TD1 Et TD2
TD1 Et TD2
TD1 Et TD2
1. Quand il fait beau, Jean est heureux; il fait mauvais; donc Jean
est heureux.
2. Quand il fait beau, Jean est heureux; or il fait mauvais donc Jean
est
3. Quand il fait beau, Jean est heureux; or, Jean est malheureux;
donc il fait mauvais.
Exercice 5:
1
2. Ecrire a l’aide de quantificateurs les propositions suivantes: - Le
carré de tout réel est positif.
- Certaines réels sont strictement supperieurs a leur carré.
1. x ∈ Rx2 = 4......x = 2;
2. z ∈ Cz = z.......z ∈ R;
3. x ∈ Rx = π.......e2 ix = 1
2
3. pour tout entier x, il existe un entier y tel que, pour tout entier
z, la relation z¡x implique le relation z¡x+1;
4. ∀ > 0∃α > 0(|x − 7/5| < α ⇒ |5x − 7| < .
Exercice 14
Exercice 15
3
(a) P etQ
(b) P ouQ
(c) (nonP )et(nonQ)
(d) (nonP )et(nonQ)
1. x ⇒ (y ⇒ x)
2. (x ⇒ (y ⇒ z)) ⇒ ((x ⇒ y) ⇒ (x ⇒ z))
3. (x ⇒ y) ⇒ (¬y ∨ x)
4
V
- A→C (C → ¬A)etA
V V V
- (p → q) (¬P → r)et(p q) ∨ (¬p r)
V V V
- (p q) ∨ (¬p r)et(¬p ∨ q) (p ∨ q)
Exercice 1
1-Effectuez les substitutions textuelles suivantes, puis supprimez les par-
enthèses superflues :
(a)(a + b.3)[b, a := a.b, a.a]
(b)((x + y).z)[x, y := x, y]
(c)(x + x.2)[x, y := x, z][x := y]
(d)(x + x.y + x.y.z)[x, y := y, x][y := 2.y]
Exercice 2
La règle d’inférence de Leibniz (1.13) donne lieu à une infinité de règles
d’inférence particulières obtenues en assignant une expression à ses trois
paramètres E, XetY .Il y a ci-dessous des cas particuliers de la règle de Leib-
niz, avec une partie manquante.
Trouvez la partie manquante et donnez l’expression E correspondante. Don-
nez toutes les réponses possibles.
x=x+2
(a) 4.x+y=?
a=b+2
(b) ?=3.(b+2)+3.b+1
Exercice 3
Cet exercice porte sur la règle de Leibniz (1.13). On vous donne l’expression
E[z := X] ainsi que l’indice X = Y . Trouvez l’expression résultante
E[z := Y ].
E[z := X] X=Y
(x + y) · w w =x·y
p∩q q =q∪r
Exercice 4
Cet exercice porte sur la règle de Leibniz (1.13). Pour chacune des paires
d’expressions E[z := X] et E[z := Y ] ci-dessous, donnez les expressions X et
Y telles que E[z := X] = E[z := Y ]. Indiquez ensuite quelle est l’expression
E. Donnez toutes les réponses possibles.
E[z := X] E[z := Y ]
(b · y · x y·x·x
p ⇒ q ∧ (r ∨ p) p⇒q∧q
5
Exercice 5
Utilisez la table de préséance suivante pour faire les substitutions demandées.
A l’exception de la substitution, tous les opérateurs sont des expressions bi-
naires. La priorité 1 est la plus élevée et 7 la plus faible.
Priorité Opérateur
1 [x := e](substitution)
2 >k
3 ♥
4 ♦
*5 ♣
6 ♠
7 ?†4
(e) (x>x4x)[x, y := y, z]
Exercice 6
Nous aimerions que les expressions X = Y et (X = Y ) = (Y = X) soient
des théorèmes, où XetY sont des expressions quelconques. Cependant les
axiomes (1.10) et (1.11) sont restreints au cas où XetY sont des variables
(xety). Perd-on de la généralité avec (1.10)(1.11) ?
Exercice 7
La Loi de Leibniz dit que deux expressions sont égales si et seulement si
le remplacement de l’une par l’autre dans n’importe quelle expression E ne
change pas la valeur de E .Cette Loi peut et̂re décomposée en deux parties
(les symboles XetY sont ajoutés pour que le passage à la règle (1.13) soit
plus clair) :
- Si deux expressions XetY sont égales, alors le remplacement de l’une par
l’autre dans n’importe quelle expression E ne change pas la valeur de E.
- Si, quelle que soit l’expression E, le remplacement d’une expression X par
une expression Y dans E ne change pas la valeur de E, alors XetY sont
6
égales.
Exercice 8
a)
(1) (A ∩ B) ∪ B c = A ∪ B c
(2) (A − B) − C = A − (B ∪ C).
(3) A − (B ∩ C) = (A − B) ∪ (A − C)
b) Simplifier
(1) (A ∪ B)∩ (C ∪ Ā)
(2) (A ∪ B)∪ (C ∪ Ā)
Exercice 9
Soient E = [0, 1], F = [−1, 1], etG = [0, 2] trois intervalles de R.
Considérons l’application f de E dans G définie par : f (x) = 2 − x, et
l’application g de F dans G définie par : g(x) = x2 + 1
(1) Déterminer f (1/2), f − 1(0), g([−1, 1]), g − 1[0, 2].
(2) l’application f est-elle bijective ? justifier.
(3) L’application g est-elle bijective ? justifier . Exercice 10
Exercice 11
On définit sur R2 la relation T par
0 0 0
(x, y)R(x , y ) ⇔ |x − x | ≤ y 0 − y
(1) Vérifier que T est une relation d’ordre. Cet ordre est-il total ?
(2) Soit (a, b) ∈ R2 , représenter l’ensemble (x, y) ∈ R2 /(x, y)T (a, b).
Exercice 12
Déterminer la table de vérité de la proposition suivante :
((P ∧ Q) ∨ (Q ∧ P )) ⇔ ((P ∨ Q) ∧ (Q ∨ P )).
Exercice 13
Sur l’ensemble Z des nombres entiers, on définit la relation binaire R suiv-
ante :
xRy ⇔ 3x − y est un nombre pair.
i)
7
ii)
iii) Déterminez l’ensemble quotidien Z/R.
Exercice 14
Sur l’ensemble A = {0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10} on définit la relation binaire
suivante :
x y ⇔ y − x ∈ Np
où Np = {0, 2, 4, 6, . . .} est l’ensemble des nombres naturels pairs.
i) Montrez que est une relation d’ordre.
ii) Déterminez, s’ils existent, les éléments maximaux de A.A admet-il un
maximum?
iii) Déterminez, s’ils existent, les éléments minimaux de A.A admet-il un
minimum?
iv) L’ordre est-il total?
v) Déterminez, s’ils existent, les majorants du sous-ensemble B = {3, 8}.B
a-t-il une borne supérieure?
vi) Déterminez, s’ils existent, les majorants du sous-ensemble C = {3, 5}.C
a-t-il une borne supérieure?
Exercice 15
soient n, p des nombres naturels, avec p ≤ n. Démontrez que
Pn
k=p (k/p) = (n + 1p + 1)