GEMMA Guide D Etude Des Modes de Marches Et D Arrets
GEMMA Guide D Etude Des Modes de Marches Et D Arrets
GEMMA Guide D Etude Des Modes de Marches Et D Arrets
GEMMA :
Guide d’Etude
des Modes de Marches et d’Arrêts
1. Introduction :
Dans les études faites précédemment (le Grafcet), le cahier des charges était volontairement réduit à sa plus
simple expression, c'est-à-dire, à ce que l’on appelle les spécifications fonctionnelles. Celles-ci permettent de
décrire le fonctionnement attendu du système à une situation de production normale, pendant laquelle il n’y a pas
d’incident, nous appellerons grafcet de fonctionnement normale (GFN).
Cependant, les systèmes automatisés sont pratiquement sujets de pannes, de réparations et d’arrêts. Ces
situations inévitables dans la vie d’une usine et conduisant aux modes de marches particuliers, doivent être
considérées lors de la conception et au cours de l’exploitation de chaque automatisme.
Les exemples typiques de modes de marches particuliers sont : vérification manuelle étape par étape, préparation
pour mise en route, et arrêt d’urgence à la suite d’une défaillance.
2. Pourquoi le GEMMA :
Le GEMMA (acronyme de Guide d'Etude des Modes de Marche et d'Arrêt) est un guide graphique (document
graphique) permettant de sélectionner et de décrire simplement les différents états de marches et d’arrêts, ainsi
que les possibilités d’évoluer d’un état à un autre. Il a été créé parce qu’il y avait un grand besoin d’avoir un
vocabulaire commun et précis. Le GEMMA permet d’avoir une approche guidé de l’analyse des modes de
marches et d’arrêts.
Le GEMMA permet le recensement et la description des différents états du système automatisé, de la mise en
route à la production normale. Il précise les procédures à mettre en oeuvre après analyse d’une anomalie ou un
défaut de fonctionnement.
Pour une machine donnée, les modes de marches et d’arrêts doivent être choisis et compris de toutes les
personnes chargées d’intervenir.
Un GEMMA est établi pour chaque machine lors de sa conception, puis utilisé tout au long de sa vie :
réalisation, mise au point, maintenance, modifications, réglages… Dans ses principes et dans sa mise en oeuvre,
le GEMMA doit donc être connu de toutes les personnes concernées par les automatismes, depuis leur
conception jusqu’à leur exploitation.
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Cours GEMMA
Famille D : Procédures de défaillance de la partie opérative : il est rare qu’un système fonctionne
sans incident durant toute sa vie. Il faut envisager qu’il aura des défaillances prévisibles ou
imprévisibles.
On regroupera dans cette famille tous les modes conduisant à un état d’arrêt du système pour des
raisons intérieures au système, autrement dit, à cause de défaillances de la partie opérative.
Les procédures de la famille D ont pour objectif de limiter au maximum les conséquences ou
risques pour le personnel ou matériel.
Famille F : Procédures de fonctionnement : on regroupe dans cette famille tous les modes ou états
qui sont indispensable à l’obtention de la valeur ajoutée.
Notons que l’on ne produit pas forcément dans tous les modes de cette famille. Il peut s'agir de :
- Procédures préparatoire à la production de la valeur ajoutée
- réglages, tests ... qui sont néanmoins indispensables à la production de la valeur ajoutée.
Une distinction supplémentaire est faite parmi ces trois familles de procédures. On distingue la zone de
production de la zone hors production par un double encadrement de la zone de production en pointillés. La zone
de production de trouve à cheval sur les trois types de procédures.
4. Les « rectangles-états » :
Sur le guide graphique GEMMA (voir page suivante), chaque mode de marche ou de procédure en défaillance
peut être décrit à l’intérieur d’une case du GEMMA appelée rectangle-état prévus à cette fin. Ce dernier traduit
un état du système à un moment donné de son évolution.
La position d’un rectangle-état sur le guide graphique définit :
Son appartenance à l’une des 3 familles, procédure de fonctionnement, d’arrêt ou de défaillance.
Le fait qu’il soit « en »ou « hors production ».
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Cours GEMMA
D’autre part, le but d’une machine étant de produire de la valeur ajoutée, on distingue, à l’intérieure de ces trois
familles de procédures, la zone de production de la zone de non production. Cette zone est à cheval sur les trois
familles de procédures. Chaque zone est subdivisée en rectangles d’états ou procédures (voir feuille GEMMA).
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3 ELT : 2023-2024 GEMMA
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Cours GEMMA
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Cours GEMMA
permettent de gérer les défaillances du système tel que par exemple l'arrêt d'urgence. Les états de
défaillance sont les états de défaillance de la PO.
5.3.1. D1 « Arrêt d’urgence » : Cet état permet de gérer le système lors d'un arrêt d'urgence. On y
prévoit non seulement les arrêts, mais aussi les cycles de dégagements, les procédures et
précautions nécessaires pour éviter ou limiter les conséquences dues à la défaillance.
5.3.2. D2 « Diagnostic et ou traitement de défaillance » : Cet état permet à la maintenance de
diagnostiquer l'origine de la défaillance et d'envisager le traitement approprié qui permettra le
redémarrage du système après traitement de la défaillance.
5.3.3. D3 « Production tout de même » : il est parfois nécessaire de continuer la production après
défaillance du système : on aura alors « un production dégradée », ou une « production forcée »,
ou une production aidée par des opérateurs non prévus en « production normale ».
Deux états essentiels, définis dès le début de l’étude, se retrouvent sur toutes les machines :
L’état A1, dit <Arrêt dans état initial>, ou <état repos> de la machine.
L’état F1, mode de <Production normale> pour lequel la machine a été conçue.
En partant de chacun des deux états essentiels, A1 et F1, on recherche les évolutions vers les autres états. On
se demande d’abord quelle évolution suivre lors du démarrage. Le choix est :
• A1 F1 : démarrage sans marche de préparation ;
• A1 F2 F1: démarrage avec marche de préparation.
Ce qui permet de répondre à la question suivante : « une marche de préparation est-elle nécessaire ? »
Ensuite, on se demande quelle évolution suivre lors de l’arrêt normal de production. Le choix est alors :
• F1 A2 A1 : arrêt en fin de cycle sans marche de clôture ;
• F1 F3 A1 : arrêt avec une marche de clôture ;
• F1 A3 A4 : arrêt dans un état autre que la condition initiale.
Ce qui permet de répondre aux questions suivantes :
• Une marche de clôture est elle nécessaire ?
• Un arrêt dans un état autre que la condition initial est-il nécessaire?
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Cours GEMMA
Puis, on se demande quelle évolution suivre lors d’une défaillance de l’automatisme. Un grand nombre de
choix est disponible :
F1 D3 : défaillance légère permettant une marche de production tout de même ;
D1 D2 A5 A7 A4 D3 : arrêt d’urgence puis évolution pour production tout de même
(défaillance légère impliquant l’arrêt d’un poste) ;
D1 A5 A6 A1 : arrêt d’urgence puis évolution pour un arrêt en condition initiale
(défaillance majeure) ;
D1 A5 A7 A4 : arrêt d’urgence puis évolution pour un arrêt dans le même état que lors de
l’apparition de l’arrêt d’urgence (défaillance mineure) ;
D1 D2 A5 A6 A1 : arrêt d’urgence avec diagnostic et traitement, puis évolution pour
un arrêt en condition initiale (défaillance majeure) ;
D1 D2 A5 A7 A4 : arrêt d’urgence avec diagnostic et traitement, puis évolution pour
un arrêt dans le même état que lors de l’arrêt d’urgence (défaillance mineure).
Ce qui permet de répondre aux questions suivantes :
quel genre de défaillance peut affecter l’automatisme ?
y-a-t-il des défaillances pour lesquelles ont peut réussir de produire tout de même de façon sécuritaire ?
qu’elle doit être le comportement de la machine en arrêt d’urgence ?
la machine est elle suffisamment compliquée pour exiger un diagnostic élaboré ?
suite à une défaillance, la machine doit elle être retournée en condition initiale ?
suite à une défaillance, la machine peut elle être remise en marche en repartant de l’état ou elle était
lors de l’apparition de l’arrêt d’urgence ?
7. Conditions d'évolution entre modes de marches et d'arrêts
Les modes de marches et d'arrêts ayant été sélectionnés et explicités, il convient de préciser le passage d'un
état à l'autre.
L'élaboration de ces conditions de passage rend possible la conception du pupitre de commande (action
de l’opérateur) et de prévoir éventuellement des capteurs supplémentaires sur la machine, de compléter le
grafcet, etc.
Le passage d'un état à un autre s'effectue de deux façons :
- soit avec une condition d'évolution : la condition peut être liée à l’action sur un bouton du pupitre de
commande, ou à l’actionnement d’un capteur situé sur la machine.
- soit sans condition d'évolution : dans certains évolutions entre états, l’écriture d’une condition
n’apporterait aucune information utile : c’est le cas lorsque celle-ci est évidente (exemple, passage de A2 à
A1), ou parce que l’état atteint dépend de l’intervenant.
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Cours GEMMA
Ordre de départ
A1 <Arrêt dans l'état
initial>
Fin de
cycle F1 <Production normale>
A2 <Arrêt Production
demandé en fin de
cycle> Arrêt
demandé
Fig 3. GEMMA d’une machine avec marche de production à cycles répétés.
8.2.2. Marche de production cycle par cycle : L’information départ doit être réalisée à la fin de
chaque cycle.
Ordre de départ
A1 <Arrêt dans l'état
initial> Description précise
de l’état initial de la PO
Production
Fig 4. GEMMA d’une machine avec marche de production cycle par cycle.
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Cours GEMMA
8.2.3. GEMMA d’une machine exigeant une marche de préparation et une matche de clôture :
Si une machine nécessite une marche de clôture, par exemple pour vider un convoyeur à la fin de
la journée, il faut prévoir un signal demandant l’exécution de la marche de clôture. La machine
ayant le GEMMA de la figure 5 peut être arrêtée en fin de cycle pour une courte période (sans
vider le convoyeur) avec le signal ACY. Donc la condition initiale de ce GEMMA c’est que la
machine soit en condition initiale, avec un convoyeur vide ou plein. Cela explique que pour la
mise en route, il faut vérifier si le convoyeur est plein ou vide pour savoir si la marche de
préparation est nécessaire.
Conditions
initiales F5 <Marche de
A1 <Arrêt vérification dans
dans l'état l’ordre>
initial> Marche
pas à pas
F1
Production
Production
Fig 5 : GEMMA d’une machine avec marche de vérification dans l’ordre de cycle.
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Cours GEMMA
Conditions initiales
Ordre de départ
A1 <Arrêt dans l'état initial>
Ordre de reprise
A4 <Arrêt obtenu>
Fin de
cycle Arrêt F1 <Production normale>
demandé
A2 <Arrêt demandé en fin Production
de cycle >
Finir le cycle
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Cours GEMMA
8.5. Les arrêts d’urgence :
Dans le cas ou un arrêt d’urgence causé par une défaillance grave est envisagé, il faut pouvoir aller au
rectangle-état D1 lorsque cet arrêt d’urgence se produit. Et cela, quelque soit le rectangle-état ou la machine
se situe. Pour éviter d’encombrer le GEMMA, on met simplement en évidence l’évolution de F1 vers D1 et
on ajoute un symbole de regroupement avec la mention «Depuis tout état».
Après l’arrêt d’urgence, il faut préparer la machine à sa remise en route en la nettoyant ou en dégageant les
pièces coincées (A5), puis remettre la partie opérative en condition initiale de façon manuelle ou par une
initialisation automatisée (A6). La machine sera alors prête à être redémarrée.
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Cours GEMMA
Reprise
A5 <Préparation pour
remise en route après
défaillance>
Fig 10. GEMMA d’une machine avec redémarrage à l’étape d’arrêt.
Init
A5 <Préparation
pour remise en route
après défaillance>
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Cours GEMMA
GRAFCET DE SURETE
- des personnes.
- des biens.
GRAFCET DE
CONDUITE (GC) GRAFCET DE
ou PRODUCTION
GRAFCET DES NORMALE (GPN).
MODES DE
MARCHES (GMM).
GRAFCET DES
TACHES
SPECIFIQUES.
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Cours GEMMA
L'élaboration du grafcet de conduite (GC) ou de modes de marches (GMM) se fait en suivant le parcours
GEMMA et en appliquant les règles suivantes:
1 rectangle-état = 1étape + action associée.
1 condition logique = 1 transition + réceptivité associée
Plusieurs départ d'un rectangle état = Divergence de sélection de séquences
Plusieurs arrivées sur un rectangle état = Convergence de sélection de séquences
Dans le GEMMA, la marche de clôture se fait si une condition (identifiée par la variable «CLO») est remplie :
Si CLO est inactif, la machine reste en production normale. Sinon, la machine exécute sa marche de clôture. Ce
qui se traduit par ce nouveau GRAFCET :
Il y a donc création d’un aiguillage correspondant la décision entre : entamer le début de la marche de clôture ou
poursuivre la production normale.
Si le GRAFCET de départ est compliqué ou si le GEMMA est complexe, cette solution est moins praticable car
le GRAFCET résultant devient illisible.
9.1.3. Découpage en tâches :
L’utilisation de tâches permet de simplifier le passage du GRAFCET de niveau 2 et du GEMMA à un ensemble
de GRAFCET finaux, chacun ayant une fonction bien définie. Cela fait en sorte de ne pas avoir tout en un seul
GRAFCET illisible.
Une fois ces tâches créées, il faut évaluer les conditions d’évolution entre elles. En effet, il est nécessaire d’éviter
les problèmes dus à un manque de coordination entre les tâches.
Pour ce faire, on peut coordonner ces tâches de deux façons :
Coordination horizontale ;
Coordination verticale (ou hiérarchisée).
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Cours GEMMA
9.1.3.1. Découpage en tâches :
Cette technique de coordination entre les tâches est utilisée lorsque les conditions suivantes sont remplies :
Aucune de ces tâches n’est prééminente ;
Le nombre de tâches est réduit ;
Les liaisons entre les tâches sont réduites.
En coordination horizontale, une seule tâche à la fois peut être active. On compare cela avec une course relais,
ou un coureur à la fois porte le relais.
Pour montrer ce qu’il en est, prenons le GRAFCET de niveau 2 initial suivant :
La tâche de production normale (F1) suit la tâche de la marche de préparation (F2) non montrée ici. Lorsque la
tâche F2 est terminée, elle démarre la tâche F1.
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Cours GEMMA
Lorsque le capteur « CLO » est au niveau logique 1 et que la tâche F1 est à l’étape 90 (tâche F1 complétée), la
tâche de la marche de clôture (F3) démarre. Cette tâche passe à l’étape 101, ce qui retourne la tâche F1 en étape
d’attente (étape 60).
L’étape 122 marque la fin de la tâche F3 et déclenche une autre tâche non montrée…
L’exemple montre bien l’enchaînement, i.e., la coordination horizontale entre la tâche F1 et la tâche F3.
Dans cet exemple, chaque étape du GRAFCET de Gestion correspond à un rectangle-état du GEMMA. Ce
GRAFCET est le maître du système. Les autres GRAFCET montrés sont deux des GRAFCET esclaves de
niveau hiérarchique inférieur. Lorsque le GRAFCET de Gestion se trouve à l’étape 3 il démarre le GRAFCET de
production normale (F1). Celui-ci tourne tant que le GRAFCET de Gestion reste à l’étape 3. Le signal «CLO»
permet le passage du GRAFCET de Gestion à l’étape 4.
La tâche F1 est alors remise en attente (étape 60) et la tâche de la marche de clôture (F3) est démarrée. Lorsque
la marche de clôture est terminée (étape 122), le GRAFCET de Gestion passe à l’étape suivante (peut-être
l’étape 5) et remet la tâche F3 en attente.
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Cours GEMMA
o Arrêt par inhibition des actions ;
o Arrêt figeage.
Les arrêts d’urgence avec séquence d’urgence.
o Tâche d’arrêt d’urgence ;
o Symbole de regroupement.
L’action A est donc conditionnelle à l’absence de l’arrêt d’urgence. Cette condition devrait être ajouté à toutes
les actions du GRAFCET.
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Cours GEMMA
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Cours GEMMA
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Cours GEMMA
Fig.17. GEMMA.
Remplissage de
bouteille non
présente
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Cours GEMMA
Question : Peut-on arrêter la machine et faire en sorte qu’il n’y ait plus de bouteilles avec le GRAFCET actuel ?
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Cours GEMMA
Donc il faut ajouter le rectangle état F3 et barrer le rectangle état A2 (car avant d’arrêter la machine il faut passer
par F3).
Figure 20
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Cours GEMMA
Question : Supposons que la machine exige 5 minutes pour se mettre en opération et une autre 5 minute pour
s’arrêter. Que faire si l’opérateur doit prendre une pause de 5 minutes ? Peut-on se permettre de perdre 15 min ?
Donc il faut prévoir un arrêt de courte durée, sans vider le convoyeur. Pour ce faire, il faut terminer le cycle en
cours sans vider le tapis (ajout A3) et puis arrêter la machine de courte durée (Ajouter le rectangle état A4).
Figure 21
Arrêt de la machine suite à une panne (défaillance d’un vérin,…) ou dans le cas s’arrêt d’urgence (bouteille
endommagée,…).
Figure 22
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Question : que doit faire l’opérateur suite à un arrêt d’urgence ?
Figure 23
Figure 24
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Figure 25
Figure 26
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Cours GEMMA
Après l’analyse des différents modes de marches et d’arrêts, il faut définir les réceptivités de transition entre
chaque mode.
Figure 27
Figure 28
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Figure 29
Figure 30
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Figure 31
Figure 32
Figure 33
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Figure 34
Figure 35
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