Cours Specialisation
Cours Specialisation
Cours Specialisation
D E P A R T E M E N T D E Z O O L O G I E
A G R I C O L E ET F O R E S T I E R E
2001-2002
PREAMBULE
- des besoins du pays en ingénieurs spécialisés dans le domaine de la protection des végétaux aussi bien pour le secteur étatique
que pour le secteur privé
- des problèmes réels du pays en matière de protection des végétaux anciens, périodiques ou nouveaux (invasions des
sauterelles pèlerine et marocaine ou ravageurs principaux, pullulations de criquets du pays tels que le barbarin espagnol et autres, chenille
processionnaire, punaise des céréales, galéruque de la steppe, campagnes nationales de lutte contre les moineaux, les mériones).
- des moyens humains (30 enseignants spécialisés de l'INA) et matériel existant (7 projets ANDRU et 1 laboratoire de recherche)
pour la formation de cadres (ingénieurs d'état spécialisés en Protection des végétaux - Zoophytiatrie en entomologie agricole et forestière,
en nématologie agricole , en ornithologie appliquée, ...etc.).
OBJECTIF : Le but recherché à travers ce type de formation est la mise à la disposition du marché du travail d’un ingénieur d'état
moderne armé de connaissances dans des matières d'actualité comme la biologie moléculaire, compétitif, capable de faire face à telle ou
telle situation, pour un poste de direction d'établissement, pour un poste de gestionnaire (bénéficiant d'une formation de gestion des
entreprises), ou même pour un poste de chef d'une unité de production agricole ou industrielle.
- Matières de base
- Bioécologie des ennemis des cultures
- Méthodes de lutte
SOMMAIRE DES ENSEIGNEMENTS DE LA SECTION DE SPECIALISATION
PROTECTION DES VEGETAUX – ZOOPHYTIATRIE
QUATRIEME ANNEE
I. OPTION NEMATOLOGIE
QUATRIEME ANNEE
VOLUME HORAIRE TOTAL : 838 HEURES
I. OPTION NEMATOLOGIE
VOLUME HORAIRE TOTAL : 240 HEURES
1. OBJECTIFS
De par le Monde les moyens classiques utilisés pour la lutte contre les espèces animales nuisibles en milieu agricole ont été
bousculés au cours des dernières décennies par la génétique laquelle a fait brusquement des progrès considérables notamment dans
le domaine agricole. En effet de plus en plus on utilise la génétique pour lutter contre les ravageurs des cultures soit en mettant en
évidence un facteur de résistance, soit en introduisant dans le patrimoine génétique un gène capable de produire une molécule
biochimique à action répulsive ou toxique vis à vis d'un déprédateur ciblé.
2. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
Il est important qu'un ingénieur de la Protection des végétaux ait une formation de base en Phytopathologie même s'il se
destine pour les disciplines de Zoophytiatrie. Ici, il s'agit d'un cours d'approfondissement des connaissances par rapport au cours reçu
en 3ème année.
2. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
Les facteurs météorologiques n'influencent pas seulement les plantes cultivées, ils interviennent aussi par leurs excès comme
par exemple une trop grande humidité ou par les effets des vents particuliers qui interviennent par leur force, leur violence ou leur
action desséchante. Ils influent également sur le développement des maladies cryptogamiques et sur la dynamique des populations
des arthropodes ravageurs.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS(18 heures)
CHAPITRE I : GENERALITES
I.1 – Définitions
I.1.1 – Climatologie
I.1.2 – Météorologie
I.1.3 – Ecoclimatologie
I.1.4 – Bioclimatologie
I 2 – Structure de l'atmosphère
I.2.1 – Troposphère
I.2.2 – Stratosphère
I.3 – Moments remarquables de l'année solaire
I.3.1 – Equinoxes
I.3.2 – Solstices
CHAPITRE II : RAYONNEMENT SOLAIRE
I.1 – Le rayonnement extra-terrestre RO
I.2 – Le rayonnement dans l'atmosphère Rg
I.2.1 – Composition du Rg
I.2.2 – Atténuation du Rg (réflexion, dilution)
I.3 – Le rayonnement au niveau de la surface terrestre
CHAPITRE III : BILANS RADIOACTIFS
II.1 – Capacités caloriques du sol
II.2 – Capacités d'échauffement ou de refroidissement
II.2.1 – Echauffement diurne
II.2.2 – Echauffement diurne au niveau de la surface du sol
II.2.3 – Echauffement diurne au niveau de l'atmosphère
II.2.4 – Variations de l'intensité de la convection
II.2.5 – Thermoprotection du sol
II.2.6 – Refroidissement nocturne
CHAPITRE III : PRINCIPAUX APPAREILS DE MESURE DES FACTEURS CLIMATIQUES
III.1 – Différents appareils de mesure
III.1.1 – Appareils de mesure des températures
III.1.2 – Appareils de mesure de l'humidité de l'air
III.1.3 – Appareil de mesure des vents
III.1.4 – Appareils de mesure de la pluviométrie
III.2 – Définition de l’humidité absolue
III.2.1 – Humidité relative de l'air
III.2.2 – Essai de mesure de l'évaporation naturelle
III.2.3 – Evapo - transpiration
III.2.3.1 – Notion d'ETP
III.2.3.2 – Notion d'ETM
III.2.3.3 – Notion d'ETA
III.2.4 – Méthodes de détermination des ETP
CHAPITRE IV : CLASSIFICATION DES CLIMATS
IV.1 – Facteurs climatiques
IV.1.1- Températures (t°)
IV 1 2 – Pluviométrie (P)
IV.2 – Synthèse climatique
IV.2.1 – Diagramme ombrothermique
IV.2.2 – Climagramme d'Emberger
IV.3 – Principaux classements
IV.3.1 – Classification climatique
IV.3.2 – Classification génétique
IV.3.3 – Classification écologique
IV.4 – Systèmes de Gaussen
1. OBJECTIFS
Il ne s’agit pas d’une formation technique sur l’outil informatique mais une formation sur les possibilités de l’utilisation de
cet outil en vue de faciliter l’exploitation des résultats du travail de recherche. Cet enseignement est indispensable dans le cursus de
l’ingénieur agronome moderne. Il pourra s’en servir plus tard dans sa vie professionnelle pour s’informer, gérer et prévoir les
fluctuations des marchés agricoles.
Le programme comprend différents langages, les constantes, les variables, les tableaux, les expressions, les ruptures de
séquences et différents types d’ordre notamment d’entrée et de sortie.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS(25 heures)
1. OBJECTIFS
L’expérimentation agricole permet de préparer l’étudiant au mémoire d’ingéniorat. Il doit savoir comment mettre au point
un protocole expérimental de manière à pouvoir appliquer à ses résultats toutes les techniques de calcul et d’exploitation
scientifiques.
Au cours de cet enseignement les différents types de dispositifs expérimentaux seront développés. Ceux-ci correspondent
aux différentes situations auxquelles le jeune expérimentateur peut être confronté sur le terrain.
2. CONTENU DU MODULE
COURS( 27 heures)
CHAPITRE I : L’EXPERIMENTATION AGRICOLE
I.1 – Objet de l’expérimentation agricole
I.2 – Problèmes posés par l’expérimentation agricole
CHAPITRE II : LES PRINCIPES GENERAUX DE L’EXPERIMENTATION AGRICOLE
II.1 - Position du problème
II.2 - Comparaison de deux moyennes observées
II.3 - Comparaison de K moyennes
CHAPITRE III : LES DISPOSITIFS EXPERIMENTAUX
III.1 – Le dispositif « couple » de Student
III.2 – Le dispositif « blocs »
III.3 – Le dispositif « carré latin »
III.4 – Autres dispositifs
III.4.1 – « factoriels »
III.4.2 – « split-plot »
III.4.3 – « confouding »
III.5 – Les séries d’essais
III.6 – Les dispositifs « blocs incomplets »
CHAPITRE IV : COMPARAISON DE PLUSIEURS MOYENNES DEUX A DEUX
IV.1 – Méthode de Dancan
IV.2 – Méthode des rangées multipliées
1. OBJECTIFS
L’enseignement de l’anglais est indispensable aussi bien pour les étudiants de niveau moyen que ceux de fort niveau. Il
s’appuie sur la formation en langue anglaise donnée durant les deux premières années après le baccalauréat et le tronc commun. La
connaissance de l’anglais est indispensable pour l’étudiant arrivant à la fin du second cycle ou au début du troisième cycle.
Cet enseignement va permettre à l'étudiant l'accès à la bibliographie sachant que les chercheurs de la plupart des pays
publient en anglais. Dans le meilleur des cas, cela permettra aussi à nos ingénieurs de communiquer en anglais lors des congrès,
colloques et séminaires.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS( 27 heures)
1. OBJECTIFS
L’ingénieur de conception peut être amener à diriger une institution ou à gérer entreprise. Il à besoin, dans sa formation, de
quelques notions de gestion. Dans le cadre de la protection des végétaux, il aura à gérer les stocks de pesticides (achat, utilisation,
stockage de produits rémanents et de substances fugaces)
L’objet de cet enseignement est d’initier l’étudiant aux outils de la gestion, afin qu’il puisse mieux assimiler la finalité de la
production agricole.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 26 heures)
INTRODUCTION
- Définition de l’entreprise et économie de marché
- L’entreprise et son environnement
CHAPITRE I : L’OBSERVATION DANS L’ENTREPRISE
I.1 – Notions de comptabilité générale et analytique
I.2 – Données techniques
Terre - travail - capital
CHAPITRE II : ANALYSE DE L’ENTREPRISE
II.1 – Analyse comparative
II.2 – Analyse des marges
II.3 – Analyse des prix de revient
II.4 – Analyse isolée des facteurs
CHAPITRE III : LA DECISION DANS L’ENTREPRISE
III.1 – Programmation linéaire
III.2 – Notions de choix des investissements
1. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
La biologie des sols a sa place après l’enseignement de la pédologie. Elle vient comme complément de cette formation. Il
n’y a pas que la texture et la structure du sol qui conditionnent l’installation du végétal. L’activité biochimique des bactéries, des
protozoaires, des mycorhizes, des invertébrés annélides, nématodes, gastéropodes, acariens et insectes favorisent ou interdisent selon
les cas le développement des plantes.
2. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
Le cours d’écologie végétale vient compléter celui reçu par les étudiants en tronc commun.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 30 heures)
1. OBJECTIFS
Toute opération de lutte contre un ravageur s’appuie sur des connaissances d’ordre biologique, écologique et physiologique.
La compréhension de la physiologie elle- même a besoin de notions d’anatomie.
Quatre principales structures peuvent jouer le rôle de cibles lors de toutes intervention par l’emploi d’une méthode de lutte
adéquate qu’elle soit chimique, biologique, physique ou de type méthode culturale. Ce sont le tégument, le tube digestif, le système
respiratoire, l’appareil de reproduction et le système endocrine.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 30 heures)
- Dissection d’un insecte et mise en évidence des différents organes notamment du système nerveux central du système
rétro-cérébral , des corpora cardiaca et des corpora allata
- Coupes histologiques du stomodeum , du mésenteron et du proctodeum
- Quantification de l’oxygène consommé par un insecte
1. OBJECTIFS
Il est tenu compte d’une part des enseignements d’écologie générale reçus par les étudiants en 2éme année après le
baccalauréat, et d’autre part de la participation en écologie des différentes disciplines enseignées : écologie végétale, mammalogie
agricole, systématique et bioécologie des insectes, bioécologie des acariens, malacologie agricole, arthropodologie forestière,
ornithologie agricole et forestière,….
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 21 heures)
1. OBJECTIFS
La Nématologie générale fait suite à l’introduction à la Nématologie intervenue en tronc commun. Face aux dégâts dus aux
nématodes, sur les cultures stratégiques telles que les céréales et les cultures intensives notamment sous film plastique. L’étude de la
Nématologie a connu un essor en Europe et aux états unies surtout ; c’est ce qui justifie cet enseignement.
Des éléments seront dispensés à l’étudiant qui lui permettront de s’investir à l’aise soit dans la systématique et la bioécologie
des nématodes, soit dans l’estimation des dégâts et dans la lutte contre ces phytoparasites.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 18 heures)
1. OBJECTIFS
Les services de l’institut national de la protection des végétaux(INPV) considèrent les adventices ou mauvaises herbes
comme étant les premiers ennemis des cultures venant bien avant les déprédateurs et les maladies.
Plusieurs aspects de la malherbologie seront abordés ici tels l’écologie des principales espèces d’adventices et la lutte qu’il
faut mener contre elles.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 18 heures)
1. OBJECTIFS
Les mammifères qui intéressent la zoophytiatrie appartiennent surtout à l’ordre des rongeurs. Secondairement, on trouve les
Lagomorphes et les Artiodactyles. Certains d’entre eux intéressent non seulement la Phytotechnie mais aussi la médecine
vétérinaire. En milieu agricole les rats, les souris, les mériones, les lapins de garenne, les lièvres et quelquefois les sangliers font
subir des dommages considérables aux plantes cultivées.
Brièvement des notions de sur la répartition des grands groupes de mammifères dans le monde et en Algérie seront donnés
aux étudiants . Puis on abordera la systématique des espèces présentant un intérêt agricole. Celles qui présentent un intérêt important
seront prises en considération sur le plan bioécologique, sur le plan dégât et enfin sous l’aspect lutte. La théorie sera complétée par
de la pratique .
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 18 heures)
- Comparaisons ostéologiques entre les ordres, les genres et les espèces de Rongeurs et de Lagomorphes
- Régimes alimentaires de quelques rongeurs
- Détermination des densités sur le terrain
1. OBJECTIFS
Qu’on veuille faire un simple inventaire de l’entomofaune, une étude biologique sur un insecte déprédateur ou un traitement
à base d’un insecticide , il faut toujours commencer par un travail de détermination.
A travers cet enseignement nous cherchons à apprendre à l’étudiant comment faire une première approche de détermination
soit jusqu’à la famille ou même jusqu’au genre dans certains cas. Nous lui enseignons les critères morphologiques et bioécologiques
qui lui permettront de progresser rapidement dans le processus de la détermination.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 24 heures)
1. OBJECTIFS
L’ingénieur agronome est confronté sur le terrain à d’importants ravageurs faisant partie des Acari comme les tétranyques
qu’il ne faudrait pas confondre avec les acariens prédateurs d‘autres acariens. On peut y remédier grâce à la systématique.
Avant de lutter contre un acarien nuisible faut-il encore être sûr de son identité afin d’orienter les recherches
bibliographiques et profiter des expériences des pays plus avancés. Il serait intéressant de connaître les grands aspects de la
bioécologie afin de localiser les moments les plus opportuns pour déclencher une opération de lutte.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 18 heures)
ENTOMOLOGIE AGRICOLE
VOLUME HORAIRE TOTAL : 27 HEURES
1. OBJECTIFS
2. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
Les gastéropodes, d’un point de vue agricole présentent un triple intérêt, d’une part pour le zootechnicien pour le vétérinaire
et pour le zoophytiatre. Dans les cultures maraîchères et en arboriculture fruitière, ils peuvent être responsables des dégâts non
négligeables. Cela suffit pour que l’on s’y intéresse.
Le zoophytiatre à besoin d’avoir des connaissances de base sur ces ravageurs potentiels tels que des critères taxonomiques
pour les reconnaître, des notions sur leurs cycles biologiques, des détails symptomatiques sur leurs dégâts et sur les techniques de
lutte à leur opposer.
2. CONTENU DU MODULE
- Reconnaissance et estimation des dégâts dus aux gastéropodes pulmonés sur le terrain
- Etude pratique des principales espèces phytophages nuisibles
- Dissection de différents types d’organes (éventuellement)
1. OBJECTIFS
Il n y a pas de barrière infranchissable pour les déprédateurs qui les empêcherait de passer du milieu forestier vers les parcelles
agricoles ou inversement. Par ailleurs, la protection des végétaux s’applique également à la sylviculture.
L’objectif visé à travers l’Arthropodologie forestière c’est d ‘amener l’étudiant à appréhender la faune des invertébrés sylvicoles
dans leur ensemble et d’entrevoir les relations complexes qui les lient au niveau du sol, du système racinaire, du tronc et de la couronne
impliquant des espèces nuisibles, indifférentes et utiles face à l’économie humaine.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 33 heures)
- Séances thématiques
- Sorties en forêts
1. OBJECTIFS
Les dégâts commis sur les céréales par les moineaux, sur les olives et les dattes par les étourneaux et sur les fruits par les bulbuls
justifient l’intérêt qu’on doit porter à ces ravageurs.
Toutes les espèces d’oiseaux ne sont pas forcément nuisibles. Certains peuvent participer aux dégâts sans atteindre séparément le
seuil de nuisibilité. D’autres sont utiles. Il s’agit de donner à l’étudiant des éléments de réflexion sur les principaux aspects de la biologie
de l’avifaune de manière à ce qu’il puisse décider sans risque d’erreur du moyen le plus approprié à mettre en œuvre pour résoudre un
problème de terrain lié à la protection des végétaux.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 21 heures)
- Etude des dégâts dans les champs et les vergers dus aux oiseaux
- Etude des régimes alimentaires à travers l’examen des fientes, des pelotes de réjection, de régurgitats et des contenus
stomacaux.
1. OBJECTIFS
Les invasions périodiques dues à la sauterelle pèlerine et la sauterelle marocaine et les problèmes liés à la pullulation des
sauteriaux comme le barbarin, le criquet de l’alfa et d’autres justifient ce cours.
L’enseignement de l’acridologie comporte une partie sur la connaissance de la morphologie, base de la systématique, une
seconde partie sur l’anatomie, préalable indispensable à la compréhension des phénomènes physiologiques, une autre partie sur la
biologie, l’écologie et l éthologie des acridiens. II s’achève avec quelques notions sur les dégâts et sur les méthodes de lutte à opposer
aux sauterelles et aux criquets.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 21 heures)
Cours : 9h TP : 3h TD : 3h Sorties :
1. OBJECTIFS
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 9 heures)
1. OBJECTIFS
Il est davantage tourné vers la notion de dégâts et vers les techniques d’extraction des espèces phytoparasites.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS ( 21 heures)
- Méthodes d’échantillonnage sur plusieurs espèces de nématodes inféodés à différentes cultures : céréales, pomme de terre,
cultures maraîchères et légumineuses (sortie)
- Colorations des tissus végétaux et fixation des nématodes en vue de leur observation au microscope
1. OBJECTIFS
Dans tous les cas il n’est pas possible de lutter contre les ravageurs par les simples procédés culturaux, ni par la lutte
biologique. Quelquefois il faudra faire appel aux pesticides , insecticides, acaricides , rotondicides , avicides, … etc. II est par conséquent
nécessaire de faire connaître aux étudiants ce qu’est la phytopharmacie.
II faut identifier et classer les différents problèmes que connaissent les plantes cultivées. II y a les différents types de
ravageurs, les maladies, les mauvaises herbes et les accidents climatiques. Leurs symptômes et leurs préjudices permettent d’orienter les
méthodes de lutte. Enfin, l’étudiant a besoin de connaître les conséquences néfastes de la lutte chimique.
2. CONTENU DU MODULE
- Test d’efficacité
1. OBJECTIFS
Faire comprendre à l’étudiant les modes de pénétration puis d’action des pesticides
2. CONTENU DU MODULE
COURS ( 27 heures)
CHAPITRE I : LES INSECTICIDES ET LES ACARICIDES
I.1 – Les modes de pénétration
I.2 – Les modes d’action des principaux groupes
I.3 – Présentation et propriétés
I.3.1 – Insecticides d’origine végétale
I.3.2 – Les fumigants
I.3.3 – Les Organo- chlorés
I.3.4 – Les organo- phosphorés
CHAPITRE II : LES FONGICIDES
II.1 – Classification et caractéristiques
II.2 – Modes d’action biochimique
II.2.1 – sur les structures cellulaires
II.2.2 – sur la production d’énergie
II.2.3 – sur les biosynthèses
CHAPITRE III : LES HERBICIDES
III.1 – Présentation et liste des principaux groupes d’herbicides
III.2 – Mode de transport aux sites
III.3 – Mode d’action au niveau cellulaire
III.3.1 – Perturbation de la photosynthèse
III.3.2 – Perturbation de la respiration mithochondriale
III.3.3 – Effets sur les membranes biologiques
III.3.4 – Inhibition des biosynthèses
CHAPITRE IV : APPLICATION DES HERBICIDES
CHAPITRE V : LA SELECTIVITE DES HERBICIDES
1. OBJECTIFS
Il s’agit de produire sans résidus de pesticide et sans polluer l’environnement édaphique et aquatique. Pour mettre en place un
programme de lutte intégrée, l’ingénieur d’état doit pouvoir choisir parmi les méthodes de lutte biologique et qu’il aura à combiner
harmonieusement avec les autres procédés de lutte tels que les méthodes agrotechniques, les procédés physiques, radiobiologiques et les
méthodes chimiques.
En lutte biologique, l’étudiant doit avoir des connaissances sur les différentes parties de la panoplie mise à sa disposition, c’est à
dire sur les agents entomopathogènes, virus, bactéries, champignons et insectes parasites des arthropodes déprédateurs. Des prédateurs
peuvent être utilisés en lutte biologique tel que des acariens, des insectes, des nématodes et des oiseaux. Des substances biochimiques de
synthèse, type analogue des hormones juvéniles et phéromones sexuelles font partie de cette panoplie.
2. CONTENU DU MODULE
INTRODUCTION A LA PHYTIATRIE
a – Définition de la lutte intégrée
b – Définition de la lutte biologique
c – Historique de l’utilisation de la lutte biologique
d – La lutte biologique et les organisations internationales
CHAPITRE I : UTILISATION DES VIRUS EN LUTTE BIOLOGIQUE
I.1 – Systématique des entomovirus
I.2 – Découverte de quelques entomovirus
I.3 – Production de quelques entomovirus et leurs applications
CHAPITRE II : UTILISATION DES BACTERIES EN LUTTE BIOLOGIQUE
II.1 – Les espèces de bactéries utilisées en lutte biologique
II.1.1 – Bacillus popiliae
II.1.2 – Bacillus thurengiensis
II.2 – Exemple de l’utilisation du Bacillus thurengiensis en forêt
CHAPITRE III : UTILISATION DE CHAMPIGNONS EN LUTTE BIOLOGIQUE
III.1 – Position systématique des champignons entomopathogènes
III.1.1 – Champignons imparfaits ( fungi imperfecti)
III.1.2 – Champignons entomophtorales ( phycomycètes)
III.1.3 – Coelomycetaceae ( Phycomycètes, blastocladiales)
III.1.4 – Ascomycètes
III.2 – Le pathogène
III.3 – Expérimentation en plein champ avec des champignons entomopathogènes
CHAPITRE IV : UTILISATION DES INSECTES EN LUTTE BIOLOGIQUE
IV.1 – Quelques insectes susceptibles d’être utilisés en lutte biologique
IV.1.1 – Principaux insectes prédateurs
IV.1.1.1 – Les punaises Anthocoridae
IV.1.1.2 – Les Coccinellidae
IV.1.1.3 – Cecidomycidae
IV.1.1.4 – Syrphidae
IV.1.1.4 – Chrysopidae
IV.1.1.5 – Autres prédateurs secondaires
IV.1.2 – Principaux parasitoïdes
IV.1.2.1 – Ooparasitoïdes
IV.1.2.2 – Parasitoïdes ovo- larvaires
IV.1.2.3 – Parasitoïdes larvaires
IV.1.2.4 – Parasitoïdes nymphaux
IV.2 – Principales applications de la lutte par l’utilisation des insectes entomophages
IV.2.1 – Utilisation des coccinelles aphidiphages
IV.2.2 – Emploi des coccinelles coccidiphages
IV.2.3 – Aphelinus mali contre Eriosoma lanigera
IV.2.4 – Utilisation des parasitoïdes sous serres
IV.3 – Exemples d’utilisation d’auxiliaires en lutte biologique en Algérie
IV.3.1 – Evolution de la lutte biologique en Algérie
IV.3.2 – La coccinelle australienne Novius cardinalis contre la cochenille australienne Icerya purshasi
IV.3.3 – Cas de la coccinelle Pharoscymnus anchorago et du carpophile Cybocephalus seminulum prédateurs de la
cochenille blanche du palmier dattier Parlatoria blanchardi
IV.3.4 – Utilisation de la coccinelle introduite Cryptolaemus montrouzieri contre Pseudococcus citri
IV.3.5 – Lâchers du trichogramme Trichogramma embryophagum contre la pyrale des dattes Ectomyeloïs ceratoniae
Zeller
CHAPITRE V : UTILISATION DE CHAMPIGNONS PREDATEURS DES NEMATODES
V.1 Généralités
V.1.1 – Bref rappel de la place des champignons prédateurs de nématodes dans la systématique
V.1.2 – Aperçu sur les principales phases de la biologie des champignons prédateurs des nématodes
V.1.3 – Exigences écologiques des champignons prédateurs
V.2 – Conditions d’implantation des champignons nématophages
V.2.1 – Influence de la matière organique présente dans le sol
V.2.2 – Rôle de la température du sol
V.2.3 – Impact du pH du sol
CHAPITRE VI : UTILISATION DES NEMATODES DANS LA LUTTE BIOLOGIQUE
VI.1- Utilisation de nématodes parasites d’insectes
VI.2 – Emploi de nématodes nématophages
VI.3 – Possibilités de recours aux nématodes contre certaines espèces de champignons
CHAPITRE VII : AUTRES AGENTS AUXILIAIRES UTILISES EN LUTTE BIOLOGIQUE
VII.1 – Arthropodes entomophages autres que les insectes
VII.1.1 – Espèces appartenant à l’ordre des Aranea
VII.1.2 – Espèces appartenant à l’ordre des Acari
VII.2 – Vertébrés entomophages
VII.2.1 – Emploi des poissons dans la lutte contre les insectes aquatiques
VII.2.2 – Utilisation des Bufonidae en lutte biologique
CHAPITRE VIII : CAS PARTICULIER DE LA LUTTE BIOLOGIQUE CONTRE L’ALEURODE FLOCONNEUX
ALEUROTHRIXUS FLOCCOSUS PAR L’UTILISATION DE L’APHELINIDAE CALES NOACKI
VIII.1 – Cycle biologique annuel de l’aleurode floconneux
VIII.2 – Dynamique de population de Cales noacki
VIII.3 – Lâchers de Cales noacki dans le Monde et en Mitidja
VIII.4 – Résultats obtenus après les lâchers de Cales noacki dans la plaine de la Mitidja
CHAPITRE IX : LA LUTTE BIOLOGIQUE AU MAROC : INTERET DE L’INSECTARIUM DA MACHRA BEL XIRI A
RABAT
IX.1 – Description de l’insectarium
IX.2 – Méthode d’élevage des cochenilles
IX.3 – Méthode d’élevage des Aphytis mellinus
IX.4 – Lâchers d’Aphytis mellinus dans les vergers d’agrumes
IX.5 – Contrôle de l’efficacité d’Aphytis mellinus sur le terrain contre le pou rouge de Californie Aonidiella aurantii
CHAPITRE X : LES PHEROMONES SEXUELLES ET LEUR UTILISATION PRATIQUE EN MILIEU AGRICOLE
X.1 – Découverte des phéromones
X.2 – Définition d’une phéromone
X.3 – Mécanisme de diffusion des phéromones
X.4 – Différents pièges sexuels utilisant des phéromones sexuelles
X.5 – Utilisation pratique des phéromones sexuelles en agronomie
X.5.1 – Leur emploi pour l’étude de la dynamique de population d’un ravageur sur le terrain
X.5.2 – Rôle dans les avertissements agricoles
X.5.3 – Leur utilisation en milieu agricole dans le but de réduire les populations d’un déprédateur déterminé
X.5.3.1 – Attraction par les appâts empoisonnés
X.5.3.2 – Confusion sexuelle
1. OBJECTIFS
Il s'agit de montrer au futur ingénieur qu'il y a d'autres moyens de lutte autres que les techniques culturales, génétiques,
biologiques et chimiques. Dans certains cas la lutte physique est intéressante du point de vue coût. Quant à la lutte radiobiologique elle
peut quelquefois être la plus efficace et la plus appropriée comme dans le cas de l'éradication de Cochliomya hominivorax ou mouche du
bétail lors de son introduction en Libye dans les années 1980.
Cet enseignement vient en fin de cycle. Il faut rappeler la complexité du module portant sur les méthodes de lutte physique et
radiobiologique. Celui-ci fait intervenir en effet des notions de physique en relation avec les facteurs utilisés, chaleur, froid et radiations,
de physiologie des insectes, de biochimie des protéines et des lipides en relation avec l'exuviation et la sclérotinisation des cuticules,
d'histologie en fonction du devenir des cellules indifférenciées et de cytologie somatique et germinale.
2. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
Au sein d'une population d'invertébrés ou de vertébrés il se produit de temps à autre des épidémies suivies de véritables
hécatombes. Le présent enseignement vise l'acquisition par l'étudiant d'éléments lui permettant de comprendre les mécanismes d'une
épizootie.
2. CONTENU DU MODULE
CHAPITRE I : GENERALITES
I.1 – Historique
I.2 – Définition
I.2.1 - Parasites (ectoparasite et endoparasite)
I.2.2 - Parasitoïdes
CHAPITRE II : PARASITOLOGIE CHEZ LES INVERTEBRES
II.1 – Différents agents virus, bactéries, champignons, vers, acariens et insectes infestants des Gastéropodes
II.2 – Différents agents virus, bactéries, champignons, vers, acariens et insectes infestants des Acariens
II.3 – Différents agents virus, bactéries, champignons, vers, acariens et insectes infestants des Insectes
CHAPITRE III : PARASITOLOGIE CHEZ LES VERTEBRES
III.1 – Différents types d’épizootie dans les populations de vertébrés
III.2 – Epizootie dans les populations de poissons d’eau douce, de batraciens et de reptiles en milieux terrestres agricoles et
naturels
III.3 – Processus épizootique au sein des populations d’oiseaux d’eau et terrestres en milieux agricoles et naturels
III.4 – Epizootie dans les populations des mammifères sauvages dans divers milieux
1. OBJECTIFS :
Ce module est consacré à l’étude de la classification des espèces de nématodes inféodés aux cultures. Les deux aspects sont traités.
L’étude concerne les principaux genres des Tylenchydes avec les Dorylaimides. Des coupes des figures périnéales et des cônes
vulvaires permettent de mieux connaître les espèces.
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS (30 heures)
CHAPITRE I :LES BASES DE LA CLASSIFICATION DES NEMATODES PHYTOPHAGES
a- Les Tylenchydes
b- Les Dorylaimides
II. Les principaux groupes de nématodes phytophages
1) Les nématodes des tiges et des bulbes (Ditylenchus ).
2) Les nématodes des cultures sous- serres (Meloidogyne ).
3) Les nématodes de la culture de pomme de terre (Globodera).
4) Les nématodes des cultures céréalières (Heterodera, Pratylenchus).
5) Les nématodes des Cirrus et des autres arbres fruitiers (Tylenchulus, Pratylenchus)
6) Les nématodes de la vigne (Xiphinema)
1. OBJECTIFS
- Réaliser une cartographie de distribution des nématodes phytophages.
- étudier les facteurs de développement des nématodes.
- Etudier les relations plantes hôtes –nématodes.
2. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
A travers ce module, les techniques d’échantillonnage et la méthodologie suivie pour étudier
les nématodes tiennent compte des spécificité des espèces à part.
L’extraction fait partie intégrante de ce module (Méthode simple, floraison et
centrifugation ainsi que l’incubation).
Le montage et l’observation des différentes espèces.
2. CONTENU DU MODULE
1.OBJECTIFS
L’objectif principale de ce module est détailler toutes les méthodes susceptibles d’être utiliser
pour lutter contre les nématodes phytoparasites ( lutte culturale, résistance , lutte chique,
biologique et lutte intégrée).
2. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
2. CONTENU DU MODULE
Une option Entomologie agricole et forestière se justifie au travers des différents dégâts causés par les divers déprédateurs sur
différentes cultures : (cultures maraîchères, arboriculture, grandes cultures … etc.) et sur denrées stockées. Les chiffres suivants illustrent
ces dégâts :
- 30 % à 40 % des denrées agricoles stockées sont perdues chaque année en Algérie à cause des insectes tels que Sitophilus oryzae,
Tribolium castaneum, Oryzaephilus surinamensis … etc. sur céréales et les Bruches sur les graines de légumineuses dans les entrepôts.
54,3 % des grains de blé sont attaqués par le Trogoderme en Algérie. 44 % de graines de pois- chiche sont détériorés par les Bruches.
- Les pertes sur cultures sous film plastique sont variables mais jamais négligeables dues aux noctuelles Plusia gamma entre autres
sur Solanées, aux pucerons Myzus persicae sur toutes les cultures maraîchères.
- Les dégâts observés sur cultures maraîchères sur champs sont importants c’est le cas de la teigne de la pomme de terre Phtorimaea
operculella.
- Sur Rosacées cultivées, les principaux ravageurs du pommier sont Zeuzera pyrina, Quadraspidiotus perniciosus et Parlatoria
oleae.
- En agrumiculture Ectomyeloïs ceratoniae a fait de 5 à 20 % de dommages sur Thomson navel. Notons aussi les dégâts dus à
Ceratitis capitata et Prays citri.
- En oléiculture, les dégâts dus à Dacus oleae, à Polinia pollini et Leucanium oleae sont importants.
- En viticulture, l’altise de la vigne, Haltica ampelophaga, et les scarabeides du genre Geotrogus causent des problèmes importants.
- En phoeniciculture, 10 à 30 % des dattes sont écartées au tri chaque année à cause de leur infestation par Ectomyeloïs ceratoniae.
- En céréaliculture, 11 quintaux de pertes au rendement à l’hectare sont dus aux maladies cryptogamiques et aux insectes.
- Des ravageurs principaux comme les orthoptères grégariaptes sont de véritables plaies. Il s’agit de Schistocerca gregaria et
Dociostaurus maroccanus.
METHODOLOGIE APPLIQUEE A L’ENTOMOLOGIE
1. OBJECTIFS
2. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
2. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
2. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS : 15 h
Depuis 1940 les problèmes posés par les pesticides n’ont pas cessé de croître. Ils se sont aggravés avec l’arrivée sur le marché des
pesticides de synthèse. En dehors des effets néfastes dus aux produits chimiques agricoles insecticides, herbicides, fongicides et
fertilisants minéraux, d’autres substances retiennent l’attention tels que les métaux lourds et les P.C.B.. La connaissance de la
réglementation en vigueur en Algérie, en Afrique du nord et dans les pays de la C.E.E.. peut permettre à l’ingénieur d’éviter les erreurs
de traitements et les risques de pollution de l’environnement.
ECOTOXICOLOGIE
1. OBJECTIFS
Le rejet dans la biosphère (sol, air et eau) de différentes matières provoque de graves perturbations. Les substances polluantes
sont d’origine naturelle, industrielle et agricole.
L’étudiant en protection des végétaux doit avoir des notions sur les effets des métaux lourds (plomb et mercure) des pesticides de
synthèse et des fertilisants minéraux sur les animaux, sur les végétaux ainsi que sur l’atmosphère.
2. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
Souvent les pesticides sont utilisés d’une manière inadéquate, sans respecter les doses ni aucune précaution la plus élémentaire
n’est prise, ou encore l’emploi des produits périmés.
2. CONTENU DU MODULE
CHAPITRE I : GENERALITES
Introduction
I.1 – Importance des produits phytosanitaires dans le Monde et en Algérie
I.2 – Conséquences de l’utilisation de ces produits
I.3 – Listes des classes de pesticides
CHAPITRE II : DEFINITION ET OBJECTIF DE LA LEGISLATION
II.1 – Définition de la législation
II.2 – Historique de la législation
II.3 – Principaux objectifs de la législation
CHAPITRE III : LES BASES DE LA LEGISLATION
III.1 – Disposition relatives à la fabrication
III.1.1 – Production
III.1.2 – Synthèse
III.1.3 – Formulation
III.2 – Dispositions relatives à l’homologation
III.2.1 – Schéma d’ensemble
III.2.2 – Constitution de la commission d’homologation
III.2.3 – Fonctionnement de la commission d’homologation
III.2.4 – Autorisation d’homologation
III.3 – Disposition relative à la commercialisation
III.4 – Disposition relative à l’utilisation
CHAPITRE IV : LES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES PHYTOSANITAIRES ADOPTES EN ALGERIE
IV.1 – Les textes législatifs
IV.2 – Le contrôle aux frontières
IV.3 – Quelques aspects de l’application de ces lois
CHAPITRE V : TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES DANS LE CADRE DE L’EUROPE
CONCLUSION
1. OBJECTIFS
Il s’agit d’une partie spécialisée de l’encadrement du machinisme agricole. Les traitements sont divers. Ils nécessitent l’emploi de
matières actives particulières à utiliser de manières différentes avec des appareils différents.
2. CONTENU DU MODULE
1. OBJECTIFS
Il s’agit d’amener l’étudiant à réfléchir sur les possibilités de la lutte intégrée dans différents milieux agricoles.
2. CONTENU DU MODULE
1. CONTENU DU MODULE
A. COURS : 15 h
Il existe plusieurs domaines dans la protection des végétaux. Ceux-ci sont d'importances inégales. En effet l'entomologie agricole et
la nématologie constituent de grandes composantes. Les autres parties sont rassemblées ici dans l'option zoophytiatrie. Cette option fait
appel à la malacologie, à l’Arthropodologie notamment à l’Acarologie, à l'herpétologie, à l'ornithologie et à la mammalogie. En fait les
exemples sont également pris parmi les insectes déprédateurs ou utiles.
L'ECOLOGIE, LA PROTECTION DES VEGETAUX
ET
LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT
1. OBJECTIFS
2. CONTENU DU MODULE
1.OBJECTIFS
2. CONTENU DU MODULE
1 - Quadrat
2 - IPA,
3 - EFP
4 - Régime alimentaire insectivore
5 - Régime alimentaire carnivore
6 - Régime alimentaire
7- Zoochorie
8 - Capture- recapture; AFC et analyse de la variance au micro- ordinateur
1. OBJECTIFS
2. CONTENU DU MODULE
CHAPITRE I : GENERALITES
I.1 – Définition de la lutte intégrée
I.1.1 - Notions de ravageur et de seuil de nuisibilité
I.1.2 - Différentes définitions de la lutte intégrée
I.2 – Causes de l'avènement de la lutte intégrée
I.2.1 - Phénomène d'accoutumance ou résistance aux pesticides
I.2.2 - Phénomène d'accumulation
I.2.3 - Non- spécificité des pesticides
I.2.3. l – Problème de résurgence
I.2.3.2 – Apparition de nouveaux ravageurs autochtones
I.2.4 - Biodégradabilité lente ou même absente
I.2.5 - Problème des résidus
I.2.7 - Problème des effets de pollution de l'environnement
I.3 - Lutte raisonnée, lutte rationnelle et lutte symptomatique
CHAPITRE II : COMPOSANTES DE LA LUTTE INTEGREE
II.1 - Les moyens génétiques (Biologie moléculaire)
II.2 - Les moyens biologiques
II.2.1 - Utilisation d'organismes antagonistes
II.2.2 - Emploi d'organismes entomopathogènes
II.2.3 - Action des régulateurs de croissance et des substances analogues de l'hormone juvénile (HJ)
II.2.4 - Intérêt des souches hypovirulentes
II.3 - Les moyens agro- techniques
II.4 - Les moyens chimiques
II.4.1 - Les matières actives spécifiques
II.4.2 - Les attractifs sexuels et appâts empoisonnés
II.5 - Les moyens physiques
II.5.1 - Les moyens thermiques
II.5.2 - Les moyens radiobiologiques
B - TRAVAUX DIRIGES & TABLES RONDES THEMATIQUES (6heures + 15heures)
a - Exposés écrits et oraux dirigés sur des thèmes portant sur des aspects de la protection des végétaux
b - Expositions pédagogiques sur la lutte intégrée
1. OBJECTIFS
2. CONTENU DU MODULE
CHAPITRE I : GENERALITES
I.1 - Définition de l'écotoxicologie
I.2 - Différents types de facteurs responsables de la dégradation de l'eau, de l'air et du sol
CHAPITRE II : POLLUTION DES EAUX
II.1 - Pollution des eaux par les métaux lourds
II.1.1 - Effets de la pollution par le plomb sur la faune aquatique
II.1.2 - Action de la pollution due au mercure
II.1.3 - Autres métaux lourds polluants
II.2 - Pollution des eaux par les fertilisants
II.2.1 - Problème des nitrates
II.2.2 - Problème des phosphates
II.3 - Pollution des eaux par les pesticides organiques de synthèse
II.3.1 - Pollution par les herbicides
II.3.2 - Effets des insecticides sur la faune aquatique
II.3.3 - Problème des polychlorobiphényles (PCB)
CHAPITRE III : POLLUTION ATMOSPHERIQUE
III.1 - Inconvénients des pesticides utilisés en aérosols
III.2 - Action des pluies acides sur le milieu
III.3 - Perturbation des cycles biogéochimiques
CHAPITRE IV : POLLUTION DES SOLS
1. OBJECTIFS
2. CONTENU DU MODULE
A. COURS : 15 h