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    sur 23

    Méthode

    des différences
    finies

    MDF
    Plan du cours

     principes généraux

     Différences finies 1D

     Différences finies 2D

     Etude de quelques cas réels


    Etude de quelques cas réels
    Etude de quelques cas réels
    Problème de consolidation
     Données du problème

    1- Equation différentielle

    Cv: Coefficient de consolidation


    U: pression interstitielle de l’eau
    t: temps
    Etude de quelques cas réels
    Problème de consolidation
     Données du problème

    2- conditions initiales

    3- conditions aux limites

    - a la surface la couche permettre un drainage libre:

    (Condition de Dirichlet)

    - la limite inférieure est imperméable

    (Condition de Neumann)
    solution
    1) Discrétisation du domaine (maillage)
     Schéma explicite centré
    z0
     Le schéma le plus simple est le schéma explicite centré, qui
    utilise une discrétisation centrée de la dérivée spatiale. Il s'écrit:
    zi-1

    DZ
    h
    zi+1

    zN

    z
    Solution
    1) Discrétisation du domaine (maillage)

     Schéma explicite centré

     C'est un schéma explicite qui calcule la valeur inconnue        à l'étape        en fonction
    des valeurs connues                   à l'étape     
    Solution
    2) Equation en différence finie

     Schéma explicite centré

    Avec:
    Solution
     Schéma explicite centré

    3) Condition de type Dirichlet: a la surface libre

    i=0 :

    Condition de type Neumann: a la base


    zN-1
    i=N :
    zN

    zN+1
    • Avec noeud fictif
    Solution

     Schéma explicite centré

    i=0 :

    i=N :
    Solution
    1) Discrétisation du domaine (maillage)

     Schéma implicite centré

     C'est un schéma implicite qui couple les valeurs inconnues                    à l'étape 
          à la valeur connue      à l'étape 
    Solution
    2) Equation en différence finie

     Schéma implicite centré

    Avec:
    Solution
     Schéma implicite centré

    3) Condition de type Dirichlet: a la surface libre

    i=0 :

    Condition de type Neumann: a la base


    zN-1
    i=N :
    zN

    zN+1
    • Avec noeud fictif
    Solution
     Schéma implicite centré

    i=0 :

    i=N :
    Fiabilité du modèle : notion de convergence
    Modèle Modèle
    mathématique numérique
    (continu) (algébrique)

    Erreur introduite en négligeant les termes des


    développements limités à partir d’un certain ordre

    Question : comment s’assurer que l’équation discrète est représentative,


    en termes de phénomènes physiques, de l’équation de départ ?

    Idée : le comportement du modèle numérique doit converger vers le


    comportement du modèle mathématique (censé être proche du réel …).
    Fiabilité du modèle : notion de convergence
    Méthode : s’assurer de la propriété de CONVERGENCE de l’équation discrète.

    Théorème de LAX :

    Convergence = consistance + stabilité

    Comportement numérique
    proche du « réel » Absence d’oscillations
    parasites
    Notion de consistance
    • Définition : on appelle erreur de troncature t, l’ensemble des termes
    négligés dans les développements limités lors de
    l’obtention d’une équation (ou schéma) discrète

    Il est en effet possible d’écrire :

    Équation continue = Équation discrète + t


     Définition : un schéma est dit consistant si son erreur de troncature tend
    vers 0 lorsque le pas Dx tend vers 0
    « Notion » sur la stabilité d’un schéma
    Définition : la stabilité est la propriété de contrôler toute perturbation
    (numérique dans notre cas) introduite de manière accidentelle.
     Un schéma est dit STABLE si la perturbation diminue ou mieux, disparaît.
     Un schéma est dit INSTABLE si la perturbation augmente.

    Concrètement, apparition d’oscillations parasites (changement du signe de la pente d’un nœud à l’autre).

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