Chap 3
Chap 3
Chap 3
génétiques
Interactions génétiques
Types d’interactions des gènes
Gène (A,a)
Interactions Interactions
Intraallèliques Interallèliques
Dominance complète Épistatique
Codominance Non épistatiques
Dominance incomplète
Surdominance
Interactions Intra allèliques
Dominance Récessivité
a/a
Dominance a>A
Dominance partielle a>A
Dominance partielle ou semi-dominance
Dominance partielle A>a
Dominance A>a
A/A
Interactions Intra allèliques
Dominance incomplète chez l’homme le cas de l’hypercholestérolémie
Lipoprotéines de
basse densité
Interactions Inter aallèliques
Interactions Non épistatiques: Deux gènes interagissent entre eux pour produire une caractéristiques.
Aucun des gènes n’inhibe l’autre, mais interagissent pour donner lieu à un phénotypes
Interactions Interallèliques
• William Bateson et Reginald Punnett en 1906
• Hérédité de la morphologie de la crête chez le poulet
• 4 types de morphologies de crêtes .
• Premier exemple d’interaction génétique
Rose Pois Noix Simple
P1 RRpp x rrPP
F1 RrPp
Noix
RRPP RRPp RrPP RrPp
Noix Noix Noix Noix
F1 x F1
RrPp x RrPp RRPp RRpp RrPp Rrpp
Noix Rose Noix Rose
Un gène affecte le
phénotype gouverné
Gène 1 Chromosome B
par un autre
Gène 2
Gène 2
Les interactions épistatiques les plus communes
Ratio 9:3:3:1 modifié
Dominante (12:3:1)
Simple Récessive (9:3:4)
Epistasie
Dominante (15:1)
Double Récessive (9:7)
Dominante/Récessive (13:3)
Cumulative(9:6:1)
Conventions pour l’étude de l’épistasie
Les classes phénotypiques produites sont clairement discernables les unes
des autres.
Les gènes considérés dans chacun des croisements ne sont pas liés. Les
allèles son désignés par les lettre A, a, B et b.
Quand on suppose qu’une dominance complète existe entre les allèles de
n’importe quel gène
AA équivalent à Aa A_
BB équivalent à Bb B_
12:3:1
(9+3):3:1
L’allèle dominant d’un locus A, produit un phénotype indépendamment de l’état
allèlique de l’autre locus B (B,b).
P AAbb x aaBB
(blanche) jaune
F1 AaBb
(blanche)
F1 x F1 AaBb x AaBb
(blanche) (blanche)
(blanche:jaune:vert)
F2 12 : 3 : 1
M/F AB Ab aB ab
AB AABB AAbB aABB aAbB
Ab AABb AAbb aABb aAbb
aB AaBB AabB aaBB aabB
ab AaBb Aabb aaBb aabb
L’effet du gène dominant “A” (gène épistatique)
masque l’effet au locus “B” quelque soit l’allèle
présent (B ou b).
Les génotypes A_B_ et A_bb produiront le même phénotype
9:3:4
9:3:(3+1)
Le génotype bb exerce une épistasie récessive sur le locus A
Les allèles du locus A sont hypostatiques
Gène B Gène A
Molécule précurseur
pigment (noir) Pelage (agouti)
(incolore) B- A-
Allèle bb Allèle A_
Molécule précurseur (incolore) (incolore)
(incolore)
Allèle B_ Allèle A_
bbcc
Exemple d’épistasie récessive (Oignon)
rouge x blanc F1 (Oignon blanc)
F1 x F1 F2 (rouge, jaune, blanc) 9:3:4
R_C_ : rouge
rr C_: jaune
_ _cc: blanc
Explication:
Les classes RRcc, Rrcc, rRcc et rrcc sont indifférentiables
Interpretation de l’épistasie récessive
Precurseur de C gene R gene
Substance Substance
la couleur c r
jaune rouge
Precurseur de C gene
la couleur
Substance
jaune
X
R gene
r
Substance
jaune
c
la couleur
X
Precurseur de C gene
c
Incolore
R gene Incolore
Exemple d’épistasie récessive (Labrador)
F1 BbEe
F1 x F1 BbEe x BbEe
F2
Black
Brown
Golden
Interpretation de l’épistasie récessive par la méthode des embranchements
Bb x Bb Ee x Ee
BB Bb bb EE Ee ee
¼ ½ ¼ ¼ ½ ¼
9:7
9: (3+3+1)
William Bateson et Reginald Punnett chez le pois de senteur.
Les génotypes aaB-, A-bb et aabb donnent le même phénotype
Au moins un allèle dominant dans chaque locus est nécessaire pour exprimer un
phénotype
Gène A Gène B
A B
aa X X bb
Forme triangulaire
A=B
Ratio F2 Génotype Phénotype Ratio phénotypique final
9/16 A_B_ [triangle] 15/16 [triangle]
3/16 A_bb [triangle]
3/16 aa B_ [triangle]
1/16 aabb [ovoid] 9/16 [ovoid]
9 A_B_
3 A_bb
3 aaB_
1aabb
Gènes dupliqués à effet cumulative (9:6:1)
9:6:1
9:(3+3):1
La dominance à un des loci, mais pas aux deux, donne le même phénotype.
13:3
(9+3+1):3
Le génotype dominant de l’un des loci (A) , et le génotype récessif de
l’autre (bb) donnent le même phénotype en F2
A_B_
A_bb
13/16
aa B_ 3/16
aabb