Luana Giunta - Métropole Biorègionale - Urbia HS7
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Résumé
Les principes du développement durable sont à l’origine d’une nouvelle vague de planification.
Les avancées réglementaires et les outils de financements mis en place accompagnent l’action publique vers la
transition écologique, énergétique et solidaire.
Face à ce constat, comment les théories de planification évoluent-elles ? C’est la question centrale de la thèse
« Métropole biorégionale : un changement de paradigme pour la planification territoriale ? ».
Le texte ci-après reporte un état d’avancement de cette recherche en cours en exposant le contexte général, la posture de
recherche, les hypothèses d’exploration, les implications et les rapports avec le terrain.
Mots-clés
Métropole, biorégion, planification territoriale, recherche-action, développement durable
Abstract
The principles of sustainable development are the origin of a new way of planning.
The regulatory changes and the financing instruments implemented bring public action towards the ecological, energetic
and solidarity transition.
Faced with this relationship, how do planning theories evolve? This is the central question of the thesis "Bioregional
metropolis: a paradigm shift for territorial planning?”
The following text reports on the progress of this ongoing research, showing general context, attitude in research, the
exploration hypotheses, the implications and relationships with the carried out.
Keywords
Metropolis, bioregion, territorial planning, action research, sustainable development
- QUELLE PLANIFICATION POUR LES CONSTATS URBAINS CONTEMPORAINS ?
En urbanisme et en aménagement de l’espace, chaque nouvelle approche de planification répond à des problématiques
spécifiques, rencontrées à différentes périodes historiques. Depuis la formation de la ville industrielle (Benevolo, 2006,
p.13), on assiste à une succession de phénomènes, obligeant à trouver des nouvelles solutions pour dessiner l’espace de
vie de l’homme et de la société. Les utopistes anglais du XIX siècle (Ivi, p. 61) recherchaient ainsi des nouveaux
modèles d’aménagement urbain pour répondre aux conditions de vie des faubourgs londoniens, délabrés et surpeuplés
suite à l’augmentation démographique et au progrès technologique et industriel. A une autre époque, la recherche des
repères quantitatifs avait conduit les architectes du Congrès International d’Architecture Moderne (CIAM) à mettre en
place des mesures standardisées pour répondre aux « besoins-types » de l’homme urbain (Choay, 2014, p. 70).
La problématique de la prise en compte des changements globaux vient aujourd’hui bousculer les conditions de vie
actuelles : les répercussions de la crise économique mondiale des années 2009-2013, les inquiétudes environnementales
liées au changement climatique, les mutations des systèmes relationnels entre les villes et les territoires par l’altération
des interdépendances et des synergies historiques.
Dans tous ces constats, les métropoles ont un rôle central dans l’avenir de nos territoires. Plusieurs experts ont déjà posé
la question métropolitaine comme un problème scientifique contemporain relevant de plusieurs prismes d’observation.
Dans le champ de l’économie, la notion de « ville globalisée », introduite par S. Sassens en 1997, indique l’entrée des
villes-mères (métropoles) dans les logiques des marchés globaux, entraînant une perte des liens locaux au profit d’une
forte compétitivité territoriale. Les notions de métropole et de métropolisation sont étudiées également par les
politologues et par les sociologues. Selon les postulats de l’écologie politique, les métropoles sont la cause de la
ségrégation sociale, des désastres environnementaux, des migrations campagne-ville puis ville-campagne (Paquot,
2016, p. 4). Sous l’angle de l’aménagement urbain, la métropolisation est qualifiée de phénomène d’« urbanisation
planétaire écocatastrophique », (Magnaghi, 2017, p. 24), la cause de « la mort de la ville » (Choay, 2008 ; Ivi, p. 27),
dont la ville-mère est devenue une « ville éclatée » (May et al, 1998, Ibidem), une « ville diffuse » (Indovina, 1990 ;
Lanzani, 1993 ; Secchi, 2005, Ibidem), une « ville éparpillée » (Bauer et Roux, 1976 ; Ibidem).
En suivant ces définitions, on constate une première mutation du concept : le phénomène métropolitain, né comme un
fait économique, est devenu un fait social, politique et environnemental.
L’institutionnalisation des métropoles en France et les politiques européennes en faveur des métropoles, renforcent cette
perspective en les positionnant comme le niveau le plus haut dans la hiérarchie territoriale locale. Cela entraîne une
deuxième mutation du concept de métropolisation: la métropole devient le symbole institutionnel de la ville puissante,
connectée et augmentée.
Si la planification territoriale doit répondre aux mutations contemporaines, comment la question des métropoles, ses
effets sur l’économie, la vie sociale, la qualité environnementale et son rôle politique, sont-ils pris en compte ? Quelles
stratégies et quels projets sont-ils mis en œuvre face aux enjeux urbains contemporains ?
Depuis la loi SRU, la France assiste à un renouvellement des pratiques et des actes de planification. Les notions
« d’environnement », puis de « biodiversité », de paysage, de qualité de l’eau et de l’air, de continuité écologique, etc.
ont été introduites, grâce à des outils comme les trames vertes et bleues (TVB), dans les instruments de planification
classiques.
La planification est devenue plus stratégique, en fixant des objectifs et des priorités d’actions. Plus transcalaire
également, en créant des liens entre les différents niveaux de planification. La mise en place des outils spécifiques (par
exemple les plans climat-air-énergie, les atlas de la biodiversité, les plans de paysage, les programmes sur l’eau, les
plans de déplacements urbains, le plan locaux de l’habitat, etc.) a garanti le traitement prioritaire des préoccupations du
schéma du développement durable (écologique, social et économique) en permettant d’engager les responsabilités
politiques et les financements nécessaires 1. Si cette planification est devenue complexe, ses instances de gouvernance
sont-elles pour autant transversales ? Comment concilier la transversalité et le caractère stratégique des projets ?
1
Les outils mis en place pour accompagner les territoires dans des projets actant les principes du développement durable sont : les
« Plans Paysages » financé par le Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire, le label « Territoire à énergie positive pour la
croissance verte (TEPCV) », le label « Territoire engagés pour la Nature » porté par l’Etat, les Régions et l’Agence Française de la
Biodiversité.
territorialiste et la notion de « biorégion urbaine » (Magnaghi, 2014 p. 78) pouvait contribuer au renouvellement des
pratiques de planification pour les territoires partenaires du contrat 2, chacun ayant à cet égard des attentes spécifiques.
Ainsi, l’enjeu pour le Pays Médoc était la constructions de valeurs partagées pour accompagner la transition du Pays
vers un Parc Naturel Régional (Bordino, Condò, 2014 , p. 40) ; le Parc Naturel Régional des Landes-de-Gascogne
attendait pour sa part des propositions de formes d’habitat plus ancrées dans le paysage que celles réalisées jusque-là ;
le Département de la Gironde s’interrogeait sur la stratégie de développement territorial à mettre en place dans le cadre
de l’InterScot. L’arrivée du Sysdau 3 dans le groupe des partenaires du contrat de recherche, a permis de formuler
l’attente suivante : tester les notions de « biorégion urbaine » et de « parcs agricoles » (Magnaghi, Fanfani, 2017, p. 10)
pour mettre en œuvre la stratégie « nature » du SCoT. Le caractère opérationnel de l’approche territorialiste est ici mis à
l’épreuve d’une planification française dont les temporalités, les outils, les dispositions réglementaires et les jeux
d’acteurs font partie intégrante de la conception du projet. L’expérimentation BIOREGION sur le territoire du Sysdau
pose des questions nouvelles à la recherche : comment développer les réflexions territorialistes dans des contextes
métropolitains, ceux-ci n’ayant pas de référentiel dans la démarche italienne ? Comment les dynamiques à l’œuvre sur
l’aire métropolitaine bordelaise (attractivité, pression urbaine et économique, rationalisation de l’occupation du sol,
projets d’aménagement engagées, le schéma des mobilités, …) peuvent être associées avec les prérequis de la biorégion
urbaine 4 (polycentrisme, qualité environnementale, ressources locales, …) ?
Suite à cette expérimentation, le Sysdau qui avait déjà un SCoT « Grenelle », a intégré les enjeux de la biorégion
urbaine pour accompagner la mise en œuvre du SCoT. A partir de cette expérimentation, le Sysdau concrétise une
réflexion déjà en cours lors de l’élaboration du SCoT : créer une « autre » planification. Les nombreux « forums
d’acteurs » réalisés dans cette perspective ont soudé le lien entre le Sysdau et ses partenaires (institutionnel,
professionnels, …) via l’élaboration de stratégies fondées sur un projet global partagé qui se concrétise aujourd’hui par
la mise en place de projets spécifiques (paysage, mobilité, énergie, …) afin d’accompagner les territoires membre du
Sysdau dans la traduction des orientations du SCoT en projets concrets et localisés.
La thèse « Métropole Biorégionale : un changement de paradigme pour la planification territoriale ? », s’insère donc
dans ce cadre. Cette démarche de recherche est réalisée parallèlement à une activité professionnelle au sein du Sysdau.
Son objectif principal est de contribuer à l’avancée des théories de planification territoriale en lien avec les
questionnements sur les modalités de prise en compte des enjeux de développement durable, des pratiques de
l’urbanisme entre approche scientifique et expérience de terrain.
Au travers de la démarche de recherche-action, le but est de nourrir la thèse de l’expérience professionnelle afin de
soutenir le cadre théorique énoncé. L’objectif est de développer une approche réflexive dont la pratique et la recherche
se nourrissent simultanément.
La notion de « métropole biorégionale », c’est-à-dire la traduction/interprétation sur le terrain métropolitain de la notion
de « biorégion urbaine », participe aux réflexions pour la mise en place des projets du SCoT. Comment cette
expérimentation concrète de l’approche territorialiste peut-elle participer au renouvellement des paradigmes de la
planification territoriale française ? Inversement, comment cette expérimentation interroge la portée heuristique de
l’approche territorialiste dans un contexte différent de celui dans lequel elle a été élaborée ?
2
Les partenaires du contrat de recherche « Biorégion » étaient : l’ex Région Aquitaine, la Région Toscane, le Conseil Général de la
Gironde, le PNR des Landes de Gascogne, le Pays Médoc, le Sysdau.
3
Syndicat mixte du SCoT de l’aire métropolitaine bordelaise.
4
La « biorégion urbaine » est le référent conceptuel qu’Alberto Magnaghi a mis en place pour traiter le territoire dans toutes ses
composantes : économiques, politiques, environnementaux, de l’habiter, … (Paquot, 2016, p. 9). Elle est conçue comme une unité
physique résultante d’une série des stratifications territoriales issue de processus économiques territorialisés, des transformations
hydrologiques, des systèmes territoriaux locaux (Dematteis, 2001 ; Magnaghi, 2014, p.78), de régions urbaines (Dalmasso, 1972,
Ibid.) et des unités paysagères (Poli, 2012 ; Ibid.).
5
C'est-à-dire de perte des identités locales et de dématérialisation du territoire (Magnaghi, 2017, p.29).
entre milieu vivant et établissements humains par la mise en valeur des relations de longue durée 6 entre établissements
humains et nature. Cette démarche est traduite par la notion de coévolution 7.
Pour atteindre cet objectif, les territorialistes ont conçu une méthodologie d’observation et d’analyse des dynamiques
territoriales étudiées sur la longue durée qui consiste à observer/interpréter toutes les strates du territoire (les systèmes
hydromorphologiques, environnementales, urbains, agricoles et économiques) afin d’identifier sa « structure résistante »
(ses permanences) et faire émerger son « patrimoine territorial » 8. La place des habitants et leur participation à toutes
les phases d’analyse et de projet est ici fondamentale. Elle permet de révéler les savoirs locaux et de faire apparaître les
attentes des habitants qui sont constitutifs d’un « projet implicite », c’est-à-dire, un projet inscrit dans les
représentations culturelles des habitants.
Les expériences déjà conduites en Italie 9 constituent un essai de planification faite « par le bas » et qui a enrichie les
instruments de planification et de gouvernance italiens (pour exemple le PLU de la ville de Prato ou la loi 65/2014 de la
région Toscane sur l’aménagement du territoire selon les principes territorialistes).
La posture critique des territorialistes vis-à-vis de la « forme métropole » et de la métropolisation rejoint d’une certaine
façon les débats français autour de l’acceptabilité des métropoles 10 et la réflexion émergente sur ses alternatives
possibles. Cette convergence de pensées est le socle de la notion de « métropole biorégionale », considérée comme un
oxymore par les territorialistes italiens. La métropole biorégionale souhaite interroger les possibilités et les limites de
l’approche territorialiste italienne à contribuer à l’évolution de la planification en France. L’institutionnalisation des
métropoles et leur rôle central dans l’articulation des politiques d’aménagement, est un contexte pertinent pour conduire
la réflexion d’un modèle de planification « durable » pour ces territoires.
6
Les territorialistes considèrent la longue durée comme le temps nécessaire pour interpréter « l’identité territoriale ». Ce temps peut
aller dès l’époque de la préhistoire jusqu’à nos jours, dans l’objectif de lire les processus, les règles génétiques, les sédiments
matériels et cognitifs qui contribuent à la conservation et à la reproduction de l’identité territoriale (Magnaghi, 2017, p. 75).
7
La signification de coévolution définie par Alberto Magnaghi, le chef de file de la pensée territorialiste, se retrouve dans sa
définition de territoire : « le territoire est le résultat matériel d’un processus de coévolution entre les établissements humains
(organisés sur une base culturelle) et le milieu ambiant (organisé sur des bases géologiques et biologiques. A travers cette relation
de domestication […] les sociétés humaines produisent incessamment le territoire » (Magnaghi, 2014, p. 9).
8
Le patrimoine territorial, « composé par le milieu physique, construit et anthropique », est le référent territorialiste pour illustrer par
les cycles de successions des civilisation et les règles d’interprétation des transformations du territoire dans la longue durée
(Magnaghi, 2017, p. 96).
9
Les plans de paysage des Pouilles et Toscane, le parc agricole de la ville de Prato (intégré dans le PLU), le parc agricole sur la rive
gauche l’Arno (Florence sud), le « biodistrict » du Mont Albano (Toscane), etc.
10
Nombreux auteurs français rejoignent les propos d’Alberto Magnaghi sur l’non-durabilité du modèle métropolitain comme
Thierry Paquot, Pierre Donadieu, Serge Latouche, Guillaume Faburel, pour en citer certain.
Figure 1 : Les analyses territorialistes sur la biorégion girondine faites pour le Sysdau lors du contrat de recherche
BIROEGION. En haut de gauche à droite : l’hydro-morphologie, l’armature urbaine au 1850, l’armature urbaine au
2014 ; en bas à partir de gauche : la géo-morphologie, la structure agricole et environnementale en 1850, la structure
agricole et environnementale en 2014 (source : Giunta L., 2016).
Figure 2 : La biorégion girondine, prenant la forme d’une « marguerite » : les figures territoriales (source : Giunta L.,
2016).
L’image de la « biorégion girondine » (sous forme d’une marguerite) a montré les interrelations historiques que le
territoire métropolitain avait avec son arrière-pays rural, par le biais de la couronne périurbaine (Figure 3). A l’issu de
cette expérimentation, des constatations ont émergées: si l’aire métropolitaine bordelaise est bien le cœur de la
biorégion girondine, les relations d’interdépendance entre les deux entités se font par le biais de couronnes
métropolitaines concentriques 11 et des « pétales » de la « marguerite » (Figure 4). Ces territoires ont un potentiel de
projet important pour la mise en œuvre de la stratégie « Nature » du SCOT : ils s’imposent alors comme des sites
d’action stratégiques pour passer de la métropole à la biorégion par le biais d’une couronne agro-urbaine à valoriser
permettant de renouer les liens entre ville et territoires ruraux.
Figure 4 : A gauche : la métropole biorégionale bordelaise cœur de la biorégion girondine ; à droite : les relations
transcalaires en projet pour une métropole biorégionale (source : Giunta L., 2016).
11
Certaines couronnes étaient déjà identifiées par le SCOT en espaces stratégiques de projet : notamment la « couronne des sites de
projets agricoles, sylvicoles et naturels » (Sysdau, 2014, p. 66) et les « lieux de projets métropolitains » (Ivi, p. 204).
Suite à une exploration historique des formes et dynamiques du rapport ville-campagne, on a constaté que des relations
d’interdépendance étaient toujours présentes sur le territoire de l’actuelle aire métropolitaine bordelaise : les échanges, à
double sens, favorisent depuis toujours l’essor de la métropole mais également des territoires limitrophes, concernés par
la vague du développement de la ville de Bordeaux. A partir de ces résultats d’analyses, j’ai pu formuler la notion de
« métropole biorégionale » (Ivi, p. 59).
L’idée d’une métropole biorégionale repose sur la proposition de relier la métropole à son territoire rural par le biais
d’un réseau polycentrique de villes, de la révélation des identités locales, de sa ceinture de proximité et de sa maille de
réseaux écologiques multifonctionnels. Afin d’engager la transition de la métropole vers la biorégion urbaine, ces
stratégies ont été formulées sur le territoire de l’aire métropolitaine bordelaise selon trois axes de projets : la
« métropole de proximité », la « métropole écologique » et la « métropole polycentrique » (Ivi, p. 280). La « métropole
biorégionale » serait le résultat de la combinaison de ces trois figures stratégiques (figure 5).
Figure 5 : La métropole de proximité, écologique et polycentrique, axes de la métropole biorégionale (source : Giunta
L., 2016).
La proposition de la métropole biorégionale a été accueillie par le Sysdau comme un moyen permettant de réinterroger
les démarches de mise en œuvre du SCOT de l’aire métropolitaine bordelaise et de mettre en place une méthode de
travail dont la transdisciplinarité, la participation/co-constrution et la révélation des ressources locales deviennent les
conditions préalables à chaque projet à engager. Si les effets de « métropole biorégionale » appliqués à l’aire
métropolitaine bordelaise ont engagé un renouvellement de la pratique de planification au sein du Sysdau, cette piste
devient une hypothèse à explorer dans le cadre du changement de paradigme de la planification territoriale. Elle sera
observée, interrogée et interprétée dans la thèse présentée.
- BIBLIOGRAPHIE
12
Depuis l’article « Métropoles millionnaires : la folies des grandeurs ? » paru sur Le Point le 02 décembre 2010 par les mains de
Claudia Courtois et Pascal Mateo. URL : https://www.lepoint.fr/villes/metropole-millionnaire-la-folie-des-grandeurs-02-12-2010-
1272894_27.php
13
Depuis le « Rapport de développement durable 2017-2018 » délivré par Bordeaux Métropole. URL : https://www.bordeaux-
metropole.fr/var/bdxmetro/storage/original/application/a5ce1d365622d259f0f2682b5119da13.pdf
14
Si l’on prend en compte les capacités de développement de la métropole bordelaise à l’horizon 2030 inscrites dans les documents
d’urbanisme en vigueur (Sysdau, 2019c).
15
Depuis le « Rapport de développement durable 2017-2018 » de Bordeaux Métropole, p. 31.
16
Les « chantiers de la transition territoriale du SCOT » concernent : la coordination et l’élaborations des PCAETs des 7
communautés de communes gravitant autour de la métropole bordelaise (en cours), des plans de mobilités pour l’accès aux zones
d’emploi métropolitaines (en cours), un Plan de Paysages (en finalisation), un plan d’action centralités (engagé), une stratégie
biodiversité (à engager).
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