Biochimie Des Animaux Domestiques I Synthèse: Objet Du Cours
Biochimie Des Animaux Domestiques I Synthèse: Objet Du Cours
Biochimie Des Animaux Domestiques I Synthèse: Objet Du Cours
1.Introduction :
-Objet du cours : Expliquer les caractéristiques des êtres vivants, notamment le haut degré de complexité
chimique et d’organisation microscopique.
Haut degré de complexité chimique Polymérisation : les protéines sont des polymères d’acides aminés.
(Environ 30000 protéines sont utilisées dans un être vivant ce qui correspond à une infime partie des
possibilités totales qui correspondent à 20500 protéines).
Haut degré d’organisation Stries parallèles pour les muscles striés squelettique.
-Stéréoisomères : molécules ayant la même composition, les mêmes liaisons atomiques mais différents
arrangements moléculaires.
Stéréoisomère configurationnels : ne peuvent être intervertis que par rupture d’une liaison covalente.
Configuration donnée soit par une double liaison, soit par un carbone chiral.
La plupart du temps, les stéréoisomères possèdent une configuration active, c’est-à-dire qu’ils ont une action
biologique, et une configuration inactive dite inerte. ATTENTION : ce n’est pas toujours le cas.
2.L’eau :
Les éléments atomiques ne sont pas stables seul, donc ils vont chercher à partager
des électrons (création de liaisons chimiques) avec d’autres éléments chimiques afin
de ressembler aux gaz nobles qui sont inertes.
Une liaison entre deux atomes peut être ionique ou covalente, l’une ou l’autre sera favorisée en fonction de la
différence d’électronégativité entre les 2 éléments considérés.
Il n’y aura jamais de liaisons H entre les atomes d’hydrogène liés à un carbone et un autre élément car la
différence d’électronégativité est trop peu importante entre le carbone et l’hydrogène (0,4), donc il n’y a
pas une charge partielle suffisamment grande.
Cette caractéristique prouve que les lipides ne sont pas solubles dans l’eau, car les lipides
sont composés d’acides gras (chaines hydrocarbonées) et que l’eau ne peut dissoudre les
molécules non-polaires.
Le NaCl, quant à lui, est soluble dans l’eau car des liaisons H sont possibles.
Les gaz non-polaires sont faiblement solubles dans l’eau et donc dans le sang.
C’est pour cette raison qu’il y a présence d’hémoglobines et de myoglobines pour le
transport d’O2 dans l’ensemble de l’organisme.
C’est grâce à ces protéines que des organismes plus évolués on put apparaître.
micelles. Il n’y a pas réellement d’interaction entre les queux hydrophobes, mais c’est la relation entre les
molécules d’eau et les substances hydrophobes qui les disposent de cette manière.
ATTRACTION
-Osmose :
Mouvement d’eau au travers d’une membrane semi-perméable dirigé par les différences de pression
osmotique (π).
π = icRT (équation de van’t Hoff)
avec : i = facteur de van’t Hoff
i x c = osmolarité (osm/L)
c = concentration molaire du soluté
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Les globules rouges sont sensibles aux changements de l’osmolarité de leur environnement.
Exercice :
Artériole Veinule
Capillaire
…
Comment les échanges entre les cellules et les capillaires se déroulent ?
Premièrement, de l’eau va entrer dans les cellules dû à la pression hydrostatique émise par le cœur.
(37 mmHg au début et 17 mmHg à la fin).
Deuxièmement, les protéines présentent dans le sang ne peuvent passer au travers de la membrane cellulaire,
elles vont donc induire une pression oncotique. (25mmHg) La pression oncotique interstitielle des cellules est
de 1 mmHg. Dès lors, la pression oncotique totale est de 24mmHg.
Dans la partie médio-terminale du capillaire, le flux d’eau va changer et donc élimination des déchets
métaboliques.
Exemple : Œdème : Lors d’une carence en protéines, il y a moins de protéines dans le sang donc ça va induire
une diminution de la pression oncologique, et donc une accumulation d’eau dans le liquide interstitiel. Le
problème majeur est l’accumulation des déchets métaboliques dans les cellules.
Ascite : Œdème de la cavité abdominale.
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Quelques valeurs de PH :
PH : Alcalins---------PH = 7----------Acides.
pKa : Acides faibles très faibles--------pKa = 7---------Acides faibles forts.
Le mélange tampon phosphate est présent dans tout notre organisme sauf
dans notre estomac, en effet il s’agit d’un mélange tampon idéal car son pKa
est proche du PH des liquides physiologiques.
Le mélange tampon majeur dans le sang est le mélange tampon bicarbonate.
L’ATP et l’histidine sont des mélanges tampons car ils possèdent tous les deux
des groupements ionisables.
Comment se créer le mélange tampon bicarbonate du sang ?
CO2(d) + H20 <-> H2CO3 <-> HCO3 + H
La transformation du CO2 en H2CO3 se fait à l’aide d’une enzyme nommée
l’anhydrase carbonique, ce processus se fait à une vitesse très importante (1 000 000/s). Il est très important
que ça se fasse rapidement car notre organisme produit énormément de CO2 à cause des réactions
métaboliques. Le pKa de H2CO3 est de 6,3. Il va s’hydrolysé dans l’eau et ainsi créer un mélange tampon. Il faut
savoir que notre organisme est gorgé de CO2 donc la réaction se passe toujours de gauche à droite. Excepté
dans les alvéoles pulmonaires où il y a très peu de CO2 et donc la réaction va se faire de droite à gauche et il va
pouvoir s’y échapper par effet syphon. Présence d’exercices dans le cahier d’exercices !!!
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-Les acides aminés (Ils sont au nombre de 20) vont se polariser entre eux pour former des molécules plus
complexes appelées polypeptides et protéines. Nombre total de possibilités = 20500. Les protéines sont des
polymères qui sont considérées comme les ouvriers de l’organisme.
Il faut savoir redessiner l’ensemble des acides aminés !!!
L’ensemble des AA ci-joints ne sont pas solubles dans l’eau car ils possèdent
des chaines hydrocarbonées non-polaires et donc non-solubles dans l’eau.
Aromatiques :
Les acides aminés suivants sont capables de faire des liaison H grâce aux charges
partielles qu’ils possèdent.
Rmq : La cystéine possède un atome de soufre donc ils sont capables de faire des ponts
disulfures entre eux, il s’agit d’une liaison covalente donc il va y avoir perte de la polarité.
Les ponts disulfures sont hydrophobes.
Acide Basique
➔ Constituant du collagène.
➔ Constituant de la myosine.
-Exemples :
Carence en arginine chez le chat : voir feuille d’exercices.
Non-carencé Carencé
-Les protéines conjuguées : protéines contenant un ou plusieurs autre(s) groupe(s) chimique(s) non-
peptidique(s). Ces groupes sont dits : prosthétiques.
L’hémoglobine possède 4 hèmes qui sont des groupes prosthétiques : porphyrine de fer.
-Structure primaire des protéines : Correspond à la séquence des acides aminés. C’est-à-dire les liens covalents
(liaisons peptidiques) et les ponts disulfures.
Par exemple, on pourrait croire que l’insuline est constitué de 2 sous-unités mais en fait il ne s’agit que d’une
seule sous-unité car les deux branches sont reliées par 2 ponts disulfures.
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Les protéines dans n’importe quelle comformation fonctionnelle sont dites les protéines natives.
C C
Liaisons covalentes Liaisons non-covalentes
Les liens peptidiques sont rigides et plans :
❖ Les hélices α :
Les liaisons peptidiques peuvent faire des liaisons H avec d’autres
liaisons peptidiques (entre les O et les H) ce qui va donner une forme
bien particulière aux polypeptides. Ce phénomène va provoquer la
mise en périphérie des chaines latérales R (protrusion des
groupements R). Les hélices α tournent dans le sens des aiguilles du
montre (elles sont dites droites) et présentent 3,6 acides aminés par
tour. La longueur d’une rotation complète est de 0,54 nm. Il faut que
l’encombrement soit tel que les plans rigides ne rentrent pas en
collision les uns avec les autres.
❖ Les feuillets β :
Les chaines polypeptidiques β forment des feuillets β via la formation
de liaisons H entre les O et les H des liens peptidiques qui se font face. Il va y avoir à nouveau
une protrusion des chaines latérales R dans le sens opposé à chaque fois. Les feuillets β
peuvent se trouver sous forme parrallèle ou anti-parallèle. Les liaisons H des feuillets
parallèles (obliques) sont moins fortes qui les liaisons H des feuillets anti-parallèles
(droites). Les plans rigides des liaisons peptidiques ne rentrent jamais en collision les
uns avec les autres (forme parfaite) et donne la forme d’un paravent.
• Elastine :
• Le collagène :
Entre dans la constitution du tissu conjonctif de la peau, des tendons et des ligaments, des os, du
cartilage,…
Il est constiué de trois hélices enroulées gauches serrées (qui tournent dans le sens inverse
des aiguilles du montre, 3 AA/tour).
Il va y avoir la répétition d’un tripeptide :
-Gly----Pro----Hydroxyproline.
La proline induit la formation d’hélices gauche dû au repoussement des cycles qu’ils
forment et ainsi respecter l’encombrement stérique. La proline permet d’empêcher le
déroulement de l’hélice grâce au cycle qu’il forme et ainsi garder une rigidité. Les
groupements hydroxyliques permettent des liaisons H entre les différentes chaines. La
glycine est le plus petit acide aminé et son rôle est de diminuer l’encombrement stérique et
laisser de l’espace pour les prolines.
-Gly----Lys----Hydroxylysine.
La glycine aura ici toujours un rôle pour limiter l’encombrement stérique grâce à sa petite
taille. La lysine et l’hydroxylysine peuvent intéragir ensemble et donner une double liaison
qui va également avoir comme but de figer l’hélice et ainsi empêcher son déroulement.
Pathologies du collagène :
✓ Le scorbut (carence en vitamine C).
La vitamine C est nécessaire à la synthèse de l’hydroxyproline. Si carence en vitamine C, pas de synthèse
d’hydroxyproline et donc le tripeptide du collagène va ressembler à Gly----Pro----Pro. Il n’y a donc plus la
possibilité de faire des liaisons H et dès lors ça va fragiliser le collagène et il va devenir élastique et flexible. Cela
pose de graves problèmes au niveau des vaisseaux sanguins car ils laissent passer du sang donc il va y avoir
l’apparition d’hémorragies. In fine, la mort peut avoir lieu.
Les protéines globulaires sont impliquées dans de nombreuses réactions biochimiques de notre organisme. Il
en existe une très grande variété car elles ont besoin d’être beaucoup plus spécifiques pour permettre de
répondre à leurs fonctions qui sont elle-mêmes spécifiques.
• La myoglobine :
La myoglobine stocke l’oxygène dans les muscles. Elle est constituée d’une seule sous-
unité donc elle ne possède pas de structure quaternaire.
Elle est constitué d’acides aminés hydrophobes (plus abondant au centre de la
molécule) et d’acides aminés chargés (plus en périphérie).
• Les aquaporines :
-Repliement protéique :
Les protéines adoptent spontanément la conformation contenant le plus de liaisons faibles et enfuissent les AA
hydrophobes en son centre (point de vue thermodynamique) pour maximaliser sa stabilité.
Les chaperons moléculaires sont des protéines qui viennent se fixer sur
les protéines en cours de repliement pour les protéger pendant qu’elles
prennent leur forme tridimentionnelle.
La mucoviscidose :
La CFTR est une protéine de 1480 acides aminés qui permet le passage d’ion Cl- au
travers de la membrane plasmique et l’hydratation du mucus présent dans nos
voies respiratoires (dû au déplacement d’eau de la cellule vers l’extérieur par
osmose). Cependant, l’abscense d’un seul AA (Phe508) de cette protéine la rend
inutile car elle ne peut plus venir se fixer au niveau de la membrane cellulaire (elle
va être dégradée). Dès lors, les ions Cl ne peuvent plus passer au travers de la
membrane et donc le mucus présent dans nos voies respiratoires n’est plus
hydraté. Il devient de plus en plus visqueux et de plus en plus épais. Les débris dans
nos voies respiratoires ne sont plus éliminés correctement et cela peut induire des
infections et même provoquer la mort de la personne infectée.
Héréditaire ou acquis !!
Les protéines sont dégradées lorsque la cellule n’a plus besoin d’elles, lorsqu’elles
sont mal repliées, ou alors parce qu’elles deviennent trop âgées.
Le protéasome est un complexe protéique qui dégrade les protéines endommagées
ou mal repliées ou…
Cette étape est indispensable pour la dégradation des protéines car le protéasome
ne reconnait que les protéines ubiquitinées. A la fin de la dégradation de la protéine,
l’ubiquitine n’a pas été modifiée et peut à nouveau se fixer sur une autre protéine
(similaire aux enzymes qui catalysent une réaction).
La maladie d’Alzheimer :
Méthodes utilisées :
-Méthode du biuret :
Un complexe de coordination se forme dans une solution alcaline entre un cation Cu ++et 4 molécules
de biuret (au niveau de l’atome d’azote) qui ont une structure de liaisons comparable à celle des
liaisons peptidiques qui constituent une protéine.
Le Cu++ forme également des liaisons avec les liens peptidiques mais ne réagit pas avec d’autres
molécules azotées comme l’urée qui est appréciable pour notre étude.
Le réactif de biuret (CuSO4) va venir former un complexe avec les liaisons peptidiques des protéines
avec qui il est en contact. Par après, on fait une coloration violette qui est proportionnelle au
nombre de liens peptidiques. Et puis on fait une mesure de l’absorbance (545 nm).
Exemple d’hypoprotéinémie et d’hyperprotéinémie :
Hyperprotéinémie : Inflammation ;
Déshydratation.
Comment différencier une inflammation d’une déshydratation avec les résultats d’une prise de sang ??
➔ Lors d’une inflammation, il va y avoir une importante concentration en protéines présent dans nos
résultats.
➔ Lors d’une déshydratation, il va y avoir certe une concentration importante de protéines, mais aussi
une concentration importante dans n’importe quels autres paramètres car :
L’électrophorèse est une méthode de séparation de particules chargées électriquement par migration
différentielle sous l’action d’un champ électrique.
Elle se déroule dans un gel (état de la matière provenant de la formation d’un réseau de particules, que l’on
peut qualifier d’intermédiaire entre un solide et un liquide).
Comment former ce gel ?
Il s’agit d’un gel de polyacrylamide :
Les acrylamides (bleu) vont former des liaisons entre elles. Mais nous devons ajouter du
méthylènebisacrylamide (rouge) qui va former des liens entre les chaines d’acrylamide et
ainsi former un réseau de particules indispensable à la formation d’un gel. Plus il y aura
de méthylènebisacrylamide, plus il y aura des liens entre les chaines, et ainsi la viscosité
du gel est plus grande.
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O (viscosité du gel)
Les anticorps sont constitués de deux chaines lourdes (reliées par 2 ponts
disulfures) et de 2 chaines légères qui sont reliées aux chaines lourdes via un
pont disulfure comme représenté sur le schéma ci-joint.
Tous les anticorps chez les individus de la même espèce possèdent une partie
commune, elle se trouve au niveau de la queue de l’anticorps.
Il est possible de produire des anticorps contre n’importe quelle protéine (lapins et souris).
Méthode expliquée dans le cahier d’exercices !!!
-ELISA :
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-Immunofluorescence indirecte :
Epidermolyse bulleuse (maladie auto-immune). Les anticorps du soi sont dirigés contre la lame
basale qui sépare le terme et l’épiderme. Dès lors, il va y avoir un décollement de l’épiderme et
l’animal va le perdre. Seule solution : euthanasie.
On voit bien sur l’image de droite que les anticorps secondaire marqués par un marqueur viennent se
fixer sur la partie commune des anticorps primaires qui attaquent la lame basale.
Le nombre de liaisons faibles entre le ligand et la protéine doivent être optimales, sinon la fixation
n’aura pas lieu comme montré sur le schéma ci-dessus. C’est pour cette raison que l’on dit que ce
processus est spécifique.
Le Fe++ est capable de faire 6 liaisons de coordination. Il va en faire 4 avec les 4 cycles pyrolle, il va en
faire une autre avec un résidu d’histidine (de la myoglobine ou de l’hémoglobine), et la dernière avec
l’O2.
Le Fe++ doit impérativement faire l’ensemble de ces liaisons de coordination pour pouvoir fixer l’O2.
RMQ :
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La myoglobine :
La myoglobine est une protéine (153 AA) constituée d’une seule sous-unité qui est elle-
même constituée de 8 hélices alphas. Elle se trouve dans les tissus musculaires et son rôle
est de stocker de l’O2. Elle contient un seul hème (en rouge sur le schéma).
La myoglobine a une constante d’association élevée pour l’O2, elle a donc une grande affinité pour
l’O2. Cependant, elle a une petite constante de dissociation donc elle a une faible tendance à relâcher
l’O2 qu’elle contient dans son hème. Ce qui est parfait pour sa fonction car son rôle est de stocker
l’oxygène dans les muscles, elle restitue l’oxygène quand il y en a vraiment besoin.
L’hémoglobine :
Elles sont présentes dans le sang, plus précisément dans les globules rouges qui leurs offrent un
milieu bien particulier nécessaire pour qu’elles puissent répondre à leur fonction. Les hémoglobines
constituent 34% du poids total des globules rouges.
Le rôle principal des hémoglobines est le transport d’oxygène.
• Si la constante de
dissociation était tout le
temps faible, les
hémoglobines pourraient
bien s’approvisionner en
oxygène, mais elles
auraient du mal à
retransmettre l’oxygène
aux tissus.
La nature est bien faite. La probabilité est telle qu’il fallait au moins 4 sous-unités pour qu’une
d’entre elles puissent capter ou libérer de l’oxygène contre leur envie (mauvaise forme à leur arrivée
soit dans les tissus, soit dans les poumons).
L’hémoglobine est dite allostérique. Dans une protéine allostérique, l’interaction entre le ligand et un
site de liaison modifie les propriétés de liaison des autres sites de la même protéine.
Exception chez l’hémoglobine : l’interaction protéine-ligand n’est pas réellement spécifique car
l’hémoglobine peut également capter le CO2 et le H+.
-
H2O CO2 H2CO3 HCO3 H
Anhydrase carbonique.
-40% des H+ sont captés par les hémoglobines ce qui permet d’éviter la diminution du PH sanguin vu
la production importante de CO2 par notre organisme.
-20% du CO2 est lié à l’hémoglobine, sous forme dissoute, ou sous forme de HCO3-.
RMQ : Le CO2 et les H+ ne se fixent pas sur les hèmes (pas de concurrences avec l’oxygène). Les deux
réels ligands de l’hémoglobine sont le dioxygène et le monoxyde de carbone.
En effet, les ions H+ se fixent au résidu His146. On sait que l’histidine a un pKa proche du PH
physiologique ce qui lui donne un rôle de tampon.
Le CO2 se fixe à l’extrémité N-terminale de chaque sous unité pour former un groupement
carbamate.
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-L’effet Bohr :
Explication :
Métabolisme augmente ;
-Le 2,3-diphosphoglycérate (2,3 DPG) : Il est l’un des produits du métabolisme et permet d’aider
l’hémoglobine à exercer sa fonction (régulation de la liaison de l’oxygène à l’hémoglobine). Cette
molécule à besoin d’un milieu bien spécifique pour exercer sa fonction, c’est
pour cette raison qu’elle est enfermée avec les hémoglobines à l’intérieur des
érythrocytes.
Le 2,3 DPG se fixe dans la cavité qui sépare les deux sous-unités betas et stabilise
la forme tense de l’hémoglobine (faible affinité pour l’oxygène).
La différence d’affinité pour l’oxygène de ces 2 types d’hémoglobines provient directement de leurs
différences au niveau de leur composition.
Vu que les sous-unités gammas ont très peu d’affinité pour le 2,3 DPG ->
plus d’affinité pour l’02 (comme on le voit sur le schéma). L’augmentation
de l’affinité pour l’oxygène des hémoglobines fœtales est nécessaire car
elles tirent leur oxygène des hémoglobines maternelles (si elles avaient les
mêmes affinités, le fœtus ne serait pas approvisionné en oxygène).
Cependant, cela induit une moins grande livraison d’oxygène au niveau des
tissus du fœtus.
7.Les enzymes
-Les cofacteurs :
De nombreuses enzymes requièrent la présence s’une molécule supplémentaire : un cofacteur.
-Nomenclature :
x
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La cinétique :
Le nombre de turnover (Kcat) moyen par enzyme est de 1000. Il est de 1.000.000 pour l’anhydrase
carbonique !!!
Le Km, quant à lui, correspond à la quantité de substrat nécessaire pour avoir une vitesse = 0,5 Vmax.
Plus Kcat est grand mieux c’est, car ça veut dire que l’enzyme transforme son substrat en produit
relativement rapidement.
Plus le Km est faible mieux c’est, car ça veut dire que l’enzyme trouve relativement facilement son
substrat dans son milieu.
- 3
Si [S] est très petite, la vitesse est Si [S] est très grande, la vitesse est égale à
dépendante de la concentration en Vmax : V0 = Vmax donc la vitesse est
substrat : V0 = (Vmax/KM) [S]. indépendante de la concentration en substrat
Exemples :
• L’anhydrase carbonique possède un Kcat très important ce qui veut dire qu’elle transforme
rapidement le substrat en produit, cependant elle ne possède pas un Km très bas ce qui veut
dire qu’elle n’a pas une très grande affinité pour son substrat. L’organisme produit tellement
de CO2 que ça ne lui pose pas de problème pour trouver son substrat.
• La lysozyme est une enzyme qui tue les bactéries dans la cavité buccale. Elle possède un Km
très bas ce qui veut dire qu’elle trouve très facilement son substrat dans son milieu,
cependant elle ne possède pas un grand Kcat, c’est-à-dire qu’elle ne transforme pas
rapidement le substrat en produit.
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Personnes intolérantes :
-Le fonctionnement :
Variation d’énergie libre de Gibbs au cours d’une réaction chimique : ΔG = ΔH - T ΔS
• Synthèse de polymères :
AA AA AA AA AA AA -> AA-AA-AA-AA-AA-AA
On perd de l’énergie dans cette réaction car on crée des liaisons qui renferment en elles de
l’énergie :
➔ ΔH > 0
Lors de cette réaction on crée des liaisons, donc on crée de l’ordre :
➔ ΔS < 0
27
• Dégradation :
AA-AA-AA-AA-AA-AA -> AA AA AA AA AA AA
On gagne de l’énergie lors de cette réaction, car on récupère
l’énergie dans les liaisons qu’on vient de briser :
➔ ΔH < 0
Lors de cette réaction on crée du désordre car on a brisé des
liaisons :
➔ ΔS > 0
Vu le signe des variables de cette formule, on peut dire que la
variation de l’énergie de Gibbs est négative : ΔG < 0 : il s’agit d’une
réaction exergonique. C’est-à-dire que la dépolymérisation devrait
être une réaction spontanée, cependant ce n’est pas réellement le
cas.
Etat de transition
Energie d’activation
L’énergie d’activation peut être fournie par des collisions énergétiques à température élevée par
exemple.
On voit sur ce graphique que les enzymes ne changent pas le ΔG de la réaction entre le substrat et le
produit. Cependant, elles diminuent l’énergie d’activation nécessaire pour passer d’un côté à l’autre.
L’enzyme va venir plier la liaison de la molécule de substrat et ainsi forcer la réaction car l’eau aura
beaucoup plus simple de rompre la liaison dans cette condition.
(Bâton plié plus simple à rompre)
La vitamine C (acide ascorbique) est indispensable pour l’ajout d’un groupement hydroxyle sur le
quatrième carbone de l’hydroxyproline. Cependant ce n’est pas la vitamine C qui va venir ajouter ce
groupement. La prolyl hydroxylase est une enzyme qui va elle ajouter le groupement hydroxyle sur le
quatrième carbone de la proline, mais cette action va induire son oxydation. Cependant, sa forme
oxydée est une forme inactive et elle doit donc être réduite. C’est le rôle de l’acide ascorbique.
-Complexes multienzymatiques :
Enzymes : X Y Z
N A B C D
Seule la première enzyme nécessite un Km faible vu qu’elle
Système ultra-régulé pour éviter de gaspiller va ultérieurement directement délivrer son produit (qui est
les ressources cellulaires le substrat de la prochaine enzyme) près de l’autre enzyme.
D’où l’appellation du travail à la chaine.
• Confinement de l’enzyme : est-ce que l’enzyme est en contact ou non avec son substrat ?
• Rétrocontrôle :
Le produit final d’une voie de réaction se fixe sur et inhibe une
enzyme qui agit au début de cette voie. Le produit se fixe au
niveau d’un site de régulation distinct du site actif.
• Allostérie :
Dans une protéine allostérique, l’interaction entre un ligand (molécule régulatrice ou le substrat) et
le site de liaison (site régulateur ou site actif) modifie les propriétés de liaison des autres sites de la
même protéine.
Enzyme ayant un site actif et un site de régulation négatif Enzyme ayant un site actif et un site de régulation positif
Par exemple, rétrocontrôle négatif. Par exemple, ADP qui induit la dégradation du glucose.
On remarque que plus une enzymes allostérique est constituée de sous-unités, plus les inhibiteurs ont facile pour
diminuer l’activité enzymatique. En effet, lorsque l’inhibiteur se fixe sur une sous-unité de l’enzyme, ça va changer
la configuration des autres sous-unités et donc faciliter l’inhibition des autres sous-unités également.
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• Modifications covalentes :
Il existe deux sous-familles pour les kinases : les kinases à sérine/thréonine et les kinases à tyrosine.
Mode d’action : regarder le carnet d’exercices !!!
Par exemple :
La déphosphorylation est la réaction inverse catalysée par des enzymes appelées phosphatases.
L’activité des phosphatases ne nécessite pas d’ATP.
Toutes enzymes ou autres protéines peuvent être phosphorylées si celles-ci contiennent des sérines,
thréonines et tyrosines (groupes hydroxyles nécessaire pour le procédé).
Utilisation d’ATP pour la phosphorylation, donc ces réactions doivent se faire dans un milieu
intracellulaire où l’ATP est abondante.
• Zymogènes ou proenzymes :
Enzymes synthétisées sous la forme de précurseurs inactifs et activées par clivage protéolytique. Le
clivage protéolytique ne nécessite pas d’ATP, donc ces enzymes peuvent être activées dans le milieu
extracellulaire où l’ATP est absent.
Contrairement aux réactions de phosphorylation/déphosphorylation, l’activation d’un zymogène est
irréversible.
Exemples de zymogènes :
• Les enzymes digestives :
Remarque :
Agrégation plaquettaire :
3
5 3 2
4
5
6 = vasoconstriction
1
34
1. Sous l’endothélium des vaisseaux sanguins se trouve du tissu conjonctif qui est très riche en
collagène. Les plaquettes présentes dans le sang présentent une grande affinité pour le
collagène et viennent s’y fixer grâce aux facteurs de Von Willebrand.
2. L’exocytose des granules alphas permettent l’encrage d’autres plaquettes et ainsi former le
caillot blanc, schéma présent sur le carnet d’exercices.
Les granules alphas possèdent sur leur hémicouche interne des phosphatidyl sérine (naturellement
présent dans les hémicouches internes).
Protransglutaminase (XIII)
Thrombine
= Facteur XIIIa
La structure de la prothrombine :
2 sites de
résidus). clivage pour
les facteur
Stabilisent la prothrombine sous une forme 10 et 5.
inactive mais permettent son attachement
à la membrane plaquettaire (!production
du facteur V par les plaquettes).
36
Grâce à leur deux charges négatives les γ-carboxyglutamate sont des chélateurs d’ions Ca++ qui sont
préalablement fixés à la membrane plaquettaire grâce aux phosphatidyl sérine (les ions Ca++ sont
dès lors pris en sandwich).
Troubles de la coagulation :
La fibrinolyse :
i rinol se
lasminog ne
récurseur de la plasmine,
forte affinité pour les
agrégats de fi rine
-
37
Vue d’ensemble :
osp atid lsérine ésumé des p énom nes pla uettaires
VO ES SE UE E E SE UE ésumé de l arr t de la coagulation
a A H O E
a
V
V
O E EC
Ca
Ca
Ca
Ca
Ca H O E
Ca H O E
H O E H O E
H O E H O E
E
OGE E E
LA UE
OGE E E
Apoptose : mort cellulaire programmée. Mécanisme qui contrôle la durée de vie des cellules.
A ne pas confondre avec la nécrose qui est une mort cellulaire qui provient de lésions, …
Exemples :
-Développement (doigts palmés, …)
-Cellules infectées par un virus (induction de l’apoptose avec les lymphocytes T cytotoxiques
spécifiques des antigènes viraux).
Compétitifs Non-compétitifs
raitement du cancer
n i iteur de la c olinestérase
- 0
8. Les glucides :
-Introduction :
Structure généralisée :
Polyhydroxy aldéhydes ou cétones ou substances libérant de tels
composés après hydrolyse.
-Monosaccharides et disaccharides :
Les monosaccharides : ils sont sous forme de cristaux à l’état solide : incolore et soluble dans l’eau.
Ils constituent des chaines de 3 à 7 carbones liés par des liaisons simples.
1 oxygène lié doublement à 1
carbone -> groupement carbonyle
Quelques exemples :
Stéréochimie :
Tous les monosaccharides possèdent au moins un centre chiral, sauf le
dihydroxyacétone ou le cétotriose. -> Il existe sous une seule forme
tridimensionnelle.
Emil Fischer a démontré que les sucres peuvent adopter plusieurs formes tridimensionnelles
différentes, en utilisant le plus simple des aldoses : le glycéraldéhyde ou l’aldotriose.
Quand il y a plusieurs centres chiraux (n), pour trouver le nombre de stéréoisomères possibles, il faut
utiliser la formule suivante : 2n stéréoisomères.
Exemples :
-Glycéraldéhyde : 21 = 2 stéréoisomères.
-Aldohexose : 24 = 16 stéréoisomères.
➔ Dès lors, ça veut dire que l’on a plus que 3 centres chiraux qui
peuvent changer de configuration.
➔ 23 = 8 stéréoisomères différents.
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Structure cyclique :
Les aldotétroses et monosaccharides contenant au moins 5C prennent une structure cyclique en
solution aqueuse.
Formation d’un hémiacétal ou d’un hémicétal :
Le carbone 1 (C1), qui était non-chiral, est devenu chiral et peut prendre 2
configurations différentes : alpha et beta (anomères). Il va prendre le
nom de carbone anomérique et c’est ce carbone qui va faire des liaisons
glycosidiques pour polymériser.
Les disaccharides = 2 monosaccharides joints par un lien O-glycosidique (réaction entre un carbone
anomérique d’un monosaccharide et un groupement hydroxyle d’un autre).
Voir dans le cahier d’exercices !!!
-Les polysaccharides :
Polymères de monosaccharides sans taille définie.
On peut les différencier selon : - type de monosaccharides incorporés ;
- longueur ;
- types de liens ;
- nombre de ramifications.
Homopolysaccharides de réserve :
Le glycogène :
Homopolysaccharide très similaire à l’amylopectine mais qui est beaucoup plus ramifié, environ tous
les 8 à 12 résidus.
Des liaisons O-glycosidique alpha 1->4 ou O-glycosidique alpha 1->6.
Taille : 106 glucoses.
Homopolysaccharide de structure :
La cellulose qui est le constituant principal de la paroi des
cellules végétales.
La cellulose est un polysaccharide de glucose non-ramifié.
La différence avec l’amylose, c’est qu’il s’agit de liaisons
particulières : les liaisons O-glycosidique beta 1->4.
C’est pour cette raison que nous ne pouvons pas digérer la cellulose parce que nous ne possèdons
pas de cellulase.
ous les animau Attention : sauf chez les herbivores qui peuvent
domesti ues transformer la cellulose en glucose aux bactéries (qui
Amidon et gl cog ne possèdent de la cellulase) présentes dans le rumen et
α-am lase dans le grand intestin.
(salive, intestins)
Glucose
La lignine participe également à la composition de la paroi des cellules végétales, mais attention, la
lignine n’est pas un glucide. Elle est un polymère d’alcool qui dérive d’acides aminés.
Ce composé est non-digérable par les animaux et même par les bactéries.
Exception : les chèvres peuvent la digérer car elles possèdent des lignases.
Les glycosaminoglycanes :
Ils constituent les hétéropolysaccharides de la matrice extracellulaire.
Matrice extracellulaire : Structure poreuse faite de glycosaminoglycanes et de protéines fibreuses
telles que le collagène, l’élastine, fibronectine, etc. … elle permet la diffusion des nutriments et des
déchets métaboliques.
Les glycosaminoglycanes sont des polymères composés d’une répétition d’un disaccharide.
➔ 1er monosaccharide toujours N-acétylglucosamine (GlcNAc) ou N-acétylgalactosamine
(GalNAc) ;
➔ 2ème monosaccharide souvent un acide uronique (ex : acide glucuronique (GlcA)).
Quelques exemples :
Acide hyaluronique :
Les hyaluronidases : enzymes contre les hyaluronates utilisées par les bactéries pour envahir leur
environnement. Mais également présent dans le sperme lors de la fécondation pour hydrolyser
l’enveloppe de l’ovule.
Chondroïtine sulfate :Polymères beaucoup plus courts que l’acide hyaluronique, pour cette
raison ce polymère sera toujours lié de manière covalente à une
protéine.
Kératine sulfate : Polymères beaucoup plus courts que l’acide hyaluronique, pour cette
raison ce polymère sera toujours lié de manière covalente à une
protéine. (Idem que chondroïtine sulfate).
-Les glycoconjugués :
Quelques types :
Les protéoglycanes : -Les glycosaminoglycanes liés de manière covalente à une protéine
membranaire ou sécrétée ;
-Ils se trouvent dans les tissus conjonctifs.
Rôles :
-Ancrage ;
-Migration ;
-Signalisation.
47
Les oligosaccharides sont certes moins grands que les glycosaminoglycanes, mais ils sont beaucoup
plus complexes.
Les glycolipides : -Lipides membranaires dont la tête polaire est constituée d’un ou
plusieurs oligosaccharides ;
-Riche en information (signalisation).
Exemple N°1 : les gangliosides (cellules eucaryotes) des groupes sanguins (globules rouges).
Les lectines sont des protéines qui lisent les codes glucidiques. Elles sont spécifiques et ont une
grande affinité pour leur ligand.
Les glycoprotéines membranaires des globules rouges possèdent des oligosaccharides qui se
terminent par des acides sialiques. Chez les vieux globules rouges (120 jours de vie en moyenne), il va
y avoir une perte de cette acide sialique grâce à une enzyme nommée sialidase. Reconnaissance des
globules rouges qui ont perdu leur acide sialique par les lectines des hépatocytes -> dégradation.
La diapédèse
E o ine c oléri ue
Bactérie Gram -
o ine c oléri ue
-
50
-Généralité :
Introduction :
Nucléotides : Les nucléotides constituent l'élément de base d'un acide nucléique tel que l'ADN ou
l'ARN.
Quels sont leurs rôles :
✓ Transporter de l’énergie grâce à l’adénosine triphosphate ;
✓ Coenzymes ;
✓ Messagers de signalisation cellulaire (AMP cyclique : voir chapitre 12) ;
✓ Stockage, transmission et traduction de l’information génétique (acides
nucléiques tels que l’ADN et l’ARN).
C evauc ement
Acides nucléi ues rapport 2 0 2 0 doit tre grand
rotéines rapport 2 0 2 0 doit tre grand
- 2
aires de ases
A
CG
- 3
53
Conclusion :
Seulement l’ADN du virus entre à l’intérieur de la bactérie lors
du parasitage. La membrane, elle ne rentre pas.
On remarque que les brins d’ADN sont complémentaires et il faut que les brins
soient anti-antiparallèles pour que les périodicités correspondent.
Réplication de l’ADN
Les nucléosomes :
Chromatine = succession de nucléosomes (ADN + histones).
Les gènes s’expriment plus ou moins fortement en fonction de leur nécessité dans la cellule. (Eviter
le gaspillage des composants de la protéines).
Initiation de la transcription :
La boite TATA attire les protéines qui viennent se fixer sur le promoteur.
L’ensemble de ce complexe va permettre à l’ARN polymérase II de se fixer.
Début de la transcription par l’ARN polymérase II, elle se fait jusqu’à une
certaine séquence particulière qui lui dit de s’arrêter.
Amplification de la transcription :
Conclusion :
On remarque que l’ensemble de L’ARNm ne va pas être 100% traduit. Uniquement la partie centrale
sera traduite en protéine.
On remarque que le complexe protéique CBC lié à la coiffe 5’ va être interchangé par un autre
complexe protéique : les facteurs d’élongations (ELF). Ces facteurs d’élongations vont attirer les
protéines fixées sur la queue poly-A, il va y avoir formation d’une boucle.
3’ CUU 5’
25°C
90°C
En médecine légale :
Le test RT-PCR :
Etape 1 :
Production d’un ADC Etape 2 :
complémentaire (ADNc) à Test PCR
partir de l’ARNm.