Item 147: Tumeurs Du Col Utérin, Tumeurs Du Corps Utérin: Tumeurs Malignes Du Col Utérin (Évaluations)
Item 147: Tumeurs Du Col Utérin, Tumeurs Du Corps Utérin: Tumeurs Malignes Du Col Utérin (Évaluations)
Item 147: Tumeurs Du Col Utérin, Tumeurs Du Corps Utérin: Tumeurs Malignes Du Col Utérin (Évaluations)
QCM DE PRE-REQUIS
QUESTION 1/8 :
C - La différenciation cellulaire comporte une phase de détermination dans une lignée puis
une phase de maturation.
(Réponse : ACD )
QUESTION 2/8 :
(Réponse : BCD )
QUESTION 3/8 :
D - Au moment des règles, ce n'est que la partie superficielle de l'endomètre qui desquame.
(Réponse : ABD )
QUESTION 4/8 :
Vascularisation de l'utérus :
A - Dans la majorité des cas, l'artère utérine se divise en un rameau ascendant et un rameau
descendant…
(Réponse : ABC )
QUESTION 5/8 :
A - L'expression la plus courante de l'infection à HPV oncogène (notamment le type 16) est
le condylome acuminé.
C - Les HPV le plus souvent retrouvés à l'origine de dysplasie sévère du col de l'utérus sont
les types 16, 18, 33 et 35 (entre autres).
D - L'infection des cellules basales de l'épithélium malpighien du col de l'utérus par HPV
est responsable de la koïlocytose que l'on observe parfois à ce niveau.
(Réponse : BCD )
QUESTION 6/8 :
B - Les cellules « natural killer » sont des cellules permettant de contrôler la croissance des
tumeurs entre autres.
C - Les interférons sont un élément essentiel de stimulation des natural killer et ont donc un
rôle important dans les cancers.
(Réponse : BCD )
QUESTION 7/8 :
C - Les alkylants ont pour effet la formation des ponts inter- ou intra-caténaire empêchant la
duplication et la transcription de l'ADN.
(Réponse : BC )
QUESTION 8/8 :
A - L'interaction des rayons avec les molécules a pour effet des ionisations ou des
excitations.
D - Les particules chargées traversant la matière provoquent des radicaux libres en présence
d'oxygène, ce qui augmente l'efficacité du processus.
(Réponse : AD )
QCM
QUESTION 1/8 :
A-<5%
B - 10-25 %
C - 40 %
D - > 50 %
(Réponse : C )
QUESTION 2/8 :
A - L'activité sexuelle.
B - Le tabagisme.
C - La contraception orale.
(Réponse : B )
QUESTION 3/8 :
D - Aucune situation.
(Réponse : AB )
QUESTION 4/8 :
A - Le tabac.
B - HPV type 6.
(Réponse : AC )
QUESTION 5/8 :
A - Le premier frottis doit être pratiqué des 25 ans chez toute femme active sexuellement.
B - Un deuxième frottis doit être réalisé dans l'année suivant le premier frottis.
C - En cas de dépistage négatif aux deux premiers frottis, on pratiquera un frottis tout les ans
jusqu'à 80 ans.
D - Si les deux premiers frottis sont positifs, on refait un frottis trois ans après.
(Réponse : AB )
QUESTION 6/8 :
B - qu'au laboratoire.
(Réponse : D )
QUESTION 7/8 :
B - Ménorragies.
C - Leucorrhées sanglantes.
D - Métrorragies post-ménopausiques.
(Réponse : ACD )
QUESTION 8/8 :
La conisation :
C - si la pièce de conisation comporte des marges en tissu sain et un diagnostic de CIN III, il
faut toujours compléter le traitement avec une hystérectomie.
D - est une méthode diagnostique indispensable si on ne peut pas visualiser la zone de jonction.
(Réponse : D )
CAS CLINIQUE
Scénario :
Mme X., 39 ans, vient vous consulter car le résultat de son frottis cervico-vaginal l'inquiète :
il indique « classe 3 de Bethesda ». Elle n'a aucun antécédent notable. L'examen général et
gynécologique est normal.
QUESTION 1/5 :
Réponse attendue :
Il s'agit d'une lésion de bas grade : présence de cellules suspectes de malignité, le plus
souvent associée à des cellules inflammatoires liées à une infection locale. On effectue un
prélèvement vaginal, on prescrit un traitement étiologique et un traitement anti-
inflammatoire en l'absence de contre-indications. On refait ensuite un frottis dans 6 mois ou
une colposcopie immédiatement.
QUESTION 2/5 :
Réponse attendue :
N.B. : Les autres facteurs de risque ne sont pas indépendants : multiplicité des partenaires
sexuels, précocité du premier rapport, hygiène locale défectueuse, bas niveau
socioéconomique (ce sont surtout des facteurs de risque d'infection à HPV).
QUESTION 3/5 :
Réponse attendue :
2. étude après imprégnation du col avec de l'acide acétique pour rechercher des zones de
leucoplasie et pour visualiser la jonction endocol-exocol ;
3. application de lugol sur le col (test de Schiller) pour localiser des zones acidophiles
(iodo-négatives) ;
4. biopsies dirigées sur les zones acidophiles et sur la jonction endocol-exocol pour examen
anatomopathologique.
QUESTION 4/5 :
Réponse attendue :
QUESTION 5/5 :
Réponse attendue :
Non.
CAS CLINIQUE
Scénario :
Mme X., 26 ans, d'origine africaine, vient vous consulter pour des dyspareunies. Elle a eu 5
jours auparavant des rapports sexuels non protégés avec une personne qu'elle ne connaît
pas, étrangère, et qu'elle n'a pas revue par la suite. Vous ne notez pas d'antécédent
particulier à part des infections urinaires à répétition. Votre examen retrouve : pas
d'altération de l'état général, à l'examen vulvaire vous retrouvez une ulcération non indurée
surmontée d'un bourrelet, douloureuse et saignant au contact sur la face interne de la
grande lèvre gauche ; vous avez retrouvé des cicatrices hypochromiques et
hyperchromiques sur les jambes et les plantes de pied, vous n'avez pas retrouvé
d'adénopathies.
QUESTION 1/6 :
Réponse attendue :
QUESTION 2/6 :
Réponse attendue :
QUESTION 3/6 :
Réponse attendue :
Interprétations possibles : syphilis ancienne, pian ancien, syphilis récente. Il faudra donc
refaire une sérologie syphilitique dans deux semaines pour éliminer une syphilis récente,
ces résultats ne permettant pas de conclure dans l'immédiat.
QUESTION 4/6 :
Réponse attendue :
Dépistage et traitement du partenaire qu'il faut essayer de retrouver car il s'agit d'une MST
très contagieuse, ainsi que tous les sujets contact. Déclaration obligatoire anonyme ;
abstention sexuelle ou rapports protégés. Traitement de la patiente : on met en place un
traitement antibiotique efficace sur le chancre mou et sur la syphilis, par exemple, en
l'absence d'allergie : céphalosporine de troisième génération : ceftriaxone par voie IM à dose
QUESTION 5/6 :
Deux semaines plus tard vous revoyez la patiente. Elle n'a pas correctement suivi le
traitement que vous lui aviez prescrit. À l'examen, vous retrouvez la lésion que vous aviez
déjà observée, mais elle s'est aggravée, elle reste douloureuse, très indurée, et cette fois,
vous retrouvez des adénopathies inguinales bilatérales indolores et dures, la patiente est
cependant toujours apyrétique. Quel diagnostic devez-vous suspecter ?
Réponse attendue :
QUESTION 6/6 :
Réponse attendue :
Dépistage et traitement des sujets contact. Traitement de la patiente : traitement minute par
une injection unique de pénicilline en l'absence de contre indication par voie
intramusculaire, par exemple : benzathine-pénicilline, ou en cas d'allergie : érythromycine
pendant 15 jours ; déclaration obligatoire anonyme. Surveillance.