Emmanuel Mounier

O hacemos un voluntariado light y encorsetado en las redes del poder, de manera que como muchos pensadores, brillantes y alemanes, sociólogos como Niklas Lumann, han pronosticado será absorbido por el sistema, que es el propio que los crea, y de esa manera se mantiene el statu quo, y entonces todos los ideales, la utopía, que deja entrever la gran Declaración sobre el voluntariado, se convierte en mera ideología alienante, que deriva en última instancia en acomodaticio adormecer las conciencias por haber hecho la buena obra del mes, sin tener conciencia (crítica) de por qué se hace lo que se hace, y repercutir ello sobre uno mismo, o nos damos cuenta de la importancia de lo que está en juego, el cambio de la sociedad, estructural sin duda y centrado en el individuo, de manera que hayamos de aceptar, aunque nos pese, intelectualmente que un voluntario personalista, en los puntos que hemos visto, no es ya un simple voluntario, sino que en ello le va la formación de su propia persona, es un militante.

Facing the crisis of the contemporary European man, Zambrano meditates on his birth, or better, on his rebirth through a path of self-consciousness. The point from which Zambranian philosophy departs is the anthro-pological perspective, and in this sense the analysis considers some essential aspects, all of them useful in understanding the idea of person: the comparison with the concept of individual; the ordo amoris, and transcendence. These three elements allow us to identify the contact points between Zambrano and some of the authors who influenced her philosophical reflections, such as M. Scheler and Saint Augustine. Finally, this paper offers a synthetic comparative analysis with the thoughts of S. Weil and E. Mounier.

O presente artigo tem como objetivo apresentar o argumento do filósofo espanhol Juan Manuel Burgos sobre a existência de uma filosofia, em voga no século XX e que possui como base a reflexão sobre a pessoa, denominada personalismo. Esta corrente de pensamento se vale de um conceito moderno do termo " pessoa ". Percebe-se que o autor apresenta novos rumos para esta corrente filosófica, distanciando-se de seus fundadores (especialmente a figura de Emmanuel Mounier), bem como apresentando uma síntese para essa filosofia, que também é uma espécie de chave de leitura para todos os filósofos considerados personalistas ou de inspiração personalista.

The main of this article is present the argument of the Spanish philosopher Juan Manuel Burgos about the philosophy called personalism, original from XX th century and based on a meditation about the person. This new outline of philosophy is based on a modern concept of " person ". It's realized that the author presents a new way to think this philosophical tendency, straying its founders (especially Emmanuel Mounier), as well as presenting a synthesis for it, that is a key for reading all philosophers that are called personalists or have it as an inspiration.

ISTITUTO TEOLOGICO INTERDIOCESANO REGGIO EMILIA APRILE 2016 PAOLO CUGINI Cenni biografici  Nasce a Grenoble 1 aprile 1905  1927: si laurea in filosofia  Ottobre 1932: esce il primo numero della rivista Esprit  Durante l'occupazione della Francia la pubblicazione di Esprit fu sottoposta a censura da parte del governo di Vichy. Per il suo sostegno alla resistenza francese fu imprigionato.  Dopo la liberazione riprese la sua attività. Nel 1949 pubblicò la sua opera fondamentale, Il personalismo (Le personnalisme).  La pubblicazione della sua rivista continua anche dopo la sua morte, avvenuta nel 1950 Cenni bibliografici  Dalla proprietà capitalista alla proprietà umana (1936), Gatti, Brescia 1947, con intr. Di E. ONDEI (pp. 5 -26); nuova ediz. Ecumenica, Bari 1983

Le corps est ce par quoi la personne peut advenir, et participant ainsi à l'élaboration de la vie personnelle, il devient ainsi en quelque sorte lui-même personnel. Reflet et porte d'entrée de la personne, il est ce qui permet à la personne également de se donner à connaître, comme de se donner dans la relation sexuelle. Le développement de l'être personnel remet ainsi en cause la vision dualiste du l'homme. Il n'est pas un corps abritant un esprit : il est corps permettant la vie de l'esprit, et esprit irrigant sans cesse le corps.

Abstract. It is through our body that we can become a person; and as our body takes part in the building of personal life, it becomes itself, to some extent, personal. Our body is the gateway that reflects the person we are. Therefore, it also enables us as persons to reveal ourselves to others and to give ourselves in sexuality. The development of personal being thus contradicts the dualistic vision of man, for a human being is not a spirit within a body, but a body that makes the life of the spirit possible, and a spirit ceaselessly flowing through the body.

Quando parliamo di "dignità umana" ci riferiamo a una proprietà morale che certi esseri della natura posseggono a differenza di altri e, nello stesso tempo, indichiamo una particolare considerazione e un particolare trattamento che a essi dovrebbero essere riservati. La/il corsista: a) esponga in che cosa, secondo la riflessione filosofica (Pico, Kant, Arendt…) consista la dignità umana b) indichi in che senso la dignità umana può porsi come fondamento dei diritti umani e quali sono le principali teorie della dignità umana c) valuti aspetti negativi e positivi delle varie teorie. i

Cette biographie intellectuelle d'une figure marquante du mouvement européen, décédée en 2000, couvre la période de formation d'Alexandre Marc de sa naissance en Russie en 1904 à l'apogée en 1934 de son mouvement appelé Ordre Nouveau (sans rapport aucun avec l'usage de ce terme dans certains milieux d'extrême droite), où seront développés les premiers jalons d'un personnalisme français. Marc reprendra après la guerre cette doctrine, déjà élaborée dans tous ses traits essentiels, dans d'autres groupements qu'il créera en vue d'instaurer un fédéralisme intégral en Europe (notamment le Centre international de Formation européenne). L'originalité de la thèse de Christian Roy est de présenter la doctrine d'Ordre Nouveau avant tout comme la première forme reconnaissable du personnalisme français. Depuis le début du XX e siècle, le terme de personnalisme a désigné un certain nombre d'écoles de pensée en philosophie et en théologie. Dans le contexte français, il est surtout connu pour l'écho qu'il a rencontré depuis les années 30 dans l'aile progressiste du monde catholique, autour d'Emmanuel Mounier-et de sa revue Esprit-et de Jacques Maritain. Les recherches historiques de C. Roy démontrent cependant que, dans son acception moderne, existentielle et politisée, le personnalisme français n'est pas né au sein du milieu catholique, mais bien en dehors de lui, dans le mouvement Ordre Nouveau, l'un des plus représentatifs d'une jeune génération d'intellectuels engagés, « les non-conformistes des années 30 ». Les archives d'Alexandre Marc ont ainsi permis à Christian Roy de relater sous un angle entièrement nouveau l'histoire des sources et des premiers pas du personnalisme français. A la différence des fondateurs d'Esprit, ceux de l'Ordre Nouveau (Alexandre Marc, ses amis René Dupuis, Jean Jardin, Daniel-Rops, Denis de Rougemont, Arnaud Dandieu, Robert Aron et Claude Chevalley) formaient un rassemblement hétéroclite de croyants et d'agnostiques, d'intellectuels ayant trouvé une foi et de libres-penseurs nietzschéens proches du surréalisme. Leur terrain d'entente était le personnalisme en tant que philosophie et que nouvelle doctrine révolutionnaire par-delà droite et gauche, défini dès lors en termes anthropologiques plutôt que théologiques. Venus d'horizons très différents, tous voyaient la crise économique de leur époque comme un aspect d'une crise spirituelle plus vaste et plus profonde de la civilisation moderne à l'ère industrielle avancée. Ainsi, le personnalisme était pour eux une affaire de juste échelle. S'il est indissociable d'une critique fédéraliste de l'État-nation souverain au nom de la tension nécessaire entre l'enracinement local et l'universalité de la personne, il s'applique également aux unités économiques (participation, autogestion, revenu de citoyenneté) selon le slogan : « Spirituel d'abord, économique ensuite, politique à leur service ». Ce personnalisme « tout court » de l'Ordre Nouveau peut être distingué de la version qui serait bientôt reprise et diffusée-surtout dans les milieux catholiques-par la revue Esprit, sous le nom de « personnalisme communautaire ». Ce qualificatif fut ajouté par Esprit afin de marquer une distance avec la forme première du personnalisme, à cause notamment de ses connotations nietzschéennes. Les raisons du schisme rapide à l'intérieur du mouvement personnaliste français étaient liées à des compréhensions différentes du « spirituel »-comme acte créateur ou comme contemplation aimante-, se traduisant par des attitudes divergentes envers le travail, la technique, la communauté et l'État.
L'ouvrage comprend une postface substantielle de Thomas Keller, LE PERSONNALISME DE L'ENTRE-DEUX-GUERRES ENTRE
L'ALLEMAGNE ET LA FRANCE, centrée sur l'analyse des textes de la revue L'Ordre Nouveau qui parut de 1933 à 1938, et faisant la synthèse des transferts philosophiques et conceptuels effectués dans le contexte des traditions intellectuelles de France et d'Allemagne et des rapports complexes entre leurs groupements respectifs.

Cet article propose une brève introduction au personnalisme compris comme philosophie politique, en esquissant une interprétation de ses grands concepts d'intérêt politique (l'individu, la personne, la société, le bien commun, l'engagement, la lutte, etc.) et en évoquant sa postérité.

Abstract: Many personalists have argued that an adequate account of the human person must include an account of subjectivity as irreducible to anything objectively definable. The personalists contend that Aristotle lacks such an account, claiming that he fails to meet three criteria that a theory of the human person must fulfill in order to have an account of subjectivity as irreducible. I show first that some later Aristotelians fulfill these criteria, and then that Aristotle himself also does so. I do this through an interpretation of Aristotle’s accounts of substantial actualities, nous, friendship, and beauty.

Réfutation détaillée des thèses de l'historien John Hellman dans sa monographie The Communitarian Third Way. Alexandre Marc and Ordre Nouveau 1930-2000 (Montreal-Kingston, McGill-Queen's University Press, 2003), présentant ce groupe d'intellectuels personnalistes comme des instigateurs d'un "fascisme français".

Chez Emmanuel Mounier, la notion de personne ne peut se comprendre si on la détache de sa dimension relationnelle, car la relation est constitutive de la personne.
« Plus les autres me sont étrangers, plus je suis étranger à moi-même. Toute l’humanité est une immense conspiration d’amour penchée sur chacun de ses membres. Mais il manque parfois de conspirateurs », écrit Mounier.
Le personnalisme communautaire tel que pensé par Emmanuel Mounier est une invitation à découvrir le caractère relationnel de chaque personne et le lien qui l’unit aux autres.

e a experiência da revista "Esprit". A origem da filosofia personalista». Dialegesthai. Rivista telematica di filosofia [in linea], anno 11 (2009) [inserito il 20 dicembre 2009], disponibile su World Wide Web: <http://mondodomani.org/dialegesthai/>, [72 KB], ISSN 1128-5478. de Paolo Cugini 1 Resumo: O presente artigo tem como objetivo aprofundar a origem da reflexão personalista elaborada por Emmanuel Mounier nos anos Trinta do século passado. A atividade filosófica e cultural de Mounier iniciou com a fundação da revista Esprit. Por

El pensamiento sobre la persona humana puede convertirse en una farsa, una mentira que pretende ser verdadera, cuando reduce la dificultad del desarrollo de la persona como una elección de sí misma a definiciones o categorías fáciles de manipular lógicamente. Por lo que en este trabajo se propone que para valorar a la persona humana en su dignidad se le debe pensar como un ensayo-en la noción elaborada por Montaigne-es decir, tomando en cuenta la dificultad de ser sí mismo como una relación de espíritu encarnado y la dialéctica de la elección de sí mismo como espíritu que define el desarrollo pleno de la persona humana. En donde el pensador debe situarse, como la persona misma a la que piensa, en situación de elegir la posibilidad de la revelación de sí mismo en la acción. La elección de sí mismo es elegirse en la condición propia humana en la cual debemos reconocer por un lado lo que ya nos determina y por otro el vínculo que ello puede tener con un horizonte indeterminado de posibilidades, tanto de la propia persona como del mundo con el que se relaciona, así elegirse a sí mismo es recibirse en la posibilidad de la revelación. Para ello se trata primero la idea de la dificultad de ser persona en Emmanuel Mounier y segundo la dialéctica de la elección de sí mismo como ha sido planteada por Kierkegaard. Palabras claves: elección, libertad, persona, sí mismo.

A difícil tarefa de se tornar-se pessoa humana em Emmanuel Mounier e em Søren Kierkegaard entre o julgamento e a farsa de ser si mesmo Resumo: O pensamento sobre a pessoa humana pode converter-se numa farsa, numa mentira que pretende ser verdadeira, quando reduz a dificuldade do desenvolvimento da pessoa como uma eleição de si mesma a definições ou categorias fáceis de manipular logicamente. Por isso, esse trabalho se propõe que para valorizar a pessoa humana em sua dignidade, se deve pensá-la como um ensaio-na elaborada noção de Montaigne-por assim dizer, levando em conta a dificuldade de ser si mesmo como uma relação de espírito encarnado e a dialética da eleição de si mesmo como espírito que define o desenvolvimento pleno da pessoa humana. Onde o pensador deve situar-se como a pessoa mesma que pensa na situação de eleger a possibilidade da revelação de si mesmo na ação. A eleição de si mesmo é escolher-se na situação própria humana na qual devemos reconhecer por um lado o que já nos determina e por outro o vínculo que ele pode ter com um horizonte indeterminado de possibilidades, tanto da própria pessoa como do mundo com o qual ela se relaciona, assim, escolher-se a si mesmo é receber-se na possibilidade da revelação. Para isso, trataremos primeiro da ideia de ser pessoa em Emmanuel Mounier e em segundo da dialética da eleição de si mesmo como proposta por Kierkegaard. Palavras-chave: eleição, liberdade, pessoa, si mesmo.

Nel panorama politico-culturale degli anni trenta la rivista Esprit, apparsa per la prima volta nell’ottobre del 1932 e tutt’ora viva e vitale, occupa un posto di particolare rilievo per il modo con il quale ha saputo inserire il proprio messaggio nel delicato clima storico del periodo. Sullo sfondo di un’Europa minacciata sia dai postumi della gravissima crisi economica del ’29 del secolo scorso, sia dall’avvento dei totalitarismi enfatizzati dell’esperienza fascista italiana e da quella nazista della Germania, Esprit ha voluto essere il punto di riferimento culturale di una generazione spiritualmente smarrita. Le pagine della rivista rivestono, quindi, un particolare interesse per la storia delle dottrine politiche, soprattutto in riferimento al fecondo periodo della cultura cattolica francese degli anni trenta.

Basados en el concepto de persona propuesto por Emmanuel Mounier, el término de Aporofobia planteado por Adela Cortina, haremos un análisis acerca de los grandes males que agobian al hombre de hoy.
Conociendo pues la idea de persona, sabiendo qué es la aporofobia y cuál es su raíz, haremos una exhortación a volver a lo esencial. El hombre de hoy no puede ser esclavo del capitalismo que es un problema social, no puede ser esclavo del individualismo que es un problema personal-social y mucho menos puede perder su identidad de persona. La aporofobia, reúne estos tres males, ella misma es su portadora, y son sus raíces las que debemos cortar de manera inmediata.
Pero no solo beberemos de la fuente de Mounier y Cortina. La literatura universal y la poesía prestaran su voz y letra para denunciar la tiranía capitalista, individualista y falsa que se esconde detrás del canto de sirena de la sociedad actual.
Quizá no se dará una conclusión ante estas problemáticas, más bien se dará una invitación al cambio, un cambio casi espiritual; pues si el cambio no nace de nosotros mismos será imposible llevarlo a cabo en nuestra comunidad.
Vencer la indiferencia, la esclavitud económica y burguesa, alzar la voz por los que no tienen o simplemente son silenciados por el monstruo social, simplemente hablar por los miserables que son puestos a un lado por su condición social, racial, religiosa y de género. Ese es el objetivo de este trabajo. Y todo esto resucitando el pensamiento de un grande como lo fue Mounier y una respetable filósofa como lo es Cortina.
“El mar es la inexorable noche social donde la penalidad arroja a sus condenados. El mar es la miseria inmensa. El alma, naufragando en este abismo, puede convertirse en un cadáver. ¿Quién la resucitará? (Hugo, 1974, p.90) Seremos nosotros pues, los encargados de resucitarla.

Die Habilitationsschrift beschreibt die Geschichte von zwei unterschiedlichen, aber verbundenen Begriffskomplexen. Im ersten Teil wird die „kritische“ Formel „Ende des konstantinischen Zeitalters“ im Werk von Marie-Dominique Chenu OP am Vorabend des Zweiten Vatikanischen Konzils analysiert und danach in ihrer Genealogie erörtert. Im zweiten Teil wird der „konstruktive“ Begriff „Neue Christenheit“ – tief mit der Formel vom "Ende des konstantinischen Zeitalters" verflochten – sowohl in seiner Entstehungs- als auch Wirkungsgeschichte betrachtet.

El presente artículo procura presentar una reflexión respecto a la noción de falso pacifismo como manifestación de violencia estructural desde los postulados de Emmanuel Mounier, específicamente a partir de la concepción de Revolución  Personal y Comunitaria. La investigación parte de las concepciones del autor personalista, para finalizar esgrimiento una serie de posturas alternativas desde la obra mounierana para re-pensar las manifestaciones de crisis actual.

Parigi, 1934. Marcel Moré entra nello studio di Mounier per proporgli un articolo di stampo marxista. La risposta di Mounier, che rifiuta l’articolo, rimarrà celebre: «Qui siamo tutti
proudhoniani».
Cosa intendeva dire Mounier? Perché l’anarchico ateo dell’Ottocento piaceva tanto al personalista
cattolico del Novecento, e alla sua cerchia “ecumenica” di intellettuali?

O presente artigo tem como objetivo principal buscar a origem do pensamentode Emmanuel Mounier e do personalismo comunitário, corrente filosófica porele elaborada. Neste esforço, a pesquisa nos conduz nas páginas de um outropensador francês: Charles Péguy. Encontramos, de fato, nas páginas do poetae filósofo de Orleans vários conteúdos que serão presentes na reflexão deMounier desde o começo do seu trabalho filosófico. Não é por acaso que aprimeira obra do jovem Mounier seja dedicada a Péguy. É o mesmo Mouniernesta obra, que oferece chaves de leituras importantes para compreender ocaminho do desenvolvimento do seu pensamento. A tomada de consciência danecessidade de uma ruptura com aquilo que era percebida como umadesordem estabelecida, assim como a percepção da realidade que não podeser avaliada somente do ponto de vista material, mas que deve sempre serrelacionada à dimensão espiritual, são temas que enchem as páginas doprimeiro Mounier e que encontramos presentes em Péguy.

Nel panorama politico-culturale degli anni Trenta-Quaranta la rivista Esprit -apparsa nell'ottobre del 1932 -occupa un posto di particolare rilievo per il modo in cui ha saputo inserire il proprio messaggio nel delicato clima storico del periodo.

Marxism is, in a single movement and by virtue of the unique epistemological rupture which established it, an anti-humanism and an anti-historicism. Strictly speaking, I ought to say an a-humanism and an a-historicism » (in Reading the Capital, « Marxism is not a historicism », chap V) Althusser's classical criticism of Gramsci in 1965 is a severe but somewhat ambivalent criticism. For more than one decade, it constituted the front door to gramscism, or more exactly a door on which « no entry » could be read (« Let no one who is humanist enters here »). As Peter Thomas work teaches us, it is seen as an ultimate test for Gramsci's philosophy.

Leggere il brano di Vangelo di questa domenica nella prospettiva di come è stato scritto, vale a dire, come rilettura degli eventi che hanno caratterizzato la vita di Gesù alla luce del risorto, può aiutare a comprendere alcune questioni importanti del cammino di fede. Tra queste vi è la domanda sulla possibilità d’intravedere la luce del risorto nell’oggi della vita quotidiana.

Nossa intenção era publicar esta tradução do Diretivas para um manifesto personalista no primeiro número da revista Espiritualidade Libertária, especificamente no dossiê intitulado O pensamento de Jacques Ellul (cf. Gervais, 2010; Paiva, 2010; Troude-Chastenet, 2010). No entanto, não pudemos evitar alguns contratempos.

Le parcours de Francis Jeanson est caractéristique des engagements des intellectuels au moment de la guerre d'Algérie mais aussi de la mémoire qui reste présente aujourd'hui, notamment dans cette période anniversaire des accords d'Evian. Alors que le rôle de la revue Les Temps Modernes et celui de Jean-Paul Sartre en particulier est bien connu et balisé, et a été le seul évoqué dans les notices écrites au moment de la disparition de Jeanson, le 1er août 2009 , celui d’Emmanuel Mounier et d’Esprit l’est beaucoup moins. Comment peut-on comprendre ce décalage ?

Disciple de la philosophie existentialiste, c'est néanmoins dans la revue phare de la pensée personnaliste que Jeanson signe en 1950 son premier article, « Cette Algérie conquise et pacifiée... »[1], dénonçant la situation coloniale.

RESUMEN: A través de la "raíz" Péguy llega a Mounier el aporte proveniente de los socialistas utópicos y anarquistas del XIX con tres ideas claves: La revolución será personal (espiritual) o no será; la búsqueda de una reconstrucción del presente (y el futuro) a partir del Renacimiento; el espíritu burgués es el verdadero mal que está acabando con las virtudes republicanas.

In this article we aim to demonstrate the importance of Kierkegaard's thought reflected in some philosophers who represent what we know as philosophical personalism. Among them, we have chosen Martin Buber, whose reading of Kierkegaard's work is reflected in his dialogical philosophy; also, Emmanuel Mounier, who mentions in his work the clear influence of the Danish philosopher in the way of thinking the concept of the human person, which represents the foundation of philosophical personalism. In the same way, Karol Wojtyla's relationship with Kierkegaard is explored from the concept of inner autoteleology. It is a new approach that reflects the reading of Kierkegaard that the Polish philosopher-later Pope John Paul II-has kept in mind. Finally, we close with a reflection on the influence of Kierkegaard on the Swiss philosopher Max Picard, related to the concept of silence.

e sviluppo della riflessione mouneriana sul concetto di persona». Dialegesthai. Rivista telematica di filosofia [in linea], anno 19 (2017) [inserito il 30 dicembre 2017], disponibile su World Wide Web: <http://mondodomani.org/dialegesthai/>, [62 KB], ISSN 1128-5478. • 1. Introduzione • 2. Alla ricerca dei valori smarriti • 3. Soggettività • 4. Oggettività • 5. Dialettica tra interiorità e oggettività particolarmente significativi che hanno contribuito a formare la personalità del giovane Mounier.

French personalism is a political philosophy generally associated with the review “Esprit” founded by Emmanuel Mounier in 1932, although another branch is also known, that of the review “L’Ordre Nouveau” (1933-1938). This article identifies a third version, fostered in Southwestern France by Bernard Charbonneau and Jacques Ellul in the local groups of the two Paris-based reviews. Working within the framework of the “Amis d’Esprit,” they broke away from it after having failed to turn it into a non-conformist revolutionary movement, closer in many ways to “L’Ordre Nouveau.” Yet this Gascon group differed from both “O.N.” and “Esprit” by being based on a radical critique of technology and industrial society grounded in “feeling for Nature as a revolutionary force,” to quote the title of a 1937 manifesto by Charbonneau, one of many texts where with Ellul he formulated — probably for the first time — a new revolutionary political orientation beyond Right and Left, the outlines of what would decades later come to be known as political ecology. If what Ellul was to develop after the war in his critique of technique was already to be found there, he never hesitated to point to Charbonneau as its true — if unknown — originator, a role this article confirms for him in the history of ideas. It also offers glimpses of the life of the personalist movement outside Paris and of its contacts with Georges Bataille and his circle. It disputes Zeev Sternhell’s thesis linking “1930s non-conformism” (Loubet del Bayle) to Fascism, by showing how the Gascon personalists, by having thoroughly worked out and rigorously applied the original revolutionary implications, were able to foresee the collectivist drift of the more reformist “Esprit” during and after the war, and to warn consistently of all such totalitarian tendencies in mass society.
Le personnalisme français est une philosophie politique généralement associée à la revue “Esprit” fondée par Emmanuel Mounier en 1932, bien qu’on en distingue aussi une autre branche, celle de la revue “L’Ordre Nouveau” (1933-1938). Cet article en identifie une troisième version, celle propagée dans le Sud-Ouest par Bernard Charbonneau et Jacques Ellul dans les groupes locaux des deux revues parisiennes. Situant leur action dans le cadre des “Amis d’Esprit,” ils s’en détacheront après avoir échoué à en faire le creuset d’un mouvement révolutionnaire non-conformiste, selon des conceptions qui les rapprochaient à maints égards de l’O.N. Pourtant, cette fraction gasconne du mouvement personnaliste se distinguait tant de l’O.N. que d’“Esprit” par sa critique radicale de la technique et du développement industriel, fondée sur “Le Sentiment de la Nature, force révolutionnaire,” selon le titre d’un manifeste de Charbonneau de 1937, l’un des nombreux textes où avec Ellul il énonce pour la première fois en un tout cohérent, comme une nouvelle orientation politique révolutionnaire par-delà droite et gauche, les grands thèmes de ce qu’on appellera plusieurs décennies plus tard l’écologie politique. Si on retrouve dès lors ceux que développera Ellul après la guerre dans la critique de la technique qui l’a rendu célèbre, celui-ci n’hésite pas à désigner Charbonneau comme l’inventeur méconnu de cette démarche, et cet article lui rend cette place dans l’histoire des idées. Il révèle aussi l’importance et la vitalité insoupçonnées des mouvements personnalistes français en province, ainsi que l’étendue des contacts entre ceux-ci et le cercle de Georges Bataille. Il dément par ailleurs la thèse de Zeev Sternhell faisant du “non-conformisme des années trente” (Loubet del Bayle) une antichambre du fascisme, en montrant dans le personnalisme gascon une de ses formulations les plus rigoureuses, qui pressentit de ce fait la dérive autoritaire relevée par cet auteur chez “Esprit” sous Vichy, et demeura vigilant envers toute tendance totalitaire.

turgeschichtlich vergleichender Perspektive betrachtet Sessa zunächst (Kapitel 1-3) das regulierende und verwaltende Handeln des paterfamilias gemäß dem Normenund Wertesystem der Römischen Republik und die daran anknüpfende Verwaltungstätigkeit des römischen Bischofes, der sich dann als "man-in-power" (S.94) in der Verantwortung sieht für die gesamte domus dei. Inwiefern ihm die Durchsetzung seiner Vorgaben gelingt oder er sich (gegenüber den Aristokraten) unter weitgehendem Verzicht auf einen Führungsanspruch auf die Propagierung christlicher Werte beschränkt, ist Thema der folgenden Kapitel (3, 4, 6 und 7). In Kapitel will Sessa am Beispiel der Doppelwahlen von 498 (Symmachus -Laurentius) zeigen, dass (angebliches) Missmanagement der eigenen domus dem Konkurrenten um die kirchliche Leitungsfunktion in die Hände spielt. Eine Zusammenfassung (Kapitel 8), ein Literaturverzeichnis und ein Index runden den Band ab. Sessas Argumentation gerät durch die nahezu komplette Ausblendung der biblisch-theologischen Legitimation und der institutionellen Stabilisierung des römischen Vorranganspruches zu unausgewogen. Die ausführliche Diskussion von "domestic life and models of governing" (S.1) als wichtige Faktoren für den Aufstieg der römischen Bischöfe verleiht der Untersuchung aber unbestritten innovativen Charakter und zeitigt durchaus interessante Einzelergebnisse. Gianmaria Zamagni, Fine dell'era costantiniana. Retrospettiva genealogica di un concetto critico. (Testi e ricerche di scienze religiose, NS., 45.) Bologna, il Das Konzept des Konstantinischen Zeitalters (als Folge der Konstantinischen Wende) gehörte für viele Jahrzehnte zu den zentralen Interpretamenten der Spätantikeforschung und war mit der elementaren Frage verbunden, wie sich das Verhältnis von Kirche und Staat gestalten sollte. Bedeutete die Verbindung von Kaiser und Kirche, oder im Schlagwort: von Thron und Altar, für die der Name Konstantins stand, einen Verrat an den ursprünglichen christlichen Idealen, wie insbesondere (aber keineswegs ausschließlich) protestantisch inspirierte Deuter gerne behaupteten, oder ermöglichte sie eine Gesellschaft, die umfassend von christlichen Werten geprägt war und daher dem Menschen Geborgenheit bot, wie es mehr oder minder nachdrücklich von manchem katholischen Beobachter vertreten wurde, oft verbun-Bereitgestellt von | Universitaets-und Landesbibliothek Muenster Angemeldet Heruntergeladen am | 04.11.14 16:26 NEUE HISTORISCHE LITERATUR / BUCHBESPRECHUNGEN ALTERTUM 451 den mit einer Idealisierung des Mittelalters. War der Prozess der Säkularisierung dementsprechend wünschenswert, und wie sollte man ihn nutzen, um ein wahres Christentum zu entfalten? Eng waren und sind Gegenwartsprobleme und historische Reflexion verbunden. Einen speziellen, aber wesentlichen Aspekt dieses Problems behandelt Gianmaria Zamagni, indem er an verschiedenen Beispielen erörtert, wie das Ende des Konstantinischen Zeitalters in der Neuzeit beurteilt wurde. Gemeint ist mit dem Ende des Konstantinischen Zeitalters die Situation des Christentums im 20.Jahrhundert, das nicht mehr auf eigenen Füßen steht, unbehaust wird, da es sich einer feindlichen Umwelt gegenübersieht. Zamagni geht aus von der einschlägigen Schrift des französischen dominikanischen Theologen Marie-Dominique Chenu, der sich auf Thomas von Aquin bezog. In mehreren Schritten verfolgt er das Thema, zeitlich zurückgehend, über den österreichischen Historiker Friedrich Heer, eine Gruppe französischer Gelehrter (Étienne Gilson, Emmanuel Mounier, Jacques Maritain), den exkommunizierten italienischen Kirchenhistoriker Ernesto Buonaiuti bis hin zu dem zum Katholizismus konvertierten Protestanten Erik Peterson. Zamagni, dessen teils frühere Studien integrierendes Buch durch ein knappes, das Problem zuspitzende Vorwort des Cataneser Theologen Giuseppe Ruggieri eingeleitet wird, interpretiert wichtige Schriften, darunter eben auch die an ein breiteres Publikum gerichteten eines Friedrich Heer, indem er sie im Kontext des Gesamtoeuvres und vor ihrem historischen Hintergrund, der Entstehung autoritärer und faschistischer Regime, der Bedrohung der prägenden Kraft des Katholizismus und der Gefahr des Missbrauchs der christlichen Botschaft liest. Die verschiedenen Kapitel sind nur locker miteinander verbunden; die Schlussfolgerungen führen verschiedene Linien zusammen. Es entsteht ein facettenreiches Bild des Wechselverhältnisses katholischer Debatten und zeitgenössischer Entwicklungen. Vollständigkeit ist nicht angestrebt: In den Hintergrund treten vergleichbare zeitgenössische Debatten anderer Disziplinen; auch auf die protestantische Entwicklung können nur kurze Seitenblicke -insbesondere auf Karl Barth -geworfen werden. Rekonstruiert werden hier mithin aus der Sicht eines Anhängers des Zweiten Vaticanums Positionen innerhalb einer innerkatholischen Diskussion des 20.Jahrhunderts, die allerdings ein breites historisches Interesse verdient, da sie direkt und indirekt in die Forschungen von Historikern mit christlichem Hintergrund eingeflossen sind. Überdies dürfte aus deutscher Sicht besonders interessant sein, dass die Debatte zwischen Erik Peterson (der allerdings vom Ende des Konstantinischen Zeit-Bereitgestellt von | Universitaets-und Landesbibliothek Muenster Angemeldet Heruntergeladen am | 04.11.14 16:26 452 Historische Zeitschrift // BAND 299 / 2014 alters nicht gesprochen hat) und Carl Schmitt um die Möglichkeit einer politischen Theologie durch dieses gelehrte, perspektivenreiche Buch neu kontextualisiert wird. Ein monumentales Werk liegt mit diesem Handbuch vor, das die Spätantike von Constantin dem Großen bis Mohammed als eine Epoche der Transformation zeichnet, in der die Mittelmeerwelt in vielfältiger Weise mit den nördlichen Teilen Europas und mit Eurasien verflochten war; auch der frühe Islam kommt erwartungsgemäß zu seinem Recht. Zwei Einleitungen (von Scott Fitzgerald Johnson unter eleganter Einbeziehung der Beiträge des Bandes über die Einzigartigkeit der Spätantike und von Hervé Inglebert, der über das Konzept des Handbuchs reflektiert) verdeutlichen den Facettenreichtum der Epoche und ihrer Wahrnehmung. Die Autorenschaft ist international zusammengesetzt -wenngleich deutschsprachige Autoren vollkommen fehlen; die Belege, die relativ dicht sind, beziehen indes alle Wissenschaftssprachen mit ein. Teils vorzügliche Abbildungen begleiten den Band. Auf vier Hauptteile werden die Einzelbeiträge aufgeteilt, die durchweg ein hohes Reflexionsniveau repräsentieren: "Geographies and Peoples", wobei Römer und Griechen hier ausgeklammert werden, die in "Literary and Philosophical Cultures" zu ihrem Recht kommen; es folgen "Law, State and Social Structures" sowie "Religions and Religious Identity" (merkwürdigerweise im Singular). Abschließend geht es in drei Beiträgen um "Late Antiquity in Perspective": Dabei wird die politische Ordnung in einen globalgeschichtlichen Vergleich gerückt sowie das Bild der Epoche in Byzanz und in der Renaissance erörtert. Auf diese Weise entsteht ein eindrucksvolles Bild einer kreativen, bunten, ja glitzernden Epoche. Jede Gliederung fordert Opfer: Bildende Kunst wird bei diesem Konzept zu einem Unterpunkt von Religion, Wirtschaft wird Recht, Staat und Sozialstrukturen untergeordnet. Bewusst werden die Eliten privilegiert (S.xviii). Das Kaisertum als wichtigste Form der politischen Ordnung wird indes nicht in einem eigenen Kapitel thematisiert: "Episcopal leadership" erhält ein eigenes Kapitel, nicht aber "political lea-

Given Jacques Ellul’s role at the origins of the Media Ecology intellectual tradition, It is high time to include in the latter’s canon his mentor Bernard Charbonneau (1910-1996), to whom he owed his key insights about technological society. There are thus innovative interpretations and new ethical perspectives to be drawn specifically from Charbonneau’s lifelong engagement with media issues as central to meaningful change in that new kind of society, and a reflection fed by the bitter experience of being ignored by it for dealing with its mechanisms as such rather than the established discourses about current affairs under cover of which it reshapes human reality unimpeded. For Charbonneau, meaningful communication remains an ethical matter of communing with others in shared experiential knowledge, as opposed to being in-formed, i.e. being formatted and programmed by indirect mediation. He likens information to informatics and genetic engineering as a technique for the mechanical reproduction of codes, imprinted on a plastic mass by programming. Referring to “information-advertising-propaganda” as a single technical phenomenon, whether practiced by the market or the State, he outlined his diagnosis in two late texts that this paper will be dwelling on: a 1991 article in the Montreal magazine Vice Versa on “Mediatized Information: Knowledge or Entertainment?”, taking the First Gulf War as an illustration, and a privately printed manuscript written in the mid-1980s on Mediatized Society. Charbonneau wrote the latter with the hope of steering the ecological movement he had pioneered in France away from the traps of media attention in which it had gotten mired and diverted from its true aims, as he wrote in a just-translated “self-critique” of it (The Green Light, Bloomsbury 2018). In his view, “from the printed Press to the image-based Press, from radio to TV, from TV to X…, the media’s hold extends relentlessly, until it occupies the whole of human space-time,” now ruled by “sensational news” that make people blind to both the micro and macrolevels of everyday reality. The media thus “generate a philosophy and a society that identify with the instant, as religions and societies of the past did to an illusory eternity” even as they changed imperceptibly, whereas “mediatized information prevents man from fulfilling his calling to maintain permanence within movement, to go further without losing his way, in other words to progress”, thus undermining “any effort, whether conservative or revolutionary, at social transformation.” The trajectory “from speech to its industrial reproduction” culminates in the “manufacturing of an antireality”, besides which corporate or State censorship is secondary: for that of a “Third Power”: the media, is “automatic”, beyond the awareness of those who experience or exert it. The public just “loses the habit of finding out what is true as it falls into that of being passively informed”, while “freedom of opinion becomes that of the mediators” as slaves to the pressures of their trade, whose only law is the scoop “that strictly gauges news: disasters, wars, personalities selected for their media interest, etc.” Grassroots media criticism becomes vital to liberal democracy.

French personalism is a political philosophy generally associated with the review “Esprit” founded by Emmanuel Mounier in 1932, although another branch is also known, that of the review “L’Ordre Nouveau” (1933-1938). This article identifies a third version, fostered in Southwestern France by Bernard Charbonneau (1910-1996) and Jacques Ellul (1912-1994) in the local groups of the two Paris-based reviews. Working within the framework of the “Amis d’Esprit,” they broke away from it after having failed to turn it into a non-conformist revolutionary movement, closer in many ways to “L’Ordre Nouveau.” Yet this Gascon group differed from both “O.N.” and “Esprit” by being based on a radical critique of technology and industrial society grounded in “feeling for Nature as a revolutionary force,” to quote the title of a 1937 manifesto by Charbonneau, one of many texts where with Ellul he formulated — probably for the first time — a new revolutionary political orientation beyond Right and Left, the outlines of what would decades later come to be known as political ecology, of which this Bordeaux School of personalism can be seen as an early and influential component that was long unacknowleged as such. This enables a comparison of three schools of French personalism as an alternative political movement (as opposed to purely philosophical or politically mainstream version such as Jacques Maritain's Neo-Thomist one). The personal creativity that Ordre Nouveau's radical societal federalists sought to liberate by disentangling it from impersonal though indispensable processes should probably be thought of in wider terms than those they stressed, if it is not to play into the hands of technocracy.  It should include as well, not only the personal scale low-tech and manual activities dear to the Bordeaux School, but also the relational skills of community-building that were central to Esprit’s Christian project of a personalist city.  The latter in turn runs the risk of functioning as an ideological placebo to hastily justify collectivistic aspects of modernization in the name of nation- or world-wide “community”, if it fails to pay close enough attention to issues of human scale and to the role of Technique, as federalists and ecologists well saw.  For I have found that all three schools of French personalism have important contributions to make to contemporary debates such as that of the changing role of leisure, work and labor in post-industrial society, provided they are read in an ecumenical spirit that allows their contrasting insights to come together, so as to throw into sharp relief all possible angles (from the value and perils of collective belonging and elemental sharing to self-realization versus individual alienation) of that inexhaustible personal reality on which they all focus.

Fundador de “Esprit” - revista cultural e política cujo objetivo era tecer um diálogo com a sociedade francesa e européia, para buscar soluções possíveis a grande crise econômica, política e cultural, que estava afetando o mundo Ocidental nos anos Trinta – Mounier conseguiu manter um diálogo aberto e crítico com todas os componentes da sociedade. Criticado pela Igreja Católica , pela sua abertura, considerada excessiva, aos partidos e movimentos de esquerda e ao mesmo tempo questionada pelos mesmos partidos de esquerda por causa da posição dura e extremamente crítica de toda a equipe da Revista para com os acontecimentos que naquela época turbulenta envolviam a União Soviética e os países do leste europeu, Mounier soube manter constantemente o seu olhar atento e fixo no centro do seu interesse: a pessoa humana.

This chapter looks at the conversations between different Christian traditions in Paris in the late 1920s and early 1930s. Most of these involved Nikolai Berdyaev and he is the main focus of the article, looking at his influence on and enabling role in these conversations and encounters, and suggesting that they offer a good example of how Orthodoxy and Western Christianity can be in contact today.

This article seeks to present the political thinking of Emmanuel Mounier, especially the idea of revolution, that deepened in the years Thirty of the last century, in the pages of the magazine Esprit that he himself founded. Revolutionary action, according to Mounier, can not dispense with a precise reference to a parameter of values. Every revolutionary action is destined to fail without this personal commitment, without being also a personal revolution. In addition to all myths on the left and on the right, revolution is always a difficult achievement and a permanent conquest, which must be renewed at all times through a renewed revolutionary impulse. Mounier therefore insists on the need for an integral avoid only a superficial adherence to the revolutionary commitment. The technique of the spiritual means elaborated in the personalistic philosophy, is based on a strict connection between means and ends, actions and values. The renunciation to subvert with violence the established disorder is legitimate only if it is born of the acceptance of the inevitable limits that the action imposes and not because of the fear.