Cours Theorie de Po Rtefeuille
Cours Theorie de Po Rtefeuille
Cours Theorie de Po Rtefeuille
Approche
Moyenne- Variance &
diversification
◼ Travail à faire:
Dans les titres sélectionnés précédemment, simulez une vingtaine
de portefeuille
Placez les sur le graphe et observez la frontière efficiente
apparaître
Dans le meilleur des cas, effectuez une simulation excel de Monte
Carlo sur la pondération dans 100 ou 200 pondérations possibles,
et créez le graphique
Introduisez un actif sans risque et refaites le graphe.
Une action est un titre de propriété d’une entreprise qui détient un patrimoine à des
fins d’en dégager des revenus futurs. Ce patrimoine contient donc un ensemble
d’actifs recensés au bilan de l’entreprise.
Ce patrimoine a été financé par les fonds des actionnaires, les bénéfices non
distribués accumulés au fil du temps, mais aussi par des dettes.
La valeur des actions correspond donc à la différence entre la valeur des actifs et la
valeur des dettes. La valeur d’une action s’obtient en divisant la valeur des actions
par le nombre total d’actions qui composent le capital.
On parle également d’actif net pour désigner la valeur des actions vue sous cet
angle patrimonial.
•Au niveau de l’entreprise, il ‘agit donc des capitaux propres, fonds propres ou
actif net,
•Ramené à une action seule, il s’agit de capitaux propres par action, fonds
propres par action, ou actif net par action
Dominique THEVENIN gestion de portefeuille nov 2010
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Approche patrimoniale
Il s’agit des méthodes les plus robustes et surtout les plus fondées
pour estimer la valeur d’une entreprise.
Elles impliquent néanmoins de déterminer
•Une séquence de flux générés dans le futur, générés par les
investissements et les opérations,
•Un taux d’actualisation applicable à ces flux.
La valeur fondamentale:
Les flux pris en considération sont limités ici aux flux perçus par
les actionnaires, essentiellement les dividendes, et la plus value de
revente. Comme le prix de revente dépend lui-même des
dividendes, on définit la valeur fondamentale d’une action par la
somme de ses dividendes futurs actualisés.
Comme on actualise ici exclusivement des flux vers l’actionnaire, le
taux d’actualisation n’est plus le coût moyen pondéré du capital,
mais le coût des fonds propres, ou encore la rentabilité requise par
l’actionnaire.
Ces deux dernières notions ne sont que les deux faces d’une
même pièce.
Modèles utilisés:
◼ Coefficient de Sharpe (1966):
Sh= Rit −RFt
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