DT2217
DT2217
DT2217
dossier pilote
des tunnels
génie civil
section 6
génie civil lié aux équipements
et à l’exploitation
Juillet 1998
I.S.B.N. 2-11-084743-3
SOMMAIRE
Chapitre 1 Préambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
Chapitre 2 Génie civil de second œuvre en tunnel ...................... 7
2.1 Faux plafonds et cloisons de ventilation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.1.1 Critères de dimensionnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.1.2 Incidence des équipements d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
2.2 Communications entre les conduits d’air et le tunnel ........... 8
2.2.1 Principes généraux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2.2.2 Caractéristiques géométriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
2.2.3 Influence sur le génie civil de l’ouvrage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
2.3 Planchers supportant des charges routières . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
2.4 Autres ouvrages de génie civil liés aux équipements .......... 10
Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
Chapitre 1
Préambule
Pour rendre fonctionnel un tunnel routier, il faut : Enfin, quelques éléments concernant les ouvrages
fonctionnels extérieurs au tunnel sont donnés au cha-
◆ d'une part, adapter localement le gros œuvre pour pitre 4. Il s'agit des ouvrages suivants :
prendre en compte les ouvrages annexes tels que
- puits ou galeries de liaison entre tubes ou avec la sur-
garages, niches de sécurité, refuges, raccordement à
face pour l'exploitation et la sécurité,
des puits ou galeries. Quelques dispositions construc-
tives relatives à ces ouvrages particuliers sont données - puits ou galeries de ventilation et de désenfumage
au chapitre 4. en cas d'incendie,
- stations de ventilation,
◆ d'autre part, prévoir le cas échéant des structures
de second œuvre à l'intérieur du tunnel : - locaux techniques.
- faux plafond et cloisons constituant des gaines de En raison de ses implications tant en ce qui concerne
ventilation, certains aspects de la conception du gros œuvre que
la géométrie et l'environnement, le poste "Génie civil
- carneaux de ventilation ou bouches de soufflage et lié aux équipements et à l'exploitation" doit retenir
d'extraction, l'attention du projeteur dès le début des études.
- planchers supportant les charges routières,
•5•
Chapitre 2
•7•
2.2 - Communications entre ◆ Pour la fonction AF seule, deux solutions peuvent
être envisagées :
les conduits d’air et a) Soit de simples ouvertures situées sur le côté pour
les gaines situées en voûte (jet pariétal) ou en partie
le tunnel inférieure dans le cas de gaines latérales.
b) Soit dans le cas des gaines AF situées en voûte (ou
à moindre échelle dans la solution avec gaines AF
2.2.1 - Principes généraux situées sous la chaussée), mise en œuvre de carneaux
de ventilation de manière à ce que l'injection de l'AF
Selon le système de ventilation retenu, la forme de se fasse au niveau des trottoirs.
l'ouvrage, le nombre de voies de circulation, le Cette disposition est maintenant réservée aux tunnels
nombre et la fonction des conduits d'air (air vicié (AV) pour lesquels il n'a pas été possible de tronçonner la
seul, air frais (AF) seul ou AF en fonctionnement nor- ventilation par cantons élémentaires suffisamment
mal passant en AV en cas d'incendie), des dispositions courts (voir section Ventilation du document
très variables peuvent être retenues pour assurer la Equipements). Elle peut conduire à une augmentation
communication entre les conduits d'air et le tunnel de l'épaisseur du revêtement pour y inclure les car-
(fig. 2.1). neaux.
A.V. A.F.
A.V.
A.F. ou A.F. A.F. A.V. A.F. A.F. A.V.
A.V. A.V.
A.V. A.F. A.V. ou A.F. ou A.F.
(gaine technique
par exemple)
▲ Fig. 2.1
➯ Bouches simples à jet pariétal : La dalle support de chaussée doit alors être dimen-
15 x 60 cm2 sionnée comme un ouvrage d'art classique, en tenant
compte de la nature des liaisons avec la structure
➯ Bouches de soufflage mixtes AF - AV :
20 x 50 ou 30 x 30 cm2 principale.
➯ Bouches avec carneaux : • Des efforts qui peuvent être importants lui sont en
20 x 50 cm2 effet transmis, et les conséquences doivent être cor-
rectement évaluées (cas des voussoirs notamment).
➯ Bouches AV :
Les dimensions standard sont 20 x 50 ou 30 x 30. Une • Outre le poids propre des structures et revête-
plus grande souplesse dans l'interdistance et dans le ments de chaussée, le projeteur doit prendre en
débit unitaire est possible, une bonne répartition de compte :
l'AV n'étant pas indispensable.
- les surcharges d'exploitation en se référant au fas-
➯ Trappes de désenfumage (incluses dans le faux-
cicule 61 (titre II) du CCTG
plafond)
Il n'existe pas de disposition-type actuellement. Ces - les pressions d'air (ou dépression) dans les gaines au
trappes ont une ouverture de 1 à quelques m2. contact de la dalle, le cas échéant,
- l'influence d'un incendie (dilatation, gradient ther-
mique...).
2.2.3 - Influence sur le génie
civil de l'ouvrage Ce type de dalle peut être soit coulé en place, soit
partiellement préfabriqué (BA ou BP). Le chapitre 4
Dans de nombreux cas, l'insufflation de l'air frais et la ci-après commente quelques dispositions construc-
reprise de l'air vicié se font par de simples ouvertures tives.
•9•
2.4 - Autres ouvrages de
génie civil liés aux
équipements
• 10 •
Chapitre 3
Prise en compte
d’un incendie en tunnel
pour la conception du génie civil
Les exigences pour le comportement du génie civil en cas d’incendie sont abordées dans la circulaire interminis-
térielle n°81-109 du 29 décembre 1981 relative à la sécurité dans les tunnels routiers. Ce texte, en cours de refon-
te, comportera en annexe une directive, dont le projet a servi de base à l’établissement du présent chapitre.
Certaines dispositions formulées ci-après seront à adapter s’il y a lieu après parution de la nouvelle circulaire.
D’autre part, les textes relatifs à la réaction au feu et à la résistance au feu seront révisés dans les prochaines
années pour intégrer les règles données par les Eurocodes.
• 11 •
3.2 - Incendies de destruction par fusion ou ramollissement de chemins
de câbles en aluminium (température de fusion 650 °C)
dimensionnement et une fissuration importante au droit du ferraillage de
la dalle en plafond avec mise à nu des armatures.
pour le génie civil Un incendie long d'hydrocarbures pourrait menacer la
structure principale.
Des essais divers ont été réalisés pour simuler des cas
3.2.1 - Conditions générales de réels d'incendie. On peut notamment citer ceux du
l'incendie en tunnel Memorial Tunnel aux USA (1995) ainsi que ceux déve-
loppés dans le cadre du projet EUREKA-FIRETUN
L'énergie calorifique développée sur les éléments de (1994-1995). L'incendie du tunnel sous la Manche en
structure dépend non seulement de la qualité et de la 1996 présente également un grand intérêt dans le cas
nature du combustible (hydrocarbure, bois, plas- qui nous intéresse ici.
tiques, pneumatiques...), mais aussi de la quantité de
comburant (air frais) entretenant le feu et de l'étale-
ment du feu et de l'air chaud régi par la vitesse 3.2.3 - Réglementation retenue
d'écoulement de l'air.
pour les tunnels routiers
Les conditions de ventilation (forcée ou naturelle) lors
de l'incendie sont alors primordiales mais bien difficile- En l'état actuel, et bien que des réflexions entreprises
ment quantifiables. C'est pourquoi une approche du à l'échelle nationale et internationale permettent d'en-
problème de l’incendie doit être abordé avec pragma- visager une évolution des textes et recommandations,
tisme. Les chiffres qui sont avancés ci-dessous intè- la réglementation générale existante doit être utilisée
grent les résultats de l'expérience et de la réglementa- pour fixer les objectifs à atteindre, concernant le com-
tion en vigueur, en regard principalement du potentiel portement au feu du génie civil des tunnels routiers.
d'énergie calorifique des poids lourds et prenant en
compte les temps d'intervention des secours. En particulier la courbe ISO (figure 3.1) reste la cour-
be de feu de référence pour les tests et les calculs
Le cas des matières dangereuses autorisées à transi- permettant d'appliquer les règles des D.T.U.
ter en tunnel sort du cadre de ces recommandations
et doit faire l'objet d'une étude spécifique. Cette courbe a l'équation suivante, où T-To représen-
te l'évolution de température.
Temps en minutes
▲ Fig. 3.1
Temps en minutes
▲ Fig. 3.2
• 13 •
Les matériaux sont répartis en cinq catégories, du 3.3.3 - Stabilité au feu des
moins combustible au plus combustible, appelées :
M0, M1, M2, M3 et M4. structures
Le béton, le verre, la pierre, la brique, le fibro-ciment Pour les tunnels routiers laissant transiter des véhi-
ont reçu un classement conventionnel en M0. cules légers et des poids lourds ne transportant pas
de matières dangereuses, le degré de résistance au
Certains produits comme les câbles et conducteurs
feu vis à vis de la stabilité mécanique a pour valeur de
électriques font l'objet d'essais et de classifications
référence une heure et demie.
spéciaux.
SF référence = 1h1/2
Cette valeur de référence est à moduler pour chaque
3.3.2 - Résistance au feu type de nature d'ouvrage, voire de trafic et en fonc-
tion :
C'est l'aptitude d'un élément à conserver, malgré le
développement de l'incendie, pendant une durée - des possibilités de réparation,
déterminée, l'ensemble des propriétés nécessaires à - des conséquences des dégâts sur la stabilité globa-
son utilisation. le de la structure du tunnel.
L'arrêté du 21 avril 1983, (J.O. du 03.07.1983) donne Dans tous les cas, l'exigence minimale pour un tunnel
les critères permettant de déterminer le degré de routier est fixée à une heure.
résistance au feu des éléments de construction, des
SF min = 1h.
méthodes d'essais et définit le programme thermique
matérialisant l'action des incendies.
Trois critères sont retenus : 3.3.4 - Structures principales
1 - Résistance mécanique, (stabilité de l'élément de
On s'intéresse ici au cas des tunnels creusés et tran-
construction et maintien du rôle mécanique), chauds
chées couvertes (voir plus loin le cas des couvertures
ou inflammables,
légères).
2 - Etanchéité aux flammes et aux gaz,
Le revêtement des tunnels creusés se présente sous
3 - Isolation thermique. différentes formes suivant le mode de revêtement
La classification des éléments par des essais est éta- adopté :
blie en fonction du respect de certains critères et de - tunnel non revêtu : il n'y a pas d'exigence particuliè-
la durée du respect de ces critères. re,
On détermine ainsi trois classements : stable au feu - tunnel revêtu de béton projeté : on admet la ruine
(SF), pare-flammes (PF) et coupe feu (CF). du béton projeté et dans ce cas on retient un degré
de stabilité au feu d'une heure,
- tunnel revêtu de béton coulé en place, armé ou non :
Catégorie de classement le revêtement pourra être altéré en surface sans effon-
drement de la structure. Il est demandé le degré de
Critères SF PF CF stabilité au feu de référence d’une heure et demie.
1. Résistance mécanique X X X Pour les tranchées couvertes, les tunnels en milieu
2. Etanchéité aux flammes X X aquifère, les tunnels constitués de voussoirs et les
tunnels immergés, les conséquences d'un incendie
3. Isolation thermique X pouvant être plus graves, le degré de stabilité au feu
pour toute la structure est porté à 2 heures pour avoir
une sécurité accrue.
Dans chaque catégorie, le classement s'exprime en
"degré" en fonction du temps pendant lequel l'élé-
ment satisfait aux différents critères. Ces degrés de 3.3.5 - Structures secondaires
résistance au feu réglementaires sont : 1/4h, 1/2h,
3/4h, 1h, 1h1/2, 2h, 3h, 4h, 6h. Seuls les cas les plus fréquemment rencontrés sont
examinés ci-après (faux-plafonds et parois séparant
deux conduits de ventilation). Il existe beaucoup de
cas particuliers qui demandent un examen spécifique.
Les faux-plafonds servant à délimiter un conduit de
ventilation par rapport au tunnel, doivent présenter un
degré de stabilité au feu correspondant à la valeur de
référence (1h1/2). Comme ils présentent généralement
des bouches de soufflage ou d'aspiration il n'est pas
envisageable de leur demander d'être coupe-feu.
• 14 •
Lorsque les galeries formées par le faux-plafond ser- 3.4.2 - Tunnels intégrés à une
vent à l'évacuation des usagers, le degré de stabilité
au feu est fixé à 2h dans tous les cas. Il faut alors assu- structure habitée
rer la fonction coupe-feu pendant 1 heure (voir aussi
La circulaire n° 81 109 du 29 décembre 1981 donne
le tableau récapitulatif).
les règles à respecter dans le cas où la structure de
Les conséquences sur le parti constructif des faux pla- l'ouvrage souterrain est intégrée à certains bâtiments.
fonds de ventilation sont les suivantes : Cette situation se rencontre de plus en plus en milieu
- épaisseur minimale : 15 cm, urbain.
- enrobage des aciers : 3 cm, "Lorsque le tunnel se trouve contigu ou situé sous un
- choix des aciers de faible diamètre et bien répartis immeuble habité ou occupé, les murs ou les parois
sur toute la face potentiellement exposée. mitoyens seront :
Les parois séparant deux conduits de ventilation doi- - coupe-feu de degré quatre heures pour un immeuble
vent être coupe-feu de degré 1h. de grande hauteur
- coupe-feu de degré trois heures pour un établisse-
ment recevant du public, un établissement classé au
3.3.6 - Conduite des calculs titre de la loi du 19 juillet 1976, en raison du risque
d'incendie
La conduite des calculs sera exécutée conformément - coupe-feu de degré deux heures dans les autres cas.
aux règles édictées dans les D.T.U. à partir du temps
de résistance au feu proposé. Dans la mesure où une ou plusieurs parties du tunnel
constituent des éléments de la structure porteuse des
La dilatation des éléments de structure devra être bâtiments en superstructure, indépendamment des
prise en compte pour la vérification des sections. mesures citées ci-dessus, ces éléments porteurs
devront présenter le même degré de stabilité au feu
que celui des bâtiments en superstructure".
• 15 •
3.5 - Récapitulation
Exigences de comportement au feu du génie civil des tunnels routiers (sans transit de matières dangereuses).
(*) Elle peut être augmentée (temps d'intervention des secours ou conséquence d'une indisponibilité du tunnel).
• 16 •
Chapitre 4
Dispositions constructives
pente 2%
gaine Galerie
air frais technique
1m
0,20 0,15
1,85 4,00 1,97
8,17
▲ Fig. 4.1 a
étanchéité PVC
anneau intérieur
en béton armé
dalle intermédiaire
m
5 ,10
r=
0,30 à 0,37
7,25
3,75 3,25
revêtement de chaussée
dalle de roulement
▲ Fig. 4.1 b
Ces difficultés sont supprimées avec une dalle encas- Incidence des équipements
trée sur les bords. L’épaisseur du revêtement du tun-
nel doit alors pouvoir reprendre des efforts de torsion Dans le cas d’une dalle, de nombreuses réservations
importants, ce qui en fait un cas plutôt adapté aux doivent être prévues pour le passage des diverses
revêtements coulés en place (en pleine épaisseur ou canalisations, qui desservent, à partir de la galerie
double peau). technique inférieure, les équipements situés au
niveau de la circulation.
En effet, pour les ouvrages revêtus de voussoirs pré-
fabriqués, la transmission des efforts de torsion aux Le recueil des eaux de ruissellement, et éventuelle-
voussoirs voisins nécessite un système de clavage ment matières dangereuses, doit bien sûr être prévu.
• 18 •
Le choix du dispositif retenu dépend du mode de
revêtement adopté, de la présence éventuelle d'une
couche d'étanchéité, et de la portée du faux plafond.
Les plafonds sont généralement plans, mais il peut
être intéressant de leur donner une légère courbure.
Cette disposition, outre l’intérêt esthétique, améliore
la tenue au feu et optimise la structure.
L’attention du projeteur est attirée sur les problèmes
posés par la tenue au feu des suspentes, qui nécessi-
tent chaque fois une étude très approfondie, compte
tenu des risques de rupture.
Suivant le mode de construction prévu, il convien-
dra de décider si le faux plafond doit suivre ou non
Coffrage de dalle de plafond les variations du dévers de la chaussée pour res-
pecter la hauteur libre et l'implantation des équipe-
ments.
4.1.2 - Plafonds Dans le cas des systèmes avec faux plafond, on doit
veiller à ce qu'une bonne étanchéité à l'air soit assu-
De nombreux dispositifs d'accrochage des plafonds
rée entre, d'une part, la ou les galeries pouvant trans-
sont possibles (figure 4.2) :
porter de l'air vicié, et d'autre part, la galerie d'air
- pose des plafonds sur des consoles d'appui encas- frais et le tunnel.
trées dans le revêtement ou sur des appuis continus
On veille particulièrement au bon fini du bétonnage,
intégrés à celui-ci ;
de manière à diminuer les aspérités en section nor-
- ancrages latéraux des plafonds ; male, et au bon traitement des joints de bétonnage.
En effet, le coefficient de perte de charge frictionnel-
- ancrage des plafonds par l'intermédiaire des cloi-
le pour le calcul du dimensionnement des ventilateurs
sons et suspentes ;
dépend étroitement de la rugosité relative du conduit
- pose des plafonds sur des éléments de revêtement et sa diminution permet des économies d'énergie en
de piédroits. exploitation.
10,38
9,78
suspentes
et dalles
poutres préfabriquées
préfabriquées
tous les 5 m +
dalles de liaison 0,25
1m
▲ Fig. 4.2.a
1,85
désenfumage voir détail A
air frais
0,15
contreflèche
= 0,41 m
1m
voirDétail
détail AA
Joint polystyrène
+ protection coupe-feu
▲ Fig. 4.2.b
béton de structure
0,50
8,23
+ 0,00
- P
1,99
0,70
0,94 3,00 0,30
7,60
▲ Fig. 4.3
• 21 •
étanchéité
1m
Piédroit EST
Coupe transversale
40
Manchette DN 100
revêtement B25 Coude 90° 45°
40 cloisons (hors marché GC)
ou B30
fourreaux en attente Borne (hors marché GC)
2,50
dallette béton
2,00
chambre de tirage
2,75
axe de l'ouvrage
• 22 •
3,65
▲ Fig. 4.4.a
+0,23
+0,09 30 dévers 2%
+ 0,00
radier B20 EP. 20 cm
Piédroit EST
fourreaux en attente
10 de 80
2,40
2,42
conduite incendie
3,00 DN100
ventilation de la niche 40
100 +0,23
revêtement B25 ou B30
-1,30
-1,45
B16 d'égalisation
▲ Fig. 4.4.b
Bibliographie
◆ Méthode de prévision par le calcul du comportement au feu des structures en béton (règles de
calcul FB).
Cahier du CSTB n° 2188 - livraison n° 382 - octobre 1987.
(AFNOR DTU P 92-701)
◆ Circulaire n° 81-109 du 29 décembre 1981 relative à la sécurité dans les tunnels routiers
(Ministère de l'Intérieur et de la Décentralisation -Ministère des Transports).
◆ AIPCR Incendies dans les tunnels - Protection du Génie Civil, des circuits électriques et des
équipements - Revue ROUTES / ROADS n° 275 de janvier 1992.
• 24 •
Édicule de désenfumage sur tranchée couverte
Exemple de trappe
de désenfumage
• 25 •