Pathologie Animale

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SUJETS D’EXAMENS DE SAV 345 : PATHOLOGIE ANIMALE

ESA / UL

EXAMEN SAV 345 : PATHOLOGIE ANIMALE 2008 – 2009


Utiliser obligatoirement la grille de réponses fournie, ramasser obligatoirement
le sujet avec la grille de réponses, cocher la ou les case (s) correspondant aux
bonnes réponses, une mauvaise réponse vaut -1 point.

Exemple : Les bonnes réponses de la question numéro 20 sont les propositions :


Numéro a b c d e
20   

1- Une maladie M fait sa répartition dans une zone qui compte 5 000 000 de
bovins. On a enregistré à la première année 3 000 malades dont 1 000 morts.
a) La morbidité est alors de 0,6 %
b) La morbidité est alors de 0,8 %
c) La mortalité est alors de 0,2 %
d) La mortalité est alors de 0,02 %
e) La létalité est alors de 2,3 %
2- La fièvre
a) Dans la pathologie de la fièvre, les neurones froids sont activés
lorsque la température baisse et entraine une augmentation de la
thermogénèse.
b) Un analgésique est médicament utilisé pour combattre la fièvre.
c) Au cours de la fièvre il y a baisse de la thermogénèse.
d) La fièvre peut être une réaction salutaire et par conséquent ne doit pas
être traitée.
e) Le clocher thermique est classé dans les courbes continues.
3- Diagnostic
a) La goutte épaisse est une méthode de diagnostic indirect.
b) La sérologie est une méthode de diagnostic indirect.
c) La méthode de diagnostic indirect est mieux adaptée dans la mise en
évidence d’une infection active.
d) La méthode de diagnostic direct est mieux adaptée dans la mise en
évidence d’une infection active.
e) Le diagnostic clinique est un diagnostic de suspicion.
4- Vaccin
a) Les vaccins vivants modifiés sont des vaccins inactivés.
b) Le vaccin antirabique FLURY LEP est un vaccin inactivé.

PAR STANISLAS APELETE LOUMON, 92 99 99 33 1


c) Le vaccin antirabique FLURY LEP est un vaccin vivant atténué.
d) Les vaccins inactivés tués sont moins efficaces que les vaccins
vivants.
e) Les vaccins vivants sont moins efficaces que les inactivés tués.
5- Epidémiologie
a) OIE : Organisme International des Epizooties.
b) Létalité : Nombre de morts x 100 / Nombre de malades.
c) Létalité : Nombre de sujets malades x 100 / Nombre de sujets morts.
d) Une épizootie peut être une zoonose.
e) OIE : Organisme International des Epizooties.
6- La rage
a) La rage est une zoonose majeure causée par une bactérie.
b) Un chien mordeur suspect de rage doit être abattu.
c) Le corps de Negri est un signe clinique pathognomonique de la rage.
d) L’agent pathogène responsable de la rage canine peut être excrété
dans la salive avant la manifestation des premiers signes cliniques.
e) La transmission de la rage d’un chien à l’homme se fait uniquement
par morsure.
7- La prophylaxie
a) La prophylaxie médicale a pour objectif de détruire les agents
pathogènes partout où ils se trouvent essentiellement dans le milieu
extérieur.
b) La prophylaxie sanitaire est facile à mettre en œuvre dans le cas des
maladies virales et aussi pour des maladies bactériennes à germes
saprophytes.
c) L’immunisation passive repose sur l’utilisation des vaccins.
d) Il y a possibilité de réversion de la virulence avec les vaccins vivants
modifiés.
e) La chimio-prévention est une méthode de prophylaxie médicale.
8- Connaissances générales
a) Une otite est une inflammation du nez.
b) La lyophilisation est une dessiccation à haute température.
c) En épidémiologie, la connaissance du réservoir rend difficile les
mesures de lutte.
d) L’agent pathogène du paludisme est l’anophèle femelle.
e) La glossine est un agent vecteur des trypanosomoses animales.
9- Connaissances générales
a) Le volume du prélèvement est indépendant de l’examen demandé.
b) Pour l’obtention du plasma, on utilise des tubes de prélèvements sans
anticoagulant.
c) Le plasma est du sérum privé de fibrinogène.

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d) Le diagnostic différentiel est un élément important du diagnostic
clinique.
e) Le diagnostic sérologique est un diagnostic indirect.
10- Connaissances générales
a) Le charbon bactéridien est un exemple de maladie focalisée.
b) Le charbon bactéridien est un exemple de maladie tellurique.
c) L’épidémiologiste cherche également à vérifier l’efficacité des
mesures mises en œuvre dans la lutte contre les maladies.
d) Le diagnostic anatomoclinique est un diagnostic de certitude.
e) L’épidémiologiste doit intégrer l’approche médicale, écologique et
mathématique pour pouvoir tirer des conclusions fructueuses.

GRILLE DE REPONSES AUX QUESTIONS


Numéro d’anonymat sur 20
A ramasser avec le sujet. Une grille de réponses sans le sujet mérite la note 0 sur
20. Le candidat ne doit pas écrire son nom sur la grille de réponses.

a b c d e
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10

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DEVOIR SAV 345 : PATHOLOGIE ANIMALE 2009 – 2010

Question I
La fièvre est une hyperthermie d’origine centrale due à un dérèglement du
thermostat. Elle est associée à des signes et symptômes dépendant de ce
dérèglement et de l’agent agresseur.
Les différentes courbes thermiques.

Question II
a) Qualités d’un bon vaccin.
b) Avantages d’une immunisation passive.

Question III
Chaque barre de la figure ci-dessous représente un épisode de la maladie M.
Chaque ligne représente un sujet de la population considérée qui comprend 20
sujets. Calculer pour la maladie M, en 1999 :
a) L’incidence ………………………………………………………………...
b) La prévalence ………………………………………………………………

c) A supposer qu’une enquête soit menée le 1er juillet 1999, quelle serait la
prévalence de la maladie.

Figure : Episodes de la maladie M dans un groupe

Calculer l’incidence et la prévalence de cette maladie au premier semestre et pour


toute l’année examen 2018.
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EXAMEN SAV 345 : PATHOLOGIE ANIMALE 2009 – 2010

1- La fièvre est une hyperthermie d’origine centrale due à un dérèglement et de


l’agent agresseur. Quel est le rôle de la fièvre dans les maladies infectieuses ?
2- Définir : Porteur chronique – Diarrhée – Analgésique – Lyophilisation.
3- Immunisation active conférée par les vaccins vivants modifiés : Définition –
Méthodes d’atténuation – Avantages – inconvénients.
4- Méthodes générales de diagnostic dans les maladies infectieuses : Définir en
indiquant les différents aspects de ces méthodes.
5- En épidémiologie, plusieurs voies d’approche sont possibles mais
l’épidémiologiste doit intégrer l’ensemble de ces voies pour pouvoir tirer des
conclusions minutieuses.
Citer et définir en quelques mots ces différentes voies d’approche.

EXAMEN RATTRAPAGE SAV 345 : PATHOLOGIE ANIMALE 2009 –


2010

1- La fièvre
a) Définition
b) Rôle dans les maladies infectieuses.
2- Définition de la diarrhée.
3- Une région compte 30 000 têtes de bovins. Une maladie X a entrainé chez cette
espèce animale 10 000 morts et 5 000 interruptions de gestation.
Calculer la mortalité, la morbidité et la létalité.
4- Répondre par Vrai ou Faux :
a) Une otite est une inflammation du nez ?
b) Un antalgique est un produit qui lutte contre la fièvre ?
5- La prophylaxie sanitaire.
a) Définition
b) Citer quatre (4) facteurs rendant la mise en œuvre de la prophylaxie
difficiles sanitaire.
c) Les différentes mesures de prophylaxie sanitaire.

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6- Un vaccin est une substance qui provoque une immunité spécifique par la
formation d’anticorps dans un organisme.
Donner les deux (2) grandes catégories de vaccins tout en précisant pour chaque
catégorie les avantages et les inconvénients.

DEVOIR SAV 345 : PATHOLOGIE ANIMALE 2011 – 2012

Première partie :
1- Rôle de la fièvre dans les maladies infectieuses.
2- Chaque barre de la figure représente un épisode de la maladie M. Chaque ligne
représente un sujet de la population considérée qui comprend 20 sujets.
Calculer pour la maladie M, en 1999 :
a) L’incidence et la prévalence.
b) A supposer qu’une enquête soit menée le 1er juillet 1999, quelle serait la
prévalence de la maladie ?
Figure : Episodes de la maladie M dans un groupe

Deuxième partie :
NB : Une mauvaise réponse recopiée vaut -1 point.
Recopiez uniquement la ou les bonne (s) réponse (s) sans oublier le numéro de la
question.

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1. Dans une région infectée, on peut appliquer :
a) La prophylaxie sanitaire à mesures offensives.
b) La prophylaxie sanitaire à mesures défensives.
c) La prophylaxie sanitaire à mesures offensives et la prophylaxie sanitaire à
mesures défensives.
d) La prophylaxie médicale.
e) La prophylaxie médicale et la prophylaxie sanitaire à mesures défensives.

2.
a) Pour un prélèvement sérologique, il est préférable de faire des prélèvements
de sang dans des tubes sans anticoagulant.
b) Pour un prélèvement sérologique, il est préférable de faire des prélèvements
de sang dans des tubes avec anticoagulant.
c) Le diagnostic anatomoclinique précède le diagnostic expérimental.
d) Le diagnostic expérimental est un diagnostic de suspicion.
e) La goute épaisse est un diagnostic expérimental indirect.

EXAMEN SAV 345 : PATHOLOGIE ANIMALE 2011 – 2012

1. Le médecin vétérinaire joue à travers ses activités de producteur de troupeau,


un rôle essentiel dans la lutte contre les zoonoses, par la recherche et
l’obtention du ……….. être physique et mental de l’homme. Ce rôle de gardien
de la santé humaine est …………. Et sous-estimé.
a) Définir la santé selon l’OMS et l’OIE.
b) Qu’est-ce qu’une zoonose ?
c) Donnez deux (2) exemples de zoonose.

2. Méthodes générales de prophylaxie.


a) Quel (s) type (s) c’est-à-dire méthode (s) et mesure (s) mettez-vous en
œuvre en zone indemne et en zone infectée ?
b) Définir et donner les grandes lignes de chacun des types de prophylaxie.
c) Donner quatre (4) facteur qui rendent difficiles la prophylaxie sanitaire.
3. Définir : Epizootie – Fièvre – Porteur chronique – Lyophilisation.
4. Vous êtes appelé dans un élevage de poules pondeuses pour une consultation.
Après examen épidémiologique et clinique, vous suspectez une maladie
légalement contagieuse dans l’élevage. Alors vous envisagez faire de

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prélèvements de sang pour un examen sérologique au laboratoire en vue de
confirmer le dogme.
a) Quelle est la conduite à tenir en ce qui concerne le nombre et la fréquence
des prélèvements ?
b) Justifiez votre réponse.

Chaque barre de la figure représente un épisode de la maladie M. Chaque ligne


représente un sujet de la population considérée qui comprend 20 sujets. Calculer
pour la maladie M, en 1999 l’incidence et la prévalence.

Figure : Episodes de la maladie M dans un groupe

EXAMEN SAV 345 : PATHOLOGIE ANIMALE 2015 – 2016

1. Un médecin vétérinaire est appelé dans un élevage de poules pondeuses pour


une consultation. Après examen épidémiologique et clinique, il suspecte une
maladie légalement contagieuse dans l’élevage. Il envisage faire des
prélèvements de sang pour un examen sérologique au laboratoire en vue de
confirmer le diagnostic.
a) Quelle est la conduite à tenir en ce qui concerne le nombre et la fréquence
des prélèvements ? Justifiez votre réponse.
b) Quel type de tubes est impliqué dans ce cas (tube sec ou tube avec
anticoagulant) ? justifiez votre réponse.

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2. Méthodes de prophylaxie :
a) Quel (s) type (s) de prophylaxie mettez-vous en œuvre : en zone indemne
et en zone infectée ?
b) Donner quatre (4) facteur qui rendent difficiles la prophylaxie sanitaire.
3. Chaque barre de la figure représente un épisode de la maladie M. Chaque ligne
représente un sujet de la population considérée qui comprend 20 sujets.
Calculer pour la maladie M:
a) L’incidence et la prévalence pour l’année 1999.
b) A supposer qu’une enquête soit menée le 1er juillet 1999, quelle serait la
prévalence à cette date ?
Figure : Episodes de la maladie M dans un groupe

4. La fièvre :
a) Définition
b) Rôle de la fièvre dans les maladies infectieuses.
5. L’immunisation passive.

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EXAMEN SAV 345 : PATHOLOGIE ANIMALE 2016 – 2017

PARTIE A
Utiliser obligatoirement la grille de réponses fournie, ramasser obligatoirement
le sujet avec la grille de réponses, cocher la ou les case (s) correspondant aux
bonnes réponses, une mauvaise réponse vaut -1 point.

Exemple : Les bonnes réponses de la question numéro 20 sont les propositions :


Numéro a b c d e
20   

1- Vaccin
a) Les vaccins vivants modifiés sont des vaccins inactivés.
b) Le vaccin antirabique FLURY LEP est un vaccin dit vivant inactivé.
c) Les vaccins vivants sont moins efficaces que les inactivés tués.
d) Le vaccin antirabique FLURY LEP est classé dans les vaccins dits
« hétérologues ».
e) Le vaccin antirabique FLURY LEP est classé dans les vaccins dits
« homologues ».
2- La fièvre
a) Un antibiotique est un médicament utilisé pour combattre la fièvre.
b) Certains anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont utilisés
pour combattre la fièvre.
c) La fièvre est considérée comme un processus de défense spécifique.
d) Dans la pathogénie de la fièvre, les neurones chauds sont activés
lorsque la température augmente et entraine une thermolyse.
e) La courbe thermique en trapèze est classée dans les courbes
discontinues.
3- Une maladie fait sa répartition dans une zone qui compte 5 000 000 de
bovins. On a enregistré à la première année 3 000 malades dont 1 000 morts.
Pour cette année :
a) La morbidité est alors de 0,8 %
b) La mortalité est alors de 0,2 %
c) La morbidité est alors de 0,06 %
d) La mortalité est alors de 0,002 %
e) La létalité est alors de 2,3 %
4- Diagnostic
a) La méthode de diagnostic direct est mieux adaptée dans la mise en
évidence d’une infection active.

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b) Les méthodes épidémiologiques et anatomocliniques sont
généralement des diagnostics de certitude.
c) Pour un diagnostic sérologique, il faut utiliser les tubes avec
anticoagulants.
d) La goutte épaisse est une méthode de diagnostic indirect.
e) La mise en culture est une technique de diagnostic direct des maladies
infectieuses.
5- Epidémiologie
a) OIE : Organisme Mondial de la Santé Animale.
b) Létalité : Nombre de morts x 100 / Nombre de malades.
c) Létalité : Nombre de sujets malades x 100 / Nombre de sujets
morts.
d) Une zoonose est une maladie épizootique.
e) OIE : Organisme International des Epizooties.
6- La rage
a) Un chien mordeur suspect de rage doit être abattu.
b) La rage est une zoonose majeure causée par un virus.
c) Le corps de Negri est un signe clinique pathognomonique de la rage.
d) La mise en observation d’un chien mordeur a pour objectif de savoir
si la salive au moment de la morsure était contaminant ou non.
e) La transmission de la rage se fait par mode de contagion directe
verticale.
7- La prophylaxie
a) La chimio prévention est une méthode de prophylaxie médicale.
b) La prophylaxie médicale a pour objectif de détruire les agents
pathogènes partout où ils se trouvent essentiellement dans le milieu
extérieur.
c) La prophylaxie sanitaire est facile à mettre en œuvre dans le cas des
maladies virales et aussi pour des maladies bactériennes à germes
saprophytes.
d) L’immunisation passive repose sur l’utilisation des vaccins.
e) Il y a possibilité de réversion de la virulence avec les vaccins vivants
modifiés. La chimio-prévention est une méthode de prophylaxie
médicale.
8- Connaissances générales
a) Les trypanosomoses sont des maladies parasitaires du sang.
b) Les trypanosomoses sont des maladies parasitaires du tube
digestif.
c) En épidémiologie, la connaissance du réservoir peut rendre facile
les mesures de lutte.
d) L’agent étiologique ou causal du paludisme est l’anophèle
femelle.
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e) La glossine est un agent vecteur des trypanosomoses animales.
9- Connaissances générales
a) Le volume du prélèvement est indépendant de l’examen demandé.
b) Pour l’obtention du plasma, on utilise des tubes de prélèvements
sans anticoagulant.
c) Le sérum est du sérum privé de fibrinogène.
d) Le diagnostic différentiel est un élément à négliger lors du
diagnostic clinique.
e) Le diagnostic sérologique est un diagnostic direct.
10- Connaissances générales
a) Le charbon bactéridien est un exemple de maladie endémique.
b) Le charbon bactéridien est un exemple de maladie tellurique.
c) L’épidémiologie cherche également à vérifier l’efficacité des
mesures mises en œuvre dans la lutte contre les maladies.
d) Le diagnostic anatomoclinique est un diagnostic de certitude.
e) L’épidémiologiste prend uniquement en compte l’approche
médicale pour pouvoir tirer des conclusions fructueuses.

GRILLE DE REPONSES AUX QUESTIONS


Numéro d’anonymat sur 20
A ramasser avec le sujet. Une grille de réponses sans le sujet mérite la note 0 sur
20. Le candidat ne doit pas écrire son nom sur la grille de réponses.
a b c d e
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10

PARTIE B
Chaque barre de la figure ci-dessous représente un épisode de la maladie M.
Chaque ligne représente un sujet de la population considérée qui comprend 20
sujets. Calculer pour la maladie M, en 1999 :

PAR STANISLAS APELETE LOUMON, 92 99 99 33 12


a) L’incidence ………………………………………………………………...
b) La prévalence ………………………………………………………………
c) A supposer qu’une enquête soit menée le 1er juillet 1999, quelle serait la
prévalence de la maladie.

Figure : Episodes de la maladie M dans un groupe

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