Semiologie Graphique
Semiologie Graphique
Semiologie Graphique
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Introduction
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Introduction
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Introduction
La géographie ca sert d’abord à faire la guerre (Lacoste)
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Introduction
La cartographie a été conçue comme une science des
signes avec toutes les difficultés que cela induit tant sur le
plan de la perception que de la subjectivité
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Introduction
Science
Art Technique
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Introduction
Une SCIENCE
◦ Ses bases sont mathématiques (systèmes de projection, coordonnées
géographiques, notion d’échelle)
Un ART
◦ En tant que mode d’expression graphique
◦ Une carte doit présenter des qualités de formes (esthétique et
didactique) afin d’exploiter au mieux nos capacités visuelles
◦ Engagement du concepteur dans le choix des représentations
Une TECHNIQUE
◦ Nécessite tout au long du processus l’emploi de divers outils (base de
données, SIG, CAO, Web) et méthodes de représentation
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Introduction
A quoi sert une carte ?
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Des formes variées de cartes
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(Carto)graphie
Le passage d’une information complexe à une image graphique
◦La graphique utilise les propriétés de l’image de l’image visuelle pour faire
apparaître les relations d’ordre et de ressemblance entre les données
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L’élection présidentielle en cartes
Sémiologie graphique
La carte est un moyen de communication
afin de communiquer de manière efficace un message
pour cela il existe des règles
La cartographie est un langage particulier, un système de
signes encodés
◦ Comme langage, la carte est à la fois analogique et symbolique
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Sémiologie graphique
Sémiologie graphique : l’ensemble des règles permettant l’utilisation
d’un système graphique de signes pour la transmission d’une
information correcte et accessible à un lecteur
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Sémiologie graphique
Pourquoi comprendre et respecter les règles de sémiologie
graphique ?
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Règles de bases
Pour faire une bonne représentation cartographique:
Un impératif : concilier rigueur scientifique et efficacité visuelle
#2 Niveaux de représentation :
◦ différentiel, ordonné, quantitatif
#3 Variables visuelles :
◦ forme, taille, valeur, grain, couleur, orientation
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Implantation
L’implantation est la transcription cartographique d’un
objet, d’une valeur ou d’un phénomène sur un plan
c’est elle qui conditionne la généralisation
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Implantation
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Niveaux de représentation
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Les données
Une variable qualitative indique l’affectation d’un territoire
(ou d’un point) à une nomenclature (typologie, classe…)
◦ Il peut s’agir d’une donnée chiffrée (classe) ou d’information
alphanumérique (qualité).
◦ Pour la représenter, on privilégiera une variation par la forme, le
grain ou la couleur
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Données qualitatives
ORDONNEE (ordinale)
Ensemble de variables qualitatives que l’on peut classer
par ordre croissant ou décroissant (hiérarchie)
◦ Ex : Petit, moyen, grand / riche, moyen, pauvre / N2-N3-N4
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Données qualitatives
NOMINALE
Ensemble de variable n’ayant entre elles aucun ordre
◦ Ex : la branche d’activité, végétation, climat, utilisation du sol
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Données quantitatives
ABSOLUE
Une donnée continue absolue est le nombre total
d’observations sur un territoire donné (pop, effectif,
nombres de quelque chose)
◦ Pour la représenter, on privilégiera une variation de taille (ex: cercles
proportionnels).
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Données quantitatives
RELATIVE
Une donnée continue relative est le rapport d’une donnée
absolue dans un référentiel (densité, taux,…)
◦ On privilégiera une variation de couleurs (dégradé)
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Discrétisation
Discrétiser, c’est découper une série statistique en classes
Transformation d’une variable continue en variable
discrète
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Discrétisation
La discrétisation d'une série statistique implique une
réduction de l'information qu'elle apporte mais permet en
revanche la construction d'une carte lisible (généralisation)
Elle est donc forcément un compromis entre la rigueur
statistique et les nécessités de la représentation
cartographique.
Le choix du mode de discrétisation est un problème
délicat puisqu'il détermine l'aspect de la carte et
conditionne son interprétation.
Le bon choix sera donc celui qui permettra le mieux de
conserver les informations apportées par les données.
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Discrétisation
Généralisation de l’information
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Discrétisation
Egale étendue Chaque classe a la même étendue
Quantiles Effectifs égaux dans chaque classe. Chaque classe n'a donc pas le même étendue
Seuils fixes Seuillage à la volonté de l'utilisateur qui fixe les bornes des classes.
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Discrétisation
Les mêmes données mais plusieurs cartes
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Discrétisation
Les mêmes données mais plusieurs cartes
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Manipulations ???
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Données représentation
VARIABLES VISUELLES
Des règles dans la représentation des données
géographiques selon la nature de l’information et leur
implantation géographique.
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Variables visuelles
C’est le point clef : après avoir la nature de ses données et
défini l’implantation, il faut choisir la variable visuelle
◦ Elle va permettre d’exprimer visuellement l’importance de la donnée
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6 variables visuelles
Ordre et
hiérarchie
Différences et
ressemblances
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6 variables visuelles
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(1) Variable de forme
C’est une variation de figures géométriques, de
formes symboliques ou de signes conventionnels
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(1) Variable de forme
Les 3 types d’implantations
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(1) Variable de forme
La variable de forme est uniquement différenciatrice
◦ Elle ne permet de transcrire qu’une information qualitative
◦ La variable de forme ne peut en aucun cas être utilisée pour traduire
un ordre (hiérarchie) ou des quantités
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(2) Variable de couleur
La variation de couleur est uniquement différenciatrice,
elle est utilisée pour représenter des caractères qualitatifs,
c’est-à-dire des objets de nature différente
Utilisation pour une meilleure efficacité
◦ La variation de couleur s’emploie dans toutes les implantations mais
elle est surtout efficace en implantation de surface
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(2) Variable de couleur
La variation de couleur est difficile à utiliser car même s’il
existe en théorie un ordre dans les couleurs, ordre lié au
spectre de la lumière (c’est-à-dire aux longueurs d’onde des
radiations monochromatiques), l’œil n’est pas capable de
percevoir cet ordre.
Spectre de la lumière
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(2) Variable de couleur
Le ton
La variation du ton (couleur dominante) est plus
fréquemment utilisée pour une variable qualitative
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(2) Variable de couleur
La saturation
La variation de l’intensité et/ou de la saturation permet de
construire des palettes de dégradés.
◦ On varie la saturation en restant dans le même ton (ou nuance) et la
même valeur (donnée qualitative)
◦ Surtout combiné à la valeur dans la cadre d’une donnée quantitative
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(2) Variable de couleur
Carte choroplète bivariée
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(2) Variable de couleur
Carte choroplète bivariée
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(2) Variable de couleur
Carte choroplète bivariée
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(3) Variation de valeur
Utiliser pour traduire des variables quantitatives relatives
◦ Pour des quantitatives absolue (variation de la taille)
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(3) Variation de valeur
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(4) Variable de grain
Contrairement à la variation par la valeur, qui implique une
évolution blanc-noir, la variation par le grain vise à
conserver cet équilibre.
Ici, c’est le nombre d’éléments de la trame qui varie, et non
la valeur (même ratio entre noir et blanc)
◦ Pour maintenir cet équilibre, une variation par le grain commence
par une trame très resserrée vers une trame plus espacée
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(5) Variable orientation
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(6) Variable de taille
La représentation par symbole d’une variable quantitative
implique une modification proportionnelle de sa taille par
rapport à la valeur à cartographier
Le changement s’effectue alors sur la longueur, la largeur
ou la superficie du symbole
◦ Surtout utiliser en implantation ponctuelle
◦ Dans le cas du linéaires, c’est l’épaisseur du trait qui variera
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(6) Variable de taille
Règles d’utilisation
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(6) Variable de taille
Implantation ponctuelle
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(6) Variable de taille
Implantation linéaire
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(6) Variable de taille
Implantation zonale
On fait varier la taille des éléments constitutifs de la trame ou le nombre
d’éléments par zone ou encore la taille ou la hauteur des zones
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(6) Variable de taille
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(6) Variable de taille
2ème méthode : la carte en anamorphose (zone
proportionnelle)
◦ Modification de la géométrie afin de montrer un phénomène
géographique quantifié
◦ Déformation des contours et des surfaces en fonction d’une donnée à
représenter (quabtitative)
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(6) Variable de taille
Importations de pétrole
Exportations de jouets
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(6) Variable de taille
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(6) Variable de taille
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(6) Variable de taille
3ème méthode : la carte prismatique
◦ On attribue comme valeur z (normalement réservée à l’altitude) la
valeur de la donnée que l'on veut représenter
◦ Au lieu d’utiliser une variable visuelle « conventionnelle », on va
utiliser 3D , en concevant la représentation directement en relief
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La 3D
Nouvelles perspective grâce au développement du WebGL
◦ Visualiser des éléments graphiques en 3D via son navigateur web
(6) Variable de taille
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Synthèse des variables visuelles
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Synthèse des variables visuelles
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Variables visuelles et SIG
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Variables visuelles et SIG
La contrainte de l’outil
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Variables visuelles et SIG
La contrainte de l’outil
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Gagner en efficacité
Variable qualitative en implantation ponctuelle
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Gagner en efficacité
Variable qualitative en implantation ponctuelle
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Critiques de cartes
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Critiques de cartes
Représentation
d’une variable
quantitative
absolue en
aplats de couleur
NOP !!!!
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Critiques de cartes
Combinaison
variable taille
avec
diagramme
circulaire
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Critique de carte
Carte avec trops
d’informations
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Critique de carte
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Critique de carte
Mélange de la variation couleur = incompréhension
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Construction de la carte
Une carte doit impérativement
comporter:
Titre précis (où, quand, quoi?)
Légende précise et organisée
Échelle (échelle graphique)
Orientation de la carte
Sources des données
Auteur et date de réalisation
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Construction de la carte
Le fond de plan pour mieux appréhender l’espace
représenter
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Construction de la carte
Le fond de plan pour mieux appréhender l’espace
représenter
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Construction de la carte
Les fonds de carte
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Construction de la carte
Les fonds de carte
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Récapitulatif
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Récapitulatif
Ce à quoi il faut veiller lors de la réalisation d’une carte
Les données :
◦ homogènes et spatialisées
◦ respect des règles de seuillage (discontinuités de la série)
Leur représentation :
◦ un figuré pour un phénomène
◦ respect des propriétés des variables visuelles
◦ pas de valeur absolue en aplat de couleur
◦ réserver l’usage blanc pour les objets sans donnée
◦ une variation de valeur doit être étendue et progressive
◦ les proportions doivent être respectées
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Récapitulatif
Pour gagner en efficacité
Chercher à :
◦ adapter la taille des figurés aux contraintes de fond de carte
◦ employer des formes bien différenciées
◦ respecter les seuils de lisibilité
◦ conserver une bonne lisibilité lors des superpositions
Eviter :
◦ la surcharge graphique qui nuit à la compréhension
◦ les symboles trop figuratifs
◦ de dépasser 7-8 figurés
◦ d’employer des mots et des chiffres sur la carte
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Carte efficace
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Carte efficace
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Carte efficace
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Carte efficace
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Carte efficace
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Carte efficace
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Vers une nouvelle
sémiologie graphique
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Nouvelles formes de représentation
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+
Nouveau langage cartographique
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109
110
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+
Systèmes de signes variés
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Nouvelles formes de représentation
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Nouvelles formes de représentation
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Nouvelles formes de représentation
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Références Bibliographiques
BEGUIN M., PUMAIN D., 2010. La représentation des données géographiques :
Statistique et cartographie. Collection Cursus, Edition Armand Colin, Paris. 192p.
(Troisième édition 2010)
BERTIN J., 1967. Sémiologie graphique. Mouton-Gauthier-Villars-Bordas, Paris,
1ère Edition. 431p. (2ème Edition 1973).
BERTIN J., 1977. La graphique et le traitement graphique de l ’information.
Edition Flammarion, Collection : Nouvelle bibliothèque scientifique. 277p.
BRUNET R., 1987. La carte, Mode d’emploi. Fayard, Reclus.
JOLY F., 1985. La cartographie. Collection Que sais-je ? n° 937. PUF. 127p.
(Nouvelle édition 1994).
POINDEVIN D., 1999. La carte moyen d’action : conception et réalisation ,
Ellipses, Paris. 199p.
STEINBERG J., 2000. Cartographie : Télédétection - Systèmes d'information
géographiques, Armand Colin, Paris. 158p.
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Références Bibliographiques
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