Séquence 1 Français 5ème CNED
Séquence 1 Français 5ème CNED
Séquence 1 Français 5ème CNED
FRANÇAIS 5e
Livret de corrigés
Unité 1
Séance 1
Je m’exerce
A. Lecture poétique
1. Ondine s’adresse au poète pour obtenir un mariage.
2.
Vrai Faux
L’élément naturel le plus présent dans le texte est l’eau. n
Le monde d’Ondine est réel. n
Ondine vit dans l’eau. n
3. Les mots qui constituent le champ lexical de l’eau sont : « flot », « ondin », « nage », « courant », « fluide » et
« lac ».
4. a) Dans le premier et le dernier paragraphe du poème, le phénomène météorologique qui apparaît est :
¨ le vent ¨ la tempête ¨ l’orage n la pluie
b) n Ils indiquent le début et la fin du rêve. ¨ Ils indiquent le début et la fin de la pêche
¨ Ils indiquent le début et la fin du mariage.
6.
8. À travers ce texte, le poète nous raconte son rêve. À cause de la pluie qui cogne conte la fenêtre, il s’éloigne de
la réalité. Il imagine qu’Ondine, une créature imaginaire vivant au fond des lacs dans un lieu irréel lui rend visite et
cherche à l’envoûter pour qu’il accepte de l’épouser. Et alors que le poète refuse, il se réveille. Il pleut toujours.
9. b) Sur ce tableau, on voit une femme nue, un musicien, des lions, un serpent, un oiseau.
c) Ces personnages se trouvent dans la jungle au milieu d’une végétation très riche.
d) Le titre « le Rêve » signale que cette scène est irréelle. On imagine que la jeune femme nue sur son canapé est
transportée dans un monde tout à fait particulier. Le peintre présente un paysage extraordinaire avec des fleurs
gigantesques. Le musicien est étonnant.
e) Dans ces deux œuvres, le rêve est le moyen qui permet au personnage de se transporter dans un autre univers.
Chacun rencontre un être étrange au sein d’un univers irréel.
B. Expression écrite
Voici un exemple de paragraphe que tu aurais pu écrire :
« Viens me rejoindre, viens. Dans mon palais aux mille reflets, la vie est merveilleuse. Chaque jour, grâce à l’Amour
nous profitons du spectacle qui nous entoure : les couleurs chatoyantes de l’eau, la majesté des poissons, le
silence apaisant des profondeurs. »
Séance 2
Je découvre
2.
réelle souhaitée soumise à un ordre
« Écoute ! – Écoute ! ».
L’action d’« écouter » est :
n
A. Les modes
1. Les verbes conjugués à l’indicatif sont : « pleut », « entends », « roule ».
Entends-tu le tonnerre ?
Il roule en approchant,
Prends un abri bergère,
À ma droite en marchant.
Je découvre
Je m’exerce
B. Les temps
Ma foi, c’est fait de moi …
Séance 3
Je m’exerce
A. Lecture poétique
1. a) Ce texte est un poème.
¨ Il a des rimes. n Il possède un titre.
¨ Il est écrit en alexandrins. n Il présente deux strophes.
¨ Il est musical. n Il est écrit en vers.
b) Les mots « endosquer » et « s’emmarginer » ne sont pas dans le dictionnaire car ils n’existent pas.
4.
vers 1 à 6 Le combat
vers 7 à 10 Les derniers efforts
vers 11 à 14 La défaite
vers 15 à 20 Le mystère
8. Ces deux artistes veulent amener le lecteur ou spectateur à réfléchir sur ses habitudes de langage; il n’y a aucun
lien précis entre l’objet et le nom qu’on lui attribue, ni entre l’action et le verbe qui la nomme.
B. Expression écrite
À l’aide d’un nouveau langage, j’ai décrit une personne qui mange goulûment :
Le repas pantagruélique
Elle grobaille et agnale lentement,
Elle se pitrogne et se patule jusqu’à posturger
Elle s’émoustaille et se prévore le couloge
Elle déprache encore et corrit
Enfin, elle polate.
Séance 4
Je découvre
1. a) Un nom féminin qui remplace un autre nom féminin : cimaise, bixacée, moufette, frange...
b) Un verbe qui remplace un autre verbe : chaponné, se tuba, fut verdie, crocher, processionnant...
c) Un adjectif qualificatif qui remplace un autre adjectif : dépurative, sexué, pétrographique...
d) Un nom masculin qui remplace un autre nom masculin : éternueur, morie, verrat, gramen...
2. La Cigale et la Fourmi
Je m’exerce
2.
Déterminants Noms Adjectifs Pronoms Verbes
mes exemple : soirs bleus je baigner
le herbe menue me parlerai
une amour nue montera
bohémien heureux
4.
Interjection Préposition Conjonction Adverbe
couleur rose n
couleur jaune n
couleur bleue n
couleur verte n
5.
Adverbe Préposition Adjectif Nom Verbe Déterminant
Parfois, le poète joue avec les
mots. n
Pierre récite son poème avec
enthousiasme. n
Cet élève voudrait écrire de
beaux rêves. n
Soudain, les mots se mirent à
jaillir. n
Son inspiration était une
source inépuisable. n
Chaque page se recouvrait de
mots magiques. n
Séance 5
Je m’exerce
I – Étude de texte
b) Ces vers parlent de la poésie comme le confirme le champ lexical suivant : « vers » (v.1), « mots » (v.5),
« syllabes » (v.5), « écrirai » (v.9).
4.
Vrai Faux
Dans la première strophe, le poète veut écrire une lettre. n
Le poète s’évade grâce à ses vers. n
Selon le poète, écrire de beaux vers demande trop d’efforts. n
Le poète préfère écrire comme il veut. n
Le poète a peur des grammairiens. n
5. a) Le son répété plusieurs fois est le son /m/.
6. À travers ces vers, le poète propose une écriture plus libre. On remarque :
¨ la présence de néologismes n un seul signe de ponctuation n l’emploi de mots courants
n un style parfois réservé à l’oral ¨ l’usage de mots familiers
7. Dans la phrase « Il est une autre science où je puis le confondre. », le poète fait référence à la science des mots.
8. À travers ce poème, Robert Desnos propose une poésie plus libre, délivrée des contraintes formelles. Il souhaite
que chacun écrive comme il le souhaite et surtout que cela lui permette de rêver.
II - Étude de la langue
10. Il fallait souligner les verbes conjugués puis indiquer leur mode et leur temps.
11. Dans la première strophe, il fallait relever deux exemples pour chaque classe de mot variable.
13. Voici les classes grammaticales des mots surlignés dans la strophe :
« J’écrirai donc comme je parle et puis tant pis Conjonction de coordination et adverbe de liaison
Séance 7
Je m’exerce
A. Lecture poétique
1.
• Ce sont des poèmes très brefs de trois vers, d’origine japonaise
« Fenêtres ouvertes » •
privilégiant les émotions.
Les haïkus • • C’est un poème de seize alexandrins avec des rimes suivies.
2. Les cinq sens sont très présents dans ces poèmes (vue, odorat, ouïe, toucher, goût).
Fenêtres ouvertes
LE MATIN – EN DORMANT
J’entends des voix. Lueurs à travers ma paupière.
Une cloche est en branle à l’église Saint-Pierre.
Cris des baigneurs. Plus près ! plus loin ! non, par ici !
Non, par là ! Les oiseaux gazouillent. Jeanne aussi.
Georges l’appelle. Chant des coqs. Une truelle
→ Le poème « Apprendre à voir » est dominé par le sens de la vue étant donné l’importante quantité d’adjectifs de
couleur.
Apprendre à voir
Les haïkus • • Le poète nous apprend à être plus ouverts au monde qui nous entoure.
5. Ces trois poèmes sont intéressants parce qu’ils nous proposent, chacun à leur façon, un autre regard sur le
monde. Ils nous invitent à percevoir autrement tout ce qui nous entoure et nous prouvent que nous sommes
souvent sourds, aveugles, indifférents. Au fond, ils nous apprennent à profiter pleinement de la vie en faisant appel
à nos sens.
B. Expression écrite
Voici un exemple de strophe que tu aurais pu écrire.
Séance 8
Je découvre
Je m’exerce
Séance 9
Je m’exerce
A. Lecture poétique
1.
4.
la vue l’odorat le goût le toucher
« À l’intérieur l’on trouve tout un monde, à boire et à manger... » n
« un sachet visqueux (...) qui flue et reflue à l’odeur... » n
« frangé d’une dentelle noirâtre sur les bords. » n
« Les coups qu’on lui porte marquent son enveloppe de ronds
blancs, d’une sorte de halos. » n
) Grâce à ce poème en prose la description de l’huître n’est pas vraiment fidèle. Le poète nous offre une vision
7. a
originale de cet objet.
b) F
inalement, le poète a choisi de décrire cet objet de façon très personnelle. Il nous invite à le regarder autrement.
Le coquillage commun acquiert une véritable existence. Le poète transforme l’huître ; celle-ci devient un univers.
8. a
) Le dessinateur les a modifiés afin qu’on les regarde autrement. Ces objets deviennent plus importants.
On a l’impression que le créateur dévoile ces objets. Il les révèle en mettant en valeur des aspects de ceux-ci
jusqu’alors insoupçonnés.
Le parapluie
En tissu, en plastique, grand, ou petit pour être caché dans un sac, le parapluie
apparaît bien secret. Souvent coloré, le plus souvent noir, replié, il rappelle une jupe
plissée, ou un rideau froissé. Difficilement, il se dévoile.
L’ouvrir est une tâche bien difficile. Il aime se faire désirer. Délicatement, sans
précipitation, mais avec une certaine assurance, il s’agit de faire glisser l’anneau
coulissant le long du mât central en tenant fermement la poignée boisée. Un geste
trop brutal ou maladroit et l’animal se rétracte. Pour ne pas se pincer, un clic
est exigé. L’opération exige de se mettre à l’abri du vent car le parapluie s’affole
rapidement et se hérisse en projetant ses baleines en avant.
Une fois l’objet déplié, l’on se sent totalement protégé, isolé du monde et de ses
agressions. Comme sur le toit d’une maison, les gouttes de pluie crépitent. L’eau
glisse sur le tissu imperméable ; on dirait une fontaine. Parfois, lassé d’être mouillé,
le parapluie se féminise et sous le soleil, il devient une ombrelle.
Séance 10
Je découvre
2.
a) Il exécute ses devoirs sérieusement.
b) Dans son jardin, il fabrique un mur de briques.
c) Je réalise l’interview de cet écrivain.
d) Il crée un poème sur la Nature.
e) Elle connaît ce texte comme si elle l’avait écrit.
f) Parmi ses imitations, elle n’imite jamais de chanteuses.
Je m’exerce
A. La synonymie
2. L’écolier
J’écrirai le jeudi je rédigerai le dimanche
quand je n’irai pas à l’école
j’écrirai des nouvelles j’inventerai des romans
et même des paraboles
je parlerai de mon village j’évoquerai mes parents
de mes aïeux de mes aïeules
je dépeindrai les prés je décrirai les champs
les broutilles et les bestioles
puis je voyagerai j’irai jusqu’en Iran
au Tibet ou bien au Népal
et ce qui est beaucoup plus passionnant
du côté de Sirius ou d’Algol
où tout me paraîtra tellement surprenant
que revenu dans mon école
je respecterai l’orthographe tristement
Je découvre
2. a. b. J’ai repéré chaque emploi du mot « quartier » et remplacé chacun d’eux par un autre nom tout en gardant le
même sens.
Je m’exerce
B. La polysémie
1. Les mots qui peuvent avoir plusieurs sens sont :