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CONSTRUCTION
DE TRAITEMENT DES DECHETS Indice B

SOMMAIRE

CHAPITRE I - RENSEIGNEMENTS GENERAUX

1.1. La situation géographique


1.2. La description sommaire des travaux
1.3. Les intervenants
1.4. Les délais - les effectifs - les horaires
1.5. Les sous-traitants

CHAPITRE II - PREMIERS SECOURS ET SURVEILLANCE MEDICALE

2.1. En cas d'accident


2.2. La liste des secouristes
2.3. Le matériel de premier secours
2.4. La surveillance médicale
2.5. La liste des habilitations

CHAPITRE III - DOCUMENTS ET INFORMATIONS

3.1. Les registres obligatoires présents sur chantier


3.2. L'affichage

CHAPITRE IV - FORMATION / ACCUEIL / EQUIPEMENT INDIVIDUEL

4.1. La formation et l'accueil


4.2. Les protections individuelles

CHAPITRE V - INSTALLATIONS GENERALES

5.1. Le levage
5.2. Les branchements
5.3. Le cantonnement - Les circulations - Le stockage
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CHAPITRE VI - MODES OPERATOIRES ET PREVENTION

6.1. Les principes généraux de Prévention


6.2. Les modes opératoires particuliers

CHAPITRE VII - ANNEXES

7.1. Le plan de situation


7.2. Le plan masse
7.3. Le plans d'installation
7.4. Les organismes à contacter en cas d'urgence
7.5. Le décret du 20 Mars 1979
7.6. Le règlement intérieur
7.7. La loi du 12 Juillet 1990
7.8. Les installations d'hygiène

CHAPITRE VIII - CONSIGNES

8.1. Les manutentions


8.2. Les circulations de chantier
8.3. Les chutes
8.4. L'électrisation
8.5. Les incendies - Utilisation des extincteurs

CHAPITRE IX - OBSERVATIONS

9.1. Les observations du Médecin du Travail


9.2. Les observations des Représentants du personnel (C.H.S.C.T)

CHAPITRE X - DIFFUSION
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CHAPITRE I

RENSEIGNEMENTS GENERAUX

1.1. La situation géographique

1.2. La description sommaire des travaux

1.3. Les intervenants

1.4. Les délais - les effectifs - les horaires

1.5. Les sous-traitants


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1.1./ LA SITUATION GEOGRAPHIQUE

Le Centre Intégré de Traitement (C.I.T.) des déchets ménagers et assimilés est implanté sur le la
commune de Vaux-le-Pénil, sur le côté nord du Tertre Chérisy et au sud du Chemin Départemental
n°408. L’accès au chantier et au futur C.I.T. se fera par le barreau en limite ouest du site, reliant le CD
408 à la Route Nationale n°105.

Vous trouverez ci-joint (Annexe 7.1.) le plan de situation.


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1.2./ LA DESCRIPTION SOMMAIRE DES TRAVAUX

A- Décomposition en tranches :

Le marché du Lot A (génie civil, bâtiment et VRD) est découpé en 3 tranches :

ƒ Tranche Ferme :
- Etudes préliminaires.

ƒ Tranche Conditionnelle n°1 :


- Etudes d’exécution et travaux de génie civil, bâtiment et VRD de l’Unité de
Valorisation Energétique (U.V.E.), du Centre de Tri et du bâtiment SMITOM,
- Avant-Projet Détaillé de la Déchetterie et de la plate-forme de tri sommaire.

ƒ Tranche Conditionnelle n°2


- Démolition de l’usine existante,
- Etudes d’exécution et réalisation de la Déchetterie et de la plate-forme de tri sommaire,

B- Description des ouvrages :

La couverture de l’U.V.E. et du Centre de Tri est en charpente métallique à treillis.

Les structures en béton armé supportent les bâtiments process, locaux fonctionnels et locaux de
bureau.

Les fondations sont généralement des semelles superficielles lorsque les charges sont faibles.
Les fondations profondes sur pieux ont été retenues pour le bâtiment des fours et la fosse à
mâchefers où les charges sont intenses.

La fosse à ordure ménagère est fondée sur un radier général à 12m50 en dessous du niveau du
terrain naturel. Sa réalisation nécessite un soutènement provisoire en paroi clouée sur 10 m de
profondeur par rapport à la plate-forme de travail.

ƒ U.V.E. comprend:
- le hall de déchargement,
- le bâtiment fosse O.M.,
- le bâtiment fours,
- le bâtiment mâchefers et la fosse d’eau recyclée,
- le bâtiment traitement des fumées,
- le bâtiment technique,
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- le bâtiment des locaux sociaux,


- les stockages propane et fioul,
- le bâtiment pesage et le génie civil des ponts bascules,
- la station de pompage d’eau industrielle.

ƒ Centre de Tri comprend:


- le hall de réception
- le bâtiment centre de tri
- le hall de conditionnement

ƒ Le bâtiment de bureaux du SMITOM est une structure entièrement en béton armé,


surmontée d’une pergola en charpente métallique.

ƒ Les eaux pluviales sont collectées par 2 réseaux distincts :


- Les Eaux Pluviales de Toiture (EPT) sont acheminées vers un bassin végétalisé puis
rejetées dans le réseau public à travers un régulateur de débit,
- les Eaux Pluviales de Voirie (EPV) sont stockées dans un bassin de décantation en
béton armé entérré, puis traité par un séparateur d’hydrocarbures avant rejet dans le
réseau public.

L’implantation des différents ouvrages et les dispositions en phase de chantier sont précisées sur le
plan masse et le plan d’installation ci-joint (Annexes 7.2. et 7.3.).
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1.3./ LES INTERVENANTS

A/ MAITRISE D'OUVRAGE

SMITOM
93, rue Saint Just
77 000 VAUX le PENIL

B/ MAITRISE D'OEUVRE

CABINET MERLIN
Siège et Services Techniques
6, rue Grolée : 04.72.32.56.00
69 289 LYON Fax : 04.78.38.37.85

C/ ENTREPRISE TITULAIRE DU MARCHE :

Groupement GTM CONSTRUCTION / BAGOT


dont le mandataire est GTM CONSTRUCTION

GTM CONSTRUCTION
Agence Travaux Publics Ile de France 1
61, Avenue Jules Quentin
92 003 NANTERRE Cedex
Directeur d'agence : M. VAUBOURG : 01.46.95.75.86
Directeur de Travaux : M. BEAUBERNARD : 01.46.95.72.32
Ingénieur de travaux : M. DUONG : 01.46.95.71.18
Fax : 01.46.95.76.17

BAGOT
41, route de Moret : 01.64.78.50.40
77 140 NEMOURS Fax : 01.64.45.04.05

La répartion des travaux entre les deux entreprises se fait suivant un découpage géographiques.
Les travaux à réaliser par BAGOT sont :
- le bâtiment de bureaux du SMITOM,
- le gros œuvre du Centre de Tri,
- le bâtiment pesage et le génie civil des ponts bascules,
- le bassin de décantation des eaux pluviales de chaussée,
- le géni civil de la Déchetterie.
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D/ CONTROLE DES TRAVAUX

CABINET MERLIN
Agence de Marne la Vallée
Le Parc de Lognes
23, rue de la Maison Rouge
77 185 LOGNES

E/ ORGANISMES DE SECURITE

1. COORDONATEUR SPS
OTCI
2, place de l’Equerre
Bât. Oslo – SILIC 205
94 518 RUNGIS Cedex : 01.56.30.17.00
M. TERCEROS Fax : 01.56.30.17.17

2. CRAMIF
104, allée des Amaryllis
BP 82 : 01.64.87.02.60
77 190 DAMMARIE LES LYS Cedex

3. INSPECTION DU TRAVAIL
2 ème section,
Cité administrative
Pré Chamblain : 01.64.41.28.24
77 000 MELUN

4. OPPBTP
221, boulevard Davout : 01.40.31.64.00
75 020 PARIS
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1.4./ LES DELAIS - LES EFFECTIFS - LES HORAIRES

A/ LES DELAIS

Le démarrage des travaux préliminaires de la Tranche Conditionnelle n°1 (TC1) est prévu au
04-septembre-2000 (préparation de la base vie, terrassements pour remblaiement de la Fosse
Bouchée, clôtures, désamiantage & démolition du hangar agricole et branchements des
concessionnaires).
Le démarrage des travaux de la TC1 est prévu au 09-Octobre-2000.
Le délai contractuel de la TC1 est fixé à 27 mois.
Le délai contractuel de la TC2 est fixé à 7 mois, à partir d’un Ordre de Service prévisionnelle
au 03-janvier-2003.

B/ LES EFFECTIFS

Le chantier comportera un encadrement d’une dizaine de personnes et une équipe de


production d'environ 90 personnes en période de pleine production.

Les sous-traitants communiqueront quant à eux leurs effectifs dans leurs P.P.S.P.S.
respectifs.

C/ LES HORAIRES

Les horaires normaux du chantier seront les suivants (base 37 heures / semaine):

. Lundi à Jeudi : de 8 h à 12 h et de 13 h à 16 h 30
. Vendredi : de 8 h à 12 h et de 13 h à 16 h

Par ailleurs et en fonction des besoins particuliers du chantier, ces horaires de base pourront
être aménagés dans le cadre des limites réglementaires et en fonction des aléas du chantier.
. Augmentation des heures de crochet de grue
. Réalisations de tâches intéressant la sécurité
. Entretien du matériel

Ces modifications éventuelles d'horaire feront l'objet des démarches administratives


imposées par la réglementation en vigueur.
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1.5./ LES SOUS-TRAITANTS

Les prestations suivantes seront sous-traitées à des entreprises spécialisées :

Travaux sous-traités Entreprise Responsable Adresse et téléphone

1. Terrassements généraux & VRD EJL M. X 124, route de Monterreau


77 130 CANNES ECLUSE

2. Clôtures & portails Environnement M. F CD 86 – 54,rue du Général Leclerc


Service 77 181 COURTRY

3. Désamiantage & démolition A. TSH M. M 38, rue Servan


hangar agricole 75 544 PARIS Cedex 11

4. Forage d’eau industrielle COTRASOL M. G 18/2 Rue d'Arras


92000 NANTERRE

5. Fondations sur pieux SONDEFOR M. D 21, rue des Hautes Coutures


78700 CONFLANS STE HONORINE

6. Armatures pour béton EMCA M. N 14 Square de la Poterne


91300 MASSY

7. Charpente métallique

8. Couverture & bardage

9. Lots techniques

10. Second Oeuvre

L'identité des autres sous-traitants non encore désignés sera communiquée au fur et à mesure de
l’avancement du chantier.
Chaque sous-traitant élaborera son propre P.P.S.P.S. sur des bases du PGC et de notre P.P.S.P.S.
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CHAPITRE II

PREMIER SECOURS

ET SURVEILLANCE MEDICALE

2.1. En cas d'accident

2.2. La liste des secouristes

2.3. Le matériel de premier secours

2.4. La surveillance médicale


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2.1./ EN CAS D'ACCIDENT

A/ LES ORGANISMES A CONTACTER

Les organismes à contacter en cas d'accident sont les suivants :

1. POMPIERS : : 18

2. SERVICE HOSPITALIER :
Centre hospitalier Marc Jacquet
2, rue Frétau de Pény
77 000 MELUN : 01 64 71 66 66

3. SAMU : : 15

4. COMMISSARIAT DE POLICE :
51, rue Général de Gaulle
77 000 MELUN : 01 60 56 67 77

Vous trouverez en Annexe 7.4., l'affiche présente à côté de chaque combiné téléphonique du
chantier qui récapitule l'ensemble de ces organismes.

A noter que l'ambulance ou les pompiers accèdent au chantier par le barreau reliant le CD 408 et la
RN 105.
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B/ LA CONDUITE A TENIR EN CAS D'ACCIDENT

B1 / Préambule.

Toute blessure, même bénigne, doit être soignée immédiatement par des personnes
compétentes. Pour ce faire, il est recommandé d'utiliser, de préférence, les services de spécialistes
situés à proximité du chantier (Ophtalmologue, hôpital, médecins, cabinets d'infirmière, etc ...).

B2 / En cas d'accident.

En cas d'accident, la victime est prise en charge par le(s) secouriste(s) du chantier, qui
organise(nt) les secours.

Le rôle des secouristes consiste à :

• Protéger la victime, pour éviter le "sur-accident" ou les complications matérielles d'un


premier accident.
Il s'agit par exemple de : . couper le courant en cas d'électrisation
. éloigner les curieux.
. dégager la victime en cas d'incendie ou d'asphyxie.
. interdire le déplacement du blessé.
. etc ...

• Alerter les secours adaptés aux circonstances, pour limiter le délai de prise en charge, si
besoin est, par un service d'urgence.

La procédure d'alerte est donc fonction de la gravité des blessures de la victime :

a. Pour des blessures légères, sans conséquence sur l'activité de l'ouvrier :


. faire constater les blessures par l'encadrement
. donner les soins sur place, par le secouriste ou le responsable

b. Pour des blessures légères, avec éventualité d'arrêt de travail :


. faire constater les blessures par l'encadrement
. donner les premiers soins sur place par le secouriste
. faire remplir le triptyque (voir l'utilité ci-après) et le remettre à l'ouvrier
accidenté
. accompagner le blessé à l'hôpital
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c. Pour des blessures graves :


. alerter immédiatement l'organisme compétent : les Pompiers sur le 18
. alerter l'encadrement du chantier
. confier la garde du blessé au secouriste jusqu'à l'arrivée des secours
. faire remplir le triptyque et le remettre à l'accompagnateur
. faire accompagner le blessé par un témoin de l'accident pour fournir aux
pompiers des renseignements utiles
. faire établir une déclaration d'accident par le chargé de la sécurité dans les
24 heures
. avertir le service Sécurité de son employeur
. prévenir la famille de la victime

Dans ce dernier cas, le message d'alerte donné aux pompiers doit indiquer :
- l'endroit d'où vous appelez
- le lieu de l'accident et le point de rencontre avec les secours
- le nombre de victimes et leur état apparent
- les conditions d'accès aux victimes
Une chose est sûr : Ne jamais raccrocher le premier

• Secourir, si :
. l'accidenté est sans connaissance
. l'accidenté ne respire plus
. l'accidenté saigne abondamment
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C/ LES OBLIGATIONS ADMINISTRATIVES

C1 / La feuille d'accident ou triptyque.

Ce document doit être remis à la victime, à la suite de tout accident nécessitant des soins
extérieurs.

Il permet au blessé de se faire soigner sans avoir à payer le médecin ou le pharmacien. Par
ailleurs, il permet au médecin et au pharmacien de se faire rembourser par la Sécurité Sociale.

Sur ce document doivent apparaître avec précision les éléments suivants :

- Employeur : nom, adresse, n° d'immatriculation de l'établissement


- Victime : nom, adresse, n° Sécurité Sociale
- Accident : date et heure

C2 / La déclaration d'accident.

L'employeur doit déclarer tout accident dont il a eu connaissance à la Caisse Primaire de la


victime, dans un délai de 48 heures.
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2.2./ LA LISTE DES SECOURISTES

Le(s) secouriste(s) présent(s) sur le chantier :

Nom Date de formation Date de recyclage

M. M………. Richard 20/12/00

M. T……… Bounabi 06/03/00

M. G………… Jack 24/12/00

La liste sera fournie ultérieurement selon les affectations du personnel sur chantier.

Nota :
1. Cette liste sera tenue à jour en fonction de l'évolution des effectifs (Avenants au PPSPS)

2. Pour satisfaire la réglementation, (1 secouriste présent en permanence sur chantier pour 20


personnes), nous aurons toujours au minimum un secouriste sur le chantier.
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2.3./ LE MATERIEL DE PREMIER SECOURS

Une trousse à pharmacie sera à disposition dans les bureaux du chantier.

La liste des produits pharmaceutiques et du matériel de premier secours (à maintenir en état de


renouvellement constant) présents dans cette trousse est la suivante :

Produits pharmaceutiques :

. 1 flacon de Dacryoserum (lavage des yeux)


. 1 tube de Biafine (brûlures)
. 1 flacon de Mercryl Laurylé (désinfection des plaies)

Matériel et pansements

. 1 couverture isothermique
. 1 coussin hémostatique type CHUT
. 2 pansements individuels grand modèle
. 2 pansements individuels petit modèle
. 1 pochette de pansements auto-adhésifs
. 1 rouleau de sparadrap 5 m x 0,02 m
. 10 compresses individuelles 20 x 20 cm
. 10 compresses individuelles 30 x 30 cm
. 3 bandes de gaze 3 m x 0,05 m
. 3 bandes de gaze 3 m x 0,10 m
. 1 bande de toile 4 m x 0,10 m
. 1 paquet de coton de 25 g
. 1 paire de ciseaux
. 1 pince à échardes
. 2 écharpes de toile triangulaires
. 4 doigtiers cuir
. 12 épingles de sûreté
. 1 sachet de gants à usage unique
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2.4./ LA SURVEILLANCE MEDICALE

La surveillance médicale du personnel est assurée par :

Le Centre de Médecine du Travail APMT - BTP RP


59, rue des Pyrénées
75 020 - PARIS

Docteur BENOIT
Téléphone : 01.43.72.25.41

Le salarié doit repasser une visite médicale d'aptitude dans les cas suivants :

- Après une absence pour cause de maladie professionnelle


- Après une absence d'au moins 8 jours pour cause d'accident du travail
- Après une absence d'au moins 21 jours pour cause de maladie ou d'accident non
professionnel

D'autre part, le médecin du travail doit être informé de tout accident dont la durée d'arrêt est
inférieure à huit jours (faire copie des déclarations).
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2.5./ LA LISTE DES HABILITATIONS

Nom Habilitation Date de formation Date de recyclage

M. G……… Jack Certificat aptitude conduite 17 mars 2000


engins de sécurité R.372
Catégorie 2 : Engin extraction
et/ou chargement à déplacement
séquentiel

Certificat aptitude conduite


engins de sécurité R.372 14 octobre 1999
Catégorie 1 : Moto basculeur,
mini pelle, mini chargeur,
BOBCAT
Catégorie 9 : Chariot élévateur

Conduite d'engins en sécurité


catégorie ENG 2-1 24/28 février 2000
Pelles, engins spéciaux
Niveau obtenu : CACES

B-1 Non éléctricien


Dépannage d'armoires
électriques de chantier 22/24 mai 2000

La liste sera fournie ultérieurement, selon les affectations du personnel sur chantier.
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CHAPITRE III

DOCUMENTS ET INFORMATIONS

3.1. Les registres obligatoires présents sur chantier

3.2. L'affichage
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3.1./ LES REGISTRES OBLIGATOIRES PRESENTS SUR LE CHANTIER

Les documents "Sécurité" à conserver sur le chantier sont les suivants :

- Registre unique du personnel : il récapitule les coordonnées de chaque salarié entrant


ou sortant du chantier.

- Registre d'observation (IT - CRAM - OPPBTP - etc...) : mis à disposition des salariés à
tout moment, il établit la liste de toute les remarques concernant la sécurité sur le
chantier

- Registre médical : il synthétise les aptitudes médicales de chaque salarié et de chaque


intérimaire

- Registre des contrôles techniques périodiques et des rapports de visite des organises
chargés de ces contrôles

- Registre (GTM) d'observation du CHSCT (2)

3.2./ L'AFFICHAGE

A/ A l'entrée du chantier :

- panneau "CHANTIER INTERDIT AU PUBLIC"


- panneau "PORT DU CASQUE OBLIGATOIRE"
- la liste de toutes les entreprises travaillant sur le chantier.

B/ Sur le panneau d'affichage :

- le règlement intérieur
- les horaires du chantier
- les coordonnées de l'Inspection du Travail
- les coordonnées de la Médecine du Travail
- les membres du CHSCT
- l'affiche OPPBTP "En cas d'accident".
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CHAPITRE IV

FORMATION / ACCUEIL / EQUIPEMENTS

INDIVIDUEL

4.1. La formation et l'accueil

4.2. Les protections individuelles


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4.1./ LA FORMATION ET L'ACCUEIL

A/ LE DECRET DU 20.03.79 (cf Annexe 7.5.)

Les règles de précautions et de consignes générales de sécurité sont définies dans le


règlement intérieur (cf Annexe 7.6.). Tout nouvel arrivant sur le chantier peut le consulter sur le
panneau d'affichage.
A son arrivée, il recevra une formation à la sécurité concernant les précautions à prendre
pour assurer sa propre sécurité sur chantier et pour préserver celle des autres intervenants.

Cette formation portera sur :


- les conditions de circulation des personnes sur le chantier
- les consignes générales de sécurité pour l'exécution du travail
- la conduite à tenir en cas d'accident

Elle sera assurée par le chargé de sécurité et/ou par le conducteur de travaux.

Les salariés concernés sont :


- tout nouvel arrivant sur le chantier
- le nouvel embauché
- le personnel intérimaire
- les salariés reprenant le travail après un arrêt de plus de 21 jours
- tout personnel exposé à un risque nouveau (changement de poste).

B/ LA LOI DU 12 JUILLET 1990 (cf Annexe 7.7.)

Les salariés sous contrat à durée déterminée ou les intérimaires affectés à des postes de
travail présentant des risques particuliers pour leur santé ou leur sécurité, doivent bénéficier d'une
formation renforcée à la sécurité, ainsi que d'un accueil et d'une formation adaptée à l'entreprise
dans laquelle ils sont occupés.

Les risques particuliers et la formation renforcée sont définis par le chef d'établissement,
avec l'aide du CHSCT et du Médecin du Travail.

Par ailleurs, les intérimaires et les CDD doivent être équipés des protections individuelles
réglementaires, ces dernières étant fournies par l'utilisateur ou par l'entreprise de travail
temporaire.
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Principe retenu :

Une personne qualifiée, affectée à un poste de travail correspondant à sa qualification, ne


court pas de risque particulier même si la tenue de ce poste demande une attention soutenue (par
exemple : grutier ).

Cependant, sous certaines conditions, des travaux peuvent présenter des risques particuliers
et donc devenir dangereux même pour des ouvriers compétents.

Nous avons regroupé ces travaux en quatre familles qui sont :

- les situations inhabituelles ou exceptionnelles


- l'emploi de matériaux ou de produits non traditionnels
- l'utilisation de certains matériels, outillages, engins ou machines
- l'environnement du chantier.

Dans ces cas, il convient d'informer et de former le salarié aux risques particuliers du poste.

Application pratique :

“- Liste des postes de travail à risques particuliers.

“- Demande de personnel à une entreprise de travail temporaire.

Préciser impérativement :
- la qualification professionnelle requise
- les caractéristiques précises du poste à pourvoir
- l'existence ou l'absence de risque particulier
- les aptitudes exigées, notamment médicales (travail en hauteur)
- les protections individuelles fournies par l'entreprise de travail temporaire et par
GTM.

“- Arrivée sur le chantier d'un salarié (GTM, CDD ou intérimaire)

- vérifier sa qualification
- vérifier son aptitude médicale
- accueillir cette personne (voir Décret du 20 mars 1979)
- donner s'il y a lieu la formation renforcée sur les risques particuliers
- formaliser ces interventions (accueil et formation renforcée) sur le registre
d'observation du chantier et sur les pointages journaliers.
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4.2./ LES PROTECTIONS INDIVIDUELLES

A/ Les protections individuelles remises à chaque personne

. casque
. chaussures de sécurité
. bottes de sécurité
. veste et pantalon de travail
. vêtement de pluie

B/ Les protections individuelles disponibles sur chantier et remises en cas de travaux particuliers

. protection oculaire (lunettes, masques, etc...)


. protection auditive (bouchons, casques, etc...)
. protection des voies respiratoires (masques, cagoules, etc...)
. gants de sécurité
. harnais de sécurité
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CHAPITRE V

INSTALLATIONS GENERALES

5.1. Le levage

5.2. Les fluides

5.3. Le cantonnement - Les circulations - Le stockage


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5.1./ LE LEVAGE

Comme indiqué sur le plan d’installation (Annexe 7.3.), le chantier disposera de 4 grues à tours.
Un système d’interférence sera mis un place pour les grues G2, G3 et G4 qui sont en interférence deux à
deux.
La mise en place des fours / chaudières du process nécessitera l’intervention d’une grue mobile de
600 t positionnée au nord de l’U.V.E. sur une durée d’environ 2 semaines, après démontage de la grue
G2. Pendant cette période de gros levage, les consignes seront mises en place pour la gestion des grues
G3 et G4. Une personne de l’encadrement sera désignée afin de faciliter la coordination avec le
responsable levage du process.
Des grues mobiles assureront les différentes opérations de levage et de manutention en dehors de
la période de présence des grues à tour.

5.2./ LES BRANCHEMENTS

Vous trouverez en annexe 7.3. le plan des installations de chantier, ainsi que des branchements aux
différents réseaux.

A/ L'ELECTRICITE.

L’alimentation générale du chantier se fera à partir d’un branchement 20 000 V réalisé par EDF.
Une cabine Serem (630 kVA) et une armoire TGBT alimenteront les zones base vie et chantier (travaux
GC et process).

B/ L'EAU.

Le cantonnement disposera d'un branchement sur le réseau.


3 points d’alimentation en eau potable seront installés sur le site.

5.3./ LE CANTONNEMENT - LES CIRCULATIONS - LE STOCKAGE

Vous trouverez en annexe 7.3. le plan des installations de chantier, et en annexe 7.8. des précisions
sur les installations d'hygiène.
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CHAPITRE VI

MODES OPERATOIRES ET PREVENTION

6.1. Les principes généraux de prévention

6.2. Les modes opératoires particuliers


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L'ensemble du chapitre sera développé une fois les modes opératoires définis.
La mise à jour fera l'objet de diffusion d'avenants au présent P.P.S.P.S.

6.1./ LES PRINCIPES GENERAUX DE PREVENTION.

Les aciers en attente seront pliés ou équipées de protection plastique.


Des garde-corps seront installés pour éviter tout risque de chute.

6.2./ LES MODES OPERATOIRES PARTICULIERS

Un tableau Tâche/Risque/Prévention sera établi dans chaque additif au présent P.P.S.P.S.


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CHAPITRE VII

ANNEXES

7.1. Le plan de situation

7.2. Le plan masse

7.3. Le plan d'installation

7.4. Les organismes à contacter en cas d'urgence

7.5. Le décret du 20 Mars 1979

7.6. Le règlement intérieur

7.7. La loi du 12 Juillet 1990

7.8. Les installations d'hygiène


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ANNEXE 7.1.

LE PLAN DE SITUATION
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ANNEXE 7.2.

LE PLAN MASSE
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ANNEXE 7.3.

LE PLAN D'INSTALLATION
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ANNEXE 7.4.

LES ORGANISMES A CONTACTER EN CAS D'URGENCE


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ANNEXE 7.5.

LE DECRET DU 20 MARS 1979


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ANNEXE 7.6.

LE REGLEMENT INTERIEUR
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ANNEXE 7.7.

LA LOI DU 12 JUILLET 1990


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ANNEXE 7.8.

LES INSTALLATIONS D'HYGIENE

Les installations sont conformes aux prescriptions de la CRAMIF de Mars 2000


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CHAPITRE VIII

LES CONSIGNES

8.1. Les manutentions

8.2. Les circulations de chantier

8.3. Les chutes

8.4. L'électrisation

8.5. Les incendies - Utilisation des extincteurs


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8.1./ LES MANUTENTIONS

A/ DEFINITION

Les manutentions "manuelles" concernent toutes les opérations de manipulation d'objets


réalisés :
. par la seule force des bras
. à l'aide de poulie, palans manuels, crics, treuils à main

Les manutentions mécaniques concernent toutes les opérations de manutention et de levage


exécutées à l'aide d'appareils fixes tels que grues ou autre.

B/ PRECAUTIONS A PRENDRE

1. Les manutentions "manuelles"


• ne pas porter de façon habituelle des charges > 55kg,
• ne jamais porter seul une charge > 105kg,
• pour soulever une charge, ne jamais plier le bassin et ne jamais garder les jambes
droites,
• les mouvements de levage doivent se faire avec la force des jambes et non pas celle
du dos,
• le port des gants et des chaussures de sécurité est obligatoire.

2. Les appareils de levage


• présence d'une plaque indiquant les limites de charges,
• appareils solides et stables,
• poulies munies d'un dispositif limitant la sortie du câble de la gorge,
• treuils munis d'un dispositif empêchant le retour de manivelle en charge.

3. Les manutentions mécaniques


• ne pas effectuer une manoeuvre seul,
• toute opération est dirigée par un chef de manoeuvre,
• il est interdit de :
* soulever une charge supérieure à la capacité de l'engin,
* transporter des charges au-dessus du personnel,
* passer sous les charges,
* monter, s'accrocher aux charges,
* transporter du personnel,
* accompagner une charge manuellement (il faut utiliser une corde),
* balancer la charge pour un point ne pouvant être atteint normalement,
* stationner dans la zone d'évolution de l'engin.
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8.2./ LES CIRCULATIONS DE CHANTIER


CIRCULATIONS EN SURFACE DANS L'EMPRISE DU CHANTIER

A/ GENERALITES

* Sur tout poste de travail, maintenir ordre et propreté,


* Dégager les passages réservés à la circulation des piétons,
* Porter le casque en permanence.

B/ CIRCULATION DU PERSONNEL (cf annexe 7.2.)

* Les zones de circulations du personnel sont matérialisées et dégagées de tout matériel ou


matériau,
* La circulation des engins se fait sous l'ordre d'un chef de manoeuvre désigné par le chef
de chantier,
* la circulation des engins en marche arrière ne peut s'effectuer que si l'engin est équipé
d'un dispositif de recul,
* les zones de travail étant séparées des cantonnements, la circulation se fait par les
passages piétons, en respectant la signalisation tricolore.
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8.3./ LES CHUTES

A/ DEFINITION

Il existe trois sortes de chutes :

. les chutes de personnes de hauteur,


. les chutes de personnes de plain-pied,
. les chutes d'objets.

B/ PRECAUTIONS A PRENDRE

1. Les chutes de hauteur


• installation de garde-corps à proximité des endroits où l'on risque une chute (les
hauteurs des garde-corps sont de 1.10 m),
• installation de passerelle de travail en cas de travaux en hauteur. Eviter les travaux
sur échelle,
• l'utilisation du harnais reste exceptionnelle, pour les cas où la mise en place d'un
échafaudage reste impossible.

2. Les chutes de plain-pied


• travailler dans un environnement propre et bien ranger pour éviter les glissages et
déséquilibre,
• passerelles munies de linteaux cloués en travers des planchers, dès que leur pente
induit un risque de glissade.

3. Les chutes d'objets


• le port du casque et des chaussures de sécurité évitent les accidents,
• les plinthes à proximité des endroits où l'on risque des chutes sont obligatoires,
• matériaux empilés de manière stable,
• respect des charges limites d'utilisation des appareils de levage.
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8.4./ L'ELECTRISATION

A/ DEFINITION

L'électrisation, qui peut conduire à l'électrocution, est le passage d'un courant électrique dans
l'organisme.

B/ RISQUES

Les risques sont multiples et n'ont pas toujours de conséquences équivalentes. Les risques
principaux sont :
• une simple secousse sans conséquence,
• une brûlure,
• des fractures par chute ou projection,
• un arrêt respiratoire,
• des troubles cardiaques.

C/ SITUATION

L'électrisation survient lors d'un contact accidentel d'une partie du corps avec un fil
conducteur ou un appareil électrique sous tension et mal isolé.

D/ CONDUITE A TENIR EN CAS D'ELECTRISATION

La structure du chantier interdisant toute intervention sur le point d'alimentation, les seules
interventions possibles se situent au niveau de l'armoire de dérivation ou au niveau des armoires de
distribution.

Le secouriste s'abstient de toute intervention sur la victime. Il doit tout d'abord prévoir et
organiser la chute éventuelle de l'"électrisé", puis couper le courant.

Si toutefois, l'intervention sur le courant est impossible, et seulement dans ce cas, le


secouriste doit s'isoler du sol en se plaçant sur un objet sec non conducteur (planche de bois,
caoutchouc, pile de journaux, ...), s'isoler de la victime à l'aide de gants ou d'un linge sec laineux et
écarter la victime du point de contact électrique avec une perche de bois sec ou une corde.

Lorsque la victime est dégagée et selon les cas de gravité, il faut envisager :
• la mise en position latérale de sécurité,
• le bouche à bouche,
• le soin des brûlures,...

Même en cas d'électrisation apparemment bénigne, il faut faire procéder à un examen


médical de la victime et appliquer la consigne "Appel en cas d'accident".
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8.5./ LES INCENDIES - UTILISATION DES EXTINCTEURS

A/ DEFINITION

Un extincteur est un appareil qui permet de projeter, sous l'effet d'une pression interne, et de
diriger un agent adapté au cas, sur un foyer d'incendie.

B/ MODE D'EMPLOI

Le mode d'emploi d'un extincteur peut être différent selon le modèle utilisé.
Cependant, le mode d'emploi d'un extincteur figure clairement sur chaque appareil.

C/ CONDUITE A TENIR EN CAS D'INCENDIE

Après avoir donné l'alarme, attaquer l'incendie à l'aide des extincteurs appropriés à la classe
de feu à combattre.

Respecter les consignes suivantes afin de ne pas mettre les combattants du feu en situation
délicate :
• tourner le dos au vent,
• tenir l'appareil dans le sens recommandé,
• attaquer le feu à la limite de portée de l'extincteur, puis se rapprocher
progressivement en dirigeant toujours le jet vers la base des flammes en balayant
lentement,
• sur les feux de gaz, orienter le jet vers la source,
• n'avancer que si l'on est sûr que le feu ne peut pas prendre derrière soi.

En cas d'intervention sur un incendie à proximité de lignes électriques, ne pas utiliser


d'extincteur à eau à jet plein :
• mettre la zone hors tension si cela est possible,
• éviter le contact diffuseur/source sous tension,
• assurer l'évacuation des gaz toxiques par ventilation après extinction du feu.

En cas de vêtement enflammé, la victime se roule par terre et les témoins la recouvrent de
couvertures, vêtements,... mouillés pour obtenir l'extinction par étouffement du feu.
Si l'on ne peut s'approcher de la victime, utiliser un extincteur.
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D/ TYPES D'EXTINCTEUR / TYPES DE FEU

Solides = bois, papier, plastique, textile


Liquides = alcool, essence, gasoil, huile, graisse
Gaz = butane, propane, hydrogène, acétylène

Extincteurs Solides Liquides Gaz Electr.

A eau jet plein X

A eau jet pulvérisé X X X

A poudre X X X X

A CO2 X X X

A hydrocarbures X X X
halogènes
X
A mousse
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CHAPITRE IX

OBSERVATIONS

9.1. Les observations du médecin du Travail

9.2. Les observations des représentants du personnel


(C.H.S.C.T.)
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9.1./ LES OBSERVATIONS DU MEDECIN DU TRAVAIL

Médecin du Travail :

Observations :

9.2./ LES OBSERVATIONS DES REPRESENTANTS DU PERSONNEL

Représentants du Personnel ou C.H.S.C.T :

Observations :
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CHAPITRE X

DIFFUSION
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DIFFUSION

1. Maître d'ouvrage 1 ex

2. Maître d'œuvre 2 ex

3. Inspection du Travail 1 ex

4. CRAM 1 ex

5. OPPBTP 1 ex

6. Médecin du travail APAS (pour avis) 1 ex

7. Généris 1 ex

8. CHSCT (pour avis) 1 ex

9. Direction du chantier 1 ex

10. Cotraitant : BAGOT (pour information) 1 ex

11. Coordonateur (OTCI) 1 ex

12. Service Sécurité GTM 1 ex

13. Sous-traitant (pour information et harmonisation)


EJL 1 ex
Environnement Service 1 ex
A.TSH 1 ex

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