Neuro Education

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Neurone: structure, fonctionnement, types de neurones, communication neuronale.

Structure
du cerveau et anatomie - les principaux lobes, régions et circuits du cerveau impliqués dans
différentes fonctions. Une compréhension de l’organisation cérébrale de base.

Système nerveux: structure en système nerveux central et périphérique, rôles des différentes
parties (cerveau, moelle épinière, nerfs).

Potentiel d’action: processus d’excitation et de transmission de l’influx nerveux au niveau


cellulaire. Communication neuronale - comment les neurones individuels fonctionnent et
communiquent via la signalisation électrochimique, le rôle des synapses et des
neurotransmetteurs.

Neurotransmetteurs: rôles et fonctionnement des principaux neurotransmetteurs (dopamine,


sérotonine, acétylcholine, GABA...).**

Neuromodulateurs

Plasticité cérébrale: capacité du cerveau à se modifier et s’adapter tout au long de la vie


sous l’influence de l’environnement et de l’apprentissage.

Types de plasticité comme l’apprentissage hebbien, la sensibilisation, la stabilisation et les


effets de l’expérience et de l’environnement sur l’expression génique et la connectivité
neuronale

Aires cérébrales: localisation des principales aires impliquées dans les grandes fonctions
cognitives (mémoire, langage, attention...).

Outils d’exploration cérébrale: imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf),


potentiels évoqués, tomographie par émission de positons (TEP)...

quelles sont les différentes méthodes telles que l’IRMf, l’EEG et la MEG et leurs forces /
limites dans l’évaluation de l’activité cérébrale.

Bases neurophysiologiques des grandes fonctions cognitives: mémoire, apprentissage,


émotions, langage...

Génétique et épigénétique - l’interaction entre les prédispositions génétiques et les influences


environnementales dans la formation de l’architecture cérébrale et de la cognition par des
changements dans l’expression des gènes.
Neuroanatomie - être capable de localiser et de décrire les régions clés du cerveau et les
circuits en utilisant la terminologie neuroanatomique appropriée lors de l’explication des
concepts.

Différence entre biais cognitif (erreur de raisonnement ) et heuristique ( processus utilisé par
le cerveau pour raisonner ). En appliquant ce processus on peut tomber dans les biais
cognitifs .

Biais de corrélation Biais d’ancrage : Biais de confirmation :


illusoire :
Point de référence Validation des croyances existantes
Relation erronée initial
Recherche sélective d'informations
entre deux
Influence sur les
événements Interprétation des données en accord avec
décisions ultérieures
ses convictions
Perception de lien là
Fixation sur une
où il n'existe pas
information
Inférer une relation spécifique
causale basée sur la
corrélation

Biais de disponibilité : Biais de la pensée de groupe :

S'appuyer sur des informations Conformité sociale


immédiatement accessibles
Influence du groupe sur les décisions
Tendance à donner plus de poids à des individuelles
exemples faciles à rappeler
Limitation de la diversité des idées
Impact des événements récents sur la prise
de décision
L’effet Hawthorne Notre comportement change dès que nous nous sentons observés. Cet effet
est transitoire. C’est pour éliminer ce biais qu’un groupe contrôle est indispensable

L’effet Golem, inverse de Pygmalion

effet golem : ila mchina f vision positive les résultat sera positive, il mchina f vision
négative le résultat sera négatif .

L'effet Golem fait référence à un phénomène psychologique où les attentes négatives


envers une personne peuvent influencer ses performances ou son comportement de manière
négative. C'est un peu comme une prophétie auto-réalisatrice, où les attentes négatives des
autres peuvent réellement affecter la façon dont une personne se comporte ou réussit.

L'effet Golem est souvent opposé à l'effet Pygmalion, où des attentes positives peuvent
conduire à de meilleures performances, montrant ainsi l'impact puissant des attentes sur le
comportement humain

COMMENT DÉMASQUER LA PSEUDOSCIENCE ?


LA LECTURE CRITIQUES D’UNE ETUDE
l’auteur ? La revue? la méthodologie ? les sujets étudiés? le résultat ? est-il confirmé ? est-ce
pertinent ?

Selon Steve Masson, on ne devrait pas se laisser berner par l'engouement : "Aimer une
méthode ne prouve pas qu'elle marche."

Il est important de ne pas céder à l'enthousiasme sans des preuves solides pour étayer nos
convictions. L'éducation mérite mieux que des raccourcis simplistes.

Donc soit les praticiens soit les chercheurs, il faut se méfier des affirmations qui vendent du
rêve sans preuves.

L'apprentissage, c'est complexe, ça dépend de plein de choses. Plutôt que de se jeter sur des
idées toutes faites, faut creuser, vérifier, et surtout se baser sur des preuves scientifiques
solides pour faire avancer l'éducation.

De ce fait , les préceptes de la neuroscience éducative prônent la prudence et l'examen


approfondi des données avant toute adhésion à des dogmes pédagogiques.
Apprentissage et le cerveau

L’apprentissage est un processus par lequel le cerveau réagit aux stimuli en créant des
connexions neurales qui servent de circuit de traitement de l’information et permettent le
stockage de l'information .

Apprendre modifie la façon dont les neurones interagissent entre eux chez la limace comme
chez l’homme.
La cognition est l’ensemble des processus qui permettent le traitement de l’information et la
constitution de la connaissance.

UN CERVEAU SOUVENT IRRATIONNEL


Nous agissons d’abord selon nos perceptions et ce n’est que secondairement que le
raisonnement peut intervenir… pour autant qu’il intervienne.

L’humain s’appuie davantage sur les événements qui lui viennent à l’esprit que sur des
raisonnements logiques nos jugements et nos choix sont souvent irrationnels
LES ÉMOTIONS INDISPENSABLES À LA DÉCISION

L’INCROYABLE PLASTICITÉ DU CERVEAU


le cerveau se présente comme un chantier permanent de déconstruction et de
reconstruction.
On détruit les savoirs obsolètes pour mettre en relation d’entre savoirs . l’homme est
programmé jusqu'à son dernier jour .
Capacité à remodeler son organisation en interaction avec les événements que nous vivons .

Cerveau : système dynamique , ce qui explique sa capacité d’adaptation .

La plasticité du cerveau se poursuit tout au long de sa vie .

le fait de commettre des erreurs permet d’apprendre .

NEUROGENÈSE : UN DOGME S’EFFONDRE

Le cerveau est capable d’en générer de nv


Ce processus se poursuit toute la vie , chez l’homme de régénération était identifié dans
l'hippocampe (c’est ici qu’on crée les neurones ) .

● .L’environnement joue un rôle également dans la neurogenèse .


● L’exercice et l’apprentissage favorisent ; le stress blocce .
La plasticité cérébrale se réfère à la capacité du cerveau à se réorganiser en réponse à
l'expérience, tandis que la neurogenèse représente la formation de nouveaux neurones à partir
de cellules souches, principalement dans l'hippocampe.

Ces deux font de notre cerveau un orange dynamique , Son développement tout au long de la
vie dépend en grande partie de l’environnement(expérience) .

L'ampleur des modifications qu’il connaît est variable . Elle dépend de l'âge et du type
d’apprentissage .

Hypertrophie(augmentation de l’organe en fonction de l’augmentation de nombre de


cellules ) de l’hippocampe dans sa région impliquée dans la navigation spatiale . Exemple de
chauffeur de taxi .

LES TRACES DE L’APPRENTISSAGE DANS LE CERVEAU

-les opérations mentales permettant de percevoir , penser , agir


L’activation des neurones suit un processus en trois étapes : activation sensorielle à partir
des organes des sens (externes ou internes au corps) ; traitement des informations reçues ;
élaboration d’une réponse (mouvement, réaction interne, image mentale…). Pour circuler
dans les neurones, l’information emprunte des voies électrochimiques .

La loi de Hebb
La loi de Hebb est un principe fondamental en neurosciences qui énonce la manière dont les
neurones établissent ou renforcent leurs connexions en fonction de l'activité simultanée et
répétée entre eux.
"Les neurones qui s'activent ensemble, se connectent ensemble."

En d'autres termes, lorsque deux neurones sont activés simultanément de manière répétée, la
synapse entre ces neurones est renforcée.

C’est la répétition qui consolide les circuits et finit par les rendre permanents.
La répétition peut se faire par évocation ou par essai-erreur En son absence, la trace amorcée
disparaît rapidement
La biochimie de l'apprentissage
La biochimie de l'apprentissage implique des processus complexes au niveau neuronal,
impliquant notamment des modifications dans la libération et la réception de
neurotransmetteurs tels que la dopamine et le glutamate.

Ces changements biochimiques influencent la plasticité synaptique, favorisant la formation


de nouvelles connexions neuronales et renforçant les voies de signalisation spécifiques
associées à l'apprentissage.

Un neuromédiateur (ou neurotransmetteur) est une petite molécule qui assure la


transmission des messages d’un neurone à l’autre, au niveau des synapses.

DU CERVEAU NOVICE AU CERVEAU EXPERT

SAVOIR RALENTIR AU BON MOMENT


1. système heuristique : pensée automatique et intuitive, spontanée
2. Système d'inhibition : interrompt le système heuristique pour activer celui des
algorithmes
3. système d’algorithmes : pensée réfléchie ; logico-mathématique
• L’organisation des connaissances est différente chez l’expert.
• Apprendre à élaborer des gros chunks en organisant ses acquis et en reliant
systématiquement le nouveau à l’acquis conduit à l’expertise.

LA MÉTACOGNITION: Les experts savent contrôler activement les processus cognitifs


qu’ils engagent.
UN RUDE LABEUR
Si les prédispositions de départ peuvent entraîner des différences d’un cerveau à l’autre, une
chose est sûre : l’expertise des champions résulte d’abord d’un entraînement délibéré,
considérable et prolongé .

APPRENDRE À APPRENDRE
il est possible d’apprendre à : ❑ diriger son attention de façon plus efficace ; ❑ mieux
mémoriser ses cours en les révisant de façon adaptée ; ❑ se fixer des objectifs suffisamment
ambitieux pour susciter l’effort ; ❑ maintenir sa motivation face aux difficultés ; ❑
s’auto-évaluer.
APPRENDRE AU CERVEAU À RÉSISTER
Le concept de résistance cognitive suggère une pédagogie nouvelle pour apprendre à inhiber
un automatisme lorsqu’il est indésirable.

La capacité à dépasser des erreurs systématiques de raisonnement est liée à la capacité à


résister à des heuristiques et des automatismes qui se construisent au cours de la vie.
Comment procéder avec l’apprenant en pratique ?

La première étape est de lui faire prendre conscience de ses automatismes mentaux pour
qu’il apprenne à les repérer. Il faut non seulement les lui signaler mais aussi expliquer la
possibilité d’y résister,
❑ C’est ensuite en multipliant les essais et en donnant un feedback immédiat que le cerveau
va apprendre à se corriger.

APPRENTISSAGE : QUATRE GRANDS FILTRES

● Filtre de l'attention : C'est le processus par lequel nous sélectionnons et concentrons


notre attention sur certaines informations. Les éléments pertinents ou captivants
passent ce filtre pour être traités plus en profondeur.

● Filtre de la compréhension : Une fois que l'attention est portée sur une information, le
filtre de la compréhension intervient. Il implique la transformation de ces
informations en concepts compréhensibles et logiques pour nous.
il s’agit ainsi de multiplier les croisements «nouveau-acquis». Plus les liens seront
nombreux, plus la notion nouvelle aura de chance d’être intégrée D’où l’importance
de vérifier les acquis et d’insister sur les prérequis .

● Filtre de la mémorisation : Ce filtre détermine quelles informations seront stockées


dans notre mémoire à court terme ou à long terme. La répétition, l'importance et la
pertinence jouent un rôle clé dans ce processus..

La répétition n’est pas la seule façon de consolider la mémoire. Le contexte de


l’apprentissage est aussi très important.
● FILTRES: 4 les émotions et la motivation agissent sur l’apprentissage
Il est aujourd’hui bien démontré que certaines émotions facilitent l’apprentissage et
que d’autres le bloquent.
Les émotions associées à l’apprentissage jouent un drôle d’amplificateur de la trace
neuronale.
La motivation est le processus qui transforme les récompenses anticipées en action
Emotions et décisions: une décision rationnelle n’est pas possible sans émotions
Neurones Miroir :
s’activent lorsqu’on effectue une action mais aussi lorsqu'on voit quelqu’un d’autre la réaliser
.

On apprend par imitation , observation et c’est la qu’on utilise les neurones miroirs .
Les mêmes régions impliquées dans la perception d’une action se superposent à celles de sa
réalisation.

Elles sont nommées également les neurones de la civilisation


Cerveau bayésien :
Notre cerveau accomplit en permanence des statistiques qu’il produit à partir des
informations qui le traversent .
Ces statistiques joue un rôle de background et permet de construire un monde interne qui lui
permet de faire des prédictions pour le monde externe(pour interpréter le monde externe . )

C’est l’erreur qui permet d’apprendre , lorsqu' on confronte l’erreur notre cerveau fait des
statistiques pour éviter l’erreur au futur .

Ce que nous percevons c’est une création de notre cerveau à partir de quelques données
disponibles .
Notre cerveau est capable de tirer des conclusion a partir

«Apprendre, c’est choisir le modèle qui explique le mieux les données reçues par les
organes des sens», Stanislas Dehaene, 2014.
Piliers de l’apprentissage
Les sciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs clés que l’on peut qualifier de
« piliers de l’apprentissage » dans la mesure où ils jouent un rôle déterminant dans la vitesse
et la facilité de l’ensemble des apprentissages scolaires : l’attention ; l’engagement actif de
l’enfant ; le retour rapide d’informations ; et la consolidation quotidienne des
apprentissages.

● Puisque l’attention détermine les apprentissages, mobiliser l’attention des enfants est
un objectif prioritaire. L’enseignant doit créer des matériaux attrayants et qui ne
distraient pas l’enfant de sa tâche primaire. Tout doit être mis en œuvre pour orienter
l’attention vers le niveau pertinent.

L’attitude de l’enseignant est essentielle : il doit s’attacher l’attention de l’enfant par le


contact visuel et verbal. Il doit également prendre garde à ne pas créer de « double tâche »,
particulièrement chez les enfants en difficulté.
Enfin, le contrôle exécutif est l’une des plus importantes compétences transversales, des
exercices pour apprendre à se contrôler, à se concentrer, à prêter attention à ses limites
(métacognition) et à se corriger.

Outre l’attention, deux facteurs jouent un rôle déterminant dans les apprentissages :
l’engagement actif de l’enfant et le retour rapide d’informations (feedback).

Selon la théorie du « cerveau bayésien », que nous avons examinée dans les années
précédentes, l’algorithme fondamental qui permet au cerveau d’ajuster ses représentations
du monde extérieur consiste en trois étapes :
(1) prédiction descendante, fondée sur le modèle interne actuel
(2) comparaison de ces prédictions avec les entrées reçues du monde extérieur, ce qui
engendre des signaux d’erreur ;
(3) utilisation de ces signaux d’erreur afin d’ajuster le modèle interne.
Ce modèle du cerveau bayésien suggère que deux ingrédients sont indispensables à
l’apprentissage :
● la génération d’une anticipation sur le monde extérieur (engagement actif)
● le retour d’information sous la forme de signaux d’erreur (en provenance de
l’environnement ou de l’enseignant).
L'enfant n’attend pas seulement la nouveauté de façon passive, mais il la cherche activement :
c’est ce qu’on appelle la curiosité.

Les neurosciences et l’imagerie cérébrale chez l’homme suggèrent que la curiosité passe par
l’activation endogène du circuit dopaminergique de la récompense.

L’information nouvelle possède une valeur intrinsèque pour le système nerveux. Ce que
nous appelons la curiosité n’est rien d’autre que l’exploitation de cette valeur.

Quelles sont les conséquences pédagogiques de ces découvertes ?


Le rôle clé de l’engagement actif souligne à quel point il importe que l’enfant soit
maximalement attentif, actif, prédictif : plus sa curiosité est grande, plus son apprentissage
augmente.
● Pour maximiser la curiosité, il faut veiller à présenter à l’enfant des situations
d’apprentissage qui ne soient ni trop faciles, ni trop difficiles,
● Afin de préserver l’engagement et la curiosité, l’enseignant doit éviter d'assurer un
long cours magistral, mais faire intervenir les enfants, les tester fréquemment, les
guider, et récompenser systématiquement leur curiosité plutôt que de la
décourager.

● L’importance du retour d’information, quant à lui, souligne le statut pédagogique


de l’erreur.

Du point de vue des neurosciences cognitives, loin de constituer une faute ou une faiblesse,
l’erreur est normale, inévitable même, en tout cas indispensable à l’apprentissage.
Les motivations positives et les récompenses modulent l’apprentissage.
Facteurs qui affectent notre mémoire:
● Sommeil
● Un premier élément essentiel est la profondeur de traitement des stimuli : Faire
l’effort de comprendre un mot ou une phrase facilite son rappel ultérieur.
● Un deuxième facteur important est le fait de tester régulièrement ses connaissances
(retrieval practise) : se tester régulièrement maximise la performance à long terme.
● Le troisième facteur déterminant est l’espacement des apprentissages.
L’apprentissage est dit « distribué » (spaced) lorsqu’on répète un item après un certain
délai.
INTELLIGENCE

La notion d’intelligence n’a pas une définition consensuelle


Innée ou acquise/Individuelle ou sociale /Unique ou multiple /Évolutive ou limitée

● L’intelligence est un trait héritable ; mais les différences génétiques n’expliquent


qu’en partie les différences entre individus.
● Les avancées de la biologie et des neurosciences montrent que le développement
cognitif est largement modelé par les expériences et l’environnement.

● Si l’intelligence évolue au cours du développement de l’individu


Il est aussi démontré qu’elle évolue dans le temps à l’échelle d’une population.

➔ L’épigénétique montre que notre patrimoine génétique est bien plus modulable dans
son expression qu’on ne l’imaginait.
Le génome du cerveau est plus flexible que celui des autres organes.
L’environnement influence la structure des gènes impliqués dans l’apprentissage

➔ L'épigénétique précise que nos fonctions cognitives évoluent constamment sous


l’effet du milieu dans lequel nous évoluons .
Non seulement les gènes se modifient mais ils interagissent entre eux, ce qui
démultiplie les effets de l’environnement.

● Intelligence ne se développe que si elle est sollicitée les limites perçues de


l’intelligence peuvent être dépassées en misant sur l’impact de l’apprentissage

En gros , l’intelligence n’est pas fixe, elle évolue dans le temps, le développement cognitif est
largement modelé par les expériences et l’environnement.
C’est à travers des sollicitations intenses, variées et répétées que l’apprentissage
développe

● L’intelligence est sous l’influence de facteurs environnementaux :


Ce gain est attribuable à la combinaison de multiples facteurs environnementaux :
1. Amélioration des conditions sanitaires (nutrition, habitat, hygiène…) ;
2. Travail moins manuel et plus cognitif ;
3. Augmentation du niveau d’éducation ;
4. Nécessité d’apprendre tout au long de la vie professionnelle
Les disparités de fonctionnement du cerveau d’une personne à l’autre font donc
intervenir :
● Des différences d’ordre génétique ;
● Des différences d’environnement

Méta-intelligence

Le ressort principal de cette méta-intelligence serait sa capacité à inhiber une intelligence


pour en activer une autre plus adaptée.
C’est le concept de résistance cognitive.
● Une nouvelle définition de l’intelligence, qui serait la capacité à activer le chemin
neuronal le plus utile et à inhiber tous les autres parmi plusieurs stratégies
possibles

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