CM Droit Des Affaires Semestre 4
CM Droit Des Affaires Semestre 4
CM Droit Des Affaires Semestre 4
4 :
13/01/23 :
POUR EXAMEN FINAL : 2 PARTIES :
THERORIQUE = QUESTIONS DE COURS
(1 pour ceux qui ont pas le TD)ET
PATRIQUE = CAS PRATIQUE. Autorise
code civil et code commerce.
Le DC :
- Se limite généralement au droit des commerçants dans l’exercice de leur
activité professionnel.
Le DA :
- Désigne l’ensemble des règles qui régissent la vie des entreprises qui ont une
portée large et englobe le commerçant en tant qu’acteur.
Mais, cette discipline ne se retrouve pas toute dans un mm code. De sorte que le DA
donne lieu à des sous ensemble législative.
Droit des affaires : définition initiale est entendu comme l’ensemble des règles
applicables à l’entreprises & imposent de définir le droit des entreprises qui est
considéré comme étant un synonyme du droit des affaires.
La dénomination du droit des entreprises peut être remplacer par celle de droit des
affaires. D’ailleurs certaines écoles privilégient la notion du droit des entreprises à
celle du droit des affaires.
L’émergence du droit commercial est une source historique du droit des affaires.
Au moyen Age, le DC s’analysait comme le droit des affaires du commerce, il est
issu de coutume et fait par la suite objet de plusieurs modifications.
Du pdv les auteurs remontent unanimement l’origine du droit commercial à l’envie.
Dans l’antiquité on peut retracer les échanges commerciaux qui ont donné lieu à des
usages a valeurs de règle juridique. Ces usages n’avaient pas la valeur de règle
écrite mais étaient considérer comme source d’obligation.
L’apparition du DC : à cette époque n’est pas une preuve du hasard. Les règles en
matière commercial ont vu le jour dans un contexte renouveau d’échanges
commerciaux.
Les effets du commerce on fait leur apparition également au cours de cet époque.
L’apparition de ces règles coutumière dominés par l’individualisme à pousser à une
réforme du droit féodale.
C’est ainsi que l’on peut retrouver des origines de la société en commandite ou de la
compagnie. Dans cet époque, l’activité bancaire était interdite. En marge des
sociétés commercial, des tribunaux de commerce, on retrouve aussi dans la pratique
française au MA la lettre de change.
Lettre de change = premier effet du commerce qui a vu le jour au MA.
But de sa création permettre à une personne d’acquérir un bien et dans joindre à
une autre personne de payer le prix au vendeur.
Pndt plusieurs décennies le DC donne ses heures de gloires avec un fort dvlpment
de l’activité marchande.
Ce dvlpment atteint sont apogée d’où la crise du droit commercial. La première
source de la crise du droit commercial réside dans le dépassement de la notion de
commerçant à celle d’entreprise.
Depuis les années 1950, ont a assisté à une colonisation du droit commercial par
l’entreprise.
L’acteur majeur des affaires se présente sous la forme d’entreprise plutôt que sous la
forme du commerçant (personne physique).
En tant que sujet de droit, elle a une raison d’être économique et est présente de
façon abondante dans la vie des affaires.
Plus tard, à partir des années 1980 : la notion d’entreprise apparait abondamment
dans le droit. On a une matière consacrer aux difficultés de l’entreprises.
Ces éléments de référence à l’entreprise qui ce qui intéresse désormais le droit pv ce
n’est plus le commerçant (pers physique).
A partir de là, la notion de commerçant avait une partie limitée pr englober ce nvl
acteur des affaires. La notion de DC s’abandonne progressivement au profit de celle
du droit des entreprises.
Code commerce 1807 : ft l’objet d’une révision avec un détachement des branches
entière du droit commercial qui prennent leur autonomie.
Ainsi, vient la naissance du droit des transports, espion de crédit, droit bancaire, droit
des soc. Cette division du DC à fragiliser l’unité des règles commercial.
Il est important de trouver une technique qui permet de régir les activités relevant des
affaires et des acteurs qui l’animent.
A titre administrative :
- Convention de Rome 1980 : loi applicable aux obligation contractuelle.
Les usages internationaux : L’ex mercatoria ont donner lieu à l’élaboration des
incoterms depuis 1936. L’objet de ces incoterms = fixé règles international
nécessaire a l’interprétation des termes fréquemment utiliser dans les contrats
internationaux d’affaire. On considère aussi que les incoterms intègrent tous les
principes relatifs aux contrats du commerce internationaux.
1- Source écrite :
Les sources écrites issues du droit de l’union applicable au droit des affaires,
concernent le droit primaire et le droit dérivés.
Ce que le droit des affaires emprunte au droit de l’union est la liberté de commerce et
de l’industrie & l’exercice des professions libéral au sein de l’UE.
2e traité Maastricht 1992 : définit le droit primaire applicable aux affaires, et les
institutions de l’union européenne et créer l’euro.
Quant au droit dérivé de l’UE : concerne les sources issues de règlement et directive
européenne. Les règlements sont en général de portée général et s’impose
directement aux États membres et à leur ressortissant.
° Les règlements européen s’applique au sein de tous les états parties : ce sont des
règlements uniformes car sont applicable à tous. Ils prévoient des règles de conflits
de loi ou de juridiction.
D’autres règlement européen prévoit des règles substantielles : c’est le cas de la soc
européenne. Pr la constituer il n’y a pas de règle dans le code civil ou autre, il faut
simplement se référer aux règlements lui mm.
Autre les règlements, il y a °les directives européenne : lie les états membres quant
au résultat à atteindre. Elle laisse le soin aux autorité national compétente de chq
état à adopter des règles de transposition, des directives en droit interne.
1- Source écrite
Il y a les codes et les lois. L’article 34 de la C définit le domaine de compétence des
lois énonçant ce qui détermine les principes fondamentaux des obligations civiles et
commerciales. Et de ce pdv, la plupart des matières intéressant le DA prennent leur
source dans les lois
Tte les lois qui intéressent les affaires n’ont pas trouver leur place dans les codes.
Loi numéro 90-1258 du 31 decm 1990 : relative a l’exercice sous forme de soc de
profession libéral.
En ce qui concerne les usages des coutumes : le droit fr des affr est dominé par les
sources écrites. Mais la prépondérance des sources écrites n’affecte pas l’existence
des règles non écrite issus des usages et des coutumes.
En droit civil, les usages sont presque dépourvus de force contraignante mais en
droit commercial les usages commerciaux sont des sources de conduites pr les
acteurs des affaires. En clair les usages et coutumes désignent des usages des
pratiques qui en fonction de certaine condition constitue des règles de loi.
Si on considère que les usages et les coutumes sont des véritables règles de loi cela
sous-entend qu’en cas de violation le juge peut être saisi.
Les pratiques professionnels peuvent résulter d’un acte accompli de façon non
répétitive mais parfois fonder sur des textes. Pr que la pratique soit qualifiée de
source de loi, elle doit respecter certaines conditions.
L’usage professionnel en cause doit être répondu dans le milieu social d’une
profession et règlement suivi comme étant une règle de loi.
A partir de l’objet du droit des affaires, on va distinguer les acteurs du droit des
affaires qui mettent en œuvre les activités du droit des affaires au sein de
l’entreprise.
Sa def sur le législateur s’effectue sur la base des actes de commerce accomplis.
Celui-ci précise que le commerçant est la personne qui accompli les actes du
commerce. Le commerçant est donc défini a partir de l’objet de son activité qu’est
l’acte de commerce
L’exclusion est justifiée par le fait que les ressources extraites du sol, ne résulte pas
d’une opération d’achats. Toutefois, l’article l131-3 du code minier élève une
perception a cette exclusion.
L’opération d’achat qui permet de caractériser l’acte de commerce doit porter sur un
bien.
Le législateur prévoit que son acte de commerce pr les achats vente et revente de
bâtiment, pr la navigation intérieure et extérieur.
Pr les immeubles : leur achat en vue d’une opération de revente constitue un acte
de commerce. Néanmoins l’achat d’immeuble, d’acte civil lorsqu’il est intervenu en
vue de l’identification de la construction d’un ou pls bat pr une vente en bloc ou en
locaux.
L’activité visé ici est la promotion immobilière qui n’est pas considère comme une
activité commerciale. La finalité de l’achat doit être la revente de bien acht.
Si l’opération d’achat est déduite de l’intention de revente il n‘y a pas lieu à acte de
commerce. La revente est considérée comme le prolongement naturel de l’opération
d’achat.
La finalité d’achat doit être la revente d’un bien acht. Si l’opération d’achat est
dénouée de l’intention de revente il n’y a pas lieu d’acte de commerce.
Revente = prolongement naturel de l’opération de commerce. Revente = bénéfice
On observe que les mandataires pr la vente de bien immobilier, ne font pas d’acte de
commerce. En revanche, le commissionnaire & le courtier accomplissent des actes
de commerce. Tte les entreprisses de commission accomplissent des actes de
commerce par nature.
Activité de courtier est présente dans pls domaines. Ainsi, on retrouve dans la vie
des affaires le courtage financier, courtage d’assurance ou le courtage dans la
distribution d’un produit textile.
Cependant lorsque sa porte sur un bien immobilier, on est en présence d’un acte
civil. Ainsi, une entr qui loue des maisons, appartement, chambre d’hôte n’accomplis
pas des actes de commerce.
Celles-ci désignent les entr industriel. Elle recouvre les activités de transformation de
matières première, de fabrication ou prod de produit fini.
Mais les actes de commerce issu des entrp de manufactures, posent qlqs difficultés.
Il est difficile de distinguer parfois, l’activité industriel de l’activité artisanal.
L’industrie tt comme l’artisanat se base sur le travail manuel
Arrêt CA de Paris « le travail effectué par une pluralité d’employer et non pas
d’un seul entrepreneur constitue une activité commercial »
4- Les entreprises de transport :
Les actes de transport sont réputés acte de commerce = qd ils sont accomplis par
une entrp de transport.
Les actes sont réputés actes de commerce lorsque dans une indifférence totale a la
forme juridique de transport.
Que l’ent soit anonyme, collectif tant quel est effectué par une entr c’est un acte de
commerce.
La vente aux enchères public est employés par le législateur ou désigné d’une vente.
Obj : exploitation des salles de ventes aux enchères public. L’exploitant n’est pas
forcément un commerçant mais l’activité reste une activité commerciale. En
revanche, lorsque la vente aux enchères est assurée par un commissaire, l’activité
reste civile (En raison de la qualité d’officier ministériel).
6- Les entreprises de spectacles pubics :
Les organisateurs de spectacles publics sont des entrepreneurs & ont en application
de l’art L110-1 prgh 6 du cod commerce ont l’activité de commerçant.
Le spectacle public est ranger dans la catégorie des actes de commerces. Quel que
soit la forme du spectacle (vivant ou enregistré), l’activité reste commerciale.
Concernant les opérations bancaires : leur classification dans la catégorie des actes
de commerce est prévue par l’article L.110-1 prg 7 du code du commerce.
« tte opération de changes, banque courtage, activité d’émission ou gestion de
monnaie constitue des actes de commerces ».
Le législateur vise essentiellement les opérations de dépôt, crédit, de change de
monnaie et de mise à disposition de moyen de paiement.
Quant aux opérations financières, il s’agit des activités que les entrp financières
réalisent sur le marché financier.
En l’absence d’une énumération légal express on peut considérer que les opérations
financières visée concernent les activités boursières.
Enfin, les opérations d’assurance : ne font pas l’objet d’une énumération légal.
Cependant, la CCASS attribue aux activités dvlper, exercer par la soc commercial
d’assurance, un caractère commercial.
Il faut écarter les soc mutuel d’assurance dans lesquels les assurées ont la qualités
d’associer.
Arrêt CCASS chmbr civil 1 : 22 octobre 1996 confirme « que les soc
d’assurances mutuels ont un objet non commercial »
Ex : un médecin qui tire une lettre de change : accomplis un acte de commerce.
Idem pr l’expert-comptable.
C’est sur ce point que les lettres de changes se distingues d’un billet un autre dans la
nature civil ou commercial qui varie selon la nature de l’obligation principal.
Pour illustrer le propos, un fournisseur à livrer des marchandises d’une valeur de 500
000 € à son client. Il c donc engager à payer ce montant par virement bancaire.
A-L’accessoire objectif :
Dans cet approche, l’acte devient commercial par emprunt a la commercialité de
l’opération contractuel dont il est l’accessoire.
Cette règle a été appliquer dans diff hypothèses arrêt chmb commercial CCASS
19/01/1972 « les actes juridiques portant sur le fonds de commerce tel que la
cession ont un caractère commercial » Est acte de commerce : l’opération d’achat de
fonds de commerce.
Les opérations de cession de part social ou d’action ont un caractère civil. Mais, la
cour de cass a jugé dans un arrêt 26 mars 1996 que les sections de part social
ou d’action exigeant le contrôle d’une soc commercial, sont considérer comme des
opérations commerciales.
La soc étant commercial, la cession d’un nombre important de part social entraine
une cession d’entrp commercial. L’acte de cession devient donc un acte de
commerce.
En outre, le cautionnement qui en principe est une opération civile devient un acte
commercial s’il garantit une dette commerciale.
B- L’accessoire subjectif :
Ce sont des actes de commerce & désignent la catg d’acte civil accomplis par un
commerçant, pour les besoins ou à l’occasion de son commerce. Ici, c la qualité
commerciale du commençant qui entraine la requalification de l’acte.
Les actes civils par accessoire = actes qui en principe sont commerciaux par
Nature mais demeurent civil car accomplis par un nn commerçant.
Ex : une assoc qui organisent de façon rare et exceptionnel un spectacle public
n’accomplis pas un acte de commerce.
Arrêt de la chambre commercial de la CCASS, le 13 mai 1970 « l’organisation
du spectacle par l’assoc pr conserver sa nature civile, doit s’inscrire dans un but non
lucratif ». L’acte doit dnc rester occasionnel & doit avoir une importance faible par
rapport à l’activité civil.
Dès que l’agriculteur, l’artisan ou encore l’assoc organise des activités d’achats et de
revente avec l’intention de réaliser des spectacles de façon récurant, il passe dans la
catg commerciale. Les actes accomplis deviennent des actes de commerce.
Ex : achat d’article à Auchan : acte d’achat = est civil mais pr Auchan l’opération de
vente = est commercial. C’est donc un acte mixte (partie commercial et civil).
La recherche de profit, n’est pas exclusive à l’activité commercial. Les associés des
soc civil professionnel ou immobilières recherche aussi le bénéfice a l’instar des
associés des soc commercial.
En suivant ce critère, tous les commerçants sont des intermédiaires. Tte fois,
sont appréciation permet de relever que sa portée est trop limitée.
Plusieurs activités industrielles sont aussi commerciales sans que le commerçant ou
l’industriel ne réalise un acte d’intermédiation.
Le critère de l’entremise ou de circulation de richesse, ne rend pas compte de tte les
activités commerciales. Son application devrait exclure l’exploitation des mines qui
pourtant est commercial.
A ce titre, l’acte de commerce, pourra être défini comme un acte juridique accomplis
par une entreprise avec une autre entreprise ou un consommateur dans l’intention de
réaliser des bénéfices.
La notion d’acte de commerce est dépassée. Il est vrai qu’une def peut être établit a
partir des critères doctrinaux. La tendance actuelle, est d’assimiler la notion d’acte de
commerce à celle d’activité commerciale.
A) La liberté de preuve
EX : la liberté de preuve Principe : énoncer à l’art L.110-3 du code du
commerce. A l’égard du commerçant, les actes de commerce peuvent se prouver
par tout moyen à moins qu’il n’en soit disposé autrement par la loi.
Les obligations commerciales à ce titre, peuvent être prouver par le témoignage, des
documents comptables, les échanges …
L’exigence de la liberté de preuve est portée par une justification. La dispense décrit
permet de conclure rapidement un contrat. Le monde des affaires étant dominés par
la règle de la sérénité.
La liberté de preuve reste la règle, et les exceptions peuvent être que légal.
Aussi, en cas de conflit, l’écrit reste en pratique la règle de preuve.
Les contrats commerciaux ou d’affaires, n’exclue pas la preuve par l’écrit. Or l’écrit
peut être électronique ou sur papier.
En revanche, en matière civil l’obligation est conjointe et bon solidaire. Elle se divise
entre les co débiteurs. La solidarité peut être stipuler dans un contrat civil mais n’est
jamais présumé comme en matière commercial.
Arrêt chambre de requête cour de cassation 22 octobre 1920, « il n’est pas
nécessaire que le contrat d’affaire mentionne expressément la solidarité passive »
Cependant la solidarité passive peut être écarter expressément par les parties aux
contrats de l’affaire.
Dans l’hyp d’une solidarité légale entre commerçant, il n’est pas possible pr les
parties de prévoir une cause d’obligation conjointe.
L221-1 « institue une obligation solidaire entre associées d’une soc en nombre
collectif ».
Cependant il y a des délais spécifiques + court dans certaines matières de droit des
affaires tel que le délai de 3 ans en matière de droit des soc ou encore délais d’un 1
an en contrant de transport.
27/01/2023
SECTION 2 : LE REGIME JURIDIQUE DES ACTES
MIXTES :
Paragraphe 1 : les règles matérielles :
Les actes mixtes présentent un caractère civil pour le non commerçant. Cette dualité
de nature appelle une application distributive des règles matériels, processuels et de
preuve.
En ce qui concerne les règles matérielles : sont régis par les dispositions qui
sont plus favorable au consommateur.
La règle protège la partie non commerçante, en ce sens que les juridictions civiles
sont considérées comme étant les juges naturels des non commerçant qui protège
au mieux les intérêts des non professionnels.
Si c’est le civil qui agit devant le commerçant : il a une option : soit on assigne
commerçant devant TC ou devant juridiction civil.
L’arbitrage est un grand attrait car est considérer comme une justice rapide contrôler
par les parties & rendu par les experts.
La clause attributive de juridiction = clause par laquelle les parties déroge aux règles
de compétence territoriale. Cette clause est interdite dans les actes mixtes dans
lesquelles elle est réputés non écrite.
CCASS Arrêt du 8 février 2000 rappel que les actes de commerce a l’égard d’un
garage peuvent être prouver par tous moyens en raison de sa qualité de
commerçant lorsque la partie qui agis n’a pas cette qualité.
Quel est l’intérêt de ces règles distributives ? En amont d’une protection de non
commerçant réputé être la partie la plus fidèle de l’acte mixte.
Définition du commerçant : sont les commerçants tous ceux qui exercent des actes
de commerce et en font leur profession habituelle (art L121-1 du code du
commerce).
L’intérêt de l’exercice a titre individuel = l’entrepreneur doit conserver tous les pvrs en
matière d’admn, de gestion & d’organisation.
Lorsqu’elle est faite : les créanciers ne peuvent plus poursuivre l’exécution forcée
portant sur l’application principale ou des biens fonciers.
- Loi de 2015 : améliore la protection du patrimoine exerçant à titre individuel.
L’entreprise unipersonnel a la resp limité = cette soc n’est qu’une soc a resp limité a
associé unique. Ce qui suppose que cette entrp a la personnalité juridique, c une soc
commercial et détaché de la personne de l’entrepreneur individuel. C une personne
moral doté de la personnalité juridique complètement autonome.
Le conjoint du commerçant est réputé commerçant que s’il exerce une activité
commerciale totalement séparé de celle de son époux.
Si soc commercial est créer que par un seul époux mais que l’autre s’est imiter
totalement dans cette activité, est-il commerçant ? (Litige lorsqu’il il y a partage de la
soc).
La loi offre cette possibilité & le conjoint intervenant peut prendre la qualité d’associé
et cette qualité emporte quelques exigences :
Lorsque les soc commerciales est fondé sur les risques : distinction des soc a
risques limité à risques illimité. Toutes les autres formes sociales relèvent des soc a
risque illimité.
SOC = contrat par lequel une ou plusieurs personne met en commun des biens dans
le but d’exercer une activité eco pr partager le bénéfice, profiter de l’économique &
contribuer aux dettes.
Le commerçant peut choisir d’exercer son activité dans le cadre d’une société.
Lorsqu’il fait le choix d’exercer le commerce dans ce cadre, il y a des
conséquences qu’il importe de rappeler.
La soc est une personne moral & se distingue de la personne du commerçant & est
doté de la pers juridique & constitue donc un sujet de droit doté d’un patrimoine.
Elle peut agir en justice (en demande ou défense). Dans la pratique, elle se fait
représenter par c dirigeant légaux.
La société commerciale, en ce qui concerne son examen, va se fonder sur la
distinction opérée entre les pers morales rencontrer dans la vie des affaires.
Société commerciale par la forme = soc qui sont réputés commercial qlq soit
la nature de l’activité qu’elles exercent. Sont ainsi réputé commerciales par la
forme, la soc anonyme, soc par la science simplifié, soc en amont collectif,
soc simple, soc en commandite par la science.
Société civile : sont considérer comme tel en raison de la nature civil de leur
activité. Il y a deux types : Soc civile immobilière et soc civil professionnelle.
Les socs civils peuvent faire l’objet de requalification par le juge en société de fait.
Elles sont requalifiées lorsqu’elles exercent une activité commerciale dans la
perspective de bénéficier de certains avantages fiscaux.
Sont des personnes morales qu’on retrouve dans la vie des affaires. Article L121-1
du CD commerce « grpment d’intérêt eco sont constitués par 2 ou pls personnes
physiques morales pour une durée déterminée ».
Ce groupement est créer par les parties prenantes dans le but de promouvoir
l’activité de chacun d’elles.
Ce grpment peut avoir un objet civil ou commercial & a un caractère auxiliaire. Cela
suppose, que le groupement d’intérêt eco, ne doit pas dvlper une activité eco diff de
celle de ses membres. Le grpment d’intérêt eco d’un pdvu juridique est une personne
moral doté de la personnalité juridique.
Il fait donc l’objet d’une manipulation au registre du commerce et des socs qui lui
confère la personnalité juridique.
Les personnes rencontrées dans les affaires peuvent avoir des qualités autres que
celles commerciales. Les commerçants exerçant dans le cadre individuel ou en soc
sont astreint à diverses obligation.
La liberté de commerce et d’industrie bénéficie d’une grande protection & est élever
au rang de principe constitutionnelle. Cependant, son caractère fondamental,
n’exclut pas les hypothèses d’encadrement légal. La loi prévoit dans certains cas
l’obtention d’une autorisation préalable à l’exercice de l’activité commercial.
Le commerçant ambulant doit déclarer sont activité sous risque une interdiction
d’exercice. Cependant, le régime de la déclaration permet la régularisation.
La tenue d’une comptabilité impose une obligation de sincérité et de fidélité dans les
déclarations comptables. Lorsque l’entreprise ne tient pas la comptabilité qu’elle soit
normale ou simplifiés elle s’expose à une taxation d’office.
En ce qui concerne les micro entrepreneurs qui cessent temporairement leur activité,
peuvent se soustraire a l’obligation de declaratiin dans un delais maximal de 2 ans
etre radié pour autant.