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1. principe : 7
2. Capteur : 7
3. Amplificateur de signal : 7
4. Filtre d’entrée : 7
5. L’échantillonneur : 7
6. Le convertisseur analogique numérique (CAN) : 7
7. La zone de stockage : 8
8. Le convertisseur numérique analogique (CNA) : 8
9. Le filtre de sortie : 8
10. Amplificateur de puissance : 8
LES CAPTEURS
I- Généralités : 9
1.1. Capteur : 9
1.2. Réponse d’un capteur : 9
1.3. Différents type de capteurs : 9
1.4. Caractéristiques d’un capteur : 9
1.4.1. Résolution : 9
1.4.2. Sensibilité : 9
1.4.3. Linéarité : 9
1.4.4. Précision : 9
1.4.5. Fidélité : 9
II - Capteurs de position, Vitesse : 10
2.1. Capteur résistif :(Potentiomètre résistif) 10
2.1.1. Définition : 10
2.1.2. Diverse formes géométriques : 10
2.2 Capteurs numériques : 10
2.2.1. Codeur incrémental : 11
2.2.2. Codeur gray : 11
2.3 Capteurs de vitesse : 12
2.3.1. Tachymétrie (génératrice tachymétrique) : 12
2.3.2. Caractéristiques essentielles d’une Tachymétrie : 13
2.3.3. Différents types : 13
a. génératrice à courant continu : 13
b. génératrice synchrone (alternateur) : 13
III - Capteurs de température : 13
3.1. C.T.N : 13
3.1.1. Définition : 13
3.1.2. Propriétés : 13
3.1.3. Caractéristique courant tension : 14
3.1.4. Sensibilité : 14
3.1.5. Caractéristique de R = f (T) : 14
3.2. Résistance détectrices de température R.T.D : 15
3.3. Thermocouple : 15
3.3.1 Principes : 15
3.3.2. Définition: 16
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I- Introduction : 22
II- Amplificateur opérationnel : 22
2.1- Représentation symbolique : 22
2.2- Fonction de transfert : 22
2.3-Régles de simplification pour circuits avec Ampli-Op : 23
2.4-Alimentation : 23
III – Amplification : 23
3.1- Amplificateur inverseur : 23
3.2- Amplificateur non inverseur : 24
3.3- Suiveur : 24
IV – Montages opérationnels: 24
4.1 – Additionneur inverseur (mélangeur) : 24
4.2 – Soustracteur (différentiel): 24
4.3 – Intégrateur : 25
4.4 – Dérivateur : 25
4.5 – Montage logarithmique : 25
4.6 – Montage exponentiel : 25
V – Autres montages : 26
5.1 - La conversion courant tension : 26
5.2 - La conversion tension courant : 26
I - Comparateur : 27
1.1 - Principe : 27
1.2 – Comparateur non inverseur : 27
1.3 – Comparateur inverseur : 28
II – Trigger de Schmitt : 29
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2.1- Principe : 29
2.2 – Trigger non inverseur : 29
2.3 – Trigger inverseur : 31
III- Multivibrateur astable : 32
3.1 - Fonctionnement : 32
3.2 – Calcul de T: 33
LES FILTRES
I- Introduction : 34
II – Notion de spectre d’un signal : 34
III – Utilisation des nombres complexe en électronique : 34
3.1. Représentation des nombres complexes : 34
3.2. Impédances complexes : 35
a- Elément résistif : 35
b- Bobine parfaite : 35
c- Condensateur : 35
3.3. Association de dipôles passifs : 36
IV – Etude des filtres : 36
4.1. Méthode de calcul : 37
4.2. Représentation graphique : 37
4.3. Quelques formules à connaître : 37
V – Les différents filtres : 38
5.1. Le filtre passe-bas du 1° ordre : 38
5.2. Le filtre passe-haut du 1° ordre : 39
5.3 .Etude qualitative des filtres passe-bande et coupe bande : 40
5.4. Etude expérimentale : 41
VI – Quelques précisions a propos des filtres : 41
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I - Les C.N.A : 47
1.1. Introduction : 47
1.2. CNA à réseau R-2R: 47
1.2.1. Schéma de principe : 47
1.2.2. Principe : 47
1.2.3. Fonctionnement : 48
1.3. CNA à réseau R-2R à échelle inversée : 49
1.3.1. Cas d’une cellule : 49
1.3.2. Cas de 2 cellules : 50
1.3.3. Cas de n cellules : 50
1.4-Exemple de CNA à réseau R-2R : AD7532 ou DAC830 : 50
1.5. Exemple d’application : 51
II - Les C.A.N : 52
2.1. Introduction : 52
2.2. CAN à approximations successives : 52
2.2.1. Schéma de Principe : 52
2.2.2. Fonctionnement : 52
2.2.3. Exemple CAN 4 bits : 53
III - Caractéristiques générales des convertisseurs n / a : 53
3.1. La résolution : 53
3.2. L'erreur de décalage (offset) : 54
3.3. L'erreur de gain : 54
3.4. La non linéarité intégrale : 54
I - Objectifs: 55
II – Exemple n°1 : 55
2.1. Montage : 55
2.2. Description des différents blocs : 55
2.3. Fonctionnement du montage complet : 55
III – Exemple n°2 : 56
3.1. Montage : 56
3.2. Etude lorsque K est ouvert (de 0 à t0) : 56
3.3. Etude lorsque K est fermé (de t0 à t1) : 56
3.4. Commande automatique de l’interrupteur K : 56
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2- Capteur
Il est l’interface entre le monde physique et le monde électrique. Il va délivrer un signal
Électrique image du phénomène physique que l’on souhaite numériser. Il est toujours associé
à un circuit de mise en forme.
3 - Amplificateur de signal
Cette étape permet d’adapter le niveau du signal issu du capteur à la chaîne globale
d’acquisition.
4 - Filtre d’entrée
Ce filtre est communément appelé filtre anti-repliement. Son rôle est de limiter le contenu
spectral du signal aux fréquences qui nous intéressent. Ainsi il élimine les parasites. C’est un
filtre passe bas que l’on caractérise par sa fréquence de coupure et son ordre.
5 - L’échantillonneur
Son rôle est de prélever à chaque période d’échantillonnage (Te) la valeur du signal. On
l’associe de manière quasi-systématique à un bloqueur. Le bloqueur va figer l’échantillon
pendant le temps nécessaire à la conversion. Ainsi durant la phase de numérisation, la valeur
de la tension de l’échantillon reste constante assurant une conversion aussi juste que possible.
On parle d’échantillonneur bloqueur.
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7 - La zone de stockage
Elle peut être un support de traitement (ordinateur par exemple), un élément de
sauvegarde (RAM, Disque dur) ou encore une transmission vers un récepteur situé plus loin.
9 - Le filtre de sortie
Son rôle est de « lisser » le signal de sortie pour ne restituer que le signal utile. Il a les
mêmes caractéristiques que le filtre d’entrée.
10 - Amplificateur de puissance
Il adapte la sortie du filtre à la charge.
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LES CAPTEURS
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I- Généralités :
1.1.Capteur :Un capteur est un dispositif qui transforme une grandeur physique ( lumière ,
température , pression ..) à qui il est soumis , en image électrique ( tension , courant ,
impédance..).Si la grandeur physique est désignée par m comme mesurande, l’image
électrique est désignée par S, on aura : S= f (m)
-S : Grandeur de sortie ou réponse du capteur.
-m : Grandeur d’entrée ou mesurande.
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résolution soit : L/N pour une règle de longueur L (cm) et 360°/N pour un disque. Les n bits
constituants chacun des mots sont matérialisés sur n pistes parallèles (règles) ou concentriques
(disques) en utilisant des états physiques complémentaires pour distinguer les valeurs 0 et 1.
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3.1.2. Propriétés : La sensibilité thermique de ce type de résistance est très supérieure à celle
de la résistance ordinaire (métalliques), en outre leur coefficient de température est négatif et
dépend fortement de T. Elle sont constituées à partir de mélange d’oxyde métallique et semi
conducteurs : MgAl2O4 et CO2O3, dont la résistance varie d’une façon non linéaire en
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fonction de la température. Les CTN ont des valeurs de résistance relativement élevées (2,2kΩ,
5kΩ, 10kΩ) et sont surtout adaptées aux mesures de très petites variations de température.
Elles ont un temps de réponse rapide et des dimensions très réduites de l’ordre du mm.
3.1.3. Caractéristique courant tension :
Aux faibles valeurs de courant, l’échauffement est très faible et la
tension est proportionnelle au courant (résistance constante dans la
zone linéaire). Lors que le courant augmente, la température s’élève
et la résistance diminue très rapidement et passe par un
maximum correspondent au point P (point de basculement).
3.1.4. Sensibilité : L’expression de la variation de R en fonction de la température est :
R = R0 exp. B (1/T – 1/T0) avec R0 : Résistance à T = 25° C et B : Constante
3000°K<B<5000 °K
On calcule : αR = ∆R/∆t. 1/R (αR = dR/dt .1/R)
αR = R0 exp. B (1/T – 1/T0)’.exp. B (1/T – 1/T0)/ (R0 exp. B (1/T – 1/T0)) αR = - B / T2
3.1.5. Caractéristique de R = f(T) :
Déterminer à partir de la caractéristique R= f (T)- fig a-,
la constante B en kelvin.
Réponse :
Ro = 4 KΩ, To = 298 °K R = 0.1 KΩ, T = 423 °K
R = R0 exp. B (1/T – 1/T0) B (1/T – 1/T0) = Ln R/R0
B = Ln (R/R0)/ (1/T – 1/T0)
B = 3720 °K
Exercice 1 :
La caractéristique de la fig b est
tracée à température constante. Elle
montre que pour les faibles courants,
l’échauffement est négligeable et la
résistance suit la loi d’ohm. Lorsque le
courant croit, la puissance dissipée accroît
la température propre à la CTN.
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3.3. Thermocouple :
3.3.1 Principes :
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Effet Thomson
3.3.2. Définition: Ils convertissent la température en tension. Lorsque deux fils conducteurs
composés de métaux différents sont joints, une très faible tension apparaît, cette tension est
fonction de la température de la jonction et du type des métaux qui composent les fils du
thermocouple. Ils possèdent une bonne linéarité.
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V- Capteur de niveau :
5.1. Flotteur : Pour un liquide homogène donné, la pression relative en fond de réservoir est
proportionnelle au niveau de celui-ci. La mesure de cette pression nous informe directement
sur le niveau de liquide, mais dépend de la masse volumique du liquide.
P (Pa) = ρ (Kg/m3) x g (m/s-2) x L (m)
Le flotteur se maintient à la surface du
liquide. II est solidaire d'un capteur de
position qui délivre un signal électrique
correspondant au niveau. Sa position est
peu dépendante de la masse volumique de
liquide.
5.2. Plongeur : Le plongeur est un cylindre immergé dont la hauteur est au moins égale à la
hauteur maximale du liquide dans le réservoir. Il est suspendu à un capteur dynamométrique
qui se trouve soumis à une force F (le poids apparent), fonction de la hauteur L du liquide :
F = P - g. s. L ; avec P le poids du plongeur, s sa section et g .s .L la poussée
d'Archimède s'exerçant sur le volume immergé du plongeur ( : masse volumique du liquide,
g : accélération de la pesanteur). Une force F (le poids apparent), fonction de la hauteur L du
liquide :
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Système barrage
Système reflex
6.2. Capteurs inductifs : Il, s’agit d’un transfo dont le circuit magnétique inclut l’objet en
déplacement ; celui ci doit donc être ferromagnétique, ou du moins comporter une telle
surface. La tension secondaire qui est le signal de mesure Vm varie d’une façon non linéaire :
Vm= Vm0/ (1+ax) 2 ,ou x est la distance du capteur à la cible, Vm0 et a dépendent en
particulier de la perméabilité magnétique de la cible, de sa forme et de ses dimensions.
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6.3. Capteurs capacitifs : Les capteurs capacitifs sont des capteurs de proximité qui
permettent de détecter des objets métalliques ou isolants. Lorsqu'un objet entre dans le champ
de détection des électrodes sensibles du capteur, il provoque des oscillations en modifiant la
capacité de couplage du condensateur.
Exemple :
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I- Introduction :
Le signal électrique est l’un des éléments de base de chaque système mecatronique.
Habituellement, le signal analogique est récupère à la sortie des capteurs et possède en général
les caractéristiques suivantes:
• amplitude faible, de l'ordre du millivolt;
• bruits dus aux interférences électromagnétiques;
• sujet aux erreurs dues a un mauvais design du capteur ou un mauvais usage;
• possède une tension d'offset, due au capteur ou au design de l'instrument de
mesure.
La plupart des problèmes énumères peuvent être résolus et l'information désirée du signal
peut être extraite en utilisant un traitement de signal approprie. Le traitement du signal
comprend :
L’amplification ;
La différentiation ;
L’intégration ;
L’addition ;
La soustraction ;
La comparaison ;
Le filtrage ;
La mise en forme ; etc…
II- Amplificateur opérationnel :
2.1- Représentation symbolique :
On a Vout = A.Vd Avec :
A est le gain en tension et Vd = V+ - V-
V+: tensions d'entrée non inverseuse
V-: tensions d'entrée inverseuse
Vout : tension de sortie
En générale :
Vsat = 80% VA (tension d’alimentation)
si VA = 20 volts alors +Vsat = 16 volts et
-Vsat = -16 volts
Zone linéaire: Vout=A (V+- V-)
Ampli-Op idéal : le gain A est infini
Ampli-Op réel : le gain A est très grand de
l’ordre de 105
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Il est possible aussi d’alimenter certains de ces circuits de façon asymétrique, c’est à dire en
utilisant une seule source d’alimentation .Il faut polariser l’entrée non inverseuse avec la
moitié de la tension d’alimentation R3 = R4.
III – Amplification :
3.1- Amplificateur inverseur : Ce type de montage permet d’amplifier un signal en
l'inversant et le gain Av de la sortie, se calcule en divisant la valeur de la résistance R2 par R1
avec le signe - car le signal est inversé.
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3.2- Amplificateur non inverseur : Ce type de montage permet d’amplifier un signal sans
inversion
Av = 1
IV – Montages opérationnels:
4.1 – Additionneur inverseur (mélangeur) : Dans ce montage la tension de sortie est égale à
la somme des tensions appliquées à chacune de ces entrées..
:
4.2 – Soustracteur (différentiel): Ce montage permet d'amplifier la différence de deux
signaux.
Si on pose K=R2/R1 = R4/R3 on obtient Vs = K (Ve1 – Ve2) ,On a bien en sortie la
différence des deux signaux d'entrée multipliée par le gain k.
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4.3 – Intégrateur :
On a V+=V-=0
Pour un condensateur i=Ve/R
On a : i = C du/dt Vs=-u
du/dt = i/C=Ve/RC
-dVs=Ve.dt/RC
4.4 – Dérivateur :
On a V+=V-=0
i = C dVe/dt
Vs=-iR
V+=V-=0.
Pour une jonction on a : I=Ve/R
i = Is exp.(Vd.q/K.T) Vs=-Vd
Avec : D’où :
q : charge élémentaire Ve/R=Is exp.(-
K : constante Vs.q/K.T)
T : température en °k -Vs.q/K.T=ln(Ve/R.Is)
Is : courant de
saturation Vs= -(K.T/q) ln
(Ve/R.Is)
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V – Autres montages :
5.1 - La conversion courant tension : Dans ce montage inverseur, l'entrée inverseuse de
l'amplificateur est une masse virtuelle, la source de courant débite donc dans un court-circuit.
Ainsi la résistance de source n'intervient pas dans l'expression du gain.
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I - Comparateur :
1.1 - Principe : Le comparateur est un dispositif permettant de comparer une tension par
rapport à une référence donnée. Son niveau de sortie est soit positif -1 logique - soit négatif -1
logique -selon le résultat de la comparaison. En général l’une des entrées V+ ou V- est prise
comme référence.
Montage
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Montage
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II – Trigger de Schmitt :
2.1- Principe :
Le trigger de Schmitt est un comparateur à deux seuils ; le premier se nomme le point
inférieur de basculement PIB (VSL) et le second le point supérieur de basculement PSB (VSH)
Montage Fonctionnement
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V+ = (UQ*R+UE*RG)/(R+RG)
Au moment du basculement ;
on a V+ = V- = Uref
PSB =Uref(R+RG)/RG +Vsat*R/RG
PIB = Uref(R+RG)/RG -Vsat*R/RG
H= (+Vsat -Vsat)* R/RG
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Translation :
V+ = (UQ*R+Uréf*RG)/(R+RG)
Au moment du basculement ;
on a V+ = V- = UE
PSB = (+Vsat*R+Uréf*RG)/(R+RG)
PIB = (-Vsat*R+Uréf*RG)/(R+RG)
H= (+Vsat- -Vsat)* R/(R+RG)
H= 2*Vsat* R/(R+RG)
3.1 - Fonctionnement :
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3.2 – Calcul de T :
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LES FILTRES
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I- Introduction :
Dans le cas du traitement des signaux analogiques, la fonction filtrage permet de
privilégier ou d’éliminer certaines fréquences indésirables d’un signal d’entrée au moyen de
montages appelés filtres.
Exemple d’application : La fréquence de 50Hz présente sur le secteur constitue très souvent
un signal parasite vis à vis du fonctionnement de l’électronique d’un système technique ; il
convient alors, par l’intermédiaire de filtres, de supprimer ou d’atténuer ce signal.
Ces filtres se présentent sous différentes formes. Lorsqu’il n’y a pas d’amplification du signal
d’entrée par un élément actif (transistor, A.OP), il est dit « passif » ; dans le cas contraire, il
est « actif ».
Le signal dont le spectre est décrit ci-dessus aurait alors pour expression :
a (t) = Amoy + Â1 sin (2πf1 t + ϕ1) + Â2 sin (2πf2 t + ϕ2) + …. + Ân sin (2πfn t + ϕn)
III – Utilisation des nombres complexe en électronique :
3.1. Représentation des nombres complexes :
A toute tension sinusoïdale u(t)=U√2 cos (ωt + ϕ) on peut associer un nombre complexe noté U :
- De module égal à U, valeur efficace de la tension u(t).
- D’argument égal à ϕ, phase initiale de u(t).
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Dans le plan complexe, M représente l’image de ce nombre complexe U qui peut s’écrire :
U = [U, ϕ ]
Exercice : Réponses :
Calculer l’impédance d’une bobine Z = L = 2 * 50 * 0.1 = 31,4Ω
d’inductance 0,1H soumise à une tension _
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1 2
Z = R 2 + ( L − ) =
_ C
Réponses : Réponses :
1 jRL R
Z = R + jL + Z= =
_ jC _ R + jL + j RLC
2 2
1 + jR (C −
1
)
L
IV – Etude des filtres :
L’étude d’un filtre consiste à :
• Définir sa fonction de transfert Av = Vs / Ve
• Étudier l’évolution de cette fonction de transfert en fonction de la fréquence du signal
d’entrée et représenter les variations du gain G = 20 Log |Av| et du déphasage du signal de
sortie par rapport au signal d’entrée en fonction de la fréquence ⇒ Diagramme de Bode en
gain.
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Pour une mise en œuvre optimale de ces circuits, il faut que l’impédance du générateur
d’entrée soit faible et que l’impédance de charge du filtre soit très élevée. On peut ainsi
appliquer la règle du pont diviseur de tension : Ve Z2
Vs =
Z1+Z2
Pour définir le type du filtre, le diagramme de Bode nous informe sur la variation du gain en
fonction de la fréquence d’entrée. Pour constituer ce diagramme, on s’intéressera
particulièrement à la construction des asymptotes en effectuant les calculs avec les
pulsations :
• ω=0;
• ω = +∞ ;
• ω = ωc (pulsation de coupure à –3dB) ; et si nécessaire :
• 10ωc, 100ωc …. Représentant les décades ;
• 2ωc, 3ωc…. représentant les octaves.
Pour les filtres actifs ou passifs du premier ordre, la variation du gain ne peut excéder
20dB par décade. On notera Fc, la fréquence de coupure à laquelle correspond une atténuation
du gain maximum de – 3dB.
Amplification en tension : Av = Vs / Ve
Module de Av : |Av| = |Vs| / |Ve|
Argument de Av : Arg (Av) = Arg Vs – Arg Ve
Module d’un nombre complexe z = a + jb : = a² + b²
Argument d’un nombre complexe z = a + jb : = arc tan (b/a)
Gain (dB) :G = 20 Log |Av| |Av| = 10(G/20)
Log 0 = - ; Log 1 = 0 ; Log = ; Log (A x B) = Log A + Log B
Arc tan 0 = 0 ; Arc tan = /2 ; Arc tan - = - /2
j² = -1 ; 1/j = -j
Si Z = a + jb alors Z* (conjugué de Z) = a – jb ; Y = 1 / Z = 1/ (a + jb)
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PASSIF ACTIF
VS 1 VS R2
= =−
Ve 1+ jRC Ve R1 (1+ jR2C)
Caractéristiques
1 1
Bande passante : BW = Bande passante : BW =
2RC 2R2 C
1 1
Fréquence de coupure fc = Fréquence de coupure fc =
2RC 2R2 C
Atténuation :-6dB/Octave Atténuation :-6dB/Octave
Favorise Les signaux de Petites Fréquences et atténue les signaux de Haute Fréquence
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PASSIF ACTIF
VS jRC VS jR2C
= =−
Ve 1+ jRC Ve 1+ jR1C
Caractéristiques
1
Bande passante : BW = Bande passante : BW = ∞
2RC
1 1
Fréquence de coupure fc = Fréquence de coupure fc =
2RC 2R1C
Atténuation :-6dB/Octabe Atténuation : -6dB/Octave
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Ces deux filtres, dont l’étude quantitative serait moins évidente que celle effectuée
précédemment, permettent :
♦ De privilégier une bande de fréquence (comprise entre fb, la fréquence basse et fh,
la fréquence haute) dans le cas du filtre passe-bande,
♦ D’atténuer une bande de fréquence dans le cas du filtre coupe-bande.
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Vs = 1 - R²C²ω² _
Ve 1 + jRCω - R²C²ω²
• L’ordre du filtre détermine son efficacité. Elle est définie par la pente des
asymptotes.
Exemple : Filtre du 1° ordre : 20 dB/décade
Filtre du 2°ordre : 40 dB/décade
Filtre du 3°ordre : 60 dB/décade…
___________________________________________________________________________
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I. Les condensateurs (rappel) :
1.1. Propriétés :
Le courant i (t) traversant un condensateur est proportionnel à la dérivée par rapport au
temps de la tension u (t).
___________________________________________________________________________
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1.4. Circuits RC et CR :
II. Monostable :
2.1. Définition :
Un monostable permet de garder, pendant un certain temps la trace d’un événement
fugitif : C’est la temporisation.
Un monostable ne peut avoir q’un seul état stable. If faut distinguer deux états :
• L’état stable : est l’état dans lequel le monostable peut rester indéfiniment.
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• L’état instable : est l’état pour lequel on a en sortie un niveau de durée définit, propre
au monostable et noté θ.
Un monostable est caractérisée par :
• Les valeurs des tensions à l’état stable et instable.
• La durée de l’état instable.
Un monostable est réalisé par l’association de circuits RC et d’un A.Op, porte logique, ou
circuit spécialisé NE555 ou HEF4538.
2.3. Fonctionnement :
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Ve, f V1 V2 V3 Vs=K. f
Supposons qu’on applique sur Ve une tension sinusoïdale dont on veut mesurer la fréquence.
3.3. Mise en forme :
Ve
Le signal sinusoïdal est transformé en signal carré, Vref
par un comparateur ou un trigger. t
T
Vcc
- V1
Vcc
Ve + V1 t
-Vcc
Vref
T
-Vcc
V1
Grâce à un réseau RC, on va transformer chaque Vcc
front montant de V1 en une brève impulsion V2. t
T
-Vcc
Vcc V2
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3.5. Monostable :
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1.2.2. Principe : Ce type de CNA n’utilise que deux valeurs de résistances. Les
commutateurs sont commandés par le code numérique. La valeur analogique est la somme des
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courants aboutissant à l’entrée " - " de l’amplificateur opérationnel qui traduit le courant en
tension.
1.2.3. Fonctionnement :
Chaque commutateur (C0, C1, C2) peut être relié à la masse (position " 0 "), soit à la tension
Vref (position " 1). On montre que Vso = (Vref / 23) (22 C2 + 21 C1 +20 C0 )
Thevenen au point C :
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Remarques : -Le courant traversant la résistance R du réseau se divise en deux à travers les
2R.
-L’impédance vue par la source Vref est indépendante de l’état de l’interrupteur
commandé par bo et elle vaut 2R. Ainsi, la résistance 2R placée en fin du réseau peut
elle-même être remplacée par un nouveau réseau R-2R.
On montre que :
Vout = - Vref/2n+1 .(2n-1*bn-1 +2n-2*bn-2+……. +22*b2+21*b1 +20*b0)
1.4-Exemple de CNA à réseau R-2R : AD7532 ou DAC830 :
___________________________________________________________________________
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Cette fois-ci, l’impédance d’entrée du montage est R.On note que l’ensemble des
résistances est intégré ainsi que la résistance, ici appelée Rfb (feedback), qui peut assurer la
conversion courant – tension. Le calcul des courants sortant donne :
Iout1 = (Vref/2n R). (2n-1*bn-1 +2n-2*bn-2+………. +22*b2+21*b1 +20*b0)
__ __ __ __
Iout2 = (Vref/2n R). (2n-1*bn-1 +2n-2*bn-2+………. +22*b2+21*b1 +20*b0)
Ce calcul suppose que les courants de sortie Iout1 et Iout2 sont à la masse. Iout est
directement proportionnel au code N. On peut remarquer que
Vref 2n – 1 Vref 2n - 1
Iout1 + Iout2 = ─── [────] et Iout1 - Iout2 = 2 Iout1 - ─── [────]
R 2n R 2n
On n’a dans ce cas une évolution entre –Vref / R et +Vref / R de la différence du courant.
On montre que :
Vcc
Vs = (27*D7 +26*D6+25*D5 +24*D4+23*D3 +22*D2+21*D1 +20*D0)
255
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II - Les C.A.N
2.1. Introduction :
Dans la plus part des convertisseurs, le mot binaire en sortie est proportionnel au rapport de
la tension d'entrée à une tension de référence :
2.2.2. Fonctionnement :
On détermine les valeurs des différents bits l’un après l’autre en commençant par le
MSB, un peu à la manière d’un marchande de marché :
On met le bit MSB à 1 tout en gardant les autres à 0.Ce code présent dans le registre
R.A.S est converti en une tension Vc par le C.N.A qui est comparée à Vin.
Si Vin>Vc on garde le bit MSB à 1 si non on le remet à zéro.
On met le bit suivant à 1 tout en gardant les autres à 0 – bits de poids faible-. Ce code
est converti en une tension Vc par le C.N.A qui est comparée à Vin.
Si Vin>Vc on garde ce bit à 1 si non on le remet à zéro.
On continue ainsi jusqu’au dernier bits.
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On effectue une comparaison de la tension à convertir Vin avec la tension issue du CNA
connecté au registre. Le premier code issu du registre est 1000 (Cas d’un CAN 4 bits), code
correspondant à la tension « moitié » (Vref/2). Puis on décale ce code vers *100 puis **10
etc… A la place de «*», on vient placer le résultat de la comparaison. Si la tension d’entrée
est supérieure on positionne un «1», si elle est inférieure on positionne un «0».
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3.2. L'erreur de décalage (offset) : Décalage en Volt entre la réponse réelle et la réponse
idéale.
3.3. L'erreur de gain : Variation de gain entre le gain réel et le gain idéal.
3.4. La non linéarité intégrale : Ecart maximal entre la fonction de transfert réelle et idéale.
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II – Exemple n°1 :
2.1. Montage :
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LE GRAFCET 62
LES SYSTEMES ASSERVIS 68
ENVIRONNEMENT MICRO INFORMATIQUE 90
LE PIC 16F84 98
ORGANIGRAMME 112
LES CIRCUITS LOGIQUES PROGRAMMABLES 115
PROGRAMMATION DES PLD 119
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LE GRAFCET
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I- Système minimum : 90
1.1. CPU : 90
1.2. RAM : 90
1.3. ROM : 90
1.4. PIO : 90
II- Le microprocesseur : 91
2.1. Structure interne : 91
2.2. Unité arithmétique et logique : 91
2.3. Registre d’état : 91
2.4. Accumulateur : 91
2.5. Registre à usage universel (général) : 92
2.6. Le compteur de programme : 92
2.7. Le pointeur de pile : 92
2.8. Registre d’instructions : 92
2.9. Décodeur d’instructions : 92
2.10. Les cycles de fonctionnement d’un microprocesseur : 92
III- Les mémoires : 93
3.1. Généralité : 93
3.2. Mémoires électroniques : 93
3.2.1. Mémoire morte (ROM) : 93
3.2.2. Différent types de ROM : 93
3.2.3. Mémoires vives (RAM) : 94
3.3. Organisation interne : 94
3.3.1. Capacité : 94
3.3.2. Longueur de mot : 94
3.3.3. Adresse : 94
3.3.4. Décodage d'adresse : 95
3.3.5. Structure matricielle: 95
3.4. Mémoires Intégrés : 95
3.5. EXTENSION MEMOIRE : 96
3.5.1. Longueur des mots : 96
3.5.2. Nombre de mots : 96
IV- Interfaces d’entrées sorties : 96
4.1. Introduction : 96
___________________________________________________________________________
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4.1.2. Définition : 96
4.1.3. Un périphérique : 97
4.2. Périphériques d’entrées sorties parallèles : 97
4.2.1. Définition : 97
4.2.2. Structure et fonctionnement : 97
4.2.3. Programmation de l’interface : 97
4.3. Périphériques d’entrées sorties séries : 97
4.3.1. Définition : 97
4.3.2. Liaison série synchrone : 97
4.3.3. Liaison série asynchrone: 97
LE PIC 16F84
I - Généralité : 98
II - Les PIC 16F... : 98
III - Description générale du PIC 16F84 : 98
3.1. Synoptique simplifié du 16F84 : 98
3.2. Caractéristiques : 98
3.3. L’unité de traitement (CPU : Central Processing Unit) : 99
3.4. Les mémoires : 99
3.5. L’horloge : 99
3.6. Les ports : 99
3.7. Le Timer : 99
IV - Structure externe du PIC 16F84 : 99
4.1. Description: 99
4.2. Brochage : 99
V - Structure interne du PIC 16F84 : 100
5.1. Synoptique : 100
5.2. Les Mémoires : 101
5.2.1. EEPROM de Programme: 101
5.2.2. RAM de données: 102
5.2.3. EEPROM de données: 102
5.2.4. La pile: 102
5.3. Les Registres : 102
LE REGISTRE INDF (ADRESSE 00, 80H) : 102
LE REGISTRE FSR (ADRESSE 04,84H) : 102
LE REGISTRE TMRO (ADRESSE 01H) : 103
LE REGISTRE OPTION (ADRESSE 81H) : 103
LE REGISTRE STATUS (ADRESSE 03 ET 83H) : 104
LE REGISTRE TRISA (ADRESSE 85H) : 104
LE REGISTRE PORTA (ADRESSE 05H) : 104
LE REGISTRE TRISB (ADRESSE 86H) : 105
LE REGISTRE PORTB (ADRESSE 06H) : 105
LE REGISTRE EEDATA (ADRESSE 08H) : 105
LE REGISTRE EEADR (ADRESSE 09H) : 105
LE REGISTRE EECON1 (ADRESSE 88H) : 105
LE REGISTRE EECON2 (ADRESSE 89H) : 106
LE REGISTRE INTCON (ADRESSE 0B et 8BH) : 106
LE REGISTRE PCL (ADRESSE 02, 82H) : 106
LE REGISTRE PCLATH (ADRESSE 0A, 8AH) : 107
5.4. Les source de RESET: 107
___________________________________________________________________________
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ORGANIGRAMME
I - Organigramme : 112
1.1. Définition : 112
1.2. Symboles de test logique : 112
1.3. Symboles de traitement : 112
1.4. Règles de construction : 112
II - Structures algorithmiques élémentaires : 112
2.1. La structure séquentielle ou linéaire : 112
2.2. La structure conditionnelle ou alternative : 113
2.2.1. Cas d’une sélection simple : 113
2.2.2. Cas d’une sélection multiple : 113
2.3. La structure itérative ou de répétition : 114
2.3.1. Cas d’une répétition non contrôlée: 114
2.3.2. Cas d’une répétition contrôlée: 114
I - Présentation : 115
1.1. Introduction : 115
1.2. Structure de base d’un PLD : 115
1.3. Symbolisation des portes logiques pour les PLDs : 116
1.4. Structure de base avec les normes des constructeurs : 116
II - Les différentes familles de PLD : 117
2.1. LES PAL (Programmable Array Logic) : 117
2.1.1. Structure de base d’un PAL : 117
2.1.2. Les différents types de sortie d’un PAL : 117
2.2. Les GAL (Generic Array Logic) : 118
I - Introduction: 119
II - Langage de description (HDL) : ABEL 119
2.1. Structure du langage ABEL : 119
2.1.1 Entête et fin de fichier : 119
2.1.2. Partie Déclarations : 119
2.1.3. Partie test: 120
2.1.4. Partie description logique: 120
2.2. Description par équations : 120
2.3. Description par table de vérité : 121
2.4. Description par diagramme d’état : 121
___________________________________________________________________________
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LE GRAFCET
_____________
I. Structure d'un système automatisé :
Un système automatisé se compose de deux parties qui coopèrent:
-une partie opérative constituée du processus à commander, des actionneurs qui agissent sur
ce processus et des capteurs permettant de mesurer son état.
-une partie commande qui élabore les ordres pour les actionneurs en fonction des
informations issues des capteurs et des consignes. Cette partie commande peut être réalisée
par des circuits câblés, ou par des dispositifs programmables (automates, calculateurs)
.
Une étape correspond à une situation dans laquelle les variables de sorties conservent leur
état. Les actions associées aux étapes sont inscrites dans les étiquettes.
Une transition indique la possibilité d'évolution entre deux étapes successives. A chaque
transition est associée une condition logique appelée réceptivité.
3.2. Règles de syntaxe :
Règle N°1 : situation initiale
___________________________________________________________________________
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Cette représentation indique que l'étape est initialement activée (à la mise sous tension de
la partie commande).
Règle N°2 : franchissement d'une transition
Une transition est franchie lorsque l'étape associée est active et la réceptivité associée à
cette transition est vraie.
Règle N°3 : évolution des étapes actives
Le franchissement d'une transition provoque simultanément :
- la désactivation de toutes les étapes immédiatement précédentes reliées à cette transition,
- l'activation de toutes les étapes immédiatement suivantes reliées à cette
transition.
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actives. Si la réceptivité associée à cette transition est vraie, alors celle-ci est franchie.
REMARQUES :
Après une divergence en ET, on trouve une convergence en ET.
Le nombre de branches parallèles peut-être supérieur à 2.
La réceptivité associée à la convergence peut-être de la forme = 1. Dans ce cas la
transition est franchie dès qu'elle est active.
3.3.2. Divergence en OU ‘aiguillage)
___________________________________________________________________________
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3.3.7. Temporisations
3.3.8. Comptage
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Évènements (fronts)
Action conditionnelle
Action mémorisée
ancienne représentation
mise à 1 de l'action par la lettre S (set) nouvelle représentation (affectation)
mise à 0 de l'action par la lettre R (reset)
___________________________________________________________________________
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L'affectation de B se produit
à la désactivation de l'étape 37
Encapsulation
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_____________
I - Objectif :
L'objectif d'un système automatisé étant de remplacer l'homme dans une tâche.
Exemple 1 - conducteur au volant d'un véhicule-:
Le conducteur doit suivre la route, pour cela:Il observe la route et son environnement et
évalue la distance qui sépare son véhicule du bord de la route. Il détermine en fonction du
contexte l'angle qu'il doit donner au volant pour suivre la route. Il agit sur le volant (donc sur
le système) ; puis de nouveau il recommence son observation pendant toute la durée du
déplacement. Si un coup de vent dévie le véhicule, après avoir observé et mesuré l'écart il agit
pour s'opposer à cette perturbation.
Exemple 2- Chauffage d’une chambre -:
Résistance chauffante
U θ
Consigne Sortie
Entrée Réponse
U Comparer Résistance
Consigne chauffante θ
Entrée Sortie
Réponse
Observer
la
température
Un système asservi est un système dont le rôle consiste essentiellement à établir une
correspondance définie entre une ou plusieurs grandeurs d’entrée, de faibles niveaux
énergétiques, et une ou plusieurs grandeurs de sortie de niveaux énergétiques plus élevés.
___________________________________________________________________________
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2.1. Structure :
Chaîne direct
Perturbation
Consigne Ecart Loi de command Sortie
+ Amplifier
Réguler AGIR
C - ε S
m
Mesurer
Mesure de la sortie
Chaîne de retour
Un système asservi est caractérisé par la présence de:
• Chaîne directe : Elle comprend des éléments amplificateurs et éventuellement, des
convertisseurs de puissance, en liaison avec les sources d’énergie.
• Chaîne de retour : Elle est constituée d’éléments de précision généralement passifs.
elle transmet à l’entrée des informations sur les grandeurs de sortie. Ces informations sont
comparées aux signaux d’entrée au moyen de comparateur. Ce dernier élabore les différences
ou écarts entre les signaux d’entrée et les informations images des signaux de sortie.
2.2. Régulation et asservissement :
2.2.1. Régulation: On appelle régulation un système asservi qui doit maintenir constante la
sortie conformément à la consigne (constante) indépendamment des perturbations.
Ex: Régulation de température
2.2.2. Asservissement : On appelle asservissement un système asservi dont la sortie doit suivre
le plus fidèlement possible la consigne (consigne variable).
Ex: suivi de trajectoire
2.3. Caractéristiques s’un système asservi :
2.3.1. Précision : La précision est caractérisée par l’écart entre la consigne et la sortie.
a- Précision statique
On appelle précision statique, l’écart entre la sortie et l’entrée lorsque le système est
stabilisé (t = +∞).
b- Erreur indicielle:
Dans le cas ou consigne est constante (échelon) on définira l’erreur indicielle comme la
différence entre la sortie demandée et la sortie obtenue. L’erreur peut être constante, nulle ou
tendre vers l’infini.
c- Erreur de traînage
Si la consigne est une rampe, on note erreur de traînage l’écart entre la droite de consigne et
la sortie, cette erreur peut être nulle, constante ou tendre vers l’infini.
___________________________________________________________________________
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d- Précision dynamique :
La précision dynamique est l’écart entre la sortie et l’entrée pendant l’évolution du signal.
Entrée=Consigne
Entrée=Consigne
ε1=constante
ε2=∞
ε
ε1
Sortie ε2
Ecart
Sortie
t t
Consigne
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Consigne
2.3.3. Rapidité
1
4
5
2
3
+5%
-5%
t5%(4
) t
La rapidité caractérise le temps mis par le système pour que la sortie atteigne sa nouvelle
valeur. On définit, pour caractériser la rapidité, le temps de réponse à 5% (t5%), c’est le temps
mis par le système pour atteindre sa valeur finale à 5% près.
La détermination du temps de réponse à 5% sur les courbes de réponses ci-contre montre que
la sortie 3 à le temps de réponse le plus faible, la courbe 1 est la plus lente.
III- Système du 1er ordre :
3.1. Définition :
On appelle système du premier ordre, un système régi par une équation différentielle du
type :
τ : est appelée constante de temps du système (ou la constante de temps de la chaîne directe
ou constante de temps de la boucle ouverte).τ est homogène à un temps.
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Ko : est le gain statique du système (gain en régime permanent ou e gain statique de la chaîne
directe ou gain statique en boucle ouverte).
X (t) To Y (t)
Système 1er ordre
To: fonction de transfert de la chaîne directe
3.2. En boucle ouverte (réponse à un échelon) :
3.2.1. Solution de l’équation différentielle:
La solution d’une équation différentielle est la somme d’une solution générale et de la
solution particulière :
• La solution générale représente la composante transitoire,
• la solution particulière représente la composante permanente.
• La solution générale est déterminée par la résolution de l'équation sans second
membre.
• La solution particulière est déterminée en fonction de la forme de x (t).
La solution particulière dans le cas où x (t) = Xo est solution de l’équation ci dessous
La solution particulière est de la même forme que l’entrée, multipliée par le gain statique :
Yp (t) = Ko.Xo
La solution générale est solution de l’équation suivante :
+
To
X(t) -
ε Y(t)
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ωn : est appelée pulsation libre ou pulsation naturelle ou pulsation propre du système non
amorti - ωn : se mesure en rad/s -
a : est appelé amortissement du système ou facteur d’amortissement.
Ko : est le gain statique du système (gain en régime permanent).
X (t) To Y (t)
Système 2éme ordre
To: fonction de transfert de la chaîne directe
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-Temps de montée (temps au bout duquel y (t) atteint pour la première fois Ko. Xo :
-Temps de pic : tp = Tp / 2 = ωp / π
-Temps de réponse à 5% : C’est le temps au bout duquel la sortie atteint le régime
permanent à 5% prés. Une approximation pour a << 1 est : t5% = 3.τ / a = 3 / a. ωn
Régime apériodique
Régime pseudopériodique
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Régime pseudopériodique
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+
To
X(t) -
ε Y(t)
ε = X (t) –Y (t)
(1/ ωn).Y’’ + (2.a / ωn).Y’ + Y = Ko. (X-Y)
(1/ ωn).Y’’ + (2.a / ωn).Y’ + (1 + Ko).Y = Ko. X
On pose :
Où :
• KF est appelé le gain statique du système en boucle fermée.
• aF le coefficient d’amortissement du système en boucle fermée.
• ωnF la pulsation propre du système non amorti en boucle fermée.
Evaluation de l’erreur indicielle : εsF (t) = (1- KF). Xo = Xo/ (1+Ko)
Ko étant positif alors : 0 ≤ εsF (t) ≤ 1
Si Ko >> 1 KF ≈ 1 εsF (t) ≈ 0
Evaluation de la rapidité du système :
Voir l’abaque ωn. t5% = f (a)
4.4. Conclusions :
• Le bouclage n’a pas modifié l’ordre du système,
• Le bouclage a modifié le gain du système : KF<Ko
• Le système bouclé est plus précis l’erreur statique est plus faible en B.F.
4.5. Représentation graphique de s (t) dans les cas B.O. et B.F. :
Ces tracés sont réalisés pour une entrée échelon unitaire, avec :
Ko = 3, a=0.8 et ωn = 2 rad/s.
Dans le cas de la boucle fermée, le retour est considéré comme unitaire, ce qui donne :
KF = 0.75, aF =0.4 et ωnF = 4 rad/s.
Evaluation de la rapidité du système :
Grâce à l’abaque du temps de réponse réduit utilisable pour les systèmes du second ordre ci-
dessous, on évalue dans les deux cas tr. ωn :
• En boucle ouverte : tr. ωn = 3 donc t5% 1.5 s
• En boucle fermée : tr. ωn = 8 donc t 5% = 2 s
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On a : φ (t) = φ0 = cte
On peut alors écrire : M (t) = K’.i (t)
Le moment du couple est directement proportionnel au courant d’induit ; de même, on obtient
à partir de la relation (2) : E (t) = K’.Ω (t)
a. L = 0 et ƒ = 0 :
Dans ce cas, on a :
1/R K’
+
i M (1/J) ∫
Uo -
ε Ω
E K’
Dans ce cas, on a :
u = K’.Ω (t) + R. i +L di/dt u = K’.Ω (t) + R.J/K’. d Ω (t) / dt + L.J/K’. d2 Ω (t) / d2t
Pour u (t) = Uo (entrée échelon) on a :
: Facteur d’amortissement
Temps de réponse : voir l’abaque du temps de réponse réduit utilisable pour les systèmes du
second ordre
Erreur indicielle : εs (t) = (1-Ko).Uo εs (t) = (K’-1)/K’ .Uo
En régime permanant : Ω (t) = Ko. Uo Ω (t) = Uo/K’
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R
F1
-
F3
R RB T1
-
+
R + U2 D1
F2
U1
Uo R
R
c R
Monostable p
E0
RF
θ
T2
C LED
Ur U5 U4 U3
F5
U1 = U0 – Ur
+
U0 - U1
U0 est la consigne = 10 v
Ur
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1/Vm
t
U1 α
Vcc
T
t
α Um
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U3
Ur = U5moy t
Ur = E0. θ/Tm
U4
Tm
t
E0
E0 .θ/2π
Ω Ur t
θ
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c- Ur = f (t) pour U0 = 10 v
20v
19v
ε = -10 v
U0=10v
1.25s 3.75s
10. Etude en boucle fermée :
a. équation différentielle, liant Ω à U0 ( U1.= U0.-Ur ).
U0=10v
ε = +3.34
6.66v
0.41s 1.25s
Pour améliorer les performance du système on ajoute un amplificateur entre le bloc F1 et le
bloc F2, refaire les calculs en fonction de A gain de l’amplificateur ajouté, appelé en général
correcteur. (A = 50 par exemple).
11. Etude en boucle fermée avec correcteur proportionnel:
a. équation différentielle, liant Ω à U0 ( U1.= U0.-Ur ).
___________________________________________________________________________
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U0=10v
9.9v
ε = +0.1v
12.37ms 37.13ms
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C Ω
Ur G Mcc
L'excitation est assurée par des aimants permanents ou un courant inducteur constant.
D'où: U = KG.Ω avec KG : constante de f.e.m. et Ω pulsation ou vitesse de rotation
Donc, la transmittance de la chaîne de retour H = KG. La fréquence de coupure du filtre
passe-bas est donnée par: fc = 1/ (2.π.R.C).
VI. Influence du gain sur le comportement temporel:
Les études temporelles menées ci-dessus montre l’importance du gain de la chaîne directe
dans l’établissement des performances d’un système bouclé. C’est la raison de la présence,
dans la chaîne directe après le comparateur, d’un gain variable KV que l’on pourra ajuster aux
performances attendues du système. Ce qui donne le schéma bloc de la figure ci-dessus.
Il est important de ne pas confondre le gain statique Ko de Ho, qui est structurel (pour le
modifier il faut modifier la structure du processus à commander) avec le gain variable KV,
qui est introduit dans la chaîne.
Nota : Les résultats présents sont transférables à cette étude en remplaçant le gain de la chaîne
directe par le produit du gain structurel Ko et du gain variable (ajustable) KV.
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+
Kv Ho
X(t) -
ε Y(t)
VII. CONCLUSION :
Par rapport aux trois critères de performance : la précision, la rapidité et les
dépassements, on remarque que l’influence du gain Kv est positive pour la précision et la
rapidité ce qui semble conduire à rechercher un gain maximum. Outre que pour un système du
second ordre une valeur trop importante du gain peut conduire à des dépassements néfastes,
on constate par ailleurs que ce choix mène aussi vers l’instabilité. Aussi lors du réglage, il faut
toujours rechercher le gain minimum qui permet d’assurer les performances temporelles
souhaitées.
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_____________
I- Système minimum :
Bus de données
PORT A
Bus d’adresses
1.1. CPU : L’unité centrale de traitement – de l’anglais Central Unit Processor – effectue le
traitement des données et exécute les programmes. Les opérations de bases réalisées par
l’UCT sont :
• Opérations logiques : AND, OR, XOR, Inversion…
• Opérations arithmétiques : Addition, soustraction, négation, incrémentation,
décrémentation …
• Décalage et rotation de données.
• Déplacement et transfert de données.
L’UCT génère 3 bus :
• Bus de données : bus bidirectionnel qui transporte les données.
• Bus d’adresse : bus unidirectionnel qui transporte les adresses.
• Bus de contrôle : bus qui transporte les différent signaux de contrôles nécessaire au
fonctionnement du système.
Exemple de microprocesseur : Z80 – 6809 – 8085 (8 bits)
Z8000 – 68000 - 8086 (16 bits)
1.2. RAM : Mémoire à accès aléatoire -de l’anglais Random acces memory – permet de
stocker les variables, les données et les programmes temporaires. C’est une mémoire
volatile à lecture et à écriture. Exemple : 6164 8ko
1.3. ROM : Mémoire non volatile a écriture seule –de l’anglais Read Only Memory- permet
de stocker des programmes et des données constants. Exemple : 2764 8ko
1.4. PIO : Interface d’entrées sorties parallèles –de l’anglais Parallel Input Output- permet de
communiquer avec le monde extérieur (Imprimante, disque dur, Ecran, Clavier …)
Exemple : PIA 6821 - PIO 8255
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II- Le microprocesseur :
2.1. Structure interne :
Bus de données 8bits
Accumulateur
R.I R R
E E Flag
G G Unité de
Z C
I I O
SP PC S S C M
T T M
R R A.L.U A
D.I E E N N
D
n 0 E
Séquenceur Commandes
internes
Commandes externes
Entrée A
Résultat A.LU
Entrée B
R. Flags
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Bus de données
Accumulateur
A.LU
Registre Flags
2.5. Registre à usage universel (général) :
Leur rôle est de permettre à l’A.L.U de manipuler les données à grande vitesse. Ils
sont généralement numérotés de 0 jusqu’à n, leur rôle n’est pas défini à l’avance. C’est pour
quoi on les appelle registres à usage universel. Ils peuvent contenir n’importe quelle valeur
utilisée par le programme.
2.6. Le compteur de programme :
Le compteur de programme ou Program Counter est présent dans tous les processeurs,
il contient toujours l’adresse de la prochaine instruction à exécuter. Une fois le code de
l’instruction est récupéré, le PC est incrémenté automatiquement pour pointer l’instruction
suivante.
2.7. Le pointeur de pile :
Le pointeur de pile ou Stak Pointer contient toujours une adresse particulière ou la
valeur du PC est stockée temporairement, le SP pointe toujours le sommet de la pile, elle est
indispensable au fonctionnement des sous programmes et des interruptions.
2.8. Registre d’instructions :
Le registre d’instructions est un registre 8bits, dont le rôle est de stocker le code
opération de l’instruction en cours d’exécution, ce registre n’est pas programmable.
2.9. Décodeur d’instructions :
Son rôle est d’identifier le code opération de l’instruction présente sur le RI, et générer
la séquence correcte des signaux interne et externe qui permettra l’exécution de l’instruction.
2.10. Les cycles de fonctionnement d’un microprocesseur :
Quel que soit le processeur, le cycle de fonctionnement se fait en 3 cycles :
a- récupération de l’instruction.
b- Décodage de l’instruction.
c- Exécution de l’instruction.
-Au cours du premier cycle, le contenu du PC est déposé sur le bus des adresses. Un signale
de lecture est généré quelque ns plus tard, l’instruction qui se trouve à l’adresse spécifié est
déposé sur le bus des données. Le microprocesseur lie alors le bus (des données) et dépose
son contenu dans le registre d’instruction.
-Deuxième et troisième cycle :
Lorsque l’instruction est parvenue dans le RI, l’unité de commande (décodeur, séquenceur) va
en décoder le contenu, de façon à générer la séquence correcte des signaux internes et
externes, qui permettra l’exécution de l’instruction. La durée de l’exécution d’une instruction
dépend de l’instruction elle-même. Quelques instructions sont entièrement exécutées à
l’intérieur du microprocesseur, d’autres ont besoin d’aller chercher ou déposer des données
dans la mémoire, cette durée s’exprime en général en nombre de cycle d’horloge.
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ROM
PROM : Programmable ROM, c'est une ROM programmable une seule fois par l'utilisateur.
La programmation consiste à faire fondre ou non un fusible par application d'une tension
calibrée (30v) pendant des temps déterminé.
I0 I1
d0 d1 d2
Fusible R I0, I1 : entrées d’adresse
d0, d1, d2 : sortie de données
EPROM : Erasable ROM, c'est une ROM effaçable, programmable à volonté par l'utilisateur
autant de fois qu'il souhaite. Le procédé de programmation est relativement complexe (25v
appliqué pendant un temps de 50ms) on utilise en général un programmateur EPROM,
l'effacement se fait avec des rayons UV à haute énergie.
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6 4
5 1 0 1 0 3
4 2
3 1 x x x x x x x x
1 x x x x
A0
Décodeur
A1 D’adresses
DATA : Donnée
A2 IN/OUT : Entrée/Sortie
IN/OUT RD
WR
D0
D1 D2 D3
DATA I/O
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1023
10 Décodeur
1024 mots
D’adresses
0
16 colonnes
63
Décodeur i 64Lignes
6 de lignes - 64*16=1024 ;
0
- 26+24=80
- 64+16=80 lignes au lieu de
15 j 0
1024 lignes
Décodeur - Pour qu’un mot soit
de colonnes sélectionné il faut qu’une ligne et
une colonne soient sélectionnées.
4
4
3.4. Mémoires Intégrés :
EX 1: RAM 2114
D3 D2 D1 D0
D0..D3 : Bus de données
R/W R/W : Signal de lecture/Ecriture
R/W=1 : mémoire sélectionnée en lecture
2114 R/W=0 : mémoire sélectionnée en écriture
CS D0..D3 : Bus d’adresses
CS : Chip Select (sélection de boîtier) doit être
au niveau bas pour la lecture et l’écriture.
A8 A1 A0 Si CS=1 le boîtier est en haute impédance.
Caractéristiques :
- Capacité : 29 quartet, 512 quartets.
- Longueur du bus d'adresse : 9bits.
- Longueur du bus de données : 4bits.
Porte 3 états :
X OE Y
X L HZ
X Y
X H X (BZ)
OE
OE : Output ENABLE
HZ : Haute impédance
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CS=0 CS=1
Si Lecture si Boîtier en haute
R/W=1 R/W=x impédance, aucune
opération n’est validée
CS=0
Si Ecriture
R/W=0
Logique d’E/s :
DATA
Ecriture Lecture
CS OE OE
R/W
EX2 : RAM 5101
WR A7
Ecriture
RD
Lecture Adresses
CE1
Sélection CE2 RAM A0
D0 5101 D’3
Data Write Data Read
D3 D’3
RXD RXD
PARITÉ
DE
UNITÉ UNITÉ
DE
BIT
BIT
TXD
MAÎTRE ESCLAVE OU
RXD
TXD TXD D0 D1 D2 D3 D4 D5 D6 P
TRAMES t
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Le PIC 16F84
_____________
I. Généralité :
Les microcontrôleurs sont des composants programmables. Ils intègrent dans un seul
boîtier l'environnement minimal d'un système à microprocesseur (l'UC, la RAM, l'EPROM et
les interfaces). Ils sont présents dans la plupart des systèmes électroniques embarqués ou
dédiés à une application unique. Il en existe de nombreux modèles différents avec parmi les
plus courants : le 8051 de Intel, le 68HC11 de Motorola... et les PIC de Micro chip
II. Les PIC 16F...
Les PIC de Micro chip contiennent un processeur à jeu d'instruction réduit (RISC :
Reduced Instructions Set Computer constitué de 35 instructions seulement). La série 16F
contient de la mémoire "Flash", reprogrammable des centaines de fois. Il existe un grand
nombre de PIC disponibles disposant d'un nombre d'entrée / sorties ou de ports différents, de
mémoires de tailles variables, ou encore de capacités fonctionnelles différentes (pour la
communication, la commande de moteurs à courant continu, etc...)
III. Description générale du PIC 16F84 :
3.1. Synoptique simplifié du 16F84 :
Le synoptique simplifié est donné ci-contre.
MEMOIRE RAM
PROGRAMME
CPU
RB0
RB1
RB2
PORTB RB3
HORLOGE RB4
RB5
RB6
RB7
EEPROM
RA0
PORTA RA1
RA2
RA3
RA4
TIMER
3.2. Caractéristiques :
• 1K de mémoire programme
• 68 octets de RAM
• 64 octets D'EEPROM
• 13 entrée/sortie réparties en 2 ports PORTA et PORTB
• 4 sources d’interruption
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• 1 Timer/Compteur
• 1 Chien de garde
• MODE SLEEP (pour une faible consommation)
• 4 Sources d’oscillateur sélectionnable
• Protection du code
• 35 instructions seulement
3.3. L’unité de traitement (CPU : Central Processing Unit)
L'unité de traitement numérique exécute les instructions du programme (codées sur 14
bits). Il traite et produit des opérations sur des informations numériques uniquement.
3.4. Les mémoires :
Elles se divisent en trois blocs distincts :
• La mémoire programmes Flash de 1k mots de 14 bits, elle contient les instructions du
programme ainsi que les vecteurs RESET et INTERRUPTION.
• La RAM de 68 octets est utilisée pour le stockage temporaire des données et résultats,
Dans la mémoire de donnée se trouve tous les registres nécessaires pour la configuration et
l'utilisation des périphériques internes ainsi que 68 octets de RAM utilisateurs
• l' EEPROM de 64 octets qui peuvent être lus et écrits depuis le programme. Ces octets
sont conservés après une coupure de courant et sont très utiles pour conserver des paramètres
semi permanents.
3.5. L’horloge :
Associé à un quartz externe, elle génère le signal qui cadence l'exécution des instructions.
Chaque instruction du programme est traitée en un cycle machine (une période de l'horloge
avec une division interne par 4).
3.6. Les ports :
Pour communiquer avec l'extérieur le PIC dispose de 2 ports : PORTA et PORTB. Les
ports sont bidirectionnels, ce qui signifie qu'ils peuvent être configurés et utilisés comme des
entrées ou des sorties. Le microcontrôleur reçoit les informations sur un port d'entrée :
• informations logiques issues de capteurs sur un ou plusieurs bits d'un port d'entrée,
• informations numériques codées sur 8 bits sur un port entier.
• informations analogiques variables dans le temps, si le PIC est doté d'un convertisseur
analogique / numérique.
Le microcontrôleur traite ces données et les utilisent pour commander des circuits qui sont
connectés sur un port de sortie.
3.7. Le Timer :
Le PIC 16F84 dispose d’un Timer, c’est un module programmable dont les fonctions
principales sont :
• La génération de signaux périodiques (astable),
• La génération d'impulsions (monostable),
• Le comptage d'évènements (compteur),
• La génération de signaux PWM (modulation de largeur d'impulsions pour les MCC).
IV. Structure externe du PIC 16F84 :
4.1. Description:
Le PIC16F84 est un microcontrôleur 8 bits de faible coût. Certes, il ne peut se substituer
aux autres microcontrôleurs (68HC11 par exemple) mais il permet toutefois de créer de
nombreuses applications. De plus, avec son jeu d'instructions réduit, il est très agréable à
utiliser lorsqu'on désire s'initier à l'étude d'un microcontrôleur.
4.2. Brochage :
Le PIC16F84 est logé dans un boîtier 18 broches
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BIT7: IRP.
Ce bit n'est pas utilisé avec le PIC16F84 et doit rester à "0".
LE REGISTRE TRISA (ADRESSE 85H).
Le registre TRISA configure chaque E/S du PORTA en ENTREE ou en SORTIE. Apres
un RESET, toutes les E/S sont en ENTREE. Si le bit associé à la porte est à "1", alors elle sera
configurée en ENTREE. Si le bit est à "0", elle sera en SORTIE.
La broche RA4 est multiplexée avec l'entrée d'horloge du registre TMRO.
TABLEAU
bit 7 bit 6 bit 5 bit 4 bit 3 bit 2 bit 1 bit 0
x x x TRISA4 TRISA3 TRISA2 TRISA1 TRISA0
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Si les interruptions sont validées, le programme exécute alors l'instruction qui suit l'instruction
SLEEP. Ensuite, suivant l'état du GIE, le microcontrôleur continue le programme (GIE=0), ou
traite la routine d'interruption (GIE=1).
VI. Le jeu d’instruction du PIC 16F84 :
Un microcontrôleur est caractérisé non seulement par sa structure matérielle mais aussi
par son jeu d’instructions qui permet de traiter les données.
6.1. Les modes d’adressages :
• Immédiat (littéral)
MOVLW 0x55 ; charger la valeur 0x55 dans le registre W
Dans ce mode d’adressage, la donnée est intégrée avec le code de l’opération.
• Direct
MOVF 0x55, W ; charger le contenu de l’adresse 0x55 dans W
Les 7 premiers bits de l’adresse sont intégrés avec le code de l’opération, les 2 bits RP0, RP1
du registre STATUS sont utilisés pour former une adresse sur 9 bits.
• Indirect
MOVF INDF, W ; charger le contenu de case mémoire pointée par le FSR.
L’adresse de la donnée est formée par le contenu du FSR et le bit IRP du registre STATUS.
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Autres instructions
Instruction Syntaxe et exemple Description STATUS
SWAPF SWAPF F, W inversion des 2 quartets de F Aucun
CALL CALL SP Appel du S. programme SP Aucun
GOTO GOTO Loop Saut à l’adresse Loop Aucun
RETFIE RETFIE Fin d’un SP d’interruption Aucun
RETURN RETURN Fin d’un sous programme Aucun
CLRWDT CLRWDT 00 WDT Aucun
SLEEP SLEEP Passer en Mode Sleep Aucun
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ORGANIGRAMME
__________
I. Organigramme :
1.1. Définition :
L’organigramme est la représentation graphique de l’algorithme, il permet de représenter
chaque opération élémentaire au moyen d’un symbole graphique normalisé.
1.2. Symboles de test logique :
L’opération de test logique se fait sur une condition. Le résultat de cette opération
implique le choix d’une voix parmi plusieurs. Le symbole de test logique est couramment
employé pour représenter une décision ou un aiguillage.
1.3. Symboles de traitement :
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Remarques :
• La condition doit forcément s’énoncer au moyen d’une préposition logique
• L’une des deux opération peut ne pas exister, ce qui fait disparaître le sinon.
Algorithme
- Selon cas 1
- cas 1 : faire opération 1
- cas 2 : faire opération 2
- |
- |
- cas n : faire opération n
- Autrement
- Faire opération n+1
- Fin cas
Organigramme
non
Condition
1 vraie ?
oui
Condition non
Opération 1 2 vraie ?
oui
non
Condition n
Opération 2 vraie ?
oui
Remarques :
• Le ‘autrement’ disparaît si l’opération n+1 n’existe pas.
• Si n est grand, l’organigramme devient très important et mal adapté.
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Itérer
Opération 1
- Faire opération 1
- Sortir si condition vraie
oui
- Faire opération 2
Condition
- Fin Itérer Vraie ?
non
Opération 2
Opération 2
2ème cas : l’opération 2 n’existe pas, la structure de la boucle se décrit alors de la façon
suivante :
Algorithme Organigramme
Répéter
- Faire opération 1 Opération 1
- Jusqu’à ce que condition vraie
- Fin répéter
oui
Condition
Vraie ?
non
- Pour I de I1 à I2 I ← I1
- Faire opération
oui
- Fin pour
I = I2 ?
non
Opération
I ← I+1
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1 1 1 1
&
&
&
&
>1 >1
Q0 Q1
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Entrées Entrées
Fusible
Porte"ET"
Porte"OU"
Q0 Q1 Q0 Q1
Cette figure représente la structure interne Si on veut obtenir les fonctions suivantes
d’un PLD ayant ses fusibles intacts. Q0 = a. b + a. b et Q1 = a. b + a. b
Les équations logiques de Q0 et Q1 sont : On « grillera » des fusibles
Q0 = Q1 = a.b.a.b + a.b.a.b + a.b.a.b + a.b.a.b = 0 de façon à obtenir le schéma ci dessus
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REMARQUES :
• Certaines de ces familles possèdent en plus des matrices « ET » et « OU », de la logique
séquentielle (Bascules « D », « JK »...) placée après les entrées ou avant les sorties du PLD.
• Les « PROMs » sont des circuits utilisés en informatique pour mémoriser de façon
définitive des données : ce sont des « Mémoires mortes ». Il existe des versions effaçables
comme les UVPROM (aux U-V) et les EEPROM (électriquement).
2.1. LES PAL (Programmable Array Logic) :
2.1.1. Structure de base d’un PAL :
Les PAL sont les premiers circuits programmables à être utilisés ; ils possèdent une
matrice « ET » programmable et une matrice « OU » fixe ou figée.
Les PAL sont programmés par destruction de fusibles et ne sont donc programmables qu’une
fois. La fusion des fusibles est obtenue en appliquant à leurs bornes, à l’aide d’un
programmateur adapté, une tension de 12 à 15 V pendant 10 à 50 µS.
2.1.2. Les différents types de sortie d’un PAL :
a. Structure de sorties combinatoires :
Ces sorties 3 états sont rebouclées vers la matrice de fusibles. En mode haute impédance,
on peut utiliser une broche de sortie comme étant une variable d’entrée intermédiaire :
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PAL (CE) AA BB CC D EE FF
Type de boîtier
Vitesse
Consommation
Nombre de sorties
Structure de sortie
Nombre d’entrées
CE pour version CMOS
Exemple :
PAL 16 L 8 H 15 PC : c’est un PAL 16 entrées et 8 sorties combinatoires actives à l’état bas
(L) à consommation moyenne (Half) 15 ns de vitesse à boîtier DIL (PC) .
2.2. Les GAL (Generic Array Logic) :
L'inconvénient majeur d'un PAL c’est qu'il ne peut être programmé qu'une seule fois, ce
qui impose un "gaspillage" lors du développement. On a donc pensé à remplacer les fusibles
par des transistors MOS pouvant être régénérés, d'où le terme "Generic Array Logic"(Réseau
logique générique).
Les GAL sont donc des PAL effaçables, avec en plus de macro cellules de sortie
programmables OLMC (OUTPUT LOGIC MACROCELL) ce qui le rend versatile, ce qui
veut dire qu'il est possible par programmation de choisir entre une configuration de sortie
combinatoire ou séquentielle.
La figure ci-dessous montre la structure et la table de fonctionnement d'une OLMC :
* Le multiplexeur 4 vers 1 permet de mettre en circuit ou non la bascule D, en inversant ou
non les signaux ;
* Le multiplexeur 2 vers 1 permet de réinjecter soit la sortie, soit l'entrée du Buffer de sortie
vers le réseau programmable.
Suivant l’état de S0 et S1
on obtient 4 cas de figures
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Une dernière précision concernant la forme d’écriture de l’équation de sortie avec ou sans
complément :
Exemple: S1 pin 34 istype ‘com, buffer’ (s1 = a + b)
Pour travailler avec les nombres, ABEL précise la base du système de numération adoptée
en utilisant les symboles suivants :
Nombre binaire : (^b) exemple : ^b1001
Nombre octal : (^o) exemple : ^o 45
Nombre hexadécimal : (^h) exemple : ^h FA
Nombre décimal : (^d) ou rien exemple : ^ 95
1-Exemple :
EQUATIONS
S1 = a & ! b & ! c # ! a & b & c
S2 = ! (a # b & c)
L = A1==B1
Pour des opérations sur plusieurs bits on déclare le type ensemble ou groupe pour faciliter
l’écriture des équations:
2- Exemple :
Déclarations
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A3,A2,A1,A0 pin ;
S3,S2,S1,S0 pin istype ‘com’
S=[S3,S2,S1,S0] // déclaration du groupe S de 4 bits
A=[A3,A2,A1,A0] // et du groupe A
Equations
A= S<<1 //décalage à gauche de 1 bit: A3=S2 A2=S1 A1=S0 A0=0
S= A & [0,1,0,0] // masque (test du bit A2 ) : S=[0,A2,0,0]
3- Exemple :
Étude d’un comparateur binaire 8 bits :
A = [A7..A0] ; B = [B7..B0];
!S,!I,!E pin istype ‘com’ // déclaration des sorties du comparateur actives à l’état bas
Equations
!S= A>B; // S passe à 0 si les nombres A > B
!I = A<B; // I passe à 0 si les nombres A < B
!E= A=B; // S passe à 0 si les nombres A et B sont égaux
2.3. Description par table de vérité :
Commencée par le mot Truth_Table suivi des nombres de variables d’entrée et de sortie, on
établit juste après la table de vérité en respectant les dispositions des variables d’entrée et de
sortie comme le montre l’exemple suivant :
Exemple : Décodeur BCD 7 segments :
N = [A3,A2,A1,A0]
Truth_table ( N -> [a,b,c,d,e,f,g])
0 -> [1,1,1,1,1,1,0] ; // affichage du 0 dans le cas d’un afficheur cathode commune
1 -> [0,1,1,0,0,0,0] ; //affichage du 1 dans le cas d’un afficheur cathode commune
2 -> [1,1,0,1,1,0,1] ; //affichage du 2 dans le cas d’un afficheur cathode commune
3 -> [1,1,1,1,0,0,1] ; //affichage du 3 dans le cas d’un afficheur cathode commune
4 -> [0,1,1,0,0,1,1] ; //affichage du 4 dans le cas d’un afficheur cathode commune
5 -> [1,0,1,1,0,1,1] ; // affichage du 5 dans le cas d’un afficheur cathode commune
6 -> [1,0,1,1,1,1,1] ; //affichage du 6 dans le cas d’un afficheur cathode commune
7 -> [1,1,1,0,0,0,0] ; //affichage du 7 dans le cas d’un afficheur cathode commune
8 -> [1,1,1,1,1,1,1] ; // affichage du 8 dans le cas d’un afficheur cathode commune
9 -> [1,1,1,1,0,1,1] ; // affichage du 9 dans le cas d’un afficheur cathode commune
2.4. Description par diagramme d’état:
Le diagramme d’état est souvent avantagé dans le cas des machines séquentielles
dont le fonctionnement est décrit par l’enchaînement séquentiel des états de sortie.
Format du diagramme :
QSTATE = [Qn …Q1] ;
A = [Qn …Q1] ;
B = [Qn …Q1] ;
..
M = [Qn …Q1] ;
Instruction GOTO : (aller à)
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Utilisée pour les transition d’état inconditionnelles. GOTO peut être utilisée si
l’état présent n’offre qu’un seul état suivant.
Exemple : Conception d’un compteur modulo 4. par le GAL P16V8.
14 15 2 1
Q1 Q0 Q0 Q1
R H
Constantes spéciales et extensions :
Constantes
.C. entrée d'horloge bas-haut-bas (monostable)
.K. entrée d'horloge haut-bas-haut (monostable)
.U. front montant d'une entrée horloge
.D. front descendant d'une entrée horloge
.X. valeur indéterminée à calculer
.Z. valeur trois état
.P. préchargement dans un registre
extensions
.clk entrée d'horloge pour bascule
.AR reset asynchrone de la bascule
.AP preset asynchrone de la bascule
Diagramme d’état:
Etat B
[Q1, Q0] =
[0,1]
Etat A
[Q1, Q0] = Etat C
[0,0]
[Q1, Q0] =
[1,0]
Etat D
[Q1, Q0] =
[1,1]
MODULE Compteur
TITLE ‘Compteur modulo 4'
Compteur device ‘P16V8’
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DECLARATIONS
H, R pin 1, 2 ; // Variables d'entrée
Q0, Q1 pin 14, 15 Istype 'reg, buffer '; // Variables sortie
EQUATIONS
[Q1, Q0].clk : = H ;
[Q1, Q0].AR : = ! R;
QSTATE = [Q1, Q0] ;
A = [0, 0] ;
B = [0, 1] ;
C = [1, 0];
D = [1, 1];
STATE_DIAGRAM QSTATE
State A: GOTO B;
State B: GOTO C;
State C: GOTO D;
State D: GOTO A;
TEST_VECTORS ([R, H,] -> [Q1, Q0])
[0, .X.] -> [0, 0] ;
[1, . C.] -> [0, 1] ;
[1, . C.] -> [1, 0] ;
[1, . C.] -> [1, 1] ;
[1, . C.] -> [0, 0] ;
END Compteur
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LES RESEAUX
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1. Définition : 139
2. Principe : 139
3. Exemple : 139
4. Parité : 139
5. Intérêt de la communication série : 139
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LES RESEAUX
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I. Généralité sur les réseaux informatiques :
1.1 Définition :
Un réseau est un ensemble d’objets connectés entre eux. Il permet de faire circuler un
certain nombre d’information entre ces objets selon des règles bien définies. Un réseau permet
de partager des informations ou des applications, la communication entre personnes ou entre
processus…
Pour communiquer entre eux, les réseaux utilisent des règles, l’ensemble de ces règles est
appelé le protocole de communication.
Il existe 3 grands types de réseaux :
• Les réseaux informatiques ou réseaux d’entreprises (Ethernet)
• Les réseaux de terrain (CAN).
• Les réseaux capteurs actionneurs.
1.2. Les Catégorie de Réseaux :
Les réseaux peuvent être répartis selon la distance couverte en trois grandes catégories :
a. Réseaux locaux (LAN : Local Area Network) :
Ils correspondent à des réseaux limités en distance car ils permettent le transport des
données sur la distance d’un immeuble.
b. Réseaux métropolitains (MAN : Metropolitain Area Network) :
Ils correspondent à une interconnexion de plusieurs bâtiments situés dans une même ville et
peuvent constituer des réseaux locaux entre eux.
c. Réseaux étendus (WAN : Wide Area Network) :
Ils sont destinés à transporter des données à l’échelle d’un pays. Le réseau est soit terrestre
et utilise des équipements au niveau du sol, soit satellite et utilise des équipements spatiaux.
1.3. Les Topologies Physiques :
C’est la façon dont les ordinateurs sont matériellement interconnectés, on trouve en
général 4 typologies :
• Topologie en bus
• Topologie en étoile
• Topologie en anneau
• Topologie en maille
a. Topologie en bus :
Très simple, les stations sont directement reliées à un câble (média) dont chaque
extrémité est terminée par un bouchon ou terminateur. Les différents éléments du réseau sont
montés en série.
Le bouchon de terminaison empêche le signal de rebondir en l’absorbant.
Sans bouchon de terminaison, le signal retourne sur le média en créant des parasites.
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b. Topologie en étoile :
c. Topologie en anneau :
d. Topologie en maille:
e. Comparaison:
Topologie Avantages Inconvénients
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Noeuds
Collision
Toute information envoyée par un nœud atteindra tous les autres nœuds du réseau.
Chaque nœud a une adresse unique. Il reste constamment en écoute du câble pour détecter les
signaux qui passent sur le réseau. Au passage d’un signal, il vérifie si l’adresse destinataire est
son adresse. Si c’est le cas, il prend le message et le lit, sinon il le néglige.
Si un nœud veut émettre, il doit s’assurer qu’il n’y a aucun message sur le câble. Il peut
arriver que deux nœuds émettent en même temps, il y aura alors une collision qui sera
entendue par l’ensemble des nœuds du réseau. L’émission sera reprise après un temps
aléatoire qui, en général, n’est jamais le même. Ce temps aléatoire fait de CSMA/CD une
méthode non déterministe. Plus le nombre de collisions est élevé, plus le débit des
communications ralentit. La méthode CSMA/CD a été adoptée par un standard qui s’appelle
ETHERNET. La topologie Ethernet s’applique aux réseaux en BUS ou en ETOILE.
b. Token Ring (Le jeton): Jeton
Noeuds
Un jeton est un signal qui circule constamment sur le réseau, de poste en poste.
Lorsqu’une station désire émettre, elle doit attendre de recevoir le jeton dans un état libre. Elle
le charge avec les informations, le marque occupé et elle le renvoie sur le réseau à la station
suivante. Cette station vérifie le message, trouve que c’est occupé, contrôle si il lui est destiné.
Si c’est le cas, elle lit les informations, rajoute une indication qui va informer la station
expéditrice que son message a été reçu. Si, par contre, le message ne lui est pas destiné, elle le
réécrit et le laisse passer à la station à côté.
Ce travail se refait par chaque station jusqu’à ce que le jeton arrive à la station émettrice qui
vérifie si le message a été reçu. Si c’est le cas, elle libère le jeton et le renvoie sur le câble.
La méthode d’accès à jeton a été adoptée par le standard TOKEN-RING.
La topologie Token Ring s’applique aux réseaux en ANNEAU.
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Pour atteindre une valeur spécifique, le signal passe par un ensemble de valeurs (se présente
sous forme de variations pouvant prendre plusieurs valeurs entre deux instants).
2.2. La bande passante : C’est la gamme de fréquence que laisse passer un canal de
transmission sans déformation. C’est la différence entre la plus haute et la plus basse
fréquence que laisse passer le canal (propagation). Cette bande passante dépend des
caractéristiques physiques des canaux (matière, dimension, longueur) et de l’environnement
susceptible de la perturber.
2.3. Le débit : C’est la quantité d’informations transportée pendant un temps donné. Il
s’exprime en bits par seconde.
2.4. ETTD (Equipement Terminal de Traitement des Données) :
Selon les définitions officielles données par le CCITT (Comité Consultatif International
Téléphonique et Télégraphique), devenu récemment ITU (International Télécommunication
Union), la transmission suppose une source de données et un récepteur de données
communiquant à travers un canal de transmission. Source et récepteur sont des terminaux
officiellement appelés ETTD (exemple : ordinateur)
2.5. ETCD: Equipement Terminal de Circuit de Données ou DCE Data Circuit Equipment:
La connexion des terminaux (ETTD) au canal nécessite généralement une adaptation qui
sera réalisée par un ETCD. Les ETCD permettent d’adapter le flux de données aux conditions
de la ligne et de faire les transformations : Analogique Numérique
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Clients et
Serveur Imprimante
partagée
SERVEUR
Imprimante
SERVEUR
CLIENTS
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Emetteur
Récepteur
b- SWITCH : Les machines sont reliées individuellement aux entrées d’un concentrateur –
commutateur appelé SWITCH. Les trames envoyées sont aiguillées directement à la
machine destinatrice.
Emetteur
Récepteur
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4.1.4. Le routeur :
Le routage est la technique qui permet d’échanger des informations d’un poste d’un réseau
vers un autre poste situé sur un autre réseau. Le routage fait appel à un équipement
matériel spécifique. Le routeur comporte trois fonctions principales
• Permettre la communication entre des machines n’appartenant pas au même réseau.
• Offrir un accès Internet à des utilisateurs d’ordinateur en réseau local.
• Il comporte généralement un système de filtrage des paquets IP qui bloque les accès
non autorisés à un réseau, ce système s’appelle un pare-feu (firewall)
La constitution d’un réseau privé (LAN, MAN ou WAN) constitue un INTRANET.
Si une entreprise autorise ses partenaires à utiliser en partie son Intranet alors elle crée un
EXTRANET.
La communication a lieu via INTERNET: un ensemble de réseaux privés reliés les uns aux
autres.
Réseau 1 Réseau 2
INTERNET
Routeur Routeur
classe de réseau. Ces adresses sont dites publiques car tout le monde peut les utiliser à souhait
au sein d’un réseau local. On choisira entre ces 3 classes suivant l’importance du réseau.
Nombre de Nombre de
Classe réseaux machines Adresse IP
possibles adressables
Masque de sous
Classe réseau associé Equivalent binaire
A 255.0.0.0 11111111.00000000.00000000.00000000
B 255.255.0.0 11111111.11111111.00000000.00000000
C 255.255.255.0 11111111.11111111.11111111.00000000
Machine 1 Machine 2
Adresse IP 192.59.66.200 192.59.66.17
Masque de sous réseau 255.255.255.0 255.255.255.0
Résultas de l’application du masque 192.59.66.0 192.59.66.0
L’application du masque sur les 2 adresses IP donne le même résultat, les 2 machines
appartiennent au même réseau, elles peuvent donc communiquer directement sans passer par l
le routeur.
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Un double-clic sur un ordinateur vous permet d'accéder à ses ressources partagées (dossiers
et imprimantes) de la même façon que vous accédez aux vôtres.
Pour imprimer sur une imprimante du réseau, il vous faut d'abord l'installer chez vous. Le
plus simple pour cela est de cliquer avec le bouton droit sur l'imprimante partagée de
l'ordinateur distant, et faire 'installer...'.
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1.3. Remarques :
1- Le protocole Modbus est très utilisé pour les communications des automates
programmables industriels et des variateurs de vitesse des moteurs électriques.
2- Avant et après chaque message, il doit y avoir un silence équivalent à 3,5 fois le temps
de transmission d’un mot.
3-L’ensemble du message doit être transmis de manière continue. Si un silence de plus de
1,5 fois le temps de transmission d’un mot intervient en cours de transmission, le destinataire
du message considérera que la prochaine information qu’il recevra sera l’adresse du début
d’un nouveau message.
II. La liaison RS-485 :
2.1. Définition :
C’est une liaison série, de type asynchrone, différentielle qui permet un débit élevé -
jusqu'à 10 Mégabits/seconde- sur une distance importante -jusqu'à 1200m.Elle dispose de 2
bornes d'émission polarisées notées T (+), T (-) et de 2 bornes de réception polarisées notées
R (+), R (-).
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II. Principe :
L'octet à transmettre est envoyé bit par bit (poids faible en premier) par l'émetteur
sur la ligne Tx, vers le récepteur (ligne Rx) qui le reconstitue. La vitesse de transmission de
l'émetteur doit être identique à la vitesse d'acquisition du récepteur. Ces vitesses sont
exprimées en BAUDS (1 baud correspond à 1 bit / seconde, dans notre cas). La transmission
étant du type asynchrone (pas d'horloge commune entre l'émetteur et le récepteur), des bits
supplémentaires sont indispensables au fonctionnement: bit de début de mot START, bit(s) de
fin de mot STOP. D'autre part, l'utilisation éventuelle d'un bit de PARITE, permet la
détection d'erreurs dans la transmission
III. Exemple :
Transmission du code $82 avec 1 bit de stop, sans bit de parité $82 donne 1000 0010
IV. Parité :
La parité est une technique qui permet de vérifier que le contenu d'un mot n'a pas été
changé accidentellement lors de sa transmission
L'émetteur compte le nombre de 1 dans le mot et met le bit de parité à 1 si le nombre trouvé
est impair, ce qui rend le total pair : c'est la parité paire
On peut aussi utiliser la parité impaire
Exemple: transmission de $82, puis $F1, avec parité paire et 2 bits de " stop "
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