Cours Emballages
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EMD II comprend cette partie et les chapitres V (caractéristiques des bouteilles utilisées
en verres et en matières plastiques) et VIII (Emballages de denrées particulières)
dispensées en cours classique sous forme de notes lors des 3 dernières séances de cours.
N.B : Plus la teneur en chlorure de vinylidène augmente plus grande est l’imperméabilité
du copolymère, ils sont également barrière à la vapeur d’eau.
Le P.V.D.C est le matériau barrière le plus utilisé au monde sous forme de latex (en
enduction) [GERMAIN, 1997].
4.2.4) Les thermodurcissables ou thermorigides : Renferment des groupements
(notamment hydrophobes) capables de réagir entre eux à température élevé pour donner
un réseau tridimensionnel et acquièrent une rigidité irréversible. Ce réseau est une
macromolécule ou polycondensat. Ce sont principalement des résines obtenues par la
polycondensation de petites molécules multifonctionnelles qui donnent des
macromolécules par réaction des radicaux entre eux avec élimination d’un sous-produit
(Cheftel, 1977 ; CARON ,1977).
Ces résines sont durcies par la chaleur mais la réaction peut avoir lieu à froid en présence
de catalyseurs. Ils sont utilisés pour la confection des citernes, cuves et tuyauteries.
4.2.5) Les élastomères : Ce sont des macromolécules sans interactions ou liaisons notables
et capables de se replier sur elles-mêmes de façon désordonnée, ce qui leur confère une
élasticité semblable à celle du caoutchouc (CARON, 1977 ; CHEFTEL, 1977).
A ce groupe appartient le caoutchouc naturel (poly-isoprène) et toute une gamme de
caoutchouc synthétique (polybutadiène, poly-iso butylène, polyuréthanes).
L’incorporation du soufre dans la macromolécule améliore et maintient les propriétés
élastiques des élastomères. Le caoutchouc naturel est un hydrocarbure polyéthylinique
qui provient de la coagulation du latex de l’hévéa, ficus … (CARON, 1977).
Le monomère du caoutchouc est l’isoprène (CH3)2-C=CH-CH3
Le caoutchouc est formé par la polymérisation de 4000 molécules environ. On peut lui
incorporer des plastifiants, des colorants, et des anti-oxygènes qui s’opposent au
vieillissement. Les élastomères n’ont qu’un rôle accessoire en IAA (fabrication de
bouchons et joints). (CARON, 1977).
4.2.6) fabrication d’emballages plastiques utilisés pour les denrées alimentaires
C’est essentiellement les thermoplastiques
La mise en forme des thermoplastiques a lieu sans transformation chimiques, les chutes
sont réutilisables à l’inverse de la mise en forme des thermodurcissables et des élastomères
qui nécessitent plusieurs minutes à chaud et s’accompagnent de réactions irréversibles ;
les chutes sont perdues (CHEFTEL, 1977).
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Les procédés les plus utilisés pour leur mise en forme sont ; l’injection, l’extrusion, le
soufflage et l’injection ou l’extrusion-soufflage (CHEFTEL, 1977).
HAUDIN (2010)
Schéma d’une extrudeuse monovis
L’extrudeuse monovis est constituée d’une vis sans fin tournant à l’intérieur d’un
fourreau chauffé (Figure ci-dessus).
Le polymère descendant de la trémie (en poudre ou granulés) est compacté et convoyé par
la vis sans fin, la plastification (passage du polymère à l’état pâteux) du polymère est
réalisé progressivement grâce à la chaleur fournie par conduction et à la dissipation
d’énergie de cisaillement.
L’augmentation du diamètre de la vis entre la zone d’alimentation et la zone terminale de
l’extrudeuse, aboutit à mettre le polymère pâteux en pression pour obtenir un débit
régulier dans la filière.
L’injection :
Elle permet la fabrication de pièces de dimensions bien précises (formes, cotes…) par
compression ou injection sous pression de matière plastique à l'état pâteux dans un moule
ayant la forme de l’objet fini. Le moule est constitué d'au moins deux parties afin
d'évacuer la pièce refroidie. L’injection permet d'obtenir en une seule opération des pièces
finies.
Principe général :
Une vis tournant dans un cylindre chauffé malaxe et ramollie à la température voulue, la
matière plastique qui est ensuite injectée sous pression à l’aide d’un piston ou de la vis
transformée en piston dans un moule fermé.
Cette matière sous pression remplit l’empreinte (ou moule ayant la forme de la pièce à
fabriquer), ce moule est refroidi en général par un système de circulation d’eau), la pièce
fabriquée refroidie est démoulée par ouverture du moule, le moule se referme et le cycle
recommence.
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a : Phase de dosage : les granulés de polymère qui tombent depuis la trémie dans un ensemble
vis-fourreau sont progressivement ramollis par les colliers chauffant le fourreau. La matière
ramollie est alors convoyée en avant de la vis (via un clapet anti-retour), dans l’espace créé par
le recul progressif de cette dernière lors de sa rotation.
c) phase de compactage : durant cette étape, le moule est maintenu sous pression pour rester
fermé pendant que la matière est compactée par la vis ; le polymère ramolli continue à être
injecté pour compenser le rétrécissement ou retrait, de la matière qui refroidit.
d) phase de refroidissement. Lorsque le polymère est entièrement figé, il n’est plus besoin
d’appliquer une pression de maintien, la pièce continue de se refroidir jusqu’à ce qu’elle soit
complètement solidifiée et la vis reprend son cycle de rotation à l’étape a.
Durant la dernière étape ou phase d’éjection le moule s’ouvre, et la pièce formée est éjectée
du moule.
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Extrusion -soufflage d’une gaine : le tube à sa sortie de la boudineuse est soufflé librement,
étiré, refroidit à l’air libre puis pincé entre des rouleaux qui empêchent l’air de s’échapper
puis enroulé. On fabrique ainsi des gaines de 30 à 300 microns d’épaisseur (CARRON,
1977). (Voir fig. N° III ci-dessous).
Refroidissement
Refroidissement
- Des ions modificateurs du réseau (Silicium sous forme de SiO2), le bore (B2O3), le phosphate
(P2O5)…
- Des ions modificateurs du réseau (Ca 2+, Ba2+, Na+, K+). Le carbonate de sodium apporte le
principal oxyde modificateur du réseau (Na2O) qui joue le rôle de fondant permettant de
diminuer la température de fusion de SiO2.
- Le calcaire et la dolomie améliore la résistance chimique des verres sodiques en diminuant
fortement leur solubilité. , phosphates,
- Des additifs divers (opacifiants, colorants, talc, phosphate de calcium, oxydes métalliques).
- N.B1 : Aux matières premières données dans e tableau ci-dessous, on ajoute toujours 15 à 20
p.100 de verre cassé « calcin » pour faciliter la fusion.
N.B2 : - Un verre ne contenant que la silice et un fondant est très altérable et même soluble
légèrement dans l’eau pure.
- Le verre pyrex est un verre qui renferme 13 p.100 d’oxyde de bore (B2O3), cet additif
augmente la conductibilité thermique du verre et lui permet de supporter des variations de
température.
4.3.3) Propriétés physiques : d= 2,5 environ, dureté intermédiaire entre celle de l’orthose et
celle du quartz (indice 6 à7 sur l’échelle de Mohr), conductibilité thermique = 1/400 de celle
du cuivre
4.3.4) Fabrication du verre :
Les matières premières indiquées dans le tableau + « calcin » sont broyées et mélangées
dans des appareils spéciaux, puis introduites par une trémie dans la première section du
four où ont lieu à 1500-1600°C la fusion et l’affinage. Dans la deuxième section du four
(« bassin d’attente »), le verre fondu est laissé au repos, sa température tombe à 1000-
1200°C d’où il est repris pour être distribué aux canaux qui alimentent les machines.
L’alimentation de ces dernières est faites par piston qui aspire le volume de verre
nécessaire à une pièce et le repoussent au-dessus du moule. Le poids du verre nécessaire
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est appelé « paraison ». Une fois repoussée par le piston la paraison est coupée au ras de
l’orifice et tombe dans le moule (CARON, 1977, CHEFTEL, 1977).
4.3.6) Procédé soufflé-soufflé selon CARON (1977) [voir schéma ci- dessus].
La paraison qui se trouve à une température de 1000- 1200 °C doit être transformé aussi
rapidement que possible puisque aux environ de 650°C le verre ne sera plus plastique.
La transformation a lieu en deux étapes :
-Dans un premier temps, la paraison tombe par gravité dans un moule ébaucheur qui
comporte à sa partie inférieure un moule séparé, dit moule de bague, qui correspond au
profil final souhaité (ex : bague à vis, bague type couronne, …). Un poinçon coulisse à
travers ce moule de bague, il pénètre dans la paraison, se retire et de l’air comprimé est
alors envoyé dans la cavité ainsi formé par le poinçon
- L’ébauche ainsi formée est transférée par la bague déjà suffisamment solidifiée dans le
deuxième moule finisseur où un deuxième temps de soufflage assure la formation
définitive du récipient.
Le troisième procédé « pressé-soufflé » ne comporte pas de soufflage dans l’ébaucheur
mais seulement un pressage assuré par un poinçon calculé de tel façon que le volume du
moule ébaucheur soit égal au volume de l’ébauche en verre et du poinçon. Le soufflage
intervient dans le moule finisseur (CARON, 1977 ; CHEFTEL, 1977).
A la fin de ces opérations, les flacons subissent un recuit (traitement qui consiste à les maintenir
une à plusieurs heures à une température qu’on abaisse lentement de 600 à 450°C) afin
d’augmenter la résistance du verre aux chocs et éliminer les risques de brisures spontanées du
verre (CHEFTEL, 1977).
Les objets en verre peuvent subir également des traitements de surface : polissage, ou
applications de revêtement qui jouent un grand rôle dans la résistance mécanique de l’objet.
3.3.7) Qualité du verre d’emballage (CARON, 1977 ; HUGEL- PAJEAN, 1989) :
- Résistance mécanique 6 à 10 kg / mm2 en traction ; 100 kg /mm2 en compression
- Grande fragilité aux chocs mécaniques ou thermiques (les verres riches en Ca sont plus
résistants ; le verre pyrex également).
- Le verre peut être considéré comme chimiquement inerte lors de son utilisation avec les
produits alimentaires.
- Le verre est hygiénique, il se lave remarquablement, il est imperméable aux gaz,
liquides, aromes, vapeurs…
- Le verre ne transmet, ni ne reçoit d’odeur
- il est rigide et transparent (contrôle de la pureté des produits), conserve sa forme et peut
servir de récipient de mesure.
- résiste aux chocs thermiques pendant les opérations de stérilisation.
- peut résister à des pressions internes élevées.
- IL est facile à produire en grandes séries (formes, cotes bien précises…) et colorables
(protection contre les radiations nuisibles).
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S-Na
(C6H10O5, NaOH) n + n CS2 S=C n + n H2O (xanthate de cellulose).
O-C6H9O4
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Le xanthate de cellulose est coulé à travers d’une filière sur un cylindre tournant dans un
bain d’acide sulfurique à 10 p.100, il se forme alors un film d’hydrate de cellulose
régénéré.
Le cellophane est un film fin et transparent constitué d’hydrate de cellulose.
Propriétés : d= 1,5 transparent au-dessus de 230 nm ; très souple mais cassant vers 140°C
(déshydratation), imperméable aux gaz mais très perméable à la vapeur d’eau.
Ces pellicules cellulosiques sont souvent enduites sur les deux faces d’un vernis : vernis
nitro-cellulosique, copolymères de chlorure de vinylidène.
Usages des matériaux cellulosiques en emballage alimentaire selon Zins Beauchesne et
al., (2008) :
*Le papier Kraft : utilisé pour la fabrication de sacs et sachets pour le conditionnement
et la distribution.
*Selon le traitement (paraffiné, sulfurisé, enduit) le papier est utilisé pour comme
emballage de fromages, beurre, biscuits charcuterie…).
*Le carton plat duquel sont tiré les boites pliantes mais aussi sert pour le conditionnement
et l’emballage du lait, jus…, comme c’est le cas de l’emballage tétra pack et les emballages
multicouches :
- une couche de polyéthylène (pour le scellage et protège le décor)
- une couche de carton (assure la rigidité et protège le décor)
- une couche de polyéthylène
- une couche d’aluminium (barrière aux gaz et à la lumière)
- une couche de polyéthylène qui permet le scellage (couche en contact avec l’aliment).
* Carton ondulé : sert pour l’emballage des fruits et légumes ; c’est le principal
emballage utilisé comme emballage de transport.
* Bois et matériaux issus du bois (panneaux de fibres, bois contreplaqué, bois scié…)
servent également comme emballages alimentaires (palettes et caisses palettes, cagettes,
barquettes, caisse, boites de fromages, tonneau..).
V) Caractéristiques des bouteilles en verres et en matières plastiques (voir cours
dispensé en système classique sous forme de notes lors des 15 et 16 ème séances de cours)
VI) Emballages et qualités des aliments
6.1) l’emballage alimentaire dont un de ses rôles essentielles est la fonction de protection et de
présentation de l’aliment doit lui-même être inerte vis-à-vis de l’aliment venant en son contact.
En fait cette inertie n’est que relative car ce qui est exigé par les réglementations c’est que
l’emballage ou tous autres matériaux entrant en contact avec le produit alimentaire ne doivent
céder des quantités de matériaux susceptibles de conférer un caractère nocif à l’aliment ou de
modifier anormalement sa composition, notamment en modifiant ses caractéristiques
organoleptiques. Ceci nous emmène donc à traiter dans ce qui suit : des risques toxicologiques
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ou non (PE)) ont ainsi vu le jour (Envar® commercialisé par Bioplastics Inc. ou encore
les films Mater-Bi® de la firme Novamont) [RUTOT et DUBOIS, 2004].
L’amidon ne possède pas de bonnes propriétés mécaniques à la rupture et doit être au préalable
plastifié ou formulé avec différents additifs ; L’extrusion permet la gélatinisation, la
plastification et l’obtention d’un matériau amylacé à la sortie de l’extrudeuse en un temps court.
Les matériaux à base d’amidon sont devenus des matériaux de choix pour la fabrication de films
issus de ressources renouvelables (WERTZ, 2011).
B) à partir de polymères microbiens issus de la fermentation de substrat d’origine
agricole :
1) Polymères produis directement par les microorganismes ou bactéries génétiquement
modifiées.
Les polyesters naturels, produits par une grande variété de bactéries, ont reçu une
attention toute particulière en tant que biopolymères. Ces polymères, des
polyhydroxyalcanoates (PHAs), sont sensibles à la dégradation par les microorganismes ;
dans un environnement aérobie, cette dégradation produit du méthane et du dioxyde de
carbone (RUTOT et DUBOIS, 2004)
Le poly (β-hydroxybutyrate) produit par de nombreuses bactéries a attiré l’attention en
tant que polyester thermoplastique biodégradable. Ce polyester fut commercialisé début
des années 1980 sous le nom de Biopol® par ICI Zeneca. Cependant, ses performances
mécaniques restreintes et les difficultés de mise en œuvre à l’état fondu ont limité son
développement à plus grande échelle (RUTOT et DUBOIS (2004)
Les polyesters et polyosides d’origine microbienne utilisés pour la mise en forme de bio-
emballages recyclables et/ou biodégradables sont produits par les microorganismes par
fermentation de matières premières d’origine naturelle.
2) Polymères obtenus par synthèse chimique classique à partir de monomères issus d’une
fermentation microbienne sur substrat naturel.
Exemple : Le polylactate qui est un biopolyester issu de la polymérisation de monomères
d’acide lactique provenant de la fermentation de produits contenant des sucres.
Le poly (acide lactique) : Le poly (acide lactique), est un polyester aliphatique connu pour
sa biodégradabilité et sa biocompatibilité, et peut être considéré comme biopolymère car
il est obtenu la polycondensation de l’acide lactique ou par polymérisation par ouverture
de cycle du lactide, dimère cyclique de l’acide lactique (RUTOT et DUBOIS, 2004)
C) à partir de polymères agricoles :
Ces polymères proviennent soit directement de plantes telles les polysaccharides dont
l’amidon, cellulose… ou des protéines dont le gluten de blé …ou d’origine animale comme
les caséines.
En plus de leur mélange avec les polymères synthétiques, ces bio-polymères sont utilisé
pour la fabrication d’emballages totalement comestibles si aucun additif ne leur .est
ajouté.
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39. INRS (online) : Plastiques, Risque et Analyse Thermique- Polyéthylène
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