Memoire Ghislaine Corrige - 114119
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MEMOIRE
PLAN DU TRAVAIL
INTRODUCTION
1. ETAT DE LA QUESTION
2. PROBLEMATIQUE
3. OBJECTIFS :
GENERAL
SPECIFIQUES
4. HYPOTHESE
6. DELIMITATION DU SUJET
7. SUBDIVISION DU SUJET
Conclusion
Suggestion
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INTRODUCTION
1. ETAT DE LA QUESTION
L’eau est l’aliment indispensable dans la vie de l’homme, et elle est un élément vital pour
notre quotidien, cette dernière constitue donc une condition primordiale du bien-être de la
population, étant très importante dans la vie humaine elle est aussi une de plus grandes
sources des maladies (Agnès . F, 2018).
Hydriques ont représenté 40 % des urgences sanitaires liées au climat au cours de deux
derniers décennies (Anctil. F, 2012).
Les pays pauvres sont largement plus touchés, mois des foyers épidémique se déclarent
périodiquement dans les pays riches (Ex e, Moi 200, Washington (Ontario) au moins 2300
personnes ont été gravement malades suite d’une contamination microbienne du réseau d’eau
potable aux sources polluée, à la consommation des aliments ou d’eau contaminée par les
selles des personnes infectées (BUKATA V, 2020).
En RDC, l’eau non potable est une menace, 53,5% de ménage son exposé a toutes sortes des
maladies hydrique, bien que la RDC soit le pays d’Afrique possèdent les ressources hydriques
les plus importants, elle fait face aujourd’hui à des difficultés pour servir sa population en eau
potable (Chalmin, S. 2020).
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D’après les statistique publié par le ministère de l’énergie et le programme de nation unie
(PNUE, 2010 taux national), de désert, qui était de 69 % en 1990, est tombé à 22% en 2005
avant de monter à 26 % (Chibani, D, 2016).
L’incident des maladies infectieuses causer par de l’eau de boisson de mauvaise qualité est
souvent la chez les enfants âgés de 0 à 5 ans (Chibani, D, 2016).
Les maladies transmises par des micro-organismes présents dans l’eau qui exigent une action
prioritaire sont :
ans sur toute l’étendue du territoire Congolais. La male nutrition résulte de causes multiples
dont le faible d’accès à l’eau potable, à des services d’assainissements et au non adoption des
pratiques d’hygiène de base. De manière générale l’accès à l’eau de qualité et à des conditions
sanitaires et d’hygiène adéquates permettent la prévention de multiples autres maladies
d’origine hydrique (Essayagh, M, 2020).
Pour se ressourcer cette population puise de l’eau de puits source de diverses maladies
d’origine hydrique car cette eau n’est pas traitée avant l’utilisation (Girerd, R, 2022).
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2. PROBLEMATIQUE
L’eau c’est la vie, elle apparait en première approximation comme un élément essentiel de la
planète et l’aliment des organismes vivants, elle est à l’origine de la vie (Girerd, R, 2022). .
En effet l’eau est l’élément autour duquel se maintient et se développe la vie, par ailleurs l’eau
n’est toujours pas la vie, car elle est la source de plusieurs problèmes de la vie, dont les
maladies, les inondations, les noyades et ainsi la mort ; d’ailleurs certains auteurs affirment
que l’homme meurt rapidement par la soif que la faim (HAMAMAH, S. 2022).
Cet ainsi le problème d’eau reste un sujet majeure dans la population Katangaise
précisément ceux qui habitent la zone camp Assistant, cette population est confrontée aux
problèmes d’accès à l’eau potable, malgré l’existence d’un réseau d’eau (REGIDESO) en
effet pour se ressourcer cette population fait recours à l’eau des puits et des forages qui les
exposent à des maladies d’origines hydriques car cette eau est portée de plusieurs bactéries
surtout que ce ne pas traiter avent l’utilisation (Hounsa, A.E, 2019).
Pour ce qui est à noter pour cette zone d’études les questions suivantes
S’imposent :
3. OBJECTIFS
a. Objectif générale
D’une manière générale notre étude vise améliorer la connaissance de la population sur les
maladies hydriques.
b. Objectifs pacifiques :
Le choix de ce sujet n’est pas un fait du hasard, la santé des êtres humains nous concerne
tous, lorsqu’il y a un mort d’homme c’est un vide dans la société qui se crée dans ce cadre
d’idée nous personnes de santé sommes dans l’obligation de trouver des solutions durable à
ce genre de problème.
a. Intérêt personnel
Dans le cadre de cotre étude nous avons voulu apprendre les causes de l’existence de
cas de maladies liées à l’eau dans l’espace Camps Major Vangu.
b. Intérêt scientifique
Ce travail surement d’une manière ou d’une autre servira référence à futures
chercheuses qui inciteront les sujets similaires.
c. Intérêt socio-économique
Le résultat de ce travail pourra réduire le taux des maladies, non diffèrent modes de
prévention et grand les maladies diminuera la fréquence, l’économie sera revenue à la normal,
car la population qui passait le temps presque au centre de sorti hospitalisée serait dans leurs
maisons et aussi dans leurs activités génératrices de revenues.
5. SUBDIVISION DU TRAVAIL
CHAPITRE V. DISCUSSION
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I.1.1 Connaissance :
I.1.2 Attitude :
L’attitude de définie comme l’état d’esprit d’un sujet, d’une personne ou d’un groupe vis-à-
vis d’un objet, d’une action, d’une maladie ; c’est une prédisposition mentale à agir de telle ou
telle façon. (Merlet et al., 2023)
I.1.3 Pratique :
C’est une façon de procéder ou technique de procéder dans la réalisation d’une action ou
d’une activité.
I.1.4 Population
I.1.5 Maladie
Selon l’organisation mondiale de la santé ( OMS) la maladie est une altération de l’état de
santé se manifestant par un ensemble des signes et de symptômes perceptibles correspondants
à des troubles généraux ou localisés fonctionnelles dû à des causes internes ou externes et
comportant une évaluation.(Boiche et al, 2019)
Les maladies Hydriques sont nommés comme tels car elles sont causées par la consommation
des eaux insalubres ou souillés «fwwFuturaScience.com» santé
I.1.7 L’eau :
L’eau en latin (Aqua qui a donné aquatique et en Grec Hydros qui a donné Hydrique) est un
sous liquide en condition ou en température ambiante composée de molécule qui associe 2
atomes d’hydrogènes et 1 atome d’oxygène “H2O” incolore , inodore, et sans saveur(Anctil
et al., 2012).
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C’est l’ensemble des mesures et des infrastructures qui permettent d’amener l’eau à la
collectivité et rurales. (Anctil et al., 2012)
C’est la quantité d’eau nécessaire pendant une période donnée pour une satisfaction complète
C’est une situation dans laquelle la demande en eau dépasse des ressources en eau
disponibles.
C’est une eau souvent définie comme une eau sortant naturellement du sol
12 Traitement de l’eau :
Le traitement d’eau est un procédé qui vise à éliminer la présence des germes, de bactéries ou
des plions pour rendre cette eau usée en bonne qualité pour la consommation. (Bagtérienne,
2011.)
Cette eau qui, adaptée est destinée à la consommation humaine. Elle peut être bue sans risque
pour la santé, on parle d’eau potable car on fait également référence à son utilisation.
L’eau peut être naturellement potable, comme cela est le cas pour les eaux de source, mais
elle peut devoir également être traitée afin de s’en assurer.
Dans l’un ou l’autre cas, l’eau est évaluée et des tests sont effectués pour trouver d’éventuels
contaminants potentiellements nocifs.
Une eau est dite potable quand elle satisfait à un certain nombre de caractéristiques la rendant
propre à la consommation humaine.
C’est une eau qui n’offre pas d’inconvénients pour la santé du consommateur.
C’est une qualité signale que l’eau convient à tous les usagers domestiques habituels, y
compris l’hygiène corporelle.
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Selon le petit Robert (1996), c’est toute eau dont l’état d’asepsie est altéré, corrompu, infecté,
par rapport à cette étude, une eau est dite polluée quand elle contient des agents pathogènes.
L’homme apporte où cycle de l’eau une perturbation qualitative par la pollution plus ou moins
importante qui découle de ses rejets d’eaux usagées et qui vient s’ajouter aux problèmes
qualitatifs dit naturels.
Selon L’OMS, 80% de maladies infectieuses sont dues à la mauvaise qualité de l’eau et
constitue une des premières causes de mortalité dans le monde, soit 25.000 décès par
jour(Chibani and Ferhat, 2016)
Les maladies Hydriques sont des maladies généralement causées par la consommation ou
l’ingestion de L’eau contaminée par les bactéries, virus, champignons, et aussi les contacts
directs avec les eaux insalubres.(Anctil et al., 2012)
I.2.1. La première catégorie est celle des maladies d’origine hydrique Çwater-borne
diseases’)
La transmission se fait par ingestion d’une eau contaminée ; cette catégorie regroupe toutes
les
La transmission de cette catégorie se fait par des pathogènes qui passent une partie de leur
cycle de vie dans l’eau ; toutes ces maladies sont dues à l’infection par les vers parasites
(helminthes), qui dépendent d’hôtes aquatiques intermédiaires (escargot d’eau) pour
accomplir leur cycle de vie. Le ver de Guinée est le seul dans ce groupe à être normalement
transmis par l’eau de boisson (ce n’est pas commun, mais la schistosomiase peut être
transmise également en buvant de l’eau traitée)
Ces maladies dites d’infection intestinale ou parasitaire sont liées à la qualité de l’eau. Ce sont
les maladies qui ne sont pas fatales en général (draconculose, paragonimose, clonorchose,
schistosomiases…) ; mais la morbidité associée à ces maladies à des conséquences graves en
termes de pertes économiques, en réduisant les capacités des malades à vaquer paisiblement à
leurs occupations. Elles sont également le résultat d’une contamination de l’eau par substance
utilisant l’eau comme porteuse, suite à l’insalubrité provoquée par la non évacuation des
déchets solides et liquides aux alentours des parcelles, à l’insuffisance de l’assainissement à
l’intérieur, au manque de système de raccordement aux égouts dans des milieux urbain etc.
(Vissin et al., 2016)
I.2.3. La troisième catégorie est les maladies dues au manque d’hygiène (water-washed
diseases).
Cela concerne les maladies dont on peut réduire la transmission en augmentant le volume
d’eau utilisé pour l’hygiène, indépendamment de la qualité de cette eau : infection de la peau
ou des yeux (sepsis bactérien de la peau, gale, infections fongiques de la peau, trachome) ;
cette catégorie renferme les maladies qui apparaissent en situation de pénurie d’eau salubre et
se développent dans de mauvaises conditions et pratiques d’hygiène (trachome, lèpre,
tuberculose, coqueluche, tétanos, diphtérie…). La transmission de ces infections se fait
essentiellement à travers les mains sales.(Mandele et al., 2020)
I.2.4. La quatrième catégorie est celle des maladies transmises par les vecteurs liés à
l’eau – (water-related insect vector).
La transmission de cette catégorie se fait par des vecteurs qui se multiplient dans l’eau et sont
actifs à proximité des points d’eau (principalement malaria, fièvre jaune, fièvre dengue,
maladie du sommeil et filariose). Certains insectes participent au cycle fécal-oral en
véhiculant des pathogènes fécaux sur leur corps et dans leur appareil intestinal, ce sont les
insectes vecteurs liés aux excréments (mouches et cafards). Ces maladies se transmettent
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D’une manière générale les principales maladies liées à l’eau sont cité notamment comme
suite :
Choléra ;
Gale ;
Hépatite ;
Onchocercose (cécité des rivières) ;
Paludisme ;
Amibiase ;
Campylobactériose ;
Schistosomiase ;
Teigne (Some et al., 2014)
1.1.6.6. Détail sur les causes des principales maladies liées à l’eau
1.13.1. Choléra
Le choléra est causé par la bactérie Vibriocholerae. Les gens sont infectés après avoir
consommé des aliments ou de l’eau qui ont été contaminés par celles de personnes infectées.
Les fruits de mer crus ou pas assez cuits peuvent être une source d’infection dans les zones où
le choléra est répandu et l’assainissement médiocre. Les fruits et légumes qui ont été lavés
avec de l’eau contaminée par des égouts peuvent également transmettre l’infection si la
bactérie V. cholera est présente.(OMS, 2010)
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Le choléra est une infection intestinale aiguë qui commence par une diarrhée aqueuse
indolore, des nausées et des vomissements. La plupart des sujets atteints ont une diarrhée très
bénigne ou une infection asymptomatique. Les personnes sous-alimentées en particulier ont
des symptômes plus graves. Les cas graves de choléra se présentent avec une diarrhée et des
vomissements abondants. Le choléra grave, non traité, provoquer une déshydratation rapide et
fatale.(Chalmin et al., 2020)
Pour prévenir la propagation du choléra, les quatre interventions suivantes sont essentielles et
efficaces :
1.13.7. Diarrhée
La diarrhée est répandue dans le monde entier ; elle est à l’origine de 4% de tous les décès et
de 5% des incapacités. Elle est le plus souvent causée par des infections gastro-intestinales qui
tuent chaque année environ 2,2 millions de personnes dans le monde, pour la plupart des
enfants dans les pays en développement (rapport OMS 2012)
La diarrhée est un symptôme d’une infection causée par un grand nombre d’organismes
bactériens, viraux et parasitaires dont la plupart peuvent se propager par l’eau souillée. Elle
est plus fréquente lorsqu’il n’y a pas d’eau propre pour la boisson, la cuisine et le nettoyage,
et lorsque les règles basiques d’hygiène ne sont pas réunies.
L’eau contaminée par les matières fécale humaines provenant par exemple des égouts
municipaux, de fosses septiques et de latrines constitue une source de préoccupation
particulière. Les fèces animales contiennent également des micro-organismes pathogènes qui
peuvent causer la diarrhée.(Hounsa et al., 2019)
D’infection, la diarrhée peut être aqueuse (par exemple dans le choléra) ou sanguinolente
(dans la dysenterie par exemple).
La diarrhée due à une infection peut durer quelques jours, ou plusieurs semaines, comme dans
la diarrhée persistante. La diarrhée sévère peut mettre l’existence en danger du fait du manque
de liquide, comme dans la diarrhée aqueuse, notamment chez les nouveau-nés et les jeunes
enfants, les personnes sous-alimentées et celles dont l’immunité est affaiblie.
Notamment la nuit. L’écorchure des zones de démangeaison se traduit par des plaies qui
peuvent être infectées par des bactéries. Une forme plus grave de gale, connue sous le nom de
gale norvégienne, est plus fréquente chez les personnes dont le système immunitaire est
affaibli.(Hounsa et al., 2019)
Les fièvres typhoïde et paratyphoïde sont des infections causées par des bactéries qui sont
transmises lors de l’ingestion d’aliments ou d’eau contaminés par des selles. Une eau propre
et un bon assainissement permettent de prévenir la propagation de la typhoïde et de la
paratyphoïde. L’eau contaminée est l’une des voies de transmission de la dite maladie.
(Essayagh et al., 2020)
Les fièvres typhoïde et paratyphoïde sont causées par les bactéries Salmonella typhi et
Salmonella paratyphi respectivement. Les germes de la typhoïde et de la paratyphoïde passent
dans les selles et l’urine des personnes infectées. Les personnes deviennent infectées après
avoir consommé des aliments ou des boissons qui ont été manipulées par une personne
infectée ou par de l’eau de boisson qui a été contaminée par des effluents contenant les
bactéries. Une fois que les bactéries arrivent dans le corps d’une personne, elles se multiplient
et se propagent dans le courant sanguin(Essayagh et al., 2020)
La fièvre typhoïde est une infection bactérienne des voies intestinales et du courant sanguin.
Les symptômes peuvent être bénins ou graves et comprennent une fièvre prolongée pouvant
être aussi élevée que 39°-40°C, des malaises, une anorexie, des céphalées, une constipation ou
une diarrhée, des taches rosées sur la poitrine ainsi qu’une splénomégalie et une
hépatomégalie.(Essayagh et al., 2020)
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1.13.11. Gale
La gale est une infection cutanée contagieuse qui se propage rapidement dans des conditions
de surpeuplement et que l’on trouve dans le monde entier. L’hygiène personnelle est une
mesure de prévention importante et l’accès à un approvisionnement en eau adéquat est
essentiel pour la lutte contre cette maladie.(Braun and Mammadova-Bach, 2023)
L’infestation par la gale est causée par la mite microscopique Sarcoptes scabieuse. La mite
femelle fécondée creuse dans la peau, puis dépose des œufs dans le sillon derrière elle. Après
l’éclosion des œufs, les larves migrent vers la surface de la peau où elles prennent leur forme
adulte. L’accouplement a lieu à la surface de la peau. Une mite adulte peut vivre jusqu’à
environ un mois sur une personne(Marín-Quílez et al., 2023)
Le signe principal de la maladie est une éruption papuleuse que l’on trouve plus fréquemment
sur les mains, notamment entre les doigts, le pli cutané du poignet, du coude ou du genou, le
pénis, la poitrine et les épaules. L’infestation cause souvent une démangeaison intense sur tout
le corps, Notamment la nuit. L’écorchure des zones de démangeaison se traduit par des plaies
qui peuvent être infectées par des bactéries. Une forme plus grave de gale, connue sous le
nom de gale norvégienne, est plus fréquente chez les personnes dont le système immunitaire
est affaibli.(Braun and Mammadova-Bach, 2023)
1.13.12. Hépatite
Les virus de l’hépatite A et E, s’ils n’ont aucun rapport l’un avec l’autre, sont tous deux
transmis par la voie oro-fécale, le plus souvent par de l’eau contaminée et d’une personne à
l’autre. L’hépatite A pourrait être transmise également par des aliments contaminés par des
manipulateurs de denrées alimentaires infectés, des aliments crus, ou des aliments manipulés
après la cuisson.(Paccoud et al., 2019)
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L’onchocercose ou cécité des rivières est une maladie parasitaire ayant pour vecteur un
insecte qui se reproduit dans l’eau. Elle cité comme la deuxième cause principale de cécité
d’origine infectieuse dans le monde. La lutte contre les gîtes larvaires d’insectes dans les
rivières constitue un des piliers de la prévention. (Lawson, 2019)
L’onchocercose est une maladie parasitaire causée par Onchocerca volvulus, un ver parasite
mince qui surtout vie jusqu’à 14 ans dans l’organisme de la personne. La maladie est
transmise d’une personne à l’autre par la piqûre d’une mouche. (Lawson, 2019)
Le ver femelle adulte qui peut mesurer plus d’un ½ mètre de long, produit des millions de
jeunes vers microscopiques. Les microfilaires migrent à travers la peau et, lorsqu’elles
meurent, causent des démangeaisons intenses et une dépigmentation de la peau, des
lymphoedèmes provoquant des ainés pendantes et un éléphantiasis des organes génitaux, des
troubles graves de la vue, et la cécité lorsqu’elles atteignent les yeux. (Lawson, 2019)
1.13.18. Paludisme
Le paludisme ou malaria est une maladie infectieuse parasitaire la plus courante dans le
monde il se transmet par la piqûre des moustiques qui se reproduisent en eau douce ou parfois
en eau saumâtre. (BUKATA and CHORNOMYDZ, 2020)
Le paludisme est causé par quatre espèces, le paludisme après avoir été piqués par un
moustique appelé ‘anophèle’ infecté. Certains moustiques femelles prennent leur repas de
sang au crépuscule et au début de la soirée, mais d’autres piquent pendant la nuit ou aux
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premières heures du matin. Lorsqu’un moustique pique une personne infectée, il ingère des
parasites du paludisme avec le sang. Pendant une période de 8 à 35 jours (en fonction de la
température ambiante), le parasite se développe dans le moustique. La forme infectante du
parasite passe dans les glandes salivaires du moustique et est injectée dans un nouvel hôte
humain lors des repas de sang suivants. (BUKATA and CHORNOMYDZ, 2020).
Les symptômes du paludisme sont généralement la fièvre, les frissons, les céphalées, les
douleurs musculaires, la fatigue, la nausée et les vomissements, la diarrhée, l’anémie et la
jaunisse (coloration de la peau et des yeux). Des convulsions, un coma, une anémie sévère et
une insuffisance rénale peuvent également survenir. La gravité et l’ampleur des symptômes
dépendent du type spécifique de paludisme. Dans certains types, l’infection peut rester
inactive pendant une période pouvant aller jusqu’à cinq ans et elle peut être récurrente. Dans
les zones de transmission intense du paludisme, les gens peuvent développer une immunité
protectrice suite à des infections répétées. Sans traitement rapide et efficace, le paludisme peut
évoluer vers une forme cérébrale grave suivie par la mort. (BUKATA and
CHORNOMYDZ, 2020).
1.13.20. Schistosomiase
La schistosomiase chez l’homme, l’hôte final, est causée par les trois principales espèces de
plathelminthes, à savoir Schistosomahaematobium, S.japonicum, et S. mansoni. Notons qu’en
Asie, le bétail et le buffle d’Asie sont d’importants hôtes réservoirs. L’infection survient
lorsque des larves nageant librement pénètrent la peau de l’homme. Les larves se développent
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dans des gastéropodes d’eau douce. Les hommes sont infectés lorsqu’ils entrent dans des eaux
infestées de larves à des3 fins domestiques, professionnelles et récréatives. Après avoir
pénétré la peau, les larves se transforment et sont transportées par le sang jusqu’aux veines
qui drainent les intestins ou la vessie où elles parviennent à maturité, s’accouplent et
produisent des œufs. Les œufs causent des atteintes à différents tissus, notamment la vessie et
le foie. La réaction aux œufs dans les tissus provoque une inflammation et la maladie.
Lorsque les hommes infectés excrètent dans l’eau des œufs parasités avec les fèces ou l’urine,
les œufs éclosent donnant naissance à des larves qui, à leur tour, infectent les gastéropodes
aquatiques. Dans le gastéropode, le parasite se transforme et se divise en larves de la seconde
génération qui sont libérées dans l’eau douce, prêtes à infecter d’autres hommes.(Koné,
2020).
1.13.21. Teigne
La teigne ou ténia est une affection habituellement bénigne de la peau, du crâne ou des ongles
causée par un champignon. L’hygiène personnelle, soutenue par la disponibilité de quantités
suffisantes d’eau, constitue une mesure de prévention capitale. (Sagara, 2019).
La teigne est causée par différents types de champignons connus sous le terme de
dermatophytes. Elle se propage par contact direct avec une personne ou un animal infecté€
(chiens, chats, cochons d’Inde, bétail), par contact avec le sol ou par contact indirect avec des
articles contaminés par le champignon, par exemple des vêtements, des serviettes, des draps et
couvertures, des chaises et des articles de toilette manipulés par les personnes infectées. Le
lien avec l’eau se fait par l’intermédiaire d’une mauvaise hygiène personnelle et domestique
et le manque d’eau pour le nettoyage et le lavage. (Baille, 2023)
La teigne est une dermatose contagieuse affectant le crâne, les ongles, les pieds, ou le corps.
Malgré son nom, la teigne est causée par un champignon.
Sur le crâne, la teigne débute sous la forme d’une papule ou d’une lésion cutanée qui s’étend
ensuite en anneaux. Les cheveux deviennent fragiles, cassent facilement et tombent, laissant
des plaques d’alopécie sur le crâne. Sur le corps, la teigne peut apparaître dans un premier
temps sous forme de plaques rouges ou roses, plates ou légèrement saillantes sur la peau.
(Source livre OMS les maladies hydriques).
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La notion de la prévention est Complexe dans le domaine de santé , elle peut se définir sous
différents aspects ,il convient de présenter les définitions de concept a fin de percevoir une
définition pertinente.(Mondiale de la Santé, 2010)
Prévenir : le mot prévenir veut dire tout simplement annoncer, alerter, avertir, mettre au
courant quelqu’un d’une chose à venir, dans le but de l’empêcher ou d’y remédier. La notion
de prévention d’écrit l’ensemble des actions, des attitudes et des comportements qui visent a
évité la survenue d’une maladie où d’un événement, à maintenir et a amélioré la santé.
(Mondiale de la Santé, 2010)
La prévention est l’ensemble de mesures prises pour préserver une situation donnée (sanitaire,
sociale, économique, environnementale) planète. La prévention est l’ensemble de toutes les
dispositions prises pour empêcher l’apparition , l’aggravation d’un danger, d’un risque, d’une
maladie, ou de toute situation dommageable comme une épidémie , une crise ,un accident…
Selon l’organisation mondiale de la santé (OMS) la prévention est l’ensemble des mesures
visant à éviter ou à réduire le nombre et la gravité des maladies ,des accidents et des
handicaps…
Après toutes ces définitions nous pouvons dire que la prévention est le fait d’empêcher la
survenue des mauvais événements entre autres : la maladie, le décès précoce, crise alimentaire
accident, maladies infectieuses, et tant d’autre.(Mondiale de la Santé, 2010)
a) La prévention primaire.
b) La prévention secondaire.
c) La prévention tertiaire.
a. LA PRÉVENTION PRIMAIRE
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La prévention primaire est l’ensemble des actes visant à diminuer l’incidence d’une maladie
dans une population et à réduire les risques d’apparitions des nouveaux cas. Ex la
vaccination, l’assainissement du milieu. (Mondiale de la Santé, 2010)
b. PRÉVENTION SECONDAIRE
c. PRÉVENTION TERTIAIRE :
L’hygiène : c’est l’ensemble des principes, des pratiques individuel ou collectif visant à la
conservation de la santé, L’hygiène est basée sur trois actions : nettoyage, désinfection,
conservation. (Some et al., 2014)
3. Sensibilisation à l’assainissement
L’assainissement du milieu :
Par rapport à notre travail nous allons parler de l’assainissement du milieu de vie (ménage),
les sources de puisages d’eaux (Robinet, puits, sources) (Agnès and Aristide, 2015).
L’hygiène alimentaire est l’ensemble des mesures et pratiques nécessaires pour assurer la
sécurité et la salubrité des aliments à toutes les étapes de la chaîne alimentaire .Quelques
mesures d’hygiènes a observé pour une hygiène alimentaire :
La prévention des maladies dite de mains sale, le ministère de la santé public lance cet appel «
ensemble lavons nos mains, car choisir de laver ses mains au savon c’est choisir la santé ».
Aux partenaires, il déclare : « j’invite aussi tous nos partenaires au développement à nous
renouvelé́ leur engagement pour qu’ensemble,, nous fassions du slogan mains propres, zéro
microbe, un véritable arme qui protège ». (Mandele et al., 2020)
Pour le ministère de la santé public, à ce moment où le monde entier est secoué́ par la maladie
à virus Ebola, « le lavage des mains au savon devient plus qu’impérieux ». Face à̀ la présence
du virus, le ministère de la santé public à rappelé́ à tous « l’intérêt de la pratique de lavage de
main au savon ou à la cendre comme un de moyen préventif pour combattre cette épidémie ».
La situation persistance des maladies diarrhéique, du choléra, de la fièvre typhoïde, des
infections respiratoires du paludisme dans une partie du pays, sont lié en majorité́ mauvaise
pratique hygiénique de lavage des mains et d’assainissement. (Mandele et al., 2020)
Le pays étant toujours marqué par un accès limité à l’eau potable ; une mauvaise ou une
absence d’utilisation de latrine hygiénique avec malheureusement plusieurs compatriote
pratiquant encore la défécation à l’aire libre et généralement une majorité́ écrasante qui ne se
lave pas les mains aux moments critiques Il faut se laver les au moment critique tel qu’avant
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de manger, avant de préparer l’aliment ; après avoir été́ aux toilette, avant de faire manger le
Bébé́, avant d’allaiter le Bébé́, après avoir « changé le couche de Bébé́.
Le lavage des mains, est une mesure préventive efficace, simple et moins couteuse, que nous
conseillons à tous. « Cette bonne pratique de lavage des mais va, à coup sûr, améliorer votre
santé et donc vous épargner des dépenses de santé́ dus aux maladies que l’on peut bien éviter
par ce simple geste ».
Instituée en 2008 par l’Assemblée générale de l’ONU, la journée mondiale de lavage des
mains vise à motivée toute la population à effectuer ce geste simple, efficace et moins cher
pour prévenir les maladies des mains sales notamment la fièvre typhoïde, l’Ebola, la diarrhée.
(Mandele et al., 2020)
Pour améliorer la santé de la communauté́, la lutte contre les causes de maladies Hydriques
est un élément important. Il est possible de réduire la fréquence des maladies Hydriques si une
campagne de lutte est faite toute la communauté́ ; il faut insister sur l’application des
principes Suivants préconisés par FOUNTAIN D.E (1980.P281) :
Une installation sanitaire convenable, pour chaque habitation, trou assez profond,
planche solide, orifice adéquate, minus d’un couvercle et une maisonnette bien
construite, aérée et assez spacieuse avec un nettoyage journalier ;
L’emploi de l’installation sanitaire par toute personne pour faire ses besoins : selle,
urine, la défécation et la miction sur la terre en brousse, dans la Foret ou dans l’eau
sont dangereuse pour toute la communauté́ ;
L’emploi d’un petit trou de 30cm pour le besoins lorsqu’on est éloigné de l’installation
sanitaire, le trou sera fermer après l’emploi ;
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Une eau potable est souvent définie comme une eau que l’on peut consommer sans danger
pour la santé, car elle ne doit être ni toxique, ni infectée de bactéries, de parasites ou de virus
nuisibles pour l’homme. Actuellement dans le monde plus de 4 millions de personnes meurent
encore chaque année à cause d’une eau non potable et 885 millions n’y ont pas accès. Il est
donc important de connaître les différentes normes et indicateurs de potabilité et de qualité
afin de sensibiliser les personnes en charge de la gestion de l’eau sur l’importance du contrôle
de la qualité de l’eau afin d’éviter autant de maladies et de mortalité. (Vissin et al., 2016)
L’OMS définit bien des critères de potabilité et des recommandations que les pays développés
et la plupart des grandes villes appliquent en permanence à l’aide d’outils d’analyse en
continu ou par des mesures en laboratoire afin de garantir aux consommateurs une eau
potable. Nous comprenons que ces recommandations moyennement rigoureuses, ne sont
parfaitement pas respectées car elles sont un peu contraignantes pour certaines zones pour des
raisons de moyens. Suite à ces désagréments, plusieurs régions, comme l’Union Européenne,
ont votés par une loi leurs propres normes de potabilité de l’eau.
Les maladies contagieuses causées par les bactéries pathogènes, les virus et les parasites sont
très souvent liées à la consommation d’eau ne répondant pas à des critères minimaux de
potabilité. Elles constituent pour la santé le risque le plus commun et le plus répandu. Il est
donc important d’établir des normes et des indicateurs de potabilité et de qualité et surtout de
23
vérifier qu’elles sont respectées, notamment sur les points d’accès à l’eau et si nécessaire de
les adapter selon les zones et les particularités locales.
Soulignons que toutes les populations sont concernées par des critères de potabilité. Les pays
pauvres sont principalement concernés car une faible partie de la population dispose d’une
alimentation par un réseau public. L’autre partie puise l’eau directement à sa source c’est-à-
dire dans les puits, les rivières, les sources non aménagées ou les réserves pluviales naturelles.
C’est là que l’exposition à la consommation d’eaux souillées est la plus importante comme
notre milieu d’étude. Ainsi, une eau avant d’être consommée sans danger pour la santé
comme la définition l’a soulignée doit répondre à certaines normes de potabilité. (Vissin et
al., 2016)
1. Potabilité microbiologique
b. Potabilité Chimique
La potabilité chimique : est considérer comme une absence, ou une présence à des taux
suffisamment faibles, de substances toxiques susceptibles de provoquer des maladies à plus
ou moins à long terme.
L’eau élément essentielle à la vie, a besoin d’être protégée, traitée et économisée. C’est
ressource naturelle rare et précieuse, sa qualité est fragile et son cycle naturel très long. L’eau
captée ne répond pas souvent aux normes de potabilité : elle peut contenir des produits
indésirables ou en grande quantité. Ainsi, pour pouvoir être consommée sans danger, l’eau
doit être correctement traitée. (Anctil et al., 2012)
Le traitement de l’eau est tout processus qui améliore la qualité de l’eau pour la rendre
appropriée à l’utilisation et à la consommation de la population.
Cette technique nous permet d’éliminer les impuretés solides de l’eau ainsi que les larves
d’insectes qui s’y trouve, le tissu à utiliser doit être de préférence du coton, il doit être épais
pour bien retenir les impuretés. Notons que la filtration n’es pas un moyen de traitement
satisfaisant en soi, c’est pendant filtré l’eau avant de la traité par d’autres méthodes citées
permet d’améliorer la qualité de l’eau obtenue. (J.P. BITUNDU.2010).
Les avantages de la filtration sont telles que : la facilité, le coût quasiment nul.
L’ébullition est parfaitement simple à mettre en pratique ,il permet de tuer la totalité des
germes présents dans l’eau , pour cela l’eau doit être filtré puis bouillie à gros bouillons, il ne
suffit pas de la faire bouillir pendant une minute à basse altitude l’eau doit bouillir
correctement à 100°c et pendant un long moment.(Bagtérienne, 2011.)
La chloration est un moyen simple et efficace qui permet de tuer les microbes, elle consiste à
introduire des produits chlorés (pastille de chlore, hypochlorite, aquataps ...) dans l'eau pour
tuer les microbes qu’elle contient, après 30 minutes de temps d’action l’eau est potable ,si le
traitement est effectué correctement tous les germes sont éliminés. La chloration peut se faire
par exemple après la floculation si nécessaire en bas d’un robinet ou dans tous les récipients.
(Bagtérienne, 2011.)
C’est un processus d’épuration qui consiste à rassembler en flacons les particules ou les
impuretés en suspension dans l’eau ,il s’agit d’un processus dépendant du temps qui affecte
l’efficacité de la clarification en offrant l’opportunité aux particules en suspension dans l’eau
d’entrer en collision par une agitation douce et prolonger. (Anctil et al., 2012)
LA VACCINATION
La vaccination est une technique qui consiste à administrer un agent antigénique (vaccin) par
la voie orale ou injectable dans le but de stimuler le système immunitaire d'un organisme
25
vivant afin de développer une immunité adaptée contre un agent infectieux d'une maladie
particulière.
La vaccination est un moyen de prévention très efficace pour lutter contre certaines maladies
qui peuvent avoir des graves conséquences et qui peuvent même causer la mort.
Le vaccin est une substance d'origine microbienne que l'on administre à un individu pour
l'immuniser contre une maladie vaccin. Exemple : vaccin contre le choléra ( Chol-Ecol-o:
vaccin oral contre le choléra et la diarrhée à Escherichia coli entérotoxinogène)
La vaccination contre les maladies hydriques a rejoint les priorités dans la politique vaccinale
mondiale. (Boiche et al, 2019)
26
Ainsi, le Camp Major Vangu est situé en plein ville de Lubumbashi et borné à l'Est par la
Commune de KAPEMBA, à l'Ouest, toujours par la commune de KAMPEMBA; au Nord par
la Commune de LUBUMBASHI et au Sud par la Commune de KAMALONDO ; d'où sa
position est très stratégique dans la ville.
III.5. Échantillonnage
a. Critères d’inclusion
Ont été inclus dans la présente étude :
n= Z²×P(1-P)×N
Z²×P(1-P) + (N-1) ×d²
n= taille de l'échantillon
Z = niveau de confiance selon la loi normale centrée réduite (pour un niveau de confiance
de 95%, z= 1.96, pour un niveau de confiance de 99%, z= 2.575)
d= marge d'erreur tolérée (par exemple on veut connaitre la proportion réelle à 5% près)
Variables d’étude
Les principales variables étudiées dans ce travail ont été les suivantes :
1. Âge
2. Sexe
3. Etat civil
4. Source d’approvisionnement en eau
Matériels
Pour collecter aisément les données utiles, nous avons utilisé la grille de collecte des
données.
Techniques
IV.1. SEXE
MAS-
CULION
38%
MASCULION
FEMININ
FEMININ
62%
IV.2. AGE
Il ressort du tableau sur la répartition des enquêtés selon la tranche d’âge que 50 % étaient de
la tranche d’âge 20 – 30 ans et 2 % de la tranche d’âge ˃ 50 ans.
IV.3. PROFESSION
Il découle de cette figure sur la répartition des enquêtés selon la profession que 38 % étaient
engagés.
31
engagé
38%
Liberal
engagé
Liberal
63%
Non
20%
Oui
Non
Oui
80%
Tableau II. Répartition des enquêtés selon le type des maladies hydriques
32
Il découle du tableau sur la répartition des enquêtés selon le type des maladies hydrique que
94 % des enquêtés connaissaient Fièvre typhoide et 11 % connaissaient la dysenterie.
Tableau III. Répartition des enquêtés selon le fait d’avoir déjà souffert d’une maladie
hydrique
Ce tableau sur la répartition des enquêtés selon le fait d’avoir souffert d’une maladie nous
montre que 86 % des personnes enquêtés avaient déjà soufferts d’une maladie hydrique.
Tableau IV. Répartition des enquêtés selon le type des maladies dont ils ont déjà souffert
33
Il découle du tableau ci-haut sur la répartition des enquêtés selon le type des maladies
hydriques dont a déjà souffert 94 % des enquêté avaient déjà souffert de la Fièvre typhoide et
1 % des avaient déjà souffert du Cholera.
Il découle du tableau sur la répartition des enquêtés selon la considération des maladies
hydriques que 67 % des enquêtés considèrent les maladies hydriques comme une maladie
comme toutes les autres et 1 % comme une malédiction.
Tableau VI. Répartition des enquêtés selon les causes des maladies hydriques
34
Il découle du tableau sur la répartition des enquêtés selon la cause des maladies hydrique que
45 % des enquêtés estiment que la cause était la consommation d’eau infectée et 6 % c’était
dû à l’insalubrité.
Tableau VII. Répartition des enquêtés selon attitude face à une maladie hydrique
Il découle du tableau sur la répartition des enquêtés selon l’attitude face à la maladie hydrique
que 45 % recourent à l’automédication et 1 % évitent la personne touchée par la maladie
hydrique.
Il découle du tableau sur la répartition des enquêtés selon les mesures de prévention que 39 %
des enquêtés utilisaient le lavage des mains comme mesure de prévention et 2 % c’étaient
l’hygiène de source d’eau.
La figure sur la répartition des patients selon le recours à la médecine traditionnelle en cas
d’une maladie hydrique montre que 14 % des patients ont recours à la médecine
traditionnelle.
Oui
14%
Oui
Non
Non
86%
Figure 5. Répartition des patients selon le recours à la médecine traditionnelle en cas d’une
maladie hydrique
Tableau X. Répartition des enquêtés selon le type de pratique traditionnelle aux quelles
enquêté font recours aux quels ils font recours
Il découle du tableau sur la répartition des enquêtés selon le type de pratique traditionnelle
aux quelles enquêté font recours aux quels ils font recours
Tableau XI. Répartition des enquêtés selon le lavage régulier des mains
Le tableau sur la répartition des enquêtés selon le lavage régulier des mains que 52 % des
enquêtés ne se lavent pas les mains régulièrement.
Tableau XII. Répartition des enquêtés selon le moment du lavage des mains
Il découle du tableau sur la répartition des enquêtés selon le moment du lavage des mains que
97 % se lavaient et 10 % se lavaient les mains la cuisson.
Tableau XIII. Répartition des enquêtés selon sensibilisation sur l'origine de maladie hydrique
Sensibilisation Effectifs %
Oui 38 9,5
Non 362 90,5
Total 400 100
Il découle du tableau sur répartition des enquêtés selon la sensibilisation sur l'origine de
maladie hydrique que 90 % n’ont pas eu la sensibilisation sur l’origine.
Tableau XIV. Répartirions des enquêtés selon les moyens des sensibilisations
Il ressort du tableau sur la répartition des enquêtés selon les moyens des sensibilisations que
71 % par les médias et 9 % structure sanitaire.
Il ressort de la figure sur le traitement de l’eau que 64 % des enquêtés ne traitaient pas l’eau à
domicile.
Oui
36%
Oui
Non
Non
64%
Tableau XV. Répartition des enquêtés selon le produit des traitements de l’eau
Il découle de ce tableau que 69 % des enquêtés traitaient l’eau avec le chlore et 10 % par
Bouillonner l’eau.
BIBLIOGRAPHE
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