Chapitre 4 GFE
Chapitre 4 GFE
Chapitre 4 GFE
1.1 Présentation
1) Définition classique :
« C’est l’ensemble des moyens dont dispose une entreprise pour vendre ses produits à ses clients d’une
manière rentable ».
Définition simple, mais restreinte aux entreprises.
2) Définition générique :
« C’est l’ensemble des méthodes et des moyens dont dispose une organisation pour promouvoir, dans
les publics auxquels elle s’intéresse, des comportements favorables à la réalisation de ses propres
objectifs ».
Définition plus large, incluant des entreprises non marchandes s’adressant à tout public. !
o Exemple : L’armée de terre utilise le marketing pour recruter, les partis politique pour
gagner des voix.
1) L’attitude
Connaître le public des Études de Marché nécessaire, mais pas une fin en soi
o Exemple : Dyson s’en passe pour vendre ses aspirateurs innovants.
Pas heurter ses habitudes, satisfaire ses besoins, parler le bon langage.
o Exemple : McDonald.
Tenter de modifier ses attitudes et ses comportements dans un sens favorables aux objectifs.
L’attitude marketing s’applique à un très grand nombre de décisions prises en fonction des
consommateurs et non pas seulement du producteur : produire, fixer le prix d’un produit, définir une
politique publicitaire, organiser un réseau de distribution.
o Exemple : Attitude marketing ? « A nous de vous faire préférer le train!» (SNCF)
« Venez comme vous êtes » (McDo)
Chapitre 4 – Fonction marketing
2) La démarche
Connaître et agir :
o Étude des besoins et des attitudes des consommateurs potentiels.
o Pour s’adapter au marché, l’entreprise segmente le marché et sélectionne des cibles
précises.
o Pour chaque cible, l’entreprise définit le marketing-mix : le produit, le prix, la
distribution et la communication (PPDC en Français et les 4P en Anglais).
o L’évaluation des résultats pour corriger les erreurs aux différentes étapes de la
démarche.
Argument
Marché : Ensemble des personnes ou des organisations qui achètent ou sont susceptible d’acheter le
ou les biens et services qu’une organisation fabrique.
Une étude de marché s’établit en plusieurs étapes consécutive : la conception de l’étude => la collecte
des données => le traitement des données => la synthèse de l’étude.
Chapitre 4 – Fonction marketing
1) Définition
Besoin : sentiment de manque éprouvé à l'égard d'une satisfaction générale liée à la condition
humaine.
Maslow distingue :
besoins physiologiques directement liés à la survie de l'individu ou de l'espèce
Chapitre 4 – Fonction marketing
besoins de sécurité, d'être protégé contre les divers dangers menaçant ou pouvant menacer
l'individu
besoin d'appartenance, de se sentir rattaché, accepté et aimé par sa famille ou les groupes de
pers. avec lequel il vit ou travaille
besoin d'estime, d'être estimé par soi-même et par les autres. Le respect de soi passe souvent
par le respect que vous porte votre entourage.
o Exemple : consommations où il existe une recherche de valorisation (vêtement,
véhicule,…)
Les besoins de réalisation : Concerne le projet individuel de développement que peut fixer
tout individu.
o Exemple : Projet professionnel
Il existe, selon Maslow, une loi d’évolution des besoins. Un besoin n’est ressenti que lorsque le
besoin
immédiat inférieur est satisfait.
Le besoin non satisfait explique le comportement des individus.
Une entreprise devra définir ses produits pour qu’ils satisfassent des besoins motivant l’acte
d’achat des individus
Les désirs sont les moyens de satisfaire un besoin fondamental. Alors que les besoins sont en nombre
limité, les désirs de consommation sont illimités.
Exemple : J'ai besoin de manger : désir de sandwich, de pizza, de gastronomie...
3) La demande
C’est la volonté de satisfaire son désir de consommation en achetant un certain type de produit.
Remarque : Cette volonté d'achat doit être rendue possible par un pouvoir d'achat (demande
solvable + mise à disposition suffisante du produit).
o Choix d'une des solutions, parfois acte d'achat simultané ... parfois décalage temporel
avec l'acte d'achat ... parfois non suivie d'acte
- Sentiment/Évaluation post-achat
o Comparaison après coup de la satisfaction espérée avec celle effectivement ressentie.
Si l'écart est important, révision du processus d'achat.
La décision de l'acheteur dépend à la fois de ses motivations et des influences de son entourage sur son
choix.
prescripteurs, avec une position institutionnelle, leur savoir ou leur profession, influencent ou
guident l'achat
leaders d'opinion et l'opinion publique agissent au niveau des achats d'imitation pour les 1°
et de l'image des produits/statuts sociaux pour
Stratégie marketing : l'ensemble des décisions permettant de gérer un ou plusieurs produits à moyen
et long termes. La stratégie marketing comprend quatre étapes.
2.1.2 Le ciblage
Chapitre 4 – Fonction marketing
Il existe des différences, toute les cibles potentielles composant le marché ne sont pas intéressante.
L’entreprise ne retiendra que les plus rentable à court terme ou porteuse de développement à moyen
terme.
Définitions
1) Identification
= catégorie à laquelle le produit est rattaché dans l'esprit du public <=> son « univers de référence ».
o Exemple : Apéricube identifié à l'apéro / dessert (choix d'identification) => le nom
clarifie l'identification !
Quand on choisit un univers de référence, il faut être tranché/clair.
o Exemple : Danao lait au jus de fruit, peu de succès au début car on ne savait pas si
c'était un jus de fruit ou un dessert lacté
2) Différenciation
= se poser la question : Quelles caractéristiques distinctives souhaitons- nous voir attribuer à notre
produit par le public ?
Axes de différenciation :
Axe choisi doit être crédible = correspondre à des caractéristiques que le produit
considéré possède ou dont il est susceptible de se douter.
o Ex : McDo ne peut se dire gastronomique
2.1.4 Le marketing mix
!
Marketing mix : concrétisation du positionnement choisi à travers un ensemble de variable (Prix,
produit, distribution, communication) ayant un impact sur le comportement du consommateur. Les
politiques de Produit, de Prix, de Distribution et de Communication doivent former un tout cohérent.
Ex : Ryanair fait une stratégie de domination par les coûts avec des bas Prix, services à
minima (Produit), distribution par internet, communication par phase « choc ».
2.2 Le produit
Ces satisfactions dépendent du produit lui-même, et de sa position dans le cycle de vie de tout
produit.
Ex : Avoir un iPhone X satisfait aujourd’hui, pas dans 10 ans.
Chapitre 4 – Fonction marketing
Produit potentiel = De tout ce qui pourrait être fait pour attirer ou retenir le client. >
Modifications techniques ou de présentations, évolutions du produit (utilisation de nouvelles
technologies de fabrication, de nouveaux matériaux ...)
Ex : Gameboy, Gameboy Color, Gameboy imprimante ...
Remarques : Les classifications ne sont pas figées : dépend du consommateur et des circonstances.
Ex : Pour un tricheur, une règles pouvant accueillir des anti-sèches, c’est attendu. La Notion de produit
standardisé n’est d’aucune utilité dans le jeu de la concurrence, il est nécessaire de différencier.
1) Phase de R&D
Besoin non satisfait décelé ou innovation technique mise au point par les chercheurs
soit concevoir un produit nouveau, soit améliorer les services rendus par les produits existants
en innovant
2) Phase de lancement
Le nouveau produit conçu et testé est présenté sur le marché. Les ventes se développent
progressivement grâce aux "innovateurs". Durée très variable dépendante du degré de nouveauté, de la
qualité intrinsèque du produit, de la communication
Ex : Apple maniacs faisant la queue
3) Phase de croissance
Les ventes du produit, accepté par le marché, connaissent une progression rapide
Caractéristiques : effet « bandwagon » + premiers bénéfices, destinés à couvrir les dépenses
des phases précédentes, attirant la concurrence
Chapitre 4 – Fonction marketing
4) Phase de maturité
5) Phase de déclin
Les ventes du produit, peu à peu abandonné par les consommateurs, fléchissent et les profits se
réduisent. Annonce la disparition du produit.
Remarque
Cycle de vie d'un produit n'est en rien prédéterminé
o Ex : console de Jeu Xbox qui passe immédiatement de la phase de lancement à la
phase de déclin au Japon. Relance du cycle de vie ... pour la GameBoy avec des
innovations/différenciations
Différenciation du produit :
Par la marque = Nom, termes, symbole, signe, dessin ou toute combinaison de ces éléments serrant
à identifier les biens ou services d’un vendeur et à les différencier des concurrents.
Réussir à associer la marque au type de produit lui-même.
o Exemple : Doliaprane, fermeture « éclair », « réfrigérateur ».
Par les dimensions classiques = aspects matériels (sa composition), fonctionnels (son unité) et
symbolique (l’image qu’il renvoie.)
Chapitre 4 – Fonction marketing
Design : Ce qui permet parfois de regrouper les trois dimensions en même temps.
Caractéristiques
Largeur = nombre de lignes de produits proposés, cad par le nombre de groupes de produits
qui tentent de satisfaire les consommateurs
Ligne = ensemble des produits qui remplissent une même fonction en offrant des services
différents
Profondeur = nombre moyen d'articles par ligne
o Ex : Ligne de vêtements à Carrefour, Carrefour vend des vêtements, des couverts. Par
ligne, il y a environ 300 articles. La largeur de sa gamme et la profondeur des lignes
sont élevées.
2.3 Le prix
La Politique de Prix est conditionnée par certaines contraintes propres à l'entreprise et à son
environnement.
2.3.1.1 Internes
Un prix doit couvrir les coûts de fabrication et de distribution (contrainte minimale). La détermination
du prix d'un produit doit aussi tenir compte des objectifs de rentabilité de l'entreprise (contrainte
maximale).
Chapitre 4 – Fonction marketing
2.3.1.2 Externes
1) Consommateur
Référencement, ie le souvenir qu'a le consommateur des prix, est flou => perception des prix dépend
des éléments de comparaison que le consommateur possède
o Ex : cheval trop cher / au bœuf ou au porc
Pour les achats rares et risqués, recherche de la qualité et des prix élevés (indices de qualité)
o Ex : achat du lait suivant les prix au litre ... achat du champagne au prix le plus élevé
Prix d'acceptatibilité : <> à la microéco, on constate que le consommateur refuse d'acheter des
produits à des prix trop bas (pb de qualité) et à des prix trop élevés (pb d'acceptabilité)
→ chercher le prix maximisant un objectif (profit ou PDM)
2) Réglementation
Ordonnance de 1987 sur la liberté des prix et de la concurrence. Mais, interdiction de la vente à perte
(code du commerce) et cas particuliers réglementés comme le prix des médicaments.
3) Concurrence
Une entreprise a tendance à aligner ses prix sur la concurrence ("stratégie de suiveur"), sauf si elle
différencie ses produits.
En intégrant ces contraintes, le prix fait l'objet d'une stratégie commerciale pour gagner des parts de
marché ou empêcher l'accès du marché à de nouveaux entrants.
On distingue :
=> La Demande est ainsi le niveau des ventes que l'on peut obtenir pour différents prix, alors que les
ventes sont associées à un prix précis.
Réactions d'autant plus vives que le nombre de concurrents est limité, que le produit est homogène et
que les acheteurs sont bien informés.
Chapitre 4 – Fonction marketing
En fait, c'est plus complexe : dépendant de l'interprétation de la modification de prix par le concurrent.
← Utilisation des techniques de prévision des ventes ou de simulation des réactions du marché dans le
cadre d'un modèle.
l'écrémage = prix élevé lors du lancement du produit, le réservant à une catégorie restreinte
de la population. Ensuite soit maintenir le niveau de prix (cf. haut de gamme), soit l'abaisser
(cf. élargir son marché).
o Ex : Montres Piaget (>10000 €)... Aspirateurs Dyson (baisse des prix)
pénétration → pratiquer le prix le plus bas possible pour toucher le plus grand nombre de
consommateurs
o Ex : Lidl, Aldi, Netto...
alignement = fixer le même prix que les autres. La différenciation des produits porte alors
nécessairement sur d'autres éléments que le prix (SAV, qualité, image)
o Ex : constructeurs automobiles
différenciation = fixer des écarts de prix entre les différents produits d'une même ligne pour
les positionner sur des segments particuliers de marché. Le prix devient alors un élément de
différenciation du produit.
o Ex : Carrefour Agir, Carrefour, Carrefour discount
une politique de part de marché élevée et la volonté de pratiquer une politique de prix élevé,
o Ex : PS3 de Sony (objectif PDM et prix très élevé)
une politique de prix bas et le désir d'entretenir une image de marque de produit haut de
gamme.
o Ex : Total teste actuellement les stations discount avec Total Access
Avoir le bon produit à un prix acceptable n'est pas suffisant. Le produit doit être disponible au bon
endroit, dans les quantités voulues et dans des conditions matérielles et psychologiques favorables à
l'acte d'achat.
2.4 La Distribution
Politique de distribution : Choisir le canal de distribution et la forme de vente la mieux adaptée au
produit. Elle a donc une grosse influence sur la part de marché.
Conséquences des types de circuits se situent au niveau de la qualité du produit (VA par les
intermédiaires), délai de livraison, image de marque/fraîcheur.
o Ex : Circuit long, lieu de vente plus proche. Circuit extra-court, plus de fraîcheur
apparente.
Selon la place des intermédiaires dans le circuit , on distingue les commerces indépendant, intégré et
associé.
= Forme de commerce dans laquelle les fonctions de grossistes et de détaillants sont dissociées et donc
remplies par des entreprises différentes.
1) Les grossistes
= intermédiaires achetant des marchandises en quantités importantes pour les céder à des revendeurs.
2) Les détaillants
Chapitre 4 – Fonction marketing
= producteurs et intermédiaires acheminant les produits vers le consommateur final et lui vendant en
petite quantité.
Les plus dynamiques s'associent ou se regroupent dans des centres commerciaux pour se développer.
= Forme de commerce selon laquelle les fonctions de gros et de détail sont remplis par une seule
organisation.
Les Grands Magasins : implantation urbaine, très large assortiment, niveau de service élevé.
o Ex : Le Printemps à Paris, Gallerie Lafayette à Clermont
les Magasins Populaires : version simplifiée des grands magasins; assortiment plus réduit à
dominante alimentaire, frais généraux limités, efforts sur les prix
o Ex : Monoprix à Montpellier
Les Magasins à Succursales Multiples : petits points de vente, généralement alimentaires,
desservant une clientèle de quartier.
o Ex : Casino, Carrefour City, Simply Market...
Les Discounters et les Grandes
Surfaces : sociétés s’efforçant de rationaliser leurs méthodes la distribution pour proposer des prix
réduits. Décoration rudimentaire, implantation à la périphérie des villes, vastes parking, assortiment de
produits à forte rotation.
o Ex : Auchan et Leclerc à Aubière
A côté du commerce intégré capitaliste, il existe des commerces intégrés non capitalistes. Surtout des
coopératives de consommateurs contrôlant plusieurs points de vente
o Ex : magasins Coop, CAMIF...
Groupements de grossistes/détaillants
Chaînes Volontaires
Franchisage.
1) Groupements de grossistes/détaillants
Chapitre 4 – Fonction marketing
But : augmenter son pouvoir de négociation / aux fabricants en accroissant les volumes des
commandes
ils demeurent propriétaires de leurs points de vente et libres de quitter à tout moment la
coopérative.
les associés ne sont pas tenus d’effectuer tous leurs achats auprès de celle-ci.
2) Chaînes volontaires
3) Franchisage
+ pour les détaillants : tirer parti d'une image, d'une assistance ou d'une expérience en matière
de gestion.
En France, la franchise s'est surtout développée dans les années 70. Elle concerne aujourd’hui 1800
entreprises, soit environ 30000 franchisés, chiffre sans équivalent en Europe.
o Ex : McDonald, Sofitel...
Si l’entreprise met en place son propre circuit de distribution, la démarche s’apparente à un Diagnostic
Stratégique, externe et interne. (SWOT).
1) Une fois les objectifs commerciaux affichés (faire ou sous-traiter), l'entreprise va opérer son choix
suivant des critères internes et externes.
Au niveau externe : On fait des études des clients, de la concurrence et des circuits de
distribution.
o Études des clients
Si l'on veut toucher une population la plus large possible => implante ou
intègre le réseau des grandes surfaces
Chapitre 4 – Fonction marketing
Circuit long : écarte l'entreprise des clients => perception des besoins des clients et des tendances
difficile, mais permet spécialisation.
Circuit court : suppose d'effectuer deux tâches supplémentaires : le stockage et la gestion des ventes
=> moindre spécialisation, mais permet d'être réactif
Au niveau interne : Il s'agit de faire une étude du produit (caractéristiques physiques + image
nécessaires pour plaire), de l'expérience, des moyens et de la notoriété nécessaires et de
s'assurer de la cohérence avec les autres variables du marketing-mix.
Ex : sandwiches haut de gamme => caract. physique (aliments frais => éviter les transporteurs
douteux) + ne pas le vendre dans un camion (pb d'image, d'expérience (?), de moyens, de notoriété) +
le prix doit être élevé (cohérence du marketing-mix).
2) Choix d'un solution : Le choix définitif est arrêté par rapport aux circuits ou canaux à retenir.
Ex : ventes de sandwich bio, à la sortie Sud-Ouest de la Rotonde (endroit vert), dans un chalet en bois,
avec une publicité distribuée sur du papier recyclé vert, approvisionnement auprès de producteurs
locaux (circuit court).
3) Implémentation : Les individus et les circuits et canaux sont alors mis en place par l'entreprise. Le
dispositif final est verrouillé par un système de contrats.
Ex : recrutement de deux étudiant(e)s : un pour la vente, une pour la distribution de publicité ; contrats
d'approvisionnement avec des producteurs régionaux signés, achat du chalet...
4) Gestion et contrôle : La distribution fait l'objet d'une gestion à part entière impliquant une
animation et un contrôle des résultats obtenus.
Ex : contrôle de la fraîcheur des produits, contrôle du nombre de clients par jour suivant le nombre de
tracts distribués...
2.5 La communication
Communication = ensemble de signaux émis par une entreprise vers différentes cibles choisies
Buts de la publicité
/!\ Dans les faits, plus l'objectif se rapproche du comportement d'achat lui-même, moins la publicité
semble avoir une action efficace.
Ex : « Achète mon poisson » => les clients fuient ; « Il est frais mon poisson ! » => les clients
approchent.
Il s'agit d'un processus en six étapes : budget pub, objectifs, cibles, création, campagne, évaluation.
Décision difficile, les entreprises s'en remettent à des méthodes empiriques (% des ventes, dépenses
des concurrents). Les techniques scientifiques rares, car les info nécessaires étant difficiles à réunir
(recensement des objectifs, courbes de réponses)
5) Lancement de la campagne
Le public (ciblé ou non) voit la publicité à la TV, reçoit des spams, des prospectus ...
Ex : ceux non ciblés jettent à la corbeille ou changent de chaîne, ceux dans la cible regardent, voire
achètent
6) Post-tests
test de mémorisation
tests de compréhension des messages
Impact sur l'image de l'entreprise et de ses produits (notoriétés)
Impact sur les ventes (intentions d'achat)
= ensemble des moyens de communication directs individuels, interactifs, ayant pour but de
déclencher de la part des personnes visées, une action immédiate.
Caractéristiques
o Ex : distribution de coupon place Jaude pour Nature et Découverte => effet visible !
permettre un contrôle de la rentabilité des opérations de Marketing Direct
o Ex : si les coupons distribués ne font venir personne, on arrête demain !
donner ou associer, un avantage supplémentaire provisoire à un produit, dans le but d'obtenir une
augmentation rapide mais temporaire des ventes.
Ex : distribution d'échantillons, essai gratuit, réduction temporaire de prix, prime, cadeaux, jeux et
concours + certaines pratiques de merchandising (stand de dégustation, nouveau produit en tête de
gondole).
celle qui à pour but de faire acheter, menée auprès des consommateurs,
celle qui à pour but de faire vendre, dirigée vers le réseau de distribution.