SPEECH-GELAS

RAMIAKATRARIVO Auguste Aimé Gélas
MERCI MONSIEUR LE PRESIDENT DU JURY DE M’AVOIR

DONNE LA PAROLE.
 Mr le Président de jury
 Mr l’Examinateur
 Mr l’Encadreur
 Honorable assistance
BONJOUR !!!
C’est un grand plaisir pour moi de vous souhaiter la bienvenue à
cette présentation. En vue de l’obtention de diplôme de licence
professionnelle en Agronomie. Portant sur le thème :
AMELIORATION DE LA TECHNIQUE ET CONDUITE
D’ELEVAGE DE ZEBU MALAGASY, dans la commune rurale
Taindambo, district Lalangina et Région Haute Matsiatra.
Mais avant toute chose, nous voulons remercier DIEU TOUT

PUISSANT de nous avoir donné la force, le courage, la santé pour la
réalisation de cette soutenance aujourd’hui.
Ensuite, ce présent ouvrage a été réalisé grâce au soutien de diverses
personnes, mes sincères remerciements sont en particulier :
 A vous Mr le Président de jury
 A vous Mr l’Examinateur
 A vous Mr l’Encadreur
Ames parents, ma chère famille, mes amis, Merci infiniment !
Sans plus tarder, Passons maintenant à l’introduction :
Pour réaliser notre devoir nous avons utilisé la méthode
IMMRED composé de 4 grandes parties, qui sont :
 1ère partie revue bibliographie
 2ème partie Matériel et méthode
 3ème partie Résultats et interprétation
 Enfin la 4ème partie on va voir la discussion et la suggestion
Nous allons tout de suite commencer par la première partie : La

partie1 comporte deux grands chapitres, nous allons donc parler de
la cadre théorique et ensuite la présentation de la zone d’étude.
Pour le chapitre1 : la cadre théorique

Nous allons voir l’historique et l’origine du bovin à Madagascar
D’abord L’absence de vestiges fossiles semble indiquer que le
bœuf est d’introduction récent à Madagascar
L’espèce bovine est l’ensemble des mammifères domestique
herbivore, de la famille bovidé
Pour le chapitre 2 la présentation de la zone d’étude

Taindambo est une commune rurale qui appartient à la région Haute
Matsiatra, District de Lalangina. Elle se situe à 17 km à lEst de
Fianarantsoa. La commune rurale Taindambo a pour coordonnées
géographique : entre 21° à 22° minutes de latitude Sud et 47° à 48°
minutes de longitude Est. Elle s’étend sur une superficie de 85km2 qui
se repartie en 6 Fokotany. Cette commune est dotée d’un climat du
type tropical humide avec un pluviomètre annuel 1500 à 3000 mm /an
et la température varie entre 10 à 30°C.
Ensuite, nous allons voir la seconde partie : MATERIELS ET
METHODES.
Cette partie concerne en général toutes les démarches qui permettront

de constituer la troisième partie. Elle est composée des plusieurs
matériels utilisés comme le matérielle, d’études (Lettre d’introduction
venant d l’ISTE, fiche d’enquête, Cahier, stylo, appareil photo) . La
méthode d’étude adoptée se devise en trois phases : premièrement, la
phase de préparation (préparation des termes de référence),
Deuxièmement la phase de vérification de l’hypothèse (recherche
bibliographique, webographie, documentaire sur internet pour
collecter de donné). Troisièmement la phase de traitement de donnée
Maintenant, passons à la troisième partie : RESULTATS ET

INTERPRETATIONS
Dans la troisième partie, nous allons voir les enquêtes sur le
chapitre1
Les tableaux huit(8) et neuf(9) dans la page 26 et 27 nous montre les
répartitions cheptels bovines dans les deux Fokotany : Maromangaika
et taindambo
Ensuite nous allons voir les besoins alimentaires des animaux en traits
Les tableaux dix(10) et onze (11) nous montre les besoins
énergétiques des bovins en traits (page 29 et 30)
Alimentation des autres animaux (Cas des animaux
engraissés)
Dans ce cas nous allons voir des plusieurs systèmes d’élevage
Premièrement Le système d’élevage traditionnel
Mode d’affouragement peu coûteux sur les pâturages naturels
broutés sur pied par le troupeau sans aucun complément ;
Le système d’ARAKANDROVY
Où le gardiennage est de règle. Les animaux sont libres mais
sous la garde du bouvier le jour et dans un parc la nuit.
Forme la plus répandue.
Le système de MIDADA
Où le bétail est laissé en liberté totale jour et nuit au

pâturage, contrôlé de temps en temps par le propriétaire.
Tend à disparaître progressivement
Deuxièmement le système d’élevage extensif amélioré
Embouche à l’herbe (DABOKANDRO)
· Technique traditionnelle d’engraissement à peu de frais : achat
des adultes maigres (par troupeau) en fin de saison sèche,

gardiennage dans des pâturages riches en quantité et en qualité
pendant une ou deux saisons de pluie.
· Pratique très courante il y a un demi-siècle, produit des

animaux gras qui donnent des viandes de bonne qualité et un
rendement proche de 60%.
Production des bœufs de fosse (OMBY MIFAHY)
Pratique traditionnelle d’engraissement intensif. Un ou deux

bovins adultes maigres sont gardés en permanence attachés dans
le parc à bœufs ou dans une fosse individuelle, nourris
"ad libitum" avec de l’herbe cueillie complémentée de son, de

manioc, de fanes d’arachides et de l’eau à volonté.
Maintenant passons à l’interprétation
Les tableaux 8 et 9 nous montrent que les éleveurs rêvent élevés

des animaux mâles car :
Le zébu male est encore aujourd’hui très utilisé en tant
qu’outil de travail dans les campagnes malgaches. Il est
même possible de voir de charrues à zébus, pour labourer
les champs, transporter les récoltes, la charrue et le herse
sont encore très utilisées
L’efficacité des aliments utilisés
Le tableau 1 nous montre l’efficacité de l’aliment utilisé(page 34)

L’application de l’aliment complet est très efficace pour la croissance
de l’animal
Analyse de système d’élevage

Donc le système d’élevage traditionnel amélioré est plus rentable que
le système d’élevage traditionnel
AINSI ; terminons l’étude avec la quatrième partie les
discussions et la suggestion, D’abord la discussion
Chapitre 1DISCUTION
On sait que le 90% des éleveurs à Madagascar pratiquent l’élevage

traditionnel.
L’élevage traditionnel amélioré (embouche à l’herbe et production
de bovin de fosse) est l’avoir plus de rendement être venue
économique
La pratique de l’élevage traditionnel est très fréquentée mais il est
très lent, tardive et d’avoir beaucoup de risque des maladies bovines
• Vols de bœufs incontrôlés.
• Disponibilité irrégulière en eau d’abreuvement et en fourrages.
• Faiblesse du rendement de l’élevage dans un milieu difficile.
• Élevage à cycle très long.
• Élevage extensif traditionnel, peu productif et peu soucieux de

l’environnement (feux de pâturages).
• Diminution progressive et inexorable des espaces pastoraux et de la

biomasse (en quantité et en qualité) par l’extension des cultures et
l’appauvrissement du sol
Passons maintenant à la suggestion
Pour l’éleveur
 Connaissance de la technique de fabrication de provende pour
assure le besoin journalier de bovin
 Gagner la confiance des paysans en leur prouvant que les
techniques améliorées sont faciles à appliquer et plus
rentables.
 Utiliser de provende à l’alimentation du bovin
 Abandonner la pratique traditionnelle et d’appliquer les
nouvelles techniques pour avoir un meilleur rendement
 Il faut dénouer le blocage qui limite les éleveurs à l’utilisation
des nouveaux systèmes de productions
Pour le service vétérinaire

o Renforcement de la protection sanitaire des animaux.
o Renforcement de l’épidémio-surveillance et vigilance (maîtrise
de l’état sanitaire des bovins à viande et bovin à trait)
o Maîtrise des maladies courantes, augmentation de taux de
couverture vaccinale.
o Maîtrise d’un système d’alerte précoce en matière de santé
animale.
Pour la commune
-L’électrification rurale
En outre, il est primordial :
-D’augmenter le nombre de la gendarmerie dans cette commune afin
de maintenir la sécurité
- Renforcement de la lutte contre le vol de bœuf
- créé des entreprises pour l’embouche semi-intensive afin d’obtenir
des bovins de meilleures qualités bouchères.
Passons maintenant à la conclusion
Notre étude expérimentale réalise dans la commune rurale Taindambo

a permis de montrer que la plupart des populations dans la commune
sont élevées des zébus de race locale. Cette étude montre que les
paysans ont problèmes liés aux systèmes d’exploitation dominés par
les techniques traditionnels, mais inadaptable à leur situation actuel
comme l’insuffisance d’exploitation de ses richesses
Messieurs les membres de jury, honorable assistants, c’est ainsi que se

termine ma première intervention. Je suis entièrement à votre
disposition pour tenir compte de vos remarques. Merci de votre
aimable attention !

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MERCI MONSIEUR LE PRESIDENT DU JURY DE M’AVOIR

Mais avant toute chose, nous voulons remercier DIEU TOUT

Nous allons tout de suite commencer par la première partie : La

Pour le chapitre1 : la cadre théorique

Pour le chapitre 2 la présentation de la zone d’étude

Cette partie concerne en général toutes les démarches qui permettront

Maintenant, passons à la troisième partie : RESULTATS ET

Où le bétail est laissé en liberté totale jour et nuit au

Deuxièmement le système d’élevage extensif amélioré

Embouche à l’herbe (DABOKANDRO)

· Technique traditionnelle d’engraissement à peu de frais : achat

des adultes maigres (par troupeau) en fin de saison sèche,

· Pratique très courante il y a un demi-siècle, produit des

Pratique traditionnelle d’engraissement intensif. Un ou deux

"ad libitum" avec de l’herbe cueillie complémentée de son, de

Maintenant passons à l’interprétation

Les tableaux 8 et 9 nous montrent que les éleveurs rêvent élevés

L’efficacité des aliments utilisés

Le tableau 1 nous montre l’efficacité de l’aliment utilisé(page 34)

Analyse de système d’élevage

On sait que le 90% des éleveurs à Madagascar pratiquent l’élevage

• Disponibilité irrégulière en eau d’abreuvement et en fourrages.

• Faiblesse du rendement de l’élevage dans un milieu difficile.

• Élevage à cycle très long.

• Élevage extensif traditionnel, peu productif et peu soucieux de

• Diminution progressive et inexorable des espaces pastoraux et de la

Pour le service vétérinaire

Passons maintenant à la conclusion

Notre étude expérimentale réalise dans la commune rurale Taindambo

Messieurs les membres de jury, honorable assistants, c’est ainsi que se

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