Historique
Historique
Historique
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Depuis la nuit des temps, l’homme a été obligé de se confectionner des outils pour percer des trous, que ce soit pour, par
exemple, fabriquer une flûte à partir de l’os d’un animal, ou encore pour créer des vêtements à partir de peaux. C’est à partir
d’outils préhistoriques, en silex la plupart du temps, que sont nées les perceuses que nous connaissons
aujourd’hui. Conseils Outillage vous propose un voyage dans le temps pour comprendre comment l’humanité est passée
d’un simple caillou à l’utilisation de perceuses électriques performantes.
1_Le vilebrequin
Né au XVe siècle, le vilebrequin était un outil manuel composé d’une manivelle sur laquelle on fixe une mèche en métal. Il
était utilisé principalement par les menuisiers et les charpentiers, qui lui préfèrent de nos jours la perceuse électrique, même
si certains continuent à utiliser cet outil.
4_DEFINITION
C'est l'action de percer un trou à l'aide d'un outil de coupe en bout, que l'on nomme « foret ». L'opération s'effectue
par rotation et le mouvement est engendré par une machine-outil appelée « perceuse ».
5_PRINCIPE DE FONCTONNEMENT
La perceuse est l'outil électroportatif le plus répandu au sein des foyers. Que ce soit pour la maison ou l'atelier, pour
le bricolage ou l'usinage, la perceuse se décline sous de nombreuses variantes selon son mode de fonctionnement,
ses capacités et ses performances. Avant d'acheter ou de louer une perceuse, il est important de savoir quelle
perceuse choisir pour quelle utilisation et quel mode de fonctionnement est le plus adapté à la perceuse que l'on
souhaite utiliser ponctuellement ou couramment. Entre perceuses portatives et perceuses d'atelier, un comparatif
des perceuses manuelles, électriques et pneumatiques.
Le principe de fonctionnement d'une perceuse est toujours le même : un foret ou une mèche à bords tranchants est
maintenu dans un mandrin qui est entraîné en rotation. Le mouvement circulaire des bords tranchants du foret ou
de la mèche coupe le matériau au fur et à mesure de la progression en profondeur. Au résultat, le foret ou la mèche
a pratiqué dans le matériau un orifice circulaire au diamètre du foret ou de la mèche.