Anapath Génétique Immunologie 2022 9 6
Anapath Génétique Immunologie 2022 9 6
Anapath Génétique Immunologie 2022 9 6
I Génétique 2ÈME 3
1 Théorie 5
1.1 Acides nucléiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.2 Caryotype . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.3 Chromosomes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
1.4 Gènes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
1.5 Traduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
1.6 Transcription chez les procaryotes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
1.7 Transcription d’adn . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
1.8 Transcriptions chez eucaryotes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
II Immuno 2ÈME 21
1 Théorie 23
1.1 Cmh . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
1.2 Complement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
1.3 Hypersensibilité type 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
1.4 Hypersensibilité type II . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
1.5 Hypersensibilité type III . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
1.6 Hypersensibilité type IV . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
1.7 Hypersensibilité types 2, 3, 4 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
1.8 Les antigènes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
1.9 Les cellules de l’immunité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
1.10 Les cytokines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
1.11 Les immunoglobulines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
1.12 Les organes lymphoïdes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
1.13 Les réponses immunitaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
1.14 Maladies auto-immunes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
1
TABLE DES MATIÈRES TABLE DES MATIÈRES
Génétique 2ÈME
3
CHAPITRE 1
Théorie
1.1
□ A. 1,4.
Acides nucléiques □ B. 2,3.
□ C. 3,4.
□ D. 2,4.
□ E. 1,5
2022
1. Concernant les acides nucléiques : 2021
1. le gtp est un nucléotide.
2. selon la règle de chargaff a=c et g=t. 4. Dans une double chaine poly nucléotidique, quelle
3. l’extrémité 5’ de l’arnt porte un cca qui fixe i’aa à est la proposition exacte ? [EMD]
transporter.
□ A. Ses séquences se lisent dans le sens 5’0h-3’p
4. a ph physiologique, la forme imine de la cytosine pré- □ B. Si un de ses segments comporte plus de bases a, il
domine. sera plus stable qu’un autre comportant plus de bases
5. il existe une convention de lecture d’un acide nucléique g.
□ A. 1,2. □ C. Deux nucléotides qui se suivent sont reliés entre
□ B. 2,3. eux par une liaison 3’-5’ phosphodiester
□ C. 1,4. □ D. Les deux poly nucléotides sont unis par des liaisons
□ D. 1,5. covalentes.
□ E. 4,5 □ E. Un adn double brin contenant 120 purines et 120
2. La dénaturation de l’adn :
pyrimidines peut être composé de 120 thymines et
1. entraine une rupture des liaisons hydrogènes.
120 uraciles
2. nécessite beaucoup plus d’énergie pour séparer les 5. Parmi les composés suivants, il y a un ribonucléoside
paires g/c que les paires a/t. [EMD]
3. entraine une rupture des liaisons n-osidiques. □ A. L’uridine
4. est obtenue par un refroidissement du milieu. □ B. L’adénylate
5. entraine une rupture des liaisons phosphodiesters. □ C. Le gmp
□ A. 1.2. □ D. L’utp
□ B. 2,3. □ E. La désoxyadénosine
□ C. 3,4.
□ D. 1,4
□ E. 4,5 2020
3. Les affirmations suivantes concernant les arn sont- 6. Concernant la structure des acides nucléiques [EMD]
elles justes : □ A. L’acide thymidilique est un nucléotide à désoxyri-
1. les petits arn nucléolaires ou snorna interviennent bose
dans la maturation des arnr. □ B. Dans les acides nucléiques, la forme amine de l’adé-
2. l’arnt est un arn dont la séquence est complémentaire nine prédomine
à celle de l’un des 2 brins de la molécule d’adn. □ C. Dans l’arn, la cytosine peut s’apparier avec de
3. la plupart des arnm des eucaryotes présentent à leur l’uracile
l’extrémité 5’ une queue poly a □ D. Les arnt sont considérés comme des arn codant car
4. les arn ribosomaux sont transcrits à partir de gènes ils participent à la synthèse des protéines
de classe ii. □ E. Dans la structure « double brin » des acides nu-
5. l’arnm natif est capable de se replier sur lui-même en cléiques, les bases azotées a et t sont liées par 3 liai-
épingle à cheveux. sons hydrogène
1 →D 2 →A 3 →E 4 →C 5 →A 6 →B
5
CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. CARYOTYPE
7 → AD 8 → AC 9 → ADE 10 → B 11 → BCE 12 → AD 13 → B 14 → C 15 → A 16 → D 17 → A
18 → A 19 → E 20 → D 21 → C 22 → E 23 → BCD 24 → C 25 → B 26 → A 27 → C 28 → DE
1.3
□ B. Forment les parties non fonctionnelles d’une pro-
Chromosomes téine.
□ C. Sont des séquences présentes dans tous les gênes.
□ D. Les gènes eucaryotes portent un nombre fixe d’in-
trons.
2022 □ E. Les introns sont des séquences présentes dans les
arnm matures.
40. Dans la fibre de chromatine de 11 nm de diamètre
46. Le solénoïde [EMD]
□ A. Il y a 6 nucléosomes par tour d’hélice
□ B. Les nucléosomes sont régulièrement enroulés et ré- □ A. Représente le stade de compaction maximal de la
gulièrement espacés par de l’adn double brin. fibre de chromatine.
□ C. Il y a une réduction de la longueur native de l’adn □ B. Donne un modèle en zigzag de la fibre de chroma-
d’un facteur de 70. tine.
□ D. Il y a un repliement de l’adn en boucles géantes. □ C. Est la structure de base de la fibre de chromatine
□ E. L’adn de liaison ou internucléosomale qui relie les de 30 nm de diamètre.
particules cœurs adjacentes disparait. □ D. A une structure en collier de perle.
□ E. Est constitué de 8 nucléosomes.
41. A propos de la chromatine
47. L’hétérochromatine constitutive [EMD]
□ A. Au cours de l’interphase, la chromatine d’une cel-
□ A. Contient des gènes de classe 1.
lule diploïde est condensée en 46 chromosomes. □ B. Compose les télomères et les centromères.
□ B. Dans le noyau, l’organisation de la chromatine est □ C. Contient des régions codantes.
en relation avec le cycle cellulaire. □ D. Contient peu de gènes.
□ C. Hétérochromatine correspond de la chromatine □ E. Forme le nucléole.
riche en gènes actifs. 48. L’euchromatine [EMD]
□ D. L’euchromatine s’associe à l’hétérochromatine fa-
□ A. Contient des gènes fréquemment exprimés par la
cultative pour former l’hétérochromatine constitu-
tive. cellule.
□ B. Décondensée est non fonctionnelle.
□ E. L’euchromatine contient des gènes non exprimés
□ C. Est une partie de l’hétérochromatine constitutive
par la cellule. qui comporte des gènes non fonctionnels.
42. A propos des allèles : □ D. Est une association stricte d’adn et de protéines
1. pour un gène donné, il peut exister plusieurs allèles. histones.
2. dans une cellule du foie, il existe un seul allèle pour □ E. S’associe à l’hétérochromatine facultative pour for-
un même gène. mer l’hétérochromatine constitutive.
3. les allèles sont les versions alternatives du même gène.
4. chaque allèle est porté par une des paires chromoso-
2020
miques différentes.
5. ils occupent toujours des loci différents chez un indi- 49. L’hétéro chromatine constitutive [EMD]
vidu donné. □ A. Contient des gènes fréquemment exprimé par la
□ A. 1,2 cellule
□ B. 1,3. □ B. Est une chromatine décondensée
□ C. 1,4. □ C. Est une partie de l’euchromatine qui comporte des
□ D. 1,5. gènes non fonctionnels
□ E. 4,5. □ D. Est une association stricte d’adn et de protéines
non histones
□ E. Associée à l’hétéro chromatine facultative forme
2021 l’hétérochromatine
43. Les protéines histones [EMD] 50. Parmi les propositions suivantes, laquelle s’applique
aux plasmides ? [EMD]
□ A. Sont nécessaires à la compaction de l’adn.
□ B. Sont chargés négativement. □ A. Peuvent être responsables de la résistance à un an-
□ C. Sont riches en bases azotées. tibiotique
□ D. Sont riches en acides aminés acides. □ B. Sont constitués d’adn circulaire monobrin
□ E. Sont extra-nucléosomales. □ C. 10à 20 grands plasmides sont présents par cellule
□ D. Un seul type de plasmide est présent par cellule
44. Les protéines histones [EMD] □ E. Sont très répondus dans les cellules du foie
□ A. Sont nécessaires à la compaction de l’adn. 51. L’adn des mitochondries [EMD]
□ B. Sont chargés négativement.
□ C. Sont riches en bases azotées. □ A. Est linéaire
□ D. Sont riches en acides aminés acides. □ B. Est composé de gènes qui sont sans introns
□ E. Sont extra-nucléosomales. □ C. Contient comme l’adn nucléaire, des séquences pro-
motrices et des introns
45. A propos des introns [EMD] □ D. Code toutes les protéines de la cellule
□ A. Dans un gène, les introns sont des séquences trans- □ E. Est transmis par le père
crites mais non traduites. 52. Les télomères [EMD]
40 → B 41 → B 42 → B 43 → A 44 → A 45 → A 46 → C 47 → B 48 → A 49 → E 50 → A 51 → B
52 → C
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.3. CHROMOSOMES
53 → C 54 → E 55 → A 56 → AE 57 → A 58 → AE 59 → AD 60 → ABE 61 → C 62 → A 63 → B
64 → ABE
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.4. GÈNES
65. La formule chromosomique 46, xy / 47, xy, +21 71. Toutes les propositions suivantes sont exactes, sauf
correspond à [RATT] une. laquelle ? un diagnostic prénatal chromosomique
□ A. Une anomalie numérique en mosaïque doit être proposé à toute femme enceinte [EMD 2]
□ B. Un caryotype normal □ A. De plus de 38 ans
□ C. Une translocation 21-x □ B. Porteuse d’une anomalie chromosomique équilibrée
□ D. Une trisomie 21 partielle □ C. Ayant déjà mis au monde un enfant présentant une
□ E. Une trisomie 21 libre et homogène. trisomie 21 libre
□ D. Dont le conjoint porte une anomalie chromoso-
mique équilibrée
2015 □ E. Dont le conjoint a plus de 38 ans
66. Des chromosomes homologues contiennent [EMD 1] 72. La formule chromosomique 46, xy / 47, xy, +21
correspond à [EMD 2]
□ A. Les mêmes allèles mais pas les mêmes gènes
□ B. Les mémos gènes mais pas les mêmes allèles □ A. Une anomalie numérique en mosaïque
□ C. Les mêmes séquences nucléotidiques □ B. Un caryotype normal
□ D. Des loci de gènes différents □ C. Une translocation 21-x
□ E. Les mêmes loci de gêne identique □ D. Une trisomie 21 partielle
□ E. Une trisomie 21 libre, homogène et complète
67. Chez les eucaryotes, la chromatine est [EMD 1]
□ A. Cytoplasmique 1.4
□ B. Sous sa forme compactée elle s’organise en chro-
mosomes Gènes
□ C. Peut être associée aux ribosomes
□ D. Une association stricte d’adn et d’histones
□ E. Directement liée à la membrane interne de l’appa- 2022
reil du golgi
73. Concernant la composition du génome humain,
quelle est la proposition exacte
2014 □ A. Les éléments répétés dispersés sont répartis en 2
68. Les cellules hépatiques ont normalement 46 chro- classes selon la taille du motif répété.
□ B. Les éléments répétés dispersés sont répartis en 4
mosomes, combien d’autosomes seraient prévus dans une
classes selon la taille du motif répété
cellule de peau [EMD 1]
□ C. Les gènes de classe iii codant les arnr 28s, 18s et
□ A. 46 5,8s constituent une classe de rétro-transposants.
□ B. 23 □ D. Les éléments répétés line codent pour des arnt.
□ C. 47 □ E. Tout l’adn moyennement répété est entièrement
□ D. 44 codant.
□ E. 28
74. Les plasmides sont des structures :
69. Les techniques de marquage des chromosomes [EMD 1. présentes obligatoirement chez tous les eucaryotes.
2] 2. constituées des molécules d’adn monobrin générale-
□ A. Les bandes r sont obtenues par dénaturation via ment linéaire.
la chaleur suivie d’une coloration. les bandes g étant 3. codent pour protéines ayant des fonctions vitales pour
obtenues par la technique inverse la bactérie.
□ B. La technique des bandes r donne un marquage 4. contiennent une information génétique non-
inverse de ce qui est obtenu avec la technique des indispensable à la cellule.
bandes g 5. transmises de façon stable à la descendance.
□ C. Permettent le diagnostic des syndromes migrodé-
□ A. 1,5.
létionnels □ B. 2,3.
□ D. Peuvent faire apparaître des bandes de type g, r □ C. 1,2.
ou c □ D. 1,4.
□ E. Sont indispensables pour la classification par paire □ E. 4,5.
des chromosomes
75. Parmi les propositions suivantes concernant i’adn
répété en tandem, laquelle (lesquelles) est (sont ) exacte
2013 (s) ?
1. il compose les gènes codant des arn ribosomiques 28s,
70. Donner l’adjectif applicable à un chromosome avec 18s et 5.8s.
des bras de longueur égale [EMD 1] 2. les motifs des microsatellites peuvent avoir une taille
□ A. Chromosome sub médiocentrique de 2 à 6 paires de bases (pb).
□ B. Chromosome acrocentrique 3. les motifs des macro- satellites peuvent avoir une taille
□ C. Chromosome médiocentrique de 9 à 100 paires de bases.
□ D. Chromosomes sub métacentrique 4. il comprend les éléments génétiques mobiles capables
65 → AD 66 → BE 67 → B 68 → D 69 → BDE 70 → C 71 → E 72 → A 73 → A 74 → E 75 → D
□ A. Dans un gène les introns sont des séquences trans- □ A.Le promoteur est habituellement situé en 5’.
crites mais non traduites □ Le promoteur ne fait pas partie du gène.
B.
□ C.Le point de départ de la transcription est un aug.
□ B. Forment les parties non fonctionnelles d’une pro-
□ D.Le site de début de la transcription peut être loca-
téine
lisé dans un intron.
□ C. Les introns sont des séquences absentes de certains
□ E. Les pseudo gènes s’expriment dans les hépatocytes.
gènes
□ D. Les gènes eucaryotes portent un nombre fixe d’in-
trons 2015
□ E. Ce sont des séquences présentes dans l’arnm ma-
tures 84. Gènes nucléaires humains [RATT]
78. A propos des gènes [EMD 1] □ A. Un locus génétique est une position déterminé d’un
segment d’adn sur un chromosome
□ A. Les gènes domestiques codent pour des protéines.
□ B. Un individu hétérozygote a deux allèles différents
□ B. Les pseudo gènes s’expriment dans les cellules mus-
pour un même gène
culaires
□ C. Un individu homozygote possède deux allèles mu-
□ C. Les gènes de classe iii codent pour des arn riboso-
tés différents pour un même gène
maux.
□ D. Un individu hétérozygote composite possède deux
□ D. Nous héritons de deux allèles pour un même gène.
□ E. La famille des gènes de la beta globine appartient
allèles mutés identiques pour un même gène
□ E. Un caractère est dit dominant lorsqu’il s’exprime
aux gènes de classe i.
à l’état hétérozygote
79. Dans un gène, les introns [RATT]
□ A. Sont des séquences retrouvées dans l’arnm mature.
□ B. Des séquences non transcrites.
2014
□ C. Sont des séquences absentes de certains gènes. 85. Les différentes formes d’un gène s’appellent [EMD
□ D. Sont situés entre 2 exons.
1]
□ E. Ont une même taille quel que soit le gène considéré.
□ A. Les gamètes
□ B. Les locis
2017 □ C. Les télomères
□ D. Les allèles
80. Un gène [EMD 1] □ E. Les gonosomes
□ A. Est une séquence d’adn codant toujours une pro- 86. L’adn des mitochondries [EMD 1]
téine □ A. Est linéaire
□ B. Eucaryote contient le plus souvent des exons, co- □ B. Code des gènes qui sont sans introns
dant pour la protéine, séparés par des introns □ C. Est transmis uniquement par le père
□ C. Eucaryote n’a jamais d’introns □ D. Est transmis par les deux parents
□ D. Mitochondrial est dépourvu d’introns □ E. Est monobrin
76 → D 77 → AC 78 → AD 79 → CD 80 → BDE 81 → AC 82 → C 83 → A 84 → ABE 85 → D
86 → B
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.5. TRADUCTION
2013 □ D. 2,3,5
□ E. 3,4,5
87. Les différentes formes d’un gène s’appellent [EMD 91. Une mutation du codon gag en uag dans un gène
1] codant une protéine :
□ A. Les gamètes □ A. Produit une protéine plus longue.
□ B. Les locis □ B. Est une mutation non-sens.
□ C. Les télomères □ C. Introduit un codon aug.
□ D. Les allèles □ D. Est une mutation faux- sens.
□ E. Est une mutation isosémantique.
1.5
Traduction 2021
92. Un des codons pour l’acide aminé sérine est ucc. un
2022 des anticodons d’arnt possible (écrit dans le sens 5’ vers
3’est [EMD]
88. Le code génétique est dégénéré car
□ A. Agg.
□ A. Un même acide aminé ost codé par plusieurs co- □ B. Gct.
dons □ C. Agt.
□ B. Plusieurs acides aminés peuvent être codés par un □ D. Atg.
même codon. □ E. Gga
□ C. Plusieurs anticodons correspondent à un même co- 93. Un des codons pour l’acide aminé sérine est ucc. un
don. des anticodons d’arnt possible (écrit dans le sens 5’ vers
□ D. Le codon uaa est toujours utilisé pour l’initiation 3’est [EMD]
de la traduction. □ A. Agg.
□ E. Il associe un acide aminé précis à un seul triplet de □ B. Gct.
nucléotides pour éviter la redondance. □ C. Agt.
89. A propos des étapes de l’élongation de la traduc- □ D. Atg.
□ E. Gga
tion, indiquez- la (ou les) proposition(s) exacte (s) :
1. un complexe aminoacyl-arnt se fixe sur le site a du 94. Le complexe de pré-initialisation 48s est composé
ribosome. de [EMD]
2. une liaison peptidique s’établit entre le groupement □ A. La petite sous unité 40s+elf2-gtp +elf3+elfs+met-
amine d’une méthionine et le groupement carboxyl du arntimet
deuxième acide aminé. □ B. La petite sous unité 30s+elf3 +elf5+met-arntimet
3. l’activité peptidyl-transférase est catalysée par une □ C. La grande sous unité 50s+elf2+gtp
□ D. Du complexe 43s+telf4+l’arnm
protéine appartenant à la sous-unité 30s du ribosome. □ E. L’arnm+elf3+elfs+met+arntimet
4. après la formation de la liaison peptidique, l’arnt vide
95. Les propositions suivantes, laquelle est exacte ?
quitte le ribosome.
[EMD]
5. le ribosome se déplace le long de l’arnm dans le sens
3-5. □ A. L’acide aminé est chargé sur l’extrémité cca-
terminale en 5’ de l’arnt.
□ A. 1,2. □ B. L’acide aminé est chargé sur l’extrémité cca-
□ B. 1,3.
□ C. 1,4
terminale en 5’ de l’arnt.
□ C. L’amino-acétyltrna synthétase est l’enzyme qui ca-
□ D. 1,5.
□ E. 4,5 talyse la liaison entre l’acide aminé et l’arntcorrespon-
dant.
90. A propos de la traduction : □ D. L’activation de l’acide aminé se tait sous forme
1. le complexe de pré-initialisation 43s est compos é la d’amino-acyl – arnm.
petite sous unité 40s +cif2-gtp+if1+eif4+met-arntimet □ E. Chaque arni est spécifique de plusieurs acides ami-
2. le complexe de pré-initialisation 48s est composé du nés.
complexe 43s+eif4+arnm
3. chez les eucaryotes, a séquence de kozac 5’gccpuccaugg
3’ entoure le codon aug qui démarre la traduction. 2020
4. au niveau du site d’initiation, le facteur elf4 déclenche
96. Le complexe de pré-initialisation 43s est composé
l’activité gtpase de eif2.
de [EMD]
5. chez les procaryotes lors de la translocation, le ri-
□ A. La sous unite 43s+elf4+arnm.
bosome en se déplaçant d’un codon dans le sens 53, il
□ B. La petite sous unité 30s+eif3+eif5+met-arntimet
provoque la migration du dipeptidyl-arnt du site a site □ C. La petite sous unité 40s+ eif2-gtp-elf3+eif5+met-
p. arntimet
□ A. 1,2.4 □ D. La grande sous unité 50s+eif2-gtp +eif3+elf5-met-
□ B. 1,3.4 arntimet
□ C. 1,4,5 □ E. L’arnm + eif3+ eif5 + met-arntimet
87 → D 88 → A 89 → C 90 → D 91 → B 92 → E 93 → E 94 → D 95 → B 96 → C
97. Lors de la traduction chez les procaryotes [EMD] □ A. La petite sous unité 40s+elf2-gtp +elf3+elf5+met-
□ A. Le fmet-arnt est recruté par le facteur if2 couplé à (arnti met)
□ B. La petite sous unité 30s+eif3+elf5+met- (arnti
l’atp.
□ B. La grande sous-unité ribosomique est la première
met)
□ C. La grande sous unité 50s+elf2-gtp
à se lier à l’arnm.
+eif3+elf5+met- (arnti met)
□ C. Le codon aug est positionné au niveau du site a du
□ D. La sous unité 43s+elf4+arnm
ribosome. □ E. L’arnm-elf3+elf5+met-arnti(met)
□ D. Le codon aug initiateur est encadré d’une séquence
103. A propos de la traduction [EMD 1]
‘’consensus” de kozak.
□ E. Les arnm sont polycistroniques, □ A. L’arnm est lu dans le sens 3’ →5’
□ B. Les protéines sont toujours synthétisés par les nu-
cléosomes
2018 □ C. Les acides aminés activés par un arnt entrent au
niveau du site p du ribosome
98. A propos de la traduction [EMD 1] □ D. La peptidyl transférase est une enzyme de là sous
□ A. Au cours de la phase d’élongation, les aminoacyl-
unité ribosomique 50s
□ E. La translocation du ribosome le long de l’arnm
arnt entrent au niveau du site a du ribosome.
consomme du glucose
□ B. Au cours de la phase d’élongation, la chaine po-
lypeptidique s’allonge par l’addition d’arnt à l’extré- 104. A propos de la traduction [EMD 1]
mité c-terminale. □ A. La traduction permet de synthétiser des molécules
□ C. Au moment de la terminaison, les rf (release fac- d’adn à partir de molécules d’arn
tors) se fixent sur le site a du ribosome, ce qui bloque □ B. Le transfert du peptidyl-arnt se fait du site p vers
la progression de la traduction. le site a du ribosome
□ D. Chez les eucaryotes, la traduction commence par □ C. Le site a est positionné face au codon aug de l’arnm
la formation de la liaison peptidique. □ D. Le site p du ribosome est occupé par un le
□ E. Chez les eucaryotes les arnm sont polycistroniques methionyl-arnt lié au codon initiateur aug de l’arnm
□ E. Le site a du ribosome est positionné face à la sé-
99. A propos de la traduction [RATT] quence de polyadenylation
□ A. La peptidyl transférase est une enzyme de la sous 105. Parmi les fonctions suivantes, quelles sont celles
unité ribosomique 30s qui peuvent être attribuées à un arnt ? [EMD 1]
□ B. Le site p est positionné face au codon aug de
□ A. Identifier un triplet de nucléotides sur l’adn
l’arnm. □ B. Reconnaitre un triplet de nucléotides sur l’arnm
□ C. Le site a du ribosome est positionné face à la sé- □ C. C reconnaitre un triplet de nucléotides sur un autre
quence de polyadénylation arnt
□ D. Les facteurs elf1 et elf4 activent la petite sous unité □ D. Reconnaître un triplet de nucléotides sur un arn
ribosomique eucaryotique. ribosomal
□ E. La séquence de shine dalgarno sert de signal de re- □ E. Transférer un acide aminé au ribosome lors de la
connaissance pour les ribosomes chez les eucaryotes. synthèse de la chaine peptidique
100. Soit le codon tca localisé dans la séquence codante 106. L’arn de transfert [EMD 1]
d’un gène d’une cellule de la peau [EMD 2] □ À une structure repliée en feuille de trèfle
A.
□ A. La transformation du codon tca en tcc est le résul- □ À un acide aminé fixé à son extrémité 5’
B.
tat d’une transversion. □ Est toujours constitué de quatre nucléotides
C.
□ À une structure secondaire stabilisée par des liai-
D.
□ B. La variation tca vers tcc est une transition.
□ C. La variation tca vers aca est substitution. sons covalentes
□ E. Reconnait l’anticodon de l’arn messager par son
□ D. La variation tça vers taa est une mutation faux-
codon
sens.
□ E. La variation tca vers taa est une conversion gé-
nique. 2016
107. A propos du mécanisme de la traduction [EMD 1]
2017 □ A. Le facteur d’initiation if2 forme un complexe avec
101. L’enzyme qui fixe l’aminoacide à son arnt est [EMD l’arnt initiateur et le gtp.
□ B. Ifi et ef-g favorisent la liaison de la sous unité 30s
1]
à la sous unité 50s.
□ A. L’arnt polymérase □ C. C’est au niveau du site a de la sous unité 70s que
□ B. L’aminoacyl arnm synthétase tous les acides aminés arrivent.
□ C. L’aminoacyl synthétase □ D. Le facteur d’élongation ef-tu empêche le charge-
□ D. L’aminoacyl arnt synthétase. ment de l’arnt sur le site a auquel il est associé.
□ E. La peptidyl transférase □ E. Le facteur d’élongation ef-ts active la petite sous
102. Le complexe de pré-initialisation 43s est composé unité du ribosome
de [EMD 1] 108. A propos de la traduction [RATT]
109 → D 110 → CDE 111 → ABE 112 → C 113 → AC 114 → AC 115 → B 116 → BC 117 → CE
118 → E 119 → E 120 → C 121 → CD 122 → AC 123 → AB
124 → A 125 → D 126 → CD 127 → ABC 128 → C 129 → D 130 → A 131 → A 132 → BC 133 → D
134 → B 135 → B
□ D. 2.4.5.1 2015
□ E. 5-3-2-1
135. Choisir la proposition exacte [EMD 1] 140. Concernant la transcription procaryote, indiquer
les propositions exactes. [EMD 1]
□ A. Les arnm sont des arn de régulation
□ B. L’arn se distingue de l’adn par la présence d’uracile □ A. Le facteur permet l’arn polymérase de reconnaitre
□ C. La transcription permet de passer de l’arn aux pro- le promoteur d’un gène
téines. □ B. Le facteur se fixe sur la boite tata pour permettre
□ D. L’arn est de l’acide désoxyribonucléique. l’initiation de la transcription
□ C. Le facteur se détache de l’arn après la synthèse de
1.6 10 nucléotides environ
□ D. La vitesse de transcription est relativement
Transcription chez les procaryotes constante
□ E. Le facteur rho est une structure secondaire de l’arn
impliquée dans la terminaison de la transcription
2018 141. On réalise au laboratoire une expérience sur des
136. Traduction chez les procaryotes [EMD 1] bactéries, que l’on fait croitre sur un mélange contenu
glucose, du lactose et du tryptophane [EMD 1]
□ A. Lors de l’initiation, la liaison du ribosome à l’arnm
se fait par appariement de bases entre une séquence □ A. Cette bactérie utilise préférentiellement le lactose
située sur l’arn 16 s de la sous-unité ribosomale 30 s comme substrat énergétique
et la séquence de shine-dalgarno de i’arn □ B. L’opérateur est un site lié avec le répresseur qui
□ B. L’arnt initiateur est chargé avec une n-formyl- induit une régulation négative de l’opéron
thréonine. □ C. Le répresseur lac est activé pendant l’expérience
□ C. Le premier codon aug est situé dans un contexte jusqu’à t 100min
de séquence correcte, le séquence de kozac. □ D. L’opéron lactose code pour un seul gène
□ D. Au cours de l’élongation, immédiatement après □ E. A t- 120 min, le répresseur lac est inactif, ce qui
la formation d’une liaison peptidique, le peptidyl en aboutit à la transcription du gène de la -galactosidase
croissance se déplace du site a vers le site p.
□ E. La terminaison est provoquée par la reconnaissance
de triplets stop par des arnt spécifiques. 2013
137. Lors de la terminaison de la traduction chez les 142. Quelle est la protéine initiant l’ouverture de la
procaryotes. le facteur rf2 [RATT] double hélice à l’origine de réplication de l’adn chez e.
□ A. Reconnait uaa et uga. coli [EMD 1]
□ B. Reconnais uag
□ A. Arn polymérase
□ C. Reconnais uga
□ B. Primase
□ D. Fixe du gtp
□ E. Reconnait uaa et uag
□ C. Adn polymérase iii
□ D. Protéine dna a
2016 1.7
136 → AD 137 → A 138 → ABC 139 → BCD 140 → AD 141 → BE 142 → D 143 → C 144 → D
145 → C 146 → A 147 → CD 148 → BDE 149 → A 150 → ADE 151 → C 152 → E 153 → AE 154 → B
155 → BE 156 → CE 157 → BCE
1.8
□ A. Arn polymérase ii.
□ B. Protéine tus.
Transcriptions chez eucaryotes □ C. Sous-unité sigma.
□ D. Protéine tfhc.
□ E. Sous unité ribosomique 60s
2022
160. Concernant la maturation et l’épissage des trans- 164. Concernant la transcription chez les eucaryotes,
crits primaires chez les eucaryotes : toutes les propositions suivantes sont fausses sauf une
1. ces processus se produisent simultanément à la trans- [EMD]
cription.
2. la coiffe à l’extrémité 5’ du transcrit contient une base □ A. Un seul facteur de transcription suffit pour que
modifiée, la 7-methyl-adenine. l’arn polymérase il effectue sa transcription.
3. la coiffe en 5’ du transcrit comporte un pont triphos- □ B. L’activité promotrice dépend de la liaison au gène
phate. du facteur de transcription tf iii a.
4. l’addition de la queue polya est effectuée par une □ C. Le facteur rho est nécessaire à la terminaison de la
polya-polymérase adn-dépendante. transcription.
5. l’épissage d’un transcrit n’a lieu que si celui-ci sort du □ D. La liaison à l’adn de facteur de transcription tfii d
noyau. se fait au niveau de la tata box.
□ A. 1,2 □ E. L’élongation par l’arn polymérase ii s’effectue sans
□ B. 1,3
□ C. 1,4
que les facteurs de transcription se dissocient de sa
□ D. 2,5 liaison à l’adn.
□ E. 1,5
161. Concernant la transcription : 165. Concernant la maturation de l’arn pré-messager
□ A. La présence d’ions calcium est indispensable à [EMD]
l’élongation.
□ B. La phase d’élongation requiert la présence en excès □ A. La coiffe est placée à l’extrémité 3’
de thymidine triphosphate. □ B. La queue poly a est synthétisée par une polymérase
□ C. L’association du facteur sigma avec les sous-unités adn dépendante.
de l’arn polymérase est indispensable au passage de □ C. Le rôle de la coiffe est l’exportation des arnm ma-
la phase d’initiation à la phase d’élongation. tures hors du noyau.
□ D. Plusieurs facteurs d’initiation sont nécessaires pour
une initiation efficace et spécifique d’un promoteur □ D. La queue poly a joué un rôle dans l’initiation de la
eucaryote. synthèse protéique.
□ E. Le départ de la polymérase du promoteur (lan- □ E. L’épissage nécessite la présence d’un site donneur,
cement de la phase d’élongation) nécessite le clivage un site accepteur d’épissage et un site de branchement
protéolytique du domaine ctd de l’arn polymérase. au niveau de l’intron.
2018 2015
166. Concernant la traduction chez les eucaryotes [EMD 171. Une fois transcrit l’arnm eucaryotique subit plu-
1] sieurs modifications substantielles. ces modifications
□ A. L’association de la sous-unité ribosomale 40s avec peuvent inclure ... [RATT]
le met-arnt initiateur se fait après son association □ A. Excision des introns.
avec l’arn messager. □ B. Fusion dans une forme circulaire appelée plas-
□ B. Au sein du complexe d’initiation 80s, le met-arnt mides.
initiateur est positionné sur le site a. □ C. Liaison aux molécules d’histones.
□ C. La translocation du ribosome s’effectue grâce à une □ D. Union à la partie légère de l’arn ribosomal.
peptidyl transférase. □ E. Fusion avec d’autres arnm nouvellement trans-
□ D. La coiffe en position 5’ de l’arn messager est re- cripts.
connue par le facteur d’initiation elf-4. 172. Le primosome [RATT]
□ E. Le complexe de préinitialisation 43s est composé
de l’arnm+elf3+eifs met-arnt(met) □ A. C’est une rna-polymérase dna-dépendante
□ B. La primase est un complexe ribonucleoprotéique
167. La transcription de l’adn chez les eucaryotes [EMD
□ C. C’est le complexe spécifique charge de la synthèse
1]
des amorces pour l’adn-polymérase
□ A. Se fait à partir des deux chaines d’adn au même □ D. Les protéines n, n’. n”et i reconnaissent l’endroit
temps, où le primer doit être synthétisé
□ B. Nécessite la présence de ribosomes, □ E. Le « dna c » est un fragment d’adn qui active l’en-
□ C. Permet la synthèse d’arn messager après matura- zyme primase
tion,
□ D. Permet la synthèse d’arn pré messager après ma-
turation, 2013
□ E. Est initié par l’arn-polymérase seule.
168. Concernant la maturation et l’épissage des trans- 173. Une fois transcrit l’arnm eucaryotique subit plu-
crits primaires chez les eucaryotes [RATT] sieurs modifications substantielles. ces modifications
peuvent inclure ... [EMD 1]
□ A. Ces processus se produisent simultanément de la
transcription □ A. Excision des introns.
□ B. La coiffe à l’extrémité 5’ du transcrit contient une □ B. Fusion dans une forme circulaire appelée plas-
base modifiée, la 7-methyl-adénine. mides.
□ C. La coiffe en 5’du transcrit comporte un pont tri- □ C. Liaison aux molécules d’histones.
phosphate □ D. Union à la partie légère de l’arn ribosomal
□ D. L’addition de la queue poly a est effectuée par une 174. Le facteur de transcription qui empêche les inhi-
polya-polymérase adn-dépendante. biteurs de se fixer au complexe de pré amorçage de i’arn
□ E. L’épissage d’un transcrit a lieu avant la mise en polymérase ii est [EMD 1]
place de la coiffe.
□ A. Tfiia
□ B. Tfub
2017 □ C. Tfid
□ D. Tfiif
169. Dans une cellule eucaryote [EMD 1] 175. A propos des arn polymérases [EMD 1]
□ A. La queue poly a est ajoutée après la transcription □ A. Elles utilisent comme substrats les 4 nucléotides :
□ B. Les arn ribosomaux et les arnm sont synthétisés
ttp, gtp, ctp et atp
par la même arn polymérase □ B. Chez les bactéries elles sont de 3 types différents
□ C. La coiffe est le 7-methyl cytosine
□ C. Chez les eucaryotes, les arn polymérases de type i
□ D. Deux arnm matures peuvent être produits à partir
d’un seul transcrit primaire synthétisent les arnr
□ E. L’arn polymérase ii reconnaît seule le promoteur. □ D. Elles sont toutes inhibées par l’ amanitine
2016
170. A propos de la traduction chez les eucaryotes [EMD
1]
□ A. La lecture de l’arnm se fait dans le sens 3’>5’
□ B. Le transfert du dipeptidyl se fait du site p vers le
site a du ribosome
□ C. La traduction de l’arnm de déroule au fur et à
mesure de sa transcription
□ D. La formation d’une liaison peptidique se fait grâce
à une peptidyl transférase
□ E. La formation de l’aminoacyl-arnt fait intervenir elf5
166 → D 167 → C 168 → AC 169 → AD 170 → D 171 → A 172 → CD 173 → A 174 → A 175 → C
Immuno 2ÈME
21
CHAPITRE 1
Théorie
1.1
□ A. Présentent les ag endogènes aux lymphocytes t cy-
Cmh totoxiques.
□ B. Présentent les ag exogènes aux lymphocytes t hel-
per.
□ C. Présentent les ag endogènes aux lymphocytes t hel-
2022
per.
1. Certains individus expriment trois molécules hla-dr. □ D. Présentent les ag exogènes aux lymphocytes t cy-
ceci est le résultat de : [EMD 1] totoxiques.
□ E. Sont constituées de deux chaines impliquées toutes
□ A. L’expression codominante des gènes dra1/drb1 les deux dans la présentation.
□ B. La duplication des gènes drb1 sur un chromosome
□ C. L’expression des gènes dra1/drb3, drb4 et drb5 6. Parmi ces situations, laquelle correspond à une cross-
□ D. L’expression des gènes dra1/drb1 avec un des gènes présentation [EMD 2]
drb2, drb3, drb5
□ A. Une cellule dendritique capture des débris cellu-
□ E. L’expression des gènes dra1/drb1 avec un des gènes
laires, les dégrade dans le phagolysosome présente,
drb3, drb4, drb5
chargés sur des molécules hla-dr4
2. Nous voulons étudier le polymorphisme du locus hla □ B. Une cellule dendritique capture des débris cellu-
dr chez un individu candidat à une transplantation, les laires, les dégrade dans le phagolysosome puis les pré-
gènes cibles seront : [EMD 1] sente, chargés sur des molécules hla-a2
□ A. Drb1 □ C. Une cellule dendritique capture des débris cellu-
□ B. Drb2 laires, les dégrade dans le cytoplasme puis les pré-
□ C. Drb3 sente, chargés sur des molécules hla-b7
□ D. Drb4 □ D. Une cellule dendritique capture des débris cellu-
□ E. Drb5 laires, les dégrade dans le cytoplasme puis les pré-
3. Les gènes du cmh ii sont organisés selon l’ordre sui- sente, chargés sur des molécules hla-d4
□ E. Une cellule dendritique dégrade des protéines cy-
vant, du télomère au centromère : [EMD 1]
toplasmiques avec du protéasome, les charge sur des
□ A. Dp dq dr molécules hla-a2 pour les présenter.
□ B. Dq dr dp
□ C. Dr dp dq 7. Le nombre de molécules hla exprimées par une cel-
□ D. Dr dq dp lule endothéliale au repos est [EMD 2]
□ E. Dp dr dq
□ A. 6
4. Vous voulez étudier le polymorphisme du locus a du □ B. 8
cmh par biologie moléculaire, les exons qui doivent être □ C. 12
amplifiés : [EMD 1] □ D. 13
□ E. 14
□ A. 1et 2
□ B. 2 et 3 8. Le paramètre qui gère le transport des peptides an-
□ C. 3 et 4 tigéniques -issus de la dégradation par le protéasome-
□ D. 2 dans le réticulum endoplasmique est [EMD 2]
□ E. 3
□ A. La nature des acides aminés le composant
□ B. La charge électrique du peptide
2021 □ C. La nature des acides aminés d’ancrage
□ D. La taille du peptide
5. Les molécules du cmh de classe l [EMD 2] □ E. L’affinité pour les molécules hla-1 de l’individu
1 →E 2 →A 3 →D 4 →B 5 →A 6 →C 7 →A 8 →D 9 →A
23
CHAPITRE 1. THÉORIE 1.1. CMH
□ C. Participe à la présentation de l’ag aux lymphocytes □ A. Présentent une cavité peptidique associant les do-
t. maines extracellulaires : a1/a2 pour les molécules de
□ D. Ne participe pas à la présentation de l’ag classe l et a1/b1 pour les molécules de classe ll .
□ E. Est codée par la région du cmh. □ B. Diffèrent par l’origine du peptide présenté au tcr :
24. Les deux chaines qui forment les molécules du cmh peptide d’origine endogène pour les molécules de
de classe ll [RATT] classe l et peptide d’origine exogène pour les molé-
cules de classe ll .
□ A. Sont impliquées toutes les deux dans la présenta- □ C. Se comportent comme des ligands : de la protéine
tion des antigènes. cd4 pour les molécules de classe ll et de la protéine
□ B. Une seule d’entre elles est impliquée dans la pré- cd8 pour les molécules de classe l.
sentation des antigènes □ D. Sont codées par des gènes situés sur le chromosome
□ C. Sont codées toutes les deux par la région du cmh. 2.
□ D. Une seule d’entre elles est codée par la région du □ E. N’interviennent pas dans l’éducation intra-
cmh. thymique des lymphocytes t.
□ E. Une d’entre elles est entièrement extracellulaire.
30. Les gènes hla de classe i [EMD 1]
□ A. Sont portés par le chromosome 6,
2017 □ B. Codent pour des antigènes de transplantation,
□ C. Se caractérisent par un grand polymorphisme,
25. Le macrophage [RATT] □ D. Codent pour les molécules hla a, b et c,
□ E. Sont transmis selon un mode autosomal récessif.
□ A. Porte les molécules hla l
□ B. Ne porte pas le cr1 31. Les molécules hla dr [EMD 1]
□ C. Porte le cr1
□ A. Sont présentes sur toutes les cellules nucléées de
□ D. Porte les molécules hla ll
l’organisme
□ E. Peut intervenir par le biais de l’adcc.
□ B. Comportent une chaine a et une chaine b codées
26. La béta2 microglobuline [EMD 1] par le complexe majeur d’histocompatibilité
□ C. Sont des glycoprotéines membranaires intervenant
□ A. Est une chaine polypeptidique extracellulaire.
□ B. Est très polymorphe. dans la présentation de l’antigène aux lymphocytes t
□ C. Est codée par un gène situé dans la région du cmh. cd4+
□ D. S’associe à la chaine alpha des molécules hla de □ D. Sont exprimées sur les lymphocytes b après acti-
classe ll . vation
□ E. Interagit de façon covalente avec le domaine a3 des □ E. Représentent un marqueur d’activation des cellules
molécules hla de classe l. dendritiques
27. Les molécules du cmh humain [EMD 1] 32. Les molécules du cmh de classe ii présentent les
antigènes [RATT]
□ A. Présentent une cavité peptidique associant les do-
□ A. Endogènes aux lymphocytes t cytotoxiques cd8.
maines extracellulaires : a1/a2 pour les molécules de
□ B. Exogènes aux lymphocytes t helper cd4.
classe l et a1/b1 pour les molécules de classe ll . □ C. Endogènes aux lymphocytes t helper cd4.
□ B. Diffèrent par l’origine du peptide présenté au tcr : □ D. Exogènes aux lymphocytes t cytotoxiques cd8.
peptide d’origine endogène pour les molécules de □ E. Aux lymphocytes b.
classe l et peptide d’origine exogène pour les molé-
33. Les gènes hla de classe ii [RATT]
cules de classe ll.
□ C. Sont codés par des gènes portés par le bras long □ Sont portés par le chromosome 6.
A.
du chromosome 6. □ Sont portés par le chromosome 15.
B.
□ D. Présentent un extrême polymorphisme. □ Sont portés par le chromosome 2.
C.
□ E. Entrainent, pour certaines spécificités, une suscep- □ Codent pour des molécules portées par pratique-
D.
tibilité à certaines maladies. ment toutes les cellules nucléées de l’organisme.
□ E. Codent pour des molécules de répartition res-
28. La béta 2 microglobuline [RATT] treinte.
□ A. Est codée chez l’homme par des gènes portés par
le bras court du chromosome 6.
□ B. Participe à la présentation de l’antigène aux lym- 2015
phocytes 34. Les molécules hla de classe ii [EMD 1]
□ C. Ne participe pas à la présentation de l’antigène aux
lymphocytes t □ A. Interviennent dans la présentation de peptides im-
□ D. Est une chaine des molécules hla de classe 1 munogènes aux lymphocytes t cd4+
□ E. Est une chaine des molécules hla de classe 2 □ B. Sont exprimées sur toutes les cellules nucléées de
l’organisme.
□ C. Sont polymorphes,
2016 □ D. Sont codées par des gènes situés sur le chromosome
2
29. Les molécules du cmh humain [EMD 1] □ E. Sont codées par les gènes hla a, b et c
□ C. Sont codés par des gènes portés par le bras long □ D. Cd59
du chromosome 6. □ E. Mcp
□ D. Présentent un extrême polymorphisme.
□ E. Entraînent, pour certaines spécificités, une suscep- 55. Le c3b [EMD 2]
tibilité à certaines maladies.
□ A. Possède un récepteur sur le macrophage et le po-
1.2 lynucléaire neutrophile.
Complement □ B. Ne possède pas de récepteurs sur les phagocytes.
□ C. Possède un récepteur uniquement sur les macro-
phages résidents.
2022 □ D. Est une anaphylatoxine.
□ E. Est un facteur chimiotactique.
49. Les régulateurs agissant au niveau des convertases
sont : [EMD 1] 56. Un de ces régulateurs n’est pas un cofacteur du fl
□ A. Cd55 et mcp [EMD 2]
□ B. Cd46 et cr1
□ C. Cd59 et le daf □ A. C4bp
□ D. Cd55 et cr1 □ B. Fh
□ E. Cd59 et cr1 □ C. Daf
50. Lorsque le c3b se lie au cr1, un de ces évènements □ D. Cr1
ne peut pas avoir lieu : [EMD 1] □ E. Cd46
□ A. La phagocytose
57. Le récepteur du complément essentiel pour l’acti-
□ B. La formation du mac
□ C. L’élimination des complexes immuns vation des lb est [EMD 2]
□ D. La dégradation du c3b par le fi
□ E. Aucune réponse n’est juste □ A. Crig
□ B. Cr1
51. Pour réaliser un test ch50, il faut réunir : [EMD 1]
□ C. Cr2
□ A. Plasma à tester+ gr de mouton sensibilisés + □ D. Cr3
mg2+ et ca2+ □ E. Cr4
□ B. Plasma à tester +gr de mouton+ chélateurs de
mg2+ 58. Une de ces fonctions n’est pas assurée par le com-
□ C. Plasma à tester+ gr de lapin sensibilisés+ chéla-
plément [EMD 2]
teurs de mg2+
□ D. Plasma à tester +gr de lapin+ mg2+
□ Initiation du processus inflammatoire
A.
□ E. Plasma à tester+ gr de mouton sensibilisés+ ché-
lateurs de mg2+ □ Activation des lt
B.
□ Assurance de la survie des lt
C.
52. La voie classique et la voie des lectines se partagent
□ La production des différentes classes des immuno-
D.
plusieurs caractéristiques sauf : [EMD 1]
globulines
□ A. La protéine de reconnaissance □ E. Opsonisation pour faciliter la phagocytose
□ B. Les activateurs
□ C. Les protéines de régulation 59. Une de ces fonctions n’est pas assurée par le com-
□ D. Les protéines effectrices
plément [EMD 2]
□ E. Aucune réponse n’est juste
53. Le c3b : [EMD 1] □ Initiation du processus inflammatoire
A.
□ A. Possède un récepteur porté uniquement par le ma- □ Activation des lt
B.
crophage. □ Assurance de la survie des lt
C.
□ B. Aide le macrophage à phagocyter les germes résis- □ La production des différentes classes des immuno-
D.
tants à la phagocytose. globulines
□ C. Est une anaphylatoxine. □ E. Opsonisation pour faciliter la phagocytose
□ D. Est un facteur chimiotactique.
□ E. Active le mastocyte. 60. Une de ces fonctions n’est pas assurée par le com-
plément [EMD 2]
2021
□ Initiation du processus inflammatoire
A.
54. La formation du mac peut être empêchée par [EMD □ Activation des lt
B.
2] □ Assurance de la survie des lt
C.
□ A. Cd1 □ La production des différentes classes des immuno-
D.
□ B. Cd46 globulines
□ C. Cd55 □ E. Opsonisation pour faciliter la phagocytose
49 → D 50 → B 51 → E 52 → A 53 → B 54 → D 55 → A 56 → C 57 → C 58 → B 59 → B 60 → B
2020 □ C. C4
□ D. C4b2a
61. Dans la fonction pro-inflammatoire du complément □ E. C4bp
[EMD 1]
□ A. Les anaphylatoxines sont essentielles à son dérou- 69. L’opsonisation des pathogènes par les fragments du
lement. complément [RATT]
□ B. Les cytokines inflammatoires jouent un rôle pré-
□ A. Peut être assurée par les fragments c3b
pondérant.
□ B. Diminue leur prise en charge par les macrophages
□ C. Les c5a, c3a et c4a n’ont pas d’activité chimiotac-
□ C. Augmente leur prise en charge par les macrophages
tique.
□ D. Les cellules de l’inflammation sont recrutées grâce □ D. Est inhibée par le c1inh
à l’expression de récepteurs d’anaphylatoxines. □ E. Est inhibée par le fi
□ E. Toutes ces propositions sont justes.
62. L’opsonisation des micro-organismes pathogènes
par les fragments actifs du complément [EMD 1] 2019
□ A. Est assuré uniquement par le c3b et c4b.
□ B. Diminue la prise en charge des pathogènes par les 70. La molécule du c2 [RATT]
phagocytes. □ A. Est le premier composant de la voie classique du
□ C. Est régulée par une molécule clé dite c1 inhibiteur.
complément
□ D. Nécessite l’expression de récepteurs des fragments
□ B. S’autoactive après fixation sur les fc des igg
inactifs du complément.
□ E. Aucune de ces réponses n’est juste. □ C. Une seule molécule igm suffit à son activation
□ D. Participe à la formation de la c3 covertase clasiique
63. Au cours du déroulement de la voie alterne du com- □ E. Toutes ces propositions sont justes
plément [EMD 1]
□ A. Les facteurs de régulation sont uniquement so- 71. La voie alterne du système du complément [EMD 1]
lubles. □ A. Est la plus ancienne de point de vue évolutif
□ B. La properdine joue un rôle de stabilisateur de la
□ B. Sa c3 convertase est stabilisée par la properdine
c3 convertase d’amplification.
□ C. Le c1inb est le principal régulateur de cette voie. □ C. Est régulée par une protéine clé dite c1 inhibiteur
□ D. Le facteur l est un cofacteur du facteur h. □ D. Est insensible à la régulation du facteur i
□ E. Le facteur h est un cofacteur du facteur i. □ E. Toutes ces propositions sont justes
64. La c2 est clivée par 72. Ces molécules ne rentrent pas dans la composition
□ A. C1q des convertases [RATT]
□ B. C1r
□ C. C1s □ A. C4
□ D. Mbl □ B. C1
□ E. Masp1 □ C. Fd
65. L’opsonisation peut être assurée par □ D. C3
□ E. Fb
□ A. 3
□ B. C2a 73. Au cours de la régulation de la voie classique du
□ C. C3b
complément [EMD 1]
□ D. C4a
□ E. C2b □ A. Les facteurs de régulation sont essentiellement so-
66. La voie classique diffère de la voie des lectines par lubles
□ A. La c5 convertase □ B. Le facteur h est le principal facteur de régulation
□ B. La nature de l’ig qui forme le complexe immun □ C. Le c1inh conserve l’activité esterasique de son sub-
□ C. La nature de l’activateur strat
□ D. Les régulateurs solubles □ D. Le c4bp est un cofacteur du facteur l
□ E. La c3 convertase □ E. Le facteur i est cofacteur du c4bp
67. La voie alterne est inhibée par
74. La molécule du c1 [EMD 1]
□ A. Cd59
□ B. Protéines s □ A. Est le premier composant de la voie classique du
□ C. Properdine complément
□ D. Fh □ B. Nécessite deux fragments fab proches pour l’acti-
□ E. Carboxypeptidase n
vation
68. Les régulateurs de la voie classique du complément □ C. Une seule molécule igm suffit à son activation
ont pour cible [RATT] □ D. L’activation de sa sous-unité c1q n’a aucun impact
□ A. C1 sur la sous-unité c1r
□ B. C2 □ E. Toutes ces propositions sont justes
61 → AD 62 → E 63 → BE 64 → C 65 → C 66 → C 67 → D 68 → AD 69 → AC 70 → D 71 → AB
72 → BC 73 → D 74 → AC
2018 □ D. Le facteur b
□ E. La daf
75. Ces protéines du complément entrainent la disso-
ciation des convertases [EMD 1] 82. L’œdème angioneurotique héréditaire (oanh)
□ A. Fh [RATT]
□ B. Daf
□ A. Est caractérisé cliniquement par des œdèmes de la
□ C. Properdine
□ D. C4bp face, du cou, et des douleurs abdominales.
□ E. Mcp □ B. Est dû à un déficit de la fraction c1 du complément,
□ C. Est caractérisé par un abaissement des taux des
76. Le clivage du c2 est inhibé par [EMD 1]
composants c2, c4 et c1inh du complément,
□ A. C1inh □ D. Existe sous deux types, dont le plus fréquent est le
□ B. C4bp type l,
□ C. Daf
□ E. Est une affection héréditaire transmise sur le mode
□ D. Facteur h
□ E. Facteur i autosomal dominant.
77. Les fragments anaphylotoxiques issus de l’activation
du complément sont [EMD 1]
□ A. C2a
2016
□ B. C3a
□ C. C5a 83. Le déficit en c1 inhibiteur [EMD 1]
□ D. C5b
□ A. Est à l’origine de l’œdème angioneurotique hérédi-
□ E. Toutes les réponses sont justes
taire (oanh),
78. Le c3b [EMD 1] □ B. Est une affection transmise de façon autosomale et
□ A. Aide les globules rouges à transporter les com- récessive.
plexes immuns □ C. S’accompagne de taux de c2 et c4 abaissés et d’un
□ B. Est une opsonine. taux de c3 normal.
□ C. Est une anaphylatoxine □ D. Peut-être quantitatif ou qualitatif,
□ D. Possède un récepteur(cr1) sur le macrophage et sur
□ E. Se traduit cliniquement par des œdèmes de la face
le polynucléaire neutrophile et du larynx.
□ E. Rentre dans la constitution du mac
84. La voie classique du complément [RATT, EMD 1]
2017 □ A. Est activée par des complexes immuns où l’anti-
corps est une igg.
79. La voie classique du complément [EMD 1]
□ B. Fait intervenir des protéines de régulation.
□ A. Est activée par des complexes immuns où l’anti- □ C. Est activée par des complexes immuns où l’anti-
corps est une igg corps est une iga.
□ B. Est activée par des complexes immuns où l’anti- □ D. Est activée par des complexes immuns où l’anti-
corps est une iga corps est une igm
□ C. Est activée par des complexes immuns où l’anti-
□ E. Met en jeu la c3 convertase classique : cab2a,
corps est une igm
□ D. Ne nécessite pas toujours un complexe antigène- 85. Le complément [EMD 1]
anticorps
□ E. Met en jeu la c3 convertase cab2a □ A. Est un complexe thermorésistant,
80. Le c3b [EMD 2] □ B. Joue un rôle dans le système de défense contre les
agents infectieux,
□ A. Permet aux globules rouges de véhiculer les com-
□ C. N’est présent dans le sérum que lors d’une immu-
plexes immuns.
□ B. Permet aux macrophages de véhiculer les com-
nisation,
□ D. Est un ensemble de protéines représentant près de
plexes immuns.
□ C. Permet aux polynucléaires neutrophiles de véhicu- 10
ler les complexes immuns. □ E. Permet la solubilisation des complexes immuns.
□ D. Aide les macrophages à phagocyter les bactéries
86. Le c3b [RATT]
résistantes à la phagocytose.
□ E. Aide les polynucléaires neutrophiles à phagocyter □ A. Est un produit de la dégradation du complément
les bactéries résistantes grâce au cri. □ B. Apparait après activation de la voie classique du
81. Parmi les protéines régulatrices du système du com- complément.
plément on peut citer [RATT] □ C. Possède un récepteur sur le polynucléaire neutro-
□ A. Le c1 inh phile.
□ B. Les facteurs h et l □ D. Est une opsonine
□ C. Le paf □ E. Est une anaphylatoxine
□ B. De l’élimination des complexes antigènes- □ C. Le pontage de l’allergène aux molécules d’ige est
anticorps. indispensable à la dégranulation des mastocytes.
□ C. De la solubilisation des complexes immuns. □ D. Est responsable de la symptomatologie clinique au
□ D. De la dégranulation des éosinophiles. cours de la première phase de l’hyper sensibilité type
□ E. D’une inflammation générée par les anaphyla- 1.
toxines. □ E. Toutes ces propositions sont fausses.
101. La voie alterne d’activation du complément [EMD
1] 2021
□ A. Fait intervenir tous les composants du complément.
□ B. Peut être déclenchée par des complexes immuns à 106. Le récepteur fc ri : [EMD 1]
igg ou à igm. □ A. Est un récepteur de haute affinité de la molécule
□ C. Est activée par certains polysaccharides bactériens ige.
en l’absence d’anticorps. □ B. Est le deuxième acteur moléculaire de l’hyper sen-
□ D. Débute par l’activation du composant c1. sibilité immédiate après l’immunoglobuline e.
□ E. Est fortement régulée par le c1 inhibiteur. □ C. Est un récepteur de faible affinité de la molécule
ige.
□ D. Sa forme soluble joue un rôle important dans l’ho-
2012 méostasle.
□ E. Toutes ces propositions sont justes.
102. Le c3a [EMD 2]
107. Les médiateurs préformés des mastocytes sont :
□ A. Est un produit de dégradation du complément.
[EMD 1]
□ B. Est libéré uniquement au cours de la réponse im-
munitaire spécifique, □ Essentiellement des cytokines.
A.
□ C. Est une anaphylatoxine. □ Essentiellement des chimiokines.
B.
□ D. Active certaines cellules en se fixant sur un récep- □ Essentiellement des médiateurs lipidiques.
C.
teur spécifique. □ D.Des enzymes dont la tryptase et la chymase et
□ E. Est un facteur chimiotactique. des médiateurs toxiques dont l’histamine, essentielle-
ment.
1.3 □ E. Pour la plupart synthétisés au cours de la phase
effectrice tardive.
Hypersensibilité type 1 108. En pratique diagnostique de l’hypersensibilité im-
médiate : [EMD 1]
□ A. Le test cutané est interprété en fonction du témoin
2022
négatif.
103. Le récepteur fcrii : [EMD 1] □ B. Le test cutané est toujours interprétable.
□ C. Le dosage des ige totales est fortement recom-
□ A. Est le premier acteur moléculaire de l’hyper sensi- mandé.
bilité immédiate. □ D. Le dosage des ige spécifiques est indiqué lorsque le
□ B. Est le deuxième acteur moléculaire de l’hyper sen- prick test n’est pas interprétable.
sibilité immédiate. □ E. Toutes ces réponses sont fausses.
□ C. Est un récepteur de haute affinité de la molécule
ige.
□ D. Sa forme soluble joue un rôle important dans l’ho- 2020
méostasie.
□ E. Toutes ces propositions sont fausses. 109. La dégranulation spécifique des mastocytes aura
lieu, suite à [EMD 2]
104. Les médiateurs préformés des mastocytes : [EMD
1] □ A. Fixation des ige sur leurs récepteurs de faible affi-
nité
□ A. Sont essentiellement des médiateurs lipidiques. □ B. Fixation des ige sur le récepteur fcri
□ B. Sont essentiellement des enzymes dont la tryptase □ C. Fixation des complexes immuns à ige sur leurs ré-
et la chymase et des médiateurs toxiques dont l’his- cepteurs de forte affinité
tamine. □ D. Pontage des ige fixées sur leurs récepteurs de forte
□ C. Sont essentiellement des cytokines. affinité par l’allergène
□ D. Sont essentiellement des chimiokines. □ E. Fixation des anaphylatoxines sur leurs récepteurs
□ E. Sont pour la plupart synthétisés au cours de la
phase effectrice tardive. 110. Le test cutané utilisé pour le diagnostic de l’aller-
gie immédiate [EMD 2]
105. L’allergène : [EMD 1]
□ A. Le patch test
□ A. Est un récepteur de haute affinité de la molécule □ B. L’intradermoréaction
ige. □ C. Le prick test
□ B. Est le deuxième acteur moléculaire de l’hyper sen- □ D. Le test d’activation des basophiles
sibilité immédiate après l’immunoglobuline e. □ E. Aucune réponse n’est juste
101 → C 102 → ACDE 103 → D 104 → B 105 → CD 106 → A 107 → D 108 → AD 109 → D 110 → C
111 → BE
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.3. HYPERSENSIBILITÉ TYPE 1
111. Les médiateurs de la phase effectrice précoce de □ A. La présence des lge spécifiques circulants
l’allergie immédiate [EMD 2] □ B. La capacité des mastocytes à libérer l’histamine
□ C. La capacité de l’histamine à provoquer une réac-
□ A. Les ige spécifiques
□ B. L’histamine
tion inflammatoire localisée
□ C. C3a □ D. Les lge spécifiques fixées à la surface des masto-
□ D. Les leucotriènes cytes
□ E. La sérotonine □ E. La recherche de l’allergène causal
112. L’objectif de la désensibilisation dans traitement 119. Au cours des phénomènes de l’hypersensibilité de
de l’allergie ige dépendante est de [EMD 2] type iii , les facteurs déterminants et favorisants la per-
sistance et le dépôt des complexes immuns circulants
□ A. Inhiber les lb
sont [EMD 2]
□ B. Réorienter la réponse tcd4+ vers le profil th1
□ C. Induire une anergie des lt □ A. L’origine de l’antigène reconnu par les anticorps
□ D. Inhiber la fixation des ige sur les mastocytes □ B. L’augmentation de la perméabilité vasculaire
□ E. Inhiber la dégranulation des basophiles □ C. Défaut d’élimination des complexes immuns
113. La désensibilisation allergique consiste à adminis- □ D. La taille des complexes immuns
□ E. Aucune réponse n’est juste
trer au patient [RATT]
120. Au cours de l’hypersensibilité de type i , la réex-
□ A. Des ac anti ige
□ B. Des corticostéroïdes position au même allergène entraine [RATT]
□ C. Des antihistaminiques □ A. La libération des médiateurs néoformés dans les
□ D. Des doses croissantes de l’allergène tissues et les vaisseaux lymphatiques.
□ E. Des doses décroissantes de l’allergène □ B. La reconnaissance de l’allergène par les lympho-
114. La dégranulation spécifique des mastocytes est un cytes t et b naïfs.
phénomène rencontré au cours [RATT] □ C. La prolifération et la différenciation des lympho-
□ A. Des allergies ige dépendantes
cytes b en plasmocytes.
□ D. La sécrétion des ige par les plasmocytes.
□ B. Des réactions inflammatoires
□ E. La fixation des ige sur les mastocytes et les baso-
□ C. De la défense antibactérienne
□ D. Des maladies à complexe immuns philes.
□ E. De l’eczéma de contact 121. La désensibilisation allergique [RATT]
□ A. Consiste administrer des anticorps monoclonaux
2019 anti ige.
□ B. Consiste à administrer des corticostéroïdes.
115. Les tests cutanés utilisés pour le diagnostic de l’al- □ C. Se caractérise par une augmentation de production
lergie ige dépendante sont [EMD 2] des igg spécifiques d’allergènes.
□ D. Se caractérise par une réponse immunitaire de type
□ A. Le patch test
□ B. Le prick test th2.
□ C. Insuffisants pour poser le diagnostic en association □ E. Aucune réponse n’est juste
avec le contexte clinique
□ D. Utilisés pour mettre en évidence les ige circulants
spécifiques
2017
□ E. Utilisés pour mettre en évidence les ige spécifiques
122. L’hypersensibilité ige dépendante [EMD 2]
fixés sur les mastocytes
□ A. Est une hypersensibilité mettant en jeu les poly-
116. La forme clinique de choc anaphylactique dépend
nucléaires neutrophiles.
de [EMD 2] □ B. Implique des cellules d’origine mésenchymateuse.
□ A. La prédisposition génétique □ C. Est causée uniquement par des pneumallergènes.
□ B. La dose de l’allergène □ D. Est une hypersensibilité dont le siège est toujours
□ C. Le taux des lge spécifiques fixés sur les mastocytes interstitiel.
□ D. Le taux des ige spécifiques synthétisés □ E. Toutes ces réponses sont fausses.
□ E. La distribution de l’allergène
123. Au cours de la phase effectrice de l’hypersensibilité
117. Au cours d’une allergie aux acariens, les signes cli- immédiate [EMD 2]
niques précoces observés sont le résultat de [EMD 2]
□ A. La synthèse des iges constitue l’élément primordial
□ A. La libération des prostanglandines de la phase.
□ B. La synthèse des leucotriènes □ B. Te pontage des iges avec l’allergène n’est pas né-
□ C. La libération de l’histamine et destromboxanes cessaire.
□ D. La libération des cytokines th2
□ C. L’afflux des cellules de l’inflammation est précédé
□ E. Aucune réponse n’est juste
par l’exocytose des médiateurs synthétisés par les
118. Le prick test effectué pour un patient chez qui on mastocytes.
suspecte une allergie aux acariens permet de mettre en □ D. La symptomatologie clinique est révélatrice.
évidence [EMD 2] □ E. Aucune de ces réponses n’est juste.
112 → BC 113 → D 114 → A 115 → BE 116 → E 117 → E 118 → DE 119 → BCD 120 → A 121 → C
122 → E 123 → CD
2016 2013
124. Dans le diagnostic de l’hypersensibilité immédiate
131. Les immunoglobulines e (ige) [EMD 2]
[EMD 2]
□ La clinique est basée sur l’interrogatoire
A. □ A. Existent souvent à des taux très faibles, dans le
□ Le prick test n’a pas d’intérêt diagnostic
B. sérum de sujets normaux
□ Le dosage des iges totale est exprimé en ul.
C.
□ En pratique, le dosage d’iges spécifiques est un
D. □ B. Sont présentes dans les granulations des masto-
examen biologique de deuxième intention. cytes
□ E. Aucune de ces propositions □ C. Sont le médiateur principal des bronchospasmes
125. L’hypersensibilité ige dépendante [EMD 2] lors du choc anaphylactique
□ Est une hypersensibilité retardée.
A. □ D. Ont une demi-vie variable selon qu’elles soient cir-
□ Implique des cellules d’origine hématopoïétique.
B. culantes ou fixées sur les cellules
□ Est causée uniquement par des trophallergènes.
C. □ E. Sont des lg dont la synthèse est régulée par l’il4
□ Est une hypersensibilité où l’ige constitue le pre-
D.
mier acteur moléculaire. 132. Parmi les tests suivants, indiquer ceux qui per-
□ E. Son siège est constamment la circulation sanguine.
mettent l’identification du ou des allergènes en cause lors
126. Le rfce ii [EMD 2] d’un phénomène atopique [EMD 2]
□ Est un complexe pluricaténaire.
A.
□ Est un récepteur de haute affinité des iges.
B. □ A. Le dosage des ige totales
□ Est exprimé par les mastocytes et les basophiles.
C.
□ Est exprimé par les éosinophiles, les macrophages
D. □ B. La recherche des lge spécifiques circulantes
et les lymphocytes b. □ C. La recherche d’éosinophiles dans les secrétions na-
□ E. Existe uniquement sous forme membranaire. sales
□ D. Les tests cutanés (prick test)
□ E. Le test de dégranulation des basophiles humain
2015
127. La phase de sensibilisation lors du développement 133. La désensibilisation (traitement de l’hypersensibi-
d’une hypersensibilité de type l fait intervenir nécessai- lité type i) [EMD 1]
rement [EMD 2]
□ A. Est un traitement symptomatique
□ A. Des cellules présentatrices de l’antigène.
□ B. Le système du complément. □ B. Consiste en l’injection de doses croissantes et
□ C. Des lymphocytes t. contrôlés de l’allergène incriminé
□ D. Des lymphocytes b. □ C. Consiste à administrer des drogues qui inhibent la
□ E. Des cellules nk.
libération d’histamine
128. Lors de la phase effectrice d’une hypersensibilité □ D. A pour but d’induire la synthèse d’igg anti ige
de type l, les cellules qui interviennent dans les méca-
□ E. A pour but d’induire la synthèse d’igg anti-
nismes physiopathologiques sont [EMD 2]
allergène incrimine
□ A. Les neutrophiles.
□ B. Les basophiles.
□ C. Les lymphocytes t.
□ D. Les mastocytes.
□ E. Les macrophages. 2012
129. Parmi les moyens thérapeutiques d’une allergie
ige-dépendante, on peut citer [EMD 2] 134. Le mastocyte est activé [EMD 2]
□ A. L’éviction scolaire.
□ B. La désensibilisation. □ A. Après fixation des ige sur le rfcei.
□ C. Les anti- histaminiques. □ B. Après fixation de l’allergène sur une molécule d’ige.
□ D. Les antibiotiques. □ C. Après fixation de l’allergène sur deux ige adja-
□ E. Les corticoïdes. centes.
□ D. Après fixation du c5a.
2014 □ E. Après fixation du c4a.
1.4
142. Dans les anémies hémolytiques auto-immunes :
Hypersensibilité type II [RATT]
□ A. L’anticorps est dirigé contre un antigène propre à
la membrane des cellules endotheliales.
2022 □ B. L’anticorps est toujours dirigé contre le médica-
ment préalablement adsorbé sur le globule rouge.
136. Parmi les affections suivantes, une seule n’est pas □ C. L’anticorps est spécifique uniquement d’un méta-
classée dans les états d’hypersensibilité de type ii, la- bolite du médicament.
quelle ? [EMD 1] □ D. Les mécanismes mis en jeu sont ceux d’une hyper-
□ A. Les leucopénies médicamenteuses.
sensibilité de type ii.
□ E. Le globule rouge peut être détruit directement par
□ B. L’allo-immunisation fœto-maternelle.
□ C. La maladie hémolytique du nouveau-né. le complément.
□ D. La maladie sérique. 143. Dans les états d’hypersensibilité de type ii, on peut
□ E. Le syndrome de good pasture. classer : [EMD 1]
137. L’hypersensibilité de type ii : [EMD 1] □ A. Les leucopénies médicamenteuses.
□ A. Est une réaction immédiate. □ B. Le rejet de greffe hyper aigu.
□ B. S’accompagne de la production d’ige □ C. Les anémies hémolytiques auto-immunes.
□ C. Fait intervenir des antigènes membranaires. □ D. Les allo-immunisations fœto-maternelles.
□ E. Le syndrome de good pasture.
□ D. Fait intervenir les mastocytes.
□ E. Fait intervenir des antigènes solubles. 144. L’hypersensibilité de type ii : [EMD 1]
138. L’hypersensibilité de type ii : [EMD 1] □ A. S’accompagne de la production d’ige.
□ B. Fait intervenir des antigènes membranaires.
□ A. Se manifeste par une réaction localisée au niveau
□ C. Fait intervenir des antigènes solubles.
de l’épiderme, □ D. Fait intervenir les mastocytes.
□ B. Est un phénomène allergique ige dépendant, □ E. Fait intervenir les macrophages.
□ C. Fait intervenir des antigènes membranaires,
□ D. Met en jeu comme principale cellule effectrice la 145. Dans les anémies hémolytiques auto-immunes :
cellule de langerhans, [EMD 1]
□ E. Fait intervenir les macrophages. □ A. L’anticorps est dirigé contre un antigène propre à
139. Dans les anémies hémolytiques auto-immunes : la membrane de l’hématie,
[EMD 1] □ B. L’anticorps est toujours dirigé contre le médica-
ment préalablement adsorbé sur le globule rouge
□ A. L’anticorps est dirigé contre un antigène propre à □ C. L’anticorps est spécifique uniquement d’un méta-
la membrane de l’hématie, bolite du médicament,
□ B. L’anticorps est toujours dirigé contre le médica- □ D. Les mécanismes mis en jeu sont ceux d’une hyper-
ment préalablement adsorbé sur le globule rouge, sensibilité de type ii,
□ C. L’anticorps est spécifique uniquement d’un méta- □ E. Le globule rouge peut être détruit directement par
bolite du médicament le complément.
□ D. Les mécanismes mis en jeu sont ceux d’une hyper-
146. Parmi les affections suivantes, une seule est clas-
sensibilité de type ii
□ E. Le globule rouge peut être détruit directement par sée dans les états d’hypersensibilité de type ii, laquelle ?
le complément. [EMD 1]
□ A. L’anémie mégaloblastique de biermer.
□ B. L’allergie aux acariens.
2021 □ C. La maladie hémolytique du nouveau-né.
□ D. La maladie du poumon de fermier.
140. Dans les états d’hypersensibilité de type ii, on peut □ E. La dermatite atopique.
classer : [RATT]
□ A. Les leucopénies médicamenteuses. 1.5
□ B. Les anémies hémolytiques auto-immunes. Hypersensibilité type III
□ C. Les allo-immunisations transfusionnelles.
□ D. Les allo-immunisations foeto-maternelles.
□ E. Le rejet de greffe hyper-aigu
2022
141. Parmi les affections suivantes, quelle (s) est (sont)
celle (s) qui est (sont) classée (s) dans les états d’hyper- 147. Les antigènes responsables de l’hs semi-retardée
sensibilité de type ii ? [RATT] doivent être : [EMD 1]
□ A. L’anémie mégaloblastique de biermer. □ A. Des haptènes
□ B. L’allergie aux acariens. □ B. Des particules de l’environnement
□ C. La maladie hémolytique du nouveau-né. □ C. Des autoantigènes cellulaires
□ D. La maladie du poumon de fermier. □ D. Des protéines animales
□ E. La dermatite atopique. □ E. Aucune réponse n’est juste
136 → D 137 → C 138 → CE 139 → ADE 140 → ABCDE 141 → C 142 → DE 143 → ABCDE 144 → BE
145 → ADE 146 → C 147 → E 148 → D
□ B. Les cellules de langerhans ne semblent pas jouer □ D. La maladie des éleveurs d’oiseaux
un rôle primordial. □ E. La dermatose de contact
□ C. Les cellules de langerhans sécrètent de l’ifny afin 165. La dermatite de contact [EMD 2]
d’attirer l’haptène. □ A. Le système du complément joue un rôle important
□ D. Les cellules voilées transportent l’ag via les veinules
dans les mécanismes physiopathologiques
de la peau. □ B. Est une réaction épidermique causée par des mo-
□ E. Les cellules interdigitées présentent le peptide an- lécules de type haptène
tigénique principalement aux lymphocytes t cd4+. □ C. Fait intervenir des lymphocytes tcd4+ spécifiques
de l’allergène causal
□ D. Fait intervenir des lymphocytes b spécifiques de
2021 l’allergène causal
□ E. Est un phénomène allergène ige-dépondant
161. L’hypersensibilité de contact : [EMD 1]
166. Parmi les pathologies suivantes, lesquelles corres-
□ A. Est une réaction essentiellement hypodermique. pondent au modèle expérimental du phénomène d’arthus
□ B. Est causée essentiellement par des haptènes, cer-
[EMD 2]
tains composés chimiques de faible poids moléculaire
□ A. La maladie des poumons de fermier
et certains médicaments.
□ B. Lupus érythémateux systémique
□ C. Est causée essentiellement par des conjugués avec
□ C. La maladie des éleveurs d’oiseaux
des haptènes, certains composés chimiques de faible □ D. La polyarthrite rhumatoïde
poids moléculaire et certains médicaments. □ E. La tuberculose.
□ D. Survient initialement suite à la prise en charge d’un 167. Le mécanisme pathologique de l’allo-immunisation
conjugué par les macrophages de l’épiderme. fœto-maternelle [RATT]
□ E. Les cellules voilées de l’épiderme semblent jouer un
□ A. L’hypersensibilité immédiate
rôle primordial.
□ B. La réaction d’arthus
162. Au cours de la phase de sensibilisation de l’hyper- □ C. L’hypersensibilité semi-retardée
sensibilité de contact les : [EMD 1] □ D. L’hypersensibilité cytotoxique
□ E. L’hypersensibilité à complexe immuns
□ A. Cellules de langerhans ne semblent pas jouer un
168. La formation du granulome peut de voir lors
rôle primordial.
□ B. Cellules voilées transportent l’ag via le : veinules [RATT]
de la peau. □ A. Du déficit quantitatif des granulocytes
□ C. Cellules interdigitées présentent le peptide antigé- □ B. Du déficit en molécules d’adhésion
□ C. De l’hypersensibilité de type iv
nique principalement aux lymphocytes t cd4+. □ D. De l’hypersensibilité de type i
□ D. Infiltrats dermiques et épidermiques s’accentuent □ E. De la maladie de bruton
pour atteindre un maximum entre 48 et 72 h.
169. Les cellules impliquées dans le mécanisme de l’hy-
□ E. Cellules de langerhans sécrètent de l’ifn afin d’at-
persensibilité de contact sont [RATT]
tirer l’haptène.
□ A. Th1 + tcd8
163. L’hypersensibilité retardée type tuberculinique : □ B. Th2 + mastocytes
[EMD 1] □ C. Th1 + lb
□ A. Est de localisation épidermique. □ D. Th2 + lb
□ B. Est la forme la plus classique de l’hypersensibilité □ E. Th1 + macrophage
retardée. 170. La phagocytose est impliquée dans le mécanisme
□ C. Le test cutané est toujours interprétable. pathologique de [RATT]
□ D. Survient après injection intradermique de compo- □ A. L’asthme allergique
sés chimiques notamment les pesticides et les produits □ B. L’anémie hémolytique auto-immune
cosmétiques. □ C. La maladie du poumon de fermier
□ E. Les cellules de langerhans semblent jouer un rôle □ D. L’intradermoréaction à la tuberculine
primordial. □ E. L’hypersensibilité de contact
1.7 2019
Hypersensibilité types 2, 3, 4 171. La maladie hémolytique du nouveau-né (l’allo-
immunisation fœto-maternelle) [EMD 2]
□ A. Se voit chez le fœtus rhésus négatif d’une mère
2020 rhésus négatif
□ B. Se voit chez le fœtus rhésus positif d’une mère rhé-
164. La voie classique du complément n’est pas impli-
sus négatif
quée dans les mécanismes physiopathologiques de [EMD
□ C. Les anticorps incriminés sont des ige
2] □ D. Le système du complément joue un rôle important
□ A. L’hypersensibilité granulomateuse dans les mécanismes physiopathologiques
□ B. L’anémie hémolytique médicamenteuse □ E. Le traitement se fait par l’injection du sérum anti-d
□ C. L’allo-immunisation fœto-maternelle au fœtus avant 72h après la naissance.
161 → C 162 → CD 163 → B 164 → AE 165 → BC 166 → AC 167 → D 168 → C 169 → AE 170 → BC
171 → B
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.7. HYPERSENSIBILITÉ TYPES 2, 3, 4
□ A. Une maladie auto- immune non spécifique d’organe □ A. Est caractérisé cliniquement par des œdèmes de la
□ B. Une réaction d’hypersensibilité de type ii face, du cou, et des douleurs abdominales
□ C. Une réaction d’hypersensibilité de type iii □ B. Est dû à un déficit de la fraction c1 du complément,
□ D. Une réaction d’hypersensibilité ige- dépendante □ C. Est caractérisé par un abaissement des taux des
□ E. Une réaction d’hypersensibilité retardée composants c2, c4 et c1inh du complément,
□ D. Existe sous deux types, dont le plus fréquent est le
173. La dégranulation des mastocytes est un phéno-
type i ,
mène rencontré au cours [RATT] □ E. Est une affection héréditaire transmise sur le mode
□ A. Des allergies ige dépendantes autosomal dominant
□ B. Des réactions inflammatoires
180. Les cellules nk peuvent intervenir dans les méca-
□ C. De la défense antibactérienne
nismes physiopathologiques de [EMD 2]
□ D. Des maladies à complexes immuns
□ E. De l’eczéma de contact □ A. L’hypersensibilité type l.
□ B. L’hypersensibilité type iv .
174. L’activation du complément est une fonction effec-
□ C. Lhypersensibilité type ii.
trice des [RATT] □ D. Tous les états d’hypersensibilité.
□ A. Iga □ E. L’hypersensibilité type iii.
□ B. Ige 181. L’allo-immunisation fœto-maternelle (la maladie
□ C. Igm
hémolytique du nouveau-né) est [EMD 2]
□ D. Igg
□ E. Igd □ A. Due à un passage des anticorps anti- d de la mère
au fœtus.
□ B. Due à des anticorps anti- d synthétisés par le fœtus.
2018 □ C. Souvent due à une incompatibilité dans le système
rhésus.
175. Une hémolyse est observée après une transfusion □ D. Prévenue par l’administration de l’antigène d à la
sanguine, elle peut être due à [EMD 2] mère.
□ A. La présence de complexes immuns circulants dans □ E. Prévenue par l’injection d’anti- d au nouveau-né.
le sang transfusé. 182. Les réactions d’hypersensibilité type iii font inter-
□ B. Une incompatibilité dans le système abo. venir [EMD 2]
□ C. Une incompatibilité dans le système rhésus.
□ A. Les complexes immuns à igg.
□ D. La présence d’auto anticorps anti-globules rouges.
□ B. Le système du complément.
□ E. La présence d’autoanticorps antinucléaires.
□ C. Les complexes immuns à iga.
176. Au cours d’une maladie à complexes immuns cir- □ D. Les polynucléaires neutrophiles.
culants, on note habituellement [EMD 2] □ E. Les complexes immuns à igm.
□ A. Une augmentation des composants c3 et c4 du com- 183. L’hypersensibilité de contact [EMD 2]
plément. □ A. Se traduit cliniquement par une urticaire.
□ B. Une diminution des composants c3 et c4 du com- □ B. Est une réaction localisée au niveau de l’épiderme.
plément. □ C. Fait intervenir les ige spécifiques de l’antigène cau-
□ C. Une diminution du composant c3 seulement. sal.
□ D. Une diminution du composant c4 seulement. □ D. Apparait 24 à 48 heures après le second contact
□ E. Une diminution du c3 et une augmentation du c4 avec l’antigène.
177. La voie alterne du complément n’est pas impliquée □ E. Met en jeu comme principale cellule présentatrice
dans les mécanismes physiopathologiques de [EMD 2] de l’antigène, la cellule de langerhans.
□ A. L’anémie i ’hémolytique médicamenteuse
□ B. L’allo immunisation fœto-maternelle 2016
□ C. La maladie des éleveurs d’oiseaux
□ D. La dermatite de contact 184. Au cours des réactions d’hypersensibilité type iii ,
□ E. L’hypersensibilité tuberculinique les complexes immuns [EMD 2]
178. Les cellules nk sont habituellement impliquées □ A. Peuvent de former au niveau de la circulation san-
dans les mécanisme physiopathologiques de [EMD 2] guine puis se déposer au niveau de certains organes
□ A. La maladie des poumons de fermier et tissus
□ B. Le lupus érythémateux disséminé □ B. Peuvent se former au niveau d’un organe ou un
□ C. L’anémie hémolytique auto-immune tissu
□ D. L’hypersensibilité granulomatose □ C. Peuvent être observé même en l’absence d’immu-
□ E. L’hypersensibilité de contact nisation préalable
172 → C 173 → ABD 174 → CD 175 → BC 176 → B 177 → ABCDE 178 → ABC 179 → ACDE 180 → CE
181 → AC 182 → ABDE 183 → BDE 184 → ABDE 185 → ABCDE
□ D. Peuvent être formés d’autoanticorps et auto- 192. Les réactions d’hypersensibilité de type ii [EMD 2]
antigène □ A. Font intervenir des anticorps de type igg
□ E. Peuvent activer le système du complément □ B. S’accompagnent d’une hyperproduction du com-
185. Intervient dans les mécanismes physiopatholo- plément,
giques de l’hypersensibilité type iii [EMD 2] □ C. Sont dues à l’activation des basophiles
□ D. Font intervenir des anticorps de type igm,
□ A. Les monocytes / les macrophages □ E. Sont en rapport avec la formation et le dépôt d’im-
□ B. Le système du complément
muns complexes dans ou autour des petits vaisseaux.
□ C. Les lymphocytes t et b
□ D. Les polynucléaires 193. L’intradermoréaction à la tuberculine [EMD 2]
□ E. Les plaquettes □ A. Est un test cutané.
□ B. Explore l’immunité à médiation cellulaire.
□ C. Explore l’immunité à médiation humorale.
2015 □ D. Nécessite une phase de sensibilisation antérieure.
□ E. Ne nécessite pas de phase de sensibilisation anté-
186. Les complexes immuns [EMD 2, RATT]
rieure.
□ A. Se forment toujours dans le sang.
□ B. Se forment toujours localement.
□ C. Ne sont jamais retrouvés dans led. 2014
□ D. Ne se forment pas toujours dans le sang
□ E. Ne se forment pas toujours localement. 194. Quelques jours après l’injection de sérum antitéta-
nique d’origine équine (cheval), un blessé présent hyper-
187. L’intradermoréaction a la tuberculine [RATT]
thermie, des arthralgies et une atteinte rénale. ce tableau
□ A. Explore l’immunité naturelle. clinique correspond probablement à une [EMD 2]
□ B. Explore l’immunité spécifique.
□ C. Ne nécessite pas de sensibilisation antérieure. □ A. Maladie auto-immune non spécifique d’organe.
□ D. Est un test cutané □ B. Réaction d’hypersensibilité de type ii.
□ E. Nécessite une sensibilisation antérieure □ C. Réaction d’hypersensibilité de type iii.
□ D. Réaction d’hypersensibilité lge-dépendante.
188. L’hypersensibilité de type ll [EMD 2] □ E. Réaction d’hypersensibilité retardée.
□ A. S’accompagne de la production d’ige. 195. La formation du granulome peut se voir au cours
□ B. Fait intervenir des antigènes membranaires. [EMD 2]
□ C. Fait intervenir des antigènes solubles.
□ D. Fait intervenir les mastocytes. □ A. De la granulomatose septique chronique.
□ E. Fait intervenir les macrophages. □ B. De l’hypersensibilité type l.
□ C. De l’hypersensibilité type iv.
189. Le test de coombs direct permet de mettre en évi- □ D. Du déficit en molécules d’adhésion.
dence [EMD 2] □ E. De la maladie de bruton.
□ A. Des ac anti-érythrocytaires libres dans le sérum 196. Les monocytes /macrophages jouent un rôle im-
□ B. Des ac fixés in vivo sur les hématies du malade portant dans les mécanismes physiopathologiques de
□ C. Des ac fixés in vitro sur les hématies du malade [EMD 2]
□ D. Le c3b fixé sur les hématies du malade
□ E. Des ac anti-lg □ A. L’hypersensibilité type i.
□ B. L’hypersensibilité type ii.
190. Les affections suivantes relèvent d’un état d’hyper- □ C. L’hypersensibilité type iii.
sensibilité de type il sauf une. laquelle ? [EMD 2] □ D. L’hypersensibilité type iv.
□ E. Aucune réponse n’est juste.
□ A. Anémie hémolytique auto-immune.
□ B. Maladie hémolytique du nouveau-né par incompa- 197. La maladie hémolytique du nouveau-né (l’allo-
tibilité rhésus. immunisation fœto-maternelle) [EMD 2]
□ C. Syndrome de goodpasture. □ A. Se voit chez le fœtus rhésus négatif d’une mère
□ D. Cytopénie médicamenteuse.
rhésus positif.
□ E. La dermatite atopique.
□ B. Se voit chez le fœtus rhésus positif d’une mère rhé-
191. Dans les anémies hémolytiques auto-immunes sus négatif.
[EMD 2] □ C. Sa prévention fait appel à la sérothérapie anti-d.
□ D. Les anticorps incriminés sont des lgg.
□ A. L’anticorps est dirigé contre un antigène propre à
□ E. Les anticorps incriminés peuvent être des lgm.
la membrane de l’hématie,
□ B. L’anticorps est toujours dirigé contre le médica- 198. L’hypersensibilité de contact [EMD 2]
ment préalablement adsorbé sur le globule rouge, □ A. Est une réaction épidermique causée par des mo-
□ C. L’anticorps est spécifique uniquement d’un méta- lécules de type haptène.
bolite du médicament □ B. Fait intervenir le système du complément.
□ D. Les mécanismes mis en jeu sont ceux d’une hyper- □ C. Peut être explorée in vivo par le patch test.
sensibilité de type ii , □ D. Est un phénomène allergique lge-dépendant.
□ E. Le globule rouge peut être détruit directement par □ E. Fait intervenir des lymphocytes tcd4+ spécifiques
le complément. de l’allergène causal.
186 → DE 187 → BDE 188 → BE 189 → B 190 → E 191 → ADE 192 → AD 193 → ABD 194 → C
195 → AC 196 → BCD 197 → BCD 198 → ACE
2013 2012
199. Les igg peuvent intervenir dans les mécanismes 206. Les états d’hypersensibilités [EMD 2]
physiopathologiques de [EMD 2] □ A. Sont des réactions exagérées de l’organisme.
□ A. L’hypersensibilité type i. □ B. Sont déclenchées par un premier contact avec l’ag.
□ B. L’hypersensibilité type ii □ C. Sont induites par un second contact avec l’ag.
□ C. L’hypersensibilité type iii. □ D. Sont classées par gell et coombs en fonction de
□ D. L’hypersensibilité type iv leurs mécanismes effecteurs.
□ E. Tous les états d’hypersensibilité □ E. Sont toutes dues à l’intervention des anticorps.
200. Lesquelles de ces types cellulaires interviennent 207. Les réactions d’hypersensibilité type ii peuvent
dans les mécanismes physiopathologiques des quatre faire intervenir [EMD 2]
états d’hypersensibilité (i, ii, iii et iv ) [EMD 2] □ A. Les igm.
□ A. Les lymphocytes b. □ B. Le système du complément.
□ B. Les lymphocytes t □ C. Les mastocytes.
□ C. Les mastocytes. □ D. Les cellules nk.
□ D. Les polynucléaires neutrophiles □ E. Les macrophages.
□ E. Les cellules nk
208. Les réactions d’hypersensibilité type iii peuvent
201. Au cours des phénomènes de l’hypersensibilité faire intervenir [EMD 2]
type iii, les facteurs déterminant et favorisant la persis-
□ A. Les complexes immuns à iga.
tance et le dépôt des complexes immuns circulants sont □ B. Le système du complément.
[EMD 2] □ C. Les macrophages.
□ A. Défaut d’élimination des complexes immuns □ D. Toutes les propositions sont fausses
□ B. L’origine de l’antigène reconnu par les anticorps □ E. Les polynucléaires neutrophiles.
□ C. La taille des complexes immuns 209. Dans les états d’hypersensibilité de type iii , on
□ D. L’augmentation de la perméabilité vasculaire
peut classer [EMD 2]
□ E. Aucune réponse n’est juste.
□ A. L’alvéolite allergique extrinsèque
202. Parmi les pathologies suivantes, lesquelles corres-
□ B. Les anémies hémolytiques auto-immunes.
pondent au modèle expérimental du phénomène d’arthus □ C. La polyarthrite rhumatoïde.
[EMD 2] □ D. Les leucopénies médicamenteuses.
□ A. La maladie des poumons de fermier. □ E. Le syndrome de good pasture.
□ B. Le lupus érythémateux systémique 210. Le système du complément peut jouer un rôle im-
□ C. La maladie des éleveurs d’oiseaux portant dans [EMD 2]
□ D. La polyarthrite rhumatoïde
□ E. Le choc anaphylactique □ A. Les états d’hypersensibilité de type i
□ B. Les états d’hypersensibilité de type ii
203. L’allo-immunisation fœto-maternelle (la maladie
□ C. Les états d’hypersensibilité de type iii
hémolytique du nouveau-né) [EMD 2] □ D. Les états d’hypersensibilité de type iv
□ A. Est souvent due à une incompatibilité dans le sys- □ E. Tous les états d’hypersensibilité
tème abo
□ B. Est due à des anticorps anti-d synthétisés par le 1.8
nouveau-né.
□ C. Est due à un passage des anticorps anti-d de la
Les antigènes
mère au fœtus.
□ D. Est prévenue par l’injection d’anti-d au nouveau-
né. 2022
□ E. Est traitée par l’administration de l’antigène d la
mère. 211. Parmi ces propositions concernant les antigènes,
laquelle est correcte : [EMD 1]
204. La formation du granulome peut s’observer au
cours de [RATT] □ A. Certains sont immunogéniques mais non antigé-
niques
□ A. L’hypersensibilité type i
□ B. Certains sont antigéniques mais non immunogé-
□ B. L’hypersensibilité type ii
□ C. L’hypersensibilité type iv niques.
□ D. La granulomatose septique chronique □ C. La majorité sont immunogéniques mais non anti-
□ E. La maladie de bruton géniques.
□ D. La majorité sont antigéniques mais non immuno-
205. La formation du granulome peut s’observer au
géniques.
cours de [EMD 2] □ E. Tous sont immunogéniques et antigéniques.
□ A. L’hypersensibilité type l. 212. Chez l’homme, peuvent être des allo-antigènes :
□ B. L’hypersensibilité type ii.
[EMD 1]
□ C. L’hypersensibilité type iv.
□ D. La granulomatose septique chronique. □ A. Les composants du complément.
□ E. La maladie de bruton □ B. Les acides nucléiques.
199 → BC 200 → B 201 → ACD 202 → AC 203 → C 204 → CD 205 → CD 206 → AD 207 → ABDE
208 → BCE 209 → AC 210 → BC 211 → B 212 → C
□ C. Les molécules du cmh. □ B. Une partie de l’antigène qui n’est pas reconnu par
□ D. Les antigènes bactériens. les effecteurs du système immunitaire.
□ E. Les antigènes viraux. □ C. Partie de l’anticorps par laquelle il reconnait l’an-
213. Parmi ces polypeptides le quel est théoriquement tigène.
le moins immunogène : [EMD 1] □ D. Egalement appelé paratope
□ E. Aucune réponse n’est juste.
□ A. 160 aa fait de la succession de 12 aa différents par
219. Les ag t-indépendants [EMD 2]
voie intramusculaire.
□ B. 115 aa fait de la succession de 4 aa différents par □ A. Activent le lymphocyte b sans l’aide des lympho-
voie intraveineuse. cytes t.
□ C. 110 aa fait de la succession de 12 aa différents par □ B. Activent le lymphocyte b avec aide des lympho-
vole intramusculaire. cytes t.
□ D. 150 aa fait de la succession de 12 aa différents par □ C. Sont internalisés avec le bcr pour être présentés
voie intradermique. aux lymphocytes t
□ E. 115 aa fait de la succession de 4 aa différents par □ D. Sont majoritaires.
voie intramusculaire. □ E. Sont représentés par les ag protéiques.
214. Concernant les caractéristiques de l’antigénicité, 220. En ne prenant que la taille et la complexité de
laquelle est fausse : [EMD 1] structure, laquelle de ces protéines serait la plus immu-
nogène [EMD 2]
□ A. Un même épitope peut être reconnu par deux an-
ticorps différents. □ A. Protéine de 200 aa faite de 12 aa différents.
□ B. Un même antigène peut présenter plusieurs épi- □ B. Protéine de 180 aa faite de 10 aa différents.
□ C. Protéine de 250 aa faite de 15 aa différents.
topes différents □ D. Protéine de 130 aa faite de 12 aa différents.
□ C. Un même antigène peut posséder des épitopes t et
□ E. Protéine de 260 aa faite de 05 aa différents.
des épitopes b.
□ D. Un épitope conformationnel est reconnu par l’an-
ticorps même après dénaturation de la protéine 2020
□ E. Un épitope linéaire est reconnu par l’anticorps sur
la molécule native et sur la molécule dénaturée 221. Les antigènes hla- dr [RATT]
215. La réponse immunitaire secondaire aux ag t- □ A. Sont exprimées par toutes les cellules nucléées de
dépendants est caractérisée par : [EMD 1] l’organisme
□ B. Permettent la présentation des peptides endogènes
□ A. Un temps de latence allongé.
□ C. Font partie de la superfamille des immunoglobu-
□ B. Une synthèse d’lgg en grande quantité.
□ C. Une diminution de l’affinité des fragments fab.
lines
□ D. Partagent la structure de base avec les molécules
□ D. La synthèse d’lgm de faible affinité.
□ E. La disparition de lymphocytes b mémoires. hla cw
□ E. Représentent un marqueur d’activation lympho-
216. La réponse immunitaire secondaire à un antigène cyte t
t-indépendant se caractérise par : [EMD 1]
222. L’antigénicité est
□ Une forte proportion d’anticorps de classe iga.
A.
□ Une production d’anticorps rapide.
B. □ A. La capacité d’une molécule à stimuler le système
□ Une production d’anticorps de classe igm.
C. immunitaire.
□ Une augmentation globale de l’affinité des anti-
D. □ B. La capacité d’une molécule à stimuler les polynu-
corps. cléaires neutrophiles.
□ E. Une forte proportion d’anticorps de classe lgg. □ C. La capacité d’une molécule à se lier à des effecteurs
de système immunitaire
217. La réponse en anticorps aux ag t-dépendants : □ D. Une propriété qui n’existe pas pour les haptènes.
[EMD 1] □ E. Une caractéristique propre aux lymphocytes t.
□ A. Nécessite la coopération des lymphocytes b avec 223. Chez l’homme, peuvent être des hétéro-antigènes
les lymphocytes th2.
□ A. Les antigènes érythrocytaires du système sanguin
□ B. Nécessite la coopération des lymphocytes b avec
abo.
les lymphocytes th1. □ B. Les molécules du cmh classe i.
□ C. Nécessite la coopération des lymphocytes b avec
□ C. Les molécules du cmh de classe ii.
les lymphocytes treg. □ D. L’albumine
□ D. Ne nécessite pas la coopération entre les lympho- □ E. Les antigènes viraux.
cytes t et b.
224. Parmi ces polypeptides lequel est théoriquement
□ E. Concerne les antigènes polysaccharidiques.
le plus immunogène
□ A. 155 aa : cys-met-val-met-val-cys-leu-val-met-cys-
2021 val-leu-met.
□ B. 150 aa : ala-lle-pro-pro-ala-pro-ile-ala-pro-ala-pro-
218. Le déterminant antigénique est [EMD 2]
ala-pro-ala-.
□ A. Une séquence d’une trentaine d’acides aminés re- □ C. 100 aa : arg-asn-glu-his-met-ser-tyr-val-lys-phe-
connue par un anticorps spécifique ala-gin-ala-...
213 → B 214 → D 215 → B 216 → C 217 → A 218 → E 219 → A 220 → C 221 → CE 222 → C
223 → E 224 → D
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.8. LES ANTIGÈNES
225 → B 226 → AD 227 → DE 228 → AE 229 → BC 230 → C 231 → AD 232 → BD 233 → ADE
234 → C 235 → C 236 → ACE 237 → ABC 238 → AD
□ A. Activent les lymphocytes b avec l’aide des lympho- 245. De façon générale, quelles sont les voies d’introduc-
cytes t. tion de l’antigène qui sont les plus immunogènes (cochez
□ B. Activent les lymphocytes b sans l’aide des lympho- trois propositions) [EMD 1]
cytes t. □ A. Intramusculaire.
□ C. Sont présentés en association avec une molécule du □ B. Orale.
cmh de classe i aux lymphocytes t helper. □ C. Sous cutanée.
□ D. Sont majoritaires □ D. Intradermique
□ E. Sont minoritaires □ E. Intraveineuse.
239. Les antigènes t-indépendants [RATT] 246. Les ag t-dépendants [EMD 1]
□ A. Activent les lymphocytes b sans l’aide des t □ A. Activent les b sans l’aide des t helper.
□ B. Activent les b avec l’aide des t helper.
□ B. Activent les lymphocytes b avec l’aide des t.
□ C. Entrainent une réponse spécifique secondaire en ac
□ C. Sont reconnus par le bcr à l’état natif.
□ D. Sont reconnus par le bcr une fois dégradés. de classe igm.
□ D. Sont majoritaires.
□ E. Sont minoritaires.
□ E. Sont minoritaires.
240. Les antigènes endogènes [RATT] 247. Le bcr [RATT]
□ A. Sont présentés aux lymphocytes t associés à des □ A. Est présent uniquement sur les lymphocytes b.
molécules du cmh de classe i. □ B. Possède une organisation en domaines.
□ B. Sont présentés aux lymphocytes t associés à des □ C. Ne possède pas une organisation en domaines.
molécules du cmh de classe ii. □ D. Reconnait l’antigène entier.
□ C. Sont présentés aux lymphocytes t à l’état natif. □ E. Reconnait l’antigène dégradé.
□ D. Sont présentés aux lymphocytes t une fois dégra- 248. Les ag t-indépendants [RATT]
dés. □ A. Activent les b sans l’aide des t helper.
□ E. Toutes les propositions sont fausses. □ B. Activent les b avec l’aide des t helper.
241. Les antigènes exogènes [RATT] □ C. Entrainent une réponse spécifique secondaire en ac
de classe igg.
□ A. Sont reconnus par les lymphocytes b. □ D. Sont majoritaires.
□ B. Ne sont pas reconnus par les lymphocytes b. □ E. Sont minoritaires.
□ C. Sont reconnus par les lymphocytes t sans présen-
249. Un antigène [RATT]
tation.
□ D. Sont reconnus par les lymphocytes t présentés par □ A. Peut posséder plusieurs épitopes identiques
□ B. Peut posséder plusieurs épitopes différents.
des molécules hla de classe l . □ C. Peut posséder des épitopes conformationnels et des
□ E. Sont reconnus par les lymphocytes t présentés par
épitopes linéaires.
les molécules hla de classe ll . □ D. Peut-être soluble ou particulaire.
□ E. Peut ne pas induire une réponse immunitaire.
2016
2015
242. De façon générale, quelles sont les voies d’introduc-
tion de l’antigène qui sont les plus immunogènes (cochez 250. Les antigènes t indépendants [EMD 1]
trois propositions) [RATT] □ A. Ont besoin de l’aide des t pour activer les b.
□ A. Intramusculaire. □ B. N’ont pas besoin de l’aide des t pour activer les b.
□ B. Orale. □ C. Toutes tes réponses sont fausses.
□ D. Sont majoritaires
□ C. Sous cutanée.
□ E. Sont minoritaires
□ D. Intradermique
□ E. Intraveineuse. 251. Les antigènes sont des molécules [EMD 1]
243. Un antigène [EMD 1] □ A. Capables de stimuler un système immunitaire.
□ B. Qui peuvent posséder un ou plusieurs épitopes.
□ A. Peut posséder plusieurs épitopes identiques □ C. Caractérisées par la propriété d’antigénicité.
□ B. Peut posséder plusieurs épitopes différents. □ D. Qui peuvent être du soi
□ C. Peut posséder des épitopes conformationnels et des □ E. Souvent de nature glucidique
épitopes linéaires. 252. L’immunogénicité d’une molécule antigénique dé-
□ D. Peut-être soluble ou particulaire. pend de [EMD 1]
□ E. Peut ne pas induire une réponse immunitaire.
□ A. La complexité de sa structure.
244. Selon vous, laquelle de ces séquences d’acides ami- □ B. L’horaire de l’administration.
nés serait la plus immunogène [EMD 1] □ C. La dose administrée.
□ D. La voie d’administration
□ A. Ala-ala-lys-ala-lys ala-ala-lys-ala-lys-ala. □ E. L’utilisation d’adjuvants
□ B. Asp-lys-asx-val-asp-val-arg-phe-asx-val-asx.
253. L’immunogénicité d’un antigène donné sera théo-
□ C. Asn-val-arg-phe-leu-met-asp-lys-pro-thr-ala-..
□ D. Asp-lys-val-asp-val-arg-phe-val-lys-asp-lys-val-asp. riquement la plus élevée quand on utilise [EMD 1]
□ E. Asn-lys-ala-lys-asn-ala-lys-ala-lys-asn-lys-asn-ala- □ A. Forte dose, introduction par voie respiratoire (in-
lys ala. halation).
239 → ACE 240 → AD 241 → AE 242 → ACD 243 → ABCDE 244 → C 245 → ACD 246 → BD 247 → ABD
248 → AE 249 → ABCDE 250 → BE 251 → ABCD 252 → ACDE 253 → C
1.9
□ B. Forte dose, sans adjuvent, introduction par voie iv.
□ C. Dose moyenne, avec adjuvant, introduction par Les cellules de l’immunité
voie im.
□ D. Dose moyenne, sans adjuvant, introduit par voie
sc. 2022
□ E. Faible dose, introductions répétées, par voie orale.
254. Les antigènes t-dépendants [RATT] 260. Le lymphocyte t ne peut pas être : [EMD 1]
□ A. Un support important de la réponse immunitaire
□ A. Ont besoin de l’aide des t pour activer les b
□ B. N’ont pas besoin de l’aide des t pour activer les b
innée.
□ B. Auxiliaire de la réponse immunitaire.
□ C. Toutes les réponses sont fausses. □ C. Cytotoxique.
□ D. Sont majoritaires □ D. Régulateur de la réponse immunitaire humorale.
□ E. Sont minoritaires □ E. Sécréteur de cytokines.
261. Le lymphocyte b : [EMD 1]
□ A. Sort complètement mature de la moelle osseuse.
2014 □ B. Subit au niveau de la moelle osseuse uniquement
la sélection négative.
255. Les antigènes thymodépendants [EMD 1]
□ C. Porte à sa sortie de la moelle osseuse une lgm et
□ Sont sécrétés par les plasmocytes.
A. une igd de surface.
□ N’induisent pas de mémoire immunologique.
B. □ D. Porte la molécule du cmh de classei.
□ Induisent une mémoire immunologique.
C. □ E. Ne porte pas la molécule du cmh de classe i.
□ D.Induisent la sécrétion d’anticorps d’isotype igm 262. La molécule cd3 : [EMD 1]
seulement. □ A. Est portée par les thymocytes simple-positifs.
□ E. Nécessitent pour leur réponse, une coopération des □ B. N’est pas portée par les thymocytes double-
lymphocytes t avec les lymphocytes b. positifs.
□ C. Est retrouvée uniquement sur les lymphocytes t
256. Les haptènes sont des substances [EMD 1]
cytotoxiques.
□ A. De haut poids moléculaire. □ D. Est retrouvée uniquement sur les lymphocytes t
□ B. De faible poids moléculaire. helper.
□ C. Non immunogènes seules. □ E. Est impliquée dans la reconnaissance et la liaison
□ D. Antigéniques. des antigènes.
□ E. Non antigéniques. 263. Le bcr : [EMD 1]
257. Les adjuvants [EMD 1] □ A. Reconnait l’antigène seul.
□ B. Reconnait l’antigène dégradé.
□ A. Augmentent l’antigénicité. □ C. Reconnait l’antigène associé à la molécule du cmh
□ B. Augmentent l’immunogénicité. □ D. Est associé à la molécule cd3.
□ C. Sont produits par les lymphocytes t. □ E. Toutes les réponses sont fausses
□ D. Sont produits par les lymphocytes b.
□ E. Sont produits par les cellules présentatrices d’anti-
gènes. 2021
264. La molécule cd8 [EMD 2]
254 → AD 255 → CE 256 → BCD 257 → B 258 → AD 259 → AB 260 → A 261 → D 262 → A 263 → A
264 → A 265 → B 266 → B
□ D. Reconnait ’ag non dégradé associé à la molécule □ A. Possède des granulations intracytoplasmiques.
du cmh. □ B. Possède un seul mécanisme d’action.
□ E. Est constitué toujours par l’association des deux □ C. Prend naissance à partir de la cellule souche myé-
chaines et . loïde.
□ D. Reconnait comme cibles les cellules qui expriment
267. Le lymphocyte b [EMD 2] de façon normale les molécules du cmh de classe i
□ A. Se comporte comme cpa pour obtenir de l’aide de □ E. A un rôle marginal dans la lutte anti-tumorale.
la part des th1. 274. Les thymocytes immatures se localisent au niveau
□ B. Se comporte comme cpa pour obtenir de l’aide de de [EMD 1]
la part des th2. □ A. La moelle osseuse
□ C. Se comporte comme cpa pour obtenir de l’aide de □ B. Le cortex thymique
la part des th0 . □ C. La médulla thymique
□ D. Possède un bcr qui reconnait l’ag dégradé sans pré- □ D. La jonction corticomédullaire
sentation par une molécule du cmh. □ E. L’espace sous-capsulaire
□ E. Possède un bcr qui reconnait l’ag non dégradé as- 275. Les thymocytes double-positif [EMD 1]
socié à une molécule du cmh. □ A. Se trouvent au niveau du thymus
□ B. Se trouvent au niveau des organes lymphoïdes pé-
2020 riphériques
□ C. Sont matures
□ D. Sont immatures
268. La cellule dendritique [EMD 1]
□ E. Sont bien différenciés
□ A. Est une cellule sanguine 276. Les th2 [EMD 1]
□ B. Est une cellule tissulaire
□ C. Porte les molécules du cmh de classe l □ A. Portent la molécule cd4
□ B. Portent la molécule cd8
□ D. Ne porte pas les molécules du cmh de classe ii
□ C. Coopèrent avec le lymphocyte b
□ E. Est complètement mature à sa sortie de la moelle
□ D. Coopèrent avec le lymphocyte t cytotoxique
osseuse □ E. Orientent la réponse immunitaire vers une réponse
269. Le macrophage à médiation cellulaire
□ A. Est un phagocyte mononuclée.
□ B. Ne joue pas le rôle de cpa. 2019
□ C. Prend naissance à partir de la cellule souche lym-
phoïde. 277. La tolérance centrale [RATT]
□ D. Est un phagocyte polynuclée.
□ Concerne uniquement les lymphocytes t
A.
□ E. Ne porte pas de cr1. □ Concerne les lymphocytes t et les lymphocytes b
B.
270. Le polynucléaire neutrophile □ A lieu au niveau des organes lymphoïde centraux
C.
□ A lieu au niveau des organes lymphoïde périphé-
D.
□ A. Est la dernière cellule appelée du sang à intervenir
riques
au niveau d’un site infecté. □ E. Est appelé également auto tolérance
□ B. Répond à des signaux chimiotactiques,
□ C. Joue le rôle de cpa. 278. La molécule cd4 [EMD 1]
□ D. N’a jamais besoin d’aide pour phagocyter les mi- □ A. Est le ligand de la molécule hla i
croorganismes. □ B. Est le ligand de la molécule hla ii
□ E. Travers la barrière endothéliale vers un site réac- □ C. Est portée par les thymocytes dp
□ D. Est portée par les thymocytes tn
tionnel sans aucune aide.
□ E. Est entièrement extracellulaire
271. Le tcr 279. Les lb folliculaires [EMD 1]
□ A. Est toujours constitué des deux chaines et . □ A. Sont majoritaires
□ B. Est associé à la molécule lg alpha. □ B. Sont minoritaires
□ C. Reconnait un bout d’ag associé à une molécule du □ C. Répondent aux antigènes t dépendants
cmh, présentés par une cpa. □ D. Répondent aux antigènes t indépendants
□ D. Reconnait un bout d’ag associé à une molécule du □ E. Sont immatures
cmh sans présentation par une cpa. 280. Les th2 [EMD 1]
□ E. Est associé à la molécule lg béta.
□ A. Coopèrent avec tous les lb
272. Le bcr □ B. Ne coopèrent pas avec tous les lb
□ C. Coopèrent dans certains cas avec les ltc
□ A. Reconnait l’ag associé à une molécule du cmh. □ D. Agissent par contact cellulaire
□ B. Reconnait l’ag sans association à une molécule du □ E. Agissent par le biais de cytokines
cmh.
281. La plaque de peyer comprend [RATT]
□ C. Est associé à la molécule cd3.
□ D. Reconnait l’ag présenté par une cpa. □ A. La cellule m
□ E. Peut être présent sur des cellules autres que le lym- □ B. Les lymphocytes intraépithéliaux
□ C. Le ganglion mésentérique
phocyte b.
□ D. Le dôme
273. La cellule nk □ E. Toutes les réponses sont jutes
267 → B 268 → BC 269 → A 270 → B 271 → C 272 → B 273 → A 274 → B 275 → AD 276 → AC
277 → BCE 278 → BC 279 → AC 280 → BE 281 → AD
282. L’ontogénèse des lymphocytes b [RATT] □ B. Reconnait l’ag associé à la molécule du cmh.
□ C. Reconnait l’ag présenté par une cpa.
□ A. Conduit à la production dans la moelle osseuse de
□ D. Reconnait l’ag dégradé.
cellules b matures □ E. Reconnait l’ag à l’état natif.
□ B. Est comme l’ontogénèse t, marquée par l’appari-
tion de récepteurs spécifiques d’antigènes 289. Le lymphocyte t cytotoxique [EMD 1]
□ C. Commence dans la moelle osseuse et se poursuit □ Est pré-cytotoxique avant activation,
A.
dans les ganglions □ Agit toujours par contact direct.
B.
□ D. Permet l’éducation des lymphocytes à tolérer les □ Est détruit en même temps que la cible cellulaire.
C.
auto-antigènes □ Reconnait l’antigène endogène associé à une molé-
D.
□ E. Permet l’éducation des lymphocytes à éliminer les cule du cmh classe ii .
auto-antigènes □ E. Peut agir par le biais de l’adcc.
290. Les th1 [EMD 1]
283. Le ltcd4+ est protecteur contre le développement
des tumeurs lorsqu’il se différencie en [RATT] □ A. Agissent par contact direct.
□ B. Agissent par le biais des cytokines.
□ A. Th1 □ C. Apportent parfois une aide aux lymphocytes b.
□ B. Th2 □ D. N’apportent aucune aide aux lymphocytes b.
□ C. Th17 □ E. Portent la molécule cd4.
□ D. Treg
291. Le mastocyte [EMD 1]
□ E. Aucune réponse n’est juste
□ A. A possède des grains intracytoplasmiques.
284. Les principales cellules induisant l’apoptose de la
□ B. Porte un récepteur pour le fc des igg.
cellule tumorale via l’utilisation des récepteurs de mort □ C. Porte un récepteur pour le fc des lge.
cellulaire [RATT] □ D. Porte un récepteur pour le c3b.
□ A. Macrophage □ E. Porte un récepteur pour le c3a.
□ B. T reg 292. La cellule nk [EMD 1]
□ C. Th17
□ Possède deux mécanismes d’action.
A.
□ D. Ctl □ Reste intact après destruction de la cellule cible.
B.
□ E. Nk □ Est détruite en même temps que la cellule cible.
C.
285. Les molécules du cmh de classe ii [RATT] □ Peut tuer une cellule cible suite à la liaison du fas
D.
□ A. Sont portées par la cellules dendritique
au fas ligand.
□ E. Possède un seul mécanisme d’action.
□ B. Présentent les antigènes exogènes aux lymphocytes
t helper 293. La cellule dendritique [RATT]
□ C. Présentent les antigènes endogènes aux lympho- □ A. Est capable de phagocyter.
cytes cytotoxiques □ B. Est incapable de phagocyter
□ D. Ne sont pas indispensables à la reconnaissance de □ C. Est capable de présenter les antigènes exogènes aux
l’antigène par le tcr lymphocytes t helper.
□ E. Sont indispensables à la reconnaissance de l’anti- □ D. Est incapable de présenter les antigènes exogènes
gène par le tcr aux lymphocytes t helper.
□ E. Prend naissance à partir de la cellule souche pluri-
286. Le tcr [RATT]
potente au niveau de la moelle osseuse
□ A. Reconnait l’antigène seul.
294. L’il-2 [RATT]
□ B. Reconnait l’antigène associé à une molécule du
cmh. □ A.Est secrétée par les th1
□ C. Reconnait l’antigène grâce molécule cd3. □ B.Est secrétée par les th1 et les th2.
□ D. Reconnait l’antigène grâce aux deux chaines a et □ C.Est appelée t cell growth factor.
b. □ D. Est secrétée par les th2
□ E. Peut être utilisée dans le traitement de certains
□ E. Est porté par les trois lignées lymphocytaires.
cancers
295. Les th2 [RATT]
2018 □ A. Secrètent le même profil de cytokines que les th1
□ B. Secrètent un profil de cytokines différent de celui
287. Le lymphocyte b [EMD 1]
des th1.
□ A. Produit des anticorps toujours sans l’aide des lym- □ C. Dérivent du th0.
phocytes t. □ D. Coopèrent toujours avec le lymphocyte b pour la
□ B. Produit des anticorps toujours avec l’aide des lym- production d’anticorps.
phocytes t. □ E. Ne coopèrent pas toujours avec le lymphocyte b
□ C. Produit parfois des anticorps sans l’aide des lym- pour la production d’anticorps
phocytes t 296. Les deux chaines a et b du tcr [RATT]
□ D. Présente les antigènes aux lymphocytes th2.
□ E. Présente les antigènes aux lymphocytes th1. □ A. Sont impliquées toutes les deux dans la reconnais-
sance de l’antigène.
288. Le bcr [RATT] □ B. Une seule d’entre elles est impliquée dans la recon-
□ A. Reconnait l’ag seul. naissance de l’antigène.
282 → BD 283 → A 284 → DE 285 → ABE 286 → BD 287 → CD 288 → AE 289 → AB 290 → BDE
291 → ACE 292 → ABD 293 → ACE 294 → ACE 295 → BCE 296 → AD
□ A. Est portée par les lymphocytes th1. □ A. Subit la totalité de sa maturation au niveau de la
□ B. Est portée par les lymphocytes t cytotoxiques. moelle osseuse.
□ C. N’est pas portée par les lymphocytes t cyto- □ B. Exprime les molécules du cmh de classe i.
□ C. Exprime les molécules du cmh de classe ii.
toxiques. □ D. Est une cpa
□ D. Appartient à la superfamille des immunoglobu- □ E. N’est pas une cpa
lines.
□ E. Est portée par les lymphocytes th2 311. Le polynucléaire neutrophile [RATT]
□ A. Prend naissance à partir de la cellule souche lym-
303. Le polynucléaire neutrophile [EMD 1]
phoïde.
□ A. Possède un récepteur pour le c3b. □ B. Prend naissance à partir de la cellule souche myé-
□ B. Possède un récepteur pour le fc des immunoglobu- loïde.
lines. □ C. Est une cellule tissulaire.
□ C. N’intervient pas par le biais de l’adcc. □ D. Est mobile
297 → AC 298 → CD 299 → BCDE 300 → AE 301 → AD 302 → ABDE 303 → ABE 304 → ADE
305 → ACE 306 → ACE 307 → ADE 308 → BCE 309 → BD 310 → BCD 311 → BD
312 → BD 313 → BCE 314 → BCE 315 → ABE 316 → AC 317 → ABCE 318 → ADE 319 → ACD
320 → AC 321 → BE 322 → AD 323 → BDE 324 → BCD 325 → ACD 326 → BE 327 → ADE
328 → BCDE 329 → ACD 330 → AC 331 → ACD 332 → AE 333 → BD 334 → BCE 335 → ACE
336 → ACE 337 → ADE 338 → AD 339 → ABC 340 → ADE 341 → BCE
342 → D 343 → E 344 → C 345 → A 346 → A 347 → A 348 → A 349 → D 350 → B 351 → C 352 → C
353 → E
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.11. LES IMMUNOGLOBULINES
□ D. Possède des récepteurs spécifiques sur les cellules 360. La molécule d’iga [EMD 1]
nk.
□ A. Est capté par le rc des ig polymérisé au milieu
□ E. A la plus grande valence de toutes les molécules
endoluminal
d’immunoglobulines.
□ B. A la plus grande valence de toutes les molécules
d’immunoglobulines
2020 □ C. Active le système du complément
□ D. Ne traverse jamais la barrière placentaire
354. La molécule d ’igg [EMD 1] □ E. Se polymérise facilement in vivo
□ A. Ne traverse jamais la barrière placentaire. 361. La fonction effectrice de l’immunoglobuline [EMD
□ B. Est captée par le récepteur des ig à la surface des 1]
cellules nk.
□ C. A la plus grande valence de toutes les molécules □ Est liée aux parties fab
A.
d’immunoglobulines. □ Est liée aux parties fc
B.
□ D. Active le système du complément. □ Est liée aux parties fab et fc
C.
□ E. N’est pas impliquée dans le mécanisme d’adcc. □ Intéresse la structuration ces molécules d’immuno-
D.
355. Les molécules d’iga [EMD 1] globulines
□ E. Aucune de ces propositions
□ A. Se distinguent en deux sous-classes en milieu sé-
rique. 362. La fonction de reconnaissance des immunoglobu-
□ B. Une seule sous-classe peut activer le système du lines [RATT]
complément. □ A. Est liée aux parties fab
□ C. Ne traversent pas la barrière placentaire.
□ B. Est liée aux parties fc
□ D. Peuvent se polymériser grâce à leurs régions char-
□ C. Est liée aux parties fab+ fc à la fois
nières. □ D. Est liée à la région charnière
□ E. Aucune de ces propositions n’est juste.
□ E. Aucune de ces propositions
356. La molécule d’igm
□ A. Active le complément par la vole alterne.
□ B. Existe sous forme monomérique et pentamerique 2018
en physiologie.
□ C. Cinq domaines constants sur la chaine lourde. 363. Une chaine lourde des immunoglobulines [EMD 1]
□ D. A la plus grande valence de toutes les molécules
□ A. Ne participe pas au site de reconnaissance de l’an-
d’immunoglobulines.
tigène.
□ E. Aucune de ces réponses n’est juste.
□ B. Comporte une moitié variable et une moitié
357. La molécule d’iga sécrétoire constante.
□ A. Comporte uniquement des molécules d’iga polymé- □ C. Est liée à l’autre chaine lourde par des ponts di-
risées par une chaine j. sulfures.
□ B. A la plus grande valence de toutes les molécules □ D. Comporte environ 200 acides aminés.
d’immunoglobulines. □ E. Comporte deux domaines.
□ C. Active le système du complément.
364. Parmi les fonctions effectrices des iga [EMD 1]
□ D. Traverse la barrière placentaire.
□ E. Est la classe prédominante des secrétions externes □ A. Constitution du bcr des lymphocytes b naïfs.
358. Les fonctions effectrices communes aux ige et aux □ B. L’activation du complément par la vole classique.
igg [RATT] □ C. L’opsonisation.
□ D. L’immunité des muqueuses
□ A. Activation de la voie classique du complément □ E. L’adcc
□ B. Adcc
□ C. Opsonisation 365. Une iga sécrétoire comporte [EMD 1]
□ D. Activation des mastocytes
□ E. Aucune réponse n’est juste □ A. Deux molécules d’iga.
□ B. Deux composants sécrétoires.
□ C. Un composant sécrétoire
2019 □ D. Deux chaines j
□ E. Une chaine j .
359. Les molécules d’igg [EMD 1]
366. Les immunoglobulines [EMD 1]
□ A. Se distinguent en trois sous-classes en milieu sé-
rique □ A. Exercent différentes fonctions.
□ B. Toutes les sous-classes activent le système du com- □ B. Peuvent être solubles.
plément □ C. Peuvent être membranaires à la surface des lym-
□ C. Ne traversent pas la barrière placentaire phocytes t (tcr)
□ D. La molécule igg3 a la plus grande durée de vie □ D. Peuvent être membranaires à la surface des lym-
grâce à sa région charnière phocytes b (bcr).
□ E. Aucune de ces propositions □ E. Sont classées en 7 isotypes.
354 → D 355 → AC 356 → D 357 → E 358 → E 359 → E 360 → DE 361 → B 362 → A 363 → C
364 → D 365 → ACE 366 → ABD
2017 2016
367. Combien de domaines comporte une molécule d’ige 374. Une chaine légère des immunoglobulines [EMD 1]
[EMD 1] □ A. Comporte environ 400 acides aminés.
□ B. Comporte une moitié variable et une moitié
□ A. 8.
constante.
□ B. 10 □ C. Ne participe pas au site de reconnaissance de l’im-
□ C. 12 munoglobuline.
□ D. 14 □ D. Est liée à l’autre chaine légère par des ponts disul-
□ E. 16 fures.
368. La chaine delta est la chaine lourde de l’ [RATT] □ E. Comporte deux domaines
375. Parmi les fonctions effectrices des lgg [EMD 1]
□ A. Iga
□ A. L’activation du complément par la voie alterne.
□ B. Igg
□ B. L’activation du complément par la voie classique.
□ C. Igm □ C. L’adcc (cytotoxicité cellulaire dépendante des an-
□ D. Ige ticorps).
□ E. Igd □ D. L’immunité des muqueuses
□ E. L’opsonisation
369. La chaine lourde de l’iga [RATT]
376. La mère assure une immunité à son enfant, essen-
□ A. Porte un domaine variable et deux domaines tiellement par transfert [EMD 1]
constants.
□ A. Des iga sécrétoires par l’allaitement après l’accou-
□ B. Porte un domaine variable et trois domaines
chement.
constants.
□ B. Des plasmocytes secrétant les igg pendant la gros-
□ C. Porte un domaine variable et quatre domaines
sesse.
constants. □ C. Transplacentaire des igg pendant la grossesse.
□ D. Est appelée chaine alpha □ D. Des igg par l’allaitement après l’accouchement.
□ E. Est appelée chaine e □ E. Transplacentaire des igm pentamériques pendant
370. L’iga sécrétoire est [RATT]
la grossesse.
377. La chaine lourde u est la chaine lourde des [RATT]
□ A. Un dimère.
□ A. Iga
□ B. Constituée d’iga1 et d’iga2.
□ B. Igg
□ C. Constituée uniquement d’iga1. □ C. Igm
□ D. Est un monomère. □ D. Igd
□ E. Constituée uniquement d’iga2. □ E. Ige
371. Parmi les fonctions effectrices des igm, on peut 378. L’ige [RATT]
citer [EMD 1] □ A. Est un monomère.
□ B. Est un dimère.
□ A. Opsonisation. □ C. Est un pentamère.
□ B. Phagocytose. □ D. Possède trois domaines constants
□ C. Activation du complément. □ E. Possède quatre domaines constants
□ D. Cytotoxicité directe 379. Le rfc des lgg est retrouvé sur le [EMD 1]
□ E. Cytotoxicité cellulaire dépendantes des anticorps
□ A. Polynucléaire neutrophile.
372. Les iga sécrétoires [EMD 1] □ B. Mastocyte
□ C. Lgl
□ A. Sont retrouvées au niveau des muqueuses. □ D. Lymphocyte t cytotoxique
□ B. Sont retrouvées au niveau de la circulation san- □ E. Macrophage.
guine.
□ C. Sont retrouvées au niveau des larmes, de la salive
et du lait. 2015
□ D. Sont composée d’une molécule d’iga + chaine j + 380. La pièce sécrétoire des iga [EMD 1]
composant sécrétoire.
□ A. Est libérée par les plasmocytes.
□ E. Assurent deus fonctions effectrices importantes es-
□ B. Est libérée par les cellules épithéliales.
sentiellement au niveau des muqueuses. □ C. Est également appelée pièce j.
373. Quelles sont les chaines lourdes des immunoglobu- □ D. Protège les iga dimeriques.
□ E. Protège les iga monomériques.
lines qui sont organisées en 5 domaines [EMD 1]
381. La chaine gamma est la chaine lourde de l’ [RATT]
□ A. Gamma.
□ A. Iga
□ B. Alpha. □ B. Igm
□ C. Mu. □ C. Igd
□ D. Delta □ D. Ige
□ E. Epsilon □ E. Igg
367 → D 368 → E 369 → BD 370 → AB 371 → C 372 → ACE 373 → CE 374 → BE 375 → BCE
376 → AC 377 → C 378 → AE 379 → ACE 380 → BD 381 → E
382 → B 383 → BDE 384 → BD 385 → ABCE 386 → BC 387 → ACDE 388 → A 389 → C 390 → C
391 → B 392 → DE 393 → AD 394 → E 395 → C
2018 2014
396. Le thymus [EMD 1] 402. La moelle osseuse [RATT]
□ A. Est un organe è deux lobes. □ A. Est un organe hématopoïétique.
□ B. Est un organe à trois lobes. □ B. Est un organe lymphoïde central.
□ C. Héberge les thymocytes simple-positifs. □ C. Est le lieu de maturation des lymphocytes t.
□ D. Héberge les thymocytes triple-négatifs. □ D. Est le lieu de maturation des lymphocytes b.
□ E. Héberge les thymocytes double-positifs. □ E. Donne naissance à toutes les cellules de l’immunité.
2017 2013
403. Les organes lymphoïdes primaires sont [EMD 1]
397. La sélection négative [EMD 1]
□ A. Représentés par les ganglions lymphatiques et la
□ A. Eliminent tous les lymphocytes t autoréactifs.
rate.
□ B. Eliminent la majorité des lymphocytes t autoréac- □ B. Représentés par le thymus et la moelle osseuse.
tifs. □ C. Le lieu de maturation des lymphocytes.
□ C. Eliminent une petite partie des lymphocytes t au- □ D. Le lieu des réponses immunitaires.
toréactifs. □ E. Le lieu de la sélection positive.
□ D. Concernent également les lymphocytes b.
404. Le malt [EMD 1]
□ E. Ne concernent pas les lymphocytes b.
□ A. Est le tissu lymphoïde associé aux muqueuses.
398. Le thymus [EMD 1] □ B. Assure la défense d’une surface importante de l’or-
□ A. Est traversé par les antigènes exogènes. ganisme.
□ B. N’est pas traversé par les antigènes exogènes. □ C. Met en jeu des iga sécrétoires.
□ C. Héberge uniquement des thymocytes simple- □ D. Renferme une formation importante appelée
positifs. plaque de peyer.
□ D. Héberge des thymocytes triple négatifs. □ E. Renferme des lymphocytes t intra-épithéliaux por-
□ E. Héberge des thymocytes double-positifs. tant des tcr gamma, delta.
399. Les thymocytes simple-positifs au niveau des or- 405. Les organes lymphoïdes primaires [RATT]
ganes lymphoïdes périphériques [RATT] □ A. Sont situés en dehors des voies de pénétration des
□ A. Portent la molécule cd3. ag.
□ B. Ne portent pas la molécule cd3. □ B. Leur développement dépend des stimulations anti-
□ C. Portent les molécules du cmh de classe i géniques.
□ D. Ne portent pas les molécules du cmh de classe l □ C. Leur développement ne dépend pas des stimula-
□ E. Sont différenciés. tions antigéniques
□ D. Sont le lieu des réponses immunitaires.
□ E. Sont le lieu de maturation des cellules de l’immu-
2015 nité spécifique.
□ A. Sont situés sur les voies de pénétration des anti- Les réponses immunitaires
gènes.
□ B. Ne sont pas situés sur les voies de pénétration des
antigènes. 2022
□ C. Leur développement est dépendant des stimula-
tions antigéniques. 406. L’immunité non spécifique : [EMD 1]
□ D. Leur développement est indépendant des stimula-
□ A. Donne lieu à l’activation du complément par voie
tions antigéniques.
□ E. Représentent le lieu de maturation des lympho- classique.
□ B. Fait intervenir les anticorps spécifiques de l’agent
cytes.
causal.
401. Les organes lymphoïdes primaires [RATT] □ C. Fait intervenir des cellules phagocytaires.
□ D. Se caractérise par une mémoire immunologique.
□ A. Représentent le lieu des réponses immunitaires.
□ E. Constitue l’unique ligne de défense contre les agents
□ B. Représentent le lieu de maturation des lympho-
infectieux
cytes
□ C. Sont situés sur les voies de pénétration des anti- 407. Parmi les cellules suivantes, laquelle n’est pas im-
gènes pliquée dans la réaction inflammatoire aigue : [EMD 1]
□ D. Sont situés en dehors des voies de pénétration des □ A. Les mastocytes
antigènes. □ B. Les polynucléaires neutrophiles.
□ E. Leur développement dépend des stimulations anti- □ C. Les macrophages.
géniques. □ D. Les cellules endothéliales.
396 → ACDE 397 → BD 398 → BDE 399 → ACE 400 → AC 401 → BD 402 → ABD 403 → BCE
404 → ABCDE 405 → ACE 406 → C 407 → E 408 → B
□ A. Sont activés par les ag t-dépendants avec ľaide des □ A. L’intervention de molécules co-stimulatrices.
th1. □ B. L’action de l’il-2.
□ B. Sont activés par les ac t-indépendants avec l‘aide □ C. La présence d’il-1 dans le milieu.
des th2. □ D. De fortes concentrations d’antigènes sous forme so-
□ C. Sont activés par les ag t-dépendants avec laide des luble.
th2 □ E. La reconnaissance spécifique de l’antigène présenté
□ D. Représentent une minorité de lymphocytes b. par une cellule présentatrice d’antigène (cpa) et asso-
□ E. Toutes les réponses sont fausses. cié aux molécules hla de classe l.
409 → A 410 → A 411 → A 412 → D 413 → B 414 → C 415 → B 416 → D 417 → E 418 → C 419 → C
420 → AB 421 → AB 422 → D 423 → CE
422. Les cellules suivantes sont impliquées dans l’acti- □ B. Un lymphocyte b peut synthétiser plusieurs anti-
vation du lt naïf [EMD 1] corps de spécificités différentes
□ C. Deux ou quelques anticorps différents recon-
□ A. Les mastocytes
□ B. Les polynucléaires neutrophiles. naissent un même épitope
□ C. Les macrophages. □ D. Un anticorps reconnait deux ou plusieurs antigènes
□ D. Les cellules dendritiques. différents
□ E. Les lymphocytes b. □ E. Un antigène peut activer deux ou plusieurs lym-
phocytes b
423. L’immunité non spécifique [EMD 1]
430. L’immunité naturelle [EMD 1]
□ A. Donne lieu à l’activation du complément par voie
classique. □ A. Constitue la première ligne de défense contre les
□ B. Fait intervenir les anticorps spécifiques de l’agent agents infectieux
causal. □ B. Fait intervenir des mécanismes cellulaires et humo-
□ C. Fait intervenir des cellules phagocytaires. raux .
□ D. Se caractérise par une mémoire immunologique. □ C. Fait intervenir des cellules phagocytaires comme le
□ E. La phagocytose est augmentée par le c3b. polynucléaire neutrophile et le macrophage
□ D. Se traduit par la production d’anticorps spécifiques
424. La coopération lt – lb [RATT]
de l’agent infectieux en cause
□ A. Est indépendante de la nature de l’antigène □ E. S’exerce soit en parallèle, soit après l’immunité spé-
□ B. Est extra-folliculaire cifique
□ C. Permet la génération des plasmocytes de courte
durée de vie 431. La phagocytose [EMD 2]
□ D. D est indispensable pour le switch des classes des □ A. Est effectuée par des cellules d’origine médullaire
ig □ B. Nécessite une adhérence entre la cellule phagocy-
□ E. Est unidirectionnelle taire et la particule étrangère
425. Lors de l’activation d’un lt par une cellule dendri- □ C. Est favorisée par l’opsonisation de la particule
tique, le 1er signal est délivré par [RATT] étrangère
□ D. Aboutit nécessairement à la destruction de la par-
□ A. Cd3 ticule étrangère
□ B. Cd 40 □ E. Elle implique un englobement de la particule étran-
□ C. Cd 25
gère
□ D. Cd 28
□ E. Cd 86
426. Le système perforine granzyme est utilisé par 2017
[RATT]
432. Les cellules nk [EMD 2]
□ A. Les macrophages
□ B. Les polynucléaires éosinophiles □ A. Reconnaissent les cellules tumorales parce qu’elles
□ C. Les lt cytotoxiques expriment peu de molécules du cmh i
□ D. Les cellules nk □ B. Reconnaissent les cellules tumorales parce qu’elles
□ E. Les cellules dendritiques expriment beaucoup de molécules du cmh i .
□ C. Lysent les cellules tumorales uniquement grâce à
la perforine et les granzymes.
2019 □ D. Agissent uniquement par contact direct.
□ E. Peuvent agir par le biais de l’adcc.
427. Quelles sont, parmi les cellules suivantes, celles qui
sont importantes pour l’immunité innée [EMD 1]
□ A. rophages
2016
□ B. Lymphocytes b
433. Les th2 [EMD 2]
□ C. Lymphocytes t
□ D. Macrophages et lymphocytes t □ A. Libèrent des cytokines.
□ E. Toutes les cellules citées ci-dessus □ B. Orientent vers une réponse cellulaire.
□ C. Orientent vers une réponse humorale.
428. La réponse immunitaire secondaire aux antigènes
□ D. Ne libèrent pas de cytokines.
t-dépendants est caractérisée par [EMD 1] □ E. Portent les molécules du cmh i .
□ A. Une production d’anticorps rapide 434. Le phénomène d’adcc [EMD 1]
□ B. Une synthèse d’igg en grande quantité
□ C. La disparition des lymphocytes b mémoires □ A. Est la cytotoxicité cellulaire complément dépen-
□ D. Une diminution de l’affinité des fragments fab dante.
□ E. La mise en mémoires □ B. Est la cytotoxicité cellulaire anticorps dépendante.
□ C. Fait intervenir des cellules de l’immunité spéci-
429. Lors de la reconnaissance d’un antigène, les réac-
fique.
tions croisées peuvent être [EMD 1]
□ D. Fait intervenir des cellules de l’immunité non spé-
□ A. Un anticorps reconnait deux ou plusieurs épitopes cifique.
différents mais de structure très voisine □ E. Est mis en jeu au cours de la réponse spécifique
424 → D 425 → A 426 → CD 427 → A 428 → ABE 429 → ACD 430 → ABC 431 → ABCE 432 → AE
433 → ACE 434 → BDE
1.14
2015
Maladies auto-immunes
435. Le phénomène d’adcc [EMD 1]
□ A. Fait intervenir des cellules de l’immunité non spé- □ A. Concerne uniquement les lymphocytes t.
□ B. Concerne les lymphocytes t et les lymphocytes b.
cifique.
□ C. Elimine tous les lymphocytes qui reconnaissent le
□ B. Fait intervenir les lymphocytes t cytotoxiques.
soi avec une forte affinité.
□ C. Fait intervenir les anticorps.
□ D. N’élimine pas tous les lymphocytes qui recon-
□ D. Ne fait pas intervenir les anticorps.
naissent le soi avec une forte affinité.
□ E. Fait intervenir le complément.
□ E. Concerne uniquement les lymphocytes b
437. Les médiateurs préformés libérés par les masto- 443. La tolérance au soi : [EMD 1]
cytes et basophiles sont responsables de : (réponse im-
□ A. Est uniquement centrale.
munitaire) [EMD 2]
□ B. Est uniquement périphérique.
□ A. La contraction des muscles lisses. □ C. Est centrale et périphérique.
□ B. La vasodilatation et l’augmentation de la perméa- □ D. Concerne uniquement les lymphocytes t.
□ E. Concerne les lymphocytes t et les lymphocytes b.
bilité vasculaire.
□ C. La sécrétion des ige.
□ D. La formation des granulomes 2021
□ E. Le chimiotactisme des leucocytes.
444. Les mécanismes lésionnels dans les maladies auto-
immunes : [RATT]
2013 □ A. Sont uniquement dus à l’intervention des autoan-
ticorps.
438. La réponse immunitaire non spécifique : (réponse □ B. Ne sont pas toujours dus à l’intervention des au-
immunitaire) [RATT] toanticorps.
□ A. Est de mise en jeu rapide □ C. Sont uniquement dus à l’intervention des lympho-
□ B. Est de mise en jeu tardive cytes t cytotoxiques.
□ C. Met en jeu uniquement des cellules □ D. Ne sont pas toujours dus à l’intervention des lym-
□ D. Met en jeu uniquement des molécules en solution phocytes t cytotoxiques.
□ E. Sont uniquement dus à une cytolyse directe com-
□ E. Possède une mémoire immunologique
plément dépendante.
439. La réponse immunitaire non spécifique [EMD 2]
445. Les maladies auto-immunes : [RATT]
□ A. Est de mise en jeu rapide. □ A. Prédominent chez la femme.
□ B. Est de mise en jeu tardive. □ B. Prédominent chez l’homme.
□ C. Met en jeu uniquement des cellules. □ C. Elles viennent en première position avant les can-
□ D. Met en jeu uniquement des molécules en solution. cers et les maladies cardio-vasculaires.
□ E. Possède une mémoire immunologique. □ D. Elles viennent après les cancers et les maladies
cardio-vasculaires.
□ E. Sont toutes systémiques.
2012 446. Au niveau de la médullaire thymique, on retrouve
des thymocytes : [RATT]
440. L’histamine [EMD 2]
□ A. Simple positifs.
□ A. Est un médiateur préformé. □ B. Triple-négatifs.
□ B. Est un médiateur néoformé. □ C. Double-positifs et simple-négatifs
□ C. Est un médiateur préformé et néoformé. □ D. Avec un tcr non encore fonctionnel.
□ D. Agit en se fixant sur des récepteurs spécifiques. □ E. Double-positifs.
□ E. Exerce plus d’une action. 447. Les fan sont : [RATT]
435 → ACE 436 → AC 437 → ABE 438 → A 439 → A 440 → ADE 441 → AC 442 → BD 443 → CE
444 → BD 445 → AD 446 → A 447 → AD 448 → AC
2018 2017
461. Les anticorps anti-récepteurs de la tsh [EMD 2] 468. Les fan sont [EMD 2]
□ A. Sont toujours bloquants. □ A. Des anticorps anti-noyau.
□ B. Sont toujours stimulants. □ B. Recherchés sur des cellules anucléées.
□ C. Peuvent être bloquants. □ C. Des anticorps anti-cytoplasme.
□ D. Peuvent être stimulants. □ D. Retrouvés uniquement dans le led.
□ E. Peuvent être la cause d’une hypothyroïdie
□ E. Recherchés sur des cellules nucléées.
462. Les anticorps anti-phospholipides [EMD 2]
469. Le led [RATT]
□ A. Peuvent être à l’origine d’avortements à répétition.
□ B. Ne sont jamais responsables d’avortements. □ A. Est une maladie auto-immune systémique.
□ C. Sont toujours associés à une maladie auto-immune. □ B. Est appelé maladie à complexes immuns.
□ D. Ne sont pas toujours associés à une maladie auto- □ C. Est une maladie dans laquelle il y a une consom-
immune. mation du complément au cours des poussées.
□ E. Sont retrouvés dans les maladies auto-immunes □ D. Est une maladie dans laquelle il n’y a pas de
spécifiques d’organes. consommation du complément au cours des poussées.
□ E. Evolue par poussées-rémissions.
463. Les anticorps anti-récepteur de la tsh [RATT]
470. Les anticorps anti-phospholipides [EMD 2]
□ A. Peuvent être retrouves dans la maladie de basedow
□ B. Peuvent être retrouvée dans la thyroïdite de hashi- □ A. Sont des anticorps anti-noyau.
moto. □ B. Sont spécifiques d’organes.
□ C. Empêchent la tsh de se fixer sur son récepteur. □ C. Sont des anticorps anti-cytoplasme.
□ D. Agissent sur la glande thyroïde □ D. Ne sont pas spécifiques d’organes.
□ E. N’agissent pas sur la glande thyroide □ E. Peuvent être responsables d’avortements.
464. Les cellules nk sont habituellement impliquées
471. Le led [EMD 2]
dans les mécanismes physiopathologiques [RATT]
□ A. Est une maladie auto-immune spécifique d’organes.
□ A. Du led
□ B. Est une maladie auto-immune non spécifique d’or-
□ B. De la maladie des poumons de fermier.
□ C. De l’hypersensibilité granulomateuse.
ganes.
□ D. De l’anémie hémolytique auto-immune □ C. Est une maladie à complexes immuns.
□ E. De l’hypersensibilité de contact □ D. Evolue généralement par poussées-rémissions.
□ E. Est une maladie qui s’aggrave pendant la grossesse.
465. Les anticorps anti-mitochondries [RATT]
472. Dans l’auto-immunité pathologique, les autoanti-
□ A. Sont des anticorps semblables a ceux dirigés contre corps [RATT]
les antigènes étrangers.
□ B. Sont dirigés contre des antigènes nucléaires. □ A. Entrainent des lésions.
□ C. Sont dirigés contre des antigènes cytoplasmiques. □ B. N’entrainent pas de lésions.
□ D. Sont spécifiques d’organes □ C. Sont généralement retrouves à des titres élevés.
□ E. Ne sont pas spécifiques d’organes □ D. Sont de faible affinité.
□ E. Sont de forte affinité.
466. Le led [RATT]
□ A. Est une maladie auto-immune non spécifique d’or- 473. Les anticorps anti-mitochondries sont [RATT]
ganes. □ A. Spécifiques d’organes.
□ B. Est une maladie auto-immune spécifique d’organes.
□ B. Non spécifiques d’organes.
□ C. Se traduit généralement par la présence d’autoan-
□ C. Toutes les réponses sont fausses
ticorps de différentes spécificités
□ D. Des anticorps anti-noyau.
□ D. Est une maladie à complexes immuns.
□ E. Des anticorps anti-cytoplasme.
□ E. Se traduit chez certains patients par un déficit en
certains composants du complément. 474. Les anticorps anti-récepteur de la tsh [EMD 2]
467. L’anticorps anti-sm [EMD 2]
□ A. Sont retrouvés dans les maladies thyroïdiennes
□ A. Est retrouvé dans les maladies auto-immunes sys- auto-immunes.
témiques. □ B. Sont spécifiques d’organes.
□ B. Est spécifique du led □ C. Sont retrouvés dans les maladies hépatiques auto-
□ C. N’est pas toujours retrouvé au cours du led. immunes.
□ D. Est toujours retrouvé au cours led. □ D. Ne sont pas spécifiques d’organes.
□ E. Est non spécifique du led. □ E. Peuvent être responsables d’une hyperthyroïdie.
461 → CDE 462 → AD 463 → ABCD 464 → ABD 465 → ACE 466 → ACDE 467 → ABC 468 → AE
469 → ABCE 470 → DE 471 → BCDE 472 → ACE 473 → BE 474 → ABE
475 → BCD 476 → ADE 477 → ABCD 478 → B 479 → ACE 480 → B 481 → ADE 482 → BCE 483 → CD
484 → BD 485 → BC 486 → AC 487 → AC 488 → BDE 489 → BCDE
490 → B 491 → ACE 492 → AC 493 → AD 494 → ACE 495 → AD 496 → BCDE 497 → ACE 498 → BCD
499 → AD 500 → ABC
61
CHAPITRE 1
Théorie
1.1
2013
Embolie
5. L’embolie pulmonaire est [EMD 2]
□ A. À craindre en cas de phlébite des membres infe-
2020 rieurs
□ B. Due à un embole d’origine veineuse
1. L’embole sanguin [EMD 1] □ C. Due à un embole cruorique
□ D. Responsable d’hypertension pulmonaire
□ A. Est la conséquence d’une migration d’un thrombus
6. L’embolie pulmonaire est [RATT]
dans la circulation sanguine
□ B. Entraine une embolie pulmonaire lorsqu’il suit un □ A. A craindre en cas de phlébite des membres infe-
trajet paradoxal rieurs
□ C. Peut-être solide liquidien ou gazeux □ B. Due à un embole d’origine veineuse
□ D. Évolue toujours vers une fibrinolyse spontanée □ C. Due à un embole d’origine artérielle
□ E. Entraine des perturbations circulatoires liées à □ D. Responsable d’hypertension pulmonaire
l’obstruction vasculaire
2012
2016 7. L’embolie pulmonaire est [EMD 2]
2. L’embolie gazeuse survient lors [EMD 2] □ A. Craindre en cas de phlébite des membres inferieurs
□ B. Due à un embole d’origine veineuse
□ A. D’un polytraumatisé
□ C. Due à un embole d’origine artérielle
□ B. Thrombose des membres inferieures
□ D. Due à un embole cruorique
□ C. De la maladie des caissons
□ E. Responsable d’hypertension pulmonaire
□ D. Lors de l’accouchement
□ E. Lors d’une septicémie 8. L’embolie bactérienne peut être [EMD 2]
□ A. Responsable de septicémie
□ B. Responsable de lésions artérielles
2015 □ C. Secondaire à un pneumothorax
□ D. Constitué de fragments de moelle osseuse
3. Un embole est un corps libre intravasculaire dont la □ E. Secondaire à un massage cardiaque violent
nature peut être [RATT]
□ A. Gazeuse 1.2
□ B. Graisseuse Généralité sur les tumeurs
□ C. Sanguine
□ D. Athéromateuse.
□ E. Amniotique
2022
2014 9. Les tumeurs malignes indifférenciées sont [EMD]
□ A. Des tumeurs malignes ressemblant aux cellules du
4. L’embolie bactérienne peut être [EMD 2]
tissu qui lui a donné naissance
□ A. Responsable de septicémie □ B. Des tumeurs dites métaplasiques
□ B. Responsable de lésions artérielles □ C. Des tumeurs malignes caractérisées par l’absence
□ C. Secondaire à un pneumothorax totale de différenciation
□ D. Constituée de fragments de moelle osseuse □ D. Des pseudotumeurs dystrophiques
□ E. Secondaire à un massage cardiaque violent □ E. Des tumeurs dites anaplasiques
63
CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. GÉNÉRALITÉ SUR LES TUMEURS
10. Parmi ces propositions, laquelle confirme la mali- □ B. Sont toujours encapsules
gnité [EMD] □ C. Récidivent exceptionnellement
□ D. Ont une vitesse de croissance toujours lente
□ A. La bonne limitation
□ E. Sont toujours bien différenciées
□ B. Les calcifications du stroma tumoral
□ C. Les atypies cyto-nucléaire et les mitoses atypiques 18. Parmi les cinq caractères suivants, quel est celui ou
□ D. Une croissance lente avec refoulement du tissu nor- quels sont ceux propres aux tumeurs malignes [RATT]
mal
□ A. Vitesse de croissance rapide
□ E. La présence de signes de dysplasie
□ B. Vascularisation faible
11. Une tumeur maligne du muscle strié est [EMD] □ C. Nécrose fréquente
□ A. Un léiomyosarcome □ D. Démarcation nette avec les tissus normaux
□ B. Un rhabdomyocarcinome □ E. Activité mitotique élevée
□ C. Un rhabdomyome
□ D. Un léiomyocarcinome
□ E. Un rhabdomyosarcome 2017
12. L’histopronostic de certaines tumeurs malignes est 19. Une tumeur maligne [EMD 2]
basé sur [EMD]
□ A. Est mal limitée
□ A. L’absence des anomalies cyto-nucléaire □ B. Se caractérise par une croissance rapide
□ B. L’absence de nécrose □ C. Possède un index mitotique toujours faible
□ C. Les caractères de différenciation □ D. Envahit les tissus de voisinage sans les détruire
□ D. La présence de mitoses normales □ E. Donne des métastases
□ E. L’apoptose
20. Les tumeurs malignes [RATT]
□ A. Détruisent les tissus de voisinage.
2020 □ B. Sont toujours encapsulées.
□ C. Récidivent exceptionnellement.
13. Le suffixe a « ome » dans la nomenclature des tu-
□ D. Ont une vitesse de croissance toujours lente.
meurs, désigne [EMD 2] □ E. Sont toujours bien différenciées.
□ A. Le caractère bénin de la tumeur sauf exception
□ B. Le caractère malin de la tumeur sauf exception
□ C. Le caractère multiple de la tumeur. 2016
□ D. Le caractère infiltrant de la tumeur
□ E. Le caractère différencié de la tumeur 21. Une seule des propriétés suivantes oppose constam-
ment les tumeurs bénignes aux tumeurs malignes [RATT]
2013 2021
25. Une tumeur maligne [EMD 2] 32. La dysplasie se définit comme [EMD]
□ A. Est bien limitée □ A. Une lésion congénitale
□ B. Se caractérise par une croissance lente □ B. Une lésion acquise
□ C. Une anomalie de maturation et de différenciation
□ C. Possède un index mitotique élevé
□ D. Détruit les tissus de voisinage d’un tissu épithélial
□ D. Un carcinome infiltrant
26. La malignité purement locale est une caractéristique □ E. Une hyperplasie sans anomalies
[EMD 2] 33. Le carcinome invasif se définit par [EMD]
□ A. Du carcinome spinocellulaire □ A. L’intégrité de la membrane basale
□ B. Du carcinome basocellulaire □ B. Une dysplasie de haut grade
□ C. De la tumeur desmoïde □ C. De la membrane basale et envahissement du tissu
□ D. Du carcinome urothélial conjonctif
□ D. L‘absence de nécrose sans rupture de la membrane
27. Une tumeur maligne [RATT] basale
□ A. Est bien limitée □ E. Infiltration de la tumeur maligne dans les couches
□ B. Se caractérise par une croissance lente de la paroi avec risque de métastase
□ C. Possède un index mitotique élevé 34. A l’examen microscopique, le carcinome in situ se
□ D. Détruit les tissus de voisinage caractérise par [EMD]
□ A. Une densité cellulaire
□ B. Une conservation du rapport nucléo-cytoplasmique
2012 □ C. Des anomalies nucléaires
□ D. Une basophile cytoplasmique
28. Une tumeur maligne [EMD 2] □ E. Des mitoses nombreuses et normales
□ A. Est bien limitée 35. La métastase est [EMD]
□ B. Se caractérise par une croissance lente □ A. Une caractéristique des tumeurs bénignes
□ C. Possède un index mitotique élevé □ B. Une tumeur primitive
□ D. Détruit les tissus de voisinage v □ C. Une diffusion du processus cancéreux par contiguë
□ E. Donne des métastases □ D. Caractérisée par la diffusion du processus cancé-
reux dans l’organisme avec atteinte à distance
29. La malignité purement locale est une caractéristique □ E. Une tumeur secondaire de très bon pronostic
[EMD 2]
36. L’évolution clonale est un processus de cancéroge-
□ A. Du carcinome spinocellulaire nèse comportant trois étapes qui sont [EMD]
□ B. Du carcinome basocellulaire □ A. La croissance cellulaire
□ C. De l’adénome villeux rectal □ B. La réplication cellulaire
□ D. De la tumeur desmoide □ C. L’initiation
□ E. Du carcinome urothélial □ D. La promotion
□ E. La progression
30. Quel est le seul élément permettant de différen-
cier avec certitude une tumeur maligne d’une tumeur
bénigne [EMD 2] 2019
□ A. L’envahissement local
37. Parmi les propositions suivantes quels sont les élé-
□ B. Anomalies cytonucléaires
ments de mauvais pronostic pour une tumeur maligne
□ C. Le caractère mal limité
□ D. Récidive [RATT]
□ E. Métastases □ A. La profondeur de l’extension.
□ B. La présence d’emboles tumoraux.
1.3
□ C. Le caractère bien différencié de la tumeur.
□ D. Un stroma squirrheux.
Histoire naturelle des cancers □ E. Un stroma inflammatoire.
38. Donnent souvent des métastases osseuses, les carci-
nomes [RATT]
2022 □ A. Du colon.
□ B. Du sein.
31. Les lésions précancéreuses [EMD] □ C. De la prostate.
□ D. De l’endomètre.
□ A. Sont des lésions précurseurs des maladies hérédi- □ E. De la vésicule biliaire.
taires 39. Le carcinome in situ [RATT]
□ B. Sont visées par le dépistage
□ A. Se définit par une hyperplasie épithéliale.
□ C. Précédent toujours les néoplasies malignes □ B. N’occasionne aucune rupture de membrane basale.
□ D. Correspondent souvent aux dysplasies ou métapla- □ C. Peut être associé à un carcinome invasif.
sie □ D. S’accompagne de thrombose tumorale.
□ E. Peuvent être traités comme cancers □ E. Est synonyme de cancer au stade 0.
25 → CD 26 → B 27 → CD 28 → CDE 29 → BD 30 → E 31 → BD 32 → BC 33 → CE 34 → ACD
35 → D 36 → CDE 37 → AB 38 → BC 39 → BCE
40 → BCE 41 → CD 42 → AB 43 → BC 44 → BCE 45 → B 46 → C 47 → C 48 → AB 49 → CD
50 → BCE 51 → BCE 52 → C 53 → BE
2014 2012
54. Le carcinome in situ [EMD 2] 62. Le carcinome in situ [EMD 2]
□ A. Se définit par un épaississement de l’épithélium □ A. S’accompagne de thrombose néoplasique
□ B. Se définit par l’intégrité de la membrane basale □ B. Ne présente aucune rupture de la membrane basale
□ C. Comporte des anomalies cytonucléaires
□ C. Comporte des dépôts de fer
□ D. Peut s’accompagner d’emboles vasculaires
□ E. Peut intéresser un organe plein □ D. Ne se transforme jamais en carcinome invasif c
□ E. Est synonyme de cancer au stade 0
55. Quels sont parmi ces pathologies, les états précan-
céreux d’origine héréditaire [EMD 2] 63. Donnent souvent des métastases osseuses les carci-
nomes [EMD 2]
□ A. La cystite bilharzienne
□ B. Neurofibromatose de von recklinghausen □ A. Du colon
□ C. La polypose colique familiale □ B. Du sein
□ D. La rectocolite hémorragique □ C. De la prostate
□ E. Le carcinome in situ
□ D. Du col utérin
56. Une métastase [EMD 2] □ E. De la vessie
□ A. Peut se voir des le stade invasif
□ B. Peut être le premier signe de la maladie cancéreuse 1.4
□ C. Est témoin d’un carcinome rénal si son immuno-
marquage est hmb 45 positif Ischémie-infarctus
□ D. Est toujours moins différenciée que la tumeur pri-
mitive
□ E. N’est jamais tolérée longtemps 2022
57. Les carcinomes qui donnent souvent des métastases
osseuses sont [EMD 2] 64. L’infarctus blanc [EMD]
□ A. Du colon □ A. Se présente comme un territoire exsangue
□ B. Du sein □ B. Présente une consistance plus ferme que le tissu
□ C. De la prostate adjacent
□ D. Du col utérin □ C. Est plus pale et plus mou que le reste de l’organe
□ E. De la thyroïde
□ D. S’observe dans les organes avec une double circu-
58. Parmi les caractères histologiques suivants, indiquez lation
sont incompatibles avec le diagnostic de carcinome intra- □ E. Présente une forme pyramidale
épithélial [RATT]
□ A. Mitoses atypiques
□ B. Métastase ganglionnaire 2021
□ C. Anisocaryose
□ D. Franchissement de la basale 65. Dans l’infarctus pulmonaire [EMD]
□ E. Désorganisation cellulaire
□ A. L’infarctus est blanc.
59. Quels sont parmi ces pathologies, les états précan- □ B. Le dessin du réseau alvéolaire est conservé.
céreux d’origine héréditaire [RATT] □ C. Il n’y a pas de surinfection.
□ A. La cystite bilharzienne □ D. Un granulome inflammatoire apparait vers le 30j.
□ B. Neurofibromatose de von recklinghausen □ E. Les lumières alvéolaires sont collabées.
□ C. La polypose colique familiale
□ D. La rectocolite hémorragique
□ E. Le carcinome in situ 2020
60. Une métastase [RATT]
□ A. Peut se voir dès le stade invasif 66. L’infarctus blanc [EMD 1]
□ B. Peut être le premier signe de la maladie cancéreuse □ A. Touche les organes à double circulation collatérale
□ C. Est témoin d’un carcinome rénal si son immuno-
□ B. Est macroscopiquement d’aspect blanc -jaunâtre
marquage est hmb 45 positif □ C. Entraine des lésions transitoires et réversibles
□ D. Est toujours moins différenciée que la tumeur pri-
□ D. Est de forme pyramidale et bien circonscrit
mitive □ E. S’accompagne d’une inondation hémorragique
□ E. N’est jamais tolérée longtemps
67. L’accident vasculaire cérébral (avc) [EMD 1]
2013 2020
83. L’infarctus rénal est [EMD 2] 90. Les échanges entre le sang et les tissus nécessitent
□ A. Blanc jaunâtre un équilibre assuré par [EMD 1]
□ B. Rouge
□ C. Triangulaire □ A. Les pressions extravasculaires
□ D. Mal délimité □ B. La pression hydrostatique
84. Au cours de son évolution, l’infarctus du myocarde □ C. Pression oncotique
peut présenter [EMD 2] □ D. L’intégrité de la lumière vasculaire
□ E. L’altération de la paroi vasculaire.
□ A. Perforation.
□ B. Une organisation fibreuse.
91. La congestion active [EMD 1]
□ C. Une thrombose cavitaire de voisinage.
□ D. Une rupture du pilier. □ Résulte d’une vasoconstriction artérielle.
A.
85. L’infarctus du myocarde peut évoluer vers [RATT] □ Est synonyme de l’hyperhémie artérielle.
B.
□ A. Perforation. □ S’accompagne d’une hypothermie locale
C.
□ B. Nécrose caséeuse □ S’accompagne d’un ralentissement du courant san-
D.
□ C. Une organisation fibreuse. guin
□ D. Une thrombose cavitaire de voisinage □ E. De conséquences toujours nuisibles
89. La congestion donne [EMD] □ A. Sont définies par une irruption du sang hors des
cavités vasculaire
□ A. Un aspect mou et pâle aux organes
□ B. Le sang est rouge vif , s’écoulant de manière sac-
□ B. L’écoulement d’un liquide légèrement rosé après
cadée , si l’hémorragie est veineuse
incision des organes
□ C. Une infiltration du tissu par une sérosité pile, fai- □ C. Le sang est rouge sombre , s’écoulant de manière
blement éosinophile continu , si l’hémorragie est artérielle
□ D. Une nécrose fibrinoide des parois vasculaires □ D. Peuvent être extériorisées
□ E. Une tuméfaction et une coloration rouge ou viola- □ E. Peuvent avoir comme conséquence un choc hypo-
cée aux organes. volémique
83 → AC 84 → ABCD 85 → ACD 86 → AC 87 → ABD 88 → C 89 → E 90 → BCD 91 → B 92 → ADE
93 → BC 94 → ABC 95 → ADE
96. En cas de congestion tissulaire [EMD 2] □ Se voit dans l’insuffisance ventriculaire droite.
A.
□ Se voit dans l’insuffisance ventriculaire gauche.
B.
□ A. L’organe est diminué de taille.
□ B. Les cellules endothéliales sont turgescentes.
□ Est d’aspect noix de la muscade à la coupe.
C.
□ C. L’organe est pale. □ Est marqué par un aspect de foie inverti microsco-
D.
□ D. L’organe est froid. piquement.
□ E. La tranche de section de l’organe est sèche. □ E. Est synonyme de foie de stase.
97. Dans le foie cardiaque le foie [EMD 2]
□ A. Est de consistance molle.
□ B. Renferme un volumineux hématome.
2016
□ C. Laisse échapper un liquide spumeux et hémorra-
104. La congestion passive est [RATT]
gique.
□ D. A une couleur rouge violacée à la coupe □ A. La conséquence d’une stase veineuse.
□ E. Présente un aspect bigarré à la coupe. □ B. La conséquence d’une augmentation de l’apport
sanguin artériel
2018 □ C. S’accompagne d’une vasodilatation active de la mi-
cro circulation.
98. Le foie cardiaque [EMD 2] □ D. Traduit cliniquement par une rougeur et une cha-
□ A. Se voit dans l’insuffisance cardiaque gauche, leur locale.
□ B. Se voit dans l’insuffisance cardiaque droite, □ E. Toujours d’installation rapide.
□ C. Présente a la coupe un aspect bigarre.
105. La congestion active est [EMD 2]
□ D. Présente une couleur rouge brique.
□ E. Présente une consistance ferme. □ A. Le ralentissement du flux sanguin dans un organe
99. La congestion tissulaire [EMD 2] □ B. Observée exclusivement dans l’inflammation
□ C. Caractérisée par des territoires rouge vif
□ A. Touche surtout les organes riches en vaisseaux.
□ B. Résulte d’une diminution de l’apport du sang ar- □ D. Caractérisée par des gelures
□ E. Caractérisée par de la cyanose
tériel.
□ C. Donne un aspect tuméfie aux organes, 106. L’œdème est [RATT]
□ D. Est responsable de la couleur pale des organes qui
en sont atteints. □ A. L’augmentation de la quantité d’eau dans les es-
□ E. Donne un aspect turgescent aux cellules endothé- paces extracellulaires.
liales □ B. L’augmentation de la quantité du sang dans les
100. L’œdème [RATT] espaces extracellulaires.
□ C. La diminution de la quantité d’eau dans les espaces
□ A. Se manifeste au niveau des organes par l’écoule-
extra cellulaires
ment de sang en abondance à l’incision. □ D. La diminution de la quantité du sang dans les es-
□ B. Donne une coloration rouge ou violacée aux or-
paces extra - cellulaires.
ganes.
□ E. L’augmentation de la quantité de sang dans les
□ C. Prédomine au niveau des partis déclives.
□ D. Peut toucher les cavités naturelles de l’organisme. vaisseaux.
□ E. Se présente comme un tissu infiltré par une sérosité
pâle faiblement éosinophile au microscope.
101. La congestion active [RATT] 2015
□ A. Provoque une rougeur au niveau de la peau qui 107. Quelle est la conséquence de la congestion passive ?
s’efface à la vitro-pression. [EMD 2]
□ B. Provoque une hyperthermie locale.
□ C. Provoque un refroidissement local □ A. Gelures
□ D. Est secondaire à la dilatation veineuse. □ B. Thrombose
□ E. S’accompagne d’un ralentissement du courant san- □ C. Ischémie
guin « stase ». □ D. Chaleur des territoires concernés
□ E. Froideur des territoires concernés
2017 108. En phase chronique, le poumon cardiaque est ca-
ractérisé par [EMD 2]
102. L’œdème lésionnel se voit au cours de [EMD 2]
□ A. L’élévation de la perméabilité capillaire □ A. La présence de sidérophages
□ B. La rétention dans les tissus de na ci □ B. La présence d’œdème alvéolaire
□ C. Un processus inflammatoire □ C. Une dilatation des bronches
□ D. L’élévation de la pression hydrostatique □ D. Un aspect rouge noirâtre
□ E. La diminution de la pression oncotique □ E. Un aspect ( muscade)
96 → B 97 → E 98 → BCE 99 → ACE 100 → CDE 101 → AB 102 → AC 103 → ACDE 104 → A 105 → C
106 → A 107 → B 108 → A
1.7
2013
Processus inflammatoire
112. La congestion passive [EMD 2]
□ A. Est due à une gêne à l’écoulement du sang artériel
□ B. Est due à une gêne à l’écoulement du sang veineux
□ C. A pour conséquence un œdème de stase
2022
□ D. Favorise la thrombose veineuse 119. Après l’agression la 1ère cellule qui donne l’alerte
113. Les organes œdématiés sont [EMD 2] [EMD]
□ A. Augmentés de taille □ A. Le leucocyte
□ B. Pales □ B. L’histiocyte
□ C. Rouge vif □ C. Le lymphocyte
□ D. Translucides □ D. La cellule endothéliale
114. Les organes œdémaciés sont [RATT] □ E. Le plasmocyte
□ A. Augmentés de taille 120. Le processus inflammatoire [EMD]
□ B. Pales □ A. Est un phénomène physiologique chronique qui
□ C. Rouges vifs tend à limiter les effets de l’agresseur
□ D. Translucides □ B. Est un phénomène pathologique dû à une réaction
1.6
de défense insuffisante
□ C. Déclenché seulement par des lésions infectieuses
Mécanismes moléculaires de la □ D. Parfois néfaste du point de vue local ou général
□ E. Chronique peut évoluer vers la restitution ad inte-
cancérigénèse grum
121. La phase vasculo-exsudative est régit par plusieurs
phénomènes [EMD]
2021
□ A. Congestion active
115. La réponse immune anti-tumorale fait intervenir □ B. L’œdème inflammatoire
[EMD] □ C. Diapédèse leucocytaire
□ D. La détersion
□ A.Une activité métabolique intense
□ E. La coaptation
□ B.La sécrétion des facteurs spécifiques vegf
□ C.L’immunité innée 122. La phagocytose [EMD]
□ D.L’immunité adaptative □ A. Se déroule en 03 phases
□ E.L’élaboration de substances qui vont favoriser in □ B. Le phagolysosome est créé au cours de l’englobe-
multiplication des vaisseaux ment
116. L’angiogenèse est une prolifération vasculaire □ C. La digestion se fait grâce à des enzymes lysoso-
[EMD] miales
109 → A 110 → AC 111 → BE 112 → BCD 113 → ABD 114 → ABD 115 → CD 116 → ADE 117 → CD
118 → D 119 → A 120 → BD 121 → ABC 122 → ACE
□ D. Les macrophages ont missions de phagocyter des 129. Dans l’inflammation spécifique, le diagnostic his-
particules solubles tologique de sarcoïdose repose sur [EMD]
□ E. Les microphages ont pour mission de phagocyter □ A. La présence d’un granulome diffus avec des micro
des particules de petites tailles foyers nécrotiques
123. Dans la tuberculose [EMD] □ B. La présence de lésions granulomateuses nécrotiques
□ C. L’identification des bacilies
□ A. Le granulome milliaire est difficile à voir car il a
□ D. La confrontation anatomo-clinique et biologique
taille d’une tête d’épingle □ E. La présence de follicules épithéloides sans nécrose.
□ B. La nécrose caséeuse est toujours présente
□ C. La nécrose caséeuse a un aspect différent selon 130. L’étude ana-path d’un processus inflammatoire
qu’elle soit récente ou vieillit permet [EMD]
□ D. Les cellules épithéloides sont appelées cellules de □ A. De déterminer toujours la cause
langerhans □ B. De définir l‘aspect morphologique.
□ E. Le follicule épithéloide est occupé en périphérie par □ C. De préciser les caractéristiques morphologiques de
une couronne lymphocytaire la fibrose.
□ D. De préciser le stade de l’inflammation.
□ E. De diagnostiquer une éventuelle spécificité.
2021
124. Dans le processus inflammatoire, l’inflammation 2020
aigue [EMD]
131. Dans la phase vasculo-exudative de l’inflammation,
□ A. Est une inflammation spécifique on retrouve [RATT]
□ B. Evolue vers la formation d’une cicatrice.
□ C. Se traduit par l’apparition d’un œdème inflamma- □ A. Une augmentation de la perméabilité capillaire
□ B. Une précipitation de la fibrine
toire
□ C. Une margination des leucocytes
□ D. Se caractérise par des phénomènes vasculo-
□ D. Un mélange de cellules et de cellules conjonctives
exsudatifs intenses □ E. Une importante fibrose
□ E. De type congestif se traduit par une vasodilata-
tion, une congestion artério-capillaire transitoire et 132. Certaines scléroses s’effectuent en accentuant la
une erythrodiapédèse charpente intérieure d’un organe. on appelle ce type de
sclérose [EMD 2]
125. L’aspect histo-pathologique commun des affections
□ A. Sclérose hypertrophique
auto-immunes est celui d’une [EMD]
□ B. Sclérose systématisée
□ A. Une inflammation granulomateuse □ C. Sclérose hyaline
□ B. Une inflammation aigue □ D. Sclérose rétractile
□ C. Une inflammation chronique □ E. Sclérose mutilante
□ D. Une vascularite 133. Parmi les propositions suivantes, laquelle ( les)
□ E. Une atrophie tissulaire
s’applique(nt) à la réaction inflammatoire aigue [RATT]
126. Le processus inflammatoire peut se produire [EMD]
□ A. Elle est toujours associée à une infection
□ A. Dans un tissu non vascularisé. □ B. Elle peut être déclenchée par la présence de com-
□ B. Suite à des troubles de la vascularisation. plexe antigène – anticorps
□ C. Lors des altérations de l’innervation. □ C. Elle fait intervenir le système du complément
□ D. Dans un processus néoplasique □ D. Elle aboutit constamment au développement d’une
□ E. En post-mortem utilisé comme argument médico- cicatrice fibreuse
légal. □ E. Elle fait intervenir la vascularisation
127. Le processus inflammatoire est un phénomène 134. L’inflammation subaigüe e caractérise par [RATT]
[EMD] □ A. Une prédominance de la phase cellulaire
□ A. Qui fait intervenir des réactions cellulaires, tissu- □ B. Un tableau clinique bruyant
laires et hormonales. □ C. Une accumulation des cellules mononuclées
□ B. Dynamique évolutif □ D. Une réaction granulomateuse
□ C. Qui évolue toujours vers la cicatrisation □ E. Le développement d’une importante fibrose
□ D. Dont la cause peut être non infectieuse 135. Une inflammation chronique est caractérisé par
□ E. Qui se déroule dans tous les tissus de l’organisme. [RATT]
128. L’inflammation chronique [EMD] □ A. Des phénomènes exsudatifs absents
□ A. Est le résultat d’une réponse excessive des moyens □ B. Un granulome inflammatoire formé essentiellement
de défense de l’organisme de lymphocyte et de plasmocytes
□ B. Se traduit par un infiltrat histio-monocytaire et □ C. Une diapédèse leucocytaire
□ D. Une importante sclérose
lymptho-plasmocytaire et leucocytaire □ E. Un afflux des polynucléaire
□ C. Se traduit par la présence de fibroblastes et de
fibres de collagène 136. La fibrose peut être [RATT]
□ D. Peut-être de type macrophagique à corps étrangers □ A. Jeune
□ E. Peut évoluer vers la restitution ad-integrum □ B. Ancienne
123 → ACE 124 → D 125 → C 126 → BCD 127 → BCD 128 → ACD 129 → DE 130 → BCDE 131 → ABC
132 → B 133 → BCE 134 → ACD 135 → ABD 136 → ABCD
□ C. Atrophique 2019
□ D. Hypertrophique
□ E. Nécrosante 145. Les inflammations caractérisées par un granulome
137. Sur les causes de l’inflammation [EMD 2] tuberculoïde sans nécrose sont [EMD 1]
□ E. Sont habituellement centrés par une nécrose sup- 160. Parmi ces cellules, quelle est celle qui mérite le
purée. qualificatif de "macrophage" [EMD 1]
153. Le processus inflammatoire [RATT] □ A. Monocytes
□ A. Est un phénomène statique. □ B. Granulocytes
□ B. Est constitué par des phénomènes humoraux et □ C. Lymphocytes
□ D. Histiocytes
cellulaires.
□ E. Cellules épithéloides
□ C. Est habituellement bénéfique.
□ D. Est déclenché le plus souvent par des causes infec- 161. Les lésions macroscopiques élémentaires de la tu-
tieuses. berculose sont [EMD 1]
□ E. Est parfois néfaste du point de vue local et général.
□ A. Le caséum
154. L’inflammation chronique se caractérise par [EMD □ B. Les granulations miliaires
1] □ C. Les tubercules miliaires
□ A. Une sclérose importante. □ D. Le phlegmon
□ B. Un granulome inflammatoire à prédominance po- □ E. Les tubercules enkystés
lynucléaires 162. Parmi les agents suivants, lesquels sont suscep-
□ C. Une restitution ad-integrum. tibles de provoquer une réaction inflammatoire ? [EMD
□ D. Des phénomènes exsudatifs majeures. 1]
□ E. Un granulome inflammatoire à prédominance mo-
nonuclée. □ A. Médicament
□ B. Virus
□ C. Champignons
2018 □ D. Radiations ionisantes
□ E. Nécrose tumorale
155. L’inflammation. [EMD 1] 163. Les médiateurs chimiques de l’inflammation sont
□ A. Est toujours secondaire à l’action d’un agent infec- [EMD 1]
tieux. □ A. Le système des kinines
□ B. Est un phénomène statique. □ B. Les amines
□ C. Peut aboutir à une destruction tissulaire. □ C. Le système du complément
□ D. Se déroule dans le tissu conjonctif. □ D. Les prostaglandines
□ E. Nécessite une bonne vascularisation
□ E. Les cytokines
156. Le granulome inflammatoire [EMD 1]
164. L’examen anapath permet au cours d’une inflam-
□ A. Est une réaction de défense de l’organisme. mation non spécifique [RATT]
□ B. Renferme des macrophages.
□ C. Peut évoluer vers le botriomycome. □ A. De déterminer la cause de l’inflammation
□ D. Est un granulome inflammatoire spécifique. □ B. De dater l’inflammation
□ E. Renferme des cellules immunologiquement compé- □ C. D’évaluer la sévérité de la destruction tissulaire
tentes □ D. D’apporter les éléments pronostiques
□ E. De donner un traitement
157. Une réaction inflammatoire à corps étranger. [EMD
165. Les médiateurs chimiques de l’inflammation sont
1]
[RATT]
□ Est une réaction d’origine infectieuse.
A.
□ Est une réaction spécifique.
B. □ A. Te système des kinines
□ Est une réaction toujours riche en polynucléaire.
C. □ B. Les amines
□ Est une réaction dans la quelle on observe des cel-
D. □ C. Le système du complément
lules géantes. □ D. Les prostaglandines
□ E. Contient de la nécrose caséeuse. □ E. Les cytokines
158. Un granulome tuberculoïde peut être observé dans 166. La phagocytose [RATT]
[EMD 1] □ A. Agit par l’intermédiaire des granulocytes et des
□ A. Une tuberculose. macrophages
□ B. La varicelle □ B. Déclenché la production du complément sérique
□ C. La sarcoïdose □ C. Est activée par le système des kinines
□ D. Une lèpre □ D. Permet l’élimination des particules exogènes
□ E. Une pneumonie franche lobaire aigue □ E. Fait intervenir des médiateurs chimiques
159. Dans une tuberculose pulmonaire nécrotique. 167. Un granulome tuberculoïde peut être observé dans
quelle est la nature de la nécrose ? [EMD 1] [RATT]
□ A. Caséeuse □ A. Une tuberculose
□ B. Ischémique □ B. La varicelle
□ C. Purulente □ C. La sarcoïdose
□ D. Fibrinoide □ D. Une lèpre
□ E. Hémorragique □ E. Une pneumonie franche lobaire aigue
153 → BCE 154 → AE 155 → CDE 156 → ABCE 157 → BD 158 → ACD 159 → A 160 → D 161 → ABCE
162 → ABCDE 163 → BDE 164 → ABCD 165 → ABCD 166 → AD 167 → ACD
168 → D 169 → DE 170 → B 171 → CDE 172 → ADE 173 → C 174 → AD 175 → C 176 → BCDE
177 → ABCD 178 → BD 179 → ACD 180 → DE 181 → BCE 182 → BDE 183 → AD
184. L’examen ana-path permet au cours d’une inflam- □ D. Une destruction cellulaire par altération de la
mation non spécifique [RATT] membrane
□ E. Un déclanchement de la coagulation
□ A. De déterminer la cause de l’inflammation
□ B. De dater l’inflammation 192. Le follicule tuberculeux comporte [EMD 1]
□ C. D’évaluer la sévérité de la destruction tissulaire □ A. Une couronne lymphocytaire
□ D. L’apporter les éléments pronostiques □ B. Des cellules de langhans
□ E. De donner un traitement □ C. Des cellules de müller
□ D. Des cellules épithéloides
185. L’inflammation fait intervenir [EMD 1]
□ E. Une fibrose d’encorbeillement
□ A. Des lympho-plasmocytes 193. Dans la phase vasculo-exsudative de l’inflamma-
□ B. Des phagocytes
tion, on retrouve [EMD 1]
□ C. Des vaisseaux
□ D. Des filets nerveux □ A. Une augmentation de la perméabilité capillaire
□ E. Le système de coagulation □ B.Une précipitation de la fibrine
□ C. Une margination des leucocytes
186. L’inflammation aigue [EMD 1] □ D. Un mélange de cellules conjonctives
□ A. Est de courte durée □ E. Une concentration des moyens de défense humo-
□ B. Caractérisée par des phénomènes vasculo- raux
exsudatifs intenses 194. Les monocytes [EMD 1]
□ C. Ne comporte : que des éléments polynuclées □ Sont produits par les monoblastes
A.
□ D. Guérit toujours sans séquelle □ Se transforment en polynucléaires
B.
□ E. Peut guérir spontanément □ Eliminent les substances endogènes et congestive
C.
187. La détersion [EMD 1] □ Permettent le déclanchement de la réaction immu-
D.
nitaire
□ A. Succède à la phase cellulaire □ E. Ont un noyau segmenté
□ B. Prépare la phase de cicatrisation
195. L’histamine [EMD 1]
□ C. Est la liquéfaction des tissus nécrosés
□ D. Implique la phagocytose □ A. Est stockée dans les mastocytes
□ E. Est souvent chirurgicale dans les lésions étendus □ B. Entraine une vasodilatation
□ C. Entraine un œdème
188. Le bourgeon charnu [EMD 1] □ D. Entraine un chimiotactisme x
□ A. Est un tissu de granulation □ E. Provoque une vive douleur locale
□ B. Remplace les tissus détruits au cours de l’inflam- 196. L’œdème inflammatoire provoque [EMD 1]
mation □ A. Destruction cellulaire par altération membranaire
□ C. Est riche en vaisseaux de disposition anarchique □ B. Augmentation de la pression
□ D. Comprend de nombreux leucocytes □ C. Dilution des produits toxiques
□ E. Evolue toujours vers la formation de cicatrice □ D. Diminution du courant circulatoire
189. Les lésions macroscopiques élémentaires de la tu- □ E. Concentration des moyens de défense
berculose sont [EMD 1] 197. L’inflammation subaiguë se caractérise par [EMD
1]
□ A. Le caséum
□ B. Les granulations miliaires □ A. Une prédominance de la phase cellulaire
□ C. Les tubercules miliaires □ B. Un tableau clinique bruyant
□ D. Le phlegmon □ C. Une accumulation des cellules mononuclées
□ E. Les tubercules enkystés □ D. Une réaction granulomateuse.
□ E. Le développement d’une importante fibrose
190. La réaction macrophagique à corps étranger [EMD 198. La fibrose peut être [EMD 1]
1]
□ A. Jeune
□ A. Est une inflammation non spécifique □ B. Ancienne
□ B. Peut-être déclenchée nu contact de substances en- □ C. Atrophique
dogènes préexistantes □ D. Hypertrophique
□ C. Est constitué de cellules géantes macrophagiques □ E. Nécrosante
□ D. Peu être provoquée par des phénomènes d’hyper- 199. L’inflammation aiguë peut-être [EMD 1]
sensibilité □ A. Congestive
□ E. S’accompagne de nécrose □ B. Œdémateuse
□ C. Hémorragique
□ D. Fibrosante
2015 □ E. Purulente
200. La tuberculose [RATT]
191. Au cours de l’inflammation, le système des kinines
permet [EMD 1] □ A. Est une inflammation spécifique.
□ B. Est une maladie épidermique.
□ A. Une augmentation de la perméabilité □ C. Est une maladie endémique.
□ B. Une augmentation de l’adhérence des polynu- □ D. Se traduit microscopiquement par une fibrose d’en-
cléaires aux parois vasculaires corbeillement
□ C. Une libération des corps actifs □ E. Présente des cellules géantes en couronne
184 → ABCD 185 → ABCE 186 → ABE 187 → BDE 188 → BD 189 → ABCE 190 → BCD 191 → AB
192 → ABD 193 → ABCE 194 → ACD 195 → ABC 196 → CDE 197 → ACD 198 → ABCD 199 → ABCE
200 → AE
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.7. PROCESSUS INFLAMMATOIRE
201 → ADE 202 → ABCE 203 → ABDE 204 → B 205 → C 206 → C 207 → BCD 208 → D 209 → ABCD
210 → BCE 211 → CDE 212 → ACD 213 → CDE 214 → ABC 215 → ACD 216 → ADE
217 → CD 218 → CDE 219 → BCD 220 → BCD 221 → D 222 → ABCD 223 → B 224 → A 225 → D
226 → C 227 → C 228 → A 229 → BC 230 → AC 231 → CD 232 → A 233 → A
2015
2012
251. Le thrombus mixte est [EMD 2]
259. Le thrombus agonique est [EMD 2]
□ A. Le plus fréquent
□ B. Exceptionnel □ A. Blanc
□ C. Observé dans les vaisseaux de petit calibre □ B. Rouge sombre
□ D. Constitué de 02 parties □ C. Adhérant à la paroi vasculaire
□ E. Formé exclusivement de plaquettes □ D. Fragmenté sous l’eau
□ E. Pédiculé
252. Le thrombus pathologique [EMD 2]
1.9
□ A. Dilate la lumière vasculaire
□ B. Rétrécit la lumière vasculaire Tissus cancéreux
□ C. Se rencontre rarement au cours de la vie
□ D. Est pédiculé
□ E. Est oblitérant.
2022
253. Quelle est l’évolution la plus fréquente du throm-
bus ? [EMD 2] 260. L’angiogenèse est une prolifération vasculaire
□ A. La fibrinolyse [EMD]
□ B. La calcification □ A. Due au bourgeonnement vasculaire à partir de vais-
□ C. L’organisation conjonctive seaux préexistants
□ D. La fonte puriforme □ B. Due au recrutement et la différenciation de cellules
□ E. La fonte purulente péricytaires
254. Un thrombus est [RATT] □ C. À la multiplication des cellules musculaires striés
□ D. Conditionne le développement tumoral
□ Un caillot post mortem
A. □ E. Conditionne le développement des métastases
□ Un caillot in vitro
B.
□ Un caillot agonique
C.
□ Le résultat de la coagulation sanguine in vivo dans
D. 2019
les cavités vasculaires
□ E. Une embole sanguine. 261. Le stroma tumoral [RATT]
255. La conséquence tissulaire la plus fréquente et la □ A. Se développe dans les tumeurs bénignes.
plus grave d’une thrombose artérielle est [RATT] □ B. Est un contingent malin.
□ C. A un rôle de nutrition et de soutien indispensable
□ A. La nécrose ischémique à la croissance tumorale
□ B. La congestion active □ D. Est un contingent conjonctivo-vasculaire.
□ C. L’œdème transudatif □ E. Est très développé dans les carcinomes.
□ D. L’infarcissement hémorragique
□ E. La congestion passive.
256. Le thrombus pariétal est [EMD 2]
2018
□ A. Responsable d’une oblitération de toute la lumière 262. Le carcinome squirrheux mammaire est une tu-
vasculaire meur qui se caractérise par [EMD 2]
□ B. Exclusivement veineux □ A. L’abondance d’un stroma fibreux
□ C. Observé dans les artères de petit calibre □ B. La richesse du stroma en mucus
□ D. Observé dans le cœur, en regard d’un foyer d’in- □ C. La présence de cellules en bague à chaton
farctus □ D. La présence d’une métaplasie osseuse
□ E. Pédiculé □ E. Un stroma amyloïde
249 → ABC 250 → A 251 → A 252 → A 253 → C 254 → D 255 → A 256 → D 257 → D 258 → AD
259 → BC 260 → ABDE 261 → CDE 262 → A
2017 2013
263. Le stroma tumoral [EMD 2] 270. Le stroma des cancers a tous les caractères suivants
sauf un lequel ? [EMD 2]
□ A. Possède un rôle de nutrition et de soutien
□ B. Ne comporte jamais de calcifications □ A. Il est de nature conjonctive
□ C. Est toujours peu vascularisé □ B. Il est dépourvu de vascularisation
□ D. Est très développé dans les sarcomes □ C. Il appartient à l’organe atteint par la tumeur
□ E. Ne comporte jamais de foyers de métaplasie osseuse □ D. Il assure la nutrition du cancer
264. Le carcinome squirrheux mammaire est une tu- 271. Le carcinome squirrheux mammaire est une tu-
meur qui se caractérise par [EMD 2] meur qui se caractérise par [EMD 2]
□ A. L’abondance d’un stroma fibreux □ A. L’abondance du stroma fibreux
□ B. La richesse du stroma en mucus □ B. La richesse du stroma en mucus
□ C. La présence de cellules en « bague à chaton » □ C. La présence de cellules « en bague à chaton »
□ D. La présence d’une métaplasie osseuse □ D. Un stroma amyloïde
□ E. Un stroma amyloïde
2012
2016
272. Le stroma tumoral [EMD 2]
265. Le stroma tumoral [EMD 2]
□ A. Possède un rôle de nutrition et de soutien
□ A. Possède un rôle de nutrition et de soutien □ B. Contribue à la croissance tumorale
□ B. Peut comporter des calcifications □ C. Possède un riche réseau vasculaire
□ C. Peu développé dans les carcinomes □ D. Est très développé dans les sarcomes
□ D. Est très développé dans les sarcomes □ E. Peut comporter des dépôts amyloïdes
□ E. Peut comporter des foyers de métaplasie osseuse
273. Le carcinome squirrheux mammaire est membrane
266. Le stroma tumoral [RATT] basale une tumeur qui se caractérise par [EMD 2]
□ A. Possède un rôle de nutrition er de soutien □ A. L’abondance du stroma fibreux
□ B. Ne comporte jamais de calcifications □ B. La richesse du stroma en mucus
□ C. Est toujours peu vascularisé □ C. La présence de cellules « en bague à chaton »
□ D. Est très développé dans les sarcomes □ D. La présence de cavités kystiques
□ E. Ne comporte jamais de foyers de métaplasie osseuse □ E. Un stroma amyloïde
2015 1.10
Tumeurs bénignes
267. Parmi les aspects cités ci-dessous, on peut observer
dans le stroma d’une tumeur maligne [EMD 2]
□ A. Néogènes vasculaire 2022
□ B. Réaction cellulaire inflammatoire
□ C. Sclérose 274. Les adénomes des organes creux [EMD]
□ D. Kératinisation
□ E. Nécrose □ A. Sont des tumeurs endophytiques
□ B. Les sessiles sont attachés à la muqueuse par un axe
268. Le stroma tumoral [RATT] conjonctif
□ A. Possède un rôle de nutrition et de soutien □ C. Les pédiculés sont implantés directement sur la
□ B. Contribue à la croissance tumorale muqueuse
□ C. Possède un riche réseau vasculaire □ D. Sont toujours villeux
□ D. Est très développé dans les sarcomes □ E. Peuvent comporter une éventuelle dysplasie
□ E. Peut comporter des dépôts amyloïdes
2020
2014
275. Les tumeurs bénignes [RATT]
269. Le stroma tumoral [EMD 2]
□ A. Sont mal limitées et nécrotiques
□ A. Possède un rôle de nutrition et de soutien □ B. Sont généralement encapsulées
□ B. Peut comporter des calcifications □ C. Se caractérisent par des atypies cyto-nucléaires
□ C. Possède un riche réseau vasculaire marquées
□ D. Est très développé dans les sarcomes □ D. Refoulent l’organe sans le détruire
□ E. Peut comporter des foyers de métaplasie osseuse □ E. Donnent des métastases
263 → A 264 → A 265 → ABE 266 → A 267 → ABCE 268 → ABCE 269 → ABCE 270 → B 271 → A
272 → ABCE 273 → A 274 → E 275 → BD 276 → BD
277 → BE 278 → ABD 279 → ACE 280 → ACE 281 → ABD 282 → DE 283 → ABD 284 → D 285 → ACE
286 → BDE 287 → ADE 288 → A 289 → E
290 → ACD 291 → ADE 292 → BDE 293 → A 294 → D 295 → D 296 → ACD 297 → DE 298 → CE
299 → BC 300 → DE 301 → AC 302 → AB 303 → AC
317 → B 318 → CD 319 → ABD 320 → CD 321 → AC 322 → BE 323 → ACE 324 → BCD 325 → BC
326 → ABC 327 → AC 328 → ABD 329 → AC 330 → CD 331 → ABE
332 → AC 333 → AC 334 → BE 335 → AC 336 → ABD 337 → ABC 338 → ABC 339 → AC 340 → ABC
341 → AC 342 → AC 343 → ABDE 344 → BCD 345 → BCD 346 → ABD 347 → AC 348 → AC 349 → AC
□ A. Les condylomes
□ B. Les leiomyomes
□ C. Les adénomes
□ D. Les shwanomes
349. Parmi ces tumeurs la ou lesquelles sont dites épi-
théliales [RATT]
□ A. Les condylomes
□ B. Les léiomyomes
□ C. Les adénomes
□ D. Les lipomes
2012
350. Sont des tumeurs épithéliales [EMD 2]
□ A. Les condylomes
□ B. Les léiomyomes
□ C. Les adénomes
□ D. Les lipomes
□ E. Les shwanomes
350 → AC