Espace européen :

Chapitre 1 construc on européene

La no on des « Etats-Unis d’Europe »

- est reprise plusieurs fois avec (abbé saint pierre) en 1713 peut être pas états unis mais qu’il
voyait un ensemble autour d’une culture
-Napoléon 1816 regret d’avoir fait des conquêtes européennes et voyait un espace européen
et il verrait une seule grande puissance
-1849 Victor Hugo c’est le premier qui emploie le mot état unis d’Europe, il s’agit de
reconnaitre que de l’autre coter de l’atlan que un état fédérer et plusieurs états.
- Léon trosqui en Russie imaginé que le méchant serait américain et que le Russie pourrait
être forte sans allié, il voulait créer la puissance européenne par ses conquêtes
- 1946 Winston Churchill reprend ce e no on et le site même pour la paix d’après-guerre
vouloir faire une associa on des pays

Volonté de conquête des pays ou volonté de regroupement pour la paix ?

La construc on par pays : 1951—2019

6 pays à l’ini a ve
(18/04/1951) : France traité; Allemagne ; belgique ; pays bas ; Luxembourg ; italie
Traité CECA : communauté européenne du charbon et de l’acier
Raison économique

1er élargissement
- 1973 : 3 pays : Royaume Uni ; Irlande ; Danemark
La Norvège a refusé ( 1er référendum)

2ème Élargissement à l’est en 1981 : La Grèce

3ème élargissement 1986 : Espagne et Portugal

4ème élargissement 1995 : Allemagne de l’est ; Autriche ; la Finlande ; la Suède

5ème élargissement historique : 10 états

-Chypre (par e turque et par e grecque)
-Estonie
-Hongrie
-Le onie
-Lituanie
-Malte
-Pologne
-République tchèque
-Slovaquie
-Slovénie
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 L’Europe des 25
En 2007 : L’Europe des 27
- Bulgarie
- Roumanie
- Croa e

Actuellement : Europe et pays candidats…

-pays candidat : Albanie ; macédoine ; le Monténégro ; la Serbie ; Turquie ; Bosnie
Herzégovine ; Kosovo ; Island ; Ukraine ; Moldavie ; Arménie

Les pays du Maghreb sont partenaires de l’union européenne

En 2020 on rétrograde de 28 pays on passe à 27 conséquences du brexit le royaume unis est

sor e
Brexit : Référendum ini é par David Cameron le 23 juin 2016 (51,9% pour le brexit)
- Départ 29/03/2019 puis le 12/04, puis le 31/10
- Theresa MAY a poursuivi les négocia ons en 2020 conclues par un échec
- Accord négocié entre M. Barnier (UE) et B. Johnson le 17/10 « Withdrawal
agreement »
- Élec on le 12/12/2019 puis vote le 20/12

Brexit o ciel le 31/01/2020

Discussion 507/0&) puis vote sur la fron ère

Période transitoire jusqu’au 31/12/2020

3 enjeux au sein de l’UE :
-Montant de la compensa on : entre 20 et 60 Milliards d’euros
-Sort des européens installés a Londres
(Londres est la ville où le plus de français sont employés)
-problème de fron ère irlandaise
-Enjeux poli que et économique :1ère place économique d’Europe et 2ème mondiale (voire
1ère selon les indicateurs)
-Ecosse voudrait rester européenne
-Pays de gale veut rester également
-Royaume unis : premier allié des USA en Europe et dans le monde
-mise en place entre : Le RU et chacun des Etats membres ; entre le RU et l’UE

Le contexte de 1951 :
-blocus de Berlin (1948-1949)
4 zones délimité par des chakes point (chake point charlie)
Juin 4 ! : URSS « Allemagne = grenier de l’URSS »
Alliés « Allemagne faible = proie des communiste »
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 Créa on du Deutsch Mark à l’Ouest
Staline : blocus de ravitaillement (plus de ravitaillement pour les Français américains et
allemand qui doivent passer par l’Allemagne de l’Est pour accéder à Berlin.)
Solu on au blocus Truman : pont aérien
Mai 1949 : Staline abandonne le blocus, c’est une perte ce e « 1ère guerre froide » pour
l’URSS

-Guerre de Corée (1950-1953) entre le Sud (USA) et le Nord (présence et sou en URSS)
Corée (possession japonaise) divisé depuis 1948 (avec Kim II Sung au Nord)
-Guerre presque direct entre les 2 blocs, USA avec l’appui de l’ONU (« poli que de chaise
vide » Les Russes ne veulent plus siégé a l’ONU)
-Interven on de la Chine : Fin du con it (1953), 2 millions de morts
Conséquences : Les tensions et la guerre froide pour l’Europe

-posi on de la gb et des USA : faiblesse de l’Allemagne

-posi on de la France : Organiser l’Europe
Conséquences : coopéra on dans secteurs limités (solidarités de fait)

I-du traités CECA à la CEE

D’une innova on juridique et poli que a une Europe avec un nouvel élan

A. Le traité CECA
-Idée de R.Schuman ( non-a aiblissement de l’Allemagne car cela le pousserais dans
des extrêmes )
-Idée J.Monnet ( pour lui il faudrait noué des rela on et que l’Europe se regroupe
pour une Europe puissante entre les deux blocs)

-il faut donc des rela on commercial c’est le choix de l’industrie du charbon et de
l’acier pour Monnet
-Discours de Schuman le 9 mai 1951 (« 5 ans après…il faut reconstruire) donc le
temps est compté (cours laps de temps)
-Poli ques des « pe ts pas » de Monnnet (doucement l’Europe va ce construire
charbon, acier , commerce ……)

Donc le traité CECA ne sera qu’une étape pour tendre vers une Europe plus soudée
en enclenchant des traité commerciaux

-Solidarité de fait : rela on si imbriquée et indispensable qui devient une solidarité

Créaton d’une Haute Autorité en 1951 ( 1ère organisa on supra na onale = décision
imposée si majorité de la part des mebmres lors des votes)
-9 membres totalement indépendant malgrès ce e autorité

Objec f de la CECA : approvisionnement ( charbon ect), égal accès des

consommateurs prix les plus bas, concurrence , échanges (barrières douanieres…) et
faire évoluer condi ons de travail
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 CECA signé le 18/04/1951 appliqué le 24/07/1951 avec une durée de vie de 50 ans

B. les traités de Rome : nouvelle impulsion

idée des 1955 de créer deux nouvelle comunauté :

Euratom qui est centré sur l’énergie (ou CEEA) et CEE et qui est centré sur le commerce
-Signé en 25 mars 1957 et entrée en vigueur en 14 janvier 1958
-Objec f : créer un grand marché intérieur (supprimer fron ère)
• Au niveau économique les pays ne font plus qu’un ce qui facilite les ux
• Personnes peuvent voyager librement
• La marchandise
• Les services
• Capitaux
• Poli que commune (PAC) : euros ; poli que agricole commune
• Période transitoire jusqu’en 1969 : droits de douane et tarif commun

II – Une construc on européenne intensi ée

L’élargissement des di érents pays avec de nouveaux traités
A. De la CEE à l’UE (jusqu’en 1992)
1.l’acte unique soigné en 1986
- Relance de la construc on européenne : marché intérieur en 1993. Nouvelle
impulsion au traité de 1957
- Compétence élargie de la CEE, elle se limite plus aux aspects économique : sociale,
environnement, recherche(laboratoire)…
- Cohésion pour les nouveaux (Irlande ; Grèce ; Espagne ; Portugal) a n de refaire leur
retard (les GAFAM se sont installé en Irlande car le taux d’imposi on est bas, le pays
fait maintenant par e de l’UE donc touché un marché )
- Prise de décision : Majorité quali ée (50% en fonc on du poids de chaque pays)
- Implica on du Parlement qui va avoir une légi mité (vote)
- Reconnaissance d’une autre ins tu on : Le Conseil Européen (Sommet Européen)

2.Le traité de Maastricht signé en 1992

-Réuni ca on allemande
-CEE devient U. E : dimension poli que assumée
-Axes :
- Cultures (reconnaissance des langues)
- Coopéra on (deux trois pays pourrons aller plus loin que l’UE au niveaux des couples
et des divorces)
- Éduca on, social (une personne au chômage a les même droit qu’un travailleur)
- Subsidiarité consacrée( elle interviendra dans les domaine là ou elle se sent capable)
(si les pays ne s’occupe pas d’une ma ère et bien l’Europe sera prioritaire ; si la
compétence est juger importante ce sera l’Europe qui sera prioritaire)
- Codécision (toujours deux ins tu ons pour prendre une décision )
- Parlement-Conseil ; Désigna on de la Commission ; Droit du regard du parlement
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 -Le Royaume Unis peut rester en retrait sur certaines poli ques sociales et monétaires
-Poli que monétaires lancé (euro)
-citoyenneté Européenne
-transfert importants à l’UE
-Seuls des domaines très sensible vont rester propre à chaque pays (Poli que Étrangère, et
de Sécurité Commune de l’Union : PESC) car il faut l’unanimité au l’ue pour que quelque
chose soit voté, coopéra on en ma ère de jus ce et d’a aire intérieures (AJ) : Unanimité
requise
-critère pour l’adhésion à l’union européenne : critère poli que (état de droit, libertés soit
respecté, démocra e), économique (dé cit annuel …), communica ons (retranscrip on des
textes européens)

B. L’UE en mouvement
3 traités vont perme re d’adapter les traités aux 15

1-Amsterdan signé en 1997

-poli que de l’emploie
-Franchissement des fron ères (Conven on de Schengen de 1985 ins tu onnalisé
par Amsterdam)
-Coopéra on renforcées ( certains pays vont plus loins entre eux)
-Parlement avec plus de pouvoirs
-Principes de liberté, démocra e , droits de l’homme, état de droit (art 6)

2. Nice de 2001
-Ini alement Nice devait revoir les critères de vote et composi on de la
commission européenne
-débat sur la cons tu on européenne et… 29/05/2005 un référendum ne la pas
accepté
-Adop on de la Charte des droits fondamentaux 2000

3. Lisbonne 2007
-Contexte : Rejet de la cons tu on européenne par la France en mai 2005 et les pays
bas aussi
(13/25)pays l’avaient ra é : moratoire de 2 années
Puis abandon du terme « Cons tu on », « loi »n’est pas repris par l’UE, et des
références au drapeau, hymne, devise…
-Lisbonne = traité cons tu onnel sur le fonc onnement de l’Europe
-La Charte des droit fondamentaux a une valeur contraignante chacun des pays doit
la respecter (il faut l’appliquer sous peine de sanc on)
-les pays sont libres d’adhérer à la conven on européenne des droits de l’Homme
-Le Président du Conseil est élu pour 2 ans et demi et son mandat est renouvelable
une fois
(Charles Michel, remplace Tusk qui avait remplacé Van Rumpuy)
-commission européenne restreinte (non appliqué)
-pouvoir du président de la commission renforcés
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 - Droit de se re rer de l’UE maintenu et en 2020 le royaume unis se re re

Chapitre 2 : Les ins tu ons de l’Union Européenne

Il n’y as pas de sépara on de pouvoirs
Montesquieu a été le premier à évoquer la sépara ons des pouvoirs pour lui chaque
pouvoirs a des compétence et ne doivent pas interféré entre eux .
En France nous avons trois pouvoirs: le pouvoirs Législa f, le pouvoirs exécu f, le pouvoirs
judiciaire .

Fonc on exécu ve :
Trois ins tu on
• La commission Européenne
• Le Conseil de l’UE (c. des ministres)
• Le Conseil Européen (Sommet)
Comment en France : 2 éléments : L’ini a ve et l’exécu on ( on propose on text puis
on doit l’appliquer )
Ex : Le conseil des ministres vient de voter une aide de 500 millions d’euros pour
l’Ukraine.
Fonc on législa ve
Fonc on de contrôle

A L’ini a ve des décisions

Évolu on : Avant prédominance de la Commission
1-L’évolu on historique du conseil européen
• Le conseil européen est créer en 1974 (à l’ini a ve de VGE : Valéry Giscard des n)
• Il n’était pas prévu
• Réunion des chefs d’états et de gouvernement de chaque pays di érent ( président
français , chancelier allemand, 1er ministre espagnol )
• Aujourd’hui chaque fois que le conseil se réunit il y a un représentant par pays, Le
président du conseil + président de la commission
• Les présidents sont : Herman doimbaig ( belgique); Donald d’Usk ( pologne); Charles
Michel (belgique)

a) Depuis 2009 c’est une ins tu on

Avant : Sommet = Orange
-Réunion avec 1 ministre, si ordre du jour l’exige.
-Uniquement dans ce cas : Président Commission +& membre
-2 fois par semestre (= réunion excep onnelle)
-traité de Lisbonne qui a créé la fonc on de président de ce conseil
- Incompa ble avec tout mandat na onal (démission en Belgique et en Pologne)
-président élu par les chefs d’état et le gouvernement
- son mandat est de 2,5 ans renouvelable 1 fois

b) Les pouvoirs du président du Conseil :

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 -C’est lui qui convoque le Conseil Européen
-Il préside et anime les travaux du conseil européen
-Il prépare et assure la con nuité des travaux
-Il facilite le consensus comme le salaire minimum, les ux migratoire
-Il représente le Conseil et l’UE (Poli que étrangère, sécurité)
-Il rédige un rapport u qu’il va reme re au parlement pour chaque décision

c) Le rôle du Conseil Européen dans l’ini a ve.

-traité de Lisbonne : « le CE donne les impulsions… priorités de poli que générale … »
(sans fonc on législa ve)
-Les ins tu ons suivent les choix des chefs d’État et de gouvernement
Mais il y a aussi la Commission Européenne qui peut proposer des textes

Primauté du Conseil Européen ?

Les chefs d’états on plus de poids qui la commission européenne.

2. La Commission Européenne.
-A aiblissement de son pouvoir : traité de Lisbonne 1/12/2009 reconnais qu’elle doit
partager son pouvoir avec le CE

a) LA commission : présenta on et nomina on

Depuis Nice (2003), nouvelle procédure de nomina on :
6 étapes :
• Désigna on du président de la commission européenne par le Conseil
Européen en tenant compte des élec ons européenne c’est-à-dire il faut
qu’elle soit du même groupe européen qui est élu
• Élec on du candidat par le parlement
• Sélec on des commissaires les par le Conseil les uns après les autres en
accord avec le président élu
• Audi on des commissaires européen est audi onné par le Parlement (non
prévu par Nice). Moyen de pression du Parlement
• Approba on des commissaires
• Nomina on de la Commission
• Nomina on pour 5 ans (iden que à celle du Parlement)
• La dernière élec on du parlement a eu lieu en 2019

b) La commission et son rôle

Présidente : Ursula na onalité allemande von der Leyne
Problème des commissaires : 1 par état, donc à 27
A 27 : Morcellement des compétences
27 qui ne doivent défendre les intérêts de leur pays
Pe ts États surreprésentés (vote en général : 15 pays, 65% de la popula on)
-les traités donnent à la Commission un quasi-monopole en ma ère d’ini a ve
-ils se réunissent chaque semaine
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 Le Conseil de l’UE (conseil des ministres) ne peut pas ce décider sans que la
commission n’a pas travailler le texte. Donc la commission va retravailler les textes
-ini a ve populaire possible (traité Lisbonne) , 1 millions de citoyens pas d’un
seul pays mais de 7 signent une pé ons sur internet. La commission peut
s’emparer du texte .
-La commission peut re rer ou modi er un texte tant qu’il n’a pas été voter
-traité de Lisbonne : « prime a la proposi on » :Le Conseil de l’UE va adopter une
proposi on de la Commission à la majorité mais ne peut pas modi é qu’à
l’unanimité
-La commission publie des documents de travail pour que le Conseil européen
puisse s’en saisir ou l’in uencer…

B-le pouvoir exécu f

Ce sont les pays qui doivent exécuter, appliquer le droit européen

Si nécessaire : interven on de la Commission ,ou Conseil de l’UE (rare et sauf poli que
étrangère et défense)
Le rôle en ce domaine de la Commission est encadré par un disposi f de « comitologie »
Comités représentant les Etats membre composé d’expert (avis consulta f ou contraignant
de la Commission)
En poli que étrangère et sécurité commune (PESC),domaine du Conseil, après orienta on du
conseil européen : execu on des décisions par le Haut représenatnt et les Etats membres.
Poste occupé actuellement par : Josep Borrell (Esp)
NB : Frederica Mogherini (2014)

C. Le pouvoir législa f
Rôle concomitant du Parlement et du Conseil de l’UE
a) Le rôle du parlement
1-parlement légi me
Seul le parlement re une légi mité démocra que depuis 1979 par le su rage
universel
Ducoup ils ont un mandat de 5 ans
Minimum de 6 représentants par État membre
Maximum de 99 représentants
Actuellement : 705 député et il y en avait 751 avant que l’Angleterre parte
99 Allemagne
79 France
76 Italie
Légi mité qui entraine l’accroissement de ses pouvoirs
‘Le parlement exerce, conjointement avec le Conseil, les fonc ons legisla ves et budgétaire…
élit le Président… »
Rémunéra on : 9808,67 par mois + 4778 si il a un assistant parlementaire + 306€ par jour
pour se déplacer et manger

2-Les fonc ons du parlement

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 a) La consulta on
Domaines où un avis est demandé : citoyenneté, concurrence (entreprise et États),
scalité, monnaie, PESC…
Le Conseil de l’UE est ici tenu de lui demander (sans être lié)
Le parlement, s’il ne statue pas, voit le Conseil de l’UE. En revanche : approba on sur
tout le texte « ou rien »
Domaines de compétences :
-accords d’associa ons avec d’autres pays ers ;
-accords avec pays ers avec répercussion budgétaires
-approuvé les nouvelles adhésions et approuvé le retrait d’un pays

b) Procédure législa ve
Apparue avec Maastricht, elle devient la règle (sauf procédure spéciale)
2 principes de ce e codécision :
-Le parlement = le Conseil de l’UE
- droit de veto du parlement : accepta on ou rejet pas de modi ca on du texte
C‘est à dire
Le parlement vote à la majorité absolue des membres contre la Commission, mais …
Majorité simple pour aller dans le sens de la Commission
Aussi le Conseil du l’UE approuve les proposi ons de la Commission à la majorité, mais les
écartes à l’unanimité
La codécision entraine des actes adoptés par le parlement et le Conseil de l’UE, après
concilia on si besoin.

B—Les pouvoirs du Conseil de l’UE en ma ère legisla ve

En retrait dans la fonc on exécu ves / commission, le Conseil, voire le haut représentant)
, il est en concurrence/ Parlement en la ma ère il est le seul a décider dans une procédure

LE CONSEIL de l’UE (conseil des ministre)

-un représentant par pays : le ministre

Ce e cons tu on n’est jamais iden que
-un représentant qui engage son État

a) Historique
1957-1987 : Vota à l’unanimité (même si Rome prévoyait la majorité quali é)
C’est l’acte unique qui a permis que ce e règle soit respectée

b) Actuellement : toujours l’unanimité uniquement dans les domaines les plus

importants
Domaines listés par Lisbonne : Tourisme, espace, Energie, protec on civile…

2-Le vote des textes européens

-Majorité quali ée (sauf si traités précise une autre voie)
-depuis le 1/11/14 : 55% (15 pays sur 27) des États et 65% de la pop
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 -Seuil portés à 72% POP si la proposi on ne vient pas de la commission ou du haut
représentant
-minorité de blocage d'au moins 4 membres du conseil

3-Le contrôle au sein de l’UE

Contrôle poli que et juridic onnel

A : Contrôle poli que

Au niveau des états et de l’ac vité de la Commission
1. Contrôle des états
• Respect des droits fondamentaux : Socle de l’Union
• Toute méconnaissance = perte du droit de vote
• Commission : gardienne des traités : peut intenter un recours contre tout
État qui viole le droit de l’UE

2.contrôle de la commission
• Mo on censure (pareil qu’à l’assemblée) :
-Premier contrôle : L’approba on des commissaires
Après l’approba on : possibilité de déposer une mo on censure, contre
l’ac on de la Commission
-si mo on votée : les membres de la commission démissionnent
-c’est le parlement qui devra renverser la commission
-en 1999, démission de toute la commission de Jacque Santer or le
parlement ne voulait pousser à la démission que de certains commissaires
(Édith Cresson seule femme première ministre elle s’est rendu au japon et
a fait une gourde, un mois après elle a dit en grande bretagne que tous
étaient des homosexuels et à engager son den ste et son coi eur a la
commission européenne)
-Traité de Nice (2001/2003) : individualisa on de la sanc on
-Donc actuellement double responsabilité : envers le Parlement
(collec vement) et envers le président de la Commission
-2012 : démission de John Dalli sur demande de J-M Barroso

• Commission d’enquête
-Le parlement peut demander de ¼ des membres de cons tuer une
commission si « alléga on d’infrac on ou mauvaise administra on », sauf
si l’a aire est portée en jus ce
-rapport, puis vote de la résolu on
Et voté derrière la mo on censure
• Pé on : toute personne peut en déposer sur des sujets relevant de l’UE
• Recours au médiateur européen
-en cas de « mauvaise administra on dans les organes de l’UE » (sauf
CIUE)
-Si fais avérer : Le médiateur saisi l’ins tu on concernée qui a trois mois
pour agir soit pour faire un rapport au parlement et a l’ins tu on.
- Informa on de la personne concernée
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 Contrôle budgétaire
• C’est la cour des comptes qui contrôle le budget
-Légalité et régularité
-informa on
-comme en France chaque année la cour européenne doit faire un rapport
-Pas de sanc on
• Le parlement vote aussi pour donner son « consentement » au budget.
-Voté dans les 16 mois après l’exercice
-Ça peut se transformer en vote poli que c’était le cas lors de la
commission de Santer , tant que Edith cresson était dans la commission ils
n’ont pas voté le budget.

B le contrôle juridic onnel

« Ni les États membres, ni les ins tu ons n’échappent au contrôle de leurs
actes par rapport au traité » (« les verts » CJCE : cours de jus ce des
comité européenne , 23/04/1986) toute les juridic on peuvent intervenir
Voies de recours toujours possible contre :
-Acte na onal : exemple une loi française ou décret français
-Acte de droit dérivé 5acte de l’UE)

• La conven onnalité du droit na onal

-primauté du droit européen :
Tout acte pris par une autorité na onale doit être conforme au droit
européen (arrêt Simmental du 9/03/1978)
-Tout jus ciable peut agir si méconnaissance
-Un juge saisi de la demande peut poser une ques on préjudicielle
-Si la ques on se pose devant une juridic on suprême :
Obliga on de renvoi. Pour la jurisprudence
3 juridic on suprême : cour de cassa on ; conseil d’état ; conseil
cons tu onnel.
-sursoir à satuer (15 mois environ)
-les mo fs sont précisés
-les voies de recours doivent être su sants dans chaque pays

2 contrôles du droit européen

Tout jus able peut contester un acte de droit dérivé
2 cas de gures :
-Mesure qui a ecte directement une personne de l’UE( ex :amende in igée dans le cadre de
la concurrence)
Il faudra intenter une ac on devant le tribunal de l’UE
-Un état transpose un acte de l’UE

Chapitre 3 L’ac on de l’UE

Les sources du droit de l’UE et les compétences de l’UE

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 1-Les sources de droit de l’UE
Le droit primaire, les PGD (principe généraux du droit), le droit conven onnel (issue des
conven on) et le droit dérivé (prix par les instances européenne

• Le droit primaire : Les traités

-traités ins tu f de l’UE :
EX : Traité de paris CECA (18/04/51) ou traité de Rome CEE et CEEA (25/03/57)

• Les principes généraux du droit :

-Ils ont une valeur cons tu onnelle
-issus des droit na onaux (ex : principe de la propor onnalité)

• Le droit conven onnel

-Selon la Cour de jus ce, les accords conclus par l’UE (ex : CETA : libre échange que l’union
européenne a signé avec la canada)
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• Le droit dérivé
-Droit adopté par l’UE venant du droit primaire
-Union européenne qui va légiférer soit le parlement soit le conseil de l’UE qui va prendre
des décisions
-3 Types :
Règlement européen
La direc ve
La décision

1. Le règlement
Mesure qui a une portée générale qui va s’appliquer à tous les États membre

Exemple : depuis n janvier 2023 l’union européenne autorise 4 aliments : poudre de

criquet ; vert de farine ; larve de scarabée ; poudre grillon

Il s’applique à tous même si une seule personne est désignée

(Exemple : si une entreprise est en situa on monopole, le règlement s’appliquera a un
poten el concurrent)

Valide tant que la CIUE n’a pas constaté l’invalidité

Applica on ver cale : li ge individu-entreprise
Applica on horizontale : li ge 2 individus, 2 entreprises
E et direct (sauf excep on : marge d’apprécia on)

2. La direc ve Européenne
Elle lie l’État, au résultat a a eindre
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 Théorie : le règlement uni e les droits na onaux, la direc ve les harmonises
Réalité : direc ves très détaillé (créa on du droit…)
Exemple :
- permis de Moto chaque pays avais un laps de temps pour autoriser toutes les personnes
ayant un permis de voiture à conduire un 125CC
- Filet de pêche : règlementé la taille des lets de pêche et la maille
- Tous les pays ont des taux de TVA di érents et l’union européenne a demandé qu’on
se rapproche des normes européennes, tous les pays doivent avoir un taux réduit et
plus important 2,1% de TVA pour les produits de pharmacie et la presse

Laps de temps c’est environ 18 mois en moyenne

Ac on contre l’État possible si non transposi on (État français condamné deux fois pour son
inac on en fonc on du climat et inac on sur la protec on des eaux, le traitement des eaux)
Total a fait 20 milliards de béné ce

3. La décision
Ne va lier que les des nataires mais peut être générale aussi
Exemple : amende ; versement d’aides de par un État

Il n’existe pas de terme « loi Européenne »

2-Les domaines de compétence de l’UE

A. LA dé ni on des domaines
Il y a 3 types de compétence

1 Compétence exclusives
-Lorsqu’un traité liste une compétence exclusive : seul l’UE peut intervenir (légiférer)
-Dessaisissement total des pays (sauf accord de l’UE)
-5 domaines exclusifs :
Union douanière ; Règles de concurrence nécessaire au marché intérieur ; poli que
monétaire dans le cadre de l’Euro ; Conserva on des ressources biologique de la mer( 95%
de la pêche du thon rouge est détenue par 3 familles a Sète) ; poli que commerciale connu
(harmoniser les produits un casque pour un scooter doit avoir la norme CE)

B-Compétence partagé
Hormis les 2 autres compétences a et c, État et UE peuvent adopter tout acte.
Les États peuvent donc intervenir si l’UE n’intervient plus
C’est donc l’inac on de l’UE qui autorise les États à intervenir ou pas
Si l’UE exerce sa compétence : les États ne peuvent plus
Si l’UE cesse d’exercer : les États retrouve leur compétence
Donc préemp on de l’UE

Ces domaines partagés :

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 Marché intérieur (les produits)
Poli que sociale (mesure sur la forma on des travailleurs, salaires minimum)
Environnement
Protec on des consommateurs
Transports
Energie
Résaux

4. Compétence complémentaire ou d’appui

-Les États sont compétents en la ma ère
-L’UE ne peut qu’inciter, soutenir, encourager.
-Domaines :
*santé humaine
*industrie
*culture (la France autorise les langues régionales et en Espagne on les reconnait, o cialise
le cas llan, le basque)
*tourisme
*éduca on, forma on, jeunesse, sport
*protec on civile
*coopéra on administra ve

B-L ’exercice des compétences

L’UE exerce ses compétences en vertu de trois principes

1ER Le principe de subsidiarité :
De : c’est un principe de régula on des compétences :
-déterminer l’autorité la plus à même d’assurer l’exécu on du droit de l’UE
-subsidiarité : on reconnait la priorité des États membres…
-mais l’UE légifère « seulement si les objec fs de l’ac on peuvent être mieux a eints au
niveau de l’Union »
-Raison : dimension européenne de l’ac on
-2condi ons :
*l’ine cacité de l’État
*l’ac on au niveau européen sera plus e cace
-Le principe de subsidiarité ques on par el ne s’applique qu’aux compétences partagées (ou
concurrentes)

2èmes principes de propor onnalité :

L’ac on de l’UE « ne doit pas excéder ce qui est nécessaire… »

3ème principe de exibilité

Il faut pouvoir s’adapter aux nouvelles situa ons et aux situa ons di érentes des pays
-indispensable depuis Maastricht : RU refusant les poli ques économique, monétaire, sociale
et migratoire.
-la coopéra on renforcée (nom donné depuis Amsterdam) créée si 8 États le souhaitent
(Exemple : 201 : 14 États pour : critères pour les divorces de couples bina onaux dans l’UE
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 2011 Tout les pays de l’UE sauf Italie Espagne se sont regrouper pour la protec on des
brevets en France c’est l’organisme inpee
2013 taxes sur les transac ons nancière)
Retrait peuvent rejoindre les États engagés ex : Euro
-Coopéra on renforcée : dernier recours, mais les États en retrait peuvent rejoindre

CHAPITRE 4 Les poli ques des communes

Objec f ini al de l’UE : Obliger les pays à commercer entre eux
Objec f secondaire : développer leur économie ; intégrer d’autres pays… aller de concert
UE a donc :
-Harmonisé
-inciter les pays a prendre des mesures communes
-proposer des mesures communes dans des domaines :
• Domaine monétaire
• Domaine agricole par exemple les di érents insectes autoriser ; la
suppression de la plupart des labels volaille viande 15 février
• Domaine de l’environnement (en France la loi li orale : construire des
maisons pas trop près des côtes)
• Domaine de la défense

1. L’union économique et monétaire

UEM : conséquence d’une intégra on progressive des pays
Objec f de l’UEM : soutenir les économies, la croissance, l’emploi

A. L’historique
A.1 L’ini a ve

1969 à la Haye : Les chefs d’états décident d’une UEM en 10 ans :

Circula on des capitaux et xa on des taux de changes
1968 : suppression des droits de douane
1972 : e ondrement de ce système de Bre on Woods ($ qui o era) puis créa on du
serpent de ME pour stabilisa on des monnaies varia on de 25%
1985 : Marché unique = conversions fréquentes de monnaies
1988 : proposi on sur l’UEM en 3 étapes (Comités Jacques delors)
-libéraliser totalement des mouvements des capitaux (1990-1993)
-Convergence des poli ques économiques (Bdf et BCE (banque centrale européenne)
indépendantes)
La BCE xe les taux d’intérêt des % chaque année
1994-1998 :
-introduc on progressive de la monnaie unique : depuis 1999

2- La poursuite de ce e union économique (Maastricht : 1992)

Ce e dernière étape est toujours en cours :
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 -Certains pays ne remplissent pas les critères de la convergence
-Certains ne souhaitent pas par ciper (RU ou Danemark (en cours))

Actuellement 19 sur 27 pays u lisent l’euro comme monnaie unique :

1999 : Allemagne, Autriche , Belgique , Espagne , Finlande , France , Irlande , Italie , Pays bas
Luxembourg , Portugal , Estonie , Grèce, Le onie, Lituanie, malte, Slovaquie et Slovénie

En France le cout de fabrica on d’une Piece de 1 et 2 cen mes et supérieur à leur valeur
En France de lieux de fabrica on : un a Pessac en gironde les pièces et Clermont ferrand
fabrica on de billet et a coter de Clermont on brule les billets de banques .

7 pays adopte l’euro avec les condi ons requises :

Bulgarie ; Croa e ;R tchèque , Hongrie, Pologne, Roumanie et Suède
(Référendum contre la suède)

3 Essou ement de l’UEM ?

a) Un Euro toujours plus présent

Certes : derniers pays à rejoindre l’Euro :
Le onie (2014) Lituanie (2015)
Zone Euro :
Plus micro – États : Andorre, Monaco, Va can, Saint marin

Croa e adapta on de l’euro le 1er janvier 2023

b) Un euro sur surveillance

Crise nancière de 2007-2008 : interven on de la BCE et de chaque Etat
Varia on du taux de change avec les USA ( de 1,03 à 1,39 € pour 1,5)
La banque centrale européenne intervient tous les jours sur le marché nancier soit :
-En achetant de l’euro pour soutenir le cout de l’euro
-soit en vendant de l’euro sur les marchés nancier lorsque le cout est trop élevé
-soutenir les économie crise de la de e publique de Grecque en 2017 (sor e de l’euro
envisagé)

B. Le fonc onnement
C’est le traité de Maastricht (1992-1993) qui xe les règles d’adhésion à l’euro, ses
objec fs et son fonc onnement
Pour par ciper à l’UEM les pays doivent respecter
-Stabilité des taux d’intérêt à LT (pas plus de 2% / aux meilleurs états)
- Poids de la de e publique (6à% PIB) et dé cit (3% PIB)
-Stabilité des prix (Pas + de 1,5% des 3 meilleurs états)
-Taux de change : SME + aucune dévalua on

2- Fonc onnement et Contrôle

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 a) Banque Centrale européenne
Siège : Francfort (Présidente : Chris ne lagarde qui succède à Mario Draghi, le 1/11/2019)

Composi on de la banque : 6 membres du directoire plus un représentant par état

Organe indépendant des États de l’UE

Les missions de la BCE :
-Stabilité des prix (taux d’intérêt)
-suivre les opéra ons de change (sou en o pas de l’euro)
-surveiller les réserves de change (fabrica on monnaie)
Monnaie duciaire = billet et piece
-Surveiller le bon fonc onnement des système de paiement

b) Rôle du parlement
-intervient dans la dé ni on des missions de la BCE
-Nomina on à la BCE

c) Contrôle de la banque centrale

La commission Européenne intervient si un pays ne respecte pas les critères de
convergence
Ex : Italie, le budget 2019 sur la dépense publique et les dé cits a été refusé par la
Commission car dé cit trop important.
Ex : Le 23/03/2020, la Commission autorise les États à ne plus respecter la règle de 3% de
dé cit la crise consécu ve au covid 19 va impacter de façon importante le PIB des États.

2. La poli que Agricole Commune

Plus ancienne et importante des poli ques communes
Mise en place en 1962
(45% du budget de l’UE) 408 milliards pour 2014-2020
70% du budget de l’UE avec les fonds régional (100 milliards€)
Europe : 2ème exportateur mondial

a) La mise en place de la PAC

1-Les objec fs ini aux
-auto-su sance européenne
-accroitre la produc vité
-Soutenir les prix (pour agriculteurs et consommateurs)
-aide au développement et exporta on

2-les disposi ons

-Quotas pour ra onaliser la produc on, gel de terres
Aujourd’hui il y a trop de vin qui est produit en France
En février dis ller l’alcool pour qu’il devienne du gel hydroalcoolique
-subven on pour certaines cultures, certains élevages, certaines catégories (de montagne,
vi cole)
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 -Subven on à l’implanta on, à la reprise
-« res tu on » à l’exporta on :quand les prix européen < cours mondial il y a une
compensa on au consommateur pour pouvoir s’aligner

3- les organes
-FLEAGA (fond européen agricole de garan e) sont rôle est de compenser entre les tarif
mondiaux et européen
-FLEADER (fonds européen agricole de développement rural)si on créer un ferme on peut y
demander une subven on, ils vont aider le nancement, Le commissaire européen
appliquant la poli que votée
Mais peut aider aussi par exemple les restau u car un seul député a voter contre le repas a 1€
pour tout étudiant

C. Le fonc onnement de l’UE en ma ère agricole

1. Le processus décisionnel
-C’est le traité de Lisbonne qui précise les modalités (art42)
-Codécision en la ma ère : parlement et Conseil de l’UE
-mais présence d’excep on, à côté de la « procédure législa ve ordinaire » , qui confèrent un
seul conseil de l’UE des compétence pour des règles de concurrence, prix…
-Compétence partagées : Les états membres adressent régulièrement des « avis » de
conformité sur un projet législa f européen
La France u lise un pes cide non autorisé pendant plusieurs année sur les be eraves sucré
et elle est condamné
-Système de coopéra ons renforcées : les États peuvent entre eux nouer les accords par
exemple pour la pêche
-OMC (Marrakech 1994) : La PAC y est soumise, accords entre états et UE pour des baisse de
droit de douane également un accès au marchais de certains pays
Par exemple les eurs en général viennent de plus en plus Éthiopie

2. LA cri que de la PAC

-Décision « technocrates » et parfois revirement (sou ent puis quotas)
Par exemple les prise de décision sur les vignes champs de l’hérault viennent de Bruxelles
alors que ce sont des gens qui n’ont peut-être jamais vu un animal
Par exemple ils donnent des aides pour les exploita ons de bio puis d’un coup ils ne les
aident plus mais aussi pour le lait et les œufs
-Cri que en interne : France 1er béné ciaire (9milliard par an) ,devant Allemagne , Espagne,
Italie, pologne
45% du budget de l’UE est pour l’agriculture
-Sommes touchées, béné ciaires :
Exemple : Bordeaux si on se balade sur les quais de bordeaux de la garenne on était rénové
mais aussi les lignes de tramway grâce a des fonds européens. (C’est la ville qui a eu le plus
de subven on)
Exemple : Porsche reçois une subven on de l’union européenne qui appar ent au groupe
Volkswagen
Porsche Ferrari et Masera sont les seul a pouvoir vendre des voitures thermiques après
2030
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 Exemple : club équita on régulièrement peuvent avoir des aides car ils vont développer des
races chevalines, touche des aides mais disparaisse dessuit après .

-900 000€ par la reine d’Angleterre (300 000 pour le ls)

-Prince Albert Monaco touche 500 000€ il a un ferme de 300 hectare au nord de paris
(800ha), LVMH (cognac)
LVMH a fait 10 milliards de béné ce avec ses 75 marques

-En France : Sucre avec les cannes à sucre (Réunion) alors qu’en France on fait des sucres
avec de la be erave, poulet Doux, Comité du Languedoc…
Restau du cœur et secours populaires
Camargue : 560€ par hectare (contre 800 avant) ; surface de 120 hectare minimum
Foin de Crau en Camargue ce sont juste de l’herbe qui font pousser il va dans tout les pays du
golf pour les chevaux qui valent de plus d’un million €, la deuxième récoltent va dans tous les
chevaux de France
-En général en France chaque exploita on touche 15 000€ d’aide par an
-Phil Hogan ancien commissaire européen (irlandais) juste avant le brexit a décidé de donner
50 millions d’euro au irlandais a tre « que le brexit pourrait perturber les agriculteurs
irlandais »

3. La poli que environnementale

Traité de Lisbonne (2009) : art 191 à 193

Historiquement : Conseil Européen de Paris qui défendent ce e protec on de

l’environnement à coté de l’expansion économique.
Acte unique (87), Maastricht (93), incluent ce e poli que comme domaine d’ac on au sein
de l’union européenne
Amsterdam (99) intègre ce e poli que au seins de toutes les poli ques

A. Les principes défendus par l’UE en ma ère environnementale

a) Les principes environnementaux

-Précau on (ges on des risques)
-Préven on
exemple voiture a barbarin avec l’usine a brique
Exemple dans la région bordelaise c’est la région ou il y a le
plus de cancer a cause des vignes car les agriculteurs
désherbent 8 fois par an
-Correc on de la pollu on a la source
- « pollueur-payeur » (direc ve de 2004)
Pour ce faire coopéra on entre les pays avec des sanc on pénales :
Incidences des projets ; coopéra on interna onale ; stratégie mises en œuvre (u lisa on des
ressources et faibles émissions) … par des direc ve européennes, Puis règlements et
décision européen (plusieurs centaines dans le domaine : air, eau, animaux, déchet par
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 exemple d’ici 10 ans il y aura une seule poubelle communes pour tout le village, rejet) Labse
de temps pas autoriser pour les décision et règlement

b) Le rôle des ins tu ons

-Conseil européen (ini a ve) et Commission ; Conseil de l’UE et parlement pour le vote
-Agence européenne pour l’envirronement (2009) à Copenhague est chargée de fournir des
informa ons
-Commissaires (F.Timmermans et V.Sinkevicus)

B. Les réalisa ons de l’UE

a) Plan énergie-climat pour 2030

-Baisse de 40% des immission de GES (gaz a e et de serre)
-Propor on de 27% d’Energie renouvelable (11% France)
-Améliora on de 27% de l’e cacité énergé ques

b) Autre programme
-Consacrer 20% des dépenses de l’UE à l’environnement (intégré dans chaque poli que)
-Marché Carbonne (2005) : 11000 installa ons ! 45% des émission de l’UE reçoivent…
Un quota équivalent à un droit à polluer (Émission Trading Scheme)
Droit a pollué quasi-gratuit, puis amende si dépassement
5€ la tonne en 2017 , en n 2018 il passe a 40€ puis 44,60€ pour les ménages
Bilan : baisse des émissions de 8% (objec f de baisser de 21% en 2020 n’a pas était a eint)
Il faudrait polluer de -1,74% de ces droits chaque année
NB : escroquerie à 1,68€ en France et 6M à l’UE
-en cas de crises environnemental l’UE essayer d’abonder un fond qui perme ra au sain de
l’UE une solidarité (par exemple incendie en France, Portugal )
-pollu on de l’air et eau : direc ve (1991). Astreinte de 130000€/jour puis France condamné
-préven on des risques majeurs (Direc ve Ceveso 1982 = site les plus dangereux : centrale
nucléaire, le plus proche est celui du port de Sète)
-protec on nature et biodiversité (plan Natura 2000 : Camargue)

4. Poli que de décence

Longtemps mise de coté et…guerre en Yougoslavie, et en Ukraine

A. Historique
-idée de sor r de la guerre mondiale
-1948 = traités de Bruxelles entre France, GB ? Bé-ne-lux
-1954 = UEO (coopéra on et sécurité collec ve) : Italie et RFA aunce in uence
face à l’OTAN
Fin de la guerre froide et de la guerre en ex-Yougoslavie
-Maastricht 1992 : Créa on de la PESC (UEO dissoute en 2011)
Tous les états sauf le Danemark (opt out)
-1998 : Conseil Européen de ST Malo : PESD. La GB accepte une force appuyée par des
militaires pour toute crise en Europe
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 -Amsterdam, Nice et Lisbonne complètent le disposi f
Ex : Haut représentant (1997) + vice PR commission (2007)
Mais chaque État garde la main sur son armée
2002 : l’OTAN signe un accord avec l’UE : sou -coopéra on
-entre 2003 et 2009 : Plusieurs opéra ons civiles et militaires

Depuis 2016 3 axes

• Axe capacitaire : 203 milliards d’€ pour 2015

17 projets de défense mis en œuvre ; 1500 hommes prêts à intervenir
Forces mari mes, aériennes, force de réac on rapides (Eurocorps)
• Axe opéra onnel
Plani ca on des opéra ons, évacua on humanitaire qui peut se faire avec la croix rouge
créer avec henrie dunov et est a Genève
• Axe nancier et industriel
Technologie et recherche ( nancement Athéna, suivant PIB de chacun)

B. Prise de décision
a) Compétences du conseil de l’UE et du Conseil
Ils statuent à l’unanimité dans ce domaines
Conseil de l’UE
b) Porte-parole : Haut représentant
Il représente l’UE dans les sommets , rencontres + ini a ves
Le parlement doit etre informé voir consulté

3. Organes permanents
-Comité de Poli que et de sécurité (Cops) : Suit l’évolu on
-Comité militaire de l’UE (Cmue) : Conseil au cops
-État-major de l’UE (Emue)

Trois défenses
-Union européenne
-OTAN
-ONU (uniquement pour le main en de la paix)

C. Situa on actuelle
-Guerre aux portes de l’UE (Pologne Slovaquie Hongrie Roumanie)
-Ukraine qui voulait incorporer l’OTAN : En cas d’agression d’un des membres de l’OTAN, les
autres lui portent assistance (USA, GB,UE…)
-Sommet de Versailles des 11 et 12/03/2022 :
• Pression sur la Russie (sanc ons économiques)
Leroy merlin, total : reste en Russie donc pas de sanc on
Renault se re re
Wagner protège les présidents africains
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 • 1 ère aide de 500 000 000 pour l’Ukraine (50 milliards d’€ pour l’Ukraine de la
part de l’UE)
• Demande d’adhésion à l’UE (Ukraine, Moldavie, Géorgie)
Pour l’Ukraine ce ne sera pas immédiat (10 à 12 ans en général)
• Pas de réponse militaire car. : tout pays qui engagera des forces sera considéré
comme belligérant
• Pas de réponse de l’OTAN : Aucune membre de l’OTANT n’est encore visé par
l’agression Russe
• Pas d’armée UE : Chaque pays conserve son armée
• Chaque pays est libre de fournir des aides (Allemagne avec les char, France
avec les canon de césar)

Ce e semaine l’union européenne vient de consacrer 800 millions d’euros pour les Océan
consacré en 2023 aussi pour les réglementa on de pêche

CHAPITRE 5 : La liberté professionnelle

La liberté des 1957 conçu pour le travailleur

Liberté de circula on = liberté de travailler ou de s’établir
Toute profession : salariée ou indépendante
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 Corollaire : liberté d’aller et venir au sein de l’UE
Règles en principe iden ques à la liberté du citoyen de circuler, mais règles di érentes en
fonc on des professions
Règle posée car États dans situa ons di érentes / emploi
Et les sans emploi : charges importantes pour les états
Également : tout ressor ssant doit trouver du travail et les entreprises doivent poursuivre
leur ac vité
Tenta on : protec onnisme des États (« plombier polonais »)
Protec on légi mes : Santé, Sécurité, consommateurs
Le législateur européen et le juge doivent donc protéger

1. La liberté de circula ons des travailleurs

Une liberté garan e par le traité de Lisbonne (art 45 à 48)
Principe : interdic on de toute restric on à a la circula on du travailleur au sein des
territoires de l’UE
PARTIEL
E et direct de ce principe : peut donc invoquer devant les juridic ons na onales, dans le cas
où un état membre de le respecte pas (CICE, 4/12/74, « Van Duyn »)
1er cas c’est le pays qui refuse l’accès a une personne européenne

E et Horizontal : invoqué à l’encombre de personnes publiques ou privées : 12/12/74

« Walrave »
1er cas c’est le pays qui refuse l’accès a une personne européenne

Décision sur une course cycliste : interdic on des discrimina ons sur la na onalité pour
toute autorité publique ou privée
Il ne faut pas que des personnes publiques ou privées puissent contredire ce e liberté
avancer par l’UE

A) L’applica on de ce e liberté
3 condi ons : Personne contexte emploie

a) La personne concernée : le « travailleur »

No on de « travailleur » dé nie : 3/07/1986 « Lawrie Blum » :
Rela on de travail lorsque : « Personne n’accomplit … en faveur d’une autre et sous sa
direc on, des presta ons… en contrepar e d’une rémunéra on »

3éléments caractérises la rela on du travail :

-ac vité réelle
-lien de subordina on
-Rémunéra on

Si présence des éléments, peut importer si mi-temps ou plein, ou encore la nature de

l’ac vité : la liberté s’applique
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 Jurisprudence : Un joueur de football est un travailleur :
(Arrêt « Bosman » 15/12/1995 CICE)

Un accomplissement de tâches pour l’armée du Salut ?

Oui, si argent de poche et ac vité réelle et e ec ve (CICE 7/09/2004, « Tajani »)
En n l’ac vité peut être « poten elle » : c’est le cas de recherche de W

2. Déplacement de la personne
Libre circula on s’applique si : déplacement actuel ou futur donc ne s’applique pas à des
situa ons internes à un état
La législa on de l’État s’applique donc (ex : certain emplois)

3. Liberté restreinte pour les emplois

La libre circula on des travailleurs s’applique sauf pour les « emplois sont ceux où les intérêts
de l’état ou des collec vités sont en jeu…
Ex : jus ce, police, impôts : il faut un lien avec la na onalité
France : condamnée en 1986 car réservait les emplois d’in rmier) aux seuls ressor ssants
français. Elle a donc : Modi er le droit de la fonc on publique, mais…
Re-condamna on en 2008 car ; main en de la na onalité dans les emplois de capitaine et
o cier dans tous les bateaux français

B- L’exercice de la liberté de circula on

Principe : libre circula on
Excep ons : Elles peuvent exister

a) Libre circula on des travailleurs

Logiquement aucune restric on doit être faite
Ainsi ils peuvent :
-répondre à des emplois o erts dans tous les états membres
-Se déplacer dans cet état dans cet objec f
-Séjourner dans l’état pour exercer l’emploi
-Demeuré dans l’État après l’emploi occupé
En revanche : traitement égalitaire selon le traitement des na onaux il doit y avoir la même
règlementa on :
Pour tous les ressor ssants et pour les na onaux

La cour de Jus ce a sanc onné toutes discrimina ons (emplois, salaires, condi ons de
travail…) si di érentes de celles d’un na onal
La discrimina on peut être direct :
Direct : une « loi » na onale n’est applicable qu’aux travailleurs étrangers. Ici, iden ca on
aisée a la discrimina on
Indirect : une loi qui s’applique à tous mais qui ont certains critères
Exemple :Arrêt de « Stogiu » 15/02/1974 : « toutes formes dissimulées de discrimina on qui
abou ssent au même résultat… »
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 Ici, l’État allemand di érenciait les travailleurs selon qu’ils résident en Allemagne ou non.
Ce qui revenait au même que la na onalité car le travailleur réside le plus souvent dans son
pays d’origine

Arrêt Bosman 1985 : si des règles empêchent la libre circula on du travailleur, ici des joueurs
… : discrimina on

b) Les excep ons

L’art 45 du traité de Lisbonne énonce les possibilités :
-Ordre public : refréner certaine dérive pour les a entats
-Santé publique : pour un médecin l’appren ssage et la maitrise de la langue française est
indispensable
-Sécurité publique : circula on de certains camions ne peuvent pas rouler le dimanche
On va tolérer des mesures prises par les États sous prétexte de ces mo fs, souvent les États
invoquent « l’intérêt général »

2. La liberté d’établissement et libre presta on de service (pour chef d’entreprise)

Di érence essen elle pour l’applica on de ce droit :
-La liberté d’établissement impose que la personne se soume e à tout le droit du pays
d’accueil
Exemple à par r du moment ou une entreprise va exercer un travail en France, elle dépendra
des lois françaises
-La libre presta on de services : une par e du droit seulement s’impliquera car elle ne va pas
s’implanter à l’étranger

Di érence quant à la dis nc on des termes :

-Liberté d’établissement : période pérenne ou infrastructure stable
Ex : la haute couture soustraite de plus en plus en Roumanie
-Liberté de presta on : ponctuellement ou temporairement

A. Le domaine de ces libertés

Certaines personnes vont en béné cier, à condi on qu’elles soient dans un autre pays et que
des ac vités soient exercer.

a) Les personnes béné ciaires

Concernées : personnes physique ou morales
Donc : sociétés, société coopéra ve , société civile…
Il faut une ac vité économique pour invoquer ce e liberté
CICE : 4/10/1991 « Grogan » : un état peut-il interdire a des associa ons de son pays
(Irlande) où l’IVG est proscrite, de di user des informa ons, contacts et lieux de cliniques
d’un autre Etat (R-U) où sont pra quées ces interven ons ?
IVG on peut le quali er comme service
Libre presta on de service : non car di usion pour le compte d’un autre opérateur
Informa ons di usées : liberté d’expression indépendante de l’ac vité économique
Donc ici : liberté d’expression et non liberté de presta on
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 b) L’exercice dans un autre pays
-Pour libre établissement : déplacement de son Etat d’origine (en général) , vers l’etat
d’accueil
-Pour libre presta on : franchissement de la fron ère
Franchissement de la part du prestataire (ex : avocat qui va plaider, architecte qui suit des
travaux)
Franchissement de la part du client : touriste ; malade
Franchissement de la seule presta on : émission TV, assurance
Il faut donc un de ces éléments pour invoquer ce e liberté.
Si pas d’élément : pas de liberté. Mais liberté du travailleur :
Médecin qui s’installe : liberté du travailleur

c) Les ac vités concernées

Toutes les ac vités économiques non salarié
Pour la dis nc ons avec la libre circula on du travailleur : 1 critère
Celui de …
La di érence entre un salarié et une profession indépendante.
Salariée, 3 éléments :
Travail, rémunéra on, pour le compte d’une société Don ici la di érence est le lien de
subordina on !
Sinon, l’entreprise à l’obliga on de se conformer aux règles de l’états d’accueil.
Sauf que les salariés peuvent con nuer de béné cier des règles de leurs état d’origine
pendant une durée.
EX : Entreprise portugaise qui prend un chan er avec ses ouvriers.
Salaires portugais pendant une durée limitée… (12 mois renouvelable une fois)

Dumping social : salaire minimum <à1000€ : Bulgarie, Chypre, Roumanie, Lituanie, le onne,
Pologne, R.Tchèque, Hongrie, Slovaquie, Croa e, Grèce, Malte, Portugal.

Salaire entre 1000 et 1500 : Espagne, Slovénie

Salaire de plus de 1500€ : France Allemagne Belgique pays bas Irlande Luxembourg

Autriche Danemark Finlande Italie suède : par branche pareil pour la France en métallurgie

Bulgarie 398€
Hongrie : 578€
Roumanie : 606€ main d’œuvre quali er, transport moins élevé, présent dans l’ue donc pas
de douane et de taxe
Le onie : 620
Croa e : 700
Slovaquie : 700
Estonie : 725
Pologne : 745
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 Grèce : 831
Malte : 835
Lituanie : 840
Portugal : 886

Plus de 1000€
Espagne : 1166
Slovénie : 1203

Plus de 1500€
France : 1709
Irlande : 1909
Pays bas : 1934
Belgique : 1955
Allemagne : 1987
Luxembourg : 2387

Car salaires, mais aussi co sa ons (ex : en France 1709 brut et 1353,07 net)

Cout de travail (par heure de travail) : Salaire + Co sa ons + taxes

De 23€ en Espagne à 41€Belgique par heure au patron

Age de départ a la retraite possible dans l’UE :

62 ans en : Suède, Portugal, Luxembourg, Italie, Grèce, France.
Moins de 62 ans : Le onie, Estonie, Slovaquie, Slovénie, R.tchèque, Lituanie
63 ans : Allemagne (63,7 ), Espagne, Finlande, Belgique.

Cependant l’Age collec f est souvent plus élevé de 61 en Bulgarie, France 64, Allemagne 65
et pays bas Irlande 66

Une direc ve de 2022 impose une harmonisa on à la hausse des rémunéra ons minimales
(2ans pour transposer)

Statut du travailleur détaché qui pose aujourd’hui un problème

Sinon, possible pour un état de réserver certaines professions à des na onaux : exercice de
l’autorité publique.
Interpréta on stricte 24/05/2011 « Commission/France » : la profession de notaire ne peut
être réserver a des na onaux.
Le notaire rédige des actes authen ques, mais sans lien avec l’obliga on de la na onalité.

B. L’applica on juridique de ces libertés

1. Libertés sans restric on
Si restric on = discrimina on
Discrimina on de la part d’un état ou d’une personne
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 La discrimina on peut être direct ou indirecte
-discrimina on Directe : EX : Une législa on interdisant la di usion d’émission de pays
étranger, si spots publicitaires pour les citoyens de l’État de récep on
Si on interdit des publicités pour des na onaux en provenance d’autres États
-Indirecte : ex : accession à la propriété ou loca on aux sels na onaux, de logement
construits grâce à des fonds publiques

2- restric ons possibles

Comme pour la liberté des travailleurs, des déroga ons sont possibles

Trois cas où les réserves sont admises

-L’ordre public : permet une mesure ouvertement discriminatoire. Cela va concerner l’ordre
public, la sécurité publique, et la santé publique. Ça ne doit durtout pas être a des ns
économiques.

La raison la plus invoqué est la santé publique. EX : Loi Évin compa ble avec la libre
presta on avec la libre presta on… même si répercussions sur des évènements spor fs qui
se déroulent à l’étranger. Les ministres peuvent tout interdire sur le tabagisme et l’alcool.

Pour la cour : Le fondements est jus és

-Intérêt général : reconnu par la jurisprudence.
Ex : Pour protéger les travailleurs ; abilité de communica on avec le pa ent (exigence de la
pra que d’une langue pour un den ste)
Protec on du consommateur ; Pluralisme culturel à la TV : Sécurité rou ère ; protec on du
consommateur pour jeux de hasard
-Sauvegarde des droits de fondamentaux « Omega »

3. Des restric ons sur la libre ges on des entreprises

Les sociétés peuvent s’associer, peuvent nouer des accords, sauf…

a. Ententes (art 101 TFUE)

Dé ni on : 2 entreprises au moins qui nouent un accord secret (écrit ou oral) pour entraver
une libre concurrence : « prix + élevé »
Ex : 1.478 Million d’euros contre LG, PHILLIPS, Samsung, Panasonic, Toshiba et Technicolor
(TV et ordinateur) ; Règlementa on applicable : celle des concentra ons.

Cartel des andives ont augmenté les prix

B Abus de posi on dominante

Def : Une entreprise qui domine le marché impose ses condi ons (prix de vente, fournisseur)
EX Microso condamné
Négocia on entre fournisseur et grande surface les prix vont augmenté carrefour et Leclerc

Au sein de l’union européenne il existe ce e pe te clémence c’est-à-dire que si une

entreprise a fait une entente, elle dénonce elle n’aura pas d’amande.
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 Sec on 3 Les quali ca ons professionnelles : vers une reconnaissance

Dans certains cas, il y a des profession règlementées : « … profession … dont l’exercice est
subordonné… à la possession de quali ca ons »
Ex : Profession de santé ; architectes ; vétérinaires…
L’UE est intervenue pour légiférer pour éviter trop de disparités na onales et ainsi empêcher
la libre circula on.
Il est normal que l’état se préoccupe du na onal et de ses quali ca ons pour exercer un
emploi, mais il doit aussi reconnaitre le ressor ssant qui a des diplômes similaires.
La reconnaissance des quali ca ons a été faite par la direc ve du 7/09/2005
La reconnaissance des quali ca ons s’applique à toute profession règlementée où une
quali ca on précise et requise
Dans certains cas l’Etat peut demander un complément de quali ca on

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Date du brexit 31/01/2020
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sœur

L’ue a consacrer 2 milliards de plus pour la guerre en ukraine 1 milliard pour des muni ons et
1 milliards pour chaque pays qui a contribuer

Accord fron ère Irlande grande bretagne : ils vont voter contre l’accord du brexit que les
produits ne puissent plus passer librement

Accord commercial entre la Thaïlande et l’union européenne : libre échange

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