Orthopédie Rhumatologie Interne 2022-9-8
Orthopédie Rhumatologie Interne 2022-9-8
Orthopédie Rhumatologie Interne 2022-9-8
I Orthopédie 5ÈME 3
1 Théorie 5
1.1 Fracture de la diaphyse humérale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.2 Fracture de la rotule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.3 Fracture de l’extrémité superieur de l’humérus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.4 Fracture de l’extrémité supérieur du fémur (fesf) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.5 Fracture du cotyle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
1.6 Fractures de l’extrémité distale de l’humérus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
1.7 Infection ostéo-articulaire de l’enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
1.8 Lch . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
1.9 Tbc . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
1.10 Traumatisme de l’épaule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
1.11 Traumatisme ligamentaire du genou . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
1.12 Traumatisme osseux du genou . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
1.13 Traumatisme ouvert de la jambe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
1.14 Traumatisme vertébro-médullaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
1.15 Tumeurs osseuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
2 Clinique 33
Cas Clinique 1 | Traumatisme vertébro-médullaire [2020 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
Cas Clinique 2 | Traumatisme vertébro-médullaire [2019 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
Cas Clinique 3 | Traumatisme vertébro-médullaire [2017 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
II Rhumatologie 5ÈME 35
1 Théorie 37
1.1 Lombosciatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
1.2 Polyarthrite rhumatoïde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
2 Clinique 51
Cas Clinique 1 | Lombosciatique [2022 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
Cas Clinique 2 | Polyarthrite rhumatoïde [2021 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
Cas Clinique 3 | Polyarthrite rhumatoïde [2021 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
Cas Clinique 4 | Lombosciatique [2020 R 3, 2020 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
Cas Clinique 5 | Polyarthrite rhumatoïde [2020 R 3, 2020 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
Cas Clinique 6 | Lombosciatique [2020 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
Cas Clinique 7 | Lombosciatique [2019 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
Cas Clinique 8 | Polyarthrite rhumatoïde [2018 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
Cas Clinique 9 | Polyarthrite rhumatoïde [2018 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
Cas Clinique 10 | Lombosciatique [2018 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57
Cas Clinique 11 | Lombosciatique [2018 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58
Cas Clinique 12 | Lombosciatique [2017 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58
Cas Clinique 13 | Polyarthrite rhumatoïde [2017 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59
1
TABLE DES MATIÈRES TABLE DES MATIÈRES
Orthopédie 5ÈME
3
CHAPITRE 1
Théorie
1.1
□ E. Une sidération du nerf radiale lors d’un trauma-
Fracture de la diaphyse humérale tisme fermé impose une exploration chirurgicale sys-
tématique
2022 2021
1. Dans une fracture de la diaphyse humérale,avec at- 5. Le platre pendant dans le traitement des fractures
teinte neurologique,l’examen clinique retrouve [R 1] de la diaphyse humérale [R 2]
□ Une attitude de dessault
A. □ A. Il maintient la réduction par le simple poids du
□ Une hyperesthésie de la 1ère commissure
B.
platre
□ Un déficit de la flexion du poignet et des doigts
C.
□ B. Permet une réduction progressive
□ Une hypoesthésie de la 1ère commissure associé à
D.
une main tombante
□ E. Une hypoesthésie du moignon de l’épaule 2020
2. La classification de sunderland [R 1]
6. Dans le traitement de la fracture de la diaphyse hu-
□ A. Utilisée pour classer les fractures de la diaphyse
mérale, le plâtre pendant [R 3]
humérale en 05 degrés
□ B. Utilisée pour classer les atteintes nerveuses en 04 □ A. Doit contenir les articulations sous et sus jacentes
degrés □ B. Est l’équivalent d’un plâtre thoraco brachial
□ C. A un intérêt pronostique pour les atteintes neuro- □ C. Il maintient la réduction par le simple poids du
logiques plâtre
□ D. Une atteinte de 1ier degré signifie une simple sidé- □ D. Permet une réduction progressive
□ E. Il agit en position debout ou assise, par la pesan-
ration du nerf
□ E. Une atteinte de 4ème degré est de bon pronostic teur
7. L’exploration radiographique d’un segment diaphy-
3. L’examen clinique d’une fracture de la diaphyse hu-
saire fracturé [RATT]
mérale avec atteinte neurologique retrouve [R 2]
□ A. Comprend au minimum, une incidence de la face
□ A. Une attitude de dessault ou le membre malade sup-
porte le membre sain et une incidence de profil
□ B. Doit obtenir les articulations sous et sus jacentes
□ B. Une hyperesthésie de 1ère commissure
□ C. Un déficit de l’extension du poignet et des doigts 8. Quelles sont les complications précoces (48h) au ni-
□ D. Une hypoesthésie de la 1ère commissure associe veau d’un plâtre circulaire pour fracture diaphysaire fer-
associé à une main tombante mée ? [RATT]
□ E. Des signes d’une atteinte du nerf axillaire
□ A. Syndromes des loges
4. Dans la prise en charge d’une fracture diaphysaire □ B. Phlébite
de l’humérus [R 2] □ C. Embolie graisseuse
□ D. Déplacement secondaire
□ A. L’atteinte neurologique ne contre-indique pas un
traitement orthopédique. 9. L’abord chirurgical large dans la fracture de l’humé-
□ B. Le fixateur externe est indiqué en cas de trauma- rus [R 2]
tisme ouvert ou balistique □ A. Risque de dévitaliser les fragments osseux
□ C. Le traitement de choix dans les fractures basses □ B. Risque de traumatiser l’artère humérale
reste l’enclouage centromédullaire □ C. Risque de traumatiser le nerf radial
□ D. La fixation par une plaque vissée est contre- □ D. Expose au risque de cal vicieux
indiquée □ E. Expose au risque de pseudarthrose
5
CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. FRACTURE DE LA ROTULE
10. L’abord chirurgical large dans la fracture de l’hu- □ B. La paralysie secondaire qui ’en suit est souvent due
mérus [R 1] a un cal hypertrophique
□ C. Complication la plus fréquente est la pseudarthrose
□ A. Risque de dévitaliser les fragments osseux
□ D. Cal vicieux le plus intolérable est le raccourcisse-
□ B. Risque de traumatiser e nerf radial
□ C. Expose au risque de pseudarthrose ment
□ E. Le cal vicieux le plus intolérable est la rotation
19. Paralysie radiale
2019 □ A. Est une paralysie des extenseurs du poignet et des
11. Dans les fractures de la diaphyse humérale, la pa- doigts
ralysie radiale [R 2] □ B. Est une lésion qui peut se voir secondairement
après une fracture
□ A. Se voit dans 10 à 20
□ B. Peut survenir secondairement 20. Dans les fractures de la diaphyse humérale, la pa-
ralysie secondaire du nerf radial peut être due à [R 2]
12. L’abord chirurgical large dans la fracture de l’hu-
mérus [R 3] □ A. Une algodystrophie
□ B. Une infection post opératoire
□ A. Risque de dévitaliser les fragments osseux □ C. Un retard de consolidation
□ B. Risque de traumatiser e nerf radial □ D. Une immobilisation prolongée
□ C. Expose au risque de pseudarthrose □ E. Compression du nerf par englobement dans le cal
21. Concernant la lésion du nerf radial, quelles sont les
2018 notions correctes [R 2]
□ A. La neuropraxie est de bon pronostic
13. L’abord chirurgical large dans la fracture de l’hu- □ B. Sa réparation doit être micro chirurgicale en cas de
mérus [R 1] neurmesis
□ A. Risque de dévitaliser les fragments osseux □ C. La repousse axonale se fait à l’ordre de 1mml jour
□ B. Risque de traumatiser l’artère humérale □ D. Le neurmesis est une interruption incomplète des
□ C. Risque de traumatiser le nerf radial éléments nerveux
□ D. Expose au risque de cal vicieux □ E. Le neurmesis ne peut jamais régénérer spontané-
□ E. Expose au risque de pseudarthrose ment
14. Quels sont les signes d’une paralysie radiale lors 22. Dans les fractures de la diaphyse humérale [R 2]
d’une fracture de l’humérus [R 2] □ Le nerf radial est le plus fréquemment touché
A.
□ A. Anesthésie au niveau de la première commissure □ Le nerf médian est le plus fréquemment touché
B.
□ B. Déficit de l’extension active du poignet et des □ Le cal vicieux en rotation est bien toléré
C.
doigts □ La pseudarthrose est plus fréquente au niveau du
D.
1/3 distal
□ E. Le nerf radial peut être atteint secondairement
2017 23. Dans le trt des fractures de la diaphyse humérale le
plâtre pendant [R 2]
15. Dans les fractures de la diaphyse humérale, la pa-
ralysie radiale [R 3] □ A. Doit contenir les articulations sous et sus jacentes
□ B. Pour principe de contenir le foyer de fracture
□ A. Se voit dans 10 à 20 □ C. Il maintient la réduction par le simple poids du
□ B. Récupère spontanément dans 80
plâtre
□ C. Peut survenir secondairement suite à un cal hyper- □ D. Permet une réduction progressive
trophique □ E. Il agit en position debout ou assise par la pesanteur
16. La lésion complète du nerf radial est appelée [R 1]
1.2
□ A. Neurmesis
Fracture de la rotule
2016
17. Les fractures de la diaphyse humérale 2022
□ A. Se compliquent souvent de pseudarthrose. 24. Les ruptures du tendon patellaire [R 1]
□ B. S’associent souvent a une paralysie radiale.
□ C. Relèvent exclusivement d’un traitement orthopé- □ A. Sont plus fréquentes chez les adolescents que chez
dique. l’adulte
□ D. Se compliquent de raideur articulaire. □ B. Sont dues à un choc direct de la région sous patel-
□ E. S’accompagnent de paralysie cubitale. laire
□ C. Sont traitées chirurgicalement
18. Dans les fractures de la diaphyse humérale
□ D. Sont souvent liées à des traumatismes sportifs
□ A. Le nerf le plus fréquemment atteint est le nerf ra- □ E. Sont de diagnostic clinique confirmées par l’écho-
dial graphie
11 → AB 12 → ABC 13 → ACE 14 → AB 15 → ABC 16 → A 17 → AB 18 → ABCE 19 → AB 20 → E
21 → ABCE 22 → ADE 23 → CDE 24 → BCE 25 → ABDE
31. Quelle complication ne survient jamais après une 40. Le type iii de la classification die duparc des frac-
fracture de la rotule ? [R 3] tures de la rotule répond à la description suivante [R 1]
□ Arthrose fémoro-patellaire
A. □ A. Fracture en étoile
□ Algodystrophie du membre inférieur
B. □ B. Fracture ouverte.
□ Raideur du genou avec flexion réduite à 10 degrés
C. □ C. Fracture à deux fragments.
□ Pseudarthrose rendant la marche impossible par
D. □ D. Fracture de la pointe de la rotule.
défaut de verrouillage du genou □ E. Fracture de la rotule associe à une fracture du fé-
□ E. Recurvatum sévère du genou mur homolatéral.
32. Une fracture de la rotule [RATT]
41. La lésion la plus fréquente de l’appareil extenseur
□ A. Se prête à un traitement chirurgical par hauban du genou touche [R 1]
□ B. Est une fracture instable.
□ C. Affecte l’extension du genou. □ A. La rotule.
26 → ABC 27 → A 28 → E 29 → AE 30 → AE 31 → E 32 → ABC 33 → AB 34 → A 35 → BE
36 → AB 37 → ABCD 38 → A 39 → AB 40 → A 41 → A
1.3
□ A. La rééducation précoce nécessite une réduction
Fracture de l’extrémité superieur parfaite et ostéosynthèse solide
□ B. L’enraidissement représente la complication ma-
de l’humérus jeure
1.4
2019 Fracture de l’extrémité supérieur
42. Concernant les fractures de l’ l’extrémité sup de du fémur (fesf)
l’humérus chez l’enfant [RATT]
□ A. Peuvent se compliquer de troubles vasculaires
□ B. Les fractures supra condyliennes en extension re- 2022
présentent 80
□ C. Sont plus fréquentes que celles chez l’adulte 50. Quelles sont les complications les plus fréquentes
chez un sujet agé ayant une fracture sous trochanté-
43. Cochez la réponse exacte [R 1]
rienne ? [R 1]
□ A. La palette humérale est faite de deux colonnes qui
□ A. La pseudoarthrose du foyer fracturaire
circonscrivent les fossettes coracoïdiennes et olécra- □ B. L’ostéonécrose de la tete fémorale
niennes □ C. Le cal vicieux
□ B. Les fractures de la palette humérale sont le plus □ D. La décompensations des pathologies associées
souvent extra-articulaires □ E. La coxarthrose
44. Les fractures de l’humérus distal [R 1] 51. Le type 3 de pauwels [R 2]
□ A. Sont des urgences thérapeutiques □ A. Instable
□ B. Maximum de compression
45. Les cals vicieux de l’humérus [R 2] □ C. Le trait de fracture tend à s’horizontaliser
□ A. Sont souvent bien tolérés □ D. Correspond au type 1 de la classification de garden
□ B. Affectent la fonction du membre lorsqu’ils sont en □ E. Le cisaillement est important
rotation
2021
2017 52. La classifications de powels est basée sur [R 1]
46. Cochez la réponse exacte [R 2] □ A. Le type du trait
53. La classification de powels est basée sur [RATT]
□ A. La palette humérale est faite de deux colonnes qui
circonscrivent les fossettes coracoïdiennes et olécra- □ A. Le type du trait
niennes 54. Le but du traitement de la fracture du col fémoral
□ B. Les fractures de la palette humérale sont le plus chez l’adulte jeune est [RATT]
souvent extra-articulaires □ A. Réduction anatomique de la fracture
□ B. Réinsertion socio professionnelle
□ C. Obtenir la consolidation
2016
47. Cochez la réponse exacte [R 3] 2020
□ A. La palette humérale est faite de deux colonnes qui
55. La classification de powels utilise comme critère [R
circonscrivent les fossettes coracoïdiennes et olécra-
1]
niennes
□ B. L’axe de la palette est incliné de 30 vers l’avant □ A. La direction de trait
□ C. La colonne latérale se termine par l’épicondyle la- 56. Le but du traitement de la fracture de col fémoral
térale sphérique, la colonne médiale se termine par chez l’adulte jeune est [R 1]
l’épicondyle médiale rectangulaire
□ A. Réduction anatomique de la fracture
□ D. Le trt des fractures de la palette humérale nécessite □ B. Réinsertion socio professionnelle
un abord chirurgical □ C. Obtenir la consolidation
□ E. Les fractures de la palette humérale sont le plus
57. La classification de powels des fractures du col du
souvent extra-articulaires
fémur utilisé comme critère [RATT]
48. A propos des fractures de l’extrémité distale de l’hu-
□ A. La direction de trait
mérus [R 1]
58. Le but du traitement de la fracture du col fémorale
□ A. Nécessite une prise en charge urgente chez l’adulte jeune est [RATT]
□ B. Peuvent se compliquer de syndrome de volkmann
□ A. Réduction anatomique de la fracture
49. Dans les fractures de la palette humérale de l’adulte □ B. Réinsertion socio professionnelle
[R 3] □ C. Obtenir la consolidation
64. Quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) juste(s) 76. Les complications immédiates des fractures du fé-
concernant le type 3 de powels [R 2] mur chez l’adulte sont [R 3]
□ A. Les complications thrombo emboliques.
□ A. Les forces de cisaillements sont au maximum
□ B. Risque important de pseudarthrose 77. Parmi les fractures suivantes quelles sont celle qui
□ C. Fracture instable sont dites instables [RATT]
65. Quelles sont les propositions qui correspondent le □ A. Fractures obliques longues
mieux à la fracture du col fémoral de l’adulte en coxa 78. L’importance du déplacement dans le type dit «
valga [RATT] tête folle » est étudier par [RATT]
□ A. La marche est possible □ A. Garden
□ B. Fracture stable 79. L’instabilité des fractures trochantérienne tient a [R
66. L’instabilité des fractures trochantérienne tient à 1]
[RATT] □ A. Fracture à plusieurs fragments
□ A. Fracture a plusieurs fragments □ B. Fracture trochanter diaphysaire
□ B. Fracture trochantero-diaphysaires 80. Quelles sont les propositions qui correspondent le
67. L’importance du déplacement dans le type dit « mieux à la fracture den col fémoral de l’adulte en u coxa
tête folle » est étudier par [RATT] valga [R 2]
1.5
□ E. Lamare
82. Quelle (s) est(sont) la (les) réponses(justes) concer-
Fracture du cotyle
nant le type 3 de powels
□ A. Les forces de cisaillements sont au maximum 2022
□ B. Risque important de pseudarthrose
□ C. Fracture instable 92. A propos des traumatismes du bassin [R 1]
83. Quelle(s) est (sont) la (les) réponses justes) concer- □ A. L’incidence oblique ascendante permet de dégager
nant le type 3 de powels l’arc pelvien postérieur
□ B. Le cliché du bassin standard de face est suffisant
□ A. Les forces de compressions sont au maximum □ C. Les fractures du bassin de type b correspondent à
□ B. Les forces de cisaillements sont au maximum une rupture complète de l’arc postérieur
□ C. L’évolution vers la consolidation est favorable □ D. Peuvent survenir suite à une chute banale chez les
□ D. Risque important de pseudarthrose personnes agées
□ E. Fracture instable □ E. Les complications sont rares chez les personnes
84. La distinction de lamare sert a agées
93. Chez un patient présentant une fracture du cotyle,le
□ A. Évaluer le potentiel de consolidation d’une fracture
bilan radiographique doit comporter les incidences [R 1]
du col fémoral
□ B. Présage du risque de nécrose de la tête fémorale □ A. Une hanche de face et de profil
□ C. Complète le type 4 de garden □ B. Un bassin de face
□ D. Évalue le risque de pseudarthrose d’une fracture □ C. Un ¾ alaire de la hanche traumatisé
□ D. Un ¾ obturateur de la hanche traumatisé
du col fémoral
□ E. Un ¾ alaire de la hanche saine
□ E. A un intérêt pronostic
85. La fracture à bec céphalique du col fémoral est
2021
□ A. Une fracture spiroide
□ B. Une fracture instable 94. Le traitement chirurgical dans les fractures du co-
tyle , a pour but [R 1]
86. Le terme d’aspect <en pleine lune > en radiogra-
phie, s’applique a □ A. Réduite une tete fémorale irréductible
□ B. Mettre un moyen d’ostéosynthèse solide
□ A. Type 4 de garden □ C. Nécessite un abord chirurgical
□ B. Type lamare □ D. Rétablir la surface articulaire
87. Les fractures trochantériennes 95. Le cotyle présente toutes ces éléments sauf [R 1]
□ A. Aile iliaque
□ A. Se compliquent de pseudarthrose
□ B. N’atteignent pas le jeune 96. Le cotyle comporte de [R 1]
□ C. Se compliquent de lésions vasculaires □ A. Une paroi postérieure
□ D. Peuvent entrainer le décès □ B. Une colonne antérieure
88. Dans les fractures du col fémorales agissant de la
□ C. Une paroi postérieure
□ D. Toit du cotyle
direction du trait, le quel est considéré comme instable
97. Le traitement chirurgical dans les fractures du co-
□ A. Fracture spiroide à bec céphalique tyle a pour but [R 3]
□ B. Fracture a trait vertical
□ C. Fracture a trait horizontal □ A. Réduire une tète fémorale irréductible.
□ B. Indiqué pour toutes les fractures simples ou com-
□ D. Fracture à bec cervical
□ E. Toutes les réponses sont justes plexes.
□ C. Mettre un moyen d’ostéosynthèse solide
89. Dans les fractures du col fémoral le type 3 corres- □ D. Nécessite un abord chirurgical.
pond □ E. Rétablit la surface articulaire.
1.6
2017
Fractures de l’extrémité distale de
117. Dans les fractures du cotyle [R 2]
l’humérus
□ A. La fracture de la paroi postérieure est la plus fré-
quente des fractures simples (judet letournnel.)
□ B. Arthrose coxo-fémorale représente une complica-
tion tardive. 2022
□ C. Le scanner du bassin est indispensable au bilan
124. Le triangle de nelaton est [R 1]
lésionnel.
□ D. La paralysie du nerf sciatique est fréquente s’il □ A. Une zone de fragilité osseuse métaphysaire de l’hu-
existe une luxation postérieure de hanche. mérus distal
□ E. L’os iliaque est constitué de l’union de 3 centres □ B. La cavité articulaire de l’olécrane
d’ossifications : l’ilium vers le haut le sacrum en ar- □ C. La zone d’insertion des épitrochléens
□ D. Est un triangle joignant le sommet de l’olé-
rièrede pubis en avant
crane,l’épicondyle médial et latéral ; le coude étant
118. La fracture du cotyle [R 2] fléchi
□ A. Peut se compliquer de plaie de la vessie. □ E. Est le centre de la cupule radiale
□ B. La tête fémorale représente l’agent vulnérant pour 125. Le mécanisme de la fracture supra condylienne de
le cotyle l’humérus par extension chez l’enfant est [R 2]
□ C. La fracture en t "est une fracture simple selon la
classification de judet letournne □ A. Une chute sur la paume de la main
□ D. On divise classiquement le cotyle en colonne an- □ B. Une chute sur le coude
□ C. Le coude est en extension
térieure (ilio pubienne), et une colonne postérieure □ D. Le coude est en flexion
(ischio pubienne) □ E. L’épaule en abduction
□ E. Le cliché oblique ¾obturateur efface l’aile iliaque,
et étale le cadre obturateur. 126. Le stade 3 de la classification de jakob des fractures
du condyle latéral de l’humérus chez lenfant correspond
119. Selon judet letournnel [R 1] à [R 2]
□ A. La fracture en «t» de la cotyle est une fracture □ A. Un trait qui se termine en dehors de la trochlée
simple □ B. Un déplacement inférieur à 2 mm
□ B. La fracture de la paroi postérieure est la plus fré- □ C. Un déplacement supérieur à 2 mm sans rotation
quente des fr simples de la cotyle □ D. Un grand déplacement avec rotation
□ C. L’arthrose coxo-fémorale représente une complica- □ E. Un trait qui se termine au niveau de la trochlée
tion tardive fréquente des fr de la cotyle 127. Le dépistage en milieu scolaire de la scoliose [R 2]
□ D. Le cliché oblique
□ E. L’os coxal est constitué de l’union de 2 centres d’os- □ A. N’a pas d’intérêt pronostique et est coûteux
sifications : colonne antérieur et colonne postérieur □ B. Est basé sur l’examen clinique
□ C. Est basé sur la radiographie du rachis entier de
face et de profil
2016 □ D. Permet de diagnostiquer des déformations minimes
avant l’aggravation pubertaires
120. Dans les fractures du cotyle [R 3] □ E. Permet une prise en charge précoce
□ A. L’arthrose coxo-fémorale représente une complica- 128. Dans les fractures de l’humérus distal chez l’adulte,
tion tardive. les fractures condylaires et supra-condylaire complexes
□ B. La paralysie du nerf sciatique est fréquente s’il correspondent selon la classification de l’ao au type [R 2]
existe luxation postérieure de hanche. □ A. A3
121. Selon la classification de judet letournel (fractures □ B. C3
de la cotyle) : toutes ces fractures sont ces fractures □ C. C1
simples [R 1] □ D. A1
□ E. B3
□ A. Fracture de la paroi postérieure
129. Le mécanisme de la fracture supra condylienne de
□ B. Fracture transversale
□ C. Fracture de la colonne antérieure lhumérus par extension chez l’enfant est : [R 2]
117 → ABCD 118 → ABE 119 → BC 120 → AB 121 → ABC 122 → AB 123 → AB 124 → D 125 → AC
126 → D 127 → BDE 128 → B 129 → AC 130 → D
□ C. Un déplacement supérieur à 2 mm sans rotation □ A. Seule l’ostéosynthèse a évolué par l’apparition des
□ D. Un grand déplacement avec rotation plaques anatomiques rigides
□ E. Un trait qui se termine au niveau de la trochlée □ B. La palette humérale est faite de 2 colonnes laté-
131. La ligne de malgaigne est [R 2] rales ,qui circonscrivent les fossettes coronoidienne et
olécranienne
□ A. La zone métaphysaire la plus solide de l’humérus
□ C. La technique chirurgicale n’a pas été modifiée
distal
□ B. Le sommet de l’olécrane 140. Dans les fractures de la palette humérale de l’en-
□ C. La zone d’insertion des épitrochléens fant [RATT]
□ D. Un repère anatomique joignant le sommet de l’olé-
□ A. Le mécanisme le plus fréquemment retrouvé est
crane, l’épicondyle médial et l’épicondyle latéral ; le une chute sur la paume de la main
coude étant fléchi
□ E. Un repère anatomique joignant le sommet de l’olé-
1.7
crane, l’épicondyle médial et l’épicondyle latéral ; le
coude étant en extension Infection ostéo-articulaire de
l’enfant
2021
132. Les signes cliniques d’une fracture déplacée de 2022
l’humérus chez l’enfant sont [R 1]
141. La région métaphysaire est le siège principal de
□ A. Une déformation du membre
□ B. Une douleur avec œdème du membre prolifération bactérienne en raison [R 1]
133. Dans les fractures de la palette humérale de l’en- □ A. Du ralentissement du flux sanguin
□ B. De la rareté des cellules immunitaire à ce niveau
fant [R 1]
□ C. De la richesse du réseau veineux en valves anti re-
□ A. Le mécanisme le plus fréquemment retrouvé est flux
une chute sur la paume de la main □ D. De la proximité de l’articulation
134. À propos des fractures de la palette humérale [R □ E. De la situation intra articulaire de certaines méta-
1] physes
□ A. La palette humérale est faite de 2 colonnes qui cir- 142. L’ostéomyélite aigue de l’enfant [R 1]
conscrivent les fossettes coracoidienne et olécranienne □ A. Est l’infection par voie hématogène de l’os
□ B. L’axe de la palette est incliné de 30° vers l’avant □ B. Le germe responsable est le plus souvent le staphy-
□ C. Les fractures de la palette humérale sont le plus locoque doré
souvent extra-articulaires □ C. Elle est généralement localisée près du genou et
135. Dans les fractures de la palette humérale de loin du coude
l’adulte [R 1] □ D. Est généralement localisée au niveau de la diaphyse
des os long
□ A. L’enraidissement représente la complications ma- □ E. La radiographie standard est normale au moment
jeure des premiers signes cliniques
□ B. La rééducation précoce nécessite une réduction
parfaite et une ostéosynthèse solide 143. Le traitement d’une ostéomyélite aiguë se fait par
[R 2]
136. À propos des fractures de l’extrémité inferieure de
l’humérus [R 1] □ A. Des anti-inflammatoires non stéroïdiens en atten-
dant le résultat des prélèvements
□ A. Les premiers clichés du coude f/p sont générale- □ B. Une antibiothérapie orale par un antibiotique an-
ment de très mauvaise qualité tistaphylococcique
□ B. Les fractures parcellaires à trait frontal sont fré- □ C. Une antibiothérapie parentérale double associée
quentes chez la femme □ D. Un abord chirurgical et trépanation osseuse
□ C. La classification de l’ao subdivise ces fractures en □ E. Une immobilisation plâtrée
3 groupes
137. Dans les fractures de la palette humérale de l’en-
fant [R 2]
2021
□ A. Des lésions vasculaires peuvent survenir dans les 144. Le traitement chirurgical d’une ostéo-arthrite per-
déplacements antérieurs de la métaphyse met [R 2]
138. Dans les fractures de la palette humérale de □ A. Une biopsie osseuse si doute diagnostic
l’adulte [R 2] □ B. Une mise à plat avec des prélèvements cyto-
□ A. Une réduction parfaite et une ostéosynthèse solide bactériologique et anatomo-pathologique
permettent une rééducation précoce 145. Concernant la mobilité articulaire [R 3]
139. Concernant les fractures de l’extrémité inferieure □ A. Les énarthroses sont les articulations les plus mo-
de l’humérus de l’adulte [R 2] biles
131 → E 132 → AB 133 → A 134 → ABC 135 → AB 136 → ABC 137 → A 138 → A 139 → ABC
140 → A 141 → AB 142 → ABCE 143 → CE 144 → AB 145 → A
□ B. Les articulations condyliennes sont plates □ A. Est indiqué devant tout épanchement ne répondant
□ C. Les articulations trochléennes sont ovales pas au traitement médical.
□ D. Les amphiarthroses sont les articulations les plus □ B. Permet l’ablation des séquestres osseuse
mobiles □ C. Permet de stériliser le foyer infectieux par une an-
□ E. Les diarthroses sont constituées de deux articula- tibiothérapie locale.
tions □ D. Permet une biopsie osseuse en cas de doute diag-
nostic.
□ E. Corrige les attitudes vicieuses secondaires aux ré-
2020 tractions musculo-tendineuses.
146. 8-une arthrite aiguë de hanche chez un nourrisson 153. L’abcès de brodie [R 2]
de 7 mois [RATT] □ Est une forme chronique de l’ostéomyélite.
A.
□ A. Peut se propager en métaphysaire à travers le car-
□ Ne pose pas de problème diagnostic.
B.
□ De diagnostic clinique.
C.
tilage de croissance □ Se traduit par une image radio transparente. en-
D.
□ B. Peut se propager en métaphysaire par l’intermé-
tourée d’une ostéo condensation.
diaire de la synoviale articulaire □ E. De traitement uniquement chirurgical.
154. Le bilan biologique d’une infection ostéo - articu-
2019 laire doit comporter [RATT, R 2]
□ A. Vitesse de sédimentation.
147. Le traitement chirurgical d’une ostéoarthrite per- □ B. Dosage des anti staphylolysines alpha.
met [R 3] □ C. Dosage de la préine c réactive.
□ A. Une biopsie osseuse si doute diagnostic □ D. Dosage de la procalcitonine
148. Une arthrite aigue de hanche chez un nourrisson 155. Le diagnostic différentiel d’une infection ostéo-
de 18mois [R 1] articulaire de l’enfant peut se faire avec [R 3]
□ A. Se manifeste par une boiterie douloureuse suite à □ A. Un sarcome d’ewing.
□ B. Un rhumatisme articulaire aigu.
un traumatisme banal
□ C. Une leucose.
□ B. Peut se propager en métaphysaire par l’intermé-
diaire de la synoviale 156. Une image radiographique d’une géode métaphy-
saire entourée d’une ostéo condensation
□ A. Peut évoquer une forme chronique d’ostéomyélite.
2017 □ B. N’a aucune expression clinique.
□ C. Peut évoquer un ostéome ostéoide
149. Une arthrite débutante de la hanche chez un nour- □ D. Impose une simple surveillance clinique.
risson s’exprime par [R 1] □ E. Évoque un abcès de brodie si elle est associée à un
□ A. Une impotence fonctionnelle totale du membre. syndrome infectieux.
□ B. Un aspect échographique normal.
□ C. Une géode métaphysaire juxta corticale. 1.8
□ D. Un élargissement de la cavité articulaire.
□ E. Un empattement de la région inguinale. Lch
150. Une arthrite débutante de la hanche chez un nour-
risson s’exprime par [R 2]
□ A. Une impotence fonctionnelle totale du membre
2022
□ B. Aspect échographique normal 157. La luxation congénitale de la hanche est [R 1]
□ C. Une géode métaphysaire
□ D. Elargissement de la cavité inguinale □ A. Toujours découverte à la naissance suite à un ac-
□ E. Un empattement de la région inguinale couchement dystocique
□ B. Une malformation congénitale liée au sexe
□ C. Une anomalie de développement favorisée par des
2016 positions luxantes
□ D. Suspectée devant une impotence fonctionnelle du
151. En cas d’arthrite septique du genou chez un enfant. membre inférieur du nouveau-né
la contention plâtrée complémentaire [R 2] □ E. Fortement suspectée chez une fille,avec notion de
□ A. Maintient la position de fonction à 10° de flexion version tardive
du genou. 158. Le dépistage de la lch [R 1]
□ B. Maintient le genou en extension pour éviter les ré-
□ A. Débute in-utéro lors de l’échographie du troisième
tractions.
trimestre
□ C. Permet de prévenir les fractures pathologiques.
□ B. Se fait à la naissance
□ D. Permet d’obtenir une indolence.
□ C. Est basé sur la recherche de l’instabilité radiogra-
□ E. Est prolongée jusqu’à guérison totale de l’infection.
phique de la hanche
152. Le traitement chirurgical d’une infection ostéo- □ D. Permet une prise en charge précoce
articulaire chez l’enfant [R 2] □ E. Objective l’instabilité clinique de la hanche
146 → AB 147 → A 148 → AB 149 → ADE 150 → ADE 151 → BD 152 → AD 153 → ADE 154 → ABCD
155 → ABC 156 → AC 157 → CE 158 → BDE
159. Les critères de réussite d’une radiographie du bas- □ C. La ligne des y doit passer par la dernière pièce
sin de face chez un nourrisson sont [R 1] sacrée
□ D. Les diaphyses fémorales doivent etre perpendicu-
□ A. La largeur des ailes iliaques doit etre égale des deux
laires à la ligne des y
cotés
□ B. La verticale passant par le milieu du sacrum doit 166. Dans le dépistage de la luxation congénitale de la
passer par le cartilage en y hanche quels sont parmi les facteurs de risque majeurs
□ C. Le bord supérieur des ossifications de l’ischion et [RATT]
du pubis doivent etre tangent ou presque □ A. Antécédent familial de luxation congénitale de la
□ D. Les axes des diaphyses fémorales doivent etre per- hanche
pendiculaires à la ligne des y □ B. Sexe féminin.
□ E. Les trous obturateurs doivent etre symétriques □ C. Présentation de siège.
160. La luxation congénitale de la hanche est [R 2] 167. Dans la luxation congénitale de la hanche la
□ A. Fortement suspectée chez une fille, avec notion de construction d’ombredanne sur la radiographie [RATT]
version tardive □ A. Permet le diagnostic après 06 mois
□ B. Un défaut de segmentation survenant lors du pre- □ B. Aide au diagnostic à partir de 04 mois.
mier trimestre de la grossesse. □ C. N’est pas nécessaire après l’âge de la marche.
□ C. Toujours associée à un conflit intra-utérin.
□ D. Une anomalie de développement favorisée par des
positions luxantes.
2020
□ E. Suspectée devant amyotrophie globale du membre 168. Parmi les critères majeurs de suspicion de luxation
inférieur du nouveau-né. congénitale de la hanche, figure [R 1]
161. Le dépistage de la lch [R 2] □ A. La césarienne
□ A. Permet une prise en charge précoce. □ B. La présentation de siège
□ B. Débute in-utero lors de l’échographie du troisième □ C. Les antécédents familiaux
trimestre. □ D. Le sexe féminin
□ C. Se fait au cours de la première année de la vie. 169. Sur la radiographie du bassin de face d’un bébé de
□ D. Objective l’instabilité clinique de la hanche 5 mois, la hanche est luxée si après construction d’om-
□ E. Est basé sur la recherche de l’instabilité radiogra- berdanne le noyau céphalique est dans [R 3]
phique de la hanche. □ A. Le quadrant supéro-externe
162. L’examen clinique pour dépistage d’une lch com- □ B. Le quadrant supéro-interne
mence par un interrogatoire à la recherche [R 2] □ C. Le quadrant inféro-interne
□ D. Le quadrant inféro-externe
□ D’antécédent familial d’une lch
A. □ E. Absent
□ De notion de version tardive
B.
170. Le dépistage de la luxation congénitale de la
□ D’un traumatisme obstétrical
C.
□ D’une hospitalisation néonatale dans une unité de
D. hanche [RATT]
soins intensifs □ A. Est basé sur l’examen clinique à la naissance
□ E. De prise médicamenteuse pendant de la grossesse □ B. Est facilité par l’échographie des hanches à la nais-
sance
□ C. Impose la répétition de l’examen clinique complété
2021 si nécessaire par une échographie à j30
163. Dans le dépistage de la luxation congénitale de la
hanche,quels sont parmi les facteurs de risque majeurs 2019
[R 2]
171. Une luxation congénitale de la hanche est suspecte
□ A. Antécédent familial de luxation congénitale de la a la naissance en présence à l’examen clinique [R 2]
hanche
□ B. Sexe féminin □ A. D’une limitation unilatérale de l’abduction
□ C. Présentation du siège □ B. D’une asymétrie des plis fessiers
□ C. D’un torticolis
164. Dans la luxation congénitale de la hanche la □ D. D’un talus du pied
construction d’ombredanne sur la radiographie [R 2] 172. Le dépistage de la luxation congénitale de la
□ A. Permet le diagnostic apres 06 mois hanche [R 2]
□ B. Aide au diagnostic a partir de 04 mois □ A. Est base sur l’examen clinique à la naissance
□ C. N’est pas nécessaire après l’age de la marche □ B. Est facilite par l’échographie des hanches a la nais-
165. Les critères de bonne qualité de la radiographie du sance
bassin en matière de luxation congénitale de la hanche □ C. Impose la répétition de l’examen clinique complété
[R 2] si nécessaire par une échographie au 30eme jour
□ A. La verticale passant par le milieu du sacrum passe 173. La prise en charge d’une luxation congénitale de
par le milieu de la symphyse pubienne la banche diagnostiqué a l’age de 06 mois est faite [R 3]
□ B. Les ailes iliaques sont de meme largeur □ A. Harnais de pavlik
159 → ACDE 160 → AD 161 → AD 162 → AB 163 → ABC 164 → ABC 165 → ABCD 166 → ABC
167 → ABC 168 → ABCD 169 → ABD 170 → ABC 171 → ABCD 172 → ABC 173 → AB
193 → CD 194 → AB 195 → A 196 → AD 197 → D 198 → AB 199 → A 200 → AB 201 → AB 202 → A
203 → A 204 → A 205 → AB 206 → 207 → A 208 → CD 209 → A 210 → A 211 → ABD 212 → ABC
213 → ACD 214 → B
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.10. TRAUMATISME DE L’ÉPAULE
215 → ABC 216 → ACE 217 → ACE 218 → A 219 → BE 220 → E 221 → D 222 → ABC 223 → B
224 → A 225 → AB 226 → ABC 227 → AB 228 → ABC 229 → ABCD 230 → ABCD
1.12
2016
Traumatisme osseux du genou
262. Quel est le signe clinique le plus fréquent dans une
rupture ligamentaire du genou [RATT]
□ A. Hémarthrose 2022
263. Dans l’entorse du genou [R 3] 271. Le type v de la classification de la sofcot des frac-
tures de l’extrémité inférieure du fémur est [R 2]
□ A. L’hémarthrose, la douleur vive, l’impotence fonc-
tionnelle sont les principaux symptômes. □ A. Une fracture diaphyso-métaphyso-épiphysaire
□ B. Glaçage et l’immobilisation sont des moyens phy- □ B. Une fracture supra-condylienne complexe sans
siques de traitement. console de stabilité
□ C. Une fracture sus et inter-condylienne simple
264. Devant une luxation du genou l’examen clinique □ D. Une fracture sus et inter-condylienne à comminu-
doit chercher [R 2] tion métaphysaire
□ E. Une fracture supra-condylienne simple
□ A. Les lésions ligamentaires
□ B. Les lésions cutanées 272. Le traitement des fractures de l’extrémité infé-
□ C. Les lésions vasculaires rieure du fémur [R 2]
□ D. Les lésions neurologiques □ A. Est chirurgical chez l’adulte
□ E. Les lésions osseuses □ B. Peut-être orthopédique chez l’adulte
□ C. La traction suivie d’une immobilisation plâtrée
265. Devant un flessum du genou inférieur à 30 degrés.
peut être indiqué chez l’enfant
quel est le diagnostic le plus probable [R 2] □ D. Les fractures articulaires doivent bénéficier d’une
□ A. Luxation du genou. réduction anatomique
□ B. Rupture du lca □ E. Le fixateur externe est indiqué dans les fractures
□ C. Rupture du lli ouvertes.
□ D. Lésion méniscale luxée. 273. Le type iv de la classification de schatzker des frac-
□ E. Rupture du lcp tures de l’extrémité supérieure du tibia est [R 2]
266. Quel est le signe clinique le plus fréquent dans une □ A. Une fracture tubérositaire + fracture diaphysaire
rupture ligamentaire du genou [R 2] haute
□ B. Une fracture-séparation pure du plateau tibial la-
□ A. Douleur téral
□ B. Varus □ C. Une fracture-enfoncement pure du plateau tibial
□ C. Valgus latéral
□ D. Hémarthrose □ D. Une fracture bitubérositaires
□ E. Récurvatum □ E. Une fracture-séparation du plateau tibial médial
267. Une lésion vasculaire peut être secondaire [R 1]
277. Dans les fractures des plateaux tibiaux [R 2] □ B. Les fractures bitubérositaires sont secondaires à
□ A. Les fractures bitubérositaires sont secondaires à une compression axiale
une compression axiale □ C. L’atteinte des ménisques est fréquente
□ B. Dans le cadre d’un polytraumatisé,le diagnostic □ D. Ce sont des fractures par définition : articulaires
peut passer inaperçu □ E. L’agent vulnérant est le condyle fémoral
□ C. L’agent vulnérant est le condyle fémoral 284. Un patient est ramené aux urgences suite à une
278. Un vielle dame est ramenée aux urgences suite chute d’un lieu élevé et réception sur le membre inférieur
à une chute de sa hauteur et réception sur le ge- gauche jambe tendue en extension, avec gros genou, im-
nou,l’examen clinique retrouve un genou globuleux ,une potence fonctionnelle et douleur en regard de l’extrémité
impotence fonctionnelle et douleur importante [R 2] supérieure du tibia [R 3]
□ A. Il peut s’agir d’une fracture de l’éxtrémité inférieur □ A. Il s’agit surement d’une fracture de l’extrémité su-
du fémur ou du plateau tibial périeure du tibia
□ B. Le diagnostic est radiologique □ B. Le diagnostic est radiologique
□ C. D’autres fractures associées du membre ipsilatéral
□ C. Le scanner (tdm) n’est pas indispensable
sont possibles □ D. Souvent, il s’agit d’une fracture en tassement- sé-
paration
2020 □ E. Son traitement est souvent orthopédique
278 → ABC 279 → ABC 280 → CD 281 → AE 282 → CDE 283 → BCDE 284 → ABD 285 → C 286 → ABC
287 → AB 288 → AB 289 → A
1.13
315. Le traitement d’une fracture ouverte de jambe [R
Traumatisme ouvert de la jambe 1]
□ A. Doit etre instauré en urgence
□ B. Doit éviter l’infection ,couvrir le foyer de fracture
2022 et stabiliser l’os
□ C. Doit comporter une prophylaxie anti tétanique
307. Dans les fractures ouvertes de jambes par méca- □ D. Le parage chirurgical doit se faire dans les condi-
nisme indirect [R 2] tions d’asepsie rigoureuse
316. Le traitement des fractures ouvertes de jambe de
□ A. L’ouverture se fait de dehors en dedans
□ B. Le risque de contamination est faible stade iii (cauchoix-duparc ) comporte [R 1]
□ C. Il s’agit souvent de fractures spiroïdes □ A. Une immobilisation des lésions osseuses par fixa-
□ D. Il s’agit souvent de fractures transversales teur externe
□ E. La fibula n’est jamais fracturée □ B. Un parage soigneux des parties molles
308. Dans la classification de cauchoix et duparc [R 2] 317. La classification de cauchoix et duparc dans les
fractures ouvertes de jambe [R 2]
□ A. Le type 2 correspond à une plaie sans décollement
ni contusion □ A. Est basée sur l’ouverture cutanée
□ B. Dans le type 1 si la plaie est fermée précocement 318. Le traitement des fractures ouvertes de jambe de
la fracture est considérée comme fermée stade iii (cauchoix-duparc) doit comporter [R 3]
□ C. Le type 3b correspond à une perte de substance □ Une prévention antitétanique
A.
étendue sans possibilité de réparation □ Un parage soigneux des parties molles
B.
□ D. Le type 4 correspond à des lésions de broiement □ Une fermeture cutanée primitive
C.
□ E. La classification a un intérêt pronostique et théra- □ Une ostéosynthèse des lésions osseuses par plaque
D.
peutique vissée
□ E. Une immobilisation des lésions osseuses par fixa-
teur externe
2021
309. Le traitement d’une fracture ouverte de jambe [R 2020
2]
319. Le traitement d’une fracture ouverte de la jambe
□ A. Doit éviter l’infection ,couvrir le foyer de fracture
[R 3]
et stabiliser l’os
□ B. Doit comporter une prophylaxie anti tétanique □ A. Doit être instauré en urgence
□ B. Doit éviter l’infection, couvrir le foyer de fracture
□ C. Le parage chirurgical doit se faire dans les condi-
tions d’asepsie rigoureuse e stabiliser l’os
□ C. Doit comporter une prophylaxie anti tétanique
310. Une fracture ouverte de jambe avec une ouverture □ D. L’administration des antibiotiques est facultative
de dedans en dehors [R 2] □ E. Le parage chirurgical doit se faire dans des condi-
tions d’asepsie rigoureuse
□ A. Le trait de fracture peut etre spiroidal
□ B. Est secondaire à un mécanisme indirect 320. Dans les fractures ouvertes [RATT]
311. La classification de cauchoix et duparc dans les □ A. Le pronostic est dominé par le risque infectieux
□ B. Le fixateur externe est un moyen d’ostéosynthèse
fractures ouvertes de jambe [RATT]
utilisable dans ces fractures
□ A. Est basée sur les lésions cutanées 321. A propos des fractures ouvertes de la jambe [R 1]
312. Le traitement d’une fracture ouverte de jambe □ A. Le pronostic d’une fracture ouverte est dominé par
[RATT] le risque infectieux.
□ A. Doit être instauré en urgence □ B. Le parage de la plaie est un geste primordial dans
□ B. Doit éviter i’ infection, couvrir le foyer de fracture l’évolution d’une fracture ouverte.
et stabiliser l’os □ C. Le parage transforme une plaie traumatique en une
□ C. Doit comporter une prophylaxie anti tétanique plaie chirurgicale
□ D. Le parage chirurgical doit se faire dans les condi- □ D. Le parage doit se faire au bloc opératrice dans les
tions d’asepsie rigoureuse. conditions d’asepsie chirurgicale.
□ E. Le parage se fait de la superficie à la profondeur.
313. Dans les fractures ouvertes de la jambe [R 1]
322. Un jeune homme de 20 ans, après un accident de
□ A. Le trait de fracture est spiroide lors d’un méca- motocyclette présente une fracture pluri-fragmentaire
nisme indirect des 02 os de la jambe ouverte ce type iii sans lésion
□ B. Les contusions et les lésions des parties molles sont vasculo-nerveuses. quel traitement choisir ? [R 2]
plus fréquentes lors d’un mécanisme direct
□ A. Parage et fixateur externe.
314. La classification de cauchoix et duparc dans les 323. Le type il de cauchaix et duparc comporte [R 1]
fractures ouvertes de la jambe [R 1]
□ A. Les décollements cutanés.
□ A. Est basée sur l’ouverture cutanée □ B. Les contusions.
307 → BC 308 → BCDE 309 → ABC 310 → AB 311 → A 312 → ABCD 313 → AB 314 → A 315 → ABCD
316 → AB 317 → A 318 → ABE 319 → ABCE 320 → AB 321 → ABCDE 322 → A 323 → ABC
324 → AB 325 → A 326 → AD 327 → ABCD 328 → ABCDE 329 → A 330 → AB 331 → AB 332 → AB
333 → ABCD 334 → AB 335 → ABCE 336 → ABC 337 → ABCDE 338 → A 339 → A 340 → ABCD
341 → A 342 → A 343 → ABCD
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.13. TRAUMATISME OUVERT DE LA JAMBE
□ A. Doit être instauré en urgence 352. Une fracture ouverte de jambe avec une ouverture
□ B. Doit éviter l’infection, couvrir le foyer de fracture de dehors en dedans [R 3]
et stabiliser l’os □ A. Le risque de contamination est élevé
□ C. Doit comporter une prophylaxie anti tétanique □ B. Est secondaire à un choc direct
□ D. Le parage chirurgical doit se faire dans les condi- □ C. S’accompagne d’une contusion importante des par-
tions d’asepsie rigoureuse. ties molles
344. Dans les fractures ouvertes de jambe [RATT] 353. Une fracture ouverte de jambe avec une ouverture
□ A. Le trait de fracture est spiroide lors d’un méca- de dedans en dehors [R 2]
nisme indirect □ A. Est secondaire à un mécanisme indirect
□ B. Les lésions des parties molles sont plus fréquentes □ B. Le risque de contamination est élevé
lors d’un mécanisme direct □ C. S’accompagne d’une contusion importante des par-
345. Quel traitement pour une fracture comminutive de ties molles
□ D. Le trait de fracture peut être spiroïdal
la jambe au tiers moyen avec ouverture de stade 2 [R 1,
□ E. Est secondaire à un choc direct
R 2]
354. Le traitement des fractures ouvertes de jambe de
□ A. Parage, lavage, drainage et fermeture cutanée sans
stade iii (cauchoix et duparc) doit comporter [R 3, R 2]
tension
□ B. Ostéosynthèse par fixateur externe □ A. Un parage soigneux des parties molles
□ C. Sérothérapie att et vaccination □ B. Une immobilisation des lésions osseuses par fixa-
□ D. Antibiothérapie teur externe
346. Le traitement d’une fracture ouverte de jambe [R 355. Les complications tardives possibles d’une fracture
2] ouverte de jambe type ii stabilisé par un enclouage cen-
tromédullaire sont [R 3]
□ A. Doit être instauré en urgence
□ B. Doit éviter l’infection, couvrir le foyer de fracture □ A. La pseudarthrose de jambe septique ou aseptique
et stabiliser l’os □ B. Les raideurs articulaires
□ C. Doit comporter une prophylaxie antitétanique
□ D. Le parage chirurgical doit se faire dans les condi-
tions d’asepsie rigoureuse.
2016
347. Dans les fractures ouvertes de jambe [R 2] 356. Quelles complications évoquer vous devant une im-
□ A. Le trait de fracture est spiroide lors d’un méca- mobilisation plâtré d’une fracture de la jambe
nisme indirect □ A. Syndrome des loges
□ B. Les contusions et les lésions des parties molles sont □ B. Phlébite
plus fréquentes lors d’un mécanisme direct □ C. Escarre cutanée
□ D. Déplacement secondaire
357. A propos des fractures ouvertes de jambe
2017 □ A. Le pronostic d’une fracture ouverte est dominé par
348. La classification de cauchoix et duprac est une clas- le risque infectieux.
□ B. Le parage de la plaie est un geste primordial dans
sification basée sur [RATT]
l’évolution d’une fracture ouverte.
□ A. Les lésions cutanées. □ C. Le parage transforme une plaie traumatique en une
349. Dans les fractures ouvertes [RATT] plaie chirurgicale
□ D. Le parage doit se faire au bloc opératoire dans les
□ A. Le pronostic est dominé par le risque infectieux
□ B. Le parage de la plaie est un geste primordial dans conditions d’asepsie chirurgicale.
□ E. Le parage se fait de la superficie à la profondeur.
l’évolution d’une fracture ouverte
□ C. L’antibiothérapie n’est pas nécessaire 358. Les complications tardives passibles d’une fracture
□ D. Un fixateur externe est un moyen d’ostéosynthèse ouverte de jambe type ll stabilisé par un enclouage cen-
utilisable dans ces fractures tromédullaire sont
350. Les complications possibles d’une fracture ouverte □ A. La pseudarthrose de jambe septique ou aseptique
de jambe traitée par plâtre cruro-pédieux sont [RATT] □ B. Les raideurs articulaires
□ A. La thrombophlébite 359. A propos des fractures ouvertes, toutes les affir-
□ B. B la pseudarthrose de jambe septique ou aseptique mations suivantes sont vraies, sauf une. la quelle ?
□ C. Le déplacement secondaire □ A. L’embolie graisseuse est plus fréquente dans les
□ D. Le syndrome de loge fractures ouvertes.
351. Dans les fractures ouvertes [R 3] 360. Les complications possibles d’une fracture ouverte
□ A. Le pronostic est dominé par le risque infectieux de jambe traitée par plâtre cruro- pédieux sont [R 2]
□ B. Le parage de la plaie est un geste primordial dans □ A. La thrombophlébite
l’évolution d’une fracture ouverte □ B. La pseudarthrose de jambe septique ou aseptique
□ C. Un fixateur externe est un moyen d’ostéosynthèse □ C. Le déplacement secondaire
utilisable dans ces fractures □ D. Le syndrome de loge
344 → AB 345 → ABCD 346 → ABCD 347 → AB 348 → A 349 → ABCD 350 → ABCD 351 → ABC
352 → ABC 353 → AD 354 → AB 355 → AB 356 → ABCD 357 → ABCDE 358 → AB 359 → A
360 → ABCDE
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.14. TRAUMATISME VERTÉBRO-MÉDULLAIRE
1.14
□ E. Les raideurs articulaires
361. A propos des fractures ouvertes de la jambe [R 2] Traumatisme vertébro-médullaire
□ A. Le pronostic d’une fracture ouverte est dominé par
le risque infectieux.
□ B. Le parage de la plaie est un geste primordial dans 2022
l’évolution d’une fracture ouverte.
□ C. Le parage transforme une plaie traumatique en une 371. Une fracture du rachis,doit [R 1]
plaie chirurgicale □ A. Faire rechercher une autre lésion viscérale grave
□ D. Le parage doit se faire au bloc opératrice dans les □ B. Etre considérée comme une urgence
conditions d’asepsie chirurgicale. □ C. Etre recherchée systématiquement chez tout trau-
□ E. Le parage se fait de la superficie à la profondeur. matisé grave
362. Dans une fracture ouverte de jambe de type trois □ D. Bénéficier d’un traitement chirurgical
□ E. Faire transporter l’accidenté en position demi-
selon cauchoix duparc [R 2]
assise
□ A. Le risque infectieux est important
372. Le rachis thoracique [R 1]
□ B. La stabilisation se fait par un fixateur externe
□ C. Peut être traitée par un plâtre cruro-pédieux □ A. Est mobile
□ D. Plaie punctiforme □ B. Fait partie de la cage thoracique
□ E. Plaie suturable sans tension □ C. Comprend douze vertèbres
□ D. Est immobile
363. Dans une fracture ouverte de jambe de type iii
□ E. A un canal médullaire large
selon cauchoix dupart [RATT]
373. Le ramassage d’un traumatisé suspect de trauma-
□ A. Le risque infectieux est important tisme du rachis [R 1]
□ B. La stabilisation se fait par un fixateur externe
□ C. Peut être traitée par un plâtre cruro-pédieux □ A. Se fait patient allongé sur le coté
□ B. Requiert au minimum trois personnes
364. Une botte plâtrée peut comprimer les structures □ C. Nécessite un examen sommaire des principales
suivantes [R 3] fonctions vitales
□ A. Tubérosité tibiale antérieure. □ D. Doit respecter l’axe tronc-cou-tete
□ B. Col du péroné. □ E. Requiert au minimum deux personnes
□ C. Mollet. 374. Concernant le score de frankel le d correspond à
365. Pour immobiliser une articulation avec un appa- [R 2]
reillage plâtré on doit immobiliser [RATT, R 3] □ A. Examen neurologique normal
□ A. Les segments sus et sous-jacents. □ B. Force musculaire > 3, utile, sensibilité normale
□ C. Un déficit moteur et sensitif complet, paraplégie
366. Un plâtre cruro – pédieux est indiqué en cas de [R
aréflexie flasque.
3] □ D. Examen neurologique normal
□ A. Fracture du genou. □ E. Force musculaire 1-2, sensibilité préservée
□ B. Fracture des 02 os de la jambe. 375. La technique de laminectomie [R 2]
□ C. Luxation du genou.
□ A. Est un geste de décompression
367. Le traitement des fractures ouvertes de jambe de □ B. S’adresse au rachis traumatique cervical
stade 3 cauchoix-duparc doit comporter [R 1] □ C. S’adresse au rachis traumatique dorsal
□ A. Un parage soigneux des parties molles □ D. S’adresse au rachis traumatique lombaire
□ B. Prévention anti tétanique □ E. Indiquée en cas de troubles neurologique
□ C. Une immobilisation des lésions osseuses par fixa- 376. Le score 3 dans la cotation musculaire correspond
teur externe à une [R 2]
368. Un homme de 45 ans présente, après un accident □ A. Contraction musculaire entrainant un mouvement
de la vole publique, une fracture complexe des 02 as de la possible en éliminant la pesanteur
jambe ouverte de type iii sans lésion vasculo-nerveuses, □ B. Contraction musculaire visible ou palpable sans
le traitement doit comporter [R 1] mouvement
□ C. Contraction musculaire entrainant un mouvement
□ A. Parage et fixateur externe.
possible contre la pesanteur
369. La classification de cuachoix et duparc est une clas- □ D. Contraction musculaire entrainant un mouvement
sification basée sur [R 1] possible une légère résistance
□ A. Les lésions osseuses □ E. Contraction musculaire entrainant un mouvement
□ B. Les lésions nerveuses possible en éliminant la pesanteur
□ C. Les lésions cutanées 377. La technique de bohler dans le traitement des frac-
□ D. Les lésions vasculaires et cutanées
tures du rachis dorsolombaire [R 2]
□ E. Les lésions vasculaires
□ A. Se fait en décubitus dorsal
370. Le type ii de cauchoix et duparc comporte [R 3]
□ B. Se fait sous anesthésie générale
□ A. Les décollements cutanés. □ C. Se fait en décubitus ventral
□ B. Les contusions. □ D. Est une manouvre instrumentale
□ C. Les sutures sous tension. □ E. Se fait à vif
361 → ABCDE 362 → AB 363 → ABC 364 → ABC 365 → A 366 → ABC 367 → ABC 368 → A 369 → C
370 → ABC 371 → ABC 372 → BCD 373 → BCD 374 → B 375 → ACDE 376 → C 377 → CE
□ B. On utilise souvent la voie d’abord antérieur dans □ B. La consolidation d’une fracture est plus rapide en
le traitement chirurgical des lésions du rachis cervical cas de fracture fermée
inferieur.
403. Un poly traumatisé est un patient qui va présenter
□ C. Pour le rachis thoraco-lombaire la voie postérieure
[R 3]
est le plus utilisée.
□ D. Le traitement chirurgical doit répondre à 3 impé- □ A. Plusieurs lésions dont une au moins met en jeu le
ratifs dont la stabilisation des lésions pronostic vital
395. Le rachis cervical supérieur [R 1] 404. Les clichés radiologiques suivants sont incontour-
□ A. Est constitué par deux premières vertèbres. nables chez un polytraumatisé [R 3]
□ B. A un rôle important dans la mobilité de la tête. □ A. Radio thorax
396. Un patient âgé de 32ans maçon de profession, ra- □ B. Radio du bassin
mené aux urgences suite à une chute d’une hauteur es- □ C. Radio du rachis cervical profil
timée à environ 6.m.asa.réceation l’examen retrouve un 405. Le bilan radiologique dans les fractures du rachis
patient conscient en décubitus dorsale ne pouvant pas cervical supérieur comporte [R 3]
bouger ses membres inférieurs. qu’elle est votre conduite
en urgence ? [R 1] □ A. Une radio de face du rachis cervical dégageant les
épaules
□ A. Prise des constantes hémodynamiques. □ B. Une radio de ¾ droit
□ B. Immobilisation du rachis.
□ C. Une radio de face bouche ouverte
□ C. Deux voies d’abord, sonde à oxygène, sonde gas-
□ D. Radio de profil
trique. □ E. Une radio de ¾ gauche
□ D. Examen somatique cranions thoraco abdominal.
406. La courbure physiologique du rachis cervical est
397. Un patient présente une fracture complexe com-
[RATT]
minutive de l2 avec un recul du mure post 50 %. quelle
est votre attitude thérapeutique ? [R 2] □ A. Une lordose
□ A. Traitement orthopédique selon le procédé de boh-
ler. 1.15
□ B. Traitement fonctionnel avec repos strict. Tumeurs osseuses
□ C. Traitement chirurgical
□ D. Coquille lombaire
□ E. Abstention thérapeutique.
398. Parmi ces rappels anatomiques du rachis, les-
2022
quelles sont justes ? [R 3] 407. Les tumeurs bénignes osseuses [R 1]
□ A. Il n’y a pas de courbures dans le plan frontal.
□ A. Se développent à partir des memes lignées cellu-
□ B. Le rachis cervical supérieur est constitué de c1 c2.
laires que les tumeurs osseuses malignes
□ B. Elles ne se transforment jamais en tumeurs ma-
2016 lignes
□ C. Elles surviennent uniquement chez l’enfant et
399. La courbure physiologique du rachis dorsal est [R l’adolescent
3] □ D. La fracture est un mode habituel de découverte
□ E. L’aspect radiologique est univoque avec image de
□ A. Une cyphose
condensation corticale
400. Dans le traitement chirurgical des fractures du ra-
408. Le sarcome d’ewing de l’os [R 1]
chis thoraco-lombaire
□ A. Se fait partiellement en préopératoire immédiat et □ A. Peut débuter par un tableau simulant une infection
sera complétée en peropératoire. osseuse aigue
□ B. La décompression se fait en réduisant les déplace- □ B. Atteint l’enfant et l’adolescent
ments. □ C. Atteint plus souvent le bassin que le genou
□ C. Elle se complète par une éventuelle laminectomie. □ D. L’image en feu d’herbe est fréquente à la radiogra-
phie
401. Dans les traumatismes vertébro-médullaire, sur les □ E. La tdm est prescrite avant l’irm
lieux de l’accident, il faut [R 1]
409. Les tumeurs bénignes osseuses sont [R 2]
□ A. Respecter l’axe tète-cou-tronc
□ B. Transport du malade en décubitus dorsal allongé □ A. Toujours ostéolytiques
□ B. Se localisent sur les diaphyses osseuses uniquement
402. Parmi les affirmations suivantes, laquelle (s) est
□ C. N’entrainent pas de fractures
(sont) correcte(s) [R 3]
□ D. N’envahissent pas habituellement les parties molles
□ A. La consolidation d’une fracture est plus rapide chez □ E. Posent parfois des problèmes de diagnostic diffé-
l’enfant que chez l’adulte rentiel avec des tumeurs malignes
395 → AB 396 → ABCD 397 → C 398 → AB 399 → A 400 → ABC 401 → AB 402 → AB 403 → A
404 → ABC 405 → ABCDE 406 → A 407 → AD 408 → ABD 409 → DE 410 → AB
2021 2017
410. Une tumeur bénigne se caractérise par [RATT] 420. Une image radiographique d’une géode métaphy-
saire entourée d’une ostéo condensation [R 2]
□ A. Les limites floues sans liseré de condensation péri-
phérique □ A. Peut évoquer une forme chronique d’ostéomyélite.
□ B. L’existence d’une réaction périostée □ B. Peut évoquer un ostéome ostéoide
421. Une image radiographique d’une géode métaphy-
saire entourée d’une ostéo condensation [R 2]
2020 □ A. Peut évoquer une forme chronique d’ostéomyélite.
□ B. Peut évoquer un ostéome ostéoide
411. Une tumeur bénigne se caractérise par [R 1]
422. Un sarcome d’ewing du fémur chez un enfant de
□ A. L’absence d’envahissement des parties molles 10 ans [R 2]
□ B. La petite taille de la lésion □ A. La radiographie montre une image de condensation
□ C. L’intégrité des corticales
osseuse
412. Une tumeur bénigne se caractérise par [RATT] 423. Une tumeur osseuse maligne chez un sujet âgé se
□ A. L’absence d’envahissement des parties molles traduit par [R 2]
□ B. La petite taille des lésions □ A. Des douleurs persistantes rebelles aux antalgiques.
□ C. L’intégrité de la corticale 424. Les signes radiologiques évocateurs d’un ostéosar-
come sont [R 2]
2019 □ A. Une condensation des parties molles.
□ B. Une image lytique à contour irrégulier.
413. Les images radiologiques évocatrices d’un ostéo- 425. Le diagnostic radiologique de la malignité tumo-
sarcome sont [R 1] rale probable est évoqué devant [RATT]
□ A. Une image en feu d’herbe. □ A. Ostéolyse large
□ B. Une condensation des parties molles. □ B. Réaction périoste
□ C. Une image lytique à contour irrégulier.
□ C. Envahissement des parties molles
□ D. Amputation d’une corticale
414. Pour un ostéosarcome du fémur chez un homme 426. Les images radiologiques évocatrices d’un ostéo-
de 50 ans [R 1] sarcome sont [R 3]
□ A. La radiographie montre une image de condensation □ A. Une image en feu d’herbe.
□ B. Une condensation des parties molles.
415. Une tumeur osseuse maligne du cartilage de crois- □ C. Une image lytique à contour irrégulier.
sance chez un enfant doit être suspectée devant [R 1]
427. Un ostéosarcome du fémur chez un homme de 50
□ A. Des douleurs persistantes rebelles aux antalgiques. ans [R 3]
□ A. La radiographie montre une image de condensation
2018
2016
416. Le testing musculaire est un examen [R 1]
□ A. Qui fait partie intégrante de l’examen clinique en 428. Les signes radiologiques d’une tumeur maligne
mpr sont [R 2]
□ B. Nécessite la connaissance de la fonction musculaire □ A. Une image lytique à contour régulier.
□ C. Qui permet d’évaluer la force musculaire □ B. Une image en feu d’herbe.
□ C. Une image lytique avec rupture de la corticale.
417. Les images radiologiques évocatrices d’un ostéo- □ D. Une condensation osseuse mal limitée.
sarcome sont [R 1] □ E. Une condensation osseuse avec présence d’un nidus.
□ A. Une image en feu d’herbe. 429. Le diagnostic radiologique de la malignité tumo-
□ B. Une condensation des parties molles. rale probable est évoqué devant [RATT]
□ C. Une image lytique à contour irrégulier. □ A. Ostéolyse large
□ B. Réaction périoste
418. Les images radiologiques évocatrices d’un ostéo-
□ C. Envahissement des parties molles
sarcome sont [R 2] □ D. Amputation d’une corticale.
□ A. Une image en feu d’herbe. 430. Les signes «évocateurs d’une tumeur osseuse ma-
□ B. Une condensation des parties molles. ligne« sont [R 2]
□ C. Une image lytique à contour irrégulier.
□ A. Une simple douleur osseuse nocturne.
419. Pour un ostéosarcome du fémur chez un homme □ B. Des douleurs climatiques.
de 50 ans [R 1] □ C. Des douleurs persistantes
□ D. Des douleurs fébriles.
□ A. La radiographie montre une image de condensation □ E. Des douleurs se type mécanique.
411 → ABC 412 → ABC 413 → ABC 414 → A 415 → A 416 → ABC 417 → ABC 418 → ABC 419 → A
420 → AB 421 → AB 422 → A 423 → A 424 → AB 425 → ABCD 426 → ABC 427 → A 428 → ABCD
429 → ABCD 430 → C
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.15. TUMEURS OSSEUSES
431. Les signes radiologiques évocateurs d’une tumeur □ A. Est une complication d’une fracture décollement
maligne sont [R 3] du cartilage de croissance du fémur distal
□ B. Est une complication de fracture diaphysaire du
□ A. Une condensation des parties molles.
□ B. Une image lytique à contour irrégulier. fémur
□ C. L’échographie permet le diagnostic positif
432. Le diagnostic radiologique de la malignité tumo- □ D. La radiographie montre une image de lyse osseuse
rale probable est évoquer devant [R 1] à contour régulier
□ A. Ostéolyse large □ E. La radiographie montre une image de condensation
□ B. Réaction périoste osseuse
□ C. Envahissement des parties molles 442. Les signes radiologiques évocateurs d’un ostéosar-
□ D. Amputation d’une corticale come sont
433. Une tumeur osseuse maligne chez un sujet agé se □ A. Une image lytique à contour régulier.
traduit par [R 3] □ B. Une condensation osseuse avec présence d’un ni-
□ A. Des douleurs souvent nocturnes. dus.
□ B. Des douleurs de type mécanique. □ C. Une condensation des parties molles.
□ C. Des douleurs fébriles de type inflammatoire. □ D. Une image lytique à contour irrégulier.
□ D. Un œdème important du segment atteint. □ E. Une condensation corticale bien imitée.
□ E. Des douleurs persistantes rebelles aux antalgiques 443. Un sarcome d’ewing du fémur chez un enfant de
434. Le diagnostic radiologique de la bénignité tumo- 10 ans
rale probable est évoqué devant □ A. La radiographie montre une image de condensation
□ A. Image bien cernée osseuse
435. Un patient porteur d’une tumeur osseuse peut 444. Les signes radiologiques évocateurs d’un ostéosar-
consulter pour trois tableaux cliniques come sont
□ A. Tableau clinique où domine la douleur □ A. Une condensation des parties molles.
□ B. Tableau clinique où domine la tuméfaction □ B. Une image lytique à contour irrégulier.
□ C. Tableau clinique où domine la fracture 445. Les images radiologiques évocatrices d’un ostéo-
□ D. Tableau clinique où domine la fièvre sarcome sont
436. Parmi les tumeurs suivantes, quelle est celle qui □ A. Une image en feu d’herbe.
est maligne et productrice de tissus osseux □ B. Une condensation des parties molles.
□ A. Ostéosarcome. □ C. Une image lytique à contour irrégulier.
431 → AB 432 → ABCD 433 → E 434 → A 435 → ABC 436 → A 437 → A 438 → ABCD 439 → ACD
440 → ACD 441 → E 442 → CD 443 → A 444 → AB 445 → ABC
Clinique
33
CHAPITRE 2. CLINIQUE
majeure
Rhumatologie 5ÈME
35
CHAPITRE 1
Théorie
1.1
□ A. 1 39 hypoesthésie se prolonge à la face dorsale du
Lombosciatique gros orteil
□ B. Le réflexe achilléen peut être diminue ou aboli.
□ C. Le malade ne peut marcher sur les talons
□ D. L existe toujours un pincement radiologique du
2022 disque l5-s1
□ E. L39 ;électromyogramme est constamment perturbe
1. Le patient est traité en milieu hospitalier pour toutes
les pathologies rhumatologiques suivantes à l’exception
d’une seule, laquelle ? [R 1] 2021
□ A. Lombosciatique vertébrale commune hyperalgique
□ B. Lombosciatique commune l5-s1 droite avec 6. La hernie disco lombaire, l’étage l4-l5, peut être à
troubles sphinctériens l’origine de toutes les manifestations suivantes sauf une,
□ C. Une maladie de paget douloureuse avec vs calme laquelle [R 1]
□ D. Une lombosciatique commune non déficitaire □ A. Douleur lancinante du genou
□ E. Une polyarthrite aigue □ B. Douleur de la face externe de la jambe
2. Les pathologies rhumatologiques suivantes, à l’excep- □ C. Douleur du bord externe du pied
tion d’une, peuvent avoir un début juvénile entre 9 et 16 □ D. Fourmillements de l’avant pied
□ E. Déficit neurologique des releveurs du pied
ans, laquelle ? [R 1]
□ A. La polyarthrite rhumatoïde 7. La prise en charge est médicale pour les situations
□ B. La spondylarthrite ankylosante suivantes sauf une, laquelle [R 1]
□ C. L’ostéoporose idiopathique □ A. Lombosciatique commune non déficitaire
□ D. La formation du tissu ostéoide □ B. Lombosciatique commune hyperalgique
□ E. Le conflit radiculaire disco-vertébral □ C. Lombosciatique commune s1
3. Parmi les mesures suivantes, laquelle est indiquée en □ D. Lombosciatalgies à bascule
priorité au cours de la prise en charge du conflit disco- □ E. Lombalgies inflammatoires
vertébral l5-l1 non déficitaire : [R 1] 8. Le signe de lasègue positive est recherche pour confir-
□ A. Le repos strict au lit mer [R 1]
□ B. Substitution vitamino-calcique □ A. Une sciatique vertébrale
□ C. La marche □ B. Une raideur lombaire
□ D. Intervention chirurgicale sur le rachis □ C. Une cyphose dorsale
□ E. Injections intramusculaire de corticoïdes □ D. Une dorsalgie inflammatoire
4. Tous ces propositions suivantes à propos là lombos- □ E. L’absence d’anomalie rachidienne
ciatique commune non compliques sont justes sauf une 9. L’exploration d’une lombosciatique par conflit disco
laquelle [R 3] vertébral demande tous les examens suivants sauf un,
□ A. Le mécanisme de la douleur est double mécanique lequel [R 1]
et chimique □ A. Irm
□ B. Généralement l’examen clinique permet à lut seul □ B. Tdm
de poser le diagnostic □ C. Emg
□ C. Absence de fièvre. □ D. Enzymes musculaires
□ D. La radiographie standard est réalisable à la 2eme □ E. Biopsie osseuse
consultation à 15 jours d’évolution 10. Une lombosciatalgie droite aigue, chez un homme
□ E. La marche sur les talons explore la sciatique l5. de 60 ans, ayant régressé spontanément après un repos
5. Dans une lombosciatique discale de topographie s1 au lit de 10 jours, est une des propositions suivantes [R
[R 3] 2]
1 →D 2 →E 3 →A 4 →D 5 →B 6 →A 7 →B 8 →A 9 →D 10 → C
37
CHAPITRE 1. THÉORIE 1.1. LOMBOSCIATIQUE
□ C. Une radiculalgie déclenchée à la pression para ver- □ B. Face postéro externe de la cuisse
tébrale au niveau l4-l5 ou l5-s1 □ C. Face postérieure du mollet
□ D. Une radiculalgie déclenchée à l’élévation progres- □ D. Tendon d’achille
□ E. Se termine au gros orteil
sive du membre inférieur , patient en décubitus dorsal
□ E. Des points douloureux déclenchés à la pression sur 32. Les signes suivants sont très évocateurs de lombos-
le trajet du nerf sciatique . ciatiques [RATT]
25. Le traitement chirurgical est indiqué devant un □ A. Le signe de la sonnette positif
□ B. Peut s’accompagner de paresthésies
conflit discoradiculaire devant [R 3]
□ C. Peut s’accompagner de troubles génitosphincté-
□ A. L’aggravation d’une sciatique parésiante riens
□ B. La présence d’un lasègue très serré à l’examen cli- □ D. Impulsivité de la douleur à la toux ou à l’éternue-
nique ment
□ C. Un syndrome de la queue de cheval □ E. Horaire inflammatoire de la douleur
□ D. La persistance des radiculalgies malgré une nucléo- 33. Quel examen complémentaire demandez-vous pour
tomie percutanée le diagnostic d’une lombosciatique commune chez un
□ E. La présence d’une lyse isthmique à la radiographie jeune adulte [RATT]
lombaire de profil
□ A. Une irm médullaire
26. La cruralgie [R 3] □ B. Une radiographie du bassin de face
□ C. Une tdm lombaire
□ A. Est due un conflit discoarticulaire au niveau l2-l3
□ D. Un bilan inflammatoire biologique
□ B. Est suspectée devant des paresthésies de la face □ E. Aucun examen complémentaire n’est nécessaire
antéro-externe de la cuisse
34. Une lombosciatique l5 déficitaire se manifeste par
□ C. On retrouve une abolition du réflexe osteotendi-
[RATT]
neux rotulien
□ D. S’accompagne de troubles sphinctériens avec anes- □ A. Un steppage
thésie périnéale □ B. Un talonnage
□ C. Un déficit de la dorsiflexion du pied
□ E. Une amyotrophie quadricipitale peut s’installer
□ D. Un déficit de la flexion plantaire
□ E. Une abolition du réflexe achiléen
2018
2017
27. Le traitement de la lombosciatique repose sur
[RATT] 35. Les signes suivants sont très évocateurs de lombos-
□ A. Repos relatif ciatique [R 1]
□ B. Antalgiques □ A. Le signe de la sonnette positif
□ C. Ains □ B. Peut s’accompagner de paresthésies
□ D. Manipulation vertébrale □ C. Peut s’accompagner de troubles génitosphincté-
□ E. Disectomie riens
28. Une lombosciatique commune l5 chez un adulte □ D. Impulsivité de la douleur à la toux ou l’éternue-
jeune de 30 ans peut se manifester par [R 3] ment
□ E. Horaire inflammatoire de la douleur
□ A. Des radiculalgies se terminant aux gros orteils
36. Quel bilan biologique et d’imagerie réalisez-vous
□ B. Des paresthésies achiliennes
devant une lombosciatique l5 gauche évoluant depuis 5
□ C. Des troubles génito sphinctériens
□ D. Un signe de la sonnette positif jours chez un homme de 27 ans sans antécédent particu-
□ E. Une faiblesse du jambier antérieur lier ; [R 2]
29. Une cruralgie se manifeste par [R 3] □ A. Radiographie rachidienne lombaire de face
□ B. Irm rachidienne
□ A. Des radiculalgies jusqu’à la face interne de la jambe □ C. Vs. nfs,crp
□ B. Des paresthésies en raquette □ D. Radiographie du bassin de face
□ C. Une amyotrophie quadricipitale □ E. Aucune des propositions citée
□ D. Une abolition du réflexe rotulien 37. Que recherchea vous à i’examen clinique chez ce
□ E. Un signe de lasègue positif patient [R 2]
30. Une capsulite rétractile se caractérise par [R 3] □ A. Impossibilité de marcher sur les talons
□ A. Une limitation active de l’abduction □ B. Troubles sphinctériens
□ B. Une limitation passive de la rotation interne □ C. Signe de lasegue direct et croisé
□ D. Déficit du tibial postérieur
□ C. Une épaule douloureuse chez une femme diabétique
□ E. Abolition du réflexe rotulien
□ D. Une sensation de butée aux mouvements de
l’épaule 38. Quels sont les déficits moteurs que vous allez plus
□ E. Un pincement articulaire avec ascension de la tete spécifiquement rechercher dans une lombosciatique l5 [R
2]
31. La lombosciatique l5 est une radiculalgie qui suit le
trajet suivant [RATT] □ A. Tibial antérieur
□ B. Tibial postérieur
□ A. Face postérieure de la fesse □ C. Psoas iliaque
39 → BCE 40 → BD 41 → C 42 → BD 43 → D 44 → C 45 → A 46 → B 47 → B 48 → E 49 → B
50 → B 51 → A 52 → C
1.2
□ A. La déminéralisation
Polyarthrite rhumatoïde □ B. La carpite fusionnante
□ C. Pincement de l’interligne articulaire radiocarpien
□ D. Un pincement de l’interligne articulaire des genoux
□ E. Syndesmophytose étagée
2022 60. Au cours de la polyarthrite rhumatoïde, il y a une
53. Au cours de la polyarthrite rhumatoïde en phase seule caractéristique immunobiologique juste parmi les
d’état ; l’examen clinique de la main peut montrer les suivantes, laquelle [R 3]
signes caractéristiques suivants sauf un, lequel ? [R 1] □ A. Présence d’anticorps antinucléaires avec un titre
élevé
□ A. Aspect de doigt en maillet
□ B. Présence de facteurs rhumatoïdes avec un titre
□ B. Aspect de doigt en boutonnière
□ C. Pouce en 2 élevé
□ C. Présence des anti-ccp avec un titre élevé le plus
□ D. Pouce adductus
□ E. Aspect de main tombante souvent
□ D. Présence des antidna natifs avec un titre élevé
54. Le traitement de fond de référence et de première
61. La raideur articulaire des mains est très significa-
intention au cours de la polyarthrite rhumatoïde est : [R
tive, au cours d’une polyarthrite chronique des mains,
1]
d’une seule des maladies suivantes, laquelle ? [R 3]
□ A. Ains
□ A. Une arthrose digitale
□ B. Prednisone 0.15 mg/kg/jour □ B. Une polyarthrite rhumatoïde
□ C. Méthotrexate □ C. Une ostéomalacie
□ D. Anti tnf alpha □ D. Une gonarthrose
□ E. Anti il6 □ E. Une goutte
55. Dans le liquide de ponction d’une arthrite rhuma- 62. Le nodule rhumatoïde est un : [R 3]
toïde, on trouve par rapport à celui d’une articulation
□ A. Kyste du creux poplité
normale, la perturbation suivante : [R 1] □ B. Nodule pouvant siéger au niveau de la face d’ex-
□ A. Augmentation du taux des protides totaux tension du coude
□ B. Augmentation du taux du complément □ C. Nodule strictement parenchymateux
□ C. Diminution du nombre des leucocytes □ D. Nodule pleural
□ D. Présence de cellules géantes □ E. Signe radiologique de la polyarthrite rhumatoïde
□ E. Présence de microcristaux de mono-urate de so-
dium
2021
56. La lésion histologique suivante est pathognomo-
nique de maladie rhumatologique. est-ce vrai pour toutes 63. Rhumatismale chez la femme au cours d’une des
les lésions ? laquelle ne l’est pas [R 1] maladies suivantes, laquelle ? [R 2]
□ A. Raréfaction osseuse et altération de la microarchi- □ A. Athrite rhumatoïde
tecture osseuse □ B. Spondylarthrite ankylosante
□ B. Présence de tissu ostéoide □ C. Ostéoporose sénile
□ C. Panartérite focale et segmentaire avec infiltrats in- □ D. Arthrite septique à streptocoque
□ E. Lombosciatique
flammatoires
□ D. Plasmocytose médullaires pathologique 64. Le traitement de fond et de première épisode de la
□ E. Synovite inflammatoire subaigüe polyarthrite rhumatoïde est le [R 2]
57. La polyarthrite rhumatoïde a une seule expression □ A. Les anti-tnf a
clinique juste parmi toutes les propositions suivantes ; □ B. Le méthotrexate
□ C. Les immunomodulateurs
laquelle [R 3]
□ D. Les corticoïdes
□ A. Maladie dégénérative □ E. Les ains
□ B. Altère les cartilages articulaires en premier 65. Le méthotrexate est le traitement de première ligne
□ C. Respecte le métabolisme osseux
dans la polyarthrite rhumatoide.il est [R 3]
□ D. Altère anarchiquement les articulations des mains
□ E. Peut faire tarir les secrétions lacrymales □ A. Il est aussi prescrit pour tous les autres rhuma-
58. Le cartilage articulaire est sérieusement affecté au
tismes
□ B. Il est conseillé au cours de l’arthrite septique
cours des maladies suivantes, sauf une, laquelle [R 3] □ C. Il est utilisé dans l’ostéomalacie
□ A. Arthrose diffuse □ D. Inefficace partout
□ B. Polyarthrite rhumatoïde □ E. D’une grande efficacité dans la polyarthrite rhuma-
□ C. Spondylarthrite ankylosante toide
□ D. Ostéomalacie carentielle 66. La raideur matinale est un signe clinique observé
□ E. Arthrite septique dans la polyarthrite rhumatoide.il est [R 3]
59. Les signes radiologiques suivants s’observent au □ A. Habituel
cours de la polyarthrite rhumatoïde. un seul signe est □ B. Constant
faux, lequel [R 3] □ C. Critère diagnostique
53 → E 54 → C 55 → A 56 → E 57 → E 58 → D 59 → E 60 → C 61 → B 62 → B 63 → A 64 → E
65 → E 66 → C
97 → ABCDE 98 → ABCDE 99 → ABCD 100 → ACDE 101 → D 102 → ABCE 103 → ABE 104 → ABDE
105 → ACDE 106 → ABD 107 → ACDE 108 → ABCD 109 → ABCDE 110 → ABDE 111 → ABCD, ABCDE
□ C. Des ponts d’ossification interarticulaires 117. Quel(s) traitement(s) préconisez-vous chez une
□ D. Pincement totale de l’interligne articulaire femme de 45 ans , ayant une polyarthrite rhumatoïde
□ E. Carpite fusionnante debutante avec un das 28 modéré [R 1]
111. Das28 comprend [R 3] □ A. Une corticothérapie petite dose pendant 3 mois
□ A. Le nombre d’articulations douloureuses □ B. Un anti-cox2 pour la douleur
□ B. Le nombre de synovites □ C. Le méthotrexate en première intention
□ C. L’échelle visuelle analogique selon le malade □ D. Une biothérapie en première intention
□ E. Des orthèses de repos
□ D. La crp et la vs
□ E. L’activité de la polyarthrite rhumatoïde est modé- 118. Quelle(s) est(sont) la(les) déformation(s) obser-
rés devant un das 28 a 4,5 vée(s) dans une polyarthrite rhumatoïde établie [R 1]
112. La méthotrexate [R 3] □ A. Déformation en col de cygne qui consiste en une
hyper extension de ipp et flexion de l’ipd
□ A. Est le traitement de référence de la polyarthrite
□ B. Déformation en boutonnière qui consiste à une
rhumatoïde
flexion de l’ipd
□ B. Est un traitement de fond, donné en une prise
□ C. Un double gonflement dorsal du poignet et mcp
unique quotidienne le matin avec amyotrophie des interosseux
□ C. Peut entrainer une pneumopathie immuno aller- □ D. Un hallux valgus
gique redoutable □ E. Des orteils en griffe
□ D. Nécessite une contraception efficace
119. La polyarthrite rhumatoïde est due à [R 2]
□ E. Les transaminases, la nfs et le bilan rénale doivent
être contrôlés des son introduction □ A. La production d’auto-anticorps type anti-ccp
□ B. La production de cytokines pro-inflammatoires
113. La biotherapie est indiqué dans la polyarthrite rhu-
type tnf a
matoïde [R 3] □ C. La production et dépôt de microcristaux sur la
□ A. Si échec du méthotrexate membrane synoviale des articulations entrainant des
□ B. Est pourvoyeuse d’infection érosions
□ C. L’anti-tnf alpha en fait partie □ D. La prolifération des synoviocytes en un pannus sy-
□ D. L’anti-il6 a montré son efficacité novial
□ E. Nécessite l’association systématique de corticothé- □ E. L’altération de la fonction des chondrocytes et des
rapie à petite dose ostéoclastes responsable de destruction ostéoarticu-
114. La polyarthrite rhumatoïde [RATT] lafre
□ A. Est un rhumatisme inflammatoire chronique rare- 120. Un squeeze test [R 2]
ment destructeur □ A. Correspond la pression de la rotule sur les condyles
□ B. Est à prédominance féminine fémoraux déclenchant un retour douloureux
□ C. Touche l’adulte jeune □ B. Correspond la pression latérale des métatarsopha-
□ D. Résulte de l’interaction de facteurs génétiques et langiennes déclenchant une douleur
d’environnement □ C. Correspond pression des métacarpophalangiennes
□ E. Le pronostic dépend de la précocité de la mise en déclenchant une douleur
route d’un traitement de fond adapté □ D. Est positif en absence de douleur provoquée
□ E. Évoque présence de synovite au niveau des articu-
115. Dans la polyarthrite rhumatoïde débutante
lations testées
queue(s) est (sont) la ou les affirmation(s) juste(s) ? [R
1] 121. La polyarthrite rhumatoïde débutante est poly-
morphe, elle peut d’exprimer par [R 2]
□ A. Le diagnostic doit être le plus précoce possible car
le traitement de fond est plus efficace au début □ A. Une acropolyarthrite bilatérale et symétrique
□ B. Des poly arthralgies inflammatoires
□ B. Elle est due une interaction de facteurs génétiques
□ C. Des iombofessalgies inflammatoires
et environnementaux tells que tabac □ D. Une mono arthrite chronique
□ C. La lésion de début est une entéropathie inflamma- □ E. Un syndrome du canal carpien
toire initiale
122. Une déformation en "col de cygne" au cours de la
□ D. Elle se manifeste au début par des cervicalgies in-
polyarthrite rhumatoïde est décrite comme suit [R 2]
flammatoire associée å une polyarthrite chronique
□ E. Le méthotrexate est le traitement de fond de réfé- □ A. Une flexion de i’ipp et hyperextension de i’ lpd
rence □ B. Une flexion permanente de i’ lpd
□ C. Une déviation cubitale du doigt
116. La polyarthrite rhumatoïde débutante peut se ma- □ D. Une déviation radiale du doigt
nifester par [R 1] □ E. Une hyper extension de i’lpp et flexion de i’lpd
□ A. Une polyarthrite chronique et symétrique 123. La polyarthrite rhumatoïde débutante se manifeste
□ B. Un aspect en « fuseau » des articulations inter par [RATT]
phalangiennes distales □ A. Une polyarthrite fixe bilatérale et symétrique
□ C. Une déminéralisation épiphysaire -en barde- à la □ B. Une atteinte d’emblée des hanches
radiographie des mains de face □ C. Un aspect en fuseau des doigts
□ D. Une érosion précoce de la 5ème métatarse □ D. Un squeeze test positif
□ E. Augmentation des acpa et du facteur rhumatoïde □ E. Un choc rotulien positif
112 → ACDE 113 → ABCD 114 → BCDE 115 → ABE 116 → ACDE 117 → ABCE 118 → ACDE
119 → ABDE 120 → BCE 121 → ABDE 122 → E 123 → ACDE
124 → BCE 125 → ABCDE 126 → ABE 127 → ABCE 128 → ACD 129 → ABE 130 → BCD 131 → ABCE
132 → ABDE 133 → ABCE 134 → ABCDE 135 → ABC 136 → ABCDE 137 → ABCE 138 → ACD 139 → CD
□ C. Une amyotrophie des muscles interosseux 146. Dans une polyarthrite rhumatoïde établie , quelles
□ D. Un gonflement des mcp sont les déformations que vous pouvez retrouver ? [R 3]
□ E. Un gonflement des ipp
□ A. Déviation des doigts en coup de vent radial
139. Les manifestations extra-articulaires qu’on peut □ B. Déformation du pouce en z
observer dans la pr [RATT] □ C. Déformation des doigts en maillet
□ D. Un hallux valgus du gros orteil
□ A. Une uvéite antérieure aigue □ E. Une résorption des houppes phalangiennes
□ B. Une colite chronique
□ C. Des nodules rhumatoïdes 147. Une déformation du doigt en « col de cygne «
□ D. Une vascularite consiste à [R 3]
□ E. Un érythème malaire □ A. Une déviation du doigt vers le bord cubital
140. Quelles sont les signes radiologiques que vous re- □ B. Une flexion permanente de l’ipd , due à la rupture
trouvez sur les clichés d’une polyarthrite rhumatoïde de l’extenseur sur la base de la 3ème phalange
□ C. Une flexion du doigt de l’ipp puis hyperextension
établie [RATT]
de l4ipd
□ A. Des géodes dans les os du carpe □ D. Une hyperextension de ipp et flexion de l’ipd
□ B. Des érosions sous-chondrale en encoche □ E. Un double gonflement de la mcp et ipp associé à
□ C. Apposition périostée de la corticale des phalanges une amyotrophie des muscles
□ D. Pincement électif de l’interligne articulaire
□ E. Carpite fusionnante 148. La polyarthrite rhumatoïde est [R 3]
□ A. Un rhumatisme inflammatoire chronique
141. Quelles sont les traitements de la pr : (ratt 2018)
□ B. Un rhumatisme dégénératif chronique
[RATT] □ C. Responsable de déformations articulaires
□ A. Mésalazine □ D. Responsable d’une ankylose rachidienne
□ B. Sulfalazine □ E. Responsable d’une destruction articulaire
□ C. Méthotrexate 149. La polyarthrite rhumatoïde est une maladie poly-
□ D. Léflunomide génique , incluant [R 3]
□ E. Méthylprednisolone
□ A. Hla dr b1
142. Le traitement biologique dans la polyarthrite rhu- □ B. Ptpn22
matoïde est indiqué [RATT] □ C. Hla b27
□ D. Stat4
□ A. En première intention
□ E. Hla b51
□ B. En cas d’échec d’un traitement de fond classique
□ C. Si la das 28>3,2 malgré le méthotrexate à
25mg/semaine depuis 6 mois 2017
□ D. Si présence d’érosion radiographique initialement
absentes sur les clichés de contrôle 150. Le bilan radiologique devant une polyarthrite rhu-
□ E. Si désire de grossesse matoïde destructrice peut montrer [RATT]
143. La polyarthrite rhumatoïde est une maladie poly □ A. Des géodes dans les os du carpe
factorielle , incluant , [R 3] □ B. Des érosions périariculaires sous-chondrale
□ C. Des ponts d’ossification inter-articulaires
□ A. Le tabac
□ D. Pincement totale de l’interligne articulaire
□ B. La maladie de crohn
□ E. Carpite fusionnante
□ C. La gingivite
□ D. Le psoriasis 151. Les traitements de fond de la polyarthrite rhuma-
□ E. L’hypothyroïdie toïde sont ; [RATT]
144. La synovite rhumatoïde est caractérisée par [R 3] □ A. Le méthotrexate
□ B. Le léflunomide (arava)
□ Une hypertrophie des franges synoviales
A. □ C. La colchicine
□ Une hyperplasie épidermique avec hyperkératose
B. □ D. L’allopurinol (zyloric)
□ Une néo vascularisation
C. □ E. Les corticoides
□ D.Une infiltration lymphoplasmocytaire péri vascu-
152. Le méthotrexate est [RATT]
laire
□ E. Des micro-abcès avec nécrose caséeuse □ A. Le traitement de référence de la polyarthrite rhu-
145. Quelles sont les confirmations justes concernant la
matoïde
□ B. Nécessite un suivi biologique
pr ? [R 3] □ C. Doit être prescrit précocement des le diagnostic
□ A. Le diagnostic de la pr doit être le plus précoce □ D. Sa prise est hebdomadaire
possible □ E. Peut entrainer une hta
□ B. Le traitement de la pr est plus efficace lorsqu’il est 153. Dans la polyarthrite rhumatoïde établie , vous pou-
instauré au début de la maladie vez retrouver les déformations suivantes [R 3]
□ C. Sous traitement de fond, les déformations articu- □ A. Doigts en col de cygne
laires de la pr sont réversibles □ B. Baguettes de tambour
□ D. La polyarthrite est souvent fixe, bilatérale et sy- □ C. Doigts en maillet
métrique □ D. Orteil en saucisse
□ E. La polyarthrite est plutôt fugace et asymétrique □ E. Coup de vent radial
140 → ABE 141 → BCD 142 → BCD 143 → AC 144 → ACD 145 → ABD 146 → BCD 147 → D 148 → ACE
149 → ABD 150 → ABDE 151 → AB 152 → ABCD 153 → AC
154 → ABCD 155 → ABCD 156 → ABCE 157 → E 158 → B 159 → B 160 → ABCE 161 → BCE
162 → ACD 163 → ADE 164 → BD 165 → ACD 166 → ABE 167 → ABCE 168 → ABCD 169 → ACE
170 → ABCDE 171 → D 172 → A 173 → A 174 → E 175 → C 176 → D 177 → C 178 → B 179 → C
Clinique
51
CHAPITRE 2. CLINIQUE
CC2-7. Les biphosphonates sont des médicaments de la CC3-4. Il y a une ostéoporose post-ménopausique mo-
famille des dérée sur le bilan radiologique de la patiente, vous re-
commandez
□ A. Antibiotiques □ A. Une supplémentation vitamino -calcique
□ B. Ains □ B. Une réduction des apports calciques
□ C. Anti-résorbeurs osseux □ C. Une immobilisation
□ D. Anabolisants osseux □ D. Un repos strict au lit
□ E. Antagonistes des récepteurs des œstrogènes □ E. Une corticithérapie
CC2-8. Le dénosumab est un médicament CC3-5. Les biphosphonates sont des médicaments de la
famille des
□ A. Anticorps monoclonal humain inhibiteur de l’os-
□ A. Ains
téoblaste □ B. Antibiotiques
□ B. Anticorps monoclonal humain inhibiteur de l’os- □ C. Anti- résorbeurs osseux
téoclaste □ D. Anabolisants osseux
□ C. Traitement de l’ostéomalacie phosphopénique □ E. Antagonistes des récepteurs des œstrogènes
□ D. Traitement de l’ostéomalacie calcipénique CC3-6. Une déminéralisation osseuse avec plusieurs tas-
□ E. Traitement de l’arthrose sements vertébraux peut-être due à
CC2-9. Le teriparatide est un médicament qui peut □ A. Un traitement par les corticoïdes
□ B. Acromégalie
□ A. Améliorer la synthèse protéique □ C. Une maladie hyperostosante
□ B. Améliorer la microarchitecture osseuse □ D. Une chondrocalcinose
□ C. Soigner la polyarthrite rhumatoïde □ E. Une scoliose rachidienne
□ D. Soulager une lombosciatique commune CC3-7. La mise en décharge est une mesure thérapeu-
□ E. Minéraliser un tissu ostéoïde tique indispensable au cours de
CC2-10. Le raloxifène est un médicament qui diminue □ A. L’arthrite septique
le □ B. L’arthrite rhumatoïde
□ C. L’arthrite microcristalline
□ A. Le risque de développer une thyroïdite □ D. L’ostéoporose
□ B. Le risque de faire une infection nosocomiale □ E. La maladie de paget
□ C. Le risque de faire une fracture ostéoporotique CC3-8. La ponction articulaire est un acte médical qui
□ D. Le risque de faire la covid-19 doit satisfaire une des conditions suivantes
□ E. Le risque de faire une uvéite
□ A. L’asepsie rigoureuse
CC4-1 → C CC4-2 → B CC4-3 → ABCDE CC4-4 → D CC4-5 → A CC4-6 → BDE CC4-7 → ACD
CC4-8 → ABD CC4-9 → ABCD CC4-10 → ABCDE, BCDE CC5-1 → ADE CC5-2 → ABD
CC5-3. La polyarthrite rhumatoïde est une maladie po- Cas Clinique 6 [2020 R 1]
lyfactorielle, incluant
Mr F, 30ans, instituteur, souffre depuis 15 jours de dou-
□ A. Le tabac leurs lombaires, irradiant vers la face postérieure de la cuisse
□ B. La maladie de crohn
□ C. La gingivite
gauche du genou et décrit des sensations de décharge Élec-
□ D. Le psoriasis trique des deux petits orteils. A l’examen vous objectivez
□ E. L’uvéite une attitude antalgique lombaire. L’inflexion latérale droite
CC5-4. Votre bilan biologique comprend est très douloureuse, il existe un Laségue à 40°, le réflexe
achilléen gauche est nettement diminué. L’examen de la
□ A. Vs, crp, nfs
□ B. Facteur rhumatoide
hanche est normal.
□ C. Acpa
□ D. Facteurs anti-nucléaires CC6-1. Quel diagnostic proposez-vous ?
□ E. Calcémie, pal □ A. Une spondylarthrite axiale débutante
CC5-5. Votre bilan radioiogique comprend □ B. Une sciatalgie l5 gauche
□ A. Une radiographie des poignets et des mains de face □ C. Une lombosciatique s1 gauche
□ B. Une radiogrphie des avants-pieds de face □ D. Une coxarthrose gauche débutante
□ C. Une radiographie des pieds (3/4) □ E. Un lumbago
□ D. Une radiographie du bassin de face CC6-2. Vous recherchez à l’interrogatoire pour étayer
□ E. Une radiographie du thorax de face
votre diagnostic
CC5-6. Queis sont les signes radiologiques que vous re-
□ A. L’horaire inflammatoire des lombosciatalgies
cherchez ?
□ B. Le caractère impulsif de la sciatalgie à la défécation
□ A. Pincement articulaire □ C. La présence de troubles génitosphinctériens
□ B. Erosions précoces des interphalangiennes distales □ D. L’absence de fièvre
□ C. Erosion précoce de la tête de la 5ème métatarsienne □ E. Les circonstances de survenue
□ D. Déminéralisation épiphysaire en "bande"
□ E. Condensation sous-chondrale CC6-3. Les manœuvres des sacroiliaques consistent à
CC5-7. Le das 28 comprend □ A. Pression directe en plein fesse
□ B. Manœuvre de hirtz
□ A. Le nombre d’articulations douloureuses
□ C. L’écartement/ rapprochement
□ B. Le nombre d’articulations gonflées
□ D. Manouvre de mennel
□ C. Eva de l’activité estimée par la patiente
□ D. Eva de l’activité estimée par le médecin □ E. Une douleur provoquée en plein fesse
□ E. Vs ou crp CC6-4. En quoi consiste le signe de lasègue ?
CC5-8. Vous décidez de prescrire 5 mg de prednisone □ A. Déclenchement de la radiculalgie à la pression d’un
et 20mg de méthotrexate, comment prescrivez-vous ce point lombaire
dernier ? □ B. Points douloureux à la pression sur le trajet du nerf
□ En prise journalière
A. irrité
□ En association avec l’acide folique
B. □ C. Déclenchement de la radiculalgie à l’élévation pro-
□ En association avec le calcium et la vitamine d
C. gressive du membre inférieur, genou étendu
□ Avec contrôle des transaminases et de la formule
D. □ D. Inflexion latérale opposée déclenche la radiculalgie
sanguine □ E. Limitation à l’antéflexion du rachis
□ E. Une contraception efficace est nécéssaire
CC6-5. La détérioration du div peut être favorisée par
CC5-9. Malgré la prise du méthotrexate à dose suf-
□ A. Une anhélie
fisante pendant 8 mois, mme d revient vous voir. vous
□ B. Des microtraumatismes
retrouvez une arthrite de la 2 ème, 3 ème mcp droites, le □ C. Un rétrolisthésis
poignet gauche, i’eva= 70/100, la vs= 80mm h1. devant □ D. Une maladie de scheuermann
un das 28 élevé, vous décidez de prescrire une biothé- □ E. Une hyperlordose
rapie, quel bilan pré thérapeutique initial demanderez-
CC6-6. Quelle(s) radiographie(s) standard(s)
vous ?
demandez-vous chez mr f. ?
□ A. Radiographie du thorax de face
□ B. Sérologie de l’hépatite b, c □ A. Radiographie du bassin de face
□ C. Dosage du quantiféron □ B. Radiographie du rachis dorsolombaire de profil
□ D. Vaccination anti-pneumococcique □ C. Radiographie de schuss de face
□ E. Vaccination anti-grippal □ D. Faux profil de lequesne droit et gauche
□ E. Aucune radiographie n’est nécessaire
CC5-10. Quelle est ou quelle sont les biothérapies que
vous pouvez proposer à mme d ? CC6-7. Une lombosciatique paralysante l5 se manifeste
par
□ A. Denosumab
□ B. Tocilizumab □ A. Marche sur les talons est difficile
□ C. Anti tnf alpha □ B. Marche sur la pointe difficile
□ D. Cyclophosphamide □ C. Un pied tombant par paralysie des muscles rele-
□ E. Rituximab veurs du pied
CC5-3 → AC CC5-4 → ABCD CC5-5 → ABCDE CC5-6 → ACD CC5-7 → ABCE CC5-8 → BDE
CC5-9 → ABCDE CC5-10 → ABD CC6-1 → C CC6-2 → BCDE CC6-3 → ACDE CC6-4 → C CC6-5 → BCDE
CC6-6 → E CC6-7 → AC
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CHAPITRE 2. CLINIQUE
CC6-8 → BDE CC6-9 → BCE CC6-10 → ACD CC7-1 → CE CC7-2 → E CC7-3 → ADE CC7-4 → C
CC7-5 → C CC7-6 → D CC7-7 → C CC7-8 → ABCE CC7-9 → AD CC7-10 → BCDE
CC8-1 → AB CC8-2 → CE CC8-3 → ABC CC8-4 → ADE CC8-5 → ABCD CC8-6 → ABCE CC8-7 → ACD
CC8-8 → ABCE CC8-9 → BDE CC8-10 → ABCD CC9-1 → CE CC9-2 → BCD CC9-3 → ADE CC9-4 → ABCD
CC9-5 → ABCE CC9-6 → CD CC9-7 → ABCE CC9-8 → BDE CC9-9 → ACD CC9-10 → ABCD CC10-1 → D
CC10-2 → ACE CC10-3 → ABCDE CC10-4 → BCDE CC10-5 → ACDE CC10-6 → ACE CC10-7 → BDE
CC10-8 → E
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CHAPITRE 2. CLINIQUE
□ B. Radiographies du rachis lombaire face et profil + CC11-4. Que recherchez chez mr r à l’interrogatoire
vs pour étayer le diagnostic ?
□ C. Tdm lombaire + vs
□ D. Irm lombaire + vs en □ A. L’horaire mécanique de la douleur
□ E. Aucun examen complémentaire n’est nécessaire □ B. Les antécédents de lumbago
□ C. Le caractère impulsif de la douleur
CC10-9. En quoi consiste l’eva ? □ D. La présence de paresthésies type fourmillement
□ A. Echelle visuelle aléatoire de la douleur aigue ou □ E. Les troubles génitosphinctériens
chronique CC11-5. Vous complétez votre examen clinique en ef-
□ B. Permet une auto-évaluation de l’intensité de la
fectuant
douleur par le patient
□ C. Permet le suivi après traitement □ A. Le signe de neer
□ D. Eva à 70/100 est considéré comme douleur légère □ B. Le signe de lasègue
□ E. Eva a 70/100 est considérée comme douleur intense □ C. Le signe de la sonnette
CC10-10. Que préconisez-vous chez votre patient ? □ D. La marche sur les pointes et les talons
□ E. L’examen neurologique
□ A. Un repos relatifs de 5 jours
□ B. Un antalgique palier 1 type paracétamol à raison CC11-6. En cas d’atteinte neurologique de votre pa-
d’1g toutes les 2 heures tient, que pouvez-vous retrouver ?
□ C. Un antalgique palier 2 type xamadol *à raison d’un
□ A. Hypoesthésie du dernier orteil
cp toutes les 4 heures
□ B. Hypoesthésie du gros orteil
□ D. Un anti-inflammatoire non stéroïdien type diclo-
□ C. Faiblesse du fléchisseur des orteils
fénac à 150 mg/j pendant 7j puis relai par une dose □ D. Faiblesse de l’extenseur des orteils
d’entretient □ E. Réflexe achilléen diminué
□ E. Une discectomie chirurgicale
CC11-7. En quoi consiste le signe de lasègue ?
□ A. Reproduction de la douleur radiculaire à la pres-
Cas Clinique 11 [2018 R 2]
sion paravertébrale en l4-l5 et l5-s1
Mr R, 30 ans, enseignant, consulte pour une douleur □ B. Reproduction de la douleur radiculaire à l’élévation
lombaire qui descend le long de la face postéro externe de la du membre inférieur en extension
cuisse droite, de la jambe droite pour terminer en bracelet □ C. Reproduction de la douleur radiculaire à la pres-
au niveau de la cheville droite. Mr R dit que sa symptoma- sion du trajet du nerf atteint
tologie est apparue il y a 3 jours suite à un faux geste. Il □ D. Patient étant en décubitus dorsal
estime son EVA à 80/100 au moindre mouvement malgré □ E. Permet le suivi après traitement
la prise de paracétamol à raison de 4g/j pendant 3 jours. CC11-8. Quel(s) examen(s) complémentaire(s)
Il n’a aucun antécédent particulier. L’examen montre une demandez-vous d’emblée chez mr r ?
attitude antalgique avec inflexion latérale, un effacement
□ A. Vitesse de sédimentation (vs)
de la lordose physiologique avec contracture des muscles
□ B. Radiographies du rachis lombaire face et profil
para-vertébraux. Il est apyrétique et son examen général est
□ C. Tdm lombaire + vs
normal. □ D. Irm lombaire + vs
□ E. Aucun examen complémentaire n’est nécessaire
CC11-1. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous ?
CC11-9. En quoi consiste l’eva ?
□ A. Lombosciatique l5
□ B. Lombosciatalgie l5 □ A. Echelle visuelle aléatoire de la douleur aigue ou
□ C. Lombosciatique s1 chronique
□ D. Lombosciatalgie s1 □ B. Permet une auto-évaluation de l’intensité de la
□ E. Lombocruralgie l4 douleur par le patient
CC11-2. Complétez le trait de la douleur de mr r ? □ C. Permet le suivi après traitement
□ D. Eva à 80/100 est considéré comme douleur légère
□ A. Devant la malléole externe
□ B. Derrière la malléole interne □ E. Eva à 80/100 est considéré comme douleur intense
□ C. Le gros orteil CC11-10. Que préconisez-vous chez votre patient ?
□ D. Les deux derniers orteils
□ E. Le tendon d’achille □ A. Un repos relatif de 5 jours
□ B. Un antalgique palier 1 type paracétamol" à raison
CC11-3. En dehors de l’origine commune, quelle(s) étio-
d’1g toutes les 2 heures
logie(s) craignez-vous si mr r présentait une altération
□ C. Un antalgique palier 2 type xamadol *à raison d’un
de l’état général ?
cp toutes les 4 heures
□ A. Spondylodiscite □ D. Un anti-inflammatoire non stéroïdien type diclo-
□ B. Tumeur fénac à 150 mg/i pendant 7j puis relai par une dose
□ C. Hernie discale volumineuse d’entretien
□ D. Thrombose veineuse profonde □ E. Une discectomie chirurgicale
□ E. Atteinte du fémorocutané