Polycopié - TP - Chimie 1 - LMD - 2025
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CHIMIE
TP N°4 : Modèle atomique de Bohr – Identification des ions métalliques par la méthode
de la flamme
TP n°1
Initiation à la manipulation en Chimie 1
I. Introduction
Les travaux pratiques de chimie constituent une première expérience pour la plupart des
étudiants entamant le cycle universitaire. Pour que ce passage au laboratoire soit couronné de
réussite, certaines valeurs doivent être ancrées dans l’esprit du futur chimiste (étudiant) afin de
réaliser le travail expérimental d’une manière sécuritaire.
Le travail dans un laboratoire de chimie nécessite de manipuler avec de la verrerie fragile, des
appareils de chauffage, des montages complexes et des produits chimiques qui peuvent être
dangereux. Il est impératif de prendre conscience des risques associés à la manipulation en
cours et d’être capable d’intervenir en cas d’accident.
Pour le bon déroulement des séances de travaux pratiques de chimie, l’étudiant doit se poser
certaines questions : Comment doit-on se comporter dans un laboratoire ? Quelles précautions
doit-on prendre ? Avec quoi va-t-on manipuler ? Comment doit-on se protéger ? Comment
manipuler avec les produits chimiques ?....etc. Pour répondre à ces questions, un bon nombre
de règles doivent être connues et appliquées tout au long des TPs afin d’assurer sa propre
sécurité et aussi celle des autres.
- Une blouse longue en coton. Le port de la blouse est obligatoire. L’étudiant n’ayant pas
ramené sa blouse sera renvoyé par l’enseignant. La blouse doit être maintenue fermée pendant
la manipulation.
- Un pantalon long et des chaussures fermées pour minimiser les zones de peau exposées en
cas de projection.
- Les cheveux longs attachés.
- Pas de lentilles de contact car elles peuvent être attaquées par les solvants volatils.
- Si nécessaire, des gants et des lunettes de sécurité.
- Ne jamais forcer sur la verrerie en cas d’introduction d’un thermomètre dans un bouchon ou
d’une pipette dans une propipette pour éviter les coupures dues aux bris de verre. Toujours tenir
le tube de verre près de l’extrémité à introduire.
Spatule Pycnomètre
Burette : C’est un tube en verre cylindrique gradué, qui se termine par un robinet et un tube
étroit, et fixé en son milieu sur un support par une pince de Mohr.
Pipette : C’est un tube avec ou sans réservoir, qui permet à l’aide d’une poire de prélever des
quantités bien précises de liquide. On distingue deux types de pipettes : graduées et jaugées.
Eprouvette : C’est un cylindre gradué qui permet de prélever des volumes bien précis, mais sa
précision est faible comparée à celle de la pipette.
Fiole jaugée : C’est un ballon ayant un col étroit avec un trait de jauge. Elle est utilisée pour la
préparation ou dilution des solutions.
Entonnoir : Il est utilisé pour faciliter l’introduction des liquides dans les fioles, les
burettes….... Il existe aussi des entonnoirs pour solides avec un tube inferieur plus large.
Bécher : C’est un récipient cylindrique gradué qui sert à conserver des solutions ou des
échantillons…. (NB : le bécher n’est pas utilisé pour prélever des volumes précis).
Erlenmeyer : Il a une forme conique et est utilisé généralement pour les dosages.
Verre de montre : Il permet de peser des quantités de produits.
Spatule : Elle sert à prélever des quantités de produits en poudre à partir des flacons.
Balance : Elle permet de peser des masses bien précises de produits. Il existe plusieurs types
de balances. Dans notre cas, on utilise les balances électroniques.
VII.1. Pipette
Le pipetage à la bouche est strictement interdit en raison du risque d'avaler un solvant toxique
ou corrosif. On utilise donc une propipette qui se place à l'extrémité de la pipette.
Afin de créer l'aspiration qui va permettre de prélever le liquide :
Nettoyage : il faut veiller à ne pas introduire de liquide à l'intérieur de la poire. Si par accident,
du liquide rentre à l'intérieur, bien rincer avec de l'eau et sécher au mieux avec du papier
absorbant.
Précision des pipettes jaugées : La précision de la pipette est un critère important d'achat et
d'utilisation. Pour les dosages, seules les "jaugées" peuvent être utilisées, les pipettes graduées
n'étant pas assez précises.
VII.2. Burette
Une burette est un tube en verre gradué et étalonné muni d'un robinet servant à verser lentement
le réactif lors d'un dosage. Elle existe sous plusieurs formats : 25 mL et 50 mL étant les plus
courants. Les graduations sont en général précises à 0,05 mL mais peuvent également être de
0,1 mL.
Mode d'emploi :
Maintenance : le robinet peut être en verre ou en Téflon. Pour celle ayant un robinet en verre,
il est conseillé de graisser celui-ci avec une graisse silicone (utilisée pour les rodages par
exemple) de temps en temps afin d'éliminer tout risque de grippage.
TP n°2
Préparation de solutions - Mesure de densité – Calcul d’incertitudes
I. Introduction
La chimie des solutions fait partie des branches de la chimie qui s’intéresse à toutes les réactions
en solution. La solution peut être aqueuse ou organique.
Soluté : C’est la substance ou la matière ou l’espèce chimique dissoute dans un solvant. Solvant
: C’est le liquide dans lequel le soluté est dissout. Le solvant peut être de l’eau distillée, de
l’éthanol,….etc.
Solution : C’est le nom du mélange homogène de soluté et de solvant. Lorsque le solvant est
de l’eau, la solution est dite aqueuse.
Masse molaire (M) : C’est la masse d’une mole d’un composé exprimée en g.mol-1.
m
Quantité de matière (n) : C’est le nombre de moles que contient cet échantillon : n =
M
(moles).
Masse volumique (ρ) : C’est le rapport de masse correspondant à un volume V d’une
m Kg
substance : ρ = ( ).
V m3
Densité (d): C’est le rapport de la masse volumique d’une substance à la masse volumique
ρcorps
d’une référence : d= .
ρref
Concentration molaire (Molarité, C) : C’est la quantité de matière de soluté présente par litre
nsoluté
de solution : C = (mol.l-1).
Vsolution
Concentration massique (CM) : C’est le rapport entre la masse de soluté et le volume total de
msoluté
la solution : CM = (g.l-1).
Vsolution
Fraction molaire (x) : C’est le rapport entre le nombre de moles du soluté et le nombre de
nsoluté
moles de la solution : 𝑥𝑚 =
nsolution
I.2.1. Incertitude sur une mesure directe : L’erreur peut être exprimée sous forme de:
*Erreur absolue: c’est la valeur absolue de l’écart entre la valeur vraie 𝑋v et la valeur mesurée
𝑋m. La valeur vraie 𝑋v étant inconnue, l’erreur absolue l’est également.
Erreur absolue = |Xv-Xm| = inconnue
Incertitude absolue = limite supérieure de l’erreur absolue = ΔX
*Erreur relative : est une valeur inconnue qui est le rapport de l’erreur absolue à la valeur
mesurée.
Erreur relative =
Incertitude relative =
I.2.2. Incertitude sur une grandeur calculée : on considère les cas importants suivants :
*Incertitude absolue sur une somme ou une différence : lorsque la grandeur composée n’est
constituée que de sommes ou de différences : y = x1 ± x2 ± x3 alors l’incertitude absolue est
donc : y x1 x2 x3 ...
Dans une somme ou une différence, les erreurs absolues s’additionnent.
*Incertitude sur un produit ou un quotient: lorsque la grandeur composée n’est constituée
que de produits ou de quotients:
Soit la relation entre y et x:
a) y= x1*x2 alors ln y = ln x1 + ln x2 et
b) alors ln y = ln x1 - ln x2 et
*Incertitude sur un produit de puissance : lorsque la grandeur composée n’est constituée que
d’un produit de puissances :
∆M ∆Ci
Données pour le TP : = 0 ; ∆m= 0,01g (balance électronique) ; =0
M Ci
II. But du TP
III. Principe du TP
Peser une masse m de saccharose en utilisant une balance électronique et une coupelle ou
un verre de montre (m = 1g ; 1,5g ; 2g)
Introduire le solide dans une fiole jaugée de 100 ml en utilisant un entonnoir.
Rincer le récipient utilisé et l’entonnoir avec une pissette d’eau distillée.
Remplir la fiole jaugée environ au ¾ avec de l’eau distillée.
Agiter pour accélérer la dissolution et homogénéiser la solution.
Compléter avec de l’eau distillée jusqu’au trait de jauge.
La solution S1 est prête.
A l’aide d’une balance, peser un pycnomètre de 10 ml. Cette masse sera notée m1.
Remplir ce pycnomètre avec la solution S1 préparés auparavant.
Peser l’ensemble: pycnomètre + 10 ml de solution. Cette masse sera notée mpycno+solution.
Refaire la même procédure pour la solution S2.
V. Questions
Indiquer le nom des produits, matériels et verreries utilisés pour la réalisation du TP.
Quelle est la formule brute du saccharose ?
Déterminer la valeur de la masse molaire du saccharose.
Indiquer la nature du soluté ainsi que le nom du solvant utilisé pour la solution S1?
Quelles sont les caractéristiques de la solution aqueuse S1 obtenue ?
Déterminer la valeur de la quantité de matière n du saccharose préparée.
Calculer la valeur de la concentration molaire et massique de la solution sucrée.
Calculer la molalité et les fractions molaires xi du soluté et du solvant de la solution
préparée S1.
Calculer la concentration de la solution commerciale d’acide acétique 30% en masse.
Indiquer la méthode et la valeur du volume de CH3COOH qu’il faut prélever pour la
préparation de la solution d’acide acétique S2.
Calculer l’incertitude relative sur la concentration des solutions S1 et S2.
Déterminer la masse volumique ainsi que la densité des solutions S1 et S2.
Conclure.
TP n°3
Dosage acido-basique
I. Introduction
Les acides et les bases sont des espèces chimiques (molécules ou ions) qui interviennent dans
les nombreuses réactions de type « acido-basique » en chimie organique et minérale, en
référence à divers critères.
Le dosage acido-basique est utilisé afin de déterminer la concentration inconnue d'une solution
composée d'un acide ou d'une base, ou d'un mélange. L'intérêt étant de déterminer précisément
la quantité de base ajoutée pour neutraliser l'acide. Il existe deux méthodes :
l'utilisation d'un indicateur coloré (volumétrie colorimétrique),
le tracé de la courbe qui donne le pH en fonction du volume de base ajouté.
Un acide est toute substance susceptible de céder des protons H+ au cours d’une réaction
chimique. Toutes les solutions acides contiennent des ions hydroniums H3O+.
HA + H2O → H3O+ + A-
Une base est toute substance capable de fixer des protons H+ au cours d’une réaction chimique.
Toutes les solutions basiques renferment l’ion hydroxyde OH-.
B + H2O → BH+ + OH-
I.2. Notion de pH
Les titrages acido-basiques constituent le moyen le plus utilisé pour la détermination des
concentrations inconnues par les dosages. Le titrage (dosage) peut être un acide faible par une
base forte, une base faible par un acide fort ou encore un acide fort par une base forte.
A la neutralisation, on peut dire que les nombres de mole de l’acide et de la base sont égaux :
CaVa = CbVb
En général, la neutralisation est détectée par le changement de couleur d’un indicateur coloré,
qui lui même possède des propriétés acido-basiques.
Le tableau suivant indique les zones de virages de certains indicateurs colorés :
II. But du TP
III. Principe du TP
Prendre trois solutions non étiquetées dont il faut déterminer la nature (solution 1, solution
2, solution 3). Les trois solutions sont H2SO4, NaOH et NaCl dans le désordre.
Prendre deux tubes à essai dans lesquels on introduit dans chacun 1 ml de la solution 1.
Verser 1 goutte de l’indicateur coloré héliantine dans le premier tube et une goutte de
l’indicateur coloré phénolphtaléine dans le deuxième tube.
Noter la couleur obtenue et distinguer la nature de la solution 1 (acide, neutre, basique).
Répéter la procédure pour la solution 2 et déduire la nature de la solution 3.
Elaboré par : Dr. Hassiba TIGHIDET et Naima TOUATI Page 15
TP 3 : Dosage acido-basique
2024 - 2025
2. Dosage d’un acide faible (CH3COOH) par une base forte (NaOH)
V. Questions
Donner sous forme d’un tableau, les couleurs des solutions 1 et 2 après l’ajout d’héliantine
et de phénolphtaléine. Préciser ensuite le caractère acido-basique des trois solutions ainsi
que leurs réactions en milieu aqueux.
Faire un schéma du dispositif de dosage.
Ecrire les réactions de neutralisation et déduire les couples acido-basiques mis en jeu.
Les solutions contenues dans l’erlenmeyer à la fin du dosage sont-elles acides, basiques ou
neutres ?
Calculer la normalité de l’acide acétique CH3COOH (NA).
Calculer la normalité de la soude NaOH (NB).
TP n°4
Modèle atomique de Bohr –Identification des ions métalliques par la méthode
de la flamme
I. Introduction
Un atome est constitué d’un noyau central de forme sphérique. Ce dernier est uniquement
composé de protons et de neutrons. La cohésion du noyau est assurée par l’interaction forte
d’un nuage d’électrons qui gravitent autour du noyau. Le nuage électronique est représenté en
couches électroniques (K, L, M..) et en sous couches (s, p, d…). Chaque couche représente un
niveau d’énergie défini, de l’état fondamental.
D’après la théorie des quanta, développé par Planck puis par Einstein, la lumière est constituée
d’un ensemble de particules de masses nulles appelées photons qui transporte un quantum
d’énergie égal à :
𝐶
ΔE = h ν = h
𝜆
Avec :
h : constante de Planck (6,63 10-34J.s)
E : énergie du photon en Joule
ν : fréquence temporelle (s-1)
λ: longueur d’onde (m)
C: vitesse de la lumière (3.108 m.s-1)
C’est après avoir étudié la lumière émise par certains corps chauffés, que l’équipe de recherche
de N. Bohr, en 1913, a amélioré le modèle atomique de Rutherford en y introduisant le modèle
des couches électroniques. Le modèle de Bohr dit que les électrons existent seulement à certains
niveaux d'énergie permis. Lors de l’échauffement d’un atome, celui-ci va absorber de l’énergie.
Les électrons passent de l’état fondamental (état de plus basse énergie) à un état excité, puis
l’atome retombe à son état stable en restituant son énergie sous forme de photon. Ce photon
émis est défini par une longueur d’onde λ quantifiée, précise et spécifique. Dans le domaine du
visible, l’énergie se traduit par une lumière colorée caractéristique d’une longueur d’onde. Cette
dernière dépend de la différence entre les deux niveaux d'énergie.
Chaque élément a son propre ensemble caractéristique de niveaux d'énergie. Chaque métal
donne un spectre d'émission de flamme caractéristique traduit par une couleur de flamme.
L’étude de ces spectres d’émissions permet l’identification des éléments métalliques.
II.1. Définition
Un test de flamme, est un procédé utilisé en chimie pour détecter la présence de certains ions
métalliques, basé sur les caractéristiques des spectres d'émission de chaque élément. En général,
la couleur des flammes dépend également de la température. Le test consiste à introduire un
échantillon de l'élément ou du composé à analyser dans une flamme, non lumineuse et à haute
température, puis à observer la couleur qu'on obtient.
Lorsqu’on chauffe un élément métallique sous forme d’un sel dans une flamme ou lorsqu’on
applique une source électrique à haute tension à un gaz, les atomes absorbent de l’énergie. Un
atome possède dès lors plus d’énergie que dans l’état fondamental, il est dit «excité». Grâce à
l’énergie absorbée, un électron peut passer à un niveau d’énergie supérieure. Autrement dit,
l’électron est propulsé vers une couche plus éloignée du noyau. Mais l’atome excité est instable
et revient rapidement à son état fondamental. L’électron retombe sur une couche proche du
noyau. Lors de la chute de l’électron d’un niveau excité à un niveau inférieur, l’énergie absorbée
est restituée sous forme d’énergie lumineuse. Suivant la quantité d’énergie restituée, la lumière
aura une couleur différente ce qui prouve l’existence de différents niveaux énergétiques.
La couleur de la flamme n'est pas reliée à la couleur de la solution du sel métallique. Par
exemple, la solution de sulfate de cuivre est bleue et sa couleur de flamme est verte.
II.2. Relation entre la lumière émise par les corps chauffés et les niveaux d’énergie (n) des
électrons
Pour expliquer les émissions de couleurs par les métaux et leurs sels, il faut réfléchir en se
situant au niveau de l’atome en étudiant deux étapes dans le comportement des atomes :
- L’absorption d’énergie
- La restitution d’énergie
Absorption d’énergie
Avant l’expérience et donc avant d’être chauffés, les atomes se trouvent dans un état stable,
appelé « état fondamental ». Lors de l’expérience, la flamme apporte de l’énergie calorifique.
Celle-ci est absorbée par les électrons. Le niveau d’énergie des électrons augmente alors et
passe du niveau d’énergie fondamental (E n) stable à un niveau d’énergie plus élevé (E m). A ce
niveau d’énergie, les électrons sont instables. On dit qu’ils sont « excités ». C’est l’absorption
d’énergie.
Émission de l’énergie
Après chauffage et après la vaporisation, les atomes s’élevant vers la pointe de la flamme se
retrouvent dans une région plus froide. Ils restituent alors, l’énergie qu’ils avaient absorbée sous
forme d’énergie lumineuse.
III. But du TP
Ce TP a pour but de montrer que les électrons des atomes sont placés sur des niveaux ayant une
énergie bien déterminée et pas n'importe comment. Lors de l'excitation par la chaleur, les
électrons passent des niveaux stables à des niveaux instables (plus hauts en énergie). En se
désexcitant, ils retournent à leur niveau d'origine et émettent de la lumière d'une longueur d'onde
bien précise (couleur). Dans ce TP nous allons identifier des ions métallique inconnus par la
méthode de la flamme en se référent à des couleurs de flammes produite par des solutions de
sels métalliques connus.
V. Mode opératoire
Préparer les solutions de sels métalliques en introduisant dans des tubes à essai l'équivalent de
2 cuillères à café de poudre puis rajouter de l'eau afin de dissoudre le sel. Laver la spatule entre
chaque poudre de manière à ne pas faire de mélanges. Plonger une tige en bois entourée de
coton dans chaque flacon. Au-dessus de la flamme du bec ou briquet (la partie bleue de la
flamme du bec ou briquet), faire passer séparément les tiges en bois ou baguette en verre
imbibées des solutions de sels (Pour éviter de brûler le bois, agiter l'attelle en bois à travers la
flamme plutôt que de le tenir droit dans la flamme). Notez la couleur de la flamme dans le
tableau de données. Refaire chaque expérience au moins deux fois afin de s’assurer des
résultats.
VI. Questions
1- Existe-il un ion qui peut être un hydrogènoide parmi les ions étudiés ?
2- Si c’est le cas, lequel ? Donner sa formule.
3- Donner la définition d’un hydrogènoide.
4- Pourquoi il est intéressant de travailler avec ce type d’ion ?
5- Définir un test de flamme en expliquant le phénomène mis en jeu.
6- Donner la couleur de flamme de chaque échantillon.
7- Donner les longueurs d’onde approximatives en se basant sur les couleurs données dans
la figure collée sur votre paillasse.
8- Identifier les ions métalliques contenus dans vos solutions en se basant sur les couleurs
de flammes des ions dans la figure collée sur votre paillasse.
9- Placer les couleurs observées en ordre croissant de longueur d’onde.
10- Placer les couleurs observées en ordre croissant d’énergie. Quel sont les éléments qui
correspondent à la plus petite et plus grande énergie.
11- Quelle est la relation entre l’énergie, la fréquence et la longueur d’onde ?
12- Comment les électrons sont-ils excités durant cette expérience ?
13- Conclure.
Feuille de mesure
msaccharose= ……………….g
CCH3COOH=………………………. mol.L-1
Solution 1
Solution 2
Feuille de mesure
2. Dosage d’un acide faible (CH3COOH) par une base forte (NaOH)
VCH3COOH=……. ml,
NNaOH=……….. N,
VNaOH=……. ml,
NHCl=……….. N,
Feuille de mesure
Couleur de la flamme