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Les allomorphes de la langue turque sont conditionnés phonologiquement, grâce à l'harmonie vocalique qui est caractérisée par cette langue. Le turc présente une liste restreinte des allomorphes, et se réalisent seulement dans les morphèmes grammaticaux (les suffixes).
Turcica, 1997
a langue turque ne présente que deux grandes catégories de mots∞ : le nom et le verbe, qui ont des systèmes de suffixation différents. Je commencerai par le nom et je me propose d'analyser en premier les formes les plus simples pour aborder progressivement des formes plus complexes. J'étudierai les suffixes dans leur ordre de succession à partir de la racine. I. SUFFIXES AJOUTÉS AU NOM Les suffixes qui s'ajoutent au nom turc employé substantivement appartiennent à trois catégories bien distinctes∞ : le suffixe de nombre, les suffixes de personne, et les suffixes de cas. La base nominale peut recevoir cumulativement, dans l'ordre précité, zéro ou un suffixe de chacune de ces trois catégories. Voici quelques exemples des combinaisons possibles∞ : A. Suffixe de nombre ST 3 Genç∞-∞ ler-e lise∞-∞ y∞-∞ i bitir∞-∞ dik∞-∞ ten sonra hemen jeune + pl 1. lycée + y + acc terminer + part. + abl après tout de suite Arsun URAS 357 1 La liste complète des abréviations se trouve à la fin de l'article.
2017
International audienceCet ouvrage se veut un volume pédagogique de référence pour la formation à l’enseignement de la prononciation du français langue seconde et étrangère, ainsi qu’un outil de formation à la recherche en linguistique française (phonétique, phonologie, psycholinguistique,sociolinguistique). Il s’adresse en priorité aux enseignants de FLE, ainsi qu’aux étudiants et enseignants universitaires de français et de sciences du langage (Licence, Mastère, Doctorat). Son objectif est de servir de guide synthétique, compact, à la fois pratique et théorique, accompagnéd’illustrations sonores authentiques, issues d’un vaste projet de recherche international de linguistique de corpus. Ce matériel sera représentatif des différentes variétés de français parlées à travers le monde, non seulement natives mais aussi non natives
Journal sociolinguistique en ligne GLOTTOPOL, 2003
This paper aims to describe verb’s valence in Turkish (standard Turkish), by referring to the previous works on the subject. At first the properties of verb’s valence in Turkish are dealt with: verbs can assign nominative, accusative, dative, ablative, locative or comitative cases to their arguments; semantic and syntactic valence don’t always match, and some verbs can have different valence patterns. Secondly we describe alternations in verb’s valence pattern which are the result of a morphological derivational process, and the different possible or impossible combining of those alternations. We have four distinct affixes in Turkish which correspond each to a valence-changing operation: the causative, the passive, the reflexive and the reciprocal. We notice as well that suffixes for the reflexive, the reciprocal and the passive can also encode operations with a middle reading, more specifically anticausative, autocausative and autobenefactive. Cet écrit vise à décrire la valence verbale du turc (turc standard), en s’appuyant sur les travaux antérieurs sur le sujet. Dans un premier temps sont abordées les propriétés de valence des verbes en turc : les verbes peuvent marquer leurs arguments au nominatif, à l’accusatif, au datif/allatif, à l’ablatif, au locatif ou au comitatif ; valence sémantique et valence syntaxique peuvent ne pas toujours correspondre, et certains verbes peuvent avoir plusieurs constructions possibles. Dans un second temps sont décrites les dérivations verbales qui modifient ces propriétés de valence, et les différentes combinaisons possibles et non possibles entre plusieurs dérivations. On répertorie en turc quatre affixes verbaux distincts correspondant chacun à une opération de modification de la valence : le causatif, le passif, le réfléchi et le réciproque. On constate que les suffixes du réfléchi, du réciproque et du passif peuvent aussi encoder des opérations de type moyen décausatif, autocausatif et autobénéfactif.
L'orthographe en questions, 2006
Signifiances (Signifying), 2019
Au sein des recherches les plus récentes, cet article se propose d'analyser les idéophones du turc. Cette étude se caractérise par une approche systématique et exhaustive qui vise à vérifier, à l'aide de l'exploitation d'un corpus bien approfondi, la corrélation entre opposition phonologique [ouvert : fermé], [grave : aigu] et l'opposition sémantique {grand : petit}, {abondant : rare}, {fort : faible}. Ces oppositions permettent de vérifier facilement si le changement d'un phonème a ou non une valeur phonosymbolique. Ce travail ouvre de larges perspectives pour l'étude de la langue turque et de ses idéophones.
Une approche diachronique sur le turc nous permet de voir comment les événements de passé s'exprimait à travers les siècles. La présence de deux marqueurs différents pour parler du passé aide le locuteur à discerner l'opposition qui existe dans l'expression du temps passé, vécu ou non. Le turc actuel de Turquie dispose de deux marqueurs modo-temporels pour exprimer que l'action s'est déroulée et est arrivée au terme avant ou pendant le moment d'énonciation. Le temps d'énonciation succède toujours l'action qui vient de passer et il ne s'agit pas du tout d'une simultanéité entre l'action et l'énonciation. En turc, aucun de ces deux marqueurs ne peut pas remplacer l'un l'autre et chacun a sa place bien déterminée dans la construction de l'énoncé. Il existe de nombreux parallélismes et oppositions dans le fonctionnement de ces deux passés. Par rapport au français, le passé-dI semble sémantiquement l'équivalent le plus proche du passé composé. Quant au médiatif-mIş, il possède beaucoup de valeurs en dehors de sa qualité d'exprimer le temps passé. Pour étudier le passé turc à travers le médiatif-mIş et le passé-dI, il nous apparaît indispensable de faire des comparaisons entre ces deux passés ayant chacun des particularités propres à leur manière. Nous allons donc traiter tous les deux sous le même titre.
La République turque a déclaré la réforme d’alphabet selon laquelle il était désormais interdit d’utilisation de l’alphabet arabe pour l’écriture turque et qui favorise un nouvel alphabet y compris les caractères spéciales comme ç, ğ, ı, ş, ö, ü et İ; basé sur l’alphabet latin, le 1er novembre 1928. Dans cette fiche de lecture; on examinera cette notion, ses raisons, ses conséquences et la période de discussion avant la réforme en partant des articles suivants: • The Stamboul Alphabet of Shemseddin Sami Bey: Precursor to Turkish Script Reform • Learning to Read (Again): The Social Experiences of Turkey’s 1928 Alphabet Reform • La Révolution au pied de la lettre. L’invention de l’alphabet turc • KUYAS, Ahmet, Tarih, Numéro: 8
JJH Vol. 4: Jesus Remembered in the Johannine Situation, 2024
Mohamad Hidayat Muhtar, 2017
American Journal of Numismatics, 2023
Contemporary Problems in Mathematical Physics, 2002
A Patrimonialidade do Ato Administrativo, 2016
Nouvelle revue de psychosociologie, 2015
International Journal of Scientific & Engineering Research, 2021
Robert L Boylestad 12a EDICAO, 2022
Journal of Research in Pharmacy, 2020
The Journal of Infection in Developing Countries
Procedia - Social and Behavioral Sciences, 2014
European Journal of Molecular & Clinical Medicine, 2020
Nuclear Physics B - Proceedings Supplements, 1999