Burkinafaso nrds2 cn3
Burkinafaso nrds2 cn3
Burkinafaso nrds2 cn3
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SECRETARIAT GENERAL
FICHE D’IDENTIFICATION DU
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A. Contexte
Le secteur rural occupe une place prépondérante dans l’économie nationale. Il occupe 86% de la
population totale (RGPH 2006), contribue à la sécurité alimentaire et nutritionnelle et fournit
environ 45% des revenus des ménages agricoles. Sa contribution moyenne annuelle à la formation
du Produit intérieur brut (PIB) sur la période 2005-2015 est estimée à 32,46% dont 17.79% pour les
productions végétales. Cette contribution relativement faible au regard des potentialités du secteur
s’expliquerait par une faiblesse des productivités, une faible transformation des produits et une
commercialisation des produits bruts.
Au Burkina Faso, le riz occupe parmi les céréales, la 4ème place tant du point de vue des
superficies que de la production. Entre 2008 et 2018, sa production a connu un accroissement
annuel moyen de 6%. Ce gain de production est dû surtout à la hausse des superficies, consécutive
aux aménagements de bas-fonds et de périmètres irrigués et les subventions en intrants et
équipements agricoles réalisés par le Gouvernement et ses partenaires depuis 2008.
Ce regain d’intérêt est inscrite dans la politique gouvernementale à travers ces référentiels
notamment le Plan national de développement économique et social dans son axe 3 qui ambitionneà
son objectif stratégique 1, de « développer durablement un secteur agro-sylvo-pastoral, faunique et
halieutique productif et résilient, d’avantage orienté vers le marché », la Politique sectorielle Agro-
sylvo-pastorale dans son axe 2 qui vise à accroitre le taux de transformation des produits agricoles
de 12 à 35%. Le Programme national du secteur rural est le cadre de référence des interventions du
secteur rural qui traduit de façon opérationnelle la vision des référentiels sus-cités.
La consommation de riz est en constante augmentation au Burkina Faso pendant que la production
nationale de riz ne couvre, en moyenne pour les cinq dernières années, que 30% des besoins de
consommation de la population (DGESS/MAAH, 2018).
Au regard de l’importance qu’occupe le riz dans la consommation et les importations, 400 milliards
de F CFA entre 2010 et 2016(FAO STAT 2018), du Burkina Faso, le gouvernement a élaboré la
Stratégie Nationale de Développement de la Riziculture. L’élaboration de la SNDR II répond donc
à l’impératif de satisfaire les besoins en consommation du riz qui tend aujourd’hui à devenir le
premier aliment le plus consommé aussi bien dans les zones urbaines que rurales. L’objectif de cette
stratégie est de « contribuer à satisfaire la demande en riz du pays et augmenter les revenus des
acteurs par une production nationale compétitive et durable ». L’atteinte de cet objectif passe par la
mise en œuvre de plusieurs projets parmi lesquelles le présent projet intitulé : « Projet d’Appui à la
transformation du riz du Burkina ».
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B. Justifications
La transformation du riz au Burkina est effectuée par deux types d’opérateurs à savoir d’une part,
les étuveuses et, d’autre part, les transformateurs industriels et semi-industriels. Ces deux types
d’opérateurs se différencient par les modes de transformation et par les produits finis. Les étuveuses
dont l’effectif estimé à 35 000 (CIR-B, 2018) font la transformation du riz par étuvage avec un
rendement de décorticage au 70% (UNERIZ, 2013). On note de nos jours seulement 7 000
étuveuses regroupées dans l’Union nationale des étuveuses de riz du Burkina (UNERIZ, 2018).
52 % de la production nationale de paddy était traitée par les étuveuses (DGPER, 2009). Les
transformateurs industriels et semi-industriels produisent du riz blanc par décorticage et polissage
du paddy, avec un taux de rendement moyen de 60% (GIZ-PDA, CIR-B, 2014).
Le Burkina Faso dispose d’environ 152 unités installées, pour le décorticage du paddy en riz blanc
et riz étuvé (UE, UNPRB, VECO West Africa, 2014). En fonction des capacités de traitement et du
diagramme d'usinage, on peut classer les installations en trois grandes catégories que sont (i) les
rizeries de type industriel ; (ii) les mini rizeries et (iii) les rizeries artisanales (GIZ-PDA, CIR-B,
2014). On rencontre aussi des moulins à grains qui sont également utilisés pour le décorticage du
paddy.
Globalement, la capacité potentielle totale des unités industrielles de décorticage et mini rizeries sur
l’ensemble du pays serait d’environ 39 200 tonnes par an. Si l’on ajoute à cela la capacité de
décorticage des unités artisanales (216 000 tonnes par an), la capacité totale annuelle des unités de
transformation au Burkina Faso est de 255 200 tonnes de paddy (UE, UNPRB, VECO West Africa,
2014). La transformation du riz du Burkina se caractérise donc par une prédominance de la
transformation artisanale.
Durant la campagne agricole 2018-2019, la production du paddy a été estimée à 350 392 tonnes.
Cette production est aujourd’hui en deçà de la capacité de transformation des unités d’étuvage et de
décorticage de riz. Ainsi, ces unités de transformation connaissent des problèmes de disponibilités
physiques de paddy. De plus, le riz usiné est souvent jugé de faible qualité, imputable à la
production, à la post-production mais surtout à l'usinage, dû essentiellement à la faible performance
des unités de transformation et le faible niveau technique des acteurs.
Ces contraintes justifient alors l’élaboration du présent projet dont l’objectif final est de promouvoir
un tissu performant de transformation de riz paddy au Burkina Faso.
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Ils bénéficieront de la création de nouvelles opportunités que présente le projet. Il sera demandé aux
différentes entreprises d’importer, de fabriquer, de distribuer les équipements performants et
d’accompagner la nouvelle approche d’industrialisation et de transformation du riz, promu par le
projet au Burkina Faso.
D. Objectifs du Projet
L’objectif général du projet est de contribuer à l’amélioration de la qualité du riz du Burkina Faso à
travers un système performant de transformation.
Elle a pour objectif d’améliorer la disponibilité du paddy de qualité pour la transformation. Pour ce
faire, l’approche contractualisation sera promue par le projet afin de mettre en relation les
producteurs et les transformateurs. Il s’agira également de mener des plaidoyers auprès de l’Etat et
ses partenaires pour accroitre les surfaces financières des acteurs de la transformation. Sa mise en
œuvre aura les résultats suivants :
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Tableau N°1 : activités retenues dans le cadre de la composante 1
Activité 1.1.1. : appuyer l’élaboration des modèles de
contractualisation du riz paddy sur la base des modèles déjà
Résultat 1.1 : des modèles de contractualisation
existants
agricole relatifs à la filière riz sont développés et
Activité 1.1.2 : appuyer la promotiondes modèles de
Approvisionnement durable des
vulgarisés ;
contractualisation du riz paddy validés
transformateurs en paddy
Elle a pour objectif de faciliter l’accès des acteurs :(i) aux infrastructures de prétraitement et de
stockage de paddy (magasins et aires/hangars), (ii) aux équipements de transformation de paddy
(épierreuses, décortiqueuse, trieuses, étuveuses, …) et (iii) aux services après-vente (maintenance,
pièces de rechange, …).Elle s’appuiera sur le réseau des maintenanciers existants et en cours de
création par le programme budgétaire 078. En outre, elle facilitera le développement de méthodes et
de méthodologie d’adaptation des équipements aux conditions en place, la promotion d’une
fabrication locale des équipements de transformation du riz, et de mettre en place un stock des
pièces de rechange. La mise en œuvre de cette composante aura les résultats suivants :
- Résultat 2.1.des infrastructures de prétraitement et de stockage de paddy sont réalisées ;
- Résultat 2.2.l’accès aux équipements de transformation de riz est facilité ;
- Résultat 2.3.les centres de maintenances et d’approvisionnement sont mis en place ;
Résultat 2.2. l’accès aux équipements de Activité 2.2.1. établir l’état des lieux de la transformation du riz
transformation de riz est facilité Activité 2.2.2. appuyer la mise aux normes des unités existantes
Activité 2.2.3. promouvoir les opportunités liées à la
transformation auprès des investisseurs
Activité 2.2.4. susciter le partenariat public privé dans l’acquisition
Composante 2 :
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Composante 3: Renforcement des capacités opérationnels des acteurs de la transformation
Cette composante vise principalement à outiller les acteurs de la transformation des capacités aussi
bien techniques, managériales que organisationnelles à l’effet d’améliorer la qualité du riz et ses
produits dérivés au profit des consommateurs. Elle consistera en des sessions de formation et
sensibilisation sur divers thématiques en lien avec la transformation primaire et finale du riz. Il
s’agira aussi d’accompagner les acteurs à s’organiser en fonction de leur spécificité. Un accent
particulier sera mis sur l’importance des normes de qualité et l’hygiène de la transformation. La
mise en œuvre de cette composante aura les résultats suivants :
- Résultat 3.1.les formations sur les thématiques de transformation et développement de
nouveaux produits dérivés du riz sont dispensées aux acteurs ;
- Résultat 3.2. des séances de formation sur l’organisation, le marketing et la gestion sont
dispensées aux acteurs ;
- Résultat 3.3. les rendements des unités de transformation sont améliorés.
Résultat 3.3.les rendements des unités de Activité 3.3.1. former les opérateurs de machines sur l’utilisation
transformation sont améliorés efficace des équipements ;
Activité 3.3.2. former les maintenanciers pour le suivi technique
des unités de transformation ;
Activité 3.3.3. former les acteurs sur la qualité du paddy.
Cette composante a pour objectif de mettre en œuvre les activités du projet conformément au
document de projet. Il s’agira plus précisément d’atteindre les deux résultats suivants :
Résultat 4.1 : Au moins 80% des programmations des activités et des finances sont réalisées.
Résultat 4.2 : les PTF et les ministères de tutelle, sont informés des étapes d’exécution du projet.
Au moins 80% des activités Activité 4.1.3 : mettre en œuvre les activités
programmées sont réalisées Activité 4.1.4 : suivre et évaluer les activités
Activité 4.1.5 : organiser des ateliers de concertation des parties prenantes
Activité 4.1.6 : réaliser des audits
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Résultat 4.2
Les PTF et le ministère de Activité 4.2.1 : Rapport trimestriel et annuel sont transmis au les PTF et les
tutelle, sont informés des étapes ministères de tutelle ;
d’exécution du projet Activité 4.2.2 : participerau comité de revue du PB 077
F. Couts et Financements
Le coût du Projet est estimé à douze milliards cinq-cents douze millions (12 512 000 000) de
franc CFA. La répartition par composante est indiquée dans le tableau 5 :
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Relativement à la composante 3, Renforcement des capacités opérationnelles des acteurs de la
transformation, des sensibilisations et formations seront privilégiées avec l’appui des Partenaires
techniques financiers. L’Etat et le secteur privé seront également mis à contribution pour assurer ce
renforcement de capacités des acteurs.
H. Organisation et gestion
L’Etat Burkinabé à travers le ministère en charge de l’agriculture est le maitre d’ouvrage (tutelle
technique) du projet qui déléguera sa mise en œuvre à un programme budgétaire (PB). De manière
plus spécifique, le PB sera chargée de :
désigner le chargé du projet et son équipe de gestion ;
contractualiser avec les auditeurs externes et les prestataires recrutés ;
coordonner la mise en œuvre des activités et le suivi-évaluation des activités du projet;
informer le ministère de tutelle et les PTF de l’exécution du projet.
L’équipe de gestion sera dirigée par le chargé de projet assisté d’un personnel technique et
administratif pour la mise en œuvre du projet.
Dans sa zone d’intervention, le projet s’appuiera pour la mise en œuvre des activités, sur les
structures déconcentrées du ministère en charge de l’agriculture, et les organisations des acteurs de
la chaine de valeurs de la filière riz.
I. Suivi-Evaluation
Le suivi des activités du projet sera assuré par le système de suivi-évaluation de l’office du riz,
chargé de collecter et d’analyser les données pour fournir des éléments d'appréciation sur les
résultats atteints et l'utilisation des ressources.
Ce suivi consistera en l’élaboration des rapports au niveau central par une compilation des rapports
régionaux. Il s’appuiera sur un large dispositif qui impliquera toutes les parties prenantes
(Structures déconcentré du ministère en charge de l’agriculture, Prestataires et bénéficiaires). Le
système de suivi-évaluation fera l’objet d’un partage avec l’ensemble des acteurs avant sa mise en
œuvre. Eventuellement le cadre logique pourrait être révisé afin de définir un cadre de résultats
réaliste, ainsi que les indicateurs SMART.
Les évaluations du projet permettront de réviser en cas de besoin la logique des interventions pour
une amélioration des performances projet. Quant à l’évaluation à mi-parcours (troisième année) et
finale, elles interviendront pour permettre de mesurer les performances de la filière et/ou de revoir
la programmation initiale. Ces évaluations peuvent être internes ou externes.
Pour la conduite de l’évaluation interne, elle sera réalisée par la DGESS/MAAH. Quant aux
évaluations externes, elles seront faites par la CARD ou toute autre expertise indépendante sous la
supervision de l’Office du riz qui est l’organe chargé du pilotage et du suivi du projet.
J. Risques
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pourraient survenir et de prendre en compte les mesures correctives qui s’imposent pour l’atteinte
des objectifs fixés. Les principaux risques identifiés sont :
- l’insécurité civile
Le Burkina Faso fait face actuellement à la menace des mouvements terroristes et à l’insécurité qui
entravent la mise en œuvre des activités dans les zones à risque. La sécurisation des personnes et
des biens est donc une condition indispensable au succès de la mise en œuvre projet.Il importe alors
de veiller au renforcement du dialogue social, des capacités de renseignement et d’interventions des
forces de défense et de sécurité, de la coopération militaire et sécuritaire, tant au niveau national que
sous régional tout en poursuivant les actions de développement.
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- le non-respect des normes techniques de réalisation des investissements structurants
Le développement rural passe par la réalisation des infrastructures de production et de soutien à la
production qui vont contribuer durablement au développement de la riziculture. Ces infrastructures
qui devront répondre non seulement aux besoins des populations mais aussi avoir une longue durée
de vie devront être faites selon les normes techniques. De ce fait, leur construction dans laquelle
interviennent activement les entreprises privées doit être suivie avec rigueur par les experts qualifiés
pour amoindrir le risque lié à la qualité des ouvrages.
Les principaux risques identifiés et analysés en fonction de leurs impacts et de leur probabilité de
survenue donnent un niveau marginal de façon globale. Le projet peut donc être mis en œuvre avec
l’espoir d’une bonne atteintedes résultats. Le tableau N°XX fait la synthèse de l’analyse des risques
identifiés et les mesures d’atténuation.
Tableau 8: Tableau des risques
1
Par opposition à l’insécurité alimentaire
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Faible mobilisation des - Développer des stratégies de financement efficace M
ressources financières et durable tels que les PPP, fond de garantie
transformation ;
- diversifier les sources de financement .
La faible adhésion et la non - Disposer d’un plan de communication pour la N
appropriation des parties diffusion de la SNDR II et son appropriation par
prenantes toutes les parties prenantes ;
- avoir une approche flexible pour la prise en
compte des préoccupations des acteurs.
Le non-respect des normes de - Rigueur dans le choix des prestataires ; N
réalisation des infrastructures et - un suivi rigoureux par les experts qualifiés pour
d’importation des équipements amoindrir le risque lié à la qualité des ouvrages.
Non-prise en compte de l’aspect - Subventions spécifiques en faveur des femmes, N
genre des jeunes et des personnes vivant avec un
handicap.
Insuffisance de paddy (quantité - Amélioration des surfaces financières des S
et qualité) pour les unités de transformateurs ;
transformation - Œuvrer à l’adoption de bonnes pratiques agricoles
et post récoltes
Total M
Légende : N : négligeable ; M : marginale ; S : substantielle ; H : haut.
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K. Fiche de Projet
Fiche Synoptique
Intitulé : Projet d’Appui à la transformation du riz du Burkina
Ministère de l’Agriculture, des Aménagements Hydro-agricoles et de la
Maître d’ouvrage :
Mécanisation
Maître d’œuvre : Coordination nationale du projet (PB 077)
Localisation : Territoire National notamment les grandes zones de production/transformation
Croupes cibles Acteurs directs et indirects de la transformation du riz
Durée : 5 ans
Budget Total : CFA
Source de financement : PTF, Etat et Privé
Contribuer à l’amélioration de la qualité du riz du Burkina Faso à travers un
Objectif général
système performant de transformation.
OS1 : Assurer l’approvisionnement durable des transformateurs en paddy ;
OS2 : Faciliter l’accès aux infrastructures de soutien, équipements et aux
services de maintenance des unités de transformation ;
Objectifs spécifiques
OS3 : Renforcer les capacités opérationnelles des acteurs de la
transformation ;
OS4 : Assurer la gestion de projet.
OS1 : Assurer l’approvisionnement durable des transformateurs en paddy
Résultat 1.1 : des modèles de contractualisation agricole du riz sont
développés et vulgarisés ;
Résultat 1.2 une plateforme de collecte et de commercialisation du paddy
fonctionnelle est créée ;
Résultat 1.3 : la surface financière des transformateurs du riz est
augmentée
OS2 : Faciliter l’accès aux infrastructures de soutien, équipements et aux
services de maintenance des unités de transformation
Résultat 2.1. des infrastructures de prétraitement et de stockage de paddy
sont réalisées ;
Résultat 2.2. l’accès aux équipements de transformation de paddy est
facilité ;
Résultat 2.3. les centres de maintenances et d’approvisionnement sont mis
Résultats attendus:
en place ;
OS3 : Renforcer les capacités opérationnelles des acteurs de la
transformation
Résultat 3.1. les formations sur les thématiques de transformation et
développement de nouveaux produits dérivés du riz sont dispensées aux
acteurs ;
Résultat 3.2. des séances de formation sur l’organisation, le marketing et la
gestion sont dispensées aux acteurs ;
Résultat 3.3. les rendements des unités de transformation sont améliorés ;
OS4 : Gestion du Projet
Résultat 3.1 : Au moins 80% des programmations des activités et des
finances sont réalisé
Résultat 3.2 : les PTF et les ministères de tutelle sont informés des étapes
d’exécution du projet.
Risques majeurs et action
de mitigation
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Annexe 1 : Format de Cadre logique
Programme/Projet Indicateurs Objectivement vérifiables Sources de vérification Hypothèses/Risques importants
1. OBJECTIF GLOBAL
Part du riz du Burkina dans la consommation nationale du riz
Contribuer à l’amélioration de la qualité du riz du Burkina
Faso à travers un système performant de transformation.
2. OBJECTIFS SPÉCIFIQUES
1. Assurer l’approvisionnement des transformateurs en paddy Part du paddy décortiqué par les unités de transformation La surenchère des coûts des
Rapport d’évaluation
équipements de transformation
2. Faciliter l’accès aux infrastructures de soutien, équipements et Niveau d’équipement des unités de transformation Enquête
aux services de maintenance des unités de transformation Niveau de mise aux normes des unités de transformation La défaillance des fournisseurs
Agrément
Les études
3. Renforcer les capacités et le suivi technique des acteurs de la Niveau de fonctionnalité des acteurs des organisations de la
transformation transformation du riz L’instabilité institutionnelle
Le rendement moyen de l’usinage du paddy
Le changement climatique
3. RÉSULTATS
Composante 1: Approvisionnement des transformateurs en paddy
1.1 des modèles de contractualisation agricole du riz sont Nombre de modèle retenu pour les contrats pour le volet
développés et vulgarisés transformation du riz
Le nombre d’accords commerciaux entre producteurs et Rapport d’études
transformateurs rapport d’exécution/mise en œuvre
enquête/enregistrement
1.2 une plateforme de collecte et de commercialisation du paddy Niveau d’adhésion des acteurs à la plateforme
fonctionnelle est créée
1.3 un plaidoyer pour l’augmentation de la surface financière Nombre de plaidoyers menés Rapports d’exécution
des transformateurs du riz est mené Volume de crédit pour l’achat de paddy Rapport d’évaluation
Composante 2:Infrastructures de soutien, équipements et maintenance des unités de transformation
Nombre de magasin
2.1 des infrastructures de prétraitement et de stockage de paddy
Nombre d’aire de séchage
sont réalisées Les études
Nombre de centre d’étuvage
2.2 l’accès aux équipements de transformation de paddy est Nombre d’unités mises aux normes Rapport d’exécution
facilité Nombre d’unités performantes mises en place Les fiches de crédit
Agrément
2.3 les centres de maintenances et d’approvisionnement sont mis Existence d’un réseau de maintenancier
en place Nombre de centre de maintenance fonctionnel
Composante 3Renforcement des capacités opérationnelles des acteurs de la transformation
2
Annexe 2 : Tableau de l’estimation des coûts
Budget cout
qté Répartition annuelle des coûts
indicatif unitaire
Composantes Résultats attendus Activités par résultat
(millier de
FCFA) A1 A2 A3 A4 A5
2
Activité 4.1.1 : planifier la mise en œuvre du
projet
3
ANNEXE 3 : Tableau récapitulatif des besoins acquis et détermination des ressources additionnelles
Financement
Actions Cibles Existant
Besoin estimé Besoin acquis Besoin résiduel
Appuyer la mise en Un modèle de
relation entre contractualisation
producteur et élaboré et diffusé
transformateur Une plate forme de
collecte et de
commercialisation
crée et fonctionnelle
Faciliter l’accès aux Un fonds de
ressources pour commercialisation
l’achat du paddy mis en place