S7.1.3 L'implantation D'un Ouvrage PDF

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Bac pro Travaux publics S7 TECHNIQUES ET PROCEDES DE MISE EN ŒUVRE SS7.

1 IMPLANTATION ET
RELEVES

Fiche Technique FT 7.1.3

L’implantation d’un ouvrage


Définition

En topographie l'implantation est l'art de passer du plan, qu'il soit informatisé ou


papier, au terrain. Il s'agit de matérialiser sur le terrain le tracé, l'axe ou les limites d'un
projet informatique ou papier (route, maison…), mais aussi les cotes altimétriques
permettant de réaliser le futur projet. Les coordonnées des points à implanter peuvent
être calculées au préalable et transférées dans un tachéomètre ou un GPS différentiel
pour faciliter le travail sur le terrain. En planimétrie X et Y serviront souvent de
références, et Z sera ajouté lorsqu’il s’agira de l’altimétrie.

Quelques matériels pour information :

Le tachéomètre est un appareil servant à mesurer les angles


horizontaux et verticaux entre deux cibles, ainsi que la distance de
ces cibles1. Les mesures prises permettent de caractériser un
triangle géodésique, et donc soit d'établir une carte ou un plan, soit de
vérifier la cohérence entre un plan et la réalité du terrain.

Le GPS différentiel (en anglais


Differential Global Positioning System :
DGPS) est une amélioration du GPS. Il
utilise un réseau de stations fixes de
référence qui transmet l’écart entre les
positions indiquées par les satellites et
leurs positions réelles connues. En fait le
récepteur reçoit la différence entre les
pseudo-distances mesurées par les
satellites et les véritables pseudo-
distances et peut ainsi corriger ses
mesures de positions.

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RELEVES

Le niveau optique Appelé aussi lunette/niveau, le


niveau optique est utilisé pour faire des relevés de niveau.
Il est souvent composé d'une lunette optique fixée sur un
trépied. Il est utilisé par l'opérateur pour lire les mesures
sur une règle graduée (mire), qui est tenue par un
opérateur.

Le théodolite est un appareil de nivellement


permettant de travailler en terrain accidenté plus
facilement qu'avec un niveau. Il est formé d'une lunette de
visée avec réticule et de deux cercles gradués: un cercle
horizontal pour la mesure des angles azimutaux et un
cercle vertical pour la mesure des angles verticaux.

L’implantation d’un ouvrage peut se faire de multiples façons en fonction de


la complexité de celui-ci.

En effet on ne pourra pas utiliser une implantation au niveau optique pour


implanter un ouvrage de type autoroute, alors que pour un petit ouvrage ou un report de
point celle-ci sera appropriée.

Implantation d’une voirie Implantation d’un ouvrage d’art

De plus, les techniques peuvent aussi variées en fonction de la précision


demandée.

Les limites d’une plate-forme de terrassement pourra être implantée à l’aide d’une
équerre optique, alors que l’implantation d’une pile de pont ou le contrôle d’une altimétrie
de coffrage se fera au niveau optique, au théodolite ou avec une station géodésique.

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Utilisation d’une équerre optique

On fonction du matériel utilisé on devra prendre en considération les données


suivantes :

 Une implantation sommaire de décapage à l’aide des coordonnées


rectangulaires pourra se faire avec une équerre optique dans le cas de
petits chantiers de terrassements.
 Les coordonnées rectangulaires ou polaires de chaque point seront
calculées ou données par le bureau d’étude avant d’aller sur le chantier en
fonction du type d’implantation choisi.
 Les angles concernant chaque point ont été calculés ou donnés. Ce sont
les gisements.
 Les implantations par coordonnées rectangulaires, polaires ou triangulation
pourront se faire à l’aide d’un théodolite ou d’un niveau optique équipé d’un
rapporteur gradué (implantations moins précises), d’un niveau automatique
ou mieux encore d’une station géodésique.

Enfin, il ne faudra pas négliger la matérialisation de l’implantation soit d’un point


soit de plusieurs points sur un chantier. Elle se fera à l’aide de piquets en bois ou
métalliques ou encore à l’aide de chaises en bois d’implantation. C’est la fonction future
de ce point qui donnera le type de matériaux ou fiche à utiliser.

Piquets métalliques Piquet bois Implantation d’une route

On distinguera deux grandes familles d’implantation

- I - L’implantation de points en planimétrie

- II - L’implantation de repères altimétriques

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I- L’IMPLANTATION DE POINTS EN PLANIMETRIE

Définition :

L’implantation de points en planimétrie consiste à reporter sur le terrain les


indications provenant des dossiers de plans fournis sans tenir compte de
l’altimétrie.

1) L’implantation par alignement

C’est la méthode d’implantation certainement la plus simple à utiliser. En connaissant


deux points, elle permet de matérialiser une droite en positionnant des points intermédiaires
que l’on matérialisera par des fiches, des piquets ou des jalons. Ce type d’implantation peut se
faire soit de façon optique avec une visée à l’œil nu, soit en utilisant un appareil de visée
permettant le positionnement des jalons avec plus de précision ou enfin en utilisant un laser de
visée offrant une très grande précision.

Dans les schémas ci-dessous A et B sont connus et C et D sont les points à déterminer

Visée à l’œil nu

B D
C
A

Visée avec un appareil de visée optique (niveau, théodolite)

Fil à plomb B D
Piquet
C
A

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Visée avec laser, les jalons sont équipés d’un détecteur que l’on déplace
successivement

B D
C
A
L’emploi de jalons impose un contrôle permanent de leur verticalité. En cas de vent fort
ils sont rapidement sujets à sortir de leur axe malgré les trépieds supports. De plus, il est
nécessaire de multiplier le nombre de jalons sur terrains accidentés ou encore pour franchir des
obstacles afin de rendre l’alignement le plus précis possible.

2) L’implantation par triangulation

Cette méthode s’appuie d’une base connue AB dans le schéma ci-dessous, et deux
angles connus qui sont définis par OAB et OBA. On cherchera à implanter O.

A OAB
OBA

Avant l’intervention sur le terrain, il faudra calculer les distances OA et OB en utilisant la


formule et relation trigonométrique suivante :

OA = OB = AB

sinOBA sin OAB sinAOB

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Rappel : la somme des 3 angles dans un triangle = 180 ° ou 200 Gr

Attention aux unités de mesures utilisées sur les données d’un plan et les unités de la
calculatrice.

100 Gr
150 Gr 50 Gr

Cercle trigonométrique pour information

200 Gr 0 Gr 400 Gr

350 Gr
250 Gr
300 Gr
Sur le terrain, on mettra en station l’appareil, un théodolite, sur le point A en visant B
avec une mise à zéro de l’angle. Puis on appliquera une rotation de l’appareil afin d’obtenir en
lecture l’angle OAB.

Fiche

A Sens de rotation jusqu’à obtenir en lecture


l’angle OAB sur l’appareil

B
A l’aide d’un décamètre on positionnera une fiche sur le point O avec un contrôle au
théodolite de la position de la fiche.

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On déplace l’appareil avec une mise en station sur B et une visée sur A. L’appareil est
remis à zéro sur les angles horizontaux. On fait une nouvelle rotation en ouvrant sur la valeur
de l’angle OBA.

Sens de rotation jusqu’à obtenir en lecture


l’angle OBA sur l’appareil

La mesure est prise entre le point B et le point O et un contrôle sur le point avec la visée
verticale du théodolite.

Cette méthode s’apparente à l’utilisation d’un compas avec le théodolite comme appareil
de précision pour les angles horizontaux, et la visée vertical pour le positionnement des fiches
avec précision dans les axes des deux visées sur O.

3) L’implantation par coordonnées rectangulaires

On l’utilise sur des chantiers courants avec toujours un point de référence et une
ligne d’origine connue. Les différents points à implanter sont traités avec des abscisses
et des ordonnées qui prennent leurs origines par rapport au point 0.

On calcul les coordonnées rectangulaires à l’aide des angles du plan d’exécution


déterminés par le point et la ligne de référence ou d’origine connue.

Ces coordonnées rectangulaires sont définie par une distance sur « X » et une
distance sur « Y ».

1,00
4,00

C E F G

B H

5,00
A L J I
2,00 Ligne de référence sur les abscisses

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Sur le plan ci-avant d’implantation de pieux pour une pile de pont, on remarque la
présence des axes sur les abscisses n1, n2, n3, n4 et sur les ordonnées N1, N2, N3, N4.
Sur ces axes 10 pieux sont indiqués par les lettres allant de A à J. Ce type d’exemple est
le plus simple à calculer en coordonnées rectangulaires, en effet il suffit de faire la lecture
des cotes sur les deux repères X et Y pour obtenir les coordonnées des points.

Pour A : Xa= 1.00 et Ya=2.00 et pour B : Xb=1.00 et Yb=5.00 et ainsi de suite…

Toutefois, il n’est pas toujours possible de prendre une ligne de référence qui soit
parallèle aux abscisses ou aux ordonnées dans ce cas il est indispensable de passer par
de calculs préliminaires déterminant, à l’aide des angles, les coordonnées rectangulaires
de chaque point.

Sur l’exemple ci-dessous la ligne de référence est située sur la chaussée existante
et les massifs de pieux sont implantés avec un angle de référence passant O de 45° ou
50Gr.

Les projections des 3 points A,B et C sont matérialisées sur les axes X et Y. Pour
calculer les coordonnées des différents points il faudra les coordonnées partielles d’au
moins 1 point du plan.

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4) L’implantation par coordonnées polaires

Ce type d’implantation est aujourd’hui largement simplifiée par l’utilisation des


appareils modernes qui calculent et mesurent directement les angles et les distances.

Dans le cas d’une implantation de ce type simple (3points) il faudra utiliser les
coordonnées polaires afin de déterminer à l’avance les gisements et les angles
d’implantation. Puis sur le terrain, à l’aide d’un théodolite, on implantera en mettant en
station sur chaque point les deux autres points manquants.

II- L’IMPLANTATION DE POINTS EN ALTIMETRIE

Définition :

En complément de l’implantation en planimétrie, l’implantation en altimétrie vise à


matérialiser sur des piquets, des ouvrages provisoires ou définitifs ou des matériels un
trait représentant une cote altimétrique issue d’un dossier technique d’exécution. Ce trait
sera accompagné de la cote altimétrique de chantier ou la cote NGF, qui sera inscrite au
dessus du trait sur le piquet.

Le point de référence sur un chantier est souvent donné et implanté par le géomètre de
l’entreprise ou le géomètre indépendant en charge du dossier. Il ne peut pas être changé ou
déplacé sans son accord. En cas de destruction du piquet ou de déplacement par un engin de
chantier, le géomètre doit ré-intervenir afin de définir un nouveau point de référence
altimétrique pour le chantier. Tous les autres points altimétriques du chantier partent de ce point
de référence.

On place ainsi sur le chantier plusieurs bornes ou repères de nivellement qui doivent être
répartis sur l’emprise du chantier et positionnés de sorte qu’ils restent en place pendant la
durée des travaux. Le plus simple est de niveler les points qui servent aussi de référence en
planimétrie.

Sur le chantier on distinguera 4 types d’implantations en altimétrie

1- Le report d’un point à la règle et au niveau

2- La pose d’un trait de niveau

3- Le nivellement de chaises d’implantation ou de piquets

4- L’utilisation des lasers

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1- Le report d’un point à la règle et au niveau

Le report d’un point à l’aide d’un niveau et d’une règle peut être considéré comme
l’implantation d’un nouveau point. Il se limitera à une distance n’excédant pas souvent 5 m,
qui représente la longueur maxi des règles aluminiums utilisées sur les chantiers.

Cette technique demande l’intervention de deux opérateurs sur le chantier afin de ne


pas faire bouger le piquet de référence

A B
A Piquet avec altitude de référence B Piquet de chantier pour le report de l’altitude

Le premier piquet en A ayant le point altimétrique soit au dessus du piquet soit


matérialisé par un trait sur le coté sert de référence pour positionner la règle.

Le niveau de chantier est posé sur la règle et le deuxième opérateur monte ou


descend la règle jusqu’à la mettre de niveau. Puis un trait de référence est tracé sur le
piquet B au dessus de la règle ou en dessous en fonction sa position sur le piquet A.

2- La pose d’un trait de niveau

Les repères de nivellement servent d’origine à des cheminements courts ou à des visées
directes permettant de placer des repères d’altitude en cotes entières appelés traits de niveau.
On les réalise au cordeau traceur sur des murs existants, des piquets, etc.

Dans la figure ci-dessous on montre comment réaliser l’implantation du trait de niveau à


+110,00 m sur un mur existant.

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En première phase on met en station le niveau à mi-distance entre le mur ou l’ouvrage et


le repère altimétrique « A » le plus proche. Puis on vise une mire en « A » et l’on en déduit
l’altitude du plan de visée

Hplan de visée = HA + Lmire


Dans cet exemple, HP = 107,94 + 1,78 = 109,72 m.

L’opérateur vise ensuite le mur sur lequel un aide déplace un mètre de poche jusqu’à ce
que l’opérateur lise la graduation 28 cm (110 –109,72) sur le mètre. L’aide place alors un trait
sur le mur. On répète la dernière opération plus loin et l’on joint les deux repères au cordeau à
tracer pour obtenir le trait de niveau.

3- Le nivellement de chaises d’implantation ou de piquets

Il est intéressant de disposer sur tous les piquets d’un ouvrage nécessitant la mise en
place de chaises d’implantation comme un bâtiment, les parties inférieurs d’un pont, et tout
autre ouvrage génie civil, un trait de niveau et de régler les chaises à la même altitude pour
éviter ainsi les erreurs dans les reports de distance dues aux différences d’altitude.

Les piquets (ou les chaises) étant en général sous le plan de visée, on ne peut pas y
poser facilement un mètre de poche. On nivelle donc le sommet du piquet par un nivellement
par rayonnement avec visée arrière sur un point de référence du chantier et l’on reporte au
mètre de poche le trait de niveau sur le piquet ; s’il s’agit d’une chaise, on répète cette opération
pour les deux piquets, on viendra serrer, clouer ou visser la planche horizontale de la chaise.

Exemple de chaises pour l’implantation d’un ouvrage sur talus

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Sur la figure ci-dessous le repère A est à l’altitude HA= 107,94 m. On place une mire sur
A (LA = 1,78 m) puis sur le piquet P1 (LP1 = 1,66 m). L’altitude de la tête du piquet est donc
HP1 = 107,94 + (1,78 – 1,66) = 108,06 m.

On désire placer les chaises à l’altitude 108,00 m. On trace donc un trait de niveau situé
à 6 cm sous la tête du piquet. Les 6 cm sont le résultat du calcul 108.06- 108.00.

Après avoir fait la même chose pour l’autre piquet, on fixe la planche horizontale de la
chaise à l’aide de vis qui éviteront de faire trop bouger la chaise au moment de la fixation.

Chaise mixte bois et métal Chaises bois sur angle de terrassement

Dans le cas de piquets isolés, on utilisera la même méthode sans mettre en œuvre de
latte horizontale. Les informations sur les piquets devront claires et bien écrites au feutre
permanent.

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Au besoin, un opérateur ou responsable contrôlera pendant la durée du chantier la


lisibilité des informations.

Piquetage limite de chaussée futur Piquet avec information altimétrique

Dans d’autres cas, les piquets de terrassements pour des remblais ou nivellements n’ont
pas besoin de porter les informations altimétriques, ils servent en effet à matérialiser des
hauteurs de remblais par exemple et auront été implantés en tenant compte de la limite de la
couleur rouge avec le bois. La couleur rouge restera toujours visible pour les conducteurs
d’engins et servira à alerter de la proximité du piquet de référence, mais aussi des limites du
terrassement à réaliser.

Piquet bois Chaise d’implantation pour talus

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5- L’utilisation des lasers

Un laser émet un faisceau lumineux qui se disperse très peu : le diamètre du faisceau
lumineux émis est de l’ordre du millimètre à 100 m, et permet donc de matérialiser un axe (laser
fixe) ou un plan (laser tournant).

A savoir :

 En projetant l’émission du laser fixe sur un obstacle, on obtient un point


d’alignement
 En projetant l’émission du laser tournant sur un mur, on obtient un trait de niveau
 On peut aussi incliner le laser pour obtenir des lignes de pente donnée jusqu’à
des contrôles de verticalité.

Après avoir déterminé l’altitude de la station de l’appareil, on peut l’utiliser pour


remplacer le trait de niveau ou pour matérialiser un alignement. Les opérations de nivellement
peuvent alors être réalisées par un seul opérateur.

Mode opératoire courant

1. Positionner le niveau laser au niveau du sol sur un trépied si


possible avec manivelle de réglage en hauteur, pour que ce
dernier puisse être le plus stable.

2. Allumer le niveau laser

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3. Positionner le faisceau sur le point


altimétrique de référence (dans le cas
d’un trépied avec manivelle de réglage)
en utilisant soit la cellule de détection
dans les endroits lumineux, soit par une
lecture du faisceau visuel direct.

4. Mesurer la différence entre le faisceau et le point altimétrique de référence


dans le cas d’un trépied fixe
5. Reporter la distance mesurée sur les points altimétriques créés, ou
contrôler les niveaux de terrassements avec cellule de détection fixée sur
la mire.

Contrôles de niveaux sur chantiers de terrassements

Pour information :

Le laser peut être aussi utilisé pour guider directement des engins de réglage de
terrassements avec des capteurs spécifiques de réceptions placées sur les lames, permettant
au conducteur d’engin de monter ou descendre sa lame en fonction du niveau demandé par le
laser.

On ne parlera plus de laser d’implantation mais de laser de guidage.

Bouteur et petit chargeur équipés de cellules de détection

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