Psychologie cognitive et psychologie du développement

Certitude d’être dans la vérité de façon unilatérale et désignation d’un « mauvais objet » constituent les deux piliers du fanatisme. Mais le fanatisme n’est pas que religieux, il peut être le fait de groupes y compris politiques,  de sectes, institutions, y compris officielles. L’histoire européenne récente nous le rappelle : le nazisme, le communisme ont été des formes de fanatisme.
Comprendre son fonctionnement, ses modalités, est un enjeu primordial, en tant que phénomène de groupe autant que sur le plan psychologique individuel. En effet, le fanatisme est constitué de processus inconscients simples, compréhensibles par tous, mais qui se masquent derrière des pseudo évidences ou des raccourcis de « pensée » qui sont en fait des « ressentis » des affects manipulables. C’est à les mettre à jour que s’emploie l’auteur de ce livre afin que nous n’en soyons plus le jouet.
Le champ d’étude appliqué ici allie analyse organisationnelle (organisation : institution, entreprise, administration, association, etc.), sciences du comportement (Palo Alto, communication, etc.) et grille psychanalytique pour rendre compte de ce phénomène qui traverse toutes les époques.

Le monde à notre porte :
l’apport de la culture et de la diversité dans la pratique psychiatrique

Vincenzo Di Nicola, MPhil, MD, PhD, FRCPC, DFAPA

Présentation à l'Institut de Santé Mentale de Montréal
Université de Montréal
8 février 2019

Survol de la présentation

Cette présentation présente une manière de travailler avec des enfants et des familles traumatisées à travers des cultures.

En ce qui concerne les traumatismes chez les enfants, nous devons répondre à trois questions fondamentales:

Pourquoi le développement est important
Pourquoi la famille est important
Pour la culture compte

Développement – famille – culture

Ces trois aspects constituent des contextes essentiels pour comprendre les « traumatismes séquentiels » des jeunes (Hans Keilson, 1992)

Illustrés par deux vignettes cliniques :
« Un train de traumatismes »
« La clinique de mémoire »

1. Fournir un cadre pour l'interaction de trois volets cruciaux pour la psychiatrie :

Culturel (anthropologie, psychologie interculturelle, psychiatrie transculturelle);
Social (déterminants sociaux de la santé); et
Relationnel (théorie de l'attachement, théorie des systèmes et thérapie familiale).

2. Démontrer la pertinence de l'interaction de ces domaines avec des exemples de leurs synthèses :

Thérapie familiale culturelle (psychiatrie transculturelle avec thérapie familiale);
Psychiatrie transculturelle pour enfants (psychiatrie transculturelle avec pédopsychiatrie);
Santé mentale globale axée sur l’enfant et la famille (santé mentale globale avec pédopsychiatrie et thérapie familiale).

3. Donner des exemples cliniques de syndromes liés à la culture et de changement de culture, tels que :

le Mutisme sélectif, et

les Troubles liés au traumatisme et au stress

Dans « L’enfant d’âge scolaire : raisons cognitives et raisons sociales », un extrait de Les Étapes de la sociabilité (1952) par Henri Wallon, l’auteur décrit comment un enfant grandit intellectuellement et socialement au début du temps quand la scolarité devient obligatoire (l’âge de six à sept ans). L’extrait, qui est vraiment Wallonian, présente beaucoup de thèmes récurrent que Wallon a étudié, comme les liens entre la personnalité, l’intelligence, et la sociabilité ; la relation entre l’enfant et ses parents tout au long des années de l’enfance ; et la réciprocité d’enfant et les rapports aux autres.

Peut-être faut-il entre vrais frères et sœurs invoquer de faux amis linguistiques pour mieux comprendre la place de la femme dans la société maçonnique en rendant celle-ci definitly et actually effective selon l’acception des mots anglo-saxons associée à une signification apparentée dans notre langue, c’est-à-dire absolument, définitvement et immédiatement, réellement disponible.

Diverses méthodes d'interfaçage Homme/Machine se confrontent et se complètent, suivant une gradation allant du peu invasif, le contact, jusqu'au totalement invasif, la greffe. Il ressort de cette recherche comparative portant sur le recours à des dispositifs implantés actifs comme sur l'utilisation de différentes prothèses détachables (membres bioniques, interfaces haptiques, informatique pervasive et systèmes de réalité augmentée), que l'implantation d'une endoprothèse est acceptée principalement parce qu'elle est perçue comme un moyen de prolonger l'espérance de vie ou d'améliorer significativement la qualité de vie. La pose des implants informatisés s'inscrit dans le contexte de l' »Humain réparé ». Dans ce domaine, des relations étroites entre patients, médecins, constructeurs d'implants et pouvoirs publics donnent lieu à la mise en place d'un accompagnement social structurant qui permet de limiter fortement de nombreuses dérives liées à un usage inapproprié. Cependant, il s'avère que l'essentiel de l'émergence actuelle de l' »Humain augmenté » ne découle pas du recours à des implants ni à des prothèses de membres, car la diffusion de ces appareils est limitée à un très faible effectif de la population mondiale. On assiste à un déferlement d'objets informatisés détachables (comme les smartphones et les tablettes tactiles, par exemple). Ces outils, diffusés massivement, sont principalement des prothèses cognitives. Or, l'usage fréquent de ces appareils semble pourtant en mesure d'exercer une forme de modification subtile de l'activité cognitive et peut transformer significativement les rapports sociaux ainsi que certains processus pédagogiques essentiels.

Paul Klee, un artiste allemand, a souligné la lutte éternelle des êtres humains pour synthétiser la « vision intérieure » avec « l'expérience extérieure ». "J'ai vu l'ange dans le marbre et je l'ai sculpté jusqu'à ce que je le libère." - Michel-Ange "La beauté est l'illumination de l'âme!" - Poète-théologien O'Donohue, Art et vie psyché-psychique inconsciente Carl Jung Art-Créativité , l'imagination et la beauté [divine] La Renaissance italienne était l'épicentre du mouvement de la Renaissance - qui était en effet un mouvement et servait de conscience sociale au même titre que l'était le siècle des Lumières - et, outre les artistes immortels tels que Léonard de Vinci, Michel-Ange, et Raphaël, il y avait un certain nombre d'autres artistes importants comme Masaccio, Fra Angelico, Piero Della Francesca et Sandro Botticelli qui ont réalisé des réalisations importantes menant à la Haute Renaissance. Léonard de Vinci a observé que « le plaisir le plus noble est la joie de comprendre ». C'est quelque chose auquel je peux personnellement m'identifier puisque ce que j'écris est « compréhension » contre l'illumination - en partie parce que je crois que la véritable illumination n'est pas vraiment possible sans comprendre la conscience-spiritualité - que la psychologie dominante avec ses préjugés matérialistes réprime (sévèrement) !
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L’écriture encadre le travail clinique du psychologue. Il prépare la rencontre et permet d'en reprendre les moments clé pour formuler un diagnostic, établir un plan de traitement et en suivre les différentes étapes. Elles sont utiles pour l'établissement du bilan psychologique, la communication avec des tiers, la formation et la recherche. Le format de notes SOAP est décrit. Ses avantages sont mis en évidence et des recommandations sont formulées.

La recherche de stratégies pour encourager la motivation des élèves et leur engagement dans la tâche est une problématique que les enseignants connaissent bien, et un important sujet de recherche scientifique dans le domaine de la psychologie cognitive. Dans ce contexte, les jeux sérieux et jeux éducatifs se révèlent un outil qui, en dépit d’un intérêt croissant, demeure encore largement inexploité. Par l’analyse de données quantitatives recueillies après d’élèves du secondaire, nous avons cherché à démontrer si les élèves engagés dans la narration d’un jeu de rôle éducatif présentaient au terme de l’activité de meilleurs indices d’autodétermination et scores moyens de motivations intrinsèque que les élèves d’un groupe témoin. Les résultats montrent que la motivation autodéterminée et intrinsèque de ces élèves accuse au terme de l’activité une progression plus importante que ceux du groupe témoin. Ces résultats nous invitent à considérer de manière positive le rôle de la narration et des jeux éducatifs comme outils didactiques, et à considérer le développement de nouveaux outils permettant de renforcer les effets positifs de la narration sur les apprenants.

L'engouement des temps modernes pour le cristal, le culte de la pierre préhistorique et le galet « Makapango » (3 Mya) L'engouement de temps moderns pour le cristal « Jessie Oatman souffrait d'une rupture-elle pensait qu'elle venait de perdre l'amour de sa vie-quand elle a décidé pour la première fois d'essayer les cristaux de guérison. Le coeur de la femme de 34 ans s'est senti bloqué, dit-elle, comme s'il s'était brisé en cent mille morceaux. Ses épaules ont commencé à se courber sous ce qu'elle croyait être la lourde charge du chagrin d'amour. Et donc l'amie d'Oatman, qui étudiait le chamanisme à l'époque, a placé une série de pierres le long de ses chakras, une chaîne de sept portails énergétiques linéaires. Les vibrations et les propriétés curatives des cristaux, selon certains, aident à nettoyer les chakras de l'énergie négative persistante et à redresser à nouveau le corps et l'esprit. L'ami a placé un morceau de quartz rose rose pâle, la "pierre d'amour", censée ouvrir et apaiser un coeur douloureux, sur la poitrine d'Oatman. L'expérience a été transformatrice. « J'ai pu déplacer une partie de l'énergie bloquée qui était là », dit Oatman. "Je me souviens que le poids qui était autrefois sur mon coeur était levé avec un réel accent sur le chakra du coeur, en utilisant ce quartz rose." Oatman s'est marié depuis son premier nettoyage de chakra, et le quartz rose reste son cristal préféré.

Cette époque idiote et monotone d'aveuglement spirituel !" Dans le roman épique, Steppenwolf, écrit par Hermann Hesse et publié pour la première fois en 1927, il semblerait qu'une partie de l'écriture du roman puisse, en vérité, être considérée comme proprement prophétique-en particulier en ce qui concerne certains des aspects psychologiques et spirituels de notre société et notre culture contemporaines. Steppenwolf, le personnage et l'individu central du roman, dénonce l'essence vide de sa société, lorsqu'il proclame : « Ah, mais il est difficile de trouver cette trace du divin au milieu de cette vie que nous menons, dans cette époque idiote et banale d'aveuglement spirituel, sa politique, ses hommes !... Et en fait, si le monde a raison, si cette musique de cafés, ces jouissances de masse et ces hommes américanisés qui se contentent de si peu ont raison, alors Je me trompe. Je suis fou. Je suis en vérité le Steppenwolf et c'est ainsi que je m'appelle souvent ; cette bête égarée qui ne trouve ni foyer ni joie ni nourriture dans un monde qui lui est étranger et incompréhensible" (p. 48-49). Le miracle-et la mort de M. Wright Le pouvoir des croyances et des idéologies est parfois incroyable ! Andrew Newberg, neuroscientifique et auteur, raconte l'histoire étonnante et choquante de M. Wright, racontée par son médecin, le Dr Klopfer. L'histoire commence avec M. Wright à la porte de la mort. « Son corps était criblé de tumeurs, son foie et sa rate étaient hypertrophiés, ses poumons étaient remplis de liquide et il avait besoin d'un masque à oxygène pour respirer » (p.3). En entendant parler du nouveau médicament Krebiozen, présenté par les médias comme un remède miracle, M. Wright a supplié Dry Klopfer de recevoir le médicament. Le Dr Klopfer lui a fait une injection vendredi. À son retour lundi, le Dr Klopfer a découvert, à son grand étonnement, que « M. Les tumeurs de Wright avaient diminué de moitié de leur taille d'origine, ce que même les traitements de radiothérapie n'auraient pas pu accomplir... et après dix jours, pratiquement tous les signes de la maladie avaient disparu. » Mais ce n'est pas la fin de l'histoire.

Chaque homme est une créature de l’époque dans laquelle il vit et peu sont capables de s’élever au-dessus des idées du temps. -Voltaire
Mannheim et la synergie historique : L'argument de Mannheim relevait plutôt du bon sens : la réalité économique et politique aurait une profonde influence sur les visions du monde et les sciences sociales - philosophie, psychologie, sciences politiques - et même sur les opinions spirituelles et religieuses. Le bon sens semblerait dicter que les visions du monde et les orientations des gens doivent nécessairement adopter et s'adapter à la « réalité » économico-politique et au « monde physique » dans lequel ils vivent. Historiquement, cela s'est avéré être une bonne règle empirique, même si elle n'est pas parfaite. modèle pour ainsi dire. La vision du monde de Mannheim était conforme à celle de nombreux autres philosophes de son époque - Nietzsche, Gasset, etc. Et comme l'observait Voltaire : « Chaque homme est une créature de l'époque dans laquelle il vit et rares sont ceux qui sont capables de s'élever au-dessus des idées de l'époque. .» Malheureusement, même pour les universitaires et les scientifiques d’aujourd’hui, cela est trop vrai.
En termes de perspective, il existe une grande différence entre la raison et l’analyse rationnelle. L’analyse rationnelle est considérée par certains comme intrinsèquement bonne. L’analyse rationnelle est un outil – utilisé par les nazis pour améliorer l’efficacité de leurs camps de la mort ou par les scientifiques pour améliorer la production alimentaire. De même, il existe une énorme différence entre l’ère de la raison et ce nouvel âge du matérialisme. La vision largement répandue de la vérité comme conditionnelle et en partie comme un produit de conventions sociales (Nietzsche ou de circonstances (Gasset), de la pensée et de la méthodologie matérialistes est intolérante et absolue en raison de l'accent mis sur la quantification.
Esther, l'administratrice d'un groupe FB "neurosciences", m'a envoyé un message disant : "Esther ************ Charles Peck Jr "il y a des théoriciens d'il y a des années qui n'étaient pas aussi scientifiques que des théoriciens plus modernes. théoriciens. C'est parce que nous suivons la méthode scientifique et que nos théories sont donc issues de la déduction scientifique à travers la méthode empirique. Nos pratiques d'aujourd'hui ne sont pas simplement concoctées dans de simples observations ou ouï-dire. Les pratiques et les approches ne sont pas des philosophies mais des théories et des lois scientifiquement reproductibles. (pas seulement des intuitions et des hypothèses). D’après les discussions, je dirais que la vision de la science en termes d’absolu est courante et répandue. Nietzsche, Gasset et Mannheim ont été écartés par les nouveaux matérialistes. Ils ignorent également les neuroscientifiques modernes comme Damasio. Antonio Damasio, le célèbre neuroscientifique, déclare dans Descartes " Erreur : l'émotion, la raison et le cerveau humain (2005), "Je suis sceptique quant à la présomption d'objectivité et de caractère définitif de la science. J'ai du mal à considérer les résultats scientifiques, en particulier en neurobiologie, comme autre chose que des approximations provisoires."
La méthodologie matérialiste « restreint et limite considérablement les analyses qui peuvent être effectuées ».
En fin de compte, les matérialistes « sont arrivés au pouvoir » et sont devenus la force dominante au sein de l’institution universitaire – et ont apporté avec eux l’argument selon lequel la quantification rend la science infaillible. D’un point de vue purement scientifique, c’est le contraire, comme le souligne McGilChrist. Comme Claudia Nielsen l’a souligné, la psychiatre McGilChrist observe que « la portée de l’enquête et de la compréhension de la doctrine matérialiste, avec son adhésion rigide au principe en réalité arbitraire de quantification et l’accent excessif mis sur les caractéristiques physiologiques, est sévèrement restreinte et limitée dans les analyses qui peuvent être exécuté. » La moitié de la conscience humaine n'est pas quantifiable : l'espoir, l'art, les rêves, la musique, la poésie, le véritable amour, l'émerveillement, la liberté, les idéaux, la justice, sans parler de la mort. Je voudrais brièvement me demander comment une méthodologie – décrite par McGilChrist comme une « adhésion rigide à la quantification » – qui est appropriée à la physique ou à la chimie, a été appliquée à la conscience humaine est ahurissante. J'ajouterais que – si l'on regarde de près les sciences sociales, la méthodologie matérialiste a généré un parti pris assez sérieux de la part des chercheurs – aucune forme viable de conscience sociale, pas de croyances spirituelles et religieuses comme moteur et motivation, pas de « communauté ». » Dans la « définition universellement acceptée de la religion », aucune norme prosociale apparente inhérente aux théories de la psychologie (c'est-à-dire la théorie sociale cognitive – faible en termes de motivation)

La perspective est importante dans n'importe quoi, mais surtout dans la spiritualité qui a de telles "perspectives divergentes!" Ce serait également vrai pour les autistes qui ont tout un éventail de types divergents tous dans la catégorie de l'autisme. Le physicien Frank Walczak, faisant écho à la déclaration du physicien Wolfgang Pauli selon laquelle « bien que [la physique des particules] permette une forme d'observation acausale, elle n'a en fait aucune utilité pour le concept de « signification » ! » a observé que « Pour rendre pleinement justice à la réalité, nous devons l'aborder sous différents angles. C'est le principe philosophique de la complémentarité. C'est une leçon d'humilité que la théorie quantique force à notre attention. La complémentarité est à la fois une caractéristique de la réalité physique et un leçon de sagesse. Vous devez voir le monde de différentes manières pour lui rendre justice, et les différentes manières peuvent chacune être très riche, peuvent chacune être cohérentes internement, peuvent chacune avoir son propre langage et ses propres règles. Mais elles peuvent être mutuellement incompatibles-et pour rendre pleinement justice à la réalité, vous devez tenir compte des deux."

D'ordinaire, la plupart des gens, si on leur demandait si «Le sens de la vie» pouvait être découvert dans un laboratoire, seraient plutôt douteux d'une telle entreprise. Le bon sens indiquerait clairement que la portée de l'enquête dans un laboratoire serait très limitée et incapable de réaliser une analyse raisonnable du sens de la vie. Mais c'est ce que prétend la psychologie académique traditionnelle - avec vigueur et virulence. La doctrine matérialiste qui domine la psychologie académique est complètement et totalement fixée sur la «quantification physiologique». En plus de cela, les matérialistes stricts insistent catégoriquement sur le fait que tout ce qui se trouve en dehors du laboratoire ne compte tout simplement pas. Ainsi, la grande majorité des gens ont accepté - involontairement et en grande partie inconsciemment - la prémisse que «le sens de la vie» peut être déterminé dans un laboratoire et défini par des universitaires matérialistes.

Comme l'a souligné Claudia Nielsen, le psychiatre McGilChrist a astucieusement observé que «la portée de l'enquête et de la compréhension de la doctrine matérialiste avec son adhésion rigide au principe réellement arbitraire de quantification et une suraccentuation des caractéristiques physiologiques est sévèrement restreinte et limitée dans les analyses qui peut être effectuée." Comme le fait remarquer Kay Deux, un psychologue social, la fixation de la psychologie sociale sur les expériences de laboratoire exclut les «manifestations affectives» et les émotions. Autrement dit, la doctrine matérialiste exclut certains faits, informations et preuves en raison de la fixation sur la quantification physiologique. Par exemple, quand il s’agit de contourner et d’ignorer les instincts parce que les génocides ne peuvent pas être mis en laboratoire, ce n’est pas un problème anodin, mais cela a eu un effet préjudiciable majeur sur la compréhension du racisme par les gens.

La spiritualité s'est empêtrée dans les abstractions :
D’après la recherche et l’expérience, il ressort clairement que la spiritualité s’est enchevêtrée dans les abstractions : pouvoirs, perfection, surnaturel, irréel, connaissances illimitées, perceptions de boules de cristal, etc.
Le Dr Stephen Farra a répondu : « Un bon article court – réfléchi et précis : un manque de croyance dans le « libre arbitre » (direction volontaire de la vie) conduit régulièrement à un sentiment d'absurdité. désespoir et comportement personnel contraire à l’éthique. Nos paradigmes sont notre façon d’aborder la réalité, mais ils ne sont pas la réalité. Comme le suggère Charles Peck Jr., nous nous perdons dans nos propres abstractions ! »

Bien qu’ennuyeuses, les méthodes scientifiques fondamentales telles que la catégorisation sont importantes.
"Nous devenons ce que nous pensons!" – Bouddha Une question cruciale Le Dr Farra a déclaré : « Nos modèles sont hors de la réalité. Mais nos modèles ne sont pas la réalité ! » Cela coïncide avec l’immortel philosophe Kant qui soutient que nous ne percevons pas le monde réel – mais des « représentations » du monde réel. De même, Bargh – issu de recherches inconscientes – met l’accent sur les catégories mentales et les normes/stéréotypes. Jung met l’accent sur les symboles – qui, selon lui, sont extérieurs aux évaluations cognitives. L’essentiel est que les « modèles » – et la façon dont nous envisageons le monde – ne sont pas seulement des questions-problèmes cruciales et importantes – mais vitaux.

Catégorisation des mots spirituels fructueux et réels
1. Spiritualité de la compassion : The Oxford Handbook on Compassion : « La compassion pour les autres et le soutien social ont une valeur de survie et des avantages pour la santé…. (page 171)
2. Spiritualité musicale - une illustration par excellence : Il est remarquable de constater combien d'études sur la musique en tant que spiritualité et en tant que trait adaptatif évolutif sont essentielles au développement de la société humaine. Shulkin et Raglan observent "Notre évolution est étroitement liée à la musique et au corps en tant qu'instrument (par exemple, applaudir). La musique, entre autres choses, contribue à faciliter la coopération sociale et les comportements coordonnés."
3. Prophétie, poésie et spiritualité - Créativité, transcendance : "Le prophète est un poète. Son expérience est connue des poètes. Ce que les poètes appellent inspiration poétique ; les prophètes appellent révélation divine" - Heschel
4. Normes/spiritualité pro-sociales Kapwa-loob Kapwa & Spiritualité Relationnelle : une identité partagée, un moi intérieur, partagé avec les autres…. l'unité de soi et l'autre Kapwa-loob sont deux aspects uniques de la culture aux Philippines
  Comme l’observe K Lagdameo-Santillan, dans son article Roots of Filipino Humanism, « le Kapwa est la reconnaissance d’une identité partagée, d’un moi intérieur, partagé avec les autres. Cette unité linguistique philippine de soi et de l’autre est unique et différente de la plupart des langues modernes.
Dans les sciences sociales philippines, le loob a néanmoins été exploré de nombreuses façons, comme étant une « grotte » de la pensée philippine, un état émotif, un véritable moi, un centre de la personnalité, un monde d’être et une valeur autochtone fondamentale (Pe -Pua, 2017). Cependant, dans la philosophie éthique récente, loob est parfois utilisé dans des contextes où il peut justement être traduit par « volonté relationnelle » puisqu’il s’agit d’une volonté dirigée vers autrui (Reyes, 2015).
4. Spiritualité des enfants Donna Thomas : « Les enfants et les jeunes vivent généralement des expériences anormales « positives » et « négatives » qui sont réduites au silence, ignorées ou médicalisées par les « adultes en autorité ». Qu'elles soient « positives » ou « négatives », les expériences anormales peut catalyser l’auto-guérison des enfants et des jeunes. Grâce aux enfants qui acquièrent une plus grande conscience de soi et un sentiment d’interconnexion entre eux-mêmes, les autres et le monde.
5. Spiritualité artistique : Robert K. Johnston déclare : « Un sondage réalisé par George Barna au tournant du millénaire n'a pas seulement révélé que 20 pour cent des Américains se tournent vers « les médias, les arts et la culture » comme leur principal moyen d'expérience et d'expression spirituelle. ..."
6. Guérison des expériences spirituelles et psychiques lors du deuil « À l'inverse, l'expérience a montré aux soignants pastoraux que les individus semblent mieux faire face s'ils peuvent « actualiser » leurs expériences spirituelles en temps de crise.
7. T'boli Dream Weaving/T'nalak – Les rêves comme source d'inspiration divine - parallèle à l'inspiration transcendantale impliquée dans la poésie et la prophétie. « L'artisanat du tissage chez les T'boli est une tradition spirituelle sacrée... Le peuple T'boli est connu pour être l'un des groupes ethnolinguistiques les plus créatifs et artistiques des Philippines... Soyez Lang Dulay, un artiste national. , a popularisé le tissage T'nalak avec ses plus de 100 modèles T'nalak différents."
8. Les chasseurs-cueilleurs de l'Arctique croient dans les esprits animaux comme étant des « relations humaines avec le monde naturel... » Erica Hill souligne : « Leurs pensées et leurs actions ont établi et entretenu des relations avec des proies et peuvent être conceptualisées de manière plus productive comme des comportements sociaux dynamiques ancrés dans le monde naturel. contexte de la vie quotidienne que comme des actes rituels privilégiés.
9. Dr. Ingela Visuri : Spiritualité et « Le cas de l'autisme de haut niveau » Le caractère distinct des expériences des autistes a tendance à être typiquement « une expérience sensorielle inexplicable ».

Michel-Ange [di Lodovico Buonarroti Simoni] (1475 - 1564), un Italien né dans la République de Florence, était, peut-être comme certains l'insistent, l'archétype de "l'homme de la Renaissance" à la lumière de son incroyable polyvalence artistique, il était un homme aux nombreux talents et dons : un sculpteur ; un peintre; un architecte; ainsi qu'un poète au cours de la période de la Haute Renaissance né. Même aujourd'hui, les œuvres artistiques de Michel-Ange sont toujours considérées comme les plus célèbres de l'histoire de l'humanité. En outre, sculptant la Pietà (photo ci-dessus) et David, Michel-Ange est probablement mieux connu pour avoir peint les scènes immortelles de la Genèse sur le plafond de la chapelle Sixtine à Rome, ainsi que Le Jugement dernier sur le mur de l'autel de la chapelle Sixtine. On pourrait dire - dans un sens - que Michel-Ange a inventé la psycho-cybernétique et la Loi Moderne de l'Attraction lorsqu'il a observé :

Embrasser le chaos et donner naissance à la vérité-La "mise en scène" Friedrich Nietzsche, le célèbre philosophe, a décrit avec brio le paradoxe intrinsèque de la conscience humaine : « Il faut encore avoir le chaos en soi pour pouvoir donner naissance à une étoile dansante. Carl Sagan a également parlé de l'épiphanie dans la réalisation d'une compréhension du Tout. Comme l'affirme le scientifique emblématique, Carl Sagan, "L'acte même de compréhension est une célébration de l'union, de la fusion, même à une échelle très modeste, avec la magnificence du Cosmos."

Edgar Cayce soulève un point critique lorsqu'il parle de l'esprit et de son rôle dans la vision de l'avenir. Edgar Cayce déclare : « L'esprit est la vie. L'esprit est le constructeur. Le physique est le résultat. L'esprit est en effet le Constructeur : ce qui est retenu dans l'acte de vision mentale devient une réalité dans l'expérience matérielle. Nous sommes progressivement construits selon cette image ou à la ressemblance de ladite image créée au sein de notre propre être mental.

William James a observé que l'esprit humain en créant un sens de la réalité doit « briser et réunir » toutes les parties et morceaux innombrables de la réalité. » C'est-à-dire, « n'importe quel nombre d'impressions, à partir de n'importe quel nombre de sources sensorielles, tombant simultanément sur un esprit qui ne les a pas encore expérimentées séparément, fusionneront en un seul objet non divisé pour cet esprit. La loi est que toutes les choses fusionnent qui peuvent fusionner [toutes les choses qui peuvent fusionner fusionnent], et rien ne sépare sauf ce qui doit [être séparé]."

L'intuition de Jung selon laquelle "une image du monde ne signifie pas qu'il n'y a qu'une image et pas de monde" - ce qui, comme l'a observé Bohr, est - pour la personne - une "réalité authentique". William James, dans son ouvrage classique de 1902, The Varieties of Religious Beliefs, a démontré dans son examen et son analyse des « expériences religieuses » personnelles d'individus que les expériences spirituelles créent un « sens de la réalité ». C'est-à-dire que «l'image du monde» générée spirituellement a une «vraie réalité» et une vérité au-delà d'une simple «image du monde» - une fusion d'innombrables éléments disparates et souvent séparés.

Trouver le sens de la vie dans un laboratoire! Méthodes intrinsèquement imparfaites de matérialisme qui exclut et ignore les instincts racistes ainsi que les croyances spirituelles historiques! La méthodologie intrinsèquement imparfaite de la doctrine matérialiste a déformé la psychologie traditionnelle en excluant les faits

La question:
D'ordinaire, la plupart des gens, si on leur demandait si «Le sens de la vie» pouvait être découvert dans un laboratoire, seraient plutôt douteux d'une telle entreprise. Le bon sens indiquerait clairement que la portée de l'enquête dans un laboratoire serait très limitée et incapable de réaliser une analyse raisonnable du sens de la vie. Mais c'est ce que prétend la psychologie académique traditionnelle-avec vigueur et virulence. La doctrine matérialiste qui domine la psychologie académique est complètement et totalement fixée sur la «quantification physiologique». En plus de cela, les matérialistes stricts insistent catégoriquement sur le fait que tout ce qui se trouve en dehors du laboratoire ne compte tout simplement pas.

Comme l'a souligné Claudia Nielsen, le psychiatre McGilChrist a astucieusement observé que «la portée de l'enquête et de la compréhension de la doctrine matérialiste avec son adhésion rigide au principe réellement arbitraire de quantification et une suraccentuation des caractéristiques physiologiques est sévèrement restreinte et limitée dans les analyses qui peut être effectuée." Comme le fait remarquer Kay Deux, un psychologue social, la fixation de la psychologie sociale sur les expériences de laboratoire exclut les «manifestations affectives» et les émotions. Autrement dit, la doctrine matérialiste exclut certains faits, informations et preuves en raison de la fixation sur la quantification physiologique.

Alfred Rupert Sheldrake (né en 1942) est un auteur et scientifique qui a travaillé comme biochimiste à l'Université de Cambridge de 1967 à 1973. Il est un peu en dehors des sentiers battus et il prône le concept de résonance morphique, et soutient que «la mémoire est inhérente à la nature "Sheldrake déclare que" L'influence croissante de la science mécaniste a accéléré ce processus à partir du XVIIe siècle. Dieu a été retiré du fonctionnement de la nature, maintenant considéré comme inanimé, inconscient et mécanique, fonctionnant automatiquement. (p.155) Il poursuit en disant que «l'idéologie athée a trouvé un allié puissant dans la science matérialiste, qui à la fin du XIXe siècle, dépeignait un univers mécanique sans but, inconscient où les humains, comme toute vie, avaient évolué sans but ou conseils. Dans ce monde impie [dépourvu de spiritualité], l'humanité prendrait en charge sa propre évolution, apportant le développement économique, la fraternité, la santé et la prospérité à toute l'humanité grâce au progrès. (p.157) En lisant cet essai, gardez à l'esprit que 1. La psychologie a contourné et ignoré les émotions puissantes générées par les instincts liés au groupe parce que les génocides-la preuve évidente des instincts-ne peuvent pas être introduits dans un laboratoire. 2. Que cela constitue un défaut méthodologique. 3. Le même processus est arrivé à la spiritualité parce qu'il n'est pas non plus facile à quantifier. Pourtant, de même, il y a aussi des dizaines de milliers d'années de faits et de preuves solides dans l'histoire humaine-les croyances en l'adoration de la pierre et les croyances en les esprits animaux étant deux illustrations très évidentes-qui sont exclues des livres de psychologie et de psychologie de la religion. [Bien qu'il existe des milliers et probablement des dizaines de milliers d'expériences et d'études, quand il s'agit de la psychologie grand public dans la façon dont elle traite la spiritualité et la religion-comme c'est le cas aujourd'hui-elle se concentre largement sur les théories-et c'est tout-la théorie jungienne, Frankl's théorie, théorie de Maslow, etc. En note de bas de page, j'ajouterais que la psychologie

Nos réactions face au changement Des plus simples aux plus complexes Les quatre personnages de cette histoire, les souris Flair et Flèche et les mini-gus Polochon et Baluchon, symbolisent l'esprit humain dans ce qu'il a de plus simple et de plus complexe, en dehors de toute considération d'âge, de sexe, de race ou de nationalité. Nous avons tous une part de : Flair : qui sait déceler le changement dès ses premières manifestations; Flèche : qui se précipite dans l'action; Polochon : qui redoute et rejette le changement, craignant qu'il ne lui cause du tort ; Baluchon : qui sait s'adapter à temps dès lors qu'il comprend que le changement peut être synonyme de mieux ! Quelle que soit l'approche que nous privilégions, nous visons tous au même but: trouver notre chemin dans le labyrinthe, et sortir la tête haute des périodes de changement.

Symbolisme génétique et prédispositions pour l'esprit comme force vitale "Les gènes déterminent principalement notre comportement à travers les motivations (Tomasello et al., 2005) est une conclusion essentielle tirée par les auteurs, John A. Bargh et Ezequiel Morsella, dans l'article," The Unconscious Mind! ", Nancy Furlotti résume brillamment les points de vue de Carl Jung et William James en observant que «l'affect émerge des archétypes, qui sont les principes d'ordre a priori de la nature, du monde et de la psyché». Cette déclaration serait en grande partie une «vérité» évidente car pour fonctionner «efficacement» de quelque manière raisonnable que ce soit, ces «principes d'ordonnancement a priori de la nature, du monde et de la psyché» seraient nécessairement être une réalité préalable dans l'esprit humain. John A. Bargh et Ezequiel Morsella poursuivent en disant: «Le but ou le motif actif est l'agent local par lequel l'in  uence génétique du passé lointain trouve son expression. L'évolution fonctionne à travers des motifs et des stratégies-les états finaux souhaités que nous recherchons à partir de n'importe quel point de départ de l'histoire et de l'emplacement géographique que les cartes du destin nous ont données (Tomasello et al., 2005). » Les auteurs décomposent les motivations en déclarant qu '«il existe une multitude d'impulsions comportementales générées à un moment donné, dérivées de nos motivations et préférences évoluées, de nos normes et valeurs culturelles, d'expériences passées dans des situations similaires et de ce que d'autres personnes font actuellement. En outre, les auteurs suggèrent qu'une grande partie de la perception et de la motivation est très subtile et traitée en grande partie inconsciemment: «Ces impulsions nous ont procuré inconsciemment des motivations, des préférences et des tendances comportementales d'approche et d'évitement associées, ainsi que des effets de mimétisme et d'autres effets d'amorçage du comportement déclenchés par la simple perception du comportement des autres. Nietzsche, Tillich et de nombreux autres `` grands '' personnages, la création de symboles-et d'archétypes-qui sont les conceptualisations symboliques de la «réalité» et de la «vérité», est vitale et au coeur de la conscience humaine-non seulement dans les croyances spirituelles et religieuses, mais aussi dans la psychologie, la philosophie et les sciences en général. Comme Bargh l'affirme avec insistance, l'évolution et les influences génétiques fonctionnent principalement à travers des «motivations». Eric Klinger, dont l'expertise est en psychologie de la personnalité et en théorie de la motivation, se concentre sur les influences de la motivation et de l'émotion sur la cognition. Klinger suggère que «la fonction principale de plusieurs émotions est d'attirer l'attention sur les stimuli liés à l'inquiétude»-ce qui serait la description complète du fonctionnement des motivations. (p.42). Eric Klinger se concentre également sur l'importance et le rôle des émotions dans la motivation: «L'émotion est pertinente pour la recherche d'objectifs, le but et le sens d'au moins deux manières fondamentales. Premièrement, il constitue le système ultime d'évaluation. C'est donc la base de la valeur, qui à son tour détermine ce que les gens recherchent; et c'est le code interne pour expérimenter la poursuite d'objectifs comme allant bien ou mal. Deuxièmement, il est lié au traitement cognitif-par

Appuyée sur des travaux récents en psychologie cognitive, l'analyse qui suit présente l'effet d'ancrage et la façon dont il peut affecter la décision du magistrat répressif. Elle s'intéresse également aux conditions dans lesquelles le juge peut y résister. Les conditions de la défense pénale et la collégialité de la décision apparaissent ainsi insuffisantes à écarter l'effet d'ancrage lié aux réquisitions du représentant du ministère public, ce qui interroge les principes fondamentaux de la procédure pénale et de la déontologie judiciaire.

Por que teorias filosóficas parecem ser tão reais aos filósofos que as propõem? Por que, mesmo com tal necessidade de se mostrar real ao seu autor, existe uma grande diversidade de teorias filosóficas? Quais seriam, pelo menos em linhas gerais, as estruturas necessárias ao conhecimento filosófico? Na medida em que a Epistemologia Genética se constitui como uma teoria do conhecimento que estuda as estruturas necessárias ao conhecimento, seria importante que, a partir dos estudos e pesquisas nessa área, se buscasse responder a tais questões. O objetivo deste artigo é discutir, em linhas gerais, como o Modelo do Sistema de Esquemas de Operações sobre Símbolos e Signos (MoSEAOSS), introduzido por Tassinari (2014), explica a possibilidade do conhecimento filosófico e, nesse sentido, responder a tais questões. O MoSEAOSS articula alguns dos principais resultados teóricos e experimentais a que chegaram Piaget e seus colaboradores, em uma visão sistêmica, sistemática e sintética. Trata-se aqui de uma discussão teórica envolvendo os conceitos fundamentais do MoSEAOSS e resultados das Epistemologia e Psicologia Genéticas. Segundo as razões apresentadas a partir do MoSEAOSS, mostra-se que sempre existirá a possibilidade de uma grande diversidade de teorias filosóficas e, cada uma delas, aparentará ser real ao filósofo que a propõem. A razão principal é que a coordenação de seus esquemas de ações e operações sobre símbolos e signos constituem o real para ele, ou ainda, as diversas teorias filosóficas determinam operações sobre signos (envolvendo significações teóricas) que coordenam os esquemas de operações sobre símbolos (em especial, sobre imagens mentais), regulando as possibilidades imaginadas, e, consequentemente, as possibilidades atribuídas aos comportamentos dos objetos e às suas próprias ações. Conclui-se, pois, que o sistema de esquema de ações e operações sobre símbolos e signos se constitui em uma estrutura necessária, não apenas ao conhecimento científico, mas também ao fazer e conhecer filosófico.

Why do philosophical theories seem to be so real to the philosophers who theorized them? Why is there such a large variety of philosophical theories, especially considering that they need to be real to their authors? What would be, at least in general terms, the necessary structures for philosophical knowledge? Inasmuch as Genetic Epistemology consists in a theory of knowledge that studies the structures that are necessary for knowledge, it would be desirable, indeed, that studies and researches in this area should seek the answer to those questions. The main purpose of this paper is to discuss how the Model of the System of Schemes of Actions and Operations on Symbols and Signs (MoSSAOSS), introduced by Tassinari (2014), explains the possibilities of philosophical knowledge on answering such questions. The MoSSAOSS articulates some of the most important theoretical and experimental results of Piaget and his coworkers in a systemic, systematic and synthetic view. This paper presents a theoretical discussion on the fundamental concepts of the MoSSAOSS and the results of the Piagetian Genetic Epistemology and Psychology. According to the reasons established by the MoSSAOSS, it is possible to deduce that there will always be the possibility of a large diversity of philosophical theories, each one of them appearing to be real to their respective author. The main reason why that is possible is that the coordination of the author’s schemes of actions and operations on symbols and signs constitutes what is real for him; moreover, the various philosophical theories determine the operations on signs (involving theoretical significations) which coordinate the operational schemes on symbols (especially on mental images), therefore ruling the imagined possibilities and consequently the possibilities attributed by the author to the objects behavior and to his own actions. In conclusion, it is possible to assert that the system of schemes of actions and operations on symbols and signs constitutes a necessary structure, not only for scientific knowledge, but also for philosophical knowing.

On peut déduire que toutes les espèces ont la capacité de représentation mentale et dans quelles circonstances on a la capacité de comprendre le mouvement dans le temps et l'espace des objets ? De nombreuses questions sont soulevées avec des comparaisons entre espèces, et il n'y a aucun moyen de dire la présence de la permanence de l'objet dans des populations sans langue. Tout en étant fiables et valides, ces expériences soulèvent toujours la question de la causalité.

We study the meditative states of human beings from the conceptual framework provided by the fractaquantum hypothesis : analogously to an atom, Man can from his “quiet” base state explores various states of higher energy as loving or mystical state. We then look what energy states are explored during meditation: is it the “hyperfine” structure of his base state? is there a love ecstatic state? a very high energy structure mystical state? On one hand we illustrate these hypothesis from the experience of a large part of mystical traditions such as Hinduism or Buddhism and on another hand from contemporary cognitive sciences. In addition, quantum mechanics indicates that any interaction between energy levels is mediated by a boson of exchange. So we aim to identify the nature of this boson linking the various human being energy levels.

Comment les émotions et les relations sociales mènent l’apprentissage


Tout au long de l’existence, et à un degré extraordinaire chez les jeunes gens, le cerveau se développe différemment à partir des opportunités de s’engager activement dans, et en toute sécurité avec, des environnements, des relations sociales et des idées1-3, significatifs et riches. La plasticité cérébrale, la véritable adaptabilité qui nous permet de nous adapter aux exigences de notre environnement, représente par conséquent une opportunité et une responsabilité, cruciales, pour l’éducation.

Les sciences du cerveau ne se traduisent généralement pas directement en politiques ou pratiques éducatives. Mais les politiques et les pratiques d’enseignement qui sont cohérentes avec la façon dont se développe le cerveau sont plus susceptibles de favoriser l’apprentissage et le développement que celles qui sapent ou vont à l’encontre des sciences du cerveau4. De plus, une appréciation de comment le développement du cerveau varie entre les individus et il s’accommode aux demandes environnementales, peut donner aux éducateurs des éclaircissements sur les types de soutien et d’intervention qui pourraient se révéler les plus utiles aux différents enfants.5-8

Cette brochure explique la science en arrière-plan du développement du cerveau, comment ce développement est lié à l'apprentissage, ainsi que les paramètres et les contextes propices à aux phénomènes d’apprentissage et de développement. Il explique comment le développement du cerveau requière des relations sociales, des expériences émotionnelles et des opportunités cognitives. Et, il s'inspire de ces données probantes pour suggérer des principes de base pour les décideurs et les praticiens de l'éducation.

Les abstractions académiques sont-elles intrinsèquement une distorsion de la réalité humaine ? Le sens supérieur de Rappaport : « Le libre arbitre est-il un concept viable dans l'esprit », comme le montrent des études, ou une abstraction artificielle qui nie le libre arbitre ? Les deux ne peuvent pas avoir raison ! Les « contextes du monde réel » de Muzafer Sherif et le paradoxe de Mannheim "La tyrannie est la suppression délibérée de la nuance."-Albert Maysles Preface: Comme Roy Rappaport, l'anthropologue, l'observe : Lorsque nous « considérons non seulement le sens simple mais aussi la signification, nous nous préoccupons non seulement de distinctions rationnellement établies, mais aussi de valeurs chargées d'émotion » (Ecology p. 127). Après l'argument de Rappaport jusqu'à la conclusion, le sens «émotionnel» de la volonté doit être mis en jeu pour vraiment comprendre le concept de «volonté». En fait, Roy Rappaport divise le sens en « sens d'ordre inférieur » et « sens d'ordre supérieur ». Une grande partie de la vie quotidienne est fondée sur des observations naturelles et des caractéristiques physiques. Ce sont les significations d'ordre inférieur. « Les significations d'ordre supérieur… les significations de la métaphore, du symbole et de la valeur ne sont pas directement fondées sur des observations de la nature et sont donc relativement libres de contraintes pour s'y conformer » (p. 84 Écologie). Rappaport n'est pas le seul scientifique à faire la distinction entre les significations liées à la réalité physique et les significations d'un ordre de complexité supérieur. Roy Baumeister, un éminent psychologue social, fait également une distinction entre les significations dérivées de l'environnement physique et d'autres significations.

) À propos Cher (e) Internaute, Selon Michel Tap, webmaster de ce site la fonction d' « A propos » est de me présenter à vous, de vous préciser les objectifs poursuivis et les réalisations de plus de 40 ans de vie professionnelle, avec l'hypothèse que ce retour en arrière peut vous être utile, en tant que personne ou comme responsable d'une association ou d'une institution… Cette opération peut être perçue comme narcissique, mais je voudrais la vivre comme une expérience, comme l'expression de mon identité narrative (concept étudié à partir de Paul Ricoeur)(1) , tant il est vrai que nous construisons ce que nous sommes à travers nos souvenirs et la façon dont nous les racontons aux autres. Vous pourrez consulter mon Curriculum classique mais je voudrais, dans le présent texte, profiter de votre attention de lecteur pour faire effort de réflexion, si possible synthétique (!) sur ma propre vie professionnelle et en tirer quelques conclusions théoriques. L'important pour moi étant ici de me prendre comme cobaye (et non comme exemple !) dans le but de théoriser mes propres pratiques et de vérifier si j'ai pu ou non pratiquer mes théories de psychologie de la vie.

La question de l'inscription du sujet humain dans le langage se pose à la fois dans une perspective structuraliste et selon une approche psychogénétique, qui apparaissent souvent comme incompatibles. Selon la première en effet, le langage pré-existe au sujet humain, qui trouve à s'y loger. Le langage est toujours déjà-là, et tout sujet s'y trouve plongé. La seconde approche, quant à elle, tenant le langage pour un artefact, insiste sur les processus d'acquisition et de production du langage dans le développement de l'enfant. Cet article tente de réconcilier ces deux approches en montrant comment le langage provient des premières sensations corporelles (in utero, et jusqu'à l'accès à la parole).

Rebecca, qui a eu quelques-unes de ses propres expériences spirituelles-psychiques plutôt frappantes, observe: «Cela [les expériences spirituelles-psychiques] remodèle totalement votre réalité. Vous vous demandez pourquoi vous l'avez vécue et la solitude qu'il n'y en a pas d'autre qui peuvent s'identifier."

Des études cohérentes révèlent qu'entre 1/3 et 1/2 des personnes ont des expériences spirituelles et psychiques. Ces personnes ont été marginalisées dans la société contemporaine - et principalement en raison des normes créées par les «professionnels» des sciences sociales. Et ces préjugés, l'intolérance et l'ignorance au sujet des expériences spirituelles-psychiques sont des normes de jugement très réelles et palpables dans le monde d'aujourd'hui. La raison de cet essai est d'aborder la norme selon laquelle les expériences spirituelles-psychiques sont automatiquement une maladie mentale avec la vue ordinaire que les expériences spirituelles-psychiques sont irrationnelles et n'ont aucun lien avec la réalité,

Il y a environ sept ans, lorsque je suis sorti et que j'ai commencé à me connecter et à parler avec des gens qui ont également eu des expériences spirituelles-psychiques, ce que j'ai découvert, c'est que dans la majorité des gens avec qui j'ai parlé sont des gens relativement pondérés, beaucoup Les expériences spirituelles et psychiques ont été clairement initiées par des circonstances personnelles à ce moment particulier de leur vie.

Les circonstances communes dans la vie des gens que j'ai trouvées dans les expériences spirituelles et psychiques des gens, en plus de la volonté de comprendre et d'illumination, seraient le deuil, la guérison des toxicomanes, la dépression (ou les moments difficiles), l'adolescence (Stanley Hall en 1882 a montré que - en raison vraisemblablement de leur détresse hormonale avaient souvent des expériences spirituelles et psychiques régulièrement), ou même des personnes autistes de haut niveau qui, comme Ingela Visuri, l'ont montré ont assez souvent des expériences spirituelles et psychiques qui semblent avoir été causées par la détresse.

En outre, le réductionnisme, le processus de décomposition des entités en leurs parties constituantes est omniprésent et répandu dans toutes les sciences sociales. Comme Rupert Sheldrake, un scientifique non-conformiste moderne, observe à propos du matérialisme que "Le problème est que les sciences nous donnent de grandes quantités de données, mais elles sont dépourvues de signification personnelle ou spirituelle." (p.169)

Dans ce contexte, alors, les gens abordent la compréhension de la spiritualité - et mettent les expériences spirituelles dans le contexte des circonstances de leur vie telles que le deuil, la dépression, la dépendance, l'adolescence, les temps troublés, l'autisme et la personnalité. Cet essai est un bref aperçu de certaines de ces forces.

Le modèle rwandais de développement a des forces et des faiblesses à analyser  au-delà de la seule dimension économique. Il met aussi en évidence un nouveau questionnement sur le développement en Afrique notamment sur le lien entre démocratie et développement.