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REMERCIEMENTS

La réalisation de cette étude n’aurait pas été possible sans l’aide et le


concours précieux de ceux et de celles qui, de près ou de loin, à des titres divers,
nous ont permis de mener à bien nos travaux.
Tout d’abord, nos remerciements vont à :
Notre DIEU Tout Puissant qui nous veille durant la réalisation de ce travail
de mémoire.
De plus, nous tenons à exprimer nos vifs remerciements à toutes personnes
qui ont contribué à la réalisation de ce travail.
Particulièrement nous adressons notre reconnaissance à :

- Monsieur , Docteur zootechnie, Maître de


conférences, Enseignant chercheur à l’école supérieure des Sciences
Agronomiques , notre tuteur, qui nous a dirigé avec beaucoup de compréhension
et d’amabilité tout au long de l’élaboration de ce travail.
- Monsieur , Docteur ès-Sciences Naturelles;
Docteur IIIè cycle en Sciences Biologiques Appliquées, Chef de département
ELEVAGE à l’Ecole Supérieure des Sciences Agronomiques, qui malgré ses
importantes responsabilités, nous fait le grand honneur de présider le jury de
cette soutenance.
- Monsieur , Ph.D en alimentation animale, Maître
de Conférences, Enseignant Chercheur à l’Ecole Supérieure des Sciences
Agronomiques qui a bien voulu siéger parmi les membres de jury.
- Monsieur , Docteur Ingénieur, Maître de
conférences, Enseignant chercheur à l’Ecole Supérieure des Sciences
Agronomiques ; pour avoir accepté de faire partie au jury de ce mémoire.
Nos remerciements vont également à :
Tous les enseignants du département ELEVAGE, tous les
personnels de l’ESSA
Tous ceux qui ont participé, de loin ou de près, à l’aboutissement de ce
travail de mémoire
INTRODUCTION
L'élevage traditionnel de volaille est une activité pratiquée par de nombreux
ménages ruraux dans le monde, notamment à Madagascar. Il présente de
nombreux avantages, tels que la fourniture de protéines animales, la
génération de revenus, la valorisation des ressources locales et la contribution
à la sécurité alimentaire. Toutefois, il fait face à des contraintes importantes,
telles que la faible productivité, la forte mortalité, les maladies, les prédateurs,
le manque d'aliments et d'infrastructures, et la concurrence des produits
importés.

Dans ce contexte, le présent mini-mémoire se propose d'étudier l'élevage


traditionnel de volaille dans le district Ambovombe , qui est une région située
dans le sud de Madagascar. Il s'agit de comprendre les caractéristiques, les
enjeux et les perspectives de cette activité dans cette zone spécifique, en
tenant compte des aspects socio-économiques, culturels et
environnementaux. La problématique qui guide ce travail est la suivante:
comment améliorer les conditions et les performances de l'élevage
traditionnel de volaille dans le district Ambovombe ?

Pour répondre à cette question, nous avons adopté une démarche


méthodologique basée sur une revue de la littérature, une analyse des
données statistiques et une enquête par questionnaire auprès d'un échantillon
d'éleveurs du district. Nous avons structuré notre mini-mémoire en trois
parties: la première partie présente le contexte général de l'élevage
traditionnel de volaille à Madagascar et dans le district Ambovombe ; la
deuxième partie analyse les forces, les faiblesses, les opportunités et les
menaces de cette activité dans la zone d'étude; la troisième partie propose des
recommandations pour améliorer l'élevage traditionnel de volaille dans le
district Ambovombe .
I- GENERALITE SUR L’AVICULTURE ET ETUDES
BIBLIOGRAPHIQUES
GENERALITE

Voici un exemple de développement suivant une introduction d'élevage


traditionnel de volaille:

Première partie: Le contexte général de l'élevage traditionnel de volaille à


Madagascar et dans le district Ambovombe

Dans cette partie, nous allons présenter le contexte général de l'élevage


traditionnel de volaille à Madagascar et dans le district Ambovombe , en
abordant les aspects historiques, géographiques, démographiques,
économiques et institutionnels.

1.1. L'élevage traditionnel de volaille à Madagascar

L'élevage traditionnel de volaille est une activité ancienne à Madagascar, qui


remonte à l'arrivée des premiers habitants sur l'île. Selon Rakotondravao
(2008), les premières races de poules introduites à Madagascar sont la poule
malgache, la poule indienne et la poule chinoise. Ces races se sont adaptées
aux conditions climatiques et écologiques de l'île, et ont donné naissance à
une diversité de variétés locales, qui se distinguent par leur plumage, leur
taille, leur forme et leur couleur.

L'élevage traditionnel de volaille est pratiqué par la majorité des ménages


ruraux à Madagascar, qui possèdent en moyenne 10 à 15 têtes de volaille
(Rakotondravao, 2008). Il se caractérise par un mode d'élevage extensif, où les
volailles sont laissées en liberté dans le village ou autour de la maison, et où
elles se nourrissent essentiellement des déchets ménagers, des insectes et des
graines qu'elles trouvent dans la nature. L'éleveur n'intervient que pour fournir
un abri sommaire, souvent constitué d'un panier ou d'une caisse, où les
volailles passent la nuit et pondent leurs œufs. Il n'y a pas de contrôle de la
reproduction, ni de sélection des reproducteurs. Les volailles sont élevées pour
leur chair et leurs œufs, mais aussi pour leur valeur sociale et culturelle. En
effet, les volailles sont utilisées comme monnaie d'échange, comme cadeau,
comme offrande ou comme sacrifice lors des cérémonies traditionnelles
(mariage, funérailles, circoncision, etc.).
L'élevage traditionnel de volaille contribue à la sécurité alimentaire et au
revenu des ménages ruraux à Madagascar. Selon le recensement général de
l'agriculture et de l'élevage (RGA) de 2004-2005, cité par Rakotondravao
(2008), la production annuelle de viande de volaille était estimée à 36 000
tonnes, soit 13% de la production totale de viande. La consommation annuelle
par habitant était estimée à 2 kg, soit 10% de la consommation totale de
viande. La production annuelle d'œufs était estimée à 216 millions d'unités,
soit 4 œufs par habitant. La vente des produits avicoles représente une source
importante de revenu pour les éleveurs, qui peuvent ainsi faire face aux
dépenses imprévues ou aux besoins spécifiques (scolarité des enfants, soins
médicaux, etc.).

Toutefois, l'élevage traditionnel de volaille fait face à plusieurs contraintes qui


limitent son potentiel de développement. Parmi ces contraintes, on peut citer:

● La faible productivité: les performances zootechniques des volailles


locales sont faibles, en raison du manque d'alimentation équilibrée, du
stress thermique, du parasitisme et du vieillissement du cheptel. Selon
Rakotondravao (2008), le poids vif moyen d'une poule locale est de 1 kg
à l'âge adulte, le taux de ponte est de 30 à 40 œufs par an, le taux
d'éclosion est de 60 à 70%, et le taux de croissance est de 3 à 4 g par
jour.

● La forte mortalité: les volailles sont exposées à de nombreux risques


sanitaires, tels que les maladies infectieuses (Newcastle, gumboro,
coccidiose, etc.), les parasites internes et externes (vers, poux, tiques,
etc.), et les intoxications alimentaires. Selon Rakotondravao (2008), le
taux de mortalité des volailles locales peut atteindre 80% dans certaines
régions, dont 50% chez les poussins de moins de deux mois.

● Les prédateurs: les volailles sont la proie de nombreux animaux


sauvages ou domestiques, tels que les chiens, les chats, les rats, les
rapaces, les serpents, etc. Selon Rakotondravao (2008), le taux de
prédation des volailles locales peut atteindre 20% dans certaines
régions.

● Le manque d'infrastructures: les volailles disposent de peu d'espace et


de confort, ce qui affecte leur bien-être et leur santé. Les abris sont
souvent insuffisants, mal ventilés, mal éclairés et mal entretenus. Les
équipements sont rudimentaires ou inexistants (mangeoires, abreuvoirs,
couveuses, etc.).

● La concurrence des produits importés: les volailles locales sont


confrontées à la concurrence des produits avicoles importés,
notamment des poulets de chair congelés et des œufs de table. Ces
produits sont souvent vendus à des prix inférieurs à ceux des produits
locaux, en raison des subventions accordées par les pays exportateurs
ou des pratiques de dumping. Selon Rakotondravao (2008), les
importations de viande de volaille sont passées de 4 000 tonnes en
1995 à 16 000 tonnes en 2005, soit une augmentation de 300%.

Face à ces contraintes, plusieurs initiatives ont été mises en œuvre pour
améliorer l'élevage traditionnel de volaille à Madagascar, notamment:

● La promotion des races améliorées: il s'agit d'introduire des races de


volailles plus productives et plus résistantes aux maladies, telles que la
poule Kabir, la poule Isa Brown ou la poule Sasso. Ces races sont issues
de croisements entre des races locales et des races exotiques. Elles
présentent des performances zootechniques supérieures à celles des
volailles locales, mais nécessitent aussi plus d'investissements et de
soins.

● La vulgarisation des bonnes pratiques d'élevage: il s'agit de former et


d'accompagner les éleveurs pour qu'ils adoptent des pratiques
d'élevage plus rationnelles et plus durables, telles que la gestion du
cheptel, l'alimentation équilibrée, la prévention et le traitement des
maladies, la protection contre les prédateurs, la construction et
l'aménagement des abris, etc.

● La structuration et la professionnalisation des filières avicoles: il s'agit de


renforcer l'organisation et la coordination des acteurs impliqués dans la
production, la transformation et la commercialisation des produits
avicoles (éleveurs, vétérinaires, techniciens, transformateurs,
distributeurs, etc.), afin d'améliorer la qualité et la traçabilité des
produits, de réduire les coûts de production et de transport, et
d'accéder à de nouveaux marchés.
Ces initiatives ont permis d'obtenir des résultats positifs sur l'élevage
traditionnel de volaille à Madagascar. Selon le RGA de 2013-2014
(MAEP/INSTAT/FAO/PAM), cité par Razafindraibe (2016), le cheptel avicole a
augmenté de 28% entre 2004-2005 et 2013-2014, passant de 36 millions à 46
millions de têtes. La production annuelle de viande de volaille a augmenté de
33%, passant de 36 000 tonnes à 48 000 tonnes. La production annuelle
d'œufs a augmenté de 38%, passant de 216 millions d'unités à 298 millions
d'unités.

Toutefois, ces initiatives restent insuffisantes pour répondre aux besoins


croissants de la population en matière de protéines animales. Selon
Razafindraibe (2016), la consommation annuelle par habitant est passée de 2
kg à 2,2 kg pour la viande de volaille et de 4 œufs à 5 œufs
ETUDES BIBLIOGRAPHIQUES

I.1- Importance de l’aviculture

L’importance de l’aviculture se rapporte à deux domaines très importants. En


premier lieu, il y a l’importance économique et ensuite l’importance nutritionnelle.

Importance économique :

Deux types d’élevage existent en Afrique tropicale : un élevage moderne ou


amélioré, caractérisé par la claustration et la mise à la disposition des volailles
d’un aliment complet, et l’élevage traditionnel, dans lequel les volailles sont
en liberté pendant la journée et reçoivent plus ou moins irrégulièrement un
complément alimentaire constitué par des déchets de l’alimentation familiale
ou par des produits qui ne coûtent rien .Ce dernier est fréquemment observé en
milieu rural de Madagascar comme dans le district AMBOVOMBE Androy
Il convient de souligner la très grande prédominance, parfois même quasi absolue,
du secteur traditionnel sur le secteur dit moderne ou amélioré.
On prévoit une augmentation de l’importance de l’élevage avicole rendue
indispensable par l’accroissement de la population et l’augmentation rapide du
prix de la viande de la boucherie qui le met hors de la portée d’une partie
importante de la population. La viande de poulet est la plus appropriée de toutes
les viandes d’animaux domestiques dans de nombreuses régions. Dans la
mesure où les revenus des ménages s’accroissent et où la production avicole
peut satisfaire la demande, la consommation augmente et pourrait sans aucun
doute atteindre un niveau élevé
La consommation des œufs, freinée par un certain nombre d’interdits, restera
probablement plus limitée.
Compte tenu, en plus des raisons ci-dessus évoquées, de la relative stagnation de
la production bovine dans les pays en voie de développement, de la demande des
consommateurs et de la rapidité de mise en place d’une aviculture à caractère
industriel, on peut s’attendre à une progression rapide de cette forme d’élevage
dans les prochaines années
Du point de vue économique, l’amplification de l’aviculture a pour effet :
- de diversifier le revenu des populations d’élevage des zones
rurales ;
- d’économiser une partie de l’argent dépensées pour l’achat de
produits alimentaires de haute valeur nutritive.
Enfin, par rapport aux autres élevages, l’aviculture présent bon nombre d’aspects
favorables :
- résultats rapides si l’élevage est bien mené ;
- modicité des investissements au départ ;
- techniques d’élevage relativement simples, pouvant s’acquérir
avec un peu de bon sens, d’ordre et de persévérance dans l’effort ;
- débouchés assurés presque partout, en raison de la possibilité de
vendre la production en unités de faibles valeurs, quelques œufs,
une jeune volaille, qui le met au porté des acheteurs les plus
modestes.

Importance nutritionnelle
Les produits avicoles ont pris une place importante dans l’alimentation d’une
partie de l’humanité. Parmi les principes indispensables dans la ration
alimentaire de l’homme, figurent les matières azotées et, plus particulièrement,
celles qui sont fournies par les aliments d’origine animale : viande, dont celle
des volailles, poissons, œufs, lait et produits laitiers, etc
Sans la présence de ces principes dans une ration alimentaire, celle-ci est incapable
d’assurer :
- le développement du jeune enfant en croissance et son bon état de
santé ;
le maintient en bonne santé de l’adulte, condition essentielle de son activité et,
par conséquent, du développement économique du district et de la région

Besoin d’alimentation
Aliment donne d’énergie
Il est nécessaire pour le mouvement de voler, prendre de la nourriture, marcher,
pondre, grimper
Exemple : riz, patate, manioc, maïs, sorgo
Aliment protéiné
Améliore le fonctionnement des organes, assure leur croissance et améliore la
production
Exemple : Amibe, soja, haricot, poisson de mer, escargot, Moringa
Aliment minéral
Nécessaire à la formation des os et à la production d’œufs
Exemple : sels, coquille,
Aliments riches en vitamines (vitA2, D, B2)
Détruit le système immunitaire de l’animal (le protège des maladies), aide
l’animal à grandir
Exemple : pastèque, tomate, bred,
Remarque
Chaque jour, les volailles doivent manger des aliments qui leur fournissent de
l’énergie, des protéines, des minéraux, des vitamines et de l’eau
Administré en alternance ou ensemble du matin ou soir
MELANGE ALIMENTAIRE QOUTIDIEN POUR UN POULET
2/3 de nourriture pour l’énergie, 1/3 de nourriture pour les protéines, minéraux et
vitamines
TABLEAU : la volaille est un aliment pour chaque trance d’âge
AGE Nourriture distribuée Les essentiels du
quotidiennement quotidien
/oiseaux
1 semaine 10-15 g 12-15 g
2 semaine 15-20 g 15-21 g
3 semaine 21-30 g 21-35 g
4-6semaine 30-40 g 35-50 g
8 semaine 30-40 g 55-60 g
16-27semaine 30-50 g 65-80 g
28semaine 30-50 g 100 g
NB : à partir de 5 mois, la nourriture qu’ils consomment doit être de 123g par
jour
Pas plus que nous. Si nous en faisons plus, Cela devient simplement une
dépense. Parce que les besoins nutritionnels ont été satisfaits

PASSONS A LA QUESTION DES RENCONTRES OU DU FAITE D’ETRE A


NOUVEAU ENSEMBLE
D’abord : avant d’élever , vous devez connaître le type de poulet qui sera élevé :
Poulets qui pondent des œufs longs, ou poulets pour la viande ou la viande( œufs
et viande ), ou d’autres types tels que les poulets à roulettes
Quand tu sais ça , c’est ton choix que tu regardes au marché ou chez les gens qui
l’ont .Parce qu’ ils ont des façons différentes de les regarder . Vers l’âge de
5mois environ, la poule peut pondre son premier œuf.
La poule mâle a environ 6 ou 7 mois et c’est très bien de suivre la poule femelle
1 poulet mâle peut être associé à 10 poulets femelles
Voici quelques bonne choses à savoir avant d’acheter du poulet à l’épicerie :
Apperence et de condition physique des femmes, des hommes et des
enfants
Actif
Beaucoup d’œufs
Bonnes compétences parentales
Capable de Broyer
Poulets de plusieurs générations
Son origine et connue
Mettez de côté les nouveaux poulets pendant environ trois semaines
Il est interdit de stocker dans un endroit non contrôlé
Chez les poules pondeuses :
Donner une nourriture riche en calcium , placer les œufs dans un endroit où il
n’y a aucun risque de les abîmer ( un endroit propre et sans distractions)
Ecraser :
Chouisissez-vous les œufs brouillés ? un œufs intact, un œufs propre.
Gardez les poules courantes dans un endroit calme et légèrement sombre
La poule couve pendant 21 jours. Les oiseaux et les canards mettent un plus de
temps (environ 28 à 35 jours)
Lorsque les œufs (Oursons) éclosent, il est bon qu’ils restent avec leur mère
pendant 1 ou 2 mois. Après cela, il peut être séparé afin que la mère poule puisse
à nouveau pondre
Les poulets mâles doivent être remplacé tous les 2 ans, ainsi que les poulets
femelles. La raison est la question de la « consanguinité » ou de l’animal
abstinent , et on peut dire que les poulets sont fatiguées de produire si elles ont
dépassé cet âge . Il produit mais il n’arrive pas à produire aussi bien que lorsqu’il
n’avait que 6 mois (jeune)

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