Academia.edu no longer supports Internet Explorer.
To browse Academia.edu and the wider internet faster and more securely, please take a few seconds to upgrade your browser.
2018, Al-Mukhatabat
…
4 pages
1 file
Ce texte est tiré d'un mémoire de D.E.A soutenu en 1993 à Paris I sous la direction du Prof. Jacques Bouveresse. Ce n'est qu'à l'instant où je me prête à publier ce texte que je découvre l'article de Mme Leila Raidintitulé : « L'identité de l'objet : l'héritage humien de Quine », publié dans la Revue de Métaphysique et de morale, 2003/2-n°38, pp.181-197. Au moment où j'ai commencé à lire cet article, mon texte était prêt pour être publié dans Dogma : il constituera d'ailleurs le noyau d'un livre en cours de rédaction finale et dans lequel je reviendrai sur les thèses de Mme Leila Raid qui sont largement sujettes à discussion surtout autour de la question des rapports entre Quine et Hume.
Archipélies, 2024
"Veillées noires" compares two folktales collections : one by Suzanne Comhaire-Sylvain, entitled "Le Mariage de Malice", the second "Quiproquo" by Négritude poet L.G. Damas. through the comparison I show the striking resemblances and also some divergences between the folktale traditions and the ways in which the ethno-folklorists have transmitted them. Indeed, Damas takes more liberty in the ways he treats his characters, while Suzanne Comhaire Sylvain seems to confine herself to the "material".
Quenya Le quenya (prononcé ['kʷɛnʲa]) ou haut-elfique est une des langues construites imaginées par le romancier et philologueJ. R. R. Tolkien dans le cadre de l'élaboration des récits de la Terre du Milieu. Sa création remonte au plus tard à l'année1915. Le vocabulaire et la grammaire de cette langue ont progressivement évolué durant la vie de leur auteur, jusqu'à atteindre une relative stabilité après la publication de son roman Le Seigneur des anneaux en 1954-1955. Tolkien s'est principalement inspiré du finnois pour l'élaboration de la langue, ainsi que du latin et du grec. Au sein de son univers de fiction, le quenya est la langue des Elfes Vanyar et Ñoldor installés en Valinor, sur le continent d'Aman. La langue s'implanta en Terre du Milieu quand les Ñoldor s'y exilèrent ; elle cessa bientôt d'y être employée commelangue courante, mais subsista comme langue de culture et de cérémonie parmi les Elfes ainsi qu'un peuple des Hommes, les Dúnedain. Le quenya fut conçu par Tolkien comme dérivant d'une langue originelle commune à toutes les langues elfiques qu'il imagina. C'est une langue à morphologie complexe, qui présente à la fois des traits flexionnels et agglutinants ; elle repose en grande partie sur l'emploi d'affixes, mais recourt aussi à l'alternance vocalique. Le quenya est pourvu d'une riche déclinaison et d'une conjugaison de type synthétique. Le nombre de cas et la conjugaison ont varié avec les années au cours du développement de la langue par leur auteur. Le vocabulaire est essentiellement a priori, c'est-à-dire créé indépendamment de celui des langues naturelles, mais il est en revanche apparenté à celui des autres langues elfiques imaginées par Tolkien. Le quenya se transcrit par différents systèmes d'écriture tels que les sarati ou les tengwar. Histoire[modifier | modifier le code] En quenya comme pour les autres langues qu'inventa Tolkien, il faut distinguer deux axes chronologiques de développement : • l'un, externe, concerne l'évolution des conceptions de la langue pendant la vie de son créateur ; • l'autre, interne, concerne l'évolution historique de la langue à l'intérieur même du monde imaginaire dans lequel elle se parle. Histoire externe[modifier | modifier le code] J. R. R. Tolkien commença vers 1915 Note 2 l'élaboration du quenya (sous l'orthographe qenya, qui subsista jusqu'au milieu des années 1940), alors qu'il était étudiant au collège d'Exeter. Il était alors déjà familier des langues germaniques anciennes comme le gotique, levieux norrois et le vieil anglais, et s'était initié au finnois à la suite de la lecture du Kalevala, une découverte dont il fut, selon ses termes,« totalement grisé 1 ». Le quenya n'est pas la première langue construite qu'ait imaginée J. R. R. Tolkien Note 3 , mais c'est la première dont les attestations dépassent quelques traces isolées, et celle à partir de laquelle se développa le scénario linguistique de la Terre du Milieu. À côté de l'élément purement personnel, le développement de la langue paraît avoir été d'abord infusé d'un fond germanique 2 , avant d'être fortement influencé par le finnois, Tolkien allant jusqu'à y incorporer quasi tels quels un certain nombre de mots 3. Plus tard, Tolkien diminua la visibilité de cette filiation en éliminant les emprunts trop évidents, et mentionna également le latin et le grec ancien comme influences importantes 4. Chronologiquement, l'invention de langues précéda chez Tolkien l'élaboration d'un monde imaginaire et de ses premiers récits : elle n'en fut pas un produit mais plutôt un des moteurs. Leur auteur devait insister sur ce point plus tard dans sa carrière : « Personne ne me croit lorsque je dis que mon long récit est un essai de création d'un monde dans lequel une forme de langage qui soit agréable à mon esthétique personnelle puisse paraître réelle. Mais c'est pourtant vrai 5 ». Tolkien imagina dès le départ le quenya selon les méthodes alors dominantes de la linguistique historique, en envisageant l'existence de diverses variétés, et ne tarda pas à inventer d'autres langues elfiques tout à fait distinctes mais apparentées au quenya, dérivées d'une même souche
physiques soient vraies, nous devons accepter de quantifier sur les objets mathématiques, et accepter, par conséquent, de les traiter au même niveau ontologique que le reste des objets de la physique théorique et des autres sciences empririques en général.
Lire les philosophies, 2006
Brazilian Geographical Journal Geosciences and Humanities Research Medium, 2013
Ferrecchia Simone Mémoire de Master 1, spécialité épistémologie et philosophie analytique De l'acquisition du langage : béhaviorisme radical, Quine, et le débat Chomsky-Quine Sous la direction de : M. Clementz François Université Aix-Marseille 1 4 Quantitativement signifie : ses variations peuvent être indiquées sur une dimension physique 5 Ibid., p.36 6 Graham, G., Behaviorism, 2010
extreme whether events (storms, floods, heat waves) and changes in mean temperatures, precipitation and sea levels will in many cases contribute • To grasp information's and experiences on my future works of PhD dissertations.
Keywords.
Mots-clés.
Ontologie, Quine, quantification, quantification existentielle, monisme réaliste, pluralisme réaliste, Sider.
Dans la Présentation qu'il consacre à « La question de l'être, aujourd'hui » 1 , Jean-François Courtine résume le partage entre continentaux et analytiques ainsi : « Analytiquement parlant, la ''question de l'être'' n'est pas une question, ou en tout cas, pas une question qui se pose sensément 2 . » Et si « analytiquement parlant » (i.e., pour la philosophie analytique) la « question de l'être » ne se pose pas, c'est parce que les énoncés ontologiques y sont systématiquement référés à la norme quinienne de « l'engagement » ou de « l'assomption » ontologique : Quine réduit en effet la question de l'être à la question de l'existence tout en réduisant la question de l'existence à la question de savoir quelles sont les entités que nos meilleures théories doivent assumer ou
Aquatic Conservation: Marine and Freshwater Ecosystems, 2000
Education and Science
SSRN Electronic Journal, 2002
Evicted Poverty And Profit In The American City by Matthew Desmond
Proceedings of the Nutrition Society, 2010
Genome Informatics International Conference on Genome Informatics, 2006
Journal of Vibration and Control, 2007
Physics of Plasmas, 1998
Preventive Veterinary Medicine, 1994
American Journal of Physical Medicine & Rehabilitation, 2011
Biochemistry, 1988
Microscopy and Microanalysis, 2018
Surgical Endoscopy and Other Interventional Techniques, 2003
Acta Microbiologica et Immunologica Hungarica, 2008