Article 5 Brab 2013 Amoukou Et Al Dynamique-Insectes
Article 5 Brab 2013 Amoukou Et Al Dynamique-Insectes
Article 5 Brab 2013 Amoukou Et Al Dynamique-Insectes
) au Niger
Par: I. A. Amoukou, S. Boureima, A. Yayé Dramé et B. C. Abdoulkadri
Pages (pp.) 41-47.
1
Bulletin de la Recherche Agronomique du Bénin (BRAB)
Numéro spécial Productions Animales & Végétales et Economie & Sociologie Rurales – Décembre 2013
BRAB en ligne (on line) sur les sites web http://www.slire.net & http://www.inrab.org
ISSN sur papier (on hard copy) : 1025-2355 et ISSN en ligne (on line) : 1840-7099
La rédaction et la publication du bulletin de la recherche agronomique du Bénin (BRAB)
de l’Institut National des Recherches Agricoles du Bénin (INRAB)
01 B.P. 884 Recette Principale, Cotonou 01
Tél. : (+229) 21 30 02 64/21 13 38 70/21 03 40 59 - Fax : (+229) 21 30 07 36
E-mail: [email protected], [email protected], [email protected]
République du Bénin
___________________
Sommaire
Informations générales ii
Indications aux auteurs iii
Bulletin d’abonnement vii
Gestion des déchets de la ville de Ouidah au Sud-Bénin
1
L. Odoulami, I. Adoko et M. Boko
Évaluation de la méthode d'enrichissement placeau-transect avec Khaya senegalensis (Desr.) A. Juss
dans la forêt classée de Tchaourou-Toui-Kilibo en zone soudano-guinéenne au centre du Bénin 10
G. S. Akouehou, H. C. Medoadokon, F. E. Dissou et J. C. Ganglo
Caractérisation des indicateurs de performance de la cogestion de la faune dans la Réserve de
Biosphère de la Pendjari au nord-ouest du Bénin 24
V. I. Tchabi, U. C. A. Sounou et G. A. Mensah
Evaluation socio-économique de la production de Ablo, une pâte de maïs fermentée du Bénin
35
I. Yaou Bokossa, J. B. S. Banon, C. K. C. Tchekessi, P. Dossou-Yovo, K. Adeoti et E. Assogba
Dynamique des insectes ravageurs du sésame (Sesamum indicum L.) au Niger
41
I. A. Amoukou, S. Boureima, A. Yayé Dramé et B. C. Abdoulkadri
Une analyse socio-dynamique et spatiale de la pêche à la senne de plage au Bénin
48
L. C. Hounsounou, G. S. Akouèhou et R. L. Mongbo
______________________
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Bibliothèque Nationale (BN) du Bénin
i
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Informations générales
Le Bulletin de la Recherche Agronomique du Bénin (BRAB) édité par l'Institut National des Recherches
Agricoles du Bénin (INRAB) est un organe de publication créé pour offrir aux chercheurs béninois et
étrangers un cadre pour la diffusion des résultats de leurs travaux de recherche. Il accepte des articles
originaux de recherche et de synthèse, des contributions scientifiques, des articles de revue, des notes et
fiches techniques, des études de cas, des résumés de thèse, des analyses bibliographiques, des revues de
livres et des rapports de conférence relatifs à tous les domaines de l’agronomie et des sciences
apparentées, ainsi qu’à toutes les disciplines du développement rural. La publication du Bulletin est assurée
par un comité de rédaction et de publication appuyés par un conseil scientifique qui réceptionne les articles
et décide de l'opportunité de leur parution. Ce comité de rédaction et de publication est appuyé par des
comités de lecture qui sont chargés d'apprécier le contenu technique des articles et de faire des
suggestions aux auteurs afin d’assurer un niveau scientifique adéquat aux articles. La composition du
comité de lecture dépend du sujet abordé par l'article proposé. Rédigés en français ou en anglais, les
articles doivent être assez informatifs avec un résumé présenté dans les deux langues, dans un style clair
et concis. Une note d'indications aux auteurs est disponible dans chaque numéro et peut être obtenue sur
demande adressée au secrétariat du BRAB. Pour recevoir la version électronique pdf du BRAB, il suffit de
remplir la fiche d'abonnement et de l'envoyer au comité de rédaction avec les frais d'abonnement. La fiche
d'abonnement peut être obtenue à la Direction Générale de l'INRAB, dans ses Centres de Recherches
Agricoles ou à la page vii de tous les numéros. Le BRAB publie deux (2) numéros par an mais aussi des
numéros spéciaux mis en ligne sur le site web http://www.slire.net. Pour les auteurs, une contribution de
quarante mille (40.000) Francs CFA est demandée par article soumis et accepté pour publication. L’auteur
principal reçoit la version électronique pdf du numéro du BRAB contenant son article.
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la Méthodologie de collecte et d’analyse des données (Type d’étude, Echantillonnage, Variables
et Outils statistiques), les principaux Résultats obtenus en 150 mots (Résultats importants et
nouveaux pour la science), une courte discussion et une Conclusion (Implications de l’étude en
termes de généralisation et de perspectives de recherches). La sagesse recommande d’être
efficacement économe et d’utiliser des mots justes pour dire l’essentiel.
Mots-clés
Les mots clés suivront chaque résumé et l’auteur retiendra 3 à 5 mots qu’il considère les plus
descriptifs de l’article. On doit retrouver le pays (ou la région), la problématique ou l’espèce étudiée, la
discipline et le domaine spécifique, la méthodologie, les résultats et les perspectives de recherche. Il
est conseillé de choisir d’autres mots/groupes de mots autres que ceux contenus dans le titre.
Texte
Tous les articles originaux doivent être structurés de la manière suivante : Introduction, Matériel et
Méthodes, Résultats, Discussion/Résultats et Discussion, Conclusion, Remerciements (si nécessaire)
et Références bibliographiques. Le texte doit être rédigé dans un langage simple et compréhensible.
Introduction
L’introduction c’est pour persuader le lecteur de l’importance du thème et de la justification des
objectifs de recherche. Elle motive et justifie la recherche en apportant le background nécessaire, en
expliquant la rationalité de l’étude et en exposant clairement l’objectif et les approches. Elle fait le
point des recherches antérieures sur le sujet avec des citations et références pertinentes. Elle pose
clairement la problématique avec des citations scientifiques les plus récentes et les plus pertinentes,
l’hypothèse de travail, l’approche générale suivie, le principe méthodologique choisi. L’introduction
annonce le(s) objectif(s) du travail ou les principaux résultats. Elle doit avoir la forme d’un entonnoir
(du général au spécifique).
Matériel et méthodes
Il faut présenter si possible selon la discipline le milieu d’étude ou cadre de l’étude et indiquer le lien
entre le milieu physique et le thème. La méthodologie d’étude permet de baliser la discussion sur
les résultats en renseignant sur la validité des réponses apportées par l’étude aux questions
formulées en introduction. Il faut énoncer les méthodes sans grands détails et faire un extrait des
principales utilisées. L’importance est de décrire les protocoles expérimentaux et le matériel utilisé, et
de préciser la taille de l’échantillon, le dispositif expérimental, les logiciels utilisés et les analyses
statistiques effectuées. Il faut donner toutes les informations permettant d’évaluer, voire de répéter
l’essai, les calculs et les observations. Pour le matériel, seront indiquées toutes les caractéristiques
scientifiques comme le genre, l’espèce, la variété, la classe des sols, etc., ainsi que la provenance, les
quantités, le mode de préparation, etc. Pour les méthodes, on indiquera le nom des dispositifs
expérimentaux et des analyses statistiques si elles sont bien connues. Les techniques peu répandues
ou nouvelles doivent être décrites ou bien on en précisera les références bibliographiques. Toute
modification par rapport aux protocoles courants sera naturellement indiquée.
Résultats
Le texte, les tableaux et les figures doivent être complémentaires et non répétitifs. Les tableaux
présenteront un ensemble de valeurs numériques, les figures illustrent une tendance et le texte met
en évidence les données les plus significatives, les valeurs optimales, moyennes ou négatives, les
corrélations, etc. On fera mention, si nécessaire, des sources d’erreur. La règle fondamentale ou règle
cardinale du témoignage scientifique suivie dans la présentation des résultats est de donner tous les
faits se rapportant à la question de recherche concordant ou non avec le point de vue du scientifique
et d’indiquer les relations imprévues pouvant faire de l’article un sujet plus original que l’hypothèse
initiale. Il ne faut jamais entremêler des descriptions méthodologiques ou des interprétations avec les
résultats. Il faut indiquer toujours le niveau de signification statistique de tout résultat. Tous les
aspects de l’interprétation doivent être présents. Pour l’interprétation des résultats il faut tirer les
conclusions propres après l’analyse des résultats. Les résultats négatifs sont aussi intéressants en
recherche que les résultats positifs. Il faut confirmer ou infirmer ici les hypothèses de recherches.
Discussion
C’est l’établissement d’un pont entre l’interprétation des résultats et les travaux antérieurs. C’est la
recherche de biais. C’est l’intégration des nouvelles connaissances tant théoriques que pratiques
dans le domaine étudié et la différence de celles déjà existantes. Il faut éviter le piège de mettre trop
en évidence les travaux antérieurs par rapport aux résultats propres. Les résultats obtenus doivent
être interprétés en fonction des éléments indiqués en introduction (hypothèses posées, résultats des
recherches antérieures, objectifs). Il faut discuter ses propres résultats et les comparer à des résultats
de la littérature scientifique. En d’autres termes c’est de faire les relations avec les travaux antérieurs.
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Il est nécessaire de dégager les implications théoriques et pratiques, puis d’identifier les besoins
futurs de recherche. Au besoin, résultats et discussion peuvent aller de pair.
Résultats et Discussion
En optant pour résultats et discussions alors les deux vont de pair au fur et à mesure. Ainsi, il faut la
discussion après la présentation et l’interprétation de chaque résultat. Tous les aspects de
l’interprétation, du commentaire et de la discussion des résultats doivent être présents. Avec
l’expérience, on y parvient assez aisément.
Conclusion
Il faut une bonne et concise conclusion. Il ne faut jamais laisser les résultats orphelins mais il faut les
couvrir avec une conclusion étendant les implications de l’étude et/ou les suggestions. Une conclusion
ne comporte jamais de résultats ou d’interprétations nouvelles. On doit y faire ressortir de manière
précise et succincte les faits saillants et les principaux résultats de l’article sans citation
bibliographique. Elle fait l’état des limites et des faiblesses de l’étude (et non celles de
l’instrumentation mentionnées dans la section de méthodologie). Elle suggère d’autres avenues et
études permettant d’étendre les résultats ou d’avoir des applications intéressantes ou d’obtenir de
meilleurs résultats. La conclusion n’est pas l’endroit pour présenter la synthèse des conclusions
partielles du texte car c’est une des fonctions du résumé. Il faut retenir que la conclusion n’est pas un
résumé de l’article.
Références bibliographiques
Il existe deux normes internationales régulièrement mise à jour, la :
norme Harvard : -i- West, J.M., Salm, R.V., 2003: Resistance and resilience to coral
bleaching: implications for coral reef conservation and management. Conservation Biology,
17, 956-967. -ii- Pandolfi, J.M., R.H. Bradbury, E. Sala, T.P. Hughes, K.A. Bjorndal, R.G.
Cooke, D. McArdle, L. McClenachan, M.J.H. Newman, G. Paredes, R.R. Warner, J.B.C.
Jackson, 2003: Global trajectories of the long-term decline of coral reef ecosystems. Science,
301 (5635), 955-958.
norme Vancouver : -i- WEST, J.M., SALM, R.V., (2003); Resistance and resilience to coral
bleaching: implications for coral reef conservation and management. Conservation Biology,
vol. 17, pp. 956-967. -ii- PANDOLFI, J.M., et al., (2003); Global trajectories of the long-term
decline of coral reef ecosystems. Science, vol. 301 N° 5635, pp. 955-958.
Il ne faut pas mélanger les normes de présentation des références bibliographiques. En ce qui
concerne le Bulletin de la Recherche Agronomique du Bénin (BRAB), c’est la norme Harvard qui a été
choisie. Les auteurs sont responsables de l’orthographe des noms cités dans les références
bibliographiques. Il faut s’assurer que les références mentionnées dans le texte sont toutes reportées
dans la liste des références et inversement. La bibliographie doit être présentée en ordre alphabétique
conformément aux deux (2) exemples donnés ci-dessus comme suit : nom et initiales du prénom du
er
1 auteur, puis initiales du prénom et nom des autres auteurs ; année de publication (ajouter les
lettres a, b, c, etc., si plusieurs publications sont citées du même auteur dans la même année) ; nom
complet du journal ; numéro du volume en chiffre arabe, éditeur, ville, pays, première et dernière page
de l’article. Dans le texte, les publications doivent être citées avec le nom de l’auteur et l’année de
publication entre parenthèses de la manière suivante : Sinsin (1995) ou Sinsin et Assogbadjo (2002).
Pour les références avec plus de deux auteurs, on cite seulement le premier suivi de « et al. » (mis
pour et alteri), bien que dans la bibliographie tous les auteurs doivent être mentionnés : Sinsin et al.
(2007). Les références d’autres sources que les journaux, par exemple les livres, devront inclure le
nom de l’éditeur et le nom de la publication. Somme toute selon les ouvrages ou publications, les
références bibliographiques seront présentées dans le BRAB de la manière suivante :
Pour les revues :
Adjanohoun, E., 1962 : Etude phytosociologique des savanes de la base Côte-d’Ivoire (savanes lagunaires).
Vegetatio, 11, 1-38.
Grönblad, R., G.A. Prowse, A.M. Scott, 1958: Sudanese Desmids. Acta Bot. Fenn., 58, 1-82.
Thomasson, K., 1965: Notes on algal vegetation of lake Kariba.. Nova Acta R. Soc. Sc. Upsal., ser. 4, 19(1): 1-31.
Poche, R.M., 1974a: Notes on the roan antelope (Hippotragus equinus (Desmarest)) in West Africa. J. Applied
Ecology, 11, 963-968.
Poche, R.M., 1974b: Ecology of the African elephant (Loxodonta a. africana) in Niger, West Africa. Mammalia, 38,
567-580.
Pour les contributions dans les livres :
Whithon, B.A., Potts, M., 1982: Marine littoral: 515-542. In: Carr, N. G., Whitton, B. A., (eds), The biology of
cyanobacteria. Oxford, Blackwell.
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Annerose, D., Cornaire, B., 1994 : Approche physiologique de l’adaptation à la sécheresse des espèces cultivées
pour l’amélioration de la production en zones sèches: 137-150. In : Reyniers, F. N., Netoyo L. (eds.). Bilan
hydrique agricole et sécheresse en Afrique tropicale. Ed. John Libbey Eurotext. Paris.
Pour les livres :
Zryd, J.P., 1988: Cultures des cellules, tissus et organes végétaux. Fondements théoriques et utilisations
pratiques. Presses Polytechniques Romandes, Lausanne, Suisse.
Stuart, S.N., R.J. Adams, M.D. Jenkins, 1990: Biodiversity in sub-Saharan Africa and its islands. IUCN–The World
Conservation Union, Gland, Switzerland.
Pour les communications :
Viera da Silva, J.B., A.W. Naylor, P.J. Kramer, 1974: Some ultrastructural and enzymatic effects of water stress in
cotton (Gossypium hirsutum L.) leaves. Proceedings of Nat. Acad. Sc. USA, 3243-3247.
Lamachere, J.M., 1991 : Aptitude du ruissellement et de l’infiltration d’un sol sableux fin après sarclage. Actes de
l’Atelier sur Soil water balance in the Sudano-Sahelian Zone. Niamey, Niger, IAHS n° 199, 109-119.
Pour les abstracts :
Takaiwa, F., Tnifuji, S., 1979: RNA synthesis in embryo axes of germination pea seeds. Plant Cell Physiology
abstracts, 1980, 4533.
Thèse ou mémoire :
Valero, M., 1987: Système de reproduction et fonctionnement des populations chez deux espèces de
légumineuses du genre Lathyrus. PhD. Université des Sciences et Techniques, Lille, France, 310 p.
Pour les sites web :
http:/www.iucnredlist.org, consulté le 06/07/2007 à 18 h. - http:/www.cites.org, consulté le 12/07/2008 à 09 h.
Equations et formules
Les équations sont centrées, sur une seule ligne si possible. Si on s’y réfère dans le texte, un numéro
d’identification est placé, entre crochets, à la fin de la ligne. Les fractions seront présentées sous la
forme « 7/25 » ou « (a+b)/c ».
Unités et conversion
Seules les unités de mesure, les symboles et équations usuels du système international (SI) comme
expliqués au chapitre 23 du Mémento de l’Agronome, seront acceptés.
Abréviations
Les abréviations internationales sont acceptées (OMS, DDT, etc.). Le développé des sigles des
organisations devra être complet à la première citation avec le sigle en majuscule et entre
parenthèses (FAO, RFA, IITA). Eviter les sigles reconnus localement et inconnus de la communauté
scientifique. Citer complètement les organismes locaux.
Nomenclature de pesticides, des noms d’espèces végétales et animales
Les noms commerciaux seront écrits en lettres capitales, mais la première fois, ils doivent être suivis
par le(s) nom (s) communs(s) des matières actives, tel que acceptés par « International Organization
for Standardization (ISO) ». En l’absence du nom ISO, le nom chimique complet devra être donné.
Dans la page de la première mention, la société d’origine peut être indiquée par une note en bas de la
page, p .e. PALUDRINE (Proguanil). Les noms d’espèces animales et végétales seront indiqués en
latin (genre, espèce) en italique, complètement à la première occurrence, puis en abrégé (exemple :
Oryza sativa = O. sativa). Les auteurs des noms scientifiques seront cités seulement la première fois
que l’on écrira ce nom scientifique dans le texte.
Tableaux, figures et illustrations
Chaque tableau (avec les colonnes rendus invisibles mais seules la première ligne et la dernière ligne
sont visibles) ou figure doit avoir un titre. Les titres des tableaux seront écrits en haut de chaque tableau
et ceux des figures/photographies seront écrits en bas des illustrations. Les légendes seront écrites
directement sous les tableaux et autres illustrations. En ce qui concerne les illustrations (tableaux,
figures et photos) seules les versions électroniques bien lisibles et claires, puis mises en extension jpeg
avec haute résolution seront acceptées. Seules les illustrations dessinées à l’ordinateur et/ou scannées,
puis les photographies en extension jpeg et de bonne qualité donc de haute résolution sont acceptées.
Les places des tableaux et figures dans le texte seront indiquées dans un cadre sur la marge. Les
tableaux sont numérotés, appelés et commentés dans un ordre chronologique dans le texte. Ils
présentent des données synthétiques. Les tableaux de données de base ne conviennent pas. Les
figures doivent montrer à la lecture visuelle suffisamment d’informations compréhensibles sans recours
au texte. Les figures sont en Excell, Havard, Lotus ou autre logiciel pour graphique sans grisés et sans
relief. Il faudra fournir les données correspondant aux figures afin de pouvoir les reconstruire si c’est
nécessaire.
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9 Dr Ibrahim Adamou Amoukou, Faculté d’Agronomie (FA), Université Abdou Moumouni (UAM), BP 10960, Niamey, E-mail :
[email protected], République du Niger
Dr Aïssetou Yayé Dramé, FA/UAM, BP 10960, Niamey, E-mail : [email protected], République du Niger
10 Dr Seyni Boureima, Faculté d’Agronomie et des Sciences de l’Environnement, Université de Maradi, BP 465 Maradi, E-
République du Niger
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alimentaire qui frappent le pays une année sur deux. Cependant, la culture du sésame souffre de
l’attaque de nombreux insectes ravageurs et des maladies avec des préjudices sur les rendements en
grains. Plus de 29 espèces d’insectes ravageurs sont répertoriées sur le sésame à différents stades
du développement de la plante (Biswas et al., 2001). Ces ravageurs peuvent causer d’importants
dégâts sur les feuilles (10 à 70 %), les boutons floraux et les fleurs (34 à 62 %) et les capsules (10 à
44 %) occasionnant une perte de rendement pouvant atteindre 72 % (Rai et al., 2001). Parmi ces
insectes ravageurs A. catalaunalis Dup. et Asphondylia sesami Felt. sont les plus importants avec une
occurrence de 62 % et 98,8 %, respectivement (Egonyu et al., 2005). Selon ce dernier auteur, A.
catalaunalis, dont les attaques larvaires surtout au stade jeune de la culture perturbent la croissance
du sésame, est responsable de pertes de rendement allant de 25 à 100 % (Gnanasekaran et al.,
2010).
Au Niger, peu d’études portent sur l’inventaire et l’incidence des insectes ravageurs sur le sésame.
C’est dans cette optique que cette étude se propose d’évaluer la population des insectes ravageurs
du sésame avec une attention particulière sur A. catalaunalis à travers un inventaire quantitatif de
cette pyrale tout au long du cycle de la culture et l’impact pondéral des attaques sur le rendement en
grains de quelques variétés locales de sésame.
MATERIEL ET METHODES
Matériel végétal
L’étude a été menée sur le site expérimental de la Faculté d’Agronomie de l’Université Abdou
Moumouni de Niamey au Niger sur dix variétés de sésame dont les caractéristiques agronomiques et
la provenance sont résumées dans le Tableau 1.
Tableau 1. Caractéristiques des variétés de sésame mises en essai
Variété Origine Couleur du tégument Cycle (jour) Rendement (kg ha-1)
SN-01-21 Alfagey (Niger) Blanche 106 300
SN-01-06 Maradi (Niger) Blanche 85 600
SN-01-03 Inde Blanche 96 500
SN-01-24 Alfagey (Niger) Blanche 108 500
SN-01-14 Dan Issa (Niger) Blanche 104 500
SN-01-02 Dargol (Niger) Blanche 96 400
SN-01-22 Doumba (Niger) Blanche 108 500
SN-01-19 Ouallam (Niger) Brune 104 300
SN-01-TKG21 Inde Blanche 76 500
SN-01-28 Goubey (Niger) Brune 87 600
Méthodes
Le dispositif expérimental était en blocs complets randomisés à trois répétitions. Le facteur principal
étudié était la variété à 10 niveaux. Le semis a été effectué avec des écartements de 0,5 m x 0,5 m
2
sur des parcelles de 12 m . Après un premier sarclage intervenu à 11 jours après semis (jas), les
plants ont été démariés à trois plants par poquet à 25 jas suivi d’une application d’engrais N-P-K (15-
-1
15-15) à la dose de 35 kg ha . Des sarclages ont ensuite été effectués au besoin. Dix poquets ont été
retenus par parcelle élémentaire pour les observations hebdomadaires de l’entomofaune. La
pluviométrie au cours de l’essai a été enregistrée à l’aide d’un pluviomètre installé sur le site de
l’essai.
Les observations ont porté sur le nombre de feuilles, de fleurs et de capsules attaquées en fonction du
stade de développement de la plante. Le taux d’attaque a été évalué en faisant le rapport entre le
nombre d’organes attaqués sur le nombre total de l’organe concerné. Au cours des observations
hebdomadaires, des prélèvements de larves de A. catalaunalis ont été effectués. Les larves ont été
collectées sur les feuilles, les boutons floraux et les capsules puis élevées dans des boites aérées à la
température ambiante sur un substrat à base de plante de sésame. Ce substrat a été régulièrement
remplacé jusqu’à la fin du cycle de développement larvaire. Des fauchages d’insectes ont été
effectués chaque 48 h à des heures variées de la journée et les insectes capturés ont été conservés
au laboratoire dans des caisses entomologiques pour identification. Une attention particulière a été
donnée au ravageur le plus connu du sésame A. catalaunalis et qui cause plus de dégâts sur la
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culture. A la maturité de la plante un prélèvement de trente capsules saines et trente capsules
attaquées a été opéré. Ces capsules ont été pesées après séchage pour estimer l’incidence des
attaques.
Les données quantitatives ont été analysées avec le logiciel SAS (version, Intitute 1987) pour
l’analyse de variance. Au cas où des différences significatives ont été trouvées, le test de Duncan au
seuil de 5 % a été utilisé pour la comparaison des moyennes.
RESULTATS ET DISCUSSION
Principaux insectes ravageurs du sésame au Niger
Plusieurs espèces d’insectes ravageurs ont été répertoriées sur les plantes de sésame au cours du
cycle de développement de la culture (Tableau 2). Ces insectes ont été identifiés au laboratoire de la
Faculté d’Agronomie en référence aux échantillons existants. Les insectes capturés par fauchage
concernent essentiellement les lépidoptères, les hétéroptères, et les coléoptères. Chez les
lépidoptères, on trouvait deux espèces : Aegocera rectilinia sur les jeunes feuilles à la levée et A.
catalaunalis à tous les stades phénologiques de la plante. Cette dernière était responsable de
l’enroulement des feuilles, des bourgeons terminaux, et de la perforation des fleurs et des capsules.
Deux espèces de coléoptères ont été capturées sur les variétés de sésame. Il s’agisait de Cheilomas
vulpina sur les fleurs et de Pachnoda interupta sur fleurs et capsules aux stades floraison-fructification.
Enfin chez les hétéroptères, on a observé Agonoscelis sp.et Piezodorus sp sur les feuilles et les fleurs à la
floraison, et deux autres espèces (Anoplecnemis curvipes et Spilosthetus sp) qui suçaient les bourgeons floraux
et les capsules à la fructification. Ces résultats confortent ceux de Egonyu et al. (2005) qui rapportent
qu’une trentaine d’espèces d’insectes ravageurs colonisent le sésame en Ouganda. De tous ces
ravageurs, seul A. catalaunalis a été observé à tous les stades phénologiques du sésame.
Tableau 2. Répartition par Ordre des insectes ravageurs rencontrés selon les stades phénologiques
des variétés de sésame étudiées
Stade
Espèces Ordres Dégâts ou Localisations
phénologique
Antigastra catalaunalis Lépidoptère Enroulement des feuilles Levée
Aegocera rectilinia Lépidoptère Sur feuilles Levée
Enroulement des bourgeons
Antigastra catalaunalis Lépidoptère Floraison
terminaux et trouaison des fleurs
Pachnoda interupta Coléoptère Suce les fleurs Floraison
Cheilomas vulpina Coléoptère Sur fleurs Floraison
Agonoscelis sp. Hétéroptère Sur fleurs et Feuilles Floraison
Piezodorus sp. Hétéroptère Sur fleurs Floraison
Anoplecnemis curvipes Hétéroptère Suce les capsules Fructification
Spilosthetus sp. Hétéroptère Sur capsules Fructification
Pachnoda interupta Coléoptère Sur capsules Fructification
Antigastra catalaunalis Lépidoptère Sur bourgeons terminaux et
Fructification
capsules
Evolution des populations des insectes ravageurs au cours du cycle du
sésame
La colonisation de la culture par les différentes espèces ne se faisait pas à la même période (Figure
1). Ainsi avant la floraison, les lépidoptères (papillons) étaient les plus abondants. A partir de la
floraison un pic de pullulation des coléoptères apparaissait et enfin les hétéroptères (les punaises)
prenaient le relais à la fructification et à la maturité. La plante subissait donc la pression des
ravageurs tout le long de son cycle. La nature des dégâts ainsi que la fréquence du Lépidoptère A.
catalaunalis pendant tout le cycle de la culture, le plaçaient au premier rang des ennemis du sésame. En
effet, cette situation constatée par beaucoup de chercheurs (Rai et al., 2001 ; Egongu et al., 2005)
était confirmée par les pertes potentielles du poids des graines (environ 30 %) occasionnées suite aux
attaques des capsules). Ces pertes peuvent être cependant atténuées par le choix des variétés
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tolérantes ou l’adoption de techniques de lutte chimique ou biologique appropriées. D’où l’intérêt de
connaître la dynamique saisonnière et journalière de sa population pour mieux raisonner la stratégie
de lutte.
Figure 1. Répartition des insectes ravageurs selon l’Ordre et le stade phénologique des variétés
de sésame étudiées
30
25
20
15
10
5
0
Heure de la journée
Figure 2. Evolution du nombre d’insectes capturés sur les plantes de sésame au cours de la journée
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Evolution des populations de A. catalaunalis en fonction de la variété et de la
pluviométrie
Les larves de A. catalaunalis pullulaient sur les jeunes feuilles de sésame dès la levée chez toutes les
variétés (Figure 3). Deux autres pics de pullulation de larves ont été ensuite observés sur les feuilles
au stade floraison et au stade de fructification. L’apparition des trois pics montrait que trois
générations de A. catalaunalis se sont succédées au cours du cycle cultural du sésame dans nos
conditions expérimentales. Cela confirme le caractère permanent du ravageur tout au long du cycle
cultural du sésame. Cette omniprésence de ce ravageur sur la culture est liée à la courte durée du
cycle de développement de l’insecte dont l’accouplement des adultes commence dans les vingt et
quatre heures qui suivent leur émergence (Prasad, 1981), alors que la durée du développement
larvaire ne dépasse guère 7 à 8 jours dans nos conditions.
Une baisse du niveau d’attaque des plantes a été cependant notée pour toutes les variétés à partir de
la troisième semaine de la culture. Cette baisse du taux d’attaque sur les feuilles peut être liée d’une
part à la rigidité des feuilles à ce stade, et d’autre part, à l’apparition d’autres organes telles que les
fleurs et les capsules qui sont aussi des organes cibles des larves de A. catalaunalis.
L’abondance des larves était inversement proportionnelle à celle de la pluviométrie. Ainsi entre le 15
et le 22 juillet, une augmentation progressive des populations de larves a été notée au niveau de la
plupart des variétés alors que la pluviométrie diminue (Figure 3). Aussi, la période de faible
pluviométrie correspondait à celle du pic des larves de la première génération sur toutes les variétés.
Malheureusement, ces périodes de pause pluviométrique sont aussi celles au cours desquelles le
sésame est plus sensible aux agents de stress biotiques (Lozano et al., 1998). A partir de la fin du
mois de juillet, l’évolution des larves suit celle de la pluviométrie jusqu’à la fin de la première semaine
d’août, avant de connaître une régression au fur et à mesure que la pluviométrie augmentait
sensiblement. Cette variation très marquée de la fréquence des larves sur la culture du sésame
montre que ces dernières apparaissent en nombre très important aux périodes de faible pluviométrie
et inversement.
100 90
90 80 SN-01-21
Pourcentage d'attaque
80 70 SN-01-06
Pluviométrie (mm)
70 60 SN-01-03
60
50 SN-01-24
50
40 SN-01-14
40
30 30 SN-01-02
20 20 SN-01-22
10 10
SN-01-19
0 0
SN-01-09
SN-01-28
Pluviométrie
Date d'observation
Figure 3. Evolution du taux d’attaque de A. catalaunalis sur les feuilles en fonction des variétés et de la
pluviométrique
Le degré d’attaque des fleurs de sésame était relativement variable selon les variétés (Figure 4).
Ainsi, à la fin de la première semaine de septembre, les fleurs de la variété SN-01-02 (précoce) ont
été les plus sujettes aux attaques du parasite. Les pics d’attaque sur les fleurs de la majorité des
variétés ont été obtenus en début de la deuxième quinzaine de septembre correspondant également à
la période de floraison maximale pour la plupart de ces variétés. Une relation était observée entre
abondance des larves et stades phénologiques de la culture à travers la diversité des parties
végétatives attaquées. Par ailleurs, une attaque progressive des capsules a été enregistrée sur
l’ensemble des variétés (Figure 5). Ces attaques ont atteint leur niveau maximum à la maturité des
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variétés. La variété SN-01-02 a présenté le taux d’attaque des capsules le plus élevé, suivie de la SN-
01-05 et de la SN-01-24. Les variétés les moins attaquées étaient la SN-01-14, la SN-01-19 et la SN-
01-21. Cependant, elles étaient les plus atteintes par les viroses. Le faible taux d’attaque sur ces
dernières variétés pouvait s’expliquer par leur faible nombre de capsules.
1.6
Taux d'attaque (%)
1.4 SN-01-21
1.2
SN-01-06
1
SN-01-03
0.8
0.6 SN-01-24
0.4 SN-01-14
0.2 SN-01-02
0 SN-01-22
11/09/2008
26/08/2008
28/08/2008
30/08/2008
13/09/2008
15/09/2008
17/09/2008
19/09/2008
21/09/2008
23/09/2008
1/09/2008
3/09/2008
5/09/2008
7/09/2008
9/09/2008 SN-01-19
SN-01-09
SN-01-28
Date d'observation
Figure 4. Evolution du taux d’attaque de A. catalaunalis sur les fleurs selon les variétés de sésame
5
4.5
SN-01-21
Taux d'attaque (%)
4
3.5 SN-01-06
3 SN-01-03
2.5
2 SN-01-24
1.5 SN-01-14
1
0.5 SN-01-02
0 SN-01-22
11/09/2008
26/08/2008
30/08/2008
13/09/2008
15/09/2008
17/09/2008
21/09/2008
23/09/2008
28/08/2008
19/09/2008
1/09/2008
3/09/2008
5/09/2008
7/09/2008
9/09/2008
SN-01-19
SN-01-09
SN-01-28
Date d'observation
Figure 5. Evolution du taux d’attaque de A. catalaunalis sur les capsules selon les variétés de sésame
CONCLUSION
L’étude de l’entomofaune du sésame révèle une diversité d’insectes sur la culture tout au long de son
cycle. Parmi ceux-ci figure le lépidoptère A. catalaunalis qui, par l’importance de ses dégâts sur la
plante, est le ravageur principal. A. catalaunalis est plus prolifique pendant les périodes de faible
pluviométrie que pendant les périodes pluvieuses. Les larves de cet insecte font leur apparition deux
semaines après la levée des plants de sésame, et de génération à génération, elles persistent jusqu’à
la récolte causant ainsi des dommages sur les feuilles, les fleurs et les capsules. Les adultes, qui sont
des papillons, sont très fréquents sur les parcelles pendant les moments de fraîcheur au cours de la
journée. Le fauchage de ce papillon le jour semble affirmer qu’il a une activité diurne. L’identification et
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la connaissance des conditions de vie de cet insecte même en saison sèche s’avèrent nécessaire afin
de définir la stratégie de lutte intégrée (chimique, biologique, etc.) à adopter.
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