Mrcce Le Système D'animation
Mrcce Le Système D'animation
Mrcce Le Système D'animation
Le système d’animation
PLAN
Introduction générale
A- La définition du système
B- La définition d’animation
C- La définition du système d’animation
D- La relation entre SF-SO-SA
A- La motivation
B- La communication
C- La coordination
D- La visibilité
E- Le contrôle
Section III : Les notions d’animation dans les théories des organisations
A- L’approche classique
B- L’Ecole des Relations humaines
C- L’école du développement des organisations
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Le système d’animation
SECTION I : Les pratiques d’animation individuelle
A- La formation technique professionnelle
B- La formation administrative professionnelle
C- La pratique des plans de carrière
Conclusion générale
INTRODUCTION
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Le système d’animation
Les définitions des tâches et des relations au sein de l’organisation sont
susceptibles d’interprétation diverses de la part des personnes et des groupes. C’est au
système d’animation d’harmoniser ces significations, en d’autres termes, il s’agit de
faire converger les effort des membre de l’organisation de réaliser une intégration des
efficacités individuelles en agissant de la capacité et de la volonté (motivation) du
participant, d’œuvres selon les finalités de l’organisation et dans le cadre des
contraintes organisationnelles.
Cette définition fait allusion aux trois sous système de gestion à savoir :
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Le système d’animation
CHAPITRE I : le concept du système d’animation
A- La Définition du système
Un système c’est un ensemble d’éléments en interaction entre eux ouvert sur son
environnement externe ;
L’organisation correspond à un système : c'est-à-dire un ensemble d’éléments en
interrelation, dont le degré de complexité est supérieur à celui des parties : « le tout est
autre chose que la somme des éléments qui le constitue ».
Ce système est ouvert sur l’extérieur. Il ne doit sa survie qu’à sa permanente
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Le système d’animation
C- La définition du système d'animation
Le rôle du système d'animation est de générer l'action, de faire exécuter par les
membres de l'organisation le travail nécessaire à la réalisation des objectifs de
l'entreprise.
L'efficacité de l'organisation a :
Une composante économique : l'efficacité se mesure en terme de rentabilité ou de
profit,
Une composante sociale : l'efficacité se mesure en terme de satisfaction des individus
dans l'entreprise.
D'où des notions comme :
Le leadership ou capacité d'influencer les membres de l'entreprise pour leur faire
comprendre la nécessité d'accomplir leur travail.
La motivation : tous les éléments qui incitent les individus à agir dans un sens
favorable à la réalisation de leurs objectifs.
La formation et la culture.
D- La relation entre SF ; SO ; SA
Animer, « c’est faire progresser l’action du personnel des sous organes définies
par le système d’organisation pour atteindre les buts du système de finalisation »1.
Pour ce faire, l’animateur doit motiver, communiquer, coordonner, promouvoir et
contrôler2 l’action des groupes. Dans ce qui suit, nous détaillerons ces cinq
composantes de l’animation toute en précisant le rôle de l’animateur dans chacune de
ces composantes.
A La motivation :
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D’après MAC CARTHY l’animation « aide à stimuler » et ainsi à motiver les
membres du groupe. L’activité d’animation devra donc être attentive à bien motiver et
à soutenir la volonté des participants. Cette stimulation pourra aider à obtenir la
participation des intervenants et leur approbation pour réussir à atteindre les objectifs
de l’entreprise. A ce niveau, l’animateur est qualifié de Motivant, il doit piloter,
orchestrer tout le dispositif et surtout entretenir le moral des participants en les
motivant.
B La communication :
Le même auteur suggère que les différents membres de l’équipe « soient informés ».
On comprend que le but est de dynamiser les échanges entre le personnel et qu’une
communication entretenue et durable au sein du groupe pourra mobiliser les
participants.
Dans ce cadre on prétend à ce que l’Animation devra développer et maintenir
une communication et dynamiser les échanges entre les différents participants de
différentes phases du dispositif.
A ce niveau, l’animateur sera un Médiateur puisqu’il jouera le rôle d’un
intermédiaire entre ses participants et les supérieurs hiérarchiques. Il va recevoir de
2« Veille Stratégique, exploration de la fonction d’Animation » Humbert LESCA et Salima KRIAA 3emes
Journées Internationales de la Recherche en Sciences de Gestion, Association Tunisienne des Sciences de
Gestion, Gammarth, 20-22 fév. 2003.
3« La conduite du personnel » MAC CARTHY D.Dugué-.- 2e éd. –Paris : Dunod, 1971.- 342 p.
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Le système d’animation
chaque côté des fragments d’information, de connaissance. Son rôle est de faire
véhiculer l’information dans tous les sens et savoir intégrer le tout dans la prise de
décision.
C La coordination :
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TABATONI et JARNIOU montrent que l’Animation a pour but de « faire
converger les efforts des membres de l’organisation, de réaliser une intégration de leur
efficacité individuelle ».
La nécessité de la coordination dans l’Animation est expliquée par la particularité du
caractère du dispositif. Ses participants sont répartis sur plusieurs fonctions de
l’entreprise.
Cette segmentation d’une part et l’exigence de réaliser les objectifs d’autre part
font apparaître le besoin de la coordination.
L’animateur jouera ici le rôle du Coordinateur. En effet, il essayera de tenir une
collaboration à tous les niveaux et essentiellement avec les supérieurs hiérarchiques.
D La visibilité :
1« Les systèmes de Gestion : politiques et structures » TABATONI Pierre et JARNIOU Pierre.-.- 1er éd.-Paris :
Presses universitaires de France, 1975.- 230 p.
2« Animation et contrôle de la force de vente » ZEYL Alfred et DAYAN Armand.- Paris : Les éditions
d’organisation, 1982.- 186 p.
3« Animation et contrôle de la force de vente » ZEYL Alfred et DAYAN Armand.-.- Paris : Les éditions
d’organisation, 1982.- 186 p.
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Le système d’animation
Le contrôle permettrait alors d’évaluer l’état d’avancement des travaux, mais aussi
d’évaluer les efforts des participants, de leur guider dans la réalisation de leurs tâches
en apportant une assistance et en offrant les techniques appropriées.
Dans ces deux dernières composantes, l’animateur jouera le rôle d’un
Pédagogue : car il aura à promouvoir les objectifs, les méthodes et les tâches c’est à
dire à les faire connaître, les expliquer et les rendre visible. L’animateur dans ce rôle
aura tendance à être un animateur formateur.
Après avoir déterminé les différentes composantes nécessaires pour la fonction
d’Animation, On peut conceptualiser l’Animation en proposant la définition suivante :
L’Animation est un ensemble d’actions menées par un animateur orientées vers
les différents participants visant à insuffler une âme et à donner souffle et pérennité au
dispositif. « Animer c’est donner vie »1 ( MAC CARTHY ).
Ces actions sont :
Motiver les membres du groupe régulièrement.
Créer un cadre de communication, d’échange dynamique d’information et de
partage des expériences.
Faire converger (cordonner) les efforts vers une action collective.
Fournir une aide dans la compréhension et la réalisation des objectifs de
l’entreprise.
Permettre une évaluation des efforts et un développement des compétences de
chacun afin de mettre en œuvre des actions correctives.
La réussite de ces actions dépendant du profil de l’animateur qui devra prouver un
minimum de compétences pour bien assurer sa fonction. Ainsi, il doit être:
Compétant : l’animateur doit avoir les compétences techniques et administratives
nécessaires pour mener l’action du groupe mais aussi pour les former et les assister en
cas de besoin.
Motivé, ambitieux, optimiste : l’animateur a pour mission de faire progresser l’action
du groupe et donc il devra avoir la capacité de savoir motiver les participants et ce tout
en étant motivé de son côté.
Sections III : Les notions d’animation dans les théories des organisations :
Les concepts présentés précédemment permettent de situer l’animation dans les
théories organisationnelles. Chacune de ces théories présente une vision de
l’organisation privilégiant un ou plusieurs de ces concepts et suggère des pratiques
d’animation spécifiques.
A- L’approche classique
L’approche classique repose sur l’hypothèse qu’il n’existe aucun conflit entre les
personnes et l’organisation ; la recherche de la performance économique est
compatible avec la satisfaction des participants ; c’est notamment ce que pensent
F.W.FAYOL, père du Scientifique Management, le français Fayol et leurs disciples.
Taylor estime que la personne se satisfait exclusivement de récompenses
matérielles, que sa seule motivation est son salaire. En conséquence, pour qu’il y ait
intégration dans le sens d’une meilleure efficacité organisationnelle, en termes
économiques et humains, il convient d’abord de lier aussi étroitement que possible la
rémunération des travailleurs aux efforts qu’ils font, à la quantité de travail fourni ;
ainsi les participants s’utiliseront au maximum pour l’efficacité économique et leur
satisfaction1.
Reconnaître à l’homme au travail une motivation unique est une manière pour
Taylor d’évacuer les variables psychologiques de l’animation ; aussi peut il se
consacrer à l’étude de l’effort et de la fatigue. Il ne fait que proposer une théorie
économico-physiologique de l’animation. La tentative d’intégration de Taylor vise le
travailleur d’exécution, celles de Fayol en France, d’Urwick en Angleterre, de Mooney
et Reiley aux Etats-Unis s’appliquent à l’ensemble des participants de l’Organisation.
1 « Les systèmes de gestion » : politiques et structures. Par Pierre Tabatoni et Pierre Jarniou. Edition : PUF,
Paris. 1975 ;P:140.
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Le système d’animation
Elle s’appuie sur un principe fondamental et trois principes secondaires destinés à
inspirer la mise en œuvre du principe fondamental. Le principal fondamental consiste
dans le principe hiérarchique concrétisé par un organigramme de type pyramidal : les
responsabilités et l’autorité doivent être distribuées par niveaux de telle manière que
l’influence de la personne située à un niveau bas, faible, voir nulle1.
Pour éviter les conflits que pourrait faire surgir l’application du principe
hiérarchique, il convient qu’il y ait unité de commandement (deuxième principe) :
<<Pour une action quelconque, un agent ne doit recevoir d’ordre que d’un seul chef 2.
Par ailleurs, afin que les personnes ne soient submergées et l’Organisation paralysée,
seules les décisions importantes seront soumises au chef par le subordonné, c’est le
principe de limitation de l’aire de contrôle. Ces principes fondent encore souvent
l’organisation au sens étroit du terme, entendue comme une technologie des structures
formelles. Eu égard à la problématique de l’animation que nous avons développée, il
est aisé de constater que l’intégration recherchée vise la performance économique.
Toutefois, l’application des principes énoncés précédemment ne conduit pas toujours
aux résultats escomptés; les pratiques inspirées notamment du principe hiérarchique
limitent souvent la souplesse d’adaptation de l’Organisation. Même ceux qui
continuent à penser l’animation en termes exclusivement économiques sont conduits à
remettre en cause les principes classiques.
B- L’Ecole des Relations humaines :
Cette école, dont on sait qu’elle s’inspire des recherches entreprises par Elton
Mayo à partir de 1924 dans les usines Hawthorne de la Western Electric, insiste sur le
lien qui existe entre le vécu du participant dans un groupe et ses performances
économiques. Le vécu d’une personne dans une situation quelconque dépend lui-
même des besoins de cette personne et surtout de leur degré de satisfaction. Les
tenants de l’Ecole des Relations humaines envisagent donc l’intégration dans
l’organisation, structure sociale concrète tout en, du moins au départ, se proposant
d’améliorer ses performances. S’introduisent véritablement dans la problématique de
1 « Les systèmes de gestion » : politiques et structures. Par Pierre Tabatoni et Pierre Jarniou. Edition : PUF,
Paris. 1975, P :142.
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Le système d’animation
1 Compte tenu des interdépendances qui existent entre les différents sous-
systèmes qui la composent, il est possible de la faire évoluer, de la développer
en agissant sur n’importe lequel de ces sous-systèmes .
2 Le changement ayant en général des causes et des effets dans l’ordre de
l’humain, il paraît souhaitable de l’introduire dans le cadre du sous-système
socio-humain ; en conséquence, l’O.D. privilégie les interventions centrées sur
la modification des comportements et des attitudes personnelles1 .
3 Des systèmes sociaux comme les Organisations, à la différence des systèmes
mécaniques et même biologiques, ont la capacité de se modifier
fondamentalement et de leur propre initiative. Cette idée, formulée ici par
Lawrence et Lorch, mais partagée par la plupart des spécialistes de l’O.D. 2, fait
implicitement référence au concept de système morphogénique présenté par
Buckley. Elle est fondamentale d’un point de vue pratique car elle implique que
le spécialiste de l’O.D. se tienne en retrait et laisse jouer les propriétés
morphogéniques de l’organisation ; ce rôle s’avère évidemment difficile à tenir
en situation et, en fait, c’est à partir de cette hypothèse que les pratiques de
l’O.D. commencent à diverger. Les divergences entre les différentes pratiques
d’O.D. tiennent moins aux instruments employés, pour la plupart empruntés à la
psychologie sociale, et au processus d’intervention, calqué sur le modèle de
recherche-action lewinien, qu’aux hypothèses axiologiques qui les fondent plus
ou moins implicitement.
Il semble bien qu’aux Etats-Unis, de ce point de vue, l’O.D. prenne les relais des
Relations humaines et joue un rôle équilibrateur dans l’entreprise américaine ; chez les
spécialistes américains, qu’il s’agisse de Bennis, de Beckard ou de Schein, prévaut
toujours l’idée, teintée d’humanisme industriel ; de compatibilité
les interactions :
Cette fonction consiste à être attentif aux processus de groupe et aux enjeux
autour desquels le groupe se structure, puis à utiliser ses propres réactions ainsi que la
position qu’on occupe pour partager ses impressions et ses interprétations de ce qui
survient. Elle suppose une observation sensible ainsi que la capacité d’exprimer sa
compréhension des choses sans vouloir l’imposer.
Observer la dynamique et le processus du groupe
Faire part de ses observations d’une façon stratégique, notamment en
choisissant le moment opportun et les circonstances qui conviennent.
Rétroagir en informant les autres des réactions qu’ils suscitent
Renoncer à présenter son point de vue comme une vérité indiscutable qui
devrait s’imposer
S’ouvrir à la variété et à la variabilité d’une pluralité de points de vue.
Cette fonction est dite facilitation dans la vie d’un groupe parce qu’elle s’articule avec
la précédente : il s’agit de celle de faciliter la production. Elle définit le mode
d’organisation et de conduite du groupe, la distribution et l’articulation des rôles, le
type de leadership et de répartition des pouvoirs, bref des facteurs dits «socio
opératoires ».
Ces facteurs sont destinés à permettre le maintien du système interne du groupe,
à élaborer ses objectifs, son plan de travail, avec les synthèses partielles qui jalonnent à
favoriser la participation des membres du groupe et les échanges, à canaliser les
débordements hors sujet, à amener le groupe à mieux cerner les prises de décision
nécessaires et les conclusions qu’il tire de son cheminement intellectuel, en
dédramatisant l’émotivité et les passions excessives, pour aboutir, si possible, à un
accord.
1 « Animation et animateurs » par : jean Claude Gillet, l’ HARMATIAN PARIS 1997
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Organisation, stimulation, clarification, coordination, échange et confrontation
sont les mots-clefs pour désigner cette fonction qui établit les règles de jeu qui vont
jalonner la vie du groupe, et lui permettant d’utiliser ses ressources potentielles vers
l’objectifs final par la détermination de son projet en repérant les éléments
stratégiques nécessaires (articulation des fins et des moyens).
réalisation de la tâche :
B- L’intégration:
Rien de plus simple à première vue que la notion d'équilibre; elle suggère
banalement un état d'égalité, de repos entre plusieurs forces opposées. Mais si cet état
devient l'idéal organisationnel à atteindre, comme le remarque William G. Scott et
Terence R.Mitchell, il acquiert le statut d'une idéologie de management et, d'un point
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Elle correspond aux emplois de travailleurs spécialisé sans aucune
qualification1, c’est un processus d’apprentissage qui permet à l’individu d’acquérir le
savoir faire nécessaire à l’exercice d’un métier ou d’une activité professionnelle ; il est
bien évident en ce qui concerne ce dernier et suivant les principes d’organisation
scientifiques de travail, il n’est nul besoin de compétences d’un haut niveau pour
effectuer les travaux requis. La règle d’or consistant à confier exclusivement aux
travailleurs des travaux d’exécution, implique une formation technique extrêmement
rapide, limitée à l’apprentissage d’un nombre restreint de gestes élémentaires, la
formation technique ne semble pas contribuer à l’amélioration de bien être
indépendamment de supplément de revenu qu’elle peut procurer.
C- Le plan de carrière
Les marches de c’est dernier temps le marché de travaille est devenu Plus
concurrentiels et la demande qui exige toujours plus de qualité, et
Face à l’instabilité de l’environnement, l’organisation cherche plus de
flexibilité et d’adaptabilité dans le cadre d’un développement permanent des
ressources humaines. Les structures de l’entreprise prévoient des actions de formation
s’inscrivant dans le cadre des préoccupations d’amélioration et de développement des
Compétentes du personnel par rapport aux objectifs de l’entreprise, parmi ces action
on peut citer le plan de carrière qui correspond, sous l’angle de l’entreprise, à
A. L’apprentissage de la créativité :2
2 http://www.creativite.net/creativite-innovation-entreprise-reunion-equipe-6/
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Le système d’animation
l’innovation au sein de l’entreprise s’avère un projet de développement organisationnel
essentiel.
2http://www.rhdcc-
hrsdc.gc.ca/fra/competence/competences_essentielles/enrichissement_des_taches.shtml
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fixation des objectifs n'est pas discutée, seuls les moyens accordés font l'objet d'une
négociation.
0. Gélinier, vers 1970, complète ce système, appelé dès lors direction
participative par objectif (D.P.P.0) : les différents membres du personnel fixent avec
leurs supérieurs des objectifs qu'ils s'engagent à réaliser.
5. Sa performance est améliorée quand son supérieur manifeste de l'intérêt pour ses
résultats.
La DPO est un système de management qui fonde la motivation des salariés sur les
difficultés et la clarté des objectifs. Par nature ce système implique la fixation
conjointe d’objectifs de performance et de progression personnelle par les dirigeants et
les salariés, l’évaluation périodique par les uns et les autres de l’avancement du salarié
dans la réalisation desdits objectifs puis la rémunération des salariés. 2
1http://andre.font.free.fr/Font/dpodef.html
CONCLUSION
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BIBLIOGRAPHIE
« Les systèmes de gestion » : politiques et structures. Pierre Tabatoni et Pierre
Jarniou. Edition : PUF, Paris.1975
WEBOGRAPHIE
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MRCCE
Le système d’animation
http://www.creativite.net/creativite-innovation-entreprise-reunion-equipe-6/
http://www.rhdcc-
hrsdc.gc.ca/fra/competence/competences_essentielles/enrichissement_des_tache
s.shtml
http://andre.font.free.fr/Font/dpodef.html
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