Notes de Cours CA Individuel
Notes de Cours CA Individuel
Notes de Cours CA Individuel
COMPORTEMENT DU
CONSOMMATEUR ET DE
L’ACHETEUR
THEME 4 : Consumérisme
Études de Cas 3
Références bibliographiques
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Schéma d’échange entre acteurs
Administration Publique
Entreprise A Entreprise B
Consommateur / Acheteur
a- Généralités
•Caractéristiques de la discipline
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-1983: Publication du prix de l’excellence de PETERS &
WATERMAN. Chapitre 6 «A l’écoute du client ».
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- Le caractère multidisciplinaire du comportement du
consommateur (économie, psychologie, sociologie,...)
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-Intérêt de l’ étude du comportement du consommateur
On distingue deux approches
-L’approche positiviste (utilitariste):
le responsable marketing a intérêt à comprendre le
comportement du consommateur pour l’influencer, et modifier
son comportement.
-L’approche postmoderniste (interprétative):
dans cette perspective on cherche à comprendre le
comportement du consommateur sans l’influencer le sujet de
l’étude ici est la consommation (notamment son impact sur es
aspects de la vie) et non le consommateur.
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Le choix du consommateur entre une classe de produits
ou marques passe par la formation d’un ensemble
d’attributs comme critères qui permettent d’évaluer les
différentes marques. Certains attributs occupent une
place importante pour toutes les catégories de produits
comme le prix, l’enseigne du magasin, la marque ou
encore le « made in ».
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b- Définitions du comportement du consommateur
•Selon Wilkie 1986
le comportement du consommateur est l’ensemble des
actes des individus liés à la sélection, à l’achat et à l’utilisation
de produits et de services destinés à satisfaire les besoins et
désirs.
•Pour Hoyer et Mclnnis
L’ étude du comportement du consommateur recouvre
l’ensemble des décisions des consommateurs qui concernent
l’acquisition, la consommation et l’élimination des biens,
services, temps et idées par les unités de prise de décisions à
travers le temps.
•Selon Engel Kollat et Blakwell
L’ensemble des actes des individus directement reliés à
l’achat et à l’utilisation de biens économiques et de services,
qui englobent les processus de décision qui précèdent et
déterminent ces actes.
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c- Historique
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c1-Le courant économique
Englobe 4 approches:
-Approche macro économique: Elle porte sur les
agrégats économiques et non sur les individus, mais elle est
utile au planificateur national (le modèle Keynésien C=f(R)).
-Approche micro économique: orientée pour analyser le
consommateur individuel. Cette approche repose sur des
hypothèses comme la rationalité, la concurrence pure et
parfaite…
-La remise en cause de cette théorie par H Simon
(rationalité limitée) puis sa réhabilitation.
-L’ école sociale: Veblen et Duesembery, elle a introduit
les variables socioculturelles pour expliquer le comportement
du consommateur.
-La nouvelle théorie économique de Lancaster: elle a
introduit la notion d’attributs (attributs sont des source de
satisfaction).
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c2- Le courant des sciences de comportement
-La recherche motivationnelle qualitative: cette
approche est initiée par S. Freud qui a cherché à étudier les
motivations inconscientes, non directement observables.
Freud s’est basé sur l’instinct sexuel pour inventer la triade le
ça, le surmoi et le moi. D’autres auteurs se sont intéressés à
d’autres instincts (Adler: le sentiment d’infériorité, Horney: le
sentiment d’anxiété…)
-La recherche motivationnelle quantitative: due à
Evans, qui a essayé de vérifier empiriquement les situations
d’achat en fonction des motivations inconscientes. Malgré
que les résultats de son expérience sont décevants, l’auteur
est le premier à tenter une segmentation de marché sur la
base de variables psychologiques.
-La psychographie: Dans le cadre de cette approche on
cherche à décrire les caractéristiques humaines des
consommateurs qui peuvent avoir une influence sur leurs
réactions face aux produits. La psychographie repose sur
l’analyse de 3 variables A.I.O (Activité – Intérêt – Opinion)
relatives au style de vie.
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c3-Le courant de la modélisation
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•Les modèles globaux du comportement du consommateur
On retient les 4 modèles globaux du comportement du
consommateur :
*Stimuli
* Boite noire
*réponses
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Le modèle de Kotler
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b-Le modèle de Nicosia (1966)
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c-Le modèle de Howard et Sheith (1969, 1973,1977)
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4 Modules : Stimuli, « boîte noire » et réponses
L’élément fondamental du modèle est la boîte noire du
consommateur (cerveau).
Il permet d’appréhender les liens effectués par la « boîte noire »
entre les stimuli et les réponses
Variables Exogènes
Concept Concept
Stimuli Réponses
Perceptuel d’apprentissage
Boîte Noire
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d-Le modèle EKB(1968, 1973,1978,1982)
Le modèle met l’accent sur le processus
décisionnel en situation de forte implication. Il est
composé de 5 composantes (intrants, traitement
d’information, étapes du processus de décision,
variables du processus décisionnel et influences
externes).
Il est connu par les étapes du processus de
décision suivant:
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3- Les facteurs explicatifs du comportement
• Facteurs endogènes
•Facteurs exogènes
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NIVEAU SOCIO-CULTUREL
Classe Sociale, Style de Vie,
Culture
NIVEAU INTERPERSONNEL
Groupes de référence,
Leaders d’opinion
NIVEAU INDIVIDUEL
Besoins, Perceptions
Attitudes
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Le psychologue américain Kurt Lewin, auteur «de la théorie
du champs» (field theory) considère que le comportement (C)
est fonction (f) de la personne (P) et de l’environnement (E):
C= f (P, E)
• Les facteurs personnels
• Les facteurs d’environnement.
Influences externes
Le consommateur
choisir, acheter,
consommer, disposer
Personnalité, Attitudes et
Motivation Apprentissage Perception
styles de vie émotions
Influences internes
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Classification de P.L Dubois et A. Jolibert
Variables du Mix:
-Prix
-Produit
-Publicité Variables
-Place Socioculturelles:
Variables
Psychologiques:
-Variables
Processus d’achat Sociodémographiques
-Besoins & Motivations Et
-Culture
-Personnalité
-Groupes
-Perception
-La Famille
-Attitude
-Style de vie
Variables situationnelles:
-Situation d’achat
-Situation de consommation
-Situation d’exposition à l’information
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3.1 Les facteurs psychologiques
3.1.1 Les besoins et les motivations
Besoins
- Besoin : est un écart entre une situation effective et une
situation idéale, sensation de manque.
- Selon Kotler, «un besoin naît d’un sentiment de manque
éprouvé à l’égard d’une satisfaction générale liée à la
condition humaine»
Lorsque l’individu éprouve un besoin, il associe la
satisfaction de ce besoin à la possession d’un produit ou
un service.
Besoin Désirs
Soif Boisson
Jus 37
Caractéristiques des besoins
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Classifications des besoins
• Selon l’origine
BESOINS
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• Selon Maslow
Pyramide de MASLOW
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• Selon Schultz
BESOIN
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Motivations
Motivation: force psychique qui pousse l’individu à agir pour réduire l’état
de tension et assouvir ses besoins en les orientant vers un objet.
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La méthode SONCAS
Dans la Vente, les Motivations du client se déclinent souvent en utilisant le
repère SONCAS. D'autres approches existent : à chacun de s'appuyer sur
celles qui lui paraissent la plus pertinente : selon le type de vente, le secteur
d'activité.
En savoir plus sur http://www.abcp-formation.fr/pages/les-cles-de-la-decouverte-du-client/6-motivations-d-achat-
securite-orgueil-nouveaute-confort-argent-sympathie-que-contiennent-elles-comment-se-comporte-le-client.
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Signification de SONCAS
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Plusieurs théories se sont efforcées de préciser l’origine et l’influence des motivations,
Mucchielli propose de les classer en 4 catégories (Filser, 1994) :
❏ La théorie innéiste : elle considère les motivations comme le résultat de facteurs
internes présents chez l’individu dès sa naissance. Les modèles les plus connus sont
incontestablement, le modèle de Freud qui soutient que les besoins de l’être humain
sont largement inconscients, et le modèle de la hiérarchie des besoins développé par
Maslow.
❏ La théorie situationniste : selon ce courant les comportements sont complètement
déterminés par les influences extérieures à l’individu qui relèvent soit de contraintes
matérielles (la disponibilité du produit dans le magasin fréquenté habituellement par le
consommateur, ou encore ses ressources financières), soit de contraintes sociales
normatives qui incitent l’individu à la fois à adopter des comportements valorisés par
le groupe et à éviter des comportements qui pourraient le marginaliser.
❏ Le courant empiriste : la théorie empiriste des motivations rejette les postulats
innéistes. L’individu serait façonné par les expériences qu’il vit et par l’influence de
son milieu.
❏ La théorie interactionniste : l’opposition entre la théorie innéiste et la théorie
empiriste a conduit d’autres auteurs à chercher une théorie intégrant les deux
conceptions. Selon cette théorie particulièrement popularisée par les travaux de Lewin,
la motivation naît de la rencontre d’un sujet et d’un objet dont les caractéristiques
entrent en interaction. Autrement dit, le comportement d’un individu à un instant donné
est le produit des forces en présence (négatives ou positives) dans son champ
psychologique.
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3.1.2 Personnalité
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5 facteurs de personnalité ont été mis en évidence:
– l’ouverture
– le caractère consciencieux
– l’extraversion ou tendance à être sociable
– l’amabilité
– le neuroticisme ou stabilité émotionnelle.
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3.1.3 la perception
La perception est définie comme “le processus par lequel un individu choisit,
organise et interprète des éléments d’information externes pour construire une
image cohérente du monde qui l’entoure” (Kotler et Dubois, 1997).
C’est le processus de prise de conscience de l’environnement par les sens.
Le processus perceptuel est décomposé en 5 étapes (McGuire)
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Phases du processus perceptuel
2. L’attention est très sélective. Force est de constater que l’attention est
influencée par deux types de caractéristiques : celles du consommateur et
celles du stimulus (taille, couleur, position, contenu, etc…).
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Caractéristiques de l’activité perceptive
La perception est sélective : l’individu opère un choix.
La perception est déformante : relation entre perception
et intelligence. Tout message reçu est modifié pour être
en conformité avec les structures cognitives de l’individu
La perception est subjective : chaque individu pourra
avoir une perception différente à partir de stimuli
identiques, en fonction de ses propres expériences.
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Seuils de la perception
J. Brée (2003) distingue trois seuils pour la gestion de la
perception:
-seuil minimum: la plus petite intensité perçue du
stimulus, il correspond à la sensation.
-Seuil maximum terminal: le seuil au delà duquel une
augmentation de la stimulation n’améliore pas la
perception càd que tout accroissement est inefficace.
-seuil différentiel: la plus petite variation de stimulation
qui soit perceptible.
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3.1.4 L’attitude
« C’est une tendance psychologique qui est exprimée en
évaluant une entité particulière selon un certain degré de
faveur ou de défaveur » Eagly et Chaiken
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Approches fondées sur un processus non compensatoire
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Principaux types de biais unidimentionnel R. Ladwein
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Les attitudes ont trois composantes :
Composante cognitive : système structuré représentant
l’ensemble des connaissances du sujet par rapport à l’objet
de l’attitude. Elle est liée à l’intelligence, la culture, l’âge, la
personnalité…
Composante affective : c’est l’ensemble des sentiments et
des réactions émotionnelles.
Composante conative : c’est la prédisposition à se comporter.
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Les modèles hiérarchiques
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Le concept de croyance déterminante
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La deuxième approche fut adoptée le plus souvent pour développer
des instruments de mesures des styles de vie, notamment aux Etats-
Unis. En France les chercheurs utilisent la première approche qui
repose sur les valeurs (CCA, CREDOC)
Aujourd’hui, il semble que les chercheurs privilégient des méthodes
s’appuyant à la fois sur l’approche AIO et sur les valeurs.
Les catégories générales d’AIO
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Les facteurs socioculturels
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La localisation géographique : la région et aussi le type
d’habitation (rural ou urbain) influencent notamment la
consommation des produits alimentaires, la fréquentation
de la presse ou encore l’équipement du foyer…
Le revenu et le patrimoine : les phénomènes liés aux
ressources financières d’un individu affectent la
consommation. Certaines consommations augmentent
fortement avec le revenu.
Le niveau de formation : il est permis de penser que
l’achat, de certains biens, est déterminé par le niveau de
formation. Le niveau de formation influence d’autres
caractéristiques de l’individu comme la confiance en soi et
en son jugement, l’image de soi et bien sûr les
caractéristiques économiques.
La simplicité de mesure explique l’utilisation massive de
ces caractéristiques sociodémographiques dans les
études de comportements de consommation. 65
Groupes
De nombreuses structures interpersonnelles plus ou
moins formalisées composent l’environnement du
consommateur. Ces structures sont communément
désignées en marketing sous le terme de groupes.
On distingue:
Les groupes d’appartenance (structure dont l’individu fait
partie)
Les groupes de référence (structure exerçant une
influence significative sur les comportements de l’individu
à travers les valeurs et les normes qu’elle communique).
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Les groupes sociaux
Primaires
Famille, relations, amis, voisins
Secondaires
Clubs, associations etc.…
De Référence
Auquel l’individu se réfère, modèles
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L’influence de ces groupes sur les comportements de
l’individu s’exerce de deux façons :
Une influence normative
l’individu recherche l’appartenance au groupe et sa
reconnaissance. Le groupe exerce une pression sur
l’individu pour qu’il adopte un comportement conforme
aux normes collectives. Cette recherche de conformité
avec les normes du groupe est un moteur très puissant
du comportement du consommateur, notamment quand
le produit présente une forte connotation symbolique et
quand l’individu attache une grande importance à la
reconnaissance par le groupe.
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Une influence informative
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Enfin, l’influence interpersonnelle fait fréquemment
appel à des relais d’informations situés au centre de
réseaux interpersonnels : les leaders d’opinion. Ces
derniers réceptionnent les informations diffusées par
les médias et les transmettent ensuite dans leur
entourage à des individus exposés à moins
d’informations et surtout plus passifs à l’égard de
l’environnement commercial.
Pour le producteur, l’identification des leaders
d’opinion et de leurs caractéristiques peut être utile
pour définir sa politique commerciale.
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La Famille
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Pour les situations d’achat on distingue 4 :
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influence croissante
de la femme
PDTS D’ENTRETIEN
VETEMENTS ENFTS
VETEMENTS ALIMENTATION Dominées par la femme
FEMME COURANTE
COSMETIQUES
MOBILIER
ELECTROMÉNAGER
SORTIES VETEMENTS
VACANCES
Syncrétiques MARI Autonomes
RESIDENCE
EPARGNE
TV
HIFI VOITURE
ASSURANCES
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La Culture
C’est la manière structurée de penser, de sentir et de réagir d’un groupe
humain surtout acquise et transmise par des symboles et qui représente son
identité spécifique ». C. Kluckohn.
•La relation avec le moi concerne le contrôle que l’individu exerce sur lui
(contrôle des tendances impulsives).
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Liste des valeurs de Rokeach
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Les variables de situation (circonstances de l’achat)
L’ensemble des facteurs particuliers à un lieu ou à une période
d’observation, qui ne découlent pas de facteurs spécifiques à un
consommateur ou à des attributs des produits et qui ont un effet systématique
et observable sur le comportement.
« Ensemble de facteurs liés à un moment et à un endroit donné qui, sans
trouver leur origine dans les caractéristiques stables des personnes ou des
produits, exercent une influence manifeste sur le comportement ».
R. W. Belk (1974)
5 dimensions pour caractériser le contexte situationnel :
-L’environnement physique (le lieu, la température, …) ;
-L’environnement social (présence ou absence d’autres personnes) ;
-Le moment (date, saison)
-La finalité (achat pour soi, achat pour offrir …)
-L’état initial du consommateur (état d’esprit ou l’humeur …)
Typologie de la situation
2. Risque financier ;
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La matrice d’Assaël 1992
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Les actions à entreprendre dans chaque situation:
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L’influence du mix.
Le consommateur et le produit
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La majorité précoce : celle qui assure au produit sa croissance et
une part de marché confortable.
La majorité tardive : prend très peu de risque en achetant le produit
car ce dernier a déjà fait ses preuves, a suscité un bouche à oreille positif,
et bénéficie d’un prix plus attractif.
Les retardataires : représentent des consommateurs qui ont, non
seulement une forte aversion au risque, mais cherchent aussi les bonnes
affaires.
2- La recherche de variété.
Tendance du consommateur à changer de marque pour le plaisir du
changement comme une fin en soi ou afin de répondre à une situation
d’usage particulière.
3 antécédents de la recherche de variété :
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Prix de référence: « montant que le consommateur
s’attend à payer pour acquérir un bien » (Monroe, 1979).
Il est généralement inclus dans une fourchette de
prix acceptables, et induit une sorte d’insensibilité aux
prix dans la zone alentour.
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