3B-DC-CP5
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La Foa le 23/07/24
Dans le domaine des probabilités, il existe un vocabulaire précis qu’il faut connaître.
➔ Lancer une pièce de monnaie équilibrée, jeter un dé non pipé, tirer une carte (sans regarder) dans un jeu,
prendre une boule dans une urne fermée, piocher au hasard une lettre de l’alphabet….
Issue : C’est un résultat possible d’une expérience aléatoire.
➔ « F » est une issue de l’expérience « lancer une pièce »
➔ « 1 » est une issue de l’expérience « jeter un dé »
➔ « A » est une issue de l’expérience « tirer une lettre de l’alphabet »
Univers : C’est l’ensemble des issues possibles d’une expérience aléatoire
➔ L’univers de l’expérience « jeter un dé » est {𝟏; 𝟐; 𝟑; 𝟒; 𝟓; 𝟔}
Evénement : C’est un résultat réalisé par aucune, une ou plusieurs issues d’une expérience aléatoire.
L’événement « obtenir un A » est-il élémentaire ? Oui, car il n’y a qu’une seule issue.
Question 2 : On a écrit chacune des lettres du mot POURPRE sur une carte et on a placé toutes les cartes dans
une urne noire, puis on tire une lettre au hasard.
L’événement « obtenir un P » est-il élémentaire ? Oui, car il n’a qu’une seule issue.
1
NOM : ……………………….……
PRENOM : ………………..…..…..
Interrogation de mathématiques
CLASSE : ………
Observations :
Vitesse (km/h► ]50 ; 70] ]70 ; 90] ]90 ; 110] ]110 ; 130] ]130 ; 150]
Nombre d’automobilistes 50 45 20 15
10
2
Exercice n°3 : Dans une classe, un professeur réalise une enquête pour connaitre le nombre de films vus par ses
élèves pendant les vacances.
Nombre de films 2 3 4 5
Effectif 3 2 1 2
3
4
FRANÇAIS - 4B CONTINUITÉ PÉDAGOGIQUE 5
Semaine du 22 au 26 juillet
Séance 1 : Une dénonciation qui ne date pas d’hier. Comparaison de Plaute et de Molière.
Supports : Aulularia, Plaute
L’Avare, Molière
Texte 1 : Euclion a découvert un trésor dans son jardin, enterré par son grand-père avare. Désormais
riche, il est obsédé par la crainte d’être volé.
EUCLION. – (A part) Je n’ai jamais vu de plus méchante bête que cette vieille. Je crains bien qu’elle ne me
joue quelque mauvais tour au moment où je m’y attendrai le moins. Si elle flairait mon or, et découvrait la
cachette ? C’est qu’elle a des yeux jusque derrière la tête, la coquine. Maintenant, je vais voir si mon or est
bien comme je l’ai mis. Ah ! Qu’il me cause d’inquiétudes et de peines ! (Il sort).
STAPHYLA. Seule. – Par Castor ! je ne peux deviner quel sort on a jeté sur mon maître, ou quel vertige l’a
pris. Qu’est-ce qu’il a donc à me chasser dix fois par jour de la maison ? On ne sait, vraiment, quelle fièvre
le travaille. Toute la nuit il fait le guet ; tout le jour il reste chez lui sans remuer […].
Plaute, Aulularia, Scène 1 (IIIème – IIème siècle av. JC.)
Texte 2 : HARPAGON. Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau. - Au voleur, au voleur, à
l’assassin, au meurtrier. Justice, juste Ciel. Je suis perdu, je suis assassiné, on m’a coupé la gorge, on m’a
dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu’est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le
trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N’est-il point-là ? N’est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête. Rends-moi
mon argent, coquin... (Il se prend lui-même le bras.) Ah, c’est moi. Mon esprit est troublé, et j’ignore où je
suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas, mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m’a
privé de toi ; et puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma joie, tout est fini pour
moi, et je n’ai plus que faire au monde. Sans toi, il m’est impossible de vivre. C’en est fait, je n’en puis plus,
je me meurs, je suis mort, je suis enterré. N’y a-t-il personne qui veuille me ressusciter, en me rendant mon
cher argent, ou en m’apprenant qui l’a pris ? Euh ? Que dites-vous ? Ce n’est personne. Il faut, qui que ce
soit qui ait fait le coup, qu’avec beaucoup de soin on ait épié l’heure ; et l’on a choisi justement le temps
que je parlais à mon traître de fils. Sortons. Je veux aller quérir la justice, et faire donner la question à toute
ma maison ; à servantes, à valets, à fils, à fille, et à moi aussi. Que de gens assemblés ! Je ne jette mes
regards sur personne, qui ne me donne des soupçons, et tout me semble mon voleur. Eh ? De quoi est-ce
qu’on parle là ? De celui qui m’a dérobé ? Quel bruit fait-on là-haut ? Est-ce mon voleur qui y est ? De
grâce, si l’on sait des nouvelles de mon voleur, je supplie que l’on m’en dise. N’est-il point caché là parmi
vous ? Ils me regardent tous, et se mettent à rire. Vous verrez qu’ils ont part, sans doute, au vol que l’on
m’a fait. Allons vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences, et
des bourreaux. Je veux faire pendre tout le monde ; et si je ne retrouve mon argent, je me pendrai moi-
même après.
Molière, L’Avare, IV, 7.
Lister les points communs et les différences :
Les points communs Les différences
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Séance 2 : Je comprends ce que la société change en nous.
Support : Kafka, La métamorphose.
En se réveillant un matin après des rêves agités, Gregor Samsa se retrouva, dans son lit,
métamorphosé en un monstrueux insecte. Il était sur le dos, un dos aussi dur qu’une carapace, et, en
relevant un peu la tête, il vit, bombé, brun, cloisonné par des arceaux plus rigides, son abdomen sur le haut
duquel la couverture, prête à glisser tout à fait, ne tenait plus qu’à peine. Ses nombreuses pattes,
lamentablement grêles par comparaison avec la corpulence qu’il avait par ailleurs, grouillaient
désespérément sous ses yeux.
« Qu’est-ce qui m’est arrivé ? » pensa-t-il. Ce n’était pas un rêve. Sa chambre, une vraie chambre
humaine, juste un peu trop petite, était là tranquille entre les quatre murs qu’il connaissait bien. Au-dessus
de la table où était déballée une collection d’échantillons de tissus – Samsa était représentant de
commerce –, on voyait accrochée l’image qu’il avait récemment découpée dans un magazine et mise dans
un joli cadre doré. Elle représentait une dame munie d’une toque et d’un boa tous les deux en fourrure et
qui, assise bien droite, tendait vers le spectateur un lourd manchon de fourrure où tout son avant-bras avait
disparu.
Le regard de Gregor se tourna ensuite vers la fenêtre, et le temps maussade – on entendait les
gouttes de pluie frapper le rebord en zinc – le rendit tout mélancolique. « Et si je redormais un peu et
oubliais toutes ces sottises ? » se dit-il ; mais c’était absolument irréalisable, car il avait l’habitude de dormir
sur le côté droit et, dans l’état où il était à présent, il était incapable de se mettre dans cette position.
Quelque énergie qu’il mît à se jeter sur le côté droit, il tanguait et retombait à chaque fois sur le dos.
Il dut bien essayer cent fois, fermant les yeux pour ne pas s’imposer le spectacle de ses pattes en train
de gigoter, et il ne renonça que lorsqu’il commença à sentir sur le flanc une petite douleur sourde qu’il
n’avait jamais éprouvée.
« Ah, mon Dieu », songea-t-il, « quel métier fatigant j’ai choisi ! Jour après jour en tournée. Les affaires
vous énervent bien plus qu’au siège même de la firme, et par-dessus le marché je dois subir le tracas des
déplacements, le souci des correspondances ferroviaires, les repas irréguliers et mauvais, et des contacts
humains qui changent sans cesse, ne durent jamais, ne deviennent jamais cordiaux. Que le diable emporte
tout cela ! » Il sentit une légère démangeaison au sommet de son abdomen ; se traîna lentement sur le dos
en se rapprochant du montant du lit afin de pouvoir mieux redresser la tête ; trouva l’endroit qui le
démangeait et qui était tout couvert de petits points blancs dont il ne sut que penser ; et il voulut palper
l’endroit avec une patte, mais il la retira aussitôt, car à ce contact il fut tout parcouru de frissons glacés.
Il glissa et reprit sa position antérieure. « À force de se lever tôt », pensa-t-il, « on devient
complètement stupide. L’être humain a besoin de son sommeil. D’autres représentants vivent comme des
femmes de harem. Quand, par exemple, moi je rentre à l’hôtel dans le courant de la matinée pour
transcrire les commandes que j’ai obtenues, ces messieurs n’en sont encore qu’à prendre leur petit
déjeuner. Je devrais essayer ça avec mon patron ; je serais viré immédiatement. Qui sait, du reste, si ce ne
serait pas une très bonne chose pour moi. Si je ne me retenais pas à cause de mes parents, il y a
longtemps que j’aurais donné ma démission, je me serais présenté devant le patron et je lui aurais dit ma
façon de penser du fond du cœur.
De quoi le faire tomber de son comptoir ! Il faut dire que ce ne sont pas des manières, de s’asseoir sur
le comptoir et de parler de là-haut à l’employé, qui de plus est obligé d’approcher tout près, parce que le
patron est sourd. Enfin, je n’ai pas encore abandonné tout espoir ; une fois que j’aurai réuni l’argent
nécessaire pour rembourser la dette de mes parents envers lui – j’estime que cela prendra encore de cinq
à six ans –, je ferai absolument la chose. Alors, je trancherai dans le vif. Mais enfin, pour le moment, il faut
que je me lève, car mon train part à cinq heures. »
Et il regarda vers la pendule-réveil dont on entendait le tic-tac sur la commode. « Dieu du ciel ! »
pensa-t-il. Il était six heures et demie, et les aiguilles avançaient tranquillement, il était même la demie
passée, on allait déjà sur moins un quart. Est-ce que le réveil n’aurait pas sonné ? On voyait depuis le lit
qu’il était bien réglé sur quatre heures ; et sûrement qu’il avait sonné. Oui, mais était-ce possible de ne pas
entendre cette sonnerie à faire trembler les meubles et de continuer tranquillement à dormir ? Eh bien, on
ne pouvait pas dire qu’il eût dormi tranquillement, mais sans doute son sommeil avait-il été d’autant plus
profond. Seulement, à présent, que fallait-il faire ? Le train suivant était à sept heures ; pour l’attraper, il
aurait fallu se presser de façon insensée, et la collection n’était pas remballée, et lui-même était loin de se
sentir particulièrement frais et dispos. Et même s’il attrapait le train, cela ne lui éviterait pas de se faire
passer un savon par le patron, car le commis l’aurait attendu au départ du train de cinq heures et aurait
depuis longtemps prévenu de son absence. C’était une créature du patron, sans aucune dignité ni
intelligence.
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Et s’il se faisait porter malade ? Mais ce serait extrêmement gênant et suspect, car depuis cinq ans qu’il
était dans cette place, pas une fois.
Gregor n’avait été malade. Sûrement que le patron viendrait accompagné du médecin de la Caisse
Maladie, qu’il ferait des reproches à ses parents à cause de leur paresseux de fils et qu’il couperait court à
toute objection en se référant au médecin de la Caisse, pour qui par principe il existe uniquement des gens
en fort bonne santé, mais fainéants. Et du reste, en l’occurrence, aurait-il entièrement tort ? Effectivement,
à part cette somnolence vraiment superflue chez quelqu’un qui avait dormi longtemps, Gregor se sentait
fort bien et avait même particulièrement faim.
Tandis qu’il réfléchissait précipitamment à tout cela sans pouvoir se résoudre à quitter son lit – la
pendulette sonnait juste six heures trois quarts –, on frappa précautionneusement à la porte qui se trouvait
au chevet de son lit. « Gregor », c’était sa mère qui l’appelait, « il est sept heures moins un quart. Est-ce
que tu ne voulais pas prendre le train ? » La douce voix ! Gregor prit peur en s’entendant répondre : c’était
sans aucun doute sa voix d’avant, mais il venait s’y mêler, comme par en dessous, un couinement
douloureux et irrépressible qui ne laissait aux mots leur netteté qu’au premier instant, littéralement, pour
ensuite en détruire la résonance au point qu’on ne savait pas si l’on avait bien entendu. Gregor avait
d’abord l’intention de répondre en détail et de tout expliquer, mais dans ces conditions il se contenta de dire
: « Oui, oui, merci maman, je me lève. » Sans doute la porte en bois empêchait-elle qu’on notât de
l’extérieur le changement de sa voix, car sa mère fut rassurée par cette déclaration et s’éloigna d’un pas
traînant.
Mais ce petit échange de propos avait signalé aux autres membres de la famille que Gregor, contre
toute attente, était encore à la maison, et voilà que déjà, à l’une des portes latérales, son père frappait
doucement, mais du poing, en s’écriant : « Gregor, Gregor, qu’est-ce qui se passe ? » Et au bout d’un petit
moment il répétait d’une voix plus grave et sur un ton de reproche : « Gregor ! Gregor ! » Et derrière l’autre
porte latérale, la sœur de Gregor murmurait d’un ton plaintif : « Gregor ? Tu ne te sens pas bien ? Tu as
besoin de quelque chose ? » À l’un comme à l’autre, Gregor répondit « je vais avoir fini », en s’imposant la
diction la plus soignée et en ménageant de longues pauses entre chaque mot, afin que sa voix n’eût rien
de bizarre. D’ailleurs, son père retourna à son petit déjeuner, mais sa sœur chuchota : « Gregor, ouvre, je
t’en conjure. »
Kafka, La métamorphose.
Vocabulaire
1/ Qu’est-ce qu’une métamorphose ?
Un décalage comique
2/ Par quelles pensées est-il surtout préoccupé ? Sont-elles adaptées à la situation qu’il vit ? Dans la
même
situation, quelles auraient été vos premières pensées ?
3/ Relevez les détails qui montrent la médiocrité du personnage. Est-il coincé seulement dans son corps ?
4/ Du coup, pourquoi le lecteur a du mal à trouver la situation dramatique ? Mais qu’est-ce qui présage le
pire pour la suite ?
Pourquoi un cafard ?
5/ Quelle est la visée de l’auteur ? En analysant la médiocrité du personnage, qu’est-ce qu’a voulu faire
passer l’auteur en transformant le personnage ?
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Séance 3 : Dictée-réécriture type brevet Nom :
Kafka, La métamorphose. Classe :
I. Dictée.
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II. Réécriture.
« En se réveillant un matin de rêves agités, Gregor Samsa se retrouva dans son lit métamorphosé en
cafard géant. Il était couché sur le dos, un dos dur comme une carapace et, en soulevant un peu la tête, il
voyait son ventre, bombé, brun, divisé par des nervures en arceaux, en haut duquel le couvre-lit, prêt à
glisser, tenait à peine. Ses multiples pattes, pitoyablement grêles comparées au reste de son corps,
s’agitaient désespérément devant ses yeux. »
Réécrivez ce texte en remplaçant « Gregor Samsa » par « ils ». Faites toutes les transformations
nécessaires.
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III.Questionnaire.
1. Relevez les temps verbaux dans cet extrait.
a. A quels temps sont-ils ?
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b. Quelles sont les valeurs de ces temps verbaux ?
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2. Analysez le mot « pitoyablement » :
a. Donnez sa nature et sa fonction dans la phrase.
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b. A partir de quel adjectif est-il formé, et qu’a-t-on rajouté ?
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c. Donnez trois mots issus de la même famille.
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4/4
Arts plastiques Continuité
Pédagogique
3ème Séquence 3 « corps et paysage » 5
Objectifs : expérimentation dans l’espace réel séance 2 : Expérimentation n°2
Questions à se poser
- Quels points communs ont mon corps et le paysage?
- Comment les faire interagir ?
- Comment mettre en scène ma photographie pour que les deux thèmes semblent liés?
p. 1
¿ Te gusta el arte ? si ,no porqué ?
Me gusta el arte porque…….
No me gusta el arte porque…..
La ciudad ideal.
Traducir el poema de la linéa 1 hasta 5 :
La ville idéale devrait être :
Avec de grands arbres à fruits dans les rues ;
Avec des jardins sans grilles,
Avec des fleurs colorées dans les coins de rues
Et sans clôtures qui séparent.
1A. Los elementos que remiten (renvoient) al mundo urbano son : el cemento ,
las calles, las rejas,esquinas, los cercos y las avenidas.
p. 2
Physique Chimie 3ème Semaine du 29 juillet au 2 août
Mettre tous les documents donnés à la suite du cours dans le classeur ou le cahier ! Travail
à rendre à la reprise des cours svp
Descriptif : Dans cette activité, les élèves travaillent sur la masse volumique d’un solide.
Compétences travaillées/évaluées :
D1 : Pratiquer des langages
● Lire et comprendre des documents scientifiques
● Utiliser la langue française pour rendre compte
● Passer d’une forme de langage scientifique à une autre
D4 : Pratiquer des démarches scientifiques
● Proposer une des hypothèses pour répondre à des questions scientifiques.
Concevoir une expérience pour la ou les tester.
● Interpréter des résultats expérimentaux, en tirer des conclusions et les
communiquer en argumentant
Évaluation
Situation problème
Lors d’une sortie scolaire en forêt, Léo a trouvé un morceau de métal jaune dans la
rivière. Il pense alors que c’est de l’or. Peux-tu l’aider à découvrir quel est ce métal ?
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Physique Chimie 3ème Semaine du 29 juillet au 2 août
Matériel
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Physique Chimie 3ème Semaine du 29 juillet au 2 août
3
Physique Chimie 3ème Semaine du 29 juillet au 2 août
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4
SVT 3ème Semaine du 29 juillet au 2 août
Mettre tous les documents donnés à la suite du cours dans le classeur ou le cahier ! Travail
à rendre à la reprise des cours svp
b. Les nerfs :
● sont des molécules.
● sont toujours inactifs lors de la consommation de drogues.
● forment un réseau de communication.
● sont des fibres nerveuses.
1
SVT 3ème Semaine du 29 juillet au 2 août
Titre :
Je m’entraîne
L’adénosine est une molécule fortement sécrétée dans certaines parties du cerveau lors du
2
SVT 3ème Semaine du 29 juillet au 2 août
sommeil mais moins présente au cours de l’éveil. Cette substance inhibe l’activité de certains
neurones en s’y fixant. Elle bloque notamment les neurones produisant de l’acétylcholine,
substance déclenchant l’éveil.
Plus de huit français sur dix consomme du café. La principale raison de cette consommation
repose sur le fait que le café tient éveillé. En effet, les études ont montré que la caféine
(contenue dans le café) est une substance dite antagoniste de l’adénosine : elle se fixe sur les
récepteurs à adénosine empêchant cette dernière d’agir.
Un homme de 30 ans est victime d’un accident lors d’un entraînement de motocross. Bien
que ses jambes soient paralysées, il continue de ressentir de la douleur ou encore les
variations de température.
En regardant la radiographie, on observe une fracture de la colonne vertébrale qui protège la
moelle épinière.
3
SVT 3ème Semaine du 29 juillet au 2 août
4) Indique quel type de message nerveux (moteur ou sensitif) est impacté chez
l’homme accidenté en justifiant ta réponse.
5) Décris les résultats obtenus par Magendie. Conclus à l’aide de cette expérience.
4
M. FEJOZ Mardi 23 juillet
Professeur d’Histoire-Géographie
et EMC.
Continuité pédagogique semaine, du 23 au 26 Juillet 2024.
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II) Les conséquences de l’armistice.
Utilise les Doc. 5, 6 et 7 p 95
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III) Vichy et la collaboration.
Utilise les réponses aux questions des documents 1 à 5 pages 98 et 99.
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Séance 2 : De Gaulle et la résistance.
Problématique : Comment et pourquoi De Gaulle entre-t-il en résistance ?
Comment s’organise la résistance intérieure ?
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b) la lutte extérieur.
Utilise les réponses aux questions 2, 3 et 4 p 101.
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3) Finally, try and make a recap of what you have just understood
then prepare yourself to present it in front of your friends in an
autonomous way.
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Séance 4 : Gram : Present Perfect
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