Rapport CM Abdellaoui Et Jerrari
Rapport CM Abdellaoui Et Jerrari
Rapport CM Abdellaoui Et Jerrari
المملكة المغربية
جامعة محمد األول
Université Mohamed Premier Oujda
Le soutien bienveillant que vous avez porté chère professeur, depuis notre
première année en génie civil, nous honore et nous touche profondément :
« Vous avez toujours répondu présent quand nous avions besoin de vous,
Vous trouvez aujourd’hui l’expression de notre sincère reconnaissance ».
Merci encore une fois à toute personne ayant contribué de près ou de loin à
la réalisation de ce projet, et qui ont été attachés à son bon déroulement,
3
Introduction
4
Remerciement
Introduction
c. Contreventement .........................................................................................................................................
f. Le bardage ......................................................................................................................................................
g. Couverture ......................................................................................................................................................
1
IV. Calcul de la neige .....................................................................................................
1. Situations de projet .................................................................................................................
2. Charges de neige sur les toitures .................................................................................
V. Dimensionnement : .................................................................................................
1. Dimensionnement des Pannes : ...... ............................................................................
Conclusion
2
I. Données Générales
1. Description du projet
2. Normes utilisées
On va utiliser les normes de l’EUROCODE vu qu’ils sont beaucoup plus modernes et
présentent une économie d’études.
3. Choix de matériaux
Les valeurs nominales de la limite d’élasticité fy et de la résistance à la traction fu, selon le
type d’acier, sont fournies par les normes. Il est important de noter que les valeurs requises
dépendent de l’épaisseur du matériau. En fait, la limite élastique f y et la résistance à la
traction fu décroissent quand l’épaisseur augmente.
Notre hangar situé à Combrit n’est pas trop sollicité et soumis à des températures ambiantes
(T° moyenne est de 10°), la région est aussi caractérisée par une humidité importante.
A cause du prix cher des aciers inoxydables on va opter pour la 2ème solution qui s’avère plus
économique.
Donc on va utiliser des profilés laminés à chaud en acier S235 (la norme EN 10025-2) pour
raison d’économie et de disponibilité.
5
II. Conception
1. Dimensions du hangar et généralités sur la conception
Pignon :
Long-pan :
6
2. Systèmes constructifs du hangar
1-poteaux :
Les éléments de toiture reportent au sol les charges verticales, par l’intermédiaire de
poteaux, sollicités principalement en compression simple mais éventuellement en flexion
composée sous l’effet des charges horizontales. Ces poteaux doivent dans tous les cas,
présenter une raideur transversale procurant la résistance au flambement. Pour ces raisons
on choisit des profilées ayant un moment d’inertie important suivant chacune des directions
principales d’inertie (profilé en I, H, Profiles creux).
Pour notre hangar, les poteaux ont une hauteur de 6.35m.
2- Traverse :
Les traverses doivent reprendre essentiellement les efforts de flexions, leur section doit par
conséquent, présenter une inertie adaptée dans le sens de la flexion et donc une certaine
hauteur.
Pour ces raisons on choisit des profilés de types IPE.
3-pente :
Les versants sont inclinés d’un angle est de 5°.
b. Les pannes
La fonction première des pannes de toiture est d'assurer le transfert des actions appliquées
à la couverture d'un bâtiment à sa structure principale. Elles doivent donc de même résister
à la flexion.
7
Pour les pannes on utilise des profilés IPE, de portée 7m, l’entraxe entre deux pannes est de
1.455 m, avec un poids de 13 kg/ml
c. Contreventement
d. Les lisses
Les lisses, destinées à reprendre les efforts du vent sur le bardage, sont posées
naturellement pour présenter leur inertie maximale dans le plan horizontal.
La lisse fléchit verticalement en outre, sous l’effet de son poids propre et du poids du
bardage qui lui est associé, et de ce fait fonctionne à la flexion déviée.
On va utiliser des profilés IPE qui présentes une rigidité importante suivant les deux
directions principales d’inertie, avec un poids de 12 kg/ml.
ge. Les liernes :
Les liernes de pannes sont des liges filetées de part et d'autre disposées à mi- portée
Perpendiculairement aux pannes dans le plan de la toiture, leur rôle principal est d'éviter la
déformation latérale des pannes en réduisant la portée transversale de ces derniers. Elles
sont généralement formées de barres rondes ou de petites cornières.
f. Le bardage
g. Couverture
Il s’agit aussi de couverture en panneaux sandwiches, qui présente plus que l’isolation une
étanchéité importante. Leur grande rapidité de pose, leur faible poids de 13 kg/m² et leur
8
capacité de portance en font un mode de couverture particulièrement adapté à notre
structure.
h. Les assemblages
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III. Calcul du vent
Les actions du vent doivent être classées comme des actions variables fixes. Elles sont
considérées comme un ensemble simplifié de forces, ou de pressions, d'effets équivalents
aux effets extrêmes du vent turbulent. Les pressions qui s'exercent sur les parois engendrent
des forces perpendiculaires à la surface de la construction. Elles doivent être déterminées
pour chaque situation de projet.
Vb,0 = 26 m/s
b- Vitesse de référence du vent
10
Le coefficient de rugosité, Cr(z), tient compte de la variabilité de la vitesse moyenne du vent
sur le site de la construction due à :
— la hauteur au-dessus du niveau du sol ;
— la rugosité du terrain en amont de la construction dans la direction du vent considérée.
Où :
Où :
11
Kr = 0.19
zmax doit être considérée comme étant égale à 200 m ;
z0, zmin dépendent de la catégorie de terrain.
On a : zmin=2m < z=7m < zmax=200 m alors :
Cr (z) = 0.19 ln (7 / 0.05) = 0.939
Cr (z) = 0.939
d- Orographie du terrain
Le bâtiment est situé dans un zone où la pente moyenne du terrain est très faible (< 3°),
donc : C0 (z) = 1
e- Turbulence du vent
Où :
Iv (z) = 0.200
Pression dynamique de pointe
Il y a lieu de déterminer la pression dynamique de pointe qp(z) à la hauteur z, qui est induite
par la vitesse moyenne et les fluctuations rapides de vitesse.
12
Où :
Ce = 2.15
qb est la pression dynamique de référence du vent donnée dans l'expression :
1
qb = ∗ 1.25 ∗ 262 = 414.05 Pa
2
En utilisant la première formule :
1
qp (z) = (1 + 7 ∗ Iv(z)) ∗ ∗ 1.25 ∗ 262 = 𝟖𝟕𝟔. 𝟖𝟖 𝐏𝐚
2
13
En utilisant la deuxième formule avec le coefficient d’exposition :
Donc on va prendre la première valeur qui s’avèrent la plus juste car les paramètres sont
exacts, contrairement à la deuxième formule où on peut faire des erreurs dans la
détermination du Ce(z).
Donc on a :
qp(z) = 876.88 Pa
2. Pression du vent sur les parois
14
Les valeurs de Cpe,10 et Cpe,1 sont indiquées dans l'Annexe Nationale. Les valeurs
recommandées sont données dans le Tableau 7.1, selon le rapport h/d. Une interpolation
linéaire peut être appliquée pour les valeurs intermédiaires de h/d.
15
Zone A B C D E
Cpe -1.2 -0.8 -0.5 0.73 -0.36
Zone A B C D E
Cpe -1.2 -0.8 -0.5 0.69 -0.29
16
Dans ce cas aussi l’EN 1991-1-4 exige les règles, suivants :
- Il convient de diviser la toiture, y compris les avancées de toiture, en zones comme cela
est représenté dans la figure au-dessous ;
17
On a les surfaces G, H, I et J sont > 10 m² donc on va utiliser le cpe,10.
Pour la surface F elle est < 10 m² dans ce cas Cpe = Cpe,1 – (Cpe,1 – Cpe,10) log10 A
= -1.94
On a α=5°, donc on aboutit au résultat suivant :
Face F G H I J
Cpe -1.94 -1.2 -0.6 -0.6 -0.6
+0 +0 +0 *** +0.2
18
2ème cas θ = 90° Vent sur le pignon :
19
On a les surfaces H, I et J sont > 10 m² donc on va utiliser le cpe,10.
Pour la surface F et G elles sont < 10 m² dans ce cas :
Cpe = Cpe,1 – (Cpe,1 – Cpe,10) log10 A
On a α=5°, donc on aboutit au résultat suivant :
Face F G H I
Cpe -1.78 -1.48 -0.7 -0.6
On a la surface des ouvertures pour chaque face est inférieur à 2 fois l’aire totale des autres
faces :
20
1er cas θ=0° Vent sur le long-pan :
Zone A B C
Cpe -1.2 -0.8 -0.5
cpi=-0.36
Zone A B C
Cpe -1.2 -0.8 -0.5
21
H/d= 0.2 < 0.25 donc on obtient :
cpi=-0.29
c. Pression statique
w = we - wi = (Cpe-Cpi) x qp(z)
A noter : on a h/d <1, la force résultante doit être multiplié par 0.85. Il s'agit de la note 3
du paragraphe 7.2.2 de la NF EN 1991-1-4 (défaut de corrélation entre les pressions
aérodynamiques au vent et sous le vent).
Avec : qp=876.88 Pa
Pour les murs verticaux :
Murs verticaux
θ = 0° θ = 90°
Zones Cpe Cpi W (Pa) Zones Cpe Cpi W (Pa)
A -1,2 -0,36 -626,09513 A -1,2 -0,29 -678,2697252
B -0,8 -0,36 -327,95459 B -0,8 -0,29 -380,1291866
C -0,5 -0,36 -104,34919 C -0,5 -0,29 -156,5237827
D 0,73 -0,36 812,432968 D 0,69 -0,29 730,4443194
E -0,36 -0,36 0 E -0,29 -0,29 0
Toitures
θ = 0° θ = 90°
Zones Cpe Cpi W (Pa) Zones Cpe Cpi W (Pa)
F 0 -0,36 268,3264847 F -1,78 -0,29 -1110,57351
G 0 -0,36 268,3264847 G -1,48 -0,29 -886,968102
H 0 -0,36 268,3264847 H -0,7 -0,29 -305,594052
I *** -0,36 *** I -0,6 -0,29 -231,058917
J 0,2 -0,36 417,396754
22
2er cas : valeurs négatives de Cpe :
Toitures
θ = 0° θ = 90°
Zones Cpe Cpi W (Pa) Zones Cpe Cpi W (Pa)
F -1,94 -0,36 -1177,65513 F -1,78 -0,29 -1110,57351
G -1,2 -0,36 -626,095131 G -1,48 -0,29 -886,968102
H -0,6 -0,36 -178,884323 H -0,7 -0,29 -305,594052
I -0,6 -0,36 -178,884323 I -0,6 -0,29 -231,058917
J -0,6 -0,36 -178,884323
23
IV. Calcul de la neige
Règlement utilisé : Eurocode 1 ; NF EN 1991-1-3
1. Situations de projet
D’après l’annexe nationale la ville de Combrit qui est une commune du département du
Finistère est dans la région A1.
— pour les régions A1, C1 et E définies par la carte fournie en annexe de la présente norme :
les conditions normales (ni chute exceptionnelle ni accumulation exceptionnelle de neige à
considérer),
— pour les régions A2, B1, B2, C2 et D : les conditions normales et le cas B1 des conditions
exceptionnelles (possibilité de chute exceptionnelle mais sans accumulation exceptionnelle).
Le calcul doit tenir compte du fait que la neige peut être distribuée de nombreuses
manières différentes sur une toiture.
Parmi les facteurs qui influencent ces différentes distributions, il y a :
a) la forme de la toiture ;
b) ses propriétés thermiques ;
c) a rugosité de la surface ;
d) la quantité de chaleur générée en dessous ;
e) la proximité d'autres bâtiments ;
f) le terrain environnant ;
g) les conditions météorologiques locales, en particulier l'importance des vents, les
variations de température et la fréquence des précipitations (de pluie ou de neige).
Les charges de neige sur les toitures doivent être déterminées comme suit :
a) pour les situations de projet durables/transitoires : Notre cas
24
µi est le coefficient de forme pour la charge de neige (voir 5.3 et l'Annexe B) ;
Sk est la valeur caractéristique de la charge de neige sur le sol ;
C e est le coefficient d'exposition ;
C t est le coefficient thermique.
On a α = 5° donc :
µ1 = 0.8
µ2 = 0.8+0.8*5/30 = 0.93
25
Cas i : La disposition de charge sans accumulation
µ1 = 0.8 pour les deux versants
Ce= 1
C t est le coefficient thermique
Il convient d’utiliser une valeur inférieure à 1 pour le coefficient thermique Ct lorsqu’il y a réduction
des charges de neige sur les toitures
— notamment certaines toitures vitrées
— dotées d'une transmittance thermique élevée (K = 1 W/m2) en raison de la fonte de la neige sous
l’effet de la chaleur. Pour tous les autres cas : Ct = 1,0.
26
Donc pour notre cas on prend Ct=1
Sk est la valeur caractéristique de la charge de neige sur le sol ;
S= 0.36 KN/m²
S= 0.36*cos (5) *1.455 KN/ml
Enfin :
S=52.18 KN/ml
27
II- Dimensionnement :
a. Dimensionnement des Pannes :
Le hangar est constitué de 5 portiques espacé de 7m, Chaque portique reçoit 5 pannes par
versant l’écartement horizontale égale à : 1.45 m donc la distance entre axe de panne est de
1.455 m.
Charge du vent :
En étudiant les deux directions du vent, à θ =0° et θ =90°, le cas de pression le plus
défavorable et adaptés à toutes les pannes est celle de la panne sablière située en zone G et
θ = 0°,
V = -46.24 kg/ml
Charge permanentes G :
G = 31.915 kg/ml
Charge d’exploitation Q :
La charge uniformément repartie Peq due aux surcharges d’entretien est obtenue en
égalisant les deux moments maximaux dû à Peq et aux charges ponctuelles :
28
P.L L²
Mmax= = 𝑃eq.
3 8
P 100
𝑃eq = 8. 3.𝐿 =8. 3∗7 , donc : 𝑃eq = 38.1 kg/ml .
29
Calcul des moments :
𝑄𝑦∗(𝑙/2)2
Suivant Z : Mz =
8
𝑄𝑧∗ 𝑙 2
Suivant Y : My =
8
Vérification à la résistance :
𝑀𝑧 𝑀𝑦
𝜎= + ≤ 𝜎𝑒
𝑊𝑧, 𝑒𝑙 𝑊𝑦, 𝑒𝑙
𝑀𝑦 𝑊𝑦, 𝑒𝑙 𝑀𝑧 𝑀𝑦 𝑀𝑧
𝜎= (1 + )= (1 + ɳ )
𝑊𝑦, 𝑒𝑙 𝑊𝑧, 𝑒𝑙 𝑀𝑦 𝑊𝑦, 𝑒𝑙 𝑀𝑦
𝑊𝑦,𝑒𝑙
ɳ=( ) ~ 6 à 9 (Poutres IPE)
𝑊𝑧,𝑒𝑙
𝑀𝑦 𝑀𝑧
𝑊𝑦, 𝑒𝑙 ≥ (1 + ɳ )
𝜎𝑒 𝑀𝑦
30
Il faut vérifier est ce que la panne résiste en tenant compte de son poids propre.
On vérifie donc à ce que le poids propre réel trouvé soit inférieur au poids propre
estimé de la panne.
La classe de section :
On vérifie que :
𝑀𝑦 𝛼 𝑀𝑧 𝛽
( ) +( ) ≤ 1
𝑀𝑝𝑙, 𝑦 𝑀𝑝𝑙, 𝑧
Pour les sections en I et H, 𝛼 et 𝛽 peuvent prendre les valeurs suivantes : 𝛼 = 2 et 𝛽
𝑁𝑠𝑑 ∙
=5n≥1 avec 𝑛 = 𝑁𝑝𝑙,𝑟𝑑 = 0 , donc β =1
𝑊𝑝𝑙,𝑦 𝑓𝑦
𝑀𝑝𝑙, 𝑦 =
𝛾𝑚0
𝑊𝑝𝑙,𝑧 𝑓𝑦
𝑀𝑝𝑙, 𝑧 =
𝛾𝑚0
Vérification au cisaillement :
On vérifie que :
𝑉𝑦 ≤ 𝑉𝑝𝑙, 𝑦 et 𝑉𝑧 ≤ 𝑉𝑝𝑙, 𝑧
𝑓𝑦 𝑓𝑦
𝐴𝑣𝑦 ( ) 𝐴𝑣𝑧 ( )
√3 √3
Avec : 𝑉𝑝𝑙, 𝑦 = 𝑉𝑝𝑙, 𝑧 =
𝛾𝑚0 𝛾𝑚0
31
Avy et Avz sont données par le catalogue des profilés
𝑄𝑧 𝑙 𝑄𝑦 l
𝑉𝑧 = et 𝑉𝑦 = 0.625
2 2
Vérification au déversement :
Le déversement est composé d’un flambement latéral et une rotation de la section
transversale.
𝑀𝑦 . 𝑀𝑧 .
( ) +( ) ≤ 1
𝑀𝑏, 𝑟𝑑 𝑀𝑝𝑙, 𝑧
La semelle supérieure est fixée à la toiture, donc il y’aura pas risque de déversement, et vu
que la semelle inférieure qui est comprimé sous l’action du vent de soulèvement, est
susceptible de déverser.
32
𝑊𝑝𝑙,𝑦 𝑓𝑦
𝑀𝑏, 𝑟𝑑 = XLT 𝛽𝑤 = XLT 𝑀𝑝𝑙, 𝑦
𝛾M1
L’élancement ̅̅̅̅̅
λ𝐿𝑇 réduit est déterminé par la formule suivante (annexe F de l’Eurocode)
𝐸
avec 𝜆1 = π √ 𝜀
𝑓𝑦
Pour les poutres à section constante et doublement symétriques (profilés laminés I et H),
l’élancement :
𝑀𝑎
Avec : Ψ = 𝑀𝑏 et 𝑀𝑎 ≤ 𝑀𝑏
𝑀𝑎
Donc Ψ = 𝑀𝑏 = 0 , alors C1= 1.88
33
Finalement on trouve :
Vérification du déversement :
𝑀𝑦 . 𝑀𝑧 .
( ) +( ) ≤ 1
𝑀𝑏, 𝑟𝑑 𝑀𝑝𝑙, 𝑧
𝐿
On vérifie que 𝑓 ≤ 𝑓𝑎𝑑𝑚 avec 𝑓𝑎𝑑𝑚 = 200 pour une toiture en général.
5 𝑄𝑧.𝑙 4
On a: 𝑓𝑧 = . 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙 = 𝐿
384 𝐸.𝐼𝑦
5 𝑄𝑦.𝑙 4
On a: 𝑓𝑦 = . 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙 = 𝐿/2
384 𝐸.𝐼𝑧
34
c- Résultats de calcul des pannes :
- L’ELU :
combinaison Projections Kg/ml
Z 1.35 G cos(α) + 1.5 Peq cos(α) 99,85
1.35 G + 1.5 𝑃eq
Y 1.35 G sin(α) + 1.5 Peq sin(α) 8,74
Actions vers le bas
Z 1.35 G cos(α) + 1.5 N cos(α) 120,89
1.35 G + 1.5 N
Y 1.35 G sin(α) + 1.5 N sin(α) 10,58
Z 1.35 G cos(α) -1.5 V -26,44
L’ELU 1.35 G - 1.5 V
Y 1.35 G sin(α) 3,76
Z G cos(α) -1.5 V -37,57
Actions vers le haut G - 1.5 V
Y G sin(α) 2,78
Z 0,9 G cos(α) -1.5 V -40,75
0.9 G - 1.5 V
Y 0,9 G sin(α) 2,50
Qz 120,89 Kg/ml
Combinaison défavorable
Qy 10,58 Kg/ml
35
Détermination des sections :
Vérification à la résistance :
En se basant sur le catalogue des profilés on choisit IPE 120 (On a 𝑊𝑦, 𝑒𝑙= 53.0 cm3 pour IPE
120)
Donc la panne est déjà vérifiée à la résistance en tenant compte de son poids propre.
36
La classe de section :
Détermination de la
d/tw (72,10) ɛ
classe Classe
Vérification au cisaillement:
Vpl,y = (Avy (fy/√3) )/γmo 10607,50 daN
𝑉𝑦 ≤ 0.5 𝑉𝑝𝑙, 𝑦 et 𝑉𝑧 ≤ 0.5 𝑉𝑝𝑙, 𝑧 , donc on travaille avec le moment résistant plastique
non réduit.
37
Vérification au déversement :
λ1 = π* √(E/fy)* ε 93,9
λLT = 101,6
ϕLT 1,177
XLT 0,609
38
Le poids propre réel trouvé = 12.9 kg/ml) ;
Donc la panne est déjà vérifiée à la résistance en tenant compte de son poids propre.
La classe de section :
Revérification du déversement :
λ1 = π* √(E/fy)* ε 93,9
λLT = 97,0
ϕLT 1,121
XLT 0,642
39
(My/Mb,rd )+(Mz/Mpl,z ) 0,65 Vérifié
fz = (5/384).(Qz.L^4)/(E.Iy) 3,33 cm
Donc 𝑓𝑧 ≤ 𝑓𝑎𝑑𝑚
fy = (5/384).(Qy.(L/2)^4)/(E.Iz) 0,22 cm
Donc 𝑓𝑦 ≤ 𝑓𝑎𝑑𝑚
Conclusion :
Donc puisque toutes les conditions de stabilité sont vérifiées, le profilé IPE 140 est
convenable pour les pannes.
40
b. Dimensionnement des liernes pour pannes :
Les liernes sont des tirants qui fonctionnent en traction et qui sont soumis à des efforts
croissant, au fur et à mesure qu’ils se rapprochent de la panne faitière.
Les efforts de traction sollicitant les liernes ne peuvent pas être attachés aux pannes
faitières, qui périraient transversalement. Ils sont donc transmis aux fermes par des tirants
diagonales
𝑙
𝑅 = 1.25 ∗ 𝑄𝑦 ∗
2
(Valeur de la réaction au niveau de l’appui intermédiaire pour une poutre sur trois appuis à
travée chargée uniformément)
7
𝑅 = 1.25 ∗ 10.58 ∗
2
𝑅 = 46.29 𝑘𝑔
41
Effort de traction dans le tronçon de lierne provenant de la panne sablière :
𝑅
𝑇= = 23.15 𝑘𝑔
2
1.455
Tan (θ) =
3.5
Donc : θ = 22.57°
Dans une lierne sollicité en traction axiale, l’effort de traction N doit rester inférieur à l’effort
résistant de traction, on dimensionne avec la lierne 5 qui est la plus sollicitée donc :
𝐴 ∗ 𝑓𝑦
𝑁 = 𝑇5 ≤ 𝑁𝑝𝑙 =
𝛾𝑀0
𝐷²
𝐴=𝜋∗ ≥ 9.88 𝑚𝑚²
4
42
4 ∗ 9.65
𝐷≥√ = 3.56 𝑚𝑚
𝜋
Conclusion :
Donc pour des raisons de sécurité on prend des barres rondes de diamètre 10 mm
Charges permanentes
Poids propre de bardage………………………………….12kg/m²
Accessoires de pose……………………………………….8kg/m²
Poids propre estimé de la lisse ……..…….……………..16kg/ml
G=16+1.6*(12+8)=48 daN/ml
Charge de vent
Sur le long-pan le vent est normal de θ = 0°, le cas de pression le plus défavorable est situé
en zone D, avec w= 812,43 Pa
V=81.243*1.6=129.99 daN/ml
- Dans le plan Z-Z on a deux appuis car la charge à étudier dans ce plan et la charge
horizontale de vent.
43
Avec : V c’est l’effort du vent appliqué verticalement sur la lisse ; Qz =Pu1= 1.5 V.
- Dans le plan Y-Y on trois appuis à cause d’utilisation du lierne au milieu de la lisse et
la charge à étudier est la charge permanente G.
Avec G:la somme du poids propre estimé et du poids du bardage ; Qy =Pu2 = 1.35 G.
44
Détermination des sections :
Vérification à la résistance :
En se basant sur le catalogue des profilés on choisit IPE 160 (On a 𝑊𝑦, 𝑒𝑙= 108.7 cm3 pour
IPE 160)
Donc la lisse est déjà vérifiée à la résistance en tenant compte de son poids propre.
45
La classe de section :
Determ de la classe
d/tw 72 ɛ Classe
Vérification au cisaillement :
𝑉𝑦 ≤ 0.5 𝑉𝑝𝑙, 𝑦 et 𝑉𝑧 ≤ 0.5 𝑉𝑝𝑙, 𝑧 , donc on travaille avec le moment résistant plastique
non réduit.
46
Vérification au déversement:
λ1 = π* √(E/fy)* ε 93,9
λLT = 93,4
ϕLT 1,078
XLT 0,670
fz = (5/384).(Qz.L^4)/(E.Iy) 2,16 cm
Donc 𝑓𝑧 ≤ 𝑓𝑎𝑑𝑚
47
Flèche vertical suivant l’axe y sur trois appuis
Qy= G = 48,00daN/ml
fy = (5/384).(Qy.(L/2)^4)/(E.Iz) 0,65 cm
Donc 𝑓𝑦 ≤ 𝑓𝑎𝑑𝑚
Sur le pignon le vent est normal de θ = 90°, le cas de pression le plus défavorable est situé en
zone D, avec w= 730,444 Pa
48
Qy=G 48,00 Kg/ml
Vérification à la résistance :
En se basant sur le catalogue des profilés on choisit IPE 140 (On a 𝑊𝑦, 𝑒𝑙= 77.3 cm3 pour
IPE 160)
Donc la lisse est déjà vérifiée à la résistance en tenant compte de son poids propre.
49
(My/(Mpl,y ))^α 0,32
Vérification au cisaillement :
Vpl,y = (Avy (fy/√3) )/γmo 13074,36 daN
𝑉𝑦 ≤ 0.5 𝑉𝑝𝑙, 𝑦 et 𝑉𝑧 ≤ 0.5 𝑉𝑝𝑙, 𝑧 , donc on travaille avec le moment résistant plastique
non réduit.
Vérification au déversement :
λ1 = π* √(E/fy)* ε 93,9
λLT = 97,0
ϕLT 1,121
XLT 0,642
50
On va passer donc au profile juste supérieur Prenons IPE160
Donc la lisse est déjà vérifiée à la résistance en tenant compte de son poids propre.
Vérification au déversement :
λ1 = π* √(E/fy)* ε 93,9
λLT = 93,4
ϕLT 1,078
XLT 0,670
51
Vérification à l’état limite de service : (Vérification de la flèche)
fz = (5/384).(Qz.L^4)/(E.Iy) 1,94 cm
Donc 𝑓𝑧 ≤ 𝑓𝑎𝑑𝑚
Qy= G = 48,00daN/ml
fy = (5/384).(Qy.(L/2)^4)/(E.Iz) 0,65 cm
Donc 𝑓𝑦 ≤ 𝑓𝑎𝑑𝑚
Conclusion :
Donc puisque toutes les conditions de stabilité sont vérifiées, le profilé IPE 160 est
convenable pour les liernes.
52
d. Dimensionnement des liernes pour les lisses :
Les liernes des lisses du pignon sont de longueurs inférieures aux lisses du long pan, donc le
calcul des liernes se généralise avec un calcul en long pan.
𝑙
𝑅 = 1.25 ∗ 𝑄𝑦 ∗
2
(Valeur de la réaction au niveau de l’appui intermédiaire pour une poutre sur trois appuis à
7
𝑅 = 1.25 ∗ 64.8 ∗
2
53
𝑅 = 283.5 𝑑𝑎𝑁
𝑅
𝑇= = 141.75 𝑑𝑎𝑁
2
1.35
Tan (θ) =
3.5
Donc : θ = 21.1°
Dans une lisse sollicitée en traction axiale, l’effort de traction N doit rester inférieur à l’effort
résistant de traction, on dimensionne avec la lisse 3 qui est la plus sollicitée donc :
𝐴 ∗ 𝑓𝑦
𝑁 = 𝑇3 ≤ 𝑁𝑝𝑙 =
𝛾𝑀0
𝐷2
𝐴=𝜋∗ ≥ 27.64 𝑚𝑚²
4
4 ∗ 27.64
𝐷≥√ = 5.93 𝑚𝑚
𝜋
Conclusion :
Donc on prend des barres rondes de diamètre 10 mm.
54
5. Dimensionnement des potelets
Les Potelets travaillent à la flexion sous l’action de l’effort du vent, et à la compression sous
l’effet de son poids propre, du poids du bardage et des lisses qui lui est associé, et de ce fait
fonctionne à la flexion composée.
On a deux potelets pour chaque pignon, avec un entraxe de 7m et une longueur de 6.7 m et
supportent 3 lisses IPE 160.
Charge permanentes G :
Bardage : 20 kg/m²
Poids propre de la lisse IPE160 : 15.8 kg/ml
G= 15.8*3*7 + 20*7*6.7 = 1269.8 daN
G= 1269.8 daN
Charge du vent V :
La pression défavorable du vent sur les potelets est celle de la zone D sur le pignon :
W= 73.04 daN/m²
Donc V=73.04*7= 511.28 daN/ml
V= 511.28 daN/ml
f. Vérification à la flèche
5 ∗ 𝑉 ∗ 𝑙4 𝑙
𝑓= < 𝑓𝑎𝑑 =
384 ∗ 𝐸 ∗ 𝐼𝑦 200
On choisit une section de supérieur à notre valeur donc on choisit HEA 180
55
La classe de section :
𝐴𝑤 ∗ 𝑓𝑦
𝑁 <= min(0.25𝑁𝑝𝑙 ; 0.5 )
𝛾𝑀𝑜
𝐴 ∗ 𝑓𝑦 45.3 ∗ 235 ∗ 10
0.25 𝑁𝑝𝑙 = 0.25 ∗ = 0.25 ∗ = 24194.31 𝑑𝑎𝑁
𝛾𝑀𝑜 1.1
𝐴𝑤 ∗ 𝑓𝑦 (𝐴 − 2𝑏 ∗ 𝑡𝑓) ∗ 𝑓𝑦
0.5 = 0.5 ∗
𝛾𝑀𝑜 𝛾𝑀𝑜
56
j. Vérification de la section a la résistance :
𝑀𝑦 < 𝑀𝑐
𝑄𝑧 ∗ 𝑙 2 766.92 ∗ 6.72
My = = = 4303.37 𝑑𝑎𝑁. 𝑚
8 8
𝑊𝑝𝑙, 𝑦 ∗ 𝑓𝑦 324.9 ∗ 235 ∗ 0.1
𝑀𝑐 = 𝑀𝑝𝑙, 𝑦 = = = 6941.47 𝑑𝑎𝑁. 𝑚
𝛾𝑚0 1.1
Donc :
𝑀𝑦 = 4303. .37 𝑑𝑎𝑁. 𝑚 < 𝑀𝑐 = 6941.47 𝑑𝑎𝑁. 𝑚
𝑁 𝐾𝑦 ∗ 𝑀𝑦
+ ≤ 1
𝜒𝑚𝑖𝑛 ∗ 𝑁𝑝𝑙, 𝑟𝑑 𝑀𝑝𝑙𝑦, 𝑠𝑑
Risque de déversement en flexion composée :
𝑁 𝐾𝐿𝑇 ∗ 𝑀𝑦
+ ≤ 1
𝜒𝑧 ∗ 𝑁𝑝𝑙, 𝑟𝑑 𝜒𝐿𝑇 ∗ 𝑀𝑝𝑙𝑦, 𝑠𝑑
57
βA=1 pour les section de classe 1 , 2 et 3.
α : facteur d’imperfection correspondant à la courbe de flambement.
58
Flambement suivant l’axe faible Z-Z :
59
Si ̅̅̅̅
𝜆𝐿𝑇 < 0.4 Pas de risque de déversement.
βMy est un facteur de moment uniforme équivalent pour le flambement. Pour une poutre
simplement appuyée avec une charge uniformément répartie : βMy = 1,3
Vérification du flambement :
𝑁 𝐾𝑦 ∗ 𝑀𝑦
+ ≤ 1
𝜒𝑚𝑖𝑛 ∗ 𝑁𝑝𝑙, 𝑟𝑑 𝑀𝑝𝑙𝑦, 𝑠𝑑
Vérification de déversement :
Si ̅̅̅̅
𝜆𝐿𝑇 < 0.4 Pas de risque de déversement.
λy = Ly/iy 89,93
λ1 = π* √(E/fy) 93,91
λy bar = λy/λ1*(βa)^0,5 0,96
h/b 0,95
tw 6,00
α 0,34
ϕy = 0,5*(1+α*(λy bar-0,2)+λy bar^2) 1,09
χy = 1/(ϕy+(ϕy^2-λy bar^2)^0,5) 0,66
60
• Flambement suivant l’axe faible Z-Z :
λz = Lz/iz 35,40
λ1 = π* √(E/fy)* ε 93,91
λz bar = λz/λ1*(βa)^0,5 0,38
h/b 0,95
tw 6,00
α 0,49
ϕz = 0,5*(1+α*(λz bar-0,2)+λz bar^2) 0,61
χz = 1/(ϕz+(ϕz^2-λz bar^2)^0,5) 0,67
• Vérification de déversement :
Xmin 0,660
µy = λz bar *(2*βmy-4)+(Wpl,y-Wel,y)/Wel,y -0,42 <0,9
ky = 1-(µy*N)/(χz *A*fy) 1,10 <1,5
N/(Xmin*Npl)+ky*My/(Mply) 0,7092619 <1
Conclusion :
Donc puisque toutes les conditions de stabilité sont vérifiées, le profilé HEA 180 est
convenable pour les potelets.
61
1. Dimensionnement des portiques :
Le hangar est constitué de 5 portiques espacé de 7m, Chaque traverse reçoit 5 pannes avec
un entre axe de 1.455 m, et chaque poteau reçoit 3 lisses espacées de 1.6 m
Charge permanentes G :
G = 37.86*7=265.02 kg/ml
Charge du vent:
En étudiant les deux directions du vent, à θ =0° et θ =90°, le cas de pression le plus
défavorable est celle du portique située en zone F,G, G, F avec θ = 90°,
−1110.574∗3.5−886.968∗4−305.5941∗4−231.0589∗3.5
w= =- 631.06 Pa
15
62
b- Evaluation des charges horizontales :
Charge du vent :
En étudiant les deux directions du vent, à θ =0° et θ =90°, le cas de pression le plus
défavorable est celle du portique situé en zone D avec θ = 0°,
Donc W= 812.43 Pa
C
Charges
B D
verticales :
A E
63
64
- Charges vers le haut :
65
Charges Horizontales :
- Charges positives :
66
- Charges négatives :
67
68
Récapitulatif :
Charges (1,35G cos(α)) -2683,3 -2683,3 807 -807 -5124,4 4337,7 -5124,4
Verticales (- 1,35 G cos(α) + 1,5 Vv) 2304,8 2304,8 -693,2 693,2 4401,7 -3725,9 4401,7
Charges (-1,5 Vh) 1146,6 -1146,6 -4047,8 1369,1 8504,8 -984,3 -8693,7
Horizontales (1,5 Vh) 1146,6 -1146,6 -1369,1 -4047,8 8693,7 984,3 -8504,8
Valeurs maximales 2683,3 2683,3 4047,8 4047,8 8693,7 4337,7 8693,7
d- Méthode d’analyse :
1 𝑁𝑠𝑑𝑡 𝑁𝑠𝑑𝑝
= + (4 + 3.3𝑅)
αcr 𝑁𝑐𝑟𝑡 𝑁𝑐𝑟𝑝
𝑁𝑠𝑑𝑝 = 𝑁𝑚𝑎𝑥 = 4047.8 𝑑𝑎𝑁 : L’effort axial de compression dans le
poteau.
𝜋2 ∗𝐸𝐼𝑥
Ncrp : = 2477528.32 𝑑𝑎𝑁 : Effort critique d’Euler dans le
ℎ2
Poteau.
𝑁𝑠𝑑𝑡 = 2683.3 ∗ sin(5) + 4047.8 ∗ cos(5) = 4266.26 𝑑𝑎𝑁
L’effort axial de compression dans la traverse.
𝜋2 ∗𝐸𝐼𝑥
Ncrt : = 1761879.19daN : Effort critique d’Euler dans le Poteau.
𝑠2
𝑠 7.53
R: = =1.18
ℎ 6.35
69
On a travaillé avec : g (estimé)= 100 Kg/m On prend un profilé IPE 500
>> On trouve que αcr = 65.28 > 10 donc on va dimensionner par une analyse
élastique au 1ér ordre.
Vérification à la résistance :
En se basant sur le catalogue des profilés on choisit IPE 270 (On a 𝑊𝑦, 𝑝𝑙= 484 cm3 pour
IPE 270)
70
Donc la traverse est déjà vérifiée à la résistance en tenant compte de son poids propre.
1
𝑦𝑚𝑎𝑥 = (5𝐺𝑙 4 − 48𝑀(𝐵)𝐿2 )
384 𝐸 𝐼𝑦
71
Nsd Hmax.cos (α)+ Vmax.sin(α) 3025,88 daN.m
c/tf 10 ɛ Classe
Semelle
6,62 10 1
(396 ɛ )/(13α-
Ame (flexion composée) d/tw 1) Classe
33,27273 65,15881748 1
Vérification au cisaillement:
Donc il n’y a pas risque d’interaction entre le moment fléchissant et l’effort tranchant.
Pour la vérification du reste des instabilités, on suit la même procédure précitée lors de la
vérification des potelets.
0.25Npl
= 0.25*(A*fy)/γMo 24514,77 daN
72
Vérification au flombement
λy = Ly/iy 114,07
λ1 = π* √(E/fy) 93,91
λy bar = λy/λ1*(βa)^0,5 1,21
h/b 2,00
tw 6,60
α 0,21
ϕy = 0,5*(1+α*(λy bar-0,2)+λy bar^2) 1,34
χy = 1/(ϕy+(ϕy^2-λy bar^2)^0,5) 0,63
λz = Lz/iz 99,34
λ1 = π* √(E/fy) 93,91
λz bar = λz/λ1*(βa)^0,5 1,06
h/b 2,00
tw 6,60
α 0,34
ϕz = 0,5*(1+α*(λz bar-0,2)+λz bar^2) 1,21
χz = 1/(ϕz+(ϕz^2-λz bar^2)^0,5) 0,63
Xmin 0,634
Vérification de déversement:
λLT = Lz/iz/(C1^0,5*(1+1/20*(Lz/iz/(h/tf))^2)^0,25)
44,96
En changeant les profilés sur Excel on trouve que le profilé correspondant à la vérification
du déversement est : IPE 600
73
Rvérification de déversement:
λLT = Lz/iz/(C1^0,5*(1+1/20*(Lz/iz/(h/tf))^2)^0,25) 31,77
Vérification à la résistance:
En se basant sur le catalogue des profilés on choisit IPE 270 (On a 𝑊𝑦, 𝑝𝑙= 484 cm3 pour
IPE 270)
c/tf 10 ɛ Classe
Semelle
6,62 10 1
74
Vérification au cisaillement :
Donc il n’y a pas risque d’interaction entre le moment fléchissant et l’effort tranchant.
0.25Npl
= 0.25*(A*fy)/γMo 24514,77 daN
75
Vérification au flombement
λy = Ly/iy 48,29
λ1 = π* √(E/fy) 93,91
λy bar = λy/λ1*(βa)^0,5 0,51
h/b 2,00
tw 6,60
α 0,21
ϕy = 0,5*(1+α*(λy bar-0,2)+λy bar^2) 0,67
χy = 1/(ϕy+(ϕy^2-λy bar^2)^0,5) 0,70
λz = Lz/iz 99,34
λ1 = π* √(E/fy) 93,91
λz bar = λz/λ1*(βa)^0,5 1,06
h/b 2,00
tw 6,60
α 0,34
ϕz = 0,5*(1+α*(λz bar-0,2)+λz bar^2) 1,21
χz = 1/(ϕz+(ϕz^2-λz bar^2)^0,5) 0,63
Xmin 0,634
Vérification de déversement :
λLT = Lz/iz/(C1^0,5*(1+1/20*(Lz/iz/(h/tf))^2)^0,25)
19,76
Conclusion :
Donc puisque toutes les conditions de stabilité sont vérifiées, on adopte :
76
Conclusion
77