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Maths

@avoirsonbrevet

Les calculs de moyennes et de


fréquences
Calcul de la moyenne :
Pour calculer la moyenne d'un ensemble de valeurs, il
suffit de faire la somme de toutes ces valeurs, puis de
diviser cette somme par le nombre total de valeurs.
Exemple :
Supposons que vous ayez les notes suivantes pour un
contrôle : 12, 15, 14, 16, 18.
La moyenne de ces notes serait calculée comme suit :
(12 + 15 + 14 + 16 + 18) / 5 = 75 / 5 = 15.
La moyenne des notes est donc de 15.
Calcul de la fréquence :
La fréquence d'un événement correspond au nombre de
fois où cet événement se produit dans un ensemble de
données.
Exemple :
Supposons que vous ayez le tableau suivant qui indique
le nombre d'enfants dans différentes familles :
2, 3, 4, 2, 2, 3, 3, 4, 2, 3.
Pour calculer la fréquence de chaque nombre
d'enfants, vous devez compter combien de fois chaque
nombre apparaît, puis diviser ce nombre par le total
d'observations.
- Fréquence du nombre 2 : 4/10 = 0,4 (soit 40%)
- Fréquence du nombre 3 : 4/10 = 0,4 (soit 40%)
- Fréquence du nombre 4 : 2/10 = 0,2 (soit 20%)
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@avoirsonbrevet

Equations

1. Équations du premier degré :


- ax + b = 0 (où a et b sont des nombres donnés)
- 2x - 5 = 7
2. Équations du second degré :
- ax^2 + bx + c = 0 (où a, b et c sont des nombres
donnés)
- 3x^2 - 4x + 1 = 0
3. Équations avec des fractions :
- (2/3)x + 1 = 2
- (3/4)x - 2 = 1
4. Équations avec des valeurs absolues :
- |2x - 3| = 5
- |x + 4| = 2


5. Équations avec des racines carrées :

- (x + 2) = 4
- (3x - 1) = 2
6. Systèmes d'équations linéaires :
- { 2x + 3y = 5
{ 4x - y = 7
7. Équations à plusieurs variables :
-x+y=6
- 2x - 3y = 10
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Les grandeurs proportionnelles


Deux grandeurs sont dites proportionnelles si elles
varient de manière équivalente. Autrement dit, si le
rapport entre les valeurs de deux grandeurs reste
constant, on dit qu'elles sont proportionnelles.
1. Proportionnalité directe :
- Deux grandeurs sont directement proportionnelles
si leur rapport reste constant.
- On peut exprimer cela par une équation de la forme
y = kx, où y et x sont les deux grandeurs et k est la
constante de proportionnalité.
Exemple : Si le nombre de kilomètres parcourus est
proportionnel au temps de conduite, on peut écrire
l'équation K = v × t, où K est le nombre de kilomètres
parcourus, v est la vitesse constante et t est le temps
de conduite.
2. Représentation graphique de la proportionnalité
directe :
- Dans un graphique représentant une proportionnalité
directe, les points correspondant aux valeurs des
grandeurs se trouvent sur une droite passant par
l'origine.
3. Proportionnalité inverse :
- Deux grandeurs sont inversement proportionnelles si
leur produit reste constant.
- On peut exprimer cela par une équation de la forme
y = k/x, où y et x sont les deux grandeurs et k est la
constante de proportionnalité.
Exemple : Si le temps nécessaire pour accomplir un
travail est inversement proportionnel à la quantité de
travail accomplie par heure, on peut écrire l'équation T
= k/W, où T est le temps nécessaire, W est la quantité
de travail et k est la constante de proportionnalité.
4. Représentation graphique de la proportionnalité
inverse :
- Dans un graphique représentant une proportionnalité
inverse, les points correspondant aux valeurs des
grandeurs se trouvent sur une courbe hyperbolique.
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Identités remarquables
Les trois identités remarquables les plus
couramment mentionnées en mathématiques sont
les suivantes :
1. Identité remarquable du carré de la somme
(a + b)² = a²+ 2ab + b²
2. Identité remarquable du carré de la différence :
(a - b)²= a² - 2ab + b²
3. Identité remarquable du produit de la somme et
de la différence : (a + b)(a - b) = a² - b²
Identité remarquable du carré de la somme :
Si nous avons l'expression (x + 3)², nous pouvons
l'expander en utilisant l'identité remarquable du
carré de la somme :
(x + 3)² = x²+ 2x x 3 + 3²= x²+ 6x + 9
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Les situations de proportionnalité

1. Définition de la proportionnalité :
La proportionnalité est une relation mathématique
entre deux grandeurs qui varient ensemble de manière
équivalente. Cela signifie que lorsque l'une des
grandeurs est multipliée ou divisée par un nombre,
l'autre grandeur subit la même opération.
2. Représentation graphique :
En représentant graphiquement les valeurs des
grandeurs proportionnelles sur un système d'axes, on
obtient une droite passant par l'origine. Cette droite est
appelée la droite de proportionnalité.
3. Règle de trois :
La règle de trois est un outil utilisé pour résoudre les
problèmes de proportionnalité.
Elle consiste à établir une équation de proportion en
utilisant les rapports entre les grandeurs connues et les
grandeurs inconnues, puis à résoudre cette équation
pour trouver la valeur inconnue.
4. Exemples de situations de proportionnalité :
a) Si 5 stylos coûtent 10 euros, combien coûtent 8
stylos ?
b) Un travailleur peut construire 4 murs en 6 jours.
Combien de murs peut-il construire en 9 jours ?
5. Calcul de la constante de proportionnalité :
Dans une situation de proportionnalité, la constante de
proportionnalité est le rapport entre les deux
grandeurs. Elle peut être calculée en divisant les
valeurs correspondantes des grandeurs.
6. Utilisation des pourcentages en proportionnalité :
Les pourcentages peuvent être utilisés dans les
situations de proportionnalité. Par exemple, si le prix
d'un produit augmente de 20 %, le nouveau prix sera
égal à 120 % du prix initial.
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Le calcul des aires et des volumes


1. Aires des figures planes :
- Carré : Aire = côté × côté (ou Aire = côté²)
- Rectangle : Aire = longueur × largeur
- Triangle : Aire = (base × hauteur) / 2
- Parallélogramme : Aire = base × hauteur
- Losange : Aire = (diagonale 1 × diagonale 2) / 2
- Cercle : Aire = π × rayon² (π est une constante
approximativement égale à 3,14)
2. Volumes des solides :
- Cube : Volume = côté × côté × côté (ou Volume =
côté³)
- Prisme droit : Volume = aire de la base × hauteur
- Cylindre : Volume = aire de la base × hauteur
- Pyramide : Volume = (aire de la base × hauteur) / 3
- Cône : Volume = (aire de la base × hauteur) / 3
- Sphère : Volume = (4/3) × π × rayon³
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Les angles et les droites


1. Angles :
- Un angle est une ouverture formée par deux demi-
droites ayant une origine commune, appelée le sommet
de l'angle.
- Les angles sont mesurés en degrés (°) ou en radians.
- Un angle droit mesure 90 degrés, un angle plat mesure
180 degrés et un angle complet mesure 360 degrés.
- Les angles aigus mesurent moins de 90 degrés.
- Les angles obtus mesurent plus de 90 degrés et moins
de 180 degrés.
- Les angles droits mesurent précisément 90 degrés.
- Les angles saillants mesurent plus de 180 degrés et
moins de 360 degrés.
- Les angles réflexes mesurent plus de 360 degrés.
2. Droites :
- Une droite est une ligne droite qui s'étend dans les deux
directions à l'infini.
- Une droite est composée d'une infinité de points et elle
n'a ni début ni fin.
- On peut nommer une droite en utilisant une lettre
majuscule, par exemple la droite AB.
- Deux droites peuvent se croiser en un point, former un
angle ou être parallèles.
- Des droites parallèles sont des droites qui ne se
croisent jamais et restent à une distance constante l'une
de l'autre.
Quelques notions supplémentaires :
- Bissectrice d'un angle : Une bissectrice est une droite qui
divise un angle en deux angles égaux.
- Somme des angles d'un triangle : Dans un triangle, la
somme des angles intérieurs est toujours égale à 180
degrés.
- Angles complémentaires et supplémentaires : Deux
angles sont complémentaires s'ils ont une somme de 90
degrés et supplémentaires s'ils ont une somme de 180
degrés.
- Droites parallèles et perpendiculaires : Deux droites
parallèles sont toujours à la même distance l'une de
l'autre et ne se croisent jamais. Deux droites
perpendiculaires se coupent en formant un angle droit.
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Les calculs avec les nombres


décimaux, les fractions et les
puissances.
1. Calculs avec les nombres décimaux :
- Lorsque vous effectuez des calculs avec des nombres
décimaux, il est important de respecter l'alignement des
décimales.
- Pour l'addition et la soustraction, alignez les décimales
et effectuez l'opération comme pour les nombres entiers.
Placez le point décimal dans le résultat directement sous
les points décimaux des nombres donnés.
- Pour la multiplication, ignorez les points décimaux et
multipliez les nombres comme des nombres entiers.
Comptez ensuite le total de chiffres décimaux dans les
nombres donnés et placez le point décimal dans le
résultat en partant de la droite après ce nombre de
chiffres.
- Pour la division, déplacez le point décimal du diviseur
pour le placer à la fin. Déplacez ensuite le point décimal
du dividende le même nombre de places vers la droite.
Effectuez la division comme pour les nombres entiers,
puis placez le point décimal dans le quotient.
2. Calculs avec les fractions :
- Pour l'addition et la soustraction de fractions, trouvez
un dénominateur commun, puis effectuez l'opération sur
les numérateurs. Simplifiez ensuite si nécessaire.
- Pour la multiplication de fractions, multipliez les
numérateurs entre eux et les dénominateurs entre eux.
- Pour la division de fractions, inversez la deuxième
fraction et effectuez une multiplication.
- Simplifiez les fractions autant que possible en divisant à
la fois le numérateur et le dénominateur par leur plus
grand diviseur commun.
3. Calculs avec les puissances :
- Pour multiplier des puissances ayant la même base,
ajoutez les exposants.
- Pour diviser des puissances ayant la même base,
soustrayez les exposants.
- Pour élever une puissance à une autre puissance,
multipliez les exposants.
- Pour simplifier une expression avec des puissances,
suivez les règles de priorité des opérations.
Quelques notions supplémentaires :
- Nombres décimaux en fractions : Un nombre décimal
peut être écrit en fraction en plaçant le chiffre après la
virgule dans le numérateur et le nombre de zéros
correspondant dans le dénominateur. Par exemple, 0,25
peut être écrit comme 25/100 ou 1/4.
- Exposants négatifs : Un exposant négatif signifie
l'inverse de la base élevée à l'exposant positif
correspondant. Par exemple, a^(-n) est égal à 1 / a^n.
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Les cercles et les figures


symétriques
1. Cercles :
- Un cercle est une figure géométrique qui se
compose de tous les points d'un plan équidistants d'un
point fixe appelé le centre du cercle.
- Le rayon d'un cercle est la distance entre le centre
du cercle et n'importe quel point de la circonférence.
- Le diamètre d'un cercle est le double du rayon et
est la distance entre deux points de la circonférence
passant par le centre.
- La circonférence d'un cercle est la longueur du
contour du cercle et est calculée en utilisant la formule :
C = 2πr, où π (pi) est une constante
approximativement égale à 3,14 et r est le rayon du
cercle.
- L'aire d'un cercle est l'espace à l'intérieur du cercle
et est calculée en utilisant la formule : A = πr², où r
est le rayon du cercle.
2. Figures symétriques :
- Une figure est symétrique si elle peut être divisée en
deux parties égales qui se reflètent parfaitement l'une
dans l'autre.
- L'axe de symétrie d'une figure est une droite imaginaire
qui divise la figure en deux parties symétriques.
- Une figure peut avoir un ou plusieurs axes de symétrie.
- Les figures symétriques peuvent être symétrie axiale
(ou symétrie miroir) ou symétrie centrale :
- La symétrie axiale se produit lorsque la figure est
symétrique par rapport à une droite.
- La symétrie centrale se produit lorsque la figure est
symétrique par rapport à un point appelé le centre de
symétrie.
Quelques notions supplémentaires :
- Secteur circulaire : Un secteur circulaire est la région à
l'intérieur d'un cercle délimitée par deux rayons et un arc
de cercle.
- Angle au centre : Un angle au centre est un angle dont
le sommet est le centre du cercle et les côtés sont des
rayons de ce cercle.
- Angle inscrit : Un angle inscrit est un angle dont le
sommet est sur la circonférence du cercle et les côtés
sont des cordes du cercle.
- Polygone régulier : Un polygone régulier est un polygone
ayant tous ses côtés et tous ses angles égaux.
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Les expressions algébriques

1. Addition et soustraction :
- a + b : la somme de a et b.
- a - b : la différence entre a et b.
2. Multiplication et division :
- a × b : le produit de a et b.
- a ÷ b ou a/b : le quotient de a divisé par b.
3. Puissances :
- a² : le carré de a.
- a³ : le cube de a.
4. Parenthèses :
- (a + b) : la somme de a et b, groupée dans des
parenthèses pour indiquer l'ordre des opérations.
5. Distributivité :
- a(b + c) : la multiplication de a par la somme de b et c.
- a(b - c) : la multiplication de a par la différence entre
b et c.
6. Expressions littérales :
- 2x : le produit de 2 et x.
- 3y² : le produit de 3 et le carré de y.
7. Simplification :
- a + a : la somme de a et a, qui peut être simplifiée en
2a.
- 2(x + y) : la multiplication de 2 par la somme de x et
y, qui peut être simplifiée en 2x + 2y.
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Les fractions et les nombres relatifs


1. Fractions :
- Une fraction est une manière de représenter une partie
d'un tout. Elle est composée de deux nombres, appelés le
numérateur et le dénominateur, séparés par une barre de
fraction.
- Le numérateur représente le nombre de parties
considérées, tandis que le dénominateur représente le
nombre total de parties dans le tout.
- Les fractions peuvent être utilisées pour représenter
des nombres qui ne sont pas entiers, tels que 1/2, 3/4, 5/8,
etc.
- Les opérations de base sur les fractions comprennent
l'addition, la soustraction, la multiplication et la division de
fractions.
2. Nombres relatifs :
- Les nombres relatifs sont des nombres qui incluent à la
fois des nombres positifs et négatifs, ainsi que le zéro.
- Ils sont représentés sur une droite numérique avec le
zéro au milieu, les nombres positifs à droite du zéro et les
nombres négatifs à gauche du zéro.
- Les nombres relatifs sont utilisés pour représenter
des situations de gain/perte, des mouvements vers
l'avant/arrière, des températures au-dessus/en
dessous de zéro, etc.
- Les opérations de base sur les nombres relatifs
comprennent l'addition, la soustraction, la
multiplication et la division.
Quelques notions supplémentaires :
- Simplification des fractions : Une fraction peut être
simplifiée en divisant à la fois le numérateur et le
dénominateur par leur plus grand diviseur commun.
- Addition et soustraction de fractions : Pour
additionner ou soustraire des fractions, il est
nécessaire de trouver un dénominateur commun, puis
d'effectuer l'opération appropriée sur les
numérateurs.
- Multiplication et division de fractions : Pour multiplier
des fractions, il suffit de multiplier les numérateurs
entre eux et les dénominateurs entre eux. Pour
diviser des fractions, il faut inverser la deuxième
fraction et effectuer ensuite une multiplication.
- Comparaison de fractions : Pour comparer des
fractions, on peut trouver un dénominateur commun,
puis comparer les numérateurs. On peut également les
convertir en nombres décimaux pour les comparer.
- Opérations avec les nombres relatifs : Lorsqu'on
effectue des opérations avec des nombres relatifs, il
est important de prendre en compte les règles de
signes et de faire attention aux règles de priorité des
opérations.
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Les nombres entiers et décimaux.


1. Nombres entiers :
- Les nombres entiers sont des nombres sans partie
décimale. Ils peuvent être positifs, négatifs ou nuls.
- Ils peuvent être représentés sur une droite graduée
appelée la droite numérique.
- Les nombres entiers sont utilisés pour compter des
objets, représenter des années, des températures, etc.
- Les opérations de base sur les nombres entiers sont
l'addition, la soustraction, la multiplication et la division.
2. Nombres décimaux :
- Les nombres décimaux sont des nombres qui contiennent
une partie décimale. Ils peuvent être positifs, négatifs ou
nuls.
- La partie décimale est séparée de la partie entière par
une virgule ou un point.
- Les nombres décimaux sont utilisés pour représenter des
mesures précises, des montants d'argent, des coordonnées
géographiques, etc.
- Les opérations de base sur les nombres décimaux sont
similaires à celles sur les nombres entiers.
Quelques notions supplémentaires :
- Comparaison de nombres : On peut comparer des
nombres entiers et décimaux en utilisant les symboles
"<" (plus petit que), ">" (plus grand que) et "=" (égal à).
- Arrondi : L'arrondi consiste à approximer un nombre
décimal en le remplaçant par le nombre entier le plus
proche.
- La valeur absolue : La valeur absolue d'un nombre
est sa distance par rapport à zéro sur la droite
numérique. Elle est toujours positive.
- Les fractions décimales : Les fractions décimales
sont des nombres décimaux qui peuvent également
être écrits sous forme de fractions.
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Les parallélogrammes, les triangles


et les quadrilatères.
1. Parallélogrammes :
- Un parallélogramme est un quadrilatère qui a deux
paires de côtés parallèles.
- Les côtés opposés d'un parallélogramme sont de
même longueur.
- Les angles opposés d'un parallélogramme sont de
même mesure.
- Les diagonales d'un parallélogramme se croisent en
leur milieu.
- Les exemples de parallélogrammes comprennent le
rectangle, le carré et le losange.
2. Triangles :
- Un triangle est un polygone à trois côtés.
- Les angles intérieurs d'un triangle ont une somme de
180 degrés.
- Les triangles peuvent être classés en fonction de la
longueur de leurs côtés et de la mesure de leurs angles :
- Un triangle équilatéral a tous ses côtés de même
longueur et tous ses angles de même mesure (60
degrés).
- Un triangle isocèle a au moins deux côtés de même
longueur et les angles opposés à ces côtés sont de même
mesure.
- Un triangle scalène a tous ses côtés de longueurs
différentes.
- Un triangle rectangle a un angle droit (90 degrés).
- Un triangle obtus a un angle obtus (plus grand que 90
degrés).
- Un triangle aigu a trois angles aigus (plus petits que 90
degrés).
3. Quadrilatères :
- Un quadrilatère est un polygone à quatre côtés.
- Les quadrilatères peuvent avoir différentes propriétés
et classifications :
- Un carré a tous ses côtés de même longueur et tous
ses angles de 90 degrés.
- Un rectangle a des angles droits et des côtés opposés
de même longueur.
- Un losange a des côtés adjacents de même longueur.
- Un trapèze a au moins une paire de côtés parallèles.
- Un quadrilatère quelconque n'a pas de propriétés
spécifiques concernant ses côtés ou ses angles.
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Les puissances et les racines carrées.


1. Puissances :
- Une puissance est une manière d'écrire une
multiplication répétée d'un même nombre.
- Elle est composée de deux éléments : la base et
l'exposant.
- La base est le nombre que l'on multiplie, et l'exposant
indique le nombre de fois que la base est multipliée par
elle-même.
- Par exemple, 2³ se lit "deux à la puissance 3" et
signifie 2 × 2 × 2 = 8.
- Les règles de calcul des puissances incluent la
multiplication de puissances ayant la même base, la
division de puissances ayant la même base, et l'élévation
d'une puissance à une autre puissance.
2. Racines carrées :
- La racine carrée est l'opération inverse de l'élévation
au carré.
- Elle permet de trouver le nombre qui, lorsqu'il est
multiplié par lui-même, donne un nombre donné.

- La racine carrée est représentée par le symbole .
- Par exemple, 25 = 5 car 5 × 5 = 25.

- Les règles de calcul des racines carrées incluent la
simplification des racines carrées, la multiplication et la
division de nombres avec des racines carrées, et
l'addition et la soustraction de nombres avec des racines
carrées.
Quelques notions supplémentaires :
- Notation exponentielle : La notation exponentielle est
une autre façon d'écrire les puissances, où la base est
suivie de l'exposant entre parenthèses. Par exemple, 2³
peut s'écrire sous forme exponentielle comme 2^(3).
- Propriétés des puissances : Les puissances suivent
certaines propriétés, telles que la multiplication de
puissances de la même base, la division de puissances de
la même base et l'élévation d'une puissance à une autre
puissance.
- Racine carrée d'un nombre négatif : La racine carrée
d'un nombre négatif n'est pas un nombre réel, car un
nombre réel multiplié par lui-même ne peut pas donner
un nombre négatif. Dans ce cas, on utilise les nombres
imaginaires.
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Les solides et les volumes


1. Solides :
- Un solide est un objet géométrique tridimensionnel
ayant une forme définie.
- Les solides les plus couramment étudiés en 3ème
comprennent le cube, le parallélépipède rectangle, le
prisme, le cylindre, le cône et la sphère.
- Chaque solide a des propriétés spécifiques telles
que le nombre de faces, les arêtes et les sommets.
2. Volumes :
- Le volume d'un solide est l'espace occupé par ce
solide.
- Le volume des solides peut être calculé en utilisant
des formules spécifiques pour chaque solide.
- Voici quelques formules de volume pour les solides
courants en 3ème :
- Cube : V = côté^3
- Parallélépipède rectangle : V = longueur x largeur
x hauteur
- Prisme : V = aire de la base x hauteur
- Cylindre : V = π x rayon^2 x hauteur
- Cône : V = 1/3 x π x rayon^2 x hauteur
- Sphère : V = 4/3 x π x rayon^3
3. Conversion d'unités :
- Lors du calcul des volumes, il peut être nécessaire de
convertir les unités de mesure, par exemple, de
centimètres cubes (cm³) en litres (L).
- Pour cela, il est important de connaître les
équivalences : 1 L = 1000 cm³.
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Pythagore

Le théorème de Pythagore est une relation


fondamentale en géométrie qui s'applique aux
triangles rectangles. Il établit une relation entre les
longueurs des côtés d'un triangle rectangle.
Formule du théorème de Pythagore :
Dans un triangle rectangle, le carré de la longueur de
l'hypoténuse (le côté le plus long) est égal à la somme
des carrés des longueurs des deux autres côtés (les
côtés adjacents et opposés à l'angle droit).
Formule : a² + b² = c²
a et b sont les longueurs des côtés adjacents et
opposés à l'angle droit, tandis que c est la longueur
de l'hypoténuse.
Utilisation du théorème de Pythagore :
- Pour trouver la longueur d'un côté :
Si vous connaissez la longueur de deux côtés d'un
triangle rectangle (les côtés adjacents ou opposés),
vous pouvez utiliser la formule du théorème de
Pythagore pour calculer la longueur du troisième côté
(l'hypoténuse ou l'autre côté).
- Pour vérifier si un triangle est rectangle :
Si vous connaissez les longueurs des trois côtés d'un
triangle, vous pouvez utiliser le théorème de
Pythagore pour vérifier si le triangle est rectangle. Si
la relation a² + b² = c² est satisfaite, alors le
triangle est rectangle.
Exemple :
Si les longueurs des côtés adjacents et opposés à
l'angle droit sont respectivement 3 et 4, vous pouvez
utiliser le théorème de Pythagore pour trouver la
longueur de l'hypoténuse :
3² + 4² = c²
9 + 16 = c²

25 = c²
c = 25 = 5
Ainsi, la longueur de l'hypoténuse est égale à 5.
La réciproque du théorème de Pythagore permet de
vérifier si un triangle est rectangle à partir des
longueurs de ses côtés.
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Les pourcentages et les calculs de


pourcentages
1. Introduction aux pourcentages :
- Un pourcentage est une façon de représenter une
quantité relative à une centaine.
- Le symbole "%" est utilisé pour indiquer un
pourcentage.
- Par exemple, 50 % signifie 50 pour cent, c'est-à-dire
50 sur 100.
2. Conversion entre pourcentages, fractions et
décimales :
- Pour convertir un pourcentage en fraction, on divise
le nombre par 100 et on simplifie si nécessaire.
- Par exemple, 25 % devient 25/100, qui peut être
simplifié en 1/4.
- Pour convertir un pourcentage en décimal, on divise
le nombre par 100.
- Par exemple, 75 % devient 0,75.
- Pour convertir une fraction ou un décimal en
pourcentage, on multiplie par 100 et on ajoute le
symbole "%".
3. Calculer un pourcentage d'une quantité :
- Pour calculer un pourcentage d'une quantité, on
multiplie la quantité par le pourcentage en décimal.
- Par exemple, pour trouver 30 % de 80, on effectue le
calcul 80 × 0,30 = 24.
4. Calculer la quantité initiale connaissant le
pourcentage :
- Pour calculer la quantité initiale connaissant le
pourcentage et la quantité finale, on divise la quantité
finale par le pourcentage en décimal.
- Par exemple, si on sait que 20 % d'une quantité est
égale à 40, on effectue le calcul 40 ÷ 0,20 = 200.
5. Calculer le pourcentage d'augmentation ou de
diminution :
- Pour calculer le pourcentage d'augmentation ou de
diminution entre deux quantités, on utilise la formule :
(Quantité finale - Quantité initiale) / Quantité initiale ×
100.
-Si le résultat est positif, c'est une augmentation. S'il
est négatif, c'est une diminution.
6. Exemples de problèmes de pourcentages :
- Un article coûte 80 euros. Il est soldé à 25 %. Quel est
le prix soldé de l'article ?
- Les ventes d'un produit ont augmenté de 15 %. Si les
ventes étaient de 500 unités, combien y a-t-il de ventes
maintenant ?
- Une population de 1000 personnes diminue de 30 %.
Combien y a-t-il de personnes après la diminution ?
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Les représentations graphiques

1. Diagramme en barres : Ce type de graphique est utile


pour comparer des catégories ou des groupes de
données. Les barres représentent les différentes
catégories, et leur hauteur indique la valeur
correspondante.
2. Diagramme circulaire : Aussi appelé diagramme en
secteurs, il est utilisé pour représenter des parties d'un
tout. Chaque partie est représentée par un secteur
proportionnel à sa valeur par rapport à l'ensemble.
3. Diagramme en ligne : Ce graphique est utilisé pour
montrer l'évolution d'une variable au fil du temps. Les
points de données sont reliés par des lignes, ce qui
permet de visualiser les tendances.
4. Diagramme en bâtons : Il est similaire au diagramme
en barres, mais utilise des bâtons verticaux pour
représenter les données. Il est souvent utilisé pour
comparer des catégories discrètes.
5. Histogramme : C'est un type de graphique qui
représente la distribution des données numériques en
regroupant les valeurs en intervalles. Les barres
représentent la fréquence ou la densité des données
dans chaque intervalle.
6. Diagramme de dispersion : Ce graphique est utilisé
pour représenter la corrélation entre deux variables.
Les points de données sont disposés sur un plan
cartésien, où l'axe horizontal représente une variable
et l'axe vertical représente l'autre variable.
7. Diagramme en boîte : Aussi appelé boîte à
moustaches, ce graphique permet de visualiser la
distribution des données et les valeurs aberrantes. Il
affiche la médiane, les quartiles et les valeurs
minimales et maximales.
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Trigonométrie
1. Formules trigonométriques de base :
- Cosinus (cos) :
Le cosinus d'un angle dans un triangle rectangle est
égal à la longueur du côté adjacent divisée par la
longueur de l'hypoténuse.
cos(θ) = côté adjacent / hypoténuse
- Sinus (sin) :
Le sinus d'un angle dans un triangle rectangle est
égal à la longueur du côté opposé divisée par la
longueur de l'hypoténuse.
sin(θ) = côté opposé / hypoténuse
- Tangente (tan) :
La tangente d'un angle dans un triangle rectangle est
égale à la longueur du côté opposé divisée par la
longueur du côté adjacent.
tan(θ) = côté opposé / côté adjacent
2. Utilisation des formules trigonométriques :
- Pour trouver un angle : Si vous connaissez les
longueurs des côtés d'un triangle rectangle, vous
pouvez utiliser les fonctions trigonométriques
inverses (arccos, arcsin, arctan) pour trouver l'angle
correspondant.
- Pour trouver une longueur : Si vous connaissez un
angle et une longueur dans un triangle rectangle,
vous pouvez utiliser les fonctions trigonométriques
directes (cos, sin, tan) pour trouver la longueur
correspondante.

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