Monographie N'Dali
Monographie N'Dali
Monographie N'Dali
MISSION DE DECENTRALISATION
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P ROGR AMME D ’A PPUI A U D E MAR RAGE
DES C O MMUNE S
MONOGRAPHIE DE LA
COMMUNE DE N’DALI
Consultant
Dr Roch A. HOUNGNIHIN
(Socio-Anthropologue)
Avril 2006
MONOGRAPHIE DE LA
COMMUNE DE N’DALI
SINENDE
BEMBEREKE KALALE
NIKKI
N'DALI
PERERE
PARAKOU
TCHAOUROU
0 40 80 Kilometers
SIGLES ET ABREVIATIONS…………………………………………….……. 6
INTRODUCTION ………………………………………………………….…...… 7
CHAPITRE I : SITUATION PHYSIQUE ET ADMINISTRATIVE …….… 8
1.1. CADRE PHYSIQUE ET ADMINISTRATIF ……………………………. 8
1.2. SITUATION DEMOGRAPHIQUE …………………………………….… 11
CHAPITRE II : ORGANISATION SOCIALE …………………………….… 13
2.1. LE POUVOIR TRADITIONNEL…………………………………………. 13
2.2. LE POUVOIR MODERNE ……………………………………………….… 14
2.3. LA FEMME DANS LA SOCIETE BAATONU DE N’DALI …………… 15
CHAPITRE III : ACTIVITES ECONOMIQUES …………………………. 16
3.1. L’AGRICULTURE …………………………………………………………. 17
3.2. ELEVAGE ET PECHE ……………………………………………………. 20
3.3. LE COMMERCE ……………………………………………………………. 22
3.4. L’ARTISANAT ………………………………………………………………... 24
3.5. LA TRANSFORMATION……………………………………………………. 25
3.6. LE TOURISME ………………………………………………………………. 25
3.7. INFRASTRUCTURES ROUTIERES ET DE TRANSPORT…………… 26
CHAPITRE IV : SECTEURS SOCIAUX ……………………………………… 27
4.1. LA SANTE ……………………………………………………………………. 27
4.2. L’EDUCATION……………………………………………………………….. 28
4.3. L’HABITAT ET LES CONDITIONS D’HABITATION…………………. 29
4.4. LES AUTRES SERVICES SOCIAUX ……………………………………. 30
CHAPITRE V : PRINCIPALES FILIERES PORTEUSES ……………….… 32
CHAPITRE VI. CONTRAINTES ET ATOUTS………………………………. 33
6.1. CONTRAINTES ET FAIBLESSES ………………………………………. 33
6.2. OPPORTUNITES ET FORCES …………………………………………… 33
CHAPITRE VII : PERSPECTIVES ET RECOMMANDATIONS ………… 37
CONCLUSION ………………………………………………………………….… 38
BIBLIOGRAPHIE ………………………………………………………….......... 39
La Mairie de N’Dali
Coton 14473 15991 13687 8303 8523 5002 10997 2180408833 24%
industriel
Total 129091 121892 54521 136690 119865 143097 117560 9317739250 100%
Source : PDC, N’Dali, 2005
Il faut signaler que la situation est préoccupante pour la commune de N’Dali
s’agissant des produits comme les mangues, la papaye, l’anacarde, le bois et les noix
de karité dont la contribution économique locale très importante n’est enregistrée
nulle part. La commune devrait envisager dans un bref délai une évaluation de ce
potentiel dans la perspective de la diversification des filières qui contribuent à
l’économie locale.
D’autre part, il importe de souligner que l’agriculture est pratiquée à la fois par les
femmes et les hommes. En effet, pour une superficie de 29 352 ha, au cours de la
campagne 2000- 2001, les hommes ont occupé 25 857 ha contre 3 495 ha pour les
femmes soit 11,9%.
Le tableau ci-dessous montre les superficies relatives occupées par les principales
spéculations dans une perspective comparative entre hommes et femmes.
Tableau III : Principales spéculations agricoles par sexe dans la commune de N’Dali
Comme on peut le lire dans le tableau, les femmes ont emblavé seulement 11,9% de
superficies par rapport aux hommes qui en ont occupé 88,1%. Les spéculations de
maraîchage, de production céréalière, les légumineuses et de manioc constituent
Monographie de N'dali Afrique Conseil, Avril 2006 18
les domaines les plus embrassés par les femmes. Par ailleurs, elles sont quasiment
absentes de la production de l’igname.
Une analyse du tableau montre que la production céréalière a occupé en 2000-2001
une superficie d’une proportion de 40,3 % pour une contribution moyenne en
valeur estimée à 15%. Pour une occupation de 15,2% des superficies, le coton
représente 20,48% de la production en valeur. Par contre, l’igname, principale
spéculation du groupe des racines et tubercules a occupé 22,3% des superficies pour
une contribution en valeur de 51,14% du total de la production agricole en valeur.
Une attention particulière devra alors être accordée à la production de l’igname qui
occupe peu d’espace et joue un rôle important dans l’alimentation de la population
et apporte une valeur très importante à l’économie locale.
Comme on peut le remarquer, l’agriculture constitue le socle du développement de
la commune de N’Dali. Cependant, elle reste confrontée à plusieurs contraintes.
Les problèmes liés au développement agricole dans la commune de N’Dali peuvent
s’énoncer comme suit :
- Le faible encadrement agricole (faible effectif des agents d’encadrement) ;
- le faible écoulement des produits vivriers ;
- la faible maîtrise de l’eau pour le maraîchage ;
- l’appauvrissement des sols ;
- le surendettement des producteurs ;
- le retard dans le paiement des fonds du coton ;
- le taux d’intérêt élevé des crédits agricoles ;
- l’accès difficile aux crédits d’équipement.
En revanche certains atouts peuvent être exploités pour l’amélioration de
l’agriculture de N’Dali. Il s’agit de :
- la disponibilité des terres cultivables ;
- l’aptitude des terres à la plantation fruitière ;
- le climat favorable à l’agriculture ;
- la disponibilité d’engrais organiques ;
- l’existence des cours d’eau ;
- la disponibilité permanente des produits agricoles ;
- l’existence de bas-fonds ;
- l’existence d’usine d’égrenage ;
- l’existence des retenues d’eau ;
- la maîtrise de technique de cultures attelées ;
- l’existence de plantation.
Total 25317 100 12264 100 11108 100 797 100 55271 100
3.3. LE COMMERCE
La commercialisation des produits agricoles et artisanaux se fait soit localement
soit dans les marchés environnants. Vingt marchés périodiques servent à animer
le commerce dans la commune de N’Dali. On y rencontre de petits revendeurs
informels de produits vivriers et tissus à surface financière très limitée.
L’essentiel des activités commerciales se fait dans l’informel. Le répertoire des
acteurs du commerce des départements du Borgou et de l’Alibori, édition 2002-
2003 mentionne l’existence de trois établissements immatriculés au registre du
commerce à raison de deux dans les activités de commerce général et d’un dans
celles du commerce des produits agricoles tropicaux. Ces trois établissements
représentent moins de 1% des entreprises immatriculées dans le Borgou.
Un effort reste alors à faire pour la formalisation du commerce afin qu’il
contribue à la fiscalité de la commune. Le flux des échanges est aussi orienté
frauduleusement vers le Nigeria surtout pour les produits manufacturés. S’il
existe assez de produits locaux commercialisables dans la commune de N’Dali, il
est à noter que le développement de ce domaine du secteur productif est limité
par certains problèmes notamment l’insuffisance d’infrastructures de marché,
l’insuffisance de fonds de roulement, l’insuffisance de commerçants
professionnels.
Aussi, le réseau routier ne facilite t-il pas les échanges à l’intérieur de la
commune. Environ 157 km de pistes de desserte rurale ont besoin d’être ouvertes
ou aménagées pour permettre le désenclavement des localités.
Les cartes de perception réalisées dans tous les villages ont fait ressortir les
éléments constitutifs du terroir :
- Terroir des habitations, de l’élevage des petits ruminants, de la volaille,
des bœufs de trait et des infrastructures.
- Terroir des hameaux, zones de culture et aires de pâturage.
L’accès à la propriété et le statut foncier des terres est en pratique régis par le
droit coutumier. Aujourd’hui avec la rareté des terres fertiles, l’acquisition des
terres devient difficile.
Sur le plan économique, les populations mènent les activités dans les domaines
de l’agriculture, de l’élevage, de l’artisanat, de la transformation des produits
agricoles, du petit commerce et de la cueillette. L’agriculture se pratique dans des
zones plus ou moins éloignées des agglomérations. La démarcation entre zones de
culture et zone de pâturage n’est pas nette. Cette mauvaise gestion du terroir est
très souvent source de conflits entre agriculteurs et éleveurs.
Les finances locales de la commune de N’Dali sont caractérisées par une faiblesse
des ressources. En effet, le budget de la commune est essentiellement un budget
de fonctionnement. La commune éprouve d’énormes difficultés pour la
mobilisation des ressources locales. Plusieurs causes expliquent cette situation
notamment :
- le faible taux de recouvrement en matière de foncier bâti et non bâti, de
patente et de licence,
- la faible exploitation des potentialités fiscales,
- l’absence des services d’impôts et du trésor au niveau de la commune,
- l’existence de plusieurs taxes improductives ou non recouvrées,
- l’incivisme.
A cette situation viennent se greffés l’indisponibilité de la subvention de l’Etat et
le dysfonctionnement de l’administration communale qui se traduit par l’adoption
tardive des budgets. Pourtant, la commune dispose de beaucoup d’atouts qui
pourraient servir à améliorer ses finances locales ; il s’agit de l’existence de
carrière exploitable, la possibilité de création de nouvelles taxes..
Quant à la capacité de mobilisation de l’épargne locale , il faut signaler que les
revenus, selon qu’ils proviennent du coton ou des autres cultures ou produits
commercialisés, sont surtout utilisés lors des cérémonies, l’habillement, la
nourriture et les problèmes ponctuels. La destination des revenus ne prend pas
toujours en compte les dépenses de renouvellement des facteurs de production.
La CLCAM qui finance ces dernières catégories de dépenses à travers les crédits
de campagne à moyen terme, enregistre peu de dépôts dans les comptes. Dans
certaines localités, c’est l’achat du bétail qui est considéré comme une banque du
paysan.
3.4. L’ARTISANAT
Les principales activités artisanales se résument en la forge, le tissage, la
sculpture du bois, la couture et la maçonnerie. Sa forge qui semble être plus
rémunératrice est réservée à une caste, les "Sekobou". Les produits forgés portent
sur les outils agricoles et vendus localement sans difficulté. Cette activité
contribue faiblement à l’économie locale. Il jouit de certains atouts comme la
facilité d’acquisition des matières premières locales, l’existence des associations
professionnelles.
Les problèmes qu’on y rencontre sont :
- l’insuffisance de formation professionnelle ;
- le matériel rudimentaire ;
- l’insuffisance de marché pour certains produits.
3.5. LA TRANSFORMATION
La transformation est essentiellement pratiquée par les femmes. La
transformation se fait soit individuellement soit en groupement avec l’appui de
certains projets ou ONG. Les activités de transformation très couramment
rencontrées dans la commune sont :
- la transformation de soja en fromage,
- la transformation du manioc en gari et tapioca,
- -la transformation du maïs en ses dérivées classiques (pâte, boisson,
bouillie, etc.),
- la transformation de l’arachide en huile et galette,
- la transformation des amandes de karité en beurre,
- la transformation du néré en moutarde,
- Etc.
L’existence de matières premières de transformation et de certaines structures
d’appui constitue des atouts et opportunités pour cette branche du secteur
productif. Cependant, la promotion de cette dernière souffre de certains
problèmes en l’occurrence, l’équipement de transformation rudimentaire et
l’insuffisance de marché d’écoulement pour certains produits.
La transformation du soja en fromage, activité de transformation nouvelle, qui en
même temps qu’elle contribue à l’amélioration de l’alimentation de la population
pourrait être pourvoyeuse d’importantes ressources pour l’économie locale, mérite
une attention particulière.
3.6. LE TOURISME
Le tourisme est très peu développé dans la commune de N’Dali. Cependant, cette
dernière dispose de sites touristiques potentiels en miniature parmi lesquels on
peut citer :
- « sounon souroumani » de marégourou
- « les mares Fétiches kobi » de Ouénou et de Tamarou
- « Bio Boko » de Bounyérou qui abrite la lutte traditionnelle périodique
- « la forêt fétiche Nonisson » de N’DALI
- « Bona mêna », lieu où étaient alors exterminés les enfants dits
‘’sorciers’’ à N’Dali,
- « yô Darou », lieu où aurait disparu tragiquement un cavalier avec son
cheval en temps de guerre à N’Dali,
- « le site touristique » de Tamarou,
- le lieu fétiche « KERI » de N’Dali,
- « Sinanwinrayérou », lieu historique de ralliement en temps de guerres
à N’Dali,
- « Dari kpérou » à Sawolou,
- « Lémanou » à N’Dali,
- « youmin worou », site du créateur de N’Dali.
Ces sites pourraient être aménagés et valorisés.
1
SOPS/DDEPS- Borgou/ Alibori : annuaire statistique 2001-2002
2
SSGI/ DPP/MEPS : Statistiques enseignement primaire année scolaire 2001-02
3
SOPS/DDEPS- Borgou/ Alibori : annuaire statistique 2001-2002 & SSGI/ DPP/MEPS : Statistiques
enseignement primaire année scolaire 2001-02
- l’insuffisance de formation au sein des communautés.
Mais l’existence d’une circonscription scolaire, l’existence des APE fonctionnelles,
l’existence de structure d’appui en alphabétisation (coopération Suisse) et le fort
taux d’enfants scolarisables constituent des atouts et opportunités que pourrait
exploiter la commune pour l’amélioration du système éducatif..
4
Service Départemental de l’Hydaulique du Borgou
En somme, la commune manque encore sérieusement de l’eau potable surtout en
saison sèche pendant laquelle la plupart des points d’eau tarissent.
En ce qui concerne l’électricité, il faut signaler que la population de N’Dali utilise
les lampes tempêtes, les groupes électrogènes et moulins pour quelques nantis.
Pire, dans ces conditions, la commune est faiblement ravitaillée en produits
pétroliers.
La pré- électrification initiée en 1997 au chef lieu de la commune a échoué après
quelques mois de fonctionnement par suite de mauvais recouvrement de fonds
d’abonnement qui devraient servir à l’approvisionnement de gas-oil.
Le sport constitue la discipline la plus pratiquée par les jeunes de la commune de
N’Dali. Les infrastructures sportives comptent un seul stade au chef lieu de la
commune. En outre, il existe des orchestres traditionnels dans certains villages
de même que les groupes folkloriques (têkê, sinsinnnou, wourou, fokpai,..). Mais
ces groupes sont très peu lucratifs.
Trois foyers de jeunes reçoivent les jeunes pour les manifestations de
réjouissance. Tous les chefs lieux d’arrondissement n’en sont donc pas pourvus.
Les problèmes les plus marquants de ces secteurs sont l’IInsuffisance
d’infrastructures sportives et de centre de loisirs.
En matière de communication, la commune de N’Dali est faiblement couverte par
les Nouvelles Technologies d’Information et de Communication. Il est à signaler
l’inexistence d’une radio communautaire, de cybercafé ni de bibliothèque
communale. En conséquence, les populations sont sous- informées quant aux
actualités locales. Cependant, quelques personnes ont accès à l’information grâce
à la télévision nationale et aux chaînes de radio septentrionales, nationales et
internationales.
Le réseau téléphonique public, très récent, existe au chef lieu de la commune de
même qu’une radio de transmission à la mairie. en 2003, la commune ne comptait
qu’un seul abonné en téléphone conventionnel qu’est le bureau de la poste sur un
total de 2610 dans tout le Borgou. Des efforts restent donc à faire dans le
domaine de la communication.
CHAPITRE V : PRINCIPALES FILIERES PORTEUSES
La notion de filières porteuses se rapporte à la promotion de l’économie locale.
Ainsi, promouvoir l’économie locale, c’est mettre en valeur les potentialités
économiques locales (ressources naturelles, terres, forêts, carrières, cours d’eau,
productions agricoles, industrielles et commerciales, etc.) en valorisant les savoir-
faire endogènes pour générer de l’emploi et des revenus aux individus puis de la
fiscalité pour la commune. Tandis que la filière est un regroupement cohérent et
opérationnel d’individus ou groupes qui ont comme point commun l’ajout de la
valeur ajoutée à un produit ou à un groupe de produits. Les filières porteuses
sont identifiées en fonction d’un certain nombre de critères que l’on peut
regrouper en deux (02) grandes catégories : les critères liés à la rentabilité
économique et financière de la filière et la création d’emplois.
Dans la commune de N’Dali, la situation des filières se présente comme suit :
Tableau V : Les cinq (5) filières les plus porteuses de développement par commune et raisons
Filière
Commune Raisons Risques
levier
N’Dali Coton Filière ancienne et organisée Malentendus entre les acteurs de la
- Procure de l’argent aux filière - Non réglementation par
producteurs et à la l’Etat dans les dérapages observés
commune - Bonne qualité - au sujet de l’exécution de l’accord
Existence de marché cadre qui régit la filière - La
subvention des pays occidentaux à
leurs cotonculteurs - la politisation
à outrance des organisations de
producteurs de coton
La valorisation des filières porteuses passe par l’identification de mesures, outils
et approches nécessaires à leur valorisation en vue de créer un cadre plus
favorable à cet exercice.
Organismes ou
Activités Localité
structures
DERANA Alphabétisation Bori
PADEB Projet de santé et de production animale et construction d’infrastructures d’hydraulique Toute la commune
pastorale d’élevage et de commercialisation etc.
GERED Formation des agriculteurs sur la gestion des stocks alimentaires, conseil de gestion des Bori, Gbégourou,
exploitations agricoles, Appui aux femmes et aux producteurs N’Dali, Sirarou
AGeFIB Construction de modules de classes Bori, Ouénou, Sirarou
AGROP Distribution des intrants, commercialisation du coton Bori, N’Dali, Sirarou
Projet japonais Construction de modules de classes Bori
CRS Formations des paysans Bori, Ouénou
Forage de puits à grand diamètre Bori, N’Dali,
CARITAS
Gbégourou, Sirarou
PADEAR Construction de latrines et citernes Bori, N’Dali, Ouénou,
Gbégourou, Sirarou
PSP Sensibilisation sur la santé Bori
Formation des parents d’élèves dans la gestion des écoles Bori, N’Dali, Ouénou,
CAPID
Sirarou
APEM Protection de l’enfance malheureuse, lutte contre l’excision Bori, Gbégourou
Formation des GV et GF sur le maraîchage, l’agriculture, vulgarisation et appui aux OP Bori , N’Dali, Ouénou,
CARDER
gbégourou
PAM Aide alimentaire Bori, Gbégourou
PDRT Projet de développement des plantes à racines et tubercules Bori, Ouénou, Sirarou
Projet manioc Développement du manioc Bori
PROSAF Formation des femmes sur la santé familiale Bori
CAB Défense des droits des agriculteurs Bori
CPS Centre de promotion sociale N’Dali
World Education Education N’Dali
VDP Construction des infrastructures socio-communautaire N’Dali
Appui aux AGR et création d’ASF N’Dali, Ouénou,
PROMIC
Sirarou
ADECOI Appui à la commune Bori, N’Dali , Sirarou,
GENDARMERIE Sécurité N’Dali
DOUANES Perception des taxes douanières N’Dali
SBEE L’eau et l’électricité N’Dali
POSTE Télécommunication et traitement de courrier N’Dali
Organismes ou
Activités Localité
structures
FENAPRA Organisation de la filière coton Ouénou
PAMR Construction d’infrastructures Ouénou
UGJAAFT Appui aux femmes transformatrices Ouénou, Sirarou
PROSAF Appui à la santé des populations Ouénou
CCS Couverture sanitaire Ouénou
DDC (Coopération Appui aux producteurs et productrices, Co – gestion avec le personnel de santé, sensibilisation Toute la commune
Suisse) des femmes pour la pesée des enfants et alphabétisation.
PADSA Appui aux transformateurs et transformatrices Ouénou
PADSE Appui aux exploitants agricoles pour le conseil de gestion Ouénou
CRS Appui aux femmes (crédit), Cantine scolaire Ouénou, Gbégourou
PGTRN Appui à la gestion des ressources naturelles Ouénou
FORAG Forage de puits à usage humain Gbégourou
PISEA -Production végétale – Transformation - Petit commerce Gbégourou
PDFM Culture du manioc Gbégourou, Sirarou
DERANA Alphabétisation Gbégourou, Sirarou
IFESH Formation des enseignants du primaire Gbégourou
Projet songhai Production de la semence améliorée de soja Gbégourou
AVE Appui à l’alimentation en eau potable Sirarou
DEDRAS / UEEB Appui des communautés à la construction et à la gestion des infrastructures Sirarou
IRCOD appui à la promotion de l’artisanat agroalimentaire Sirarou
MCDI Appui à l’hygiène en milieu scolaire Sirarou
CBDIBA Epargne et crédit Sirarou
CIPEN Epargne et crédit Sirarou
CPCA Appui à la promotion de la culture attelée Sirarou
CREPA Construction des latrines publiques Sirarou
Centre orphelinat Garde des orphelins Sirarou
AL –HUDA Construction de la mosquée Sirarou
Les atouts de la commune de N’Dali résident également dans sa proximité avec le
Nigeria, en tant que zone de forte production agricole (végétale et animale) avec
la possibilité de desservir les marchés intérieurs et extérieurs
Banque Mondiale : Rapport annuel 1993, Washington DC, 1993, 278 pages.
Banque Mondiale : Rapport sur le développement dans le monde : La pauvreté, Washington DC,
1990.
BOISMENU (I.) Développement urbain participatif au Bénin : une étude pour agir,
GRET/Ministère de la Coopération, Saint Etienne, 1997, 224 pages.
(Sous la
coordination de) :
C.R.I.D: Un monde solidaire : comprendre pour agir, Syros, Paris, 1996, 207 pages.
ENDA-TM et Les initiatives locales de développement en milieu urbain ouest africain : Rapport
PNUD: des études de cas réalisées dans le cadre du programme ILMU/LIFE, Dakar,
1996, 420 pages.
GERAM Conseil Perceptions locales sur le profil DHD, les opérations et mécanismes de
développement et les initiatives communautaires. Rapport Zone Centre Atacora,
Annexe, novembre 2002
HENRY (P. M.) : Pauvreté, progrès et développement, L’harmattan/ UNESCO, Paris, 1990, 330
pages.
LALEYE Mouftaou Les Enjeux Economiques de la Décentralisation au Bénin (CAPE), Déc. 2002
P.G.U : La lutte contre la pauvreté à Dakar: Vers la définition d’une politique municipale,
Série Documents de Politique, Accra, 1995, 157 pages.
P.N.U.D : Rapport sur le développement humain au Bénin 1998, Cotonou, 1998, 247 pages.