu. En
expliquant à l’aide de tous leurs moyens matériaux, qu’il est nor-
mal de déshumaniser autrui et de vivre à son détriment et que
toute règle morale réfrénant l’individualisme des individus, pour
permettre la cohésion des sociétés serait anormale. Bien évidem-
ment le libéralisme-libertaire que promeut l’oligarchie cosmopo-
lite serait le sauveur de cette faction anarchiste regroupant tous
les mécontents des sociétés libérales-libertaires à qui ont aura ré-
ussi à faire croire que ses pulsions de mort nihiliste, déshumani-
sante et ultra-individualiste seraient persécutées par l’identitaris-
me et non par la dysfonctionnalité créer par le libertarisme dans
toutes les sociétés libérales-libertaires.
350
Hors la réalité est tout autre, parce que la vraie victime de persé-
cution est la faction identitaire en s’opposant à l’oligarchie cos-
mopolite qui est quant à elle la vraie persécutrice depuis le début.
Sa vraie opposition qui a était fortement diminué après la Secon-
de Guerre mondiale, à cause du confort matériel des sociétés de
consommation occidentales depuis les Trente Glorieuses. Et elle
aussi en partie manipulé, car elle est infiltrée actuellement par
l’oligarchie cosmopolite afin de créer une nouvelle fausse opposi-
tion, une seconde de coloration identitaire tout en restant libéra-
le-libertaire, cela dans une logique d’alternance fonctionnelle de-
puis l’échec progressif de la mondialisation, dans le cas où sa
fausse opposition anarchiste se retournerait contre elle. De plus,
la fausse opposition anarchiste de l’oligarchie cosmopolite ne se-
ra rien d’autre que son sauveur en s’attaquant systématiquement
à sa vraie opposition identitaire, sur la base d’une rhétorique fal-
lacieuse promouvant l’oppression de l’être humain et de toutes
ses normes anthropologiques depuis 1945, au nom de cas d’ex-
ception devant faire accepter le libertarisme d’une minorité d’ex-
ception (notamment d’inhumain) au détriment d'injustice et
d’inégalité que subira une majorité d’individu en général, parce
qu’elle représenterait la norme humaine. Sauf que la faction iden-
titaire a déjà réussi à terrasser l’oligarchie cosmopolite dans de
nombreuses nations, les autres nations devraient refuser la domi-
nation de l’oligarchie cosmopolite hostile par nature à toute for-
me d’humanité, donc à leur existence sur le long terme. Seules
deux nations font figure d’exception: la France et les États-Unis.
Pour la simple raison que ces deux nations sont des exceptions
par nature car elles sont des constructions universalistes artifi-
cielles, de ce fait il y a une prédisposition des peuples constituant
l’élite de ces deux nations à accepter et à devenir les défenseurs
du projet de domination de l’oligarchie cosmopolite. Une prédis-
position, car le peuple français est une construction entre un peu-
ple nordique ethno-différencialiste de Celtes continentaux, dont
l’élite germanique a adopté une culture latine propre issue des
peuples ethno-assimilateurs d’Europe austral, qu’elle a ensuite
imposée dans l’idée d’être la continuité de Rome. De ce fait, cette
configuration est contraire à ses prédispositions génétiques et il
351
n’y a pas de continuité entre les élites et la masse française puis-
que son peuple est étranger à la nation de son élite étrangère.
Cette configuration donna lieu à la perversion de l’universalisme
spiritualiste chrétien, par la masse française dont en a résulté
l’universalisme matérialiste marchand constitutif de l’Anti-Fran-
ce puis des puritains qui étaient la rémanence de la colonisation
française de l’Angleterre. Pour le peuple américain, il s’agit égale-
ment d’une construction entre un peuple anglo-saxon exclusivis-
te et une nation universaliste attirant le monde entier, de ce fait il
n’y a aucune continuité entre les masses qui le composent, donc
ni de parenté, ni de morale réelle. Enfin le peuple juif ashkénaze
est une construction entre des Allemands métissés avec des Sla-
ves et des Latins tous convertie au judaïsme, qui se sont mélan-
gés avec les quelques hébreux venus en Europe, de ce fait ce peu-
ple a adopté une religion abrahamique exclusiviste et une culture
sémitique contraire à ses prédispositions génétiques.
Ces peuples d’exception puisqu’ils sont des constructions ont
tous la particularité d’avoir admis une culture empêchant leur
cerveau de hiérarchiser, de mimer et de modéliser.
Car ils n’ont pas de réelle différence avec certain peuple alors
qu’ils en ont avec la culture qu’ils ont adopté, puisque leurs mo-
dèles sont universels et les empêchent de mimer ou modéliser
des membres de leurs peuples avec des spécificités propres qui
les distingueraient du reste du monde. C’est pour cela, que l’anti-
pathie créée par les sociétés libérales-libertaires de France et des
États-Unis a triomphé sur une solidarité ne pouvant exister entre
les individus constituant les peuples de ces deux nations, puisque
l’individualisme est la norme pour eux. Ensuite, il y a une expli-
cation historique à cette exceptionnalité, bien que ces trois peu-
ples soient des constructions, ils pouvaient se perpétuer dans le
temps auparavant. Car la France était avant tout une élite qui do-
minait sa nation par la coercition, les États-Unis étaient aupara-
vant une nation peuplée majoritairement de WASP, de blancs
Anglo-saxons protestants dont l’élite bourgeoise perpétuer son
existence, et car les Juifs ashkénazes pouvaient maintenir leur
existence puisqu’ils étaient haïs et exclus dans toute l’Europe.
À partir du moment où la révolution industrielle a débuté, le
352
moyen de puissance de la monnaie est devenues plus efficient
dans le contrôle d’un État permettant à la bourgeoisie de prendre
le pouvoir, donc à partir du moment où la Révolution française a
pu avoir définitivement raison des anciennes élites du Royaume
de France en 1870. À partir du moment où l’immigration qui de-
vait avoir lieu aux États-Unis, a mis en minorité les WASP ainsi
que leurs élites bourgeoises avec la montée en puissance d’élites
juives. Et à partir du moment, où après la Seconde Guerre mon-
diale, la bourgeoisie juive qui acquit une place importante dans
les élites américaines, participant à la réalisation du projet de do-
mination de l’hyperclasse en instaurant le libéralisme-libertaire
partout, ce qui comporte la lutte contre l’antisémitisme. Ces trois
peuples appartenant à ces deux nations, ont tous détruit les con-
ditions de leur existence, ce pour quoi dans leurs longs et doulou-
reux suicides, la France et les États-Unis souhaitent emporter le
monde entier dans la tombe avec eux.
Les deux seuls avenirs pour ces deux nations seraient soit de de-
venir des nations métissolâtres sur le même modèle que celui des
nations d’Amérique latine, voire d’être carrément envahis par
l’Amérique latine ou le Moyen-Orient, sois que leur existence soit
perpétuée de force par le biais d’une dictature totalitaire qui par-
viendrait à accéder au pouvoir. Concernant l’avenir peut-être que
ces deux nations feront chacun un choix diffère entre ces deux
possibilités ou peut-être qu’elles feront tous les deux le même
choix en choisissant l’une ou l’autre de ces deux possibilités.
On peut maintenant comprendre pourquoi, ce conflit et celui en-
tre l’inhumanité de l'oligarchie cosmopolite et l’humanité de cha-
que nation, opposant le relativisme éphémère des constructions à
l’essentialisme durable des nations.
353
Pour ce faire, l’oligarchie cosmopolite utilise en pratique les deux
composantes de la faction anarchiste pour exterminer les peuples
blancs par exemple et détruire sa vraie opposition.
354
d’autres races qui les détruiront physiquement. Ils comptent par-
mi eux tous les individus de races autres que la race blanche im-
migrant dans des nations blanches qui sur la base d’exceptions
historiques réécrit mensongèrement par le gauchisme, celles con-
cernant uniquement les nations blanches comme la colonisation,
l’esclavage, souhaitant immigrer de façon illimitées dans les na-
tions blanches, ne pas respecter les droits des blancs et les traités
de manière inégalitaire et injuste. Alors qu’historiquement, l’es-
clavage a était pratiqué par l’humanité entière notamment lors
de la traite orientale dans le monde arabo-musulman ou lors de
la traite intra-africaine sans oubliée que c’était des Africains qui
vendaient des esclaves aux Européens en échange de marchandi-
ses durant la traite occidentale. La colonisation a était pratiqué
par toute l’humanité lorsqu’un peuple envahissait un territoire et
décimé la population qui y avait vécu avant elle, comme les Ara-
bes en Afrique du Nord, les Bantoues dans toute la partie Sud de
l’Afrique. Sans oublier que les non-blancs portant de tel discours
en Europe, pratique le colonialisme puisqu’ils viennent vivre
dans des nations étrangères dont ils ne sont pas les autochtones
et ils pratiquent l’esclavagisme que ce soit de manière régulière
dans un certain nombre de nations du tiers-Monde ou en vivant
comme des parasites dans des nations blanches.
355
356
En conclusion, sachant que depuis la Seconde Guerre mondiale
(1939-1945), la première puissance mondiale est actuellement les
États-Unis dirigés par une élite bourgeoise, l’hyperclasse qui s’ap-
puie sur le moyen de puissance de la monnaie pour gouverner et
souhaite réaliser son projet de domination mondiale.
357
Ce nouveau moyen de puissance qui devra se baser sur la con-
naissance pour restaurer la stabilité politique; c’est celui de la sé-
paration des pouvoirs économiques pour contraindre le pouvoir
économique de la monnaie. En effet, si toutes les idéologies poli-
tiques anticapitalistes ou antilibérales ont échouer à renverser la
bourgeoisie ainsi qu’à se maintenir dans le temps, c’est à cause
de la modernité et du principal problème de la modernité, celui
du manque de conscience des réalités anthropologiques de l’être
humain et du monde. Il est lié à la modernisation du monde,
donc à la naissance des individus dans des conditions de vie de
plus en plus éloignés des conditions de vie initiales de l’être hu-
main de base à la Préhistoire, entraînant un retard de développe-
ment chez les individus, de plus en plus difficile à rattraper.
Enfin si la dérégulation de la politique, avec l’instabilité comme
norme moderne est également un problème, c’est que depuis la
modernité, au moment où la monnaie est devenue un moyen de
puissance de plus en plus prépondérant sur la coercition, les cri-
tères de puissance et de fonctionnalité de la politique ont cessé
d’être indissociable. Ainsi, c’est l’Amérique libérale qui a triom-
phé durant le XXème siècle, là ou le fascisme et le communisme
prônaient le retour de la coercition dans la gouvernance alors
que la complexité de la modernité ne permettait plus à un seul in-
dividu de prendre toutes les décisions et nécessitait la séparation
des pouvoirs politiques, afin de gouverner de manière fonction-
nelle. Ou encore là où le socialisme et le capitalisme restaient des
idéologies autoritaires se basant sur le moyen de puissance de la
politique, au moment où la monnaie qui par l’intermédiaire des
banques centrales privées, conférer un moyen de puissance supé-
rieur à l’Amérique libérale, dû à sa capacité à se dématérialiser.
Elle est plus puissante alors qu’en même tant, c’est l’idéologie
qu’elle porte qui propose la politique la plus dysfonctionnelle
dans la gouvernance des nations. Maintenant, il nous faut la sé-
paration des pouvoirs économiques pour réguler le pouvoir mo-
nétaire des banques centrales dans un premier temps, de même
qu’il faudra par la suite, la nationalisation internationale de tou-
tes les banques mondiales, en remplaçant les dettes qu’elles oc-
troient par un service payant et des subventions de l’État.
358
Pour ce faire, par opposition à l’instabilité politique que porte le
modèle américain arrivant à son échéance, après avoir fait de la
république démocratique libérale qui est un modèle inclusif, un
absolu indépassable venant remplacer les anciennes formes état-
iques exclusives. Le racial-vitalisme souhaite la restauration de la
stabilité politique en permettant de nouveau l’alliance de la fonc-
tionnalité et de la puissance au service de l’exercice de la souve-
raineté dans un État, par le moyen de puissance de la technique.
359
Quand à la solution politique au projet de domination de l’oligar-
chie cosmopolite, ce sera celle qui réunira les conditions spiri-
tuelles, intellectuelles et physiques permettant que le Jour du Ju-
gement dernier est lieu sur Terre. Face à leur plan de domination
qui est un plan de déshumanisation généralisée, visant à détruire
méthodiquement tout ce qui fait l’humanité, pour permettre l’ac-
ceptation du mal et l’établissement du royaume de Satan. Il fau-
dra leur opposer un programme politique qui sera la revanche de
l’humanité sur sa défaite en 1945 et durant celle de toutes les
grandes guerres de la modernité, qui ont toutes vues la victoire
systématique de la bourgeoisie et du pouvoir de la monnaie.
360
l’identité permet à l’homme de se situer dans sa dimension spiri-
tuelle: celle du bien et du mal qu’il doit identifier pour pouvoir
s’améliorer. Le tout dans un processus perpétuel d’élévation.
361
362
363
364
POLITIQUE
Théorie :
IV/. Historiopolitique
L’étude des ressources nationales à travers l’histoire.
V/. Géopolitique
L’étude des ressources nationales à travers la géographie.
Méthode :
VI/. Problématique
Démarche pour déterminer les problèmes.
-Problématique biologique
-Problématique économique
-Problématique historiopolitique
-Problématique géopolitique
Pratique :
VII/. Programme
Exercice d’application des solutions.
-Programme de l’Être
-Programme de l’Avoir
-Programme de l’Autre
365