Fiche 3 2
Fiche 3 2
Fiche 3 2
Fiche 2
L’ÉLABORATION,
LA FORMULATION
ET LA PASSATION
DE LA CONSIGNE
2
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LIVRET THÉMATIQUE III FICHE 2
La consigne de travail
(élaboration, formulation, passation)
Livret thématique Sous-thèmes Phases Activités
Phase 1
Livret thématique III Fiche 2 Analyse des 1 activité
La consigne de représentations
Organisation et travail
gestion des savoirs (élaboration,
formulation, Phase 2
passation) Analyse des 1 activité
pratiques
Phase 3
Conception de 3 activités
nouvelles pratiques
Tableau diagnostic
Diagnostic à l’origine de la
fiche III.2 et de la formation Formulation des consignes existantes peu claire
sur les consignes
En éducation scolaire, la consigne est un thème récurrent au niveau des exercices, des
devoirs, des examens. Elle est l’un des facteurs déterminants de réussite ou d’échec, tant
son utilisation imparfaite ou sa formulation inadaptée sont causes de non-compréhension
ou d’insuffisante explicitation. Bien formulée, la consigne permet aux élèves de savoir ce
qu’il convient de faire et de l’accomplir convenablement. Mal formulée, elle constitue un
obstacle à l’apprentissage.
Objectif : amener les formés à élaborer, mieux formuler et passer correctement les
consignes de travail à l’école primaire.
Activité 1
Tri d’énoncés proposés aux élèves-maîtres
3.Une injonction à faire un exercice en donnant à l’élève les moyens pour le faire
et des renforcements positifs
9. Donner des recommandations écrites pour exécuter plusieurs travaux à la fin d’une séance
10. Une passation d’ordres en vue de capter l’attention de tous les élèves
11. Une instruction suivie de multiples explications méthodologiques pour accomplir une tâche
14. U
n énoncé définissant clairement la nature du travail attendu des élèves
sous forme d’injonction
Travail individuel
A. Dans la liste de ces seize items, choisissez successivement à propos de la consigne :
- Celui auquel vous adhérez totalement, dont vous noterez le numéro dans la grille jointe dans la
case supérieure affectée du coefficient + 2 ;
- celui dont vous êtes le plus éloigné, dont vous noterez le numéro dans la grille jointe dans la case
inférieure affectée du coefficient - 2 ;
- les quatre items auxquels vous adhérez, que vous placerez dans la ligne affectée du coefficient +
1 (ils sont pour vous moins importants pour comprendre la consigne que l’item + 2, et ils ne sont
pas neutres comme les six en dessous) ;
- les quatre auxquels vous n’adhérez pas, que vous placerez dans la ligne affectée du coefficient - 1
(qui ne sont pas pour vous aussi éloignés de votre conception de la consigne que celui noté - 2,
et qui ne sont pas neutres comme les six au-dessus) ;
- les six items (auxquels vous n’adhérez pas, sans les rejeter), que vous placerez dans la ligne
affectée du coefficient 0.
B. Dans un second temps, justifiez les items choisis (+ 2 et + 1) correspondant pour vous à une
consigne de travail, et dégagez lesquels sont, selon vous, les caractéristiques constitutives d’une
consigne de travail.
+2
+1
-1
-2
Travail en groupe
Consignes :
A. Par groupes de quatre à cinq formés, échangez sur les items choisis par chacun de vous
en explicitant vos choix, et construisez ensemble une seule grille par groupe.
B. Dégagez, en confrontant vos choix et à partir de vos échanges, les différents critères
d’une bonne consigne de travail.
Le formateur peut préciser que ce qui est intéressant, c’est la discussion et les arguments échangés,
et la justification des choix, et non un traitement arithmétique des grilles individuelles.
+2
+1
-1
-2
Consigne
Sur le tableau, on peut récapituler les résultats des différents groupes, comme ci-dessous.
Cotation + 2
Cotation + 1
Cotation
neutre
Cotation - 1
Cotation - 2
Total
Chaque participant perçoit ainsi comment ses représentations de la consigne se situent par rapport à celles
de l’ensemble des participants.
Le formateur perçoit, lui, quels sont les accords et les désaccords dans le groupe, puisqu’il arrive que
le même item puisse être considéré comme le plus important ou le mois important. De là, le formateur
engage une discussion où il convient d’entendre les différents points de vue, afin de les confronter pour
terminer par des apports extérieurs (cf. les documents théoriques en fin de fiche).
Le formateur conduit les formés à distinguer les catégories en jeu dans ces représentations.
Le tableau ci-après propose une catégorisation possible, mais il peut exister d’autres classements.
Prolongements possibles :
Il peut être demandé aux participants :
- de proposer d’autres items ;
- de proposer une autre catégorisation des items.
Travail de groupes
Synthèse, structuration, production écrite par les formés.
A. Concevez, par groupe, un document de consensus sur ce que sont pour le groupe les éléments
constitutifs d’une consigne de travail appropriée : types, indicateurs, critères de formulation
et de passation.
B. Décrivez ce que la compréhension de ces consignes de travail exige pour l’élève, les stratégies
pour lire et comprendre une consigne (en termes de difficultés de compréhension orale ou écrite).
Ce temps de synthèse peut s’appuyer à la fois sur vos expériences, les travaux des groupes et les échanges
antérieurs, ainsi que sur la lecture des différents documents pédagogiques ci-après remis par le formateur
et analysés dans les groupes.
Cette phase I se termine par un consensus à propos des éléments constitutifs de la consigne de travail
donnée à l’élève au début des activités. Il n’y a pas à proposer ici une définition univoque.
Attention, toutefois, à ce que la consigne :
l ne s’apparente pas à un ordre à exécuter sans que les élèves n’en comprennent le sens ;
l nià une simple question ou une règle de fonctionnement (prenez les cahiers, levez les ardoises)
ou un rappel à l’ordre (taisez-vous).
Pour quoi et pourquoi faire ce que le maître demande de faire est aussi important que le comment le faire.
Et, par ailleurs, un renforcement positif sous la forme d’un encouragement (vous devez y arriver, c’est à
votre portée, allez-y, ayez confiance…) peut être utile.
Pour conclure cette première phase, le formateur peut faire réfléchir les formés aux liens entre la forme
des consignes et les choix pédagogiques et didactiques de l’enseignant.
Documents qui peuvent permettre d’éclairer différentes conceptions de la nature et de la fonction d’une consigne de
travail, et sur lesquels peuvent s’appuyer les groupes de travail. Chaque formateur peut retenir quelques-uns de ces
documents.
Pour LE DICTIONNAIRE DE PÉDAGOGIE Larousse, Bordas, 1996
La consigne, c’est le fait, « pour l’enseignant, de donner aux élèves les indications qui leur permettront d’effectuer,
dans les meilleures conditions, le travail qui leur est demandé : objectif de la tâche, moyens à utiliser, organisation (en
particulier temps qui leur est imparti), sécurité… Les critères d’évaluation doivent être également clarifiés dès le départ ».
Pour Jean-Michel Zakhartchouk
« Un exercice scolaire est un texte injonctif qui demande à l’élève de procéder à une opération précise pour aboutir au
résultat souhaité, afin de vérifier qu’il a acquis une connaissance et qu’il maîtrise un savoir-faire, qu’il est capable de
transférer dans une situation nouvelle. » Selon lui, il existe quatre formes de consignes :
l les consignes orales : levez le doigt pour répondre à cette question ;
l les consignes sous forme de dessins, de schémas, d’animations ou de photographies, afin de réaliser un montage
ou une manipulation.
Pour Françoise Raynal et Alain Rieunier
CONSIGNE : Ordre donné pour faire effectuer un travail. Énoncé indiquant la tâche à accomplir ou le but à atteindre.
« Concevoir une consigne de travail est une activité qui mérite une très grande attention, car de la qualité de la consigne
dépend en partie la qualité du travail effectué. De plus, une même consigne peut être interprétée différemment par plu-
sieurs individus : la lecture d’une consigne active des mécanismes de compréhension et d’interprétation qui permettent
Pour s’assurer de la clarté d’une consigne, il faut essayer de vérifier si elle répond aux questions Qui ? Quoi ? Quand ?
Où ? Pour quand ? Comment ? Pourquoi ? Pour vérifier qu’une consigne a bien été comprise, il faut la faire reformuler,
éventuellement plusieurs fois : le contrôle du feed-back est indispensable dans toute bonne communication. S’il s’agit
d’une consigne de travail rédigée (tâche précise à effectuer), nous ne connaissons aucune autre validation possible que
celle de l’expérimentation (analyse de l’interprétation des consignes à l’issue de l’activité). »
Des consignes buts (elles précisent la nature d’une tâche à réaliser ou d’une activité à accomplir).
Exemples :
l Notez les verbes présents dans le texte écrit au tableau.
l Les trois graminées que je vous ai demandé de rapporter seront différentes en taille ou en nature.
l Vous rapporterez les trois graminées avec leur nom, que vous aurez demandé autour de vous.
l Comptez les angles droits présents dans la classe en regardant du sol au plafond.
l Faites silence.
l un énoncé clair, explicite, compréhensible de la tâche, passé dans le silence établi par l’enseignant (attention des
élèves), avec des compléments méthodologiques (comment faire) et des compléments affectivo-motivationnels
(rassurants, valorisants, du type « vous savez ou vous pouvez le faire, c’est déjà vu… »…) ;
l lesconsignes qui engagent peu les élèves sur une tâche et ne facilitent pas la réalisation de la tâche sont vagues,
passées dans la confusion, le bruit, et sans compléments méthodologiques ni affectifs.
« Les consignes sont trop rarement explicitées, alors qu’elles exigent pour l’élève une stratégie parfois complexe.
Il s’agit pour l’enseignant de former l’élève à la lecture et à la compréhension des consignes, et en effet :
l de rechercher les liens entre la tâche à faire et la leçon, ou les notions qui sont objet d’évaluation ;
l repérage du vocabulaire : identifier les verbes, mots spécifiques des consignes dans une discipline.
l Distinction consignes/données :
l faire élaborer aux élèves une fiche méthodologique pour lire et comprendre les consignes ;
l guide méthodologique ;
Activité 1
Travail individuel
Consigne :
B. Dans le verbatim, identifiez les différentes consignes contenues dans cette leçon
sur l’enseignement du vocabulaire dans une classe de CM2.
Consignes :
B. Présentez aux membres de votre groupe les consignes identifiées, ce qui est de l’ordre de la
question de rappel, de compréhension ou de vérification, de l’ordre de la règle de
fonctionnement, du rappel à l’ordre.
E. Dégagez de façon consensuelle pour votre groupe les différents types de consignes repérés.
Après le travail de mise en commun au niveau de chaque groupe, on procède à une synthèse
générale des travaux des différents groupes. À cette étape, le formateur apporte ses contributions
(précisions, rectifications, réajustements, etc.) pour enrichir les différentes productions en citant
ses sources.
Contexte
Séance/activité : français / vocabulaire usuel
Heure : de 9 h 04 min à 9 h 20 min – 64 élèves
Objectif de la séance donné au début de la séance par l’enseignant :
« Améliorer le vocabulaire des élèves par de nouveaux mots.
Connaître le sens de ces mots et savoir les employer dans des phrases.
Savoir bien prononcer. »
Consigne sémantiquement
Ligne 50 à quelle période incorrecte, car il n’y a pas
les animaux Question de de période précise où les À reformuler
assouvissent-ils connaissance animaux assouvissent leur
leur faim ? faim.
Activité 1
Consignes :
Travail de groupes
Rédigez une fiche de préparation pour une nouvelle leçon de vocabulaire usuel avec une approche
active portant sur trois mots de votre choix, en utilisant différents types de consignes. Cette leçon
sera conduite avec des élèves de CM2.
Ensuite, travail collectif de mise en commun et confrontation des fiches de préparation des
différents groupes.
À cette étape, le formateur apporte des contributions (précisions, rectifications, réajustements, etc.)
pour enrichir le travail des élèves-maîtres.
Cet apport peut être la mise à disposition aux élèves-maîtres de l’exemple de fiche ci-dessous, présentant
la même leçon de vocabulaire avec des consignes bien formulées.
Activité 2
Démarche du formateur : faire reconstruire le verbatim d’une séance avec des consignes correctement
formulées et passées, pour mettre en activité les élèves sur des tâches de réflexion et avec une approche
active et interactive, et non un strict questionnement.
Consigne :
Travail de groupes
Complétez le tableau ci-dessous pour aider les élèves à lire, comprendre, s’approprier une consigne
de travail.
PISTES DE RÉFLEXION
Quand un élève dit qu’il ne comprend pas ce qu’il a à faire
PISTES DE RÉFLEXION
Quand un élève dit qu’il ne comprend pas ce qu’il a à faire
Il ne sait pas choisir la bonne méthode, Faire réfléchir sur les bonnes stratégies à
planifier les tâches ; il ne sait pas par où adopter en groupes, regarder l’élève faire et lui
commencer. faire expliciter ses choix, et en discuter avec lui.
Des indicateurs qui peuvent vous aider à Des écueils à éviter lors de la formulation des
élaborer une consigne avec plus de précision : consignes :
- Pourquoi ce travail ? - consignes complexes
(l’intérêt pour l’élève) (deux ou plusieurs propositions, à éviter les premiers
- Quoi faire ? temps)
(ce que l’élève doit être capable de réaliser) - choix de verbes mentalistes
- Comment faire, avec quoi ? (manquent de précision et peuvent induire en erreur)
(dans quelles conditions matérielles, le temps imparti...) - mots polysémiques
- Jusqu’où, quel degré d’achèvement (porteurs de plusieurs sens d’une discipline à une
ou de réussite ? autre)
(ce qu’il faut faire pour que le travail soit considéré
comme « terminé » et conforme au but, nombre de
réponses acceptées, type de justifications…)
Des écueils à éviter lors de la passation des
Des indicateurs qui peuvent vous aider à passer consignes :
une consigne dans de bonnes conditions :
PROPOSITIONS
La formulation et la passation d’une consigne de travail appropriée sont d’une très grande importance
pour tout enseignant ou formateur. Il est rare, voire surprenant dans le cadre d’un apprentissage ou d’une
formation, qu’une consigne mal comprise, parce que mal formulée, amène l’apprenant à une production
réussie. Un enseignant qui ne maîtrise pas la formulation et la passation des consignes de travail place
inévitablement ses élèves sur le chemin d’un hors sujet ou de l’absence de réponse, donc de l’échec. Pour
pallier cette difficulté, il est nécessaire pour les formés de connaître les critères qui guident la bonne
formulation et la passation des consignes de travail, et de leur donner les moyens d’apprendre à leurs
élèves à lire et à comprendre les consignes.
À son tour, un formateur qui se rend attentif à la formulation de ses consignes d’activités est un formateur
qui place ses étudiants dans des situations d’investigation, soucieux de faire de ses interventions des
moments de réflexion, de recherche, de réflexivité. Il se comporte dès lors comme il souhaite que ses
élèves-maîtres se comportent avec leurs élèves futurs. La boucle de la cohérence entre temps et processus
de formation, et temps et processus de futurs apprentissages des élèves, est bouclée.
Il s’agit de mettre à la disposition des formés un contenu théorique et des références bibliographiques pour renforcer leur
maîtrise de l’élaboration, de la formulation et de la passation de la consigne, ainsi que la lecture et la compréhension
des consignes chez les élèves.
Selon Le Petit Larousse illustré, édition 2011, « la consigne peut se définir comme une instruction formelle donnée
à quelqu’un qui est chargé de l’exécuter ».
Jean-Michel Zakhartchouk distingue quatre formes de consignes :
Dans un autre contexte, elle est aussi définie comme un commandement strict donné à un militaire, un gardien, lui
précisant ce qu’il doit faire. Elle est un ordre que l’on donne à quelqu’un, un règlement à respecter.
Concevoir une consigne de travail est une activité qui mérite une très grande attention, car de la qualité de la
consigne dépend en grande partie la qualité du travail effectué. La lecture d’une consigne active des mécanismes de
compréhension et d’interprétation qui permettent au sujet de construire une représentation de la tâche ou du but à
atteindre. Si cette représentation n’est pas adéquate, la tâche ne sera pas exécutée correctement. La problématique de la
compréhension des énoncés est une question centrale de la psychologie cognitive. S’il s’agit d’une consigne de travail
rédigée, c’est-à-dire une tâche précise à effectuer, il faut la valider à travers une expérimentation. Tel est l’esprit de
Françoise Raynal et d’Alain Rieunier – Pédagogie : dictionnaire des concepts clés ESF éditeur – 1997.
Pour la formulation d’une consigne de travail, il est exigé de la rigueur dans le vocabulaire utilisé. À titre d’exemple,
un enseignant dit à ses élèves : « On ne peut avoir d’enfant que lorsqu’on est grand. » Un élève lui pose alors cette
question : « Les nains peuvent-ils avoir des enfants ? » Il faut en effet établir la différence entre grand et âgé.
En général, les verbes mentalistes manquent de précision. Il faut, dans la formulation des objectifs, les remplacer par
des verbes exprimant des comportements plus clairs et plus précis. Ainsi, « comparer » pourrait par exemple devenir
« noter les éléments identiques et les éléments différents » (Gérard de Vecchi – Aider les élèves à apprendre – Ed/
Éducation - 2000)
l focalise l’attention de l’apprenant sur ce qui est important en fonction de l’objectif poursuivi ;
l est précise tout en restant ouverte, mais de façon à ne pas communiquer le résultat ;
l est restrictive en ce sens qu’elle doit mobiliser des connaissances bien précises chez l’élève.
Dans une consigne, il faut accorder de l’importance à la particule interrogative : où, quand, pourquoi, qui, que,
comment, quel, etc.
Quant à la question, elle est une demande que l’on adresse à une personne en vue d’apprendre quelque chose venant
d’elle. En d’autres termes, elle peut être comprise comme une demande d’information adressée à un apprenant pour
juger son degré de maîtrise d’un apprentissage. Elle pourrait avoir pour synonyme l’interrogation. La question peut être
écrite ou orale, individuelle ou adressée à un groupe d’apprenants.
En analysant ces définitions, on peut donc déduire que la consigne est différente de la question, quand bien même,
dans certains cas, elle se présente sous forme de question.
Pour que la passation des consignes se fasse avec succès, il faut qu’elles soient bien formulées, qu’elles captent
l’attention des élèves, qu’il y ait un climat de confiance, avec des éléments affectifs, rassurants, valorisants, motivants.
Ex. : « c’est facile, vous l’avez déjà fait… » Il faut ajouter à tous ces principes l’appui méthodologique, une
information sur le « comment faire la tâche ».
En d’autres termes, il s’agit de mettre l’élève sur la piste, de l’engager dans la tâche ; on peut faire usage soit du procédé
de reformulation de la consigne par les élèves, soit du procédé de relance des questions lorsqu’elles ne sont pas bien
comprises.
Il est essentiel pour l’enseignant de s’assurer que la consigne de travail est comprise.
Ces techniques favorisent la compréhension et la maîtrise des consignes, et, par conséquent, des réponses adéquates
de la part des élèves aux tâches demandées.
l Altet,M., Bru, M., Bressoux, P., Lambert, C. (1996), Étude exploratoire des pratiques d’enseignement en classe
de CE2. Paris : les dossiers d’éducation et de formation n° 70
l Astolfi, J.-P. et coll. (1997), Pratiques de formation en didactiques des sciences. Bruxelles : de Boeck
l Zakhartchouk, J.M. (1987), Avec la collaboration de Florence Castineaud, Lecture d’énoncés et de consignes.
Amiens : CRDP (scanné)
l Zakhartchouk, J.M. (1996), Comprendre les énoncés et les consignes. Dans Pratiques, n° 90, juin 1996,
pp. 9 à 25